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par manukib56
#1989060
(…)

Nous avons passé la nuit collés l’un contre l’autre comme un nouveau couple d’amants. En position fœtus, il était derrière moi collé contre moi, m’enlaçant de son bras. Nous étions totalement nues.

Céline fit irruption dans la chambre et nous trouva ainsi lovés l’un et l’autre.

« Et bien là, tu vois, je rentre dans la chambre et je les trouve enlacés comme de jeunes amoureux. Je peux te dire que je les ai entendus couiner cette nuit. »
Elle était au téléphone.

« Ils ont dormi à poils. Si si je te jure, je les vois je suis devant. » Elle alla tirer la couverture.
« Et je peux même te dire que mon cher Bertrand est bien en forme ce matin ! »
L’érection du matin de Bertrand était difficilement dissimulable.
« Oui oui je te la passe. »

Encore endormie, Céline me passa le téléphone. Dans une voie roque je m’adressai au combiné.

« Oui allo ? »
« Chérie ? C’est Jean Pierre. Ça va ? Je venais aux nouvelles ? Tu as passé la nuit avec Bertrand à ce que m’a dit Céline. »
A moitié endormie je lui répondis succinctement « Mmh » je sentais dans sa voix une certaine gêne. Etait-il en train de regretter de m’avoir faire connaitre ce couple ?
« Et ça va cela c’est bien passé ? Ils ont été gentils avec toi ? »
« Mmh » pendant que Jean Pierre me parlait la main de Bertrand me caressait le corps. Sa main qui m’enlaçait empoignait mon petit sein gauche.
Sa main glissa entre mes seins et descendue au niveau de mon ventre et vint toucher mon entrejambe. Son doigt vint délicatement toucher mon petit bouton et le massa dans un mouvement circulaire. Mon souffle s’accentuait au rythme de ses caresses, de petits gémissements faisaient échos dans le combiné.
« Manue ça va ? »
« Il est en train de me caresser. C’est bon … J’aime ses caresses, il est si doux. Oh mon chéri si tu savais comme j’aime être dans ses bras. Je sens son sexe durcir. Il est derrière moi. » J’en rajoutai volontairement pour accroitre la jalousie naissante de mon conjoint. Mon amant semblait excité par la scène.

Son sexe se faufila entre mes fesses et vint trouver mon sexe. Son doigt laissa la place à sa verge.

Il allait lentement, il rentrait et sortait son sexe.
« Oh mon chéri !! Il est en moi. Il me baise. Mmmh je sens sa queue me pénétrer. Elle bonne sa queue. »
« Ma chérie … »
« C’est tellement bon … Il augmente le rythme. Il commence à me baiser fort. Oh je crois que je vais jouir. Mon chéri, il est ton copain est en train de me faire jouir. Ohh oui c’est bon … »
Bertrand se sentait pousser des ailes. Sa cadence était marquée il voulait aussi montrer à sa femme de quoi il était capable.
Il ne put se retenir plus longtemps et dans un cri sourd éjacula en moi.
« Oh lui aussi il jouit. »
« Il est en toi ? »
« Oui, il m’inonde. Je sens son foutre chaud me remplir. Comme c’est bon…. » Je raccrochai.
Céline semblait amusée de la tournure que prenait notre petit jeu. Mais si elle n’était pas non plus sans une petite pointe de jalousie par notre ébat amoureux.
« Va à la douche. Prépare-toi et rejoints nous en bas pour le petit déjeuner. Nous allons t’expliquer le programme de ta journée. ».
(…)
par manukib56
#2014364
(…)

Sortie de ma douche, je retrouvai le couple en bas attablé au petit déjeuner.

« Comment as-tu trouvé Thierry et Marion, hier soir ? » m’interrogea Céline.
« Très sympathique, comme je disais à Bertrand hier soir. »
« Ah vous avez réussi tout de même à discuter » lança-t-elle à son conjoint, amusée.
« Tu vas les rejoindre ce midi. Ils sont partis passer le week-end sur la presqu’île de Crozon. Je t’ai noté le téléphone de Thierry sur ce post’it. Une fois arrivée là-bas tu l’appelleras et il te donnera ses directives. »

Intriguée par ce qui m’attendait j’avais du mal à me concentrer sur le reste de la discussion.

