- 13 oct. 2014, 19:05
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Madame la Directrice 2
Mercredi 02 avril 2014 – 12h00
Encore du mal à me faire à l’idée que j’allais devenir d’ici quelques jours la femme en charge de cette agence. Je serai totalement arbitre de mes décisions et pourrai mener mes dossiers comme il me semble. Depuis l’annonce de Marc, je restais un long moment assise derrière mon bureau, totalement nue avec encore le gout en bouche de mon patron, à prendre conscience de ce qui était en train de m’arriver. Mes idées fusèrent, et s’entre choquaient. Comment allait réagir Frédéric face à cette nomination ? Où était clairement ma vie ? Avec lui, avec Marc ?
Je l’aimais profondément, et si nous n’avions pas connu l’histoire avec mon ancien propriétaire est ce que tout ceci aurait eu lieu ?
J’étais perdue, j’avais des choix à faire. Ces choix allaient guider ma vie future et m’orienter vers de nouveaux horizons.
Je m’accordai une petite pause dans ma réflexion et adressa un petit sms à Emilie.
« Rends toi disponible ce midi pour déjeuner avec Marc et moi, on a une annonce à te faire. »
Je commençais inconsciemment à rentrer dans mon rôle en adoptant un ton impératif dans le texto à Émilie.
Midi, Marc vient toquer à ma porte.
« Tu vas t’habiller et on va manger. Je ne dois pas trop trainer je file en clientèle après. Tu as eu Emilie ? »
« Oui, je lui ai envoyé un texto. Je vais me préparer. »
Hâtivement je vais donc m’isoler dans la salle de pause pour me vêtir de mon habit de ville, un bref passage devant le miroir pour me faire un semblant de beauté et me voici prête pour aller déjeuner.
Marc m’attendait au niveau de la porte et m’invita à mon monter dans sa voiture.
« On va dans notre petit resto près du port ? »
« Oui j’ai dit à Emilie de nous y rejoindre directement. »
La jolie jeune rousse nous y attendait un peu anxieuse par l’annonce qu’on allait lui faire. Elle ne savait pas du tout de quoi cela en résultait.
Elle s’était préparée à la va vite et était habillée dans la tenue d’étudiante. Jean moulant et petit pull qui camouflait sa toute petite poitrine.
Marc lui raconta tout et lui proposa la possibilité de l’embauche en prenant bien sur en compte ses études. Et que nous ferions tout pour aménager au mieux son emploi du temps pour qu’elle puisse ne pas délaisser ce qui nous paraissait être très important : le scolaire.
« Par contre, comme Manue devient ta directrice tu seras donc aussi sous ses ordres mais pas seulement au boulot. Tu vas quitter ton appartement et venir t’installer dans celui de ta directrice au titre de fille à tout faire. Ai-je bien été clair par « fille à tout faire » ? Tu me seras toujours soumise mais Manue maintenant a entière disposition sur toi aussi. »
Un regard s’échangea entre nous deux. Je m’efforçais de ne laisser paraître aucune émotion sur mon visage pour bien lui faire comprendre qui j’étais devenue.
Le déjeuner se poursuivit, tout de même pris à la hâte. Marc avait rendez vous et moi je devais me rendre chez le garagiste pour ma nouvelle voiture !!
« Emilie ? »
« Oui, Manue ? »
« Je file chez Audi pour ma nouvelle voiture je devrais en avoir tout au plus pour une heure. Prends les clés de l’agence et attends-moi. »
« Entendu »
15h30 :
Je sors de chez le concessionnaire Audi. Ma voiture de leasing était réservée, j’ai craqué sur l’audi A1 de couleur rouge. Ma couleur du moment. Trop hâte de la conduire. C’est la première fois que je vais conduire une voiture neuve.
J’arrive donc à l’agence, et pousse la porte d’entrée.
« Emilie ? »
« Oui je suis dans la salle d’archives ! »
Elle arriva dans le hall et à ma grande stupeur totalement habillée.
