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par manukib56
#1585409
Son harem 4

Marie José fit redescendre Emilie de l’estrade pour la remettre à sa place. Vint le tour d’Audrey d’être pise par la laisse pour aller à son tour déambuler sur le strapontin.

« Mes chers amis, cette jolie brune n’est peut être pas la plus vieille des trois mais croyez moi c’est sans doute la plus expérimentée. Elle vient tout juste d’avoir vingt ans et ses relations sont multiples, son petit ami avait déjà fait un travail remarquable sur elle et ma venue n’a été qu’un aboutissement dans son devenir de soumise. Ses formes généreuses que tout le monde peut apprécier n’ajoute qu’un avantage à ses pratiques sexuelles. Cette jeune fille, tout juste entrée dans le monde du travail, vous honore d’un magnifique 90C qui fera j’en suis certain rêver plus d’une ce soir, mesdames. Je peux vous garantir de la fermeté de ceux-ci et du plaisir que l’on peut y avoir à glisser notre sexe entre, messieurs. Grande experte des gorges profondes elle pourra accueillir pour votre plus grand plaisir tout type de verges. Elle pratique aussi la sodomie et voue une certaine capacité à se soumettre facilement. Bisexuelle aussi elle saura vous satisfaire mesdames dans vos moindres désirs. Sa mise à prix pour ce soir sera de 100 € comme la précédente. »

Manue trouvait le temps long et appréhendait son passage sur le présentoir. Mais son tour était venu, la laisse se tendait à son cou et elle monta sur l’esplanade comme ses copines.
Une fois mise en hauteur elle pouvait apercevoir un peu l’assemblée, les visages des convives étaient cachés derrières des masques à la Eyes Wid Shut. Elle était en train de revivre la scène où Nicole Kidman entre dans le salon entièrement nue tandis que la pièce n’était remplie que de personne masquées avec de longues capes. Ici, les capes avaient été changées par des tenues plus modernes, robes de soirée et smoking mais les visages étaient tous recouverts de masques de Venise

Marie José tirait sur sa laisse pour la faire tourner sur la scène afin que tout le monde puisse la voir sous tous les angles.

« Mesdames, Messieurs, voici ma stagiaire. La plus âgée des trois, mais certainement la plus timide. Mais croyez bien que son potentiel de soumise est énorme. Vous apprécierez ses courbes absolument bien proportionnées. Son petit 85B vous ravira par sa fermeté et sa douceur. Elle pratique bien entendu la sodomie et saura répondre à toutes vos exigences. Elle a été aussi éduquée à la bisexualité donc mesdames ne vous en privez pas. Cette jeune fille n’a connu qu’au total quatre amants dans sa vie vous dire de la fraicheur de celle-ci. Alors n’hésitez pas à venir à compléter son harem. Mise à prix un peu particulière pour cette jeune soubrette : 120€ »

Marie José fît monter les deux autres filles auprès de Manue et leur détacha les chaines.
Elle les quitta un instant pour aller chercher une petite corbeille à coté. Cette corbeille en osier contenait toutes sortes de préservatifs et en quantité vraiment importante. Gage encore une fois que Marc avait tout prévu. Elle fît le tour de l’assemblée où les hommes se ruèrent dessus pour piocher le petit sachet renfermant l’habit de latex. Tandis qu’elle était en train de distribuer les préservatifs, Jean Pierre tenait la caisse et enregistrait les commandes. La première qui fut achetée était Emilie. Son physique de jeune fille à peine majeur avait réveillé l’excitation d’un couple soixantenaire qui s’était payé un petit privilège dans leur lassitude de vieux couple. L’homme avait même doublé l’enchère pour ne disposer d’elle que tous les deux sans personne d’autres. Marc en prit bien note.

« Mais chers amis, je vois que les marchés vont bons trains et j’en suis ravi. Permettez-moi avant de commencer les hostilités d’offrir à ce couple le privilège d’ouvrir le bal. En effet, ce monsieur demande l’exclusivité de notre chère Emilie. Je vous invite donc à assister aux premiers ébats de la soirée. »

La dame prit les devants de la scène et monta sur l’estrade aux cotés d’Emilie. Elle était assez costaud et ne cachait pas son âge. Ses cheveux gris étaient courts et lui donnaient un ton autoritaire. Elle était entreprenante avec notre jolie rousse et en voulait pour son argent.

Elle saisit la fermeture éclaire de la tenue en latex et la dé zippa dans toute sa longueur. A l’aide de ses deux mains écarta le tissu noir pour découvrir le jeune corps nu. La petite poitrine de notre amie apparue à la vue du public. Des exclamations volèrent dans la foule.

« Hey pas mal la petite rousse ! »
« Joli sexe bien rasé !
« Ah oui il n’avait pas menti sur ses nichons. »
« Bandante la petite … »

En un moins de deux, notre étudiante était ainsi entièrement nue, la vieille l’embrassa à pleine bouche en sortant volontairement sa langue pour s’entremêler à la sienne. Elle agrippa la tignasse rousse pour bien faire avancer le visage contre le sien. Elle était ferme dans ses gestes.
Sa deuxième main glissa sur le sexe imberbe et chatouilla le clitoris avant d’y insérer en une seule fois deux doigts bien au fond de son vagin.