Il était venu pour moi le temps de quitter mes hôtes. Au volant de ma voiture je faisais route sur Camaret sur mer.
Le temps était gris et pluvieux. J’augmentai le chauffage dans ma voiture. Cette atmosphère lourde, cela ne m’aidait pas à me détendre.

Après un peu plus d’une heure et demie de route, j’arrivai enfin dans ce petit port breton.
Garée, j’appelai Thierry pour connaitre ma mission. Ma voix était tremblante au téléphone.

Il me demanda de me rendre à l’hôtel qui était sur le Port. De monter directement chambre 105. Il y serait.
Je frappai à la porte, il m’ouvrit.

« Entre Manue. Content que tu sois venue. Marion est sortie pour faire une course. Nous avons très peu de temps pour te préparer. J’ai tout mis dans la salle de bain. Prépare-toi vite et je t’explique tout. »

La rencontre fut brève cela faisait à peine deux minutes que j’étais arrivée que me voici parquée dans la salle de bain. Par terre un sac de voyage jonchait sur le sol, je compris qu’il était à ma destination. Je l’ouvris et découvris un ensemble de lingerie noire, une paire de bas, une paire de chaussures noires à talons et surprise !!!! Un gode ceinture. Jamais je n’avais vu cela auparavant. Cet élément phallique en plastique était noir et comprenait une ceinture nylon pour l’accrocher autour de la taille. Et comme un gilet de sauvetage une sangle sous cutale venait maintenir stable cette protubérance.

Je me déshabillai, et m’habillai du mini string, du corset noir. Venait ensuite les artifices : porte-jarretelles, bas, talons.
Une fois n’ai pas coutume je me maquillai pour l’occasion.

« Tu es magnifique comme çà. Tu pourras attacher tes cheveux aussi ? » Thierry avait entre-ouvert la porte pour venir constater de l’état d’avancement de ma préparation

A l’aide d’un élastique je tirai mes cheveux en arrière dégagea ainsi ma nuque et me donna un côté un peu austère

« Parfaite. Bon pour faire bref, car Marion devrait arriver d’une minute à l’autre maintenant. Je voudrai ouvrir un peu l’esprit de Marion et l’amener comme toi à un certain lâcher prise sur le volet du sexe. Mon fantasme serait de la voir coucher avec un autre homme. L’entendre jouir sous les assauts d’un autre. Elle a un fort potentiel j’en suis sûr et ne demande qu’à éclore. »
« Mais pourquoi faire appel à moi ? Je suis une fille ! Vous dites vouloir voir un homme avec elle. »
« Oui je sais. Mais je pense qu’avec une fille c’est déjà une première étape moins traumatisante. »
Je commençais à comprendre l’utilité du gode ceinture.

Il l’entendit passer sa carte dans la porte, Marion était arrivée. Il me poussa vite dans la salle de bain pour me cacher le temps de mettre en condition sa petite protégée.

« Ah ma chérie, alors tu as trouvé ? »
« Oui y’avait une petite superette d’ouverte, j’ai trouvé une bouteille de champagne. Par contre en verre, je n’ai trouvé que des coupes en plastiques. »
« Ça fera l’affaire ! T’inquiète. »
« En tout cas c’est super mignon comme petit Port. Tu as bien fait de nous y amener. »
« Tu sais chérie, ce soir je voudrai que ce soit une soirée inoubliable. » Tout en débouchant la bouteille de champagne Thierry essayait d’amorcer la chose avec la plus grande délicatesse.

La bouteille débouché il servit le précieux liquide dans une flûte, puis une deuxième, et enfin une troisième.

« Mais, tu es dans la lune tu viens de servir dans une troisième coupe ? A moins que nous attendions du monde mais je ne vois que nous deux mon chéri ici ! » S’amusa Marion.
« Et si une troisième personne venait nous rejoindre, ça te dérangerait ? »
« Que veux-tu dire par là ? »
« Tu sais je t’ai déjà parlé de çà. Avec mon ex, nous avions comme qui dirait une sexualité un peu plus cool et moins sur la retenue. »
« Pourquoi tu ne te plais pas avec moi ? »
« Si, bien au contraire. Je me sens tellement bien avec toi que j’en veux plus. Je voudrai te voir jouir plus souvent. Tu sais hier quand nous sommes allés dîner chez Bertrand et Céline ? Je voulais te montrer qu’en vivant ce genre d’expériences cela pouvait renforcer la complicité de couple. La preuve en est avec Bertrand et Céline. Je t’en ai souvent parlé. Tu te souviens aussi de la jeune fille qui était chez eux ? »

« Comment l’oublier, ça n’est quand même pas courant d’être invité chez des gens et être servi par une gamine complètement nue »
A sa voix on entend un certain agacement. J’essayai de ne pas faire de bruit bien cachée dans la salle de bain.