« Ah non mais attends, tu fais fausse route ! Ce n’est pas parce que Marc ne gérera plus l’agence que les règles doivent changer. Tu vas me retirer çà tout de suite et tu me rejoints dans le bureau de Marc » Je sentais bien que mon ton hautain l’agaçait, mais je me devais d’être ferme le plus rapidement possible pour entrer parfaitement dans mon rôle de femme dirigeante.
Je l’attendais dans le bureau de Marc. Cinq minutes passèrent avant que je la vis arriver toute penaude dans la pièce.
« Bon c’est mieux comme çà ! Tu feras aussi un effort sur ton épilation. Bon le bureau de Marc va devenir le mien à compter d’aujourd’hui. Je voudrai donc que tu m’aides à faire le déménagement. Tu prendras mon bureau. »
« Mais pour l’accueil ? »
« On avisera. Je t’aménagerai des créneaux horaires d’accueil et d’autres d’assistanat. On va trouver une solution, je ne suis pas inquiète »
Elle s’apprêtait à sortir du bureau quand …
« Attends un peu avant de partir » debout devant elle, je commençai à déboutonner mon chemisier, ouvrir la fermeture éclair du coté de ma jupe. Ma lingerie était faite de dentelle et avait une ressemblance frappante avec la nouvelle couleur de ma voiture. Je dégrafai mon soutien gorge et retira mon petit shorty.
« J’aime bien cette coutume de travailler nue ! Par contre je n’aurai plus besoin de cela. »
Délicatement j’écartai mes jambes pour venir y glisser ma main entre mes cuisses. Un doigt puis un second viennent fouiller mon sexe pour en extraire l’œuf vibrant que j’avais pour obligation de porter pendant mes heures de bureau.
« Il t’en revient la charge maintenant de le porter à chaque fois que tu seras au bureau. Je ne tolérerai aucun manquement. Ai-je été claire ? »
« Oui Manue »
« Madame ! »
« Oui Madame » elle saisit l’objet qu’il lui était tendu et se l’inséra devant moi.
« Très bien tu peux disposer »
Marc avait eu la gentillesse de me laisser la télécommande, j’avais continué à mettre l’œuf vibrant tout ce temps par peur de représailles mais cela faisait un moment qu’il ne l’avait mis en action. Je comptais bien lui faire reprendre du service.
Je savais ce qu’il pouvait provoquer comme effet. Je voulais en avoir le cœur net. J’actionnai donc le petit bouton et augmenta le potentiomètre quasiment au maximum de sa graduation.
J’entendis dans le bureau mitoyen un petit cri suivi de quelques affaires qui tombèrent au sol. La jolie rousse venait de ressentir l’œuf vibrer dans son ventre. J’avais eu ce même effet de surprise.
Nous passâmes toutes les deux l’après midi totalement nues à faire des allers et venus d’un bureau à l’autre.
17h bien repu de notre après midi mais point moins satisfaites de nous, nous étions arrivées à bout de ce réaménagement d’agence.
« Quand est ce que nous devons aménager dans votre appartement Madame ? »
« Marc me disait peut être vendredi. Mais selon il n’y arien à prévoir. Il sera déjà entièrement meublé. Il a fait appel à un de nos gros clients qui est architecte d’intérieur afin qu’il gère tout l’agencement du loft. Bon et si on fêtait cela ce soir ? On appelle Audrey, Mathias et Fred et on leur donne rendez vous au Roscanvec. C’est moi qui invite pour une fois que je peux ! Tu te charges d’organiser çà et après tu peux rentrer. Ce sera bon pour aujourd’hui. »
Elle se retourna pour aller à son bureau et m’offrit une jolie vue sur son fessier. Dire que maintenant je pouvais en faire ce que je voulais.
20h30 –
Émilie s’était bien gardée de dire à mes invités le pourquoi de cette invitation si soudaine, et en pleine semaine.
C’est Mathias et Audrey qui arrivèrent les premiers accueillies par Émilie. Chacun avait fait un effort vestimentaire pour cette occasion et Audrey n’avait pas lésiné sur une robe moulante qui nous offrait une magnifique vue sur son corps voluptueux.
Frédéric arriva très peu de temps, lui aussi c’était mis sur son trente et un, et avait sorti la veste pour l’occasion. A ce moment nous continuions à nous voir mais notre relation commençait tout doucement à glisser.
