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par xavmart
#64182
Ce que je vais raconter ici à été le début d'une aventure qui a profondément changé notre vie de couple à Martine et à moi. C'est peu à peu que j'ai pu réconstituer le fil de cette histoire. je vous la livre telle quelle.

Martine s’ennuyait ferme. Depuis que nous résidions à Essaouira au Maroc les journées lui paraissaient bien longues. Passé l’effet de curiosité des premiers jours, elle trouvait la ville assommante n’y connaissant personne en dehors de mes relations de travail avec lesquelles elle ne se sentait aucune affinité. Aussi passait-elle ses journées dans l’ennui et la plus grande oisiveté. Elle aurait bien aimé sortir, mais pour une femme seule c’est chose difficile au Maroc. Elle était sans cesse importunée par des dragueurs de tous poils, si bien qu’elle y avait renoncé. Elle avait aussi renoncé à la plage pourtant magnifique et qui s’étendait de l’autre côté de l’avenue ou nous avions notre villa. Là comme ailleurs elle n’y était pas tranquille, à peine installée sur le sable, elle était abordée par des hommes désœuvrés en quête d’aventures.

Si je restais le mari aimant j'avais tendance à la négliger pris par mes soucis professionnels et les fréquents déplacements qui m’éloignait parfois des jours entiers. La situation devenant insupportable. Elle me menaça un jour de repartir pour Paris par le premier avion. Là au moins elle pourrait reprendre son emploi, retrouver ses amis, sa famille. Elle ne se déplaisait pas ici, elle voulait seulement pouvoir bouger. Je compris le message. Je lui proposais de faire détacher de temps à autre un employé de ma société qui lui servirait de guide et disons-le de garde du corps. Elle accepta cette solution et renonça à partir.

C’est ainsi qu’elle fit la connaissance de Rachid. C’était un jeune homme d’une trentaine d’année, marié à une jeune femme originaire de Rabat. Il travaillait sous mes ordres comme technicien.

Rachid paraissait embarrassé par la mission que je lui avait confié. Sans doute en raison d’éventuels qu’en-dira-t-on. Il en résultait qu’il marquait une certaine froideur vis à vis d’elle. Martine était gênée par cette attitude car elle aurait préféré qu’il se comporta en camarade plus qu’en employé distant dont il affectait la posture. Et ceci d’autant plus qu’elle le trouvait très sympathique et sans oser se l’avouer très à son goût. Mais un garçon de son âge regarde-t-il forcément une femme de 20 ans son aînée?

Connaissant bien la région, en étant originaire, il lui fit découvrir les mille et un secrets que celle-ci recelait. Protégée des importuns par sa présence, elle avait renoué avec la plage et les bains de mer. Le rituel était alors immuable, elle allait se tremper puis revenait sur le sable s’étendre au soleil. Lui s’installait sans même se déshabiller à quelques mètres avec un livre en attendant qu’elle donne le signal du départ. Bien sur il ne pouvait s’empêcher d’observer en coulisses cette femme plus toute jeune, mais encore très désirable. Il détaillait les courbes de son corps soulignées par le maillot de bain. Mais c’était plus de la curiosité que du désir. Elle était la femme de son directeur, il était chargé de l’accompagner et le respect qu’il lui devait l’obligeait à marquer la plus grande réserve à son égard.

Un après midi, après une grande excursion ils s’étaient arrêtés avant de rentrer sur une de ces immenses plages situées au nord de la ville. Celle-ci était à peu près déserte, juste quelques pêcheurs suivaient la rive en tirant leurs lignes. Martine a plongé, fait quelques brasses puis est venue s’allonger sur le sable encore ruisselante d’eau. Elle aimait la morsure du soleil sur sa peau. Si elle avait pu, elle aurait ôté ce maillot une pièce trop pudique qui faisait écran entre elle et le soleil. Mais il n’en était pas question, d’ailleurs l’idée en était folle, car elle n’avait jamais pratiqué le naturisme. Bien sur, en France à la plage elle se mettait seins nus mais elle arrêtait là. Il lui fallait donc se contenter de la chaleur bienfaisante à travers le tissus du maillot. Elle resta comme cela un moment, puis se retourna. Le visage enfoui dans la serviette, elle s’était presque endormie. Elle entendait le bruit des vagues qui la berçait. Elle sentait le sable chaud contre son ventre. Dans cet état, une chose étrange survint. Elle se sentit prise d’une extrême langueur. Une sensation de chaleur et de tension envahissait son bas-ventre, tendait le petit bourgeon de chair du clitoris. Elle était submergée sans même l’avoir voulu par une envie brutale de faire l’amour. Pas un besoin de tendresse, mais une impériosité, une envie presque masculine de jouir vite, comme pour se libérer. Cela lui était déjà arrivé, et elle avait à chaque fois dû trouver la paix dans une masturbation salvatrice. Mais là c’est d’autre chose qu’il lui faut. Quelque chose de dur, de viril. Quelque chose qu’elle sentirait vivre, vibrer en elle. Ses tempes battaient très fort, son cœur se déchaîna dans sa poitrine, elle sentit son sexe s’ouvrir, sa vulve qui libérait une source humide. Elle se redressa. Rachid était là assis à quelques pas d’elle, il la regardait. Elle s’entendit dire comme dans un rêve:
-j’ai envie que vous me fassiez l’amour!