Ils restèrent discuter ainsi un long moment. Thierry prêchant le pour et Marion campant sur la réserve.

J’entendis enfin mon prénom. Thierry m’invita à rentrer dans la chambre. Habillée en sous vêtement portant à la main un gode ceinture. Je fis une nouvelle fois mon effet devant cette femme.

Une coupe de champagne m’attendait. Assise sur le lit coupe à la main, je m’assieds à mon tour à côté d’elle. Thierry restait debout, ne cessant de tchacher. Le stress de la situation ne lui avait en tout cas pas coupé la parole.

Le champagne et ses fines bulles commencèrent à me fait l’effet escompté. Le contact passait bien avec Marion. Elle était gentille, douce. Au fil de nos discussions je m’approchai doucement. Nos épaules sont maintenant affleurantes. Thierry est spectateur de ce qui est en train de se passer sur le lit de cette chambre d’hôtel. Je tente un premier baiser dans le cou, la jeune femme ne semble pas hostile. Ma main se pose sur la cuisse et je l’embrasse à nouveau mais de manière plus marquée.

Mon baiser est plus appliqué et son visage se tourne. Elle m’embrasse. Nos lèvres se touchent. Je sens ses épaules se détendre. Elle ouvre délicatement sa bouche pour accueillir ma langue qui vint s’entrechoquer avec la sienne. Le baiser est langoureux et extrêmement sensuel.

Thierry est bouche bée devant cette scène improbable il y a encore quelques minutes. Ma main remonte sa cuisse et le plus délicatement possible vint d’abord sur son ventre et remonte jusqu’à son sein. Je la sens fébrile mais elle se laisse faire.
Elle s’habitue petit à petit à mon toucher, à mon baiser. Je saisis son habit et le fait passer au-dessus de sa tête. Elle porte de la lingerie raffinée, en dentelle.

Je lui dégrafe son soutien-gorge et doucement fit tomber ses bretelles une à une. Elle avait une poitrine aussi menue que la mienne. Ses seins étaient d’une toute beauté, arrondie, ferme avec une douce auréole rose où pointait légèrement un petit téton. Son sein gauche était délicieusement habillé d’un petit grain de beauté.

A son tour elle osa enfin me toucher, sa main caressait le dessus de ma poitrine, encore caché par mon bustier. Je le dégrafai à mon tour, pour lui donner l’entier accès. C’est sa bouche qui vint la première s’y poser dessus. Sa langue pudiquement vint jouer avec mon téton lui aussi durcit par l’excitation du moment.

Elle m’avoua enfin dans un murmure que je suis la première fille qu’elle embrasse et touche ainsi. J’en suis tellement flattée.
Nous nous lovions donc toutes les deux découvrant une à une nos corps respectifs. Marion était belle, fine, élancée. Ses formes étaient harmonieuses et son grain de peau pastel invitait à la caresse.

Je lui déboutonnai son pantalon et dans un mouvement très lent le fit descendre le long de ses jambes. Sa culotte était assortie à son haut. Une jolie lingerie dentelée cachait son petit triangle. Ma main la caressait par-dessus le tissu. Je ne voulais en rien brusquer quoi que ce soit. Mon doigt se glissait entre ses lèvres. Le voile de dentelle qui frottait contre son sexe s’humidifiait à chaque passage, sa respiration se faisait plus saccadée, son baiser était plus intense. Elle ne se décollait plus de ma bouche de peur de laisser s’échapper le moindre gémissement.