Ne me voyant pas venir, ils décidèrent de s’installer. Ils étaient tous très interrogatif à l’égard d’Émilie essayant de glaner quelques infos. Mais la jeune étudiante se murait dans son mutisme.
Le suspense allait bientôt être levée je fis mon apparition dans le bar. Je m’étais fait belle pour l’occasion et à en voir les yeux ébahit de Mathias mais surtout de Frédéric, je devais faire mon effet.
Ma jupe était courte et la dentelle de mes bas se laissait facilement entrevoir à chacun de mes pas. Mon petit chemisier blanc n’était fermé que de quelques boutons et laissait entre voir un nouvel ensemble rouge caraco.
D’autres hommes d’affaires qui étaient en train de diner avaient fait l’effort de tourner leur tête en ma direction et me dévisageaient de manière alléchante.
Je sentais un qui était plus insistant sur mon fessier, où ma fine lingerie se faisait légèrement surprendre.
Ceci avait pour don d’agacer Frédéric, je m’installai donc à table et interpella la serveuse pour lui demander de servir à mes invités une bouteille de champagne.
« Et ben ma belle qu’est ce qu’il a de si particulier pour que nous ayons même droit à du champagne ? »
« Oh mon petit Mathias, c’est bien simple. Je viens d’être nommée directrice de l’agence à compter d’aujourd’hui midi. Et c’est donc tout naturellement que je voulais le fêter avec vous. »
Cette annonce déclencha une effusion de joie chez mes amis, tous contents de ma nomination. Pour eux cela était amplement mérité, et qu’il me connaissait mon coté sérieuse et travailleuse. Malgré tout ce qu’on pouvait penser sur Marc et ses pratiques peu orthodoxes cela en restait tout de même un homme d’affaires aguerri et très professionnel dans ses choix.
Mathias et Audrey étaient d’un enthousiasme partageur tandis que Frédéric était plus sur la réserve à l’annonce de cette nouvelle. Il savait que cette nomination pourrait avoir des conséquences sur notre couple.
Les questions de mes amis fusaient et me devait de répondre aux mieux. Je leur annonce aussi pour Emilie. Le repas était jovial et les bouteilles de champagne et de vins défilèrent sur notre table.
00h30 – Nous décidâmes enfin de sortir du restaurant. Nous ne pouvions pas nous laisser comme çà sur le trottoir d’un restaurant. L’appartement d’Émilie n’était qu’à quelques encablures d’où nous étions, Mathias avait réussit à négocier avec le restaurant pour acheter une dernière bouteille de champagne que nous allions boire chez mon assistante.
Nous étions tous les cinq bien éméchés et dans un état de franche camaraderie. Cela me donnait du baume au cœur de nous retrouver ainsi complices.
00h45 – Arrivée dans le hall de la résidence de chez Emilie, l’atmosphère prenait une tournure différente et l’alcool nous aidant. Frédéric par le pouvoir de l’alcool se décontractait et prenait le bon coté de la soirée en venant se lover à moi. A peine arrivé dans le hall devant la porte de l’ascenseur que ses mains baladeuses parcouraient mes hanches et venaient caresser ma poitrine. Devant ce spectacle Mathias voyait les choses plus en grand et quant à lui il se lovait à Audrey mais aussi à Emilie. Il les embrassait une à une chacune à leur tour.
La robe d’Audrey se levait au fur et à mesure que l’ascenseur descendait. Pour au final être totalement retirée. Elle se retrouva ainsi en string à la vue de tout le monde. Voyant cela je quittai Frédéric pour aller à sa rencontre et embrasser sa généreuse poitrine. Ma main foulait son petit bout de tissus restant pour venir titiller son petit bouton. Nous nous embrassions langoureusement.
« Emilie, va t’occuper de Frédéric. Ne le laisse pas planter là. »
Je voyais bien que ce n’était pas de cela qu’avait envie mon petit ami, mais peu m’importait. J’allais où mes envies me guidaient. Pendant que mon visage disparaissait entre les seins majestueux de ma copine, Mathias me tâtait les fesses au travers de ma jupe.