Elle s’était avancée vers lui tel un automate, les jambes tremblantes, étonnée encore de ce qu’elle venait de dire. Non ce n’est pas elle, Martine, la femme si sage habituellement. La Martine si pudique, presque timide parfois. Non c’est une autre qui s’avançait vers le jeune homme.

À son approche il s’est levé. Elle est presque contre lui. Au moment ou elle va le toucher, elle prend conscience de ce qu’elle va faire, trop tard, Rachid lui a pris la main, elle n’a plus la force de résister. Il l’entraîne vers les dunes qui bordent la plage. Il la fait s’allonger sous un buisson de mimosa. Elle le regarde faire comme hypnotisée: Il déboucle sa ceinture, baisse la fermeture de sa braguette et dans un seul mouvement fait glisser pantalon et slip. Elle regarde la verge dressée qui émerge d’une touffe noire et frisée. Une verge longue, épaisse, légèrement arquée. Le gland lui semble une pointe de flèche dirigée vers elle, la pointe d’une flèche qui va la transpercer. Sans un mot, sans préliminaires, il se couche sur elle, la recouvrant de tout son corps. Elle ne peut résister, docilement elle ouvre les cuisses, de ses bras elle étreint l’homme. Maintenant elle n’a plus peur, elle le désir, elle le veut tout entier en elle, elle veut qu’il la pénètre. Elle presse son ventre contre le ventre de Rachid. Il a écarté l’entrejambe du maillot de Martine. Ses doigts ont touchés son sexe humide, ont fouillé son intimité. Le pénis cherche son chemin. Comme il tarde, c’est elle qui le prend et l’introduit entre ses lèvres. La saillie s’enfonce en elle, lentement, voluptueusement. Elle ferme les yeux pour profiter au maximum de la pénétration tant désirée. Elle se concentre sur le va-et-vient que son jeune amant anime avec ses reins. Son vagin se contracte pour enserrer le pilon qui l’a rempli. Ses seins se durcissent. La crainte d’être surpris augmente le plaisir. Cette peur interdit aussi aux deux amants de se déshabiller entièrement: leur amour sera furtif, rapide, brutal.

Leur union ne sera qu’un coït sans tendresse ou chacun d’eux ne cherchera que le plaisir charnel. Comme il accélère les mouvements du phallus dans son vagin, elle s’accroche aux fesses du jeune homme. Les fesses de Rachid sont musclées, à chaque coup de boutoir elle sent la nervosité de ce cul qui se tend pour elle. Elle se cambre, se presse contre la hampe qui coulisse en elle. Le frottement du membre contre les parois de son vagin et la pression de celui-ci sur son clitoris la font vibrer. Elle ramène ses jambes vers sa poitrine pour que la pénétration soit encore plus profonde. Elle halète, se tend, ses ongles labourent les flancs de l’homme. Lui son instinct de mâle lui dit qu’elle va jouir, il la pilonne encore plus fort. Chocs des pubis. Les haleines se mélangent. Ils se lancent à l’assaut l’un de l’autre. C’est l’explosion elle est bousculée par un raz-de-marée orgasmique, c'est à peine si elle à la présence d'esprit de lui crier: "Non pas en moi!" tandis qu’il éjacule.
En rentrant, j'ai trouvé ma femme dans la salle de bain. Martine était nue, elle venait de prendre un bain, et rinçait son maillot.
- Tu as passé une bonne journée, lui ais-je demandé?
- Exellente me répondit-elle en rougissant.
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par xavmart
#64333
Merci pour vos mots laissés.
La suite dans quelques jours. :D

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