Ma main agrippa l’élastique de la culotte et le plus délicatement découvrit le fruit défendu. Son sexe apparaissait maintenant à moi. Il était minutieusement épilé, seul un petit trait à peine plus large que mon doigt dessinait l’échancrure de son sexe.
Elle était maintenant totalement nue. Je l’allongeai sur le lit. Je m’allongeai sur elle et l’embrassa fougueusement. Ma bouche quitta la sienne pour venir dans son cou, de son cou je descendis à sa poitrine, embrassa ses seins, puis son ventre. Pour venir au niveau de son bassin, et doucement son entre jambe.
D'abord le dessus de son sexe, les abords de sa vulve. Ses jambes s’écartèrent très lentement, m’invitant à venir la goûter. D'abord des baisers furtifs, puis plus appliqués. Vint alors ma langue qui se posa sur ses lèvres inférieures cherchant son petit bouton.
Il était là, mon petit bout de langue le trouva, le toucha, le titilla. Cela déclencha chez elle un électro choque, son bassin décolla du matelas, ses mains se crispèrent sur la couverture, sa tête bascula en arrière et un petit sorti enfin de sa bouche. Elle venait totalement de lâcher prise. Plus rien n’avait d’importance maintenant que son plaisir.

Ma caresse buccale s’intensifia, ma langue jouait maintenant avec son sexe. D’abord un doigt puis très vite un deuxième entrèrent dans son sexe. Nous restions ainsi un très long moment. Ses gémissements à peine perceptibles au début donnèrent place à de véritables petits cris de plaisir maintenant.

Thierry restait en retrait, contemplatif. Il savourait ce moment tant désiré.

Je lui murmurai à l’oreille que j’avais envie de lui faire l’amour comme un homme. Je m’apprêtai du du gode ceinture. Cette protubérance noire était de très belles dimensions, que ce soit dans la longueur mais aussi dans la largeur.

« Viens me prendre en bouche, comme tu prendrais un homme en bouche ! »

Elle s’agenouilla. Intimidée par la situation, elle essayait de ne pas croiser le regard de son chéri. Elle savait qu’elle était en train de glisser vers quelque chose de nouveau mais ne souhaitait pour l’instant se rattacher à quelque chose. Elle savourait cet instant sans trop se poser de questions.

Agenouillée devant moi, elle me regarda avec insistance recherchant un peu de complicité et d’assurance. Ma main saisit sa tête, d’une douce caresse je l’amène sans forcer à ma verge plastique.
Elle entrouvre ses lèvres et fit glisser l’objet dans sa bouche. Elle ferma les yeux pour sans doute s’imaginer qu’il s’agissait d’un vrai sexe. Mais l’illusion et la magie n’opéra pas.

Elle eut un recul franc.

« J’y arrive pas je suis désolée. Me mettre ce truc en plastique pensant être le sexe d’un homme, non franchement je n’y arrive pas ! »

(…)
par manukib56
#2018681
(…)

Elle était désolée de pouvoir continuer, mais cela était vraiment trop difficile pour elle. Cette mise en scène était trop brutale. Même si l’excitation était bien présente la situation l’incommodait trop.

Thierry la rassura sans porter de jugement. Il lui montra comment il était fier d’elle, à quel point il avait aimé la voir prendre du plaisir avec une personne que lui.

Mais il savait qu’il ne fallait pas s’arrêter là, la barre était franchie et un retour en arrière serait irréversible.
Tout en rassurant sa compagne, il ouvrit son pantalon. Le baissa pour en sortir son sexe déjà durcit par la scène qu’il avait assisté au premier rang.

Restée agenouillée tout ce temps, elle était prédisposée à pouvoir prendre son homme en bouche. Mais l’envie n’y était peut-être plus si intense.

Avec quand même une certaine délicatesse Thierry su se montrer insistant et plaqua son sexe contre les lèvres de son amie. Doucement il força sa bouche. Sa main retenait sa tête pour s’assurer qu’elle ne recule pas devant cette intrusion. Contrainte à le sucer, elle se laissa faire et ouvrit machinalement sa bouche suffisamment pour que la verge en érection s’y engouffre.
Elle resta très passive devant cette fellation imposée, Thierry prit par l’excitation était plus occupé à lui baiser la bouche qu’à se soucier du plaisir de sa chérie.

Je m’agenouillai derrière elle, passa mes mains devant pour lui saisir ses seins. Je lui embrassai le creux du cou et ses épaules pour essayer de donner un peu de sensualité à cette situation.
Mes bisous de compassion devaient faire leur effet, car je sentais une sorte de petit frisson sur le dessus de sa peau. Un mélange de chatouille et de plaisir agréable.

Thierry était très excité par cette situation où enfin il commençait petit à petit à pouvoir profiter de sa belle comme il l’entendait.
Cette fellation imposée, agrémentée de ma présence, l’amenaient doucement vers le vice. Elle commençait, sans réellement s’en rendre compte, devenir la petite soumise de ce monsieur. Elle allait comprendre que l’excitation de son homme allait devenir pour elle sa seule préoccupation.