La porte de l’ascenseur s’ouvrit enfin, et nous y entrèrent. Ma jupe était maintenant relevée et mon fessier ainsi livré. Il écarta ma lingerie et inséra un doigt dans mon sexe.
« Pouahh ma parole t’es déjà dégoulinante ! » ni une, ni deux. Il déboutonna son pantalon, baissa son boxer et me pénétra par derrière.
« La vache, je ne t’ai jamais connu aussi pénétrable ! » Je ne pouvais lui répondre tellement occupée à caresser la langue d’Audrey avec la mienne. Ses coups étaient forts et intenses.
L’ascenseur arriva à destination et la porte s’ouvrit. Par chance le couloir était vide. Nous nous extirpions de la cabine mais la situation étant trop excitante il était encore trop tôt pour nous de rentrer dans l’appartement. Mathias me plaqua contre le mur et continua de me pénétrer sauvagement. Audrey s’accroupie à coté de lui et saisissait son sexe quelques secondes en bouche avant de revenir me pilonner. Elle profita aussi de l’occasion pour finir de déboutonner mon chemisier pour me le retirer, ainsi que mon joli soutien gorge. Ma petite poitrine ballotait maintenant dans le vide sous les assauts de mon ami viril.
Il se retira et voulu changer de partenaire, la situation l’excitait tellement qu’il était bien décidé à poursuivre nos ébats ici. Il s’allongea sur la moquette du couloir, Audrey le chevaucha, ne prit même pas la peine non plus de retirer son string, l’écarta seulement et viens s’empaler sur son sexe. Je m’approchai pour venir soutenir ses seins et l’embrasser. Je retrouvais enfin mes premières sensations de baise entre amis.
Frédéric était, quant à lui, sagement en train de se faire sucer par Émilie qui se tenait à genoux devant lui.
« Reste pas comme çà Emilie, tout le monde est déjà à part toi. Allez retire tout ! » elle marqua donc une pause dans sa fellation pour se déshabiller intégralement. Je pu constater qu’elle avait fait un effort suite à ma remarque du matin et s’était totalement épilé le sexe. Quand son petit abricot était ainsi chouailler cela lui conférait un corps de jeune fille à peine majeur. Sans doute accentué par sa toute petite poitrine.
Audrey me laissa la place et à mon tour je chevauchai le sexe de Mathias. Il me malaxait les seins de manière très forte, mes tétons en ressortaient tout dressés. C’était bien la première fois que je m’envoyais en l’air dans le couloir. La scène était assez burlesque, une partouze dans un endroit aussi public.
Frédéric assistait, enfin devrais je dire « subissait » la scène. Cela pouvait se lire sur son visage que ce n’était pas du tout çà qu’il espérait. Certes Émilie savait y faire en fellation, même qu’elle s’acharnait à lui offrir des gorges profondes.
C’était une sensation divergente, malgré toute l’affection que j’avais pour lui je ressentais plus le désir de devoir lui donner envie que de le satisfaire. Ca me faisait plaisir de le voir ainsi me désirer sans pouvoir me toucher et surtout de voir que je prenais mon pied en dehors de lui. Je sentais bien qu’au fond de lui il était en train de regretter de m’y avoir amené à cette libération sexuelle.
Mathias était heureux et n’avait qu’a disposer, Audrey et moi nous relayèrent chacune à notre tour sur son sexe en plein milieu de ce couloir.
« Putain je vais jouir les filles. »
Ni une, ni deux, Audrey se dégagea de lui et vint se mettre à genoux devant lui pour venir prendre sa giclée. A mon tour je viens me tenir prête aussi à recevoir le nectar. C’est dans la bouche d’Audrey qu’il éjacula, elle prenait garde de ne pas avaler et de garder la bouche bien ouverte pour tout contenir.
Quand il eu finit de se vider, j’ouvris ma bouche, elle se mit un peu au dessus de moi et fit couler de sa bouche l’épais liquide blanc encore chaud.
J’avalai tout d’une traite.
« Émilie, fais en de même avec Frédéric ! » Sous mes ordres elle accentua sa fellation et malaxant bien ses testicules pour faire monter un peu plus vite la semence. Même pas deux minutes suffirent pour qu’il à son tour éjacula. Émilie rampant sur le sol en prenant garde de ne rien perdre vint à sont tour me donner la becquée.
J’aimais son gout, il était sucré.
Nous rentrions enfin dans l’appartement où toutes les trois nous nous laissions aller à une belle relation lesbiennes.
Émilie était au centre de tout et nous en disposions comme bon nous semble. Je voulais lui offrir un bon moment et invita les garçons à l’honorer pendant qu’Audrey et moi étions sagement en train de nous caresser langoureusement tout en appréciant le spectacle.
C’est Mathias qui reprit de la vigueur le premier et commença à pénétrer la petite. Il la fit se mettre à genoux sur son clic clac, le torse reposant sur le dossier. Il lui écarta les cuisses pour venir tâter son petit orifice. Il avait décidé de s’offrir la primeur de son cul. Il s’efforçait de saliver sur son index et venir lubrifier tant bien que mal la petite partie rose.
« J’ai du lubrifiant dans la salle de bain. » dit elle
« Non t’inquiète t’es une grande maintenant. Tu vas bien pouvoir accepter ma bite comme çà. » Et il vint tout de suite présenter son organe. Il poussa le plus régulièrement et ne relâchait jamais sa pression. Son sexe gagnait du terrain et l’anus de la jeune rousse se dilatait suivant l’avancée. Sa poitrine se plaquait voire même se comprimait de plus en plus contre le coussin tellement Mathias y mettait tout son poids. Il était bien décidé à la sodomiser en seule fois. Il arriva çà à lui arraché un cri sourd preuve qu’il venait enfin de la transpercer. Son sexe tapait maintenant au fond. Il prit tout de même la peine de laisser couler un filet de bave entre son sexe et l’orifice ouvert de la fille et entama un va et vient. Tout d’abord doucement pour bien lui laisser le temps de s’ouvrir et une fois que le passage se faisait moins étroit, sa cadence accélérait. On entendait ses testicules claquer contre son vagin, avec ses mains il écartait bien l’entre cuisse de mon assistante pour ouvrir toujours un peu plus son petit cul.
Voyant que Frédéric était à nouveau opérationnel, il lui donna sa place. Sans grande conviction mon petit ami, obstrua de son sexe l’immense trou béant. Comme son sexe était plus petit que celui de son ancien camarade de classe, il s’engouffra s’en difficulté. Il commence non châlant un va et viens entre les cuisses.
« Putain mais Frédo qu’est ce qui se passe ? Mais baises là bon dieu. Défonce là ! »
Mathias le fit se retirer pour reprendre sa place.
« Regarde mon pote comment faut la secouer ! » Il pilonnait énergiquement Émilie, qui ne pouvait se retenir de crier sous les coups.
« C’est pas la première fois qu’on l’encule en plus. Allez vient on va la prendre en double »
Mathias s’assit sur le canapé et la fit monter sur lui, dos à lui. Se sentant bien serré dans son cul il continua à la prendre comme cela. Il lui écarta les jambes pour faire de la place à son ami et l’inviter à la baiser.
« Allez vient mon pote, sa chatte est encore toute fraiche. » docilement Frédéric investissait le sexe humide d’Émilie, qui ne savais plus où elle était tellement envahie par le plaisir. Mathias serrait très fort sa petite poitrine pour accentuer encore plus, l’effort sexuel.
Les deux hommes étaient en train de la violenter mais elle avait été à bonne école elle aussi. Et en plus d’avoir connu les idées de Marc, elle s’était aussi faite prendre par Jean Pierre. Et après avoir connu Jean Pierre, on est capable de tout accepter.
Le supplice de la double pénétration dura de longues minutes, quand ils sentirent qu’ils étaient sur le point de jouir, ils se désolidarisèrent d’elle pour la mettre au sol à genoux entre eux et chacun vint jouir sur ses seins. Malgré le fait qu’ils aient déjà éjaculé il ya quelque temps, leur foutre cumulé était suffisant pour bien napper ces deux protubérances.
C’est vraiment lors de cette soirée, que je me suis rendu compte d’où était ma place maintenant.