Thierry poussait toujours un peu plus sa verge dans la bouche de sa demoiselle. Sa main agrippait maintenant fermement ses cheveux. Jamais auparavant il ne s’était fait sucer de la sorte. Tellement excité qu’il en oubliait ses codes de bonne conduite. Il sortit sa queue de la bouche et biffla pour la première fois Marion.

« Tu vas voir, on va te faire aimer la bite ! Ta bouche je vais te la baiser, comme on va te baiser après. Allez prends ma queue et suce moi ! »

Marion stoppa nette sous les coups de bite que lui affligeait son compagnon, d’ici là, toujours très courtois et attentionné envers elle. Elle découvrait le nouveau visage de Thierry.

Terriblement intimidée et aussi un peu apeurée, elle n’ose dire quoi que ce soit. Elle baissa les yeux et reprit le sexe en bouche. Elle manquait à chaque fois de s’étouffer tant cette bite s’enfonçait plus profondément. Il lui malaxait les seins comme jamais il ne l’avait fait avant. Il était devenu viril et insistant.

Il me fit signe de me tenir prête. Je saisi mon attirail et m’harnacha le gode ceinture autour de la taille.
« Allez, tu vas te faire baiser maintenant ! Tu n’attends que çà hein ? Qu’une bonne grosse bite vienne te baiser. Mais aujourd’hui ce ne sera pas la mienne. Tu vas voir je vais te faire aimer celles des autres aussi. »

Il dégagea son sexe de sa bouche. Elle ne répondit pas. Il appuya sur ses épaules pour lui faire comprendre qu’elle devait se mettre à quatre pattes à même le sol. Jamais avant cela elle n’avait été mise dans cette situation. A genoux derrière elle, appariée de mon sexe en plastique, je posai mes mains sur ses hanches. Avec ma main droite je guidai la verge vers ses lèvres inférieures et le plus doucement possible entama la pénétration. Son visage était baissé face au sol, honteuse d’être dans cette situation.

« Tu la sens ma chérie, cette queue qui est en train de te baiser. Comme tu es belle ! Vas-y ma chérie prend le plaisir où il est. Enlève toute la culpabilité que tu peux ressentir, vis ce moment. »

Pendant qu’il était en train de l’encourager, je commençai à mon tour mes vas et viens. Je sentais au fur et à mesure moins de résistance, l’outil coulissait de mieux en mieux. Son plaisir était en train d’inonder son sexe et favorisait le glissement du jouet en plastique.

Des tous petits gémissements à peine perceptibles commençaient à se faire entendre. Son front se décolla du sol. J’accélérai la cadence. Ses cris devinrent plus audibles. Elle se redressa sur ses bras et commençait à suivre mes battements par son déhancher.

« Oh oui ! »

D’un mouvement de rein bref elle s’enfonça le gode jusqu’à la garde. Elle était maintenant bien prise par celui-ci. Elle releva sa tête pour regarder enfin Thierry, qui lui répondit par un sourire.

Il était aux anges de la voir ainsi petit à petit prendre véritablement conscience du bien fait de cette nouvelle expérience.
Excité au plus haut point, il s’avança devant elle, l’embrassa avant de présenter son sexe à nouveau pour se faire prendre en bouche.

La belle Marion le prit aussitôt entre ses lèvres tandis que je continuais ma chevauchée. Elle le suça cette fois si avec beaucoup de vigueur. Il n’avait plus besoin de lui tenir la tête ni même de forcer pour l’infliger de tout prendre son organe en bouche.
Elle était totalement métamorphosée. Dans un état second, enivrée par le désir et le sexe. Jamais elle n’avait fait cela avant mais tout lui venait d’instinct. Sa langue le lécher comme jamais. Elle venait elle-même tapoter sa langue avec le sexe qu’elle tenait en main.

Tout en prodiguant une fellation hors norme à son ami, c’était maintenant elle qui tenait la cadence de la pénétration. Dans un mouvement de balancier elle venait elle-même coulisser le long du gode.

Je me retirai pour venir m’allonger sur le lit. Elle passa au-dessus de moi, accroupie au-dessus du gode, elle le prit en main pour venir se l’introduire elle-même. Hissée sur ses jambes elle commença ses montées et descentes. Ses seins remuaient à chacun de ses mouvements. Elle les prit même en mains pour se les malaxer. Thierry monta sur le lit et profita une nouvelle fois pour se faire sucer. Plus rien ne pouvait l’arrêter. Ses cris étaient maintenant très marqués, elle jouissait au-dessus de moi. A entendre sa voix, on croirait même qu’elle n’ait jamais connu avant tel plaisir.

Sa main branlait énergiquement le sexe de Thierry, tout en s’afférant à le sucer avec insistance.
Thierry la pelotait en même temps et s’avouerait ce moment magique. Lui aussi sentait monter en lui le plaisir.
Jusqu’à aujourd’hui il avait toujours jouit en elle. Jamais il n’aurait osé lui jouir sur le corps et encore moins dans la bouche. Mais cette fois c’était différent, il comptait bien profiter de cette occasion.

Il sorti son sexe de la bouche de Marion. Tout en la complimentant, il se masturbait juste à côté d’elle.

« Oh ma chérie, comme tu es belle ainsi, pleine de plaisir. »
Il approcha son sexe juste au-dessus d’elle. Elle le regardait avec inquiétude ne comprenant pas trop ce qu’il était en train de faire.
« Oh ma chérie, regardes comment tu me fais jouir. » De son sexe sorti un jet de sperme qui vint s’étaler sur ses petits seins. Le liquide était épais et en quantité.

Il continuait à se branler tout en déversant son foutre chaud sur sa peau. Il l’étalait à mesure sur la poitrine.
Une fois terminé, il releva la tête de Marion et l’embrassa fougueusement. Ils avaient totalement fait abstraction à ma présence.
Je quittai donc la demoiselle et alla à la salle de bain laissant les deux tourtereaux reprendre leurs esprits. Je les entendais discuter.

L’heure était venue au débriefing. L’excitation retombée c’était maintenant un petit sentiment de honte et d’incompréhension qui était en train de reprendre le dessus. Thierry faisait tout en sorte de rassurer Marion.

« Mais pourquoi m’as-tu éjaculé dessus ? »
« N’as-tu pas aimé ? »
« Je sais pas »
« En tout cas moi ca m’a beaucoup plus. J’ai aimé aussi te voir prendre du plaisir avec Manue. Tu aimerais qu’un autre homme prenne sa place un de ces jours ? »
« Je ne sais pas … »

Je quittai la chambre le devoir accompli et heureuse d’avoir pu contribuer à ce bonheur.
par manukib56
#2020433
L’accompagnatrice.

Un mois après ma petite escapade sur la presqu’île de Crozon, Thierry contacta Jean-Pierre pour lui faire part de son immense gratitude. Et que sans son aval et ma participation à ce rendez-vous jamais il n’aurait pu franchir ce cap avec Marion.
Ils restèrent un long moment au téléphone à échanger leur point de vue et conseils pour bien réussir cette transition.
Thierry ne manquait pas d’éloges envers moi qui ravissaient l’égo de mon homme. Et ne voulait pas s’arrêter en si bon chemin dans l’éducation sexuelle de son amie. Aussi il demanda la permission à mon homme de pouvoir une nouvelle fois avoir recours à mes services.

Le projet qu’il comptait à nouveau mener serait porté par Céline. Après avoir beaucoup discuté avec Marion, il s’avèrerait que Bertrand répondait pleinement aux critères de l’homme avec qui elle s’imaginerait bien cocufier son partenaire. Mais toujours autant sur la réserve quant à ce passage délicat, elle évoqua que la présence ma présence lui permettrait peut-être de la rassurer.
Jean Pierre était mitigé sur cette sollicitation, autant il trouvait çà important pour mon épanouissement d’attiser toujours ce désir sexuel autant il commençait timidement à ressentir une forte jalousie envers Bertrand, avec qui je commençais à prendre du plaisir non dissimulable.

Pour mon petit sexagénaire, cela devenait dangereux de me laisser continuer mais à contre cœur il accepta.

C’était donc Céline qui avait l’entière responsabilité de l’organisation de cette nouvelle rencontre.

Deux semaines après ce coup de téléphone, Jean Pierre m’annonça que nous serions pris ce week-end. Céline aurait réservé quelque chose près de Carnac et que nous étions conviés. Thierry et Marion seraient bien entendu de la partie.

Pour cela, je devais m’y rendre avant pour les « préparatifs » comme le disait Jean Pierre.

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