« Va falloir vous ouvrir ma jeune fille ! » A ses mots, un troisième doigt vint forcer le passage.

Pendant ce temps là, l’homme était tranquillement en train de se déshabiller et ne semblait pas pressé à vouloir y participer. Son sexe en était même encore au repos.

Une fois totalement nu, il s’approcha tout de même de ces deux femmes, et vint se mettre derrière Emilie pour la saisir fermement par les seins en l’enlaçant de ses bras. Il malaxait ces deux petites protubérances avec énergie. Il pinçait même très fortement les tétons pour les faire se durcir.

Sa femme se désaccoupla de leur jeunette pour elle aussi adopter la tenue d’Eve. Quand elle eut retiré tous ses vêtements elle s’allongea sur le dos et ouvrit ses jambes pour inviter Emilie à s’y glisser. Au cas où elle n’aurait pas compris, l’homme la cambra pour bien lui montrer les directives. A quatre pattes, elle s’avança entre les jambes de la retraité et eu l’horrible vision de découvrir un sexe pas du tout entretenu. Les poils étaient plus que présents et étaient épais. Ses lèvres vinrent se poser dessus et la sensation rugueuse en était désagréable. Elle mouillait abondamment et le goût âpre de sa cyprine décourageait encore plus notre amie, mais il était impossible pour elle de se dégager tant l’homme lui appliquait sa tête contre le sexe de sa femme. Elle ne pouvait s’en défaire. Sa langue chassait les poils et trouva enfin le clitoris. Elle joua avec un long moment, quand la vieille femme ouvrit ses lèvres à deux doigts pour lui demander de la fouiller maintenant plus en profondeur.
Avec son bout de langue elle vint la pénétrer, mais cela ne semblait pas suffire au plaisir de la vieille dame qui lui fait bien comprendre avec fermeté qu’elle voulait plus de sa langue entre ses cuisses. Elle l’enfonça donc le plus possible. Cambrée ainsi pour faire le cunnilingus, le mari avait une vue imprenable sur sa croupe et n’hésitait pas à laisser y passer ses mains. A la différence de sa femme, le sexe de la jeune fille n’était pas dans sa préoccupation mais son attention était portée plus particulièrement sur son petit orifice. Il avait bien retenu lors de la présentation de Marc qu’elle pratiquait la sodomie et devant son insistance à caresser cette zone, il montrait clairement son intention de vouloir la prendre ainsi.
Mais pour cela il aurait encore fallut qu’il soit en mesure. Malgré la scène dont il était en train de vivre, son sexe était toujours au repos et ne montrait aucune forme de vie.
L’assistante de la soirée, notre chère amie hispanique arriva près de l’homme pour lui proposer plusieurs échantillons de lubrifiant afin de préparer au mieux son intrusion.

« J’en n’aurai pas besoin. On m’a vendu une jeune fille qui a été soit disant éduquée à la sodomie. J’espère bien que pour le prix elle sera en mesure de se faire pénétrer sans soucis. »

Il termina sa phrase en crachant un long filet de salive sur la petite auréole, et avec son index droit vint fouiller l’intérieur. Il ne resta pas longtemps avec un seul doigt, très vite son majeur vint rejoindre les entrailles de la jeune rousse, qui poussa un cri étouffé par son visage plaqué sur le sexe féminin. Il jouait avec ses doigts et n’hésitait pas à les retirer pour les réintroduire quasi aussitôt. Il les écartait légèrement pour bien ouvrir le passage. Voyant qu’il n’arrivait pas à ce qu’il voulait. C’est à l’aide de ses deux index glissés dans le rectum d’Emilie qui vint littéral l’ouvrir. Cela provoqua chez elle une décharge, malgré toute la salive qu’il y déposait cela ne remplaçait en rien à la véritable lubrification et surtout il ne lui laissait pas le temps de se détendre face à cette intrusion.

La vieille femme se redressa pour pouvoir accéder par en dessous au sexe juvénile. Elle tripotait de sa main toute ridée le clitoris afin de détourner l’attention d’Emilie. Mais cette caresse ne semblait être de son gout aussi. Il fallait se mettre à l’évidence, cette relation ne sera pas basée sur la tendresse.

« A enfin, elle commence à s’ouvrir. Et bien dis donc, va falloir être plus avenante du cul ma petite demoiselle si vous voulez qu’on s’y introduise. »
« Attends fais moi voir sa chatte, elle me semblait bien serrée tout à l’heure. »

La femme fît allonger Emilie sur le dos et lui écarta les jambes, à la manière d’une gynécologue elle introduit trois doigts dans son sexe. Après quelques allers et venus l’auriculaire vint combler le trou. Ses chairs étaient en train de se détendre au point où la sexagénaire arriva à pousser le vice jusqu’à y introduire sa dernière phalange.

« Voilà ma belle ! C’est ce qu’on appelle un beau fist. » Sa main était entièrement entré et venait explorer chaque paroi de son intérieur. Malgré les cris forts d’Emilie le couple ne se démontait pas et comptait bien continuer leur affaire.

« Va te faire sucer pour faire gonfler tout çà. »

L’homme saisit Emilie par les cheveux et de manière brutale enfonça sa verge molle au fond de sa bouche. Il la ressortie pour la gifler avec et la renfourna aussitôt. Elle se sentait violée des deux bords par ces vieux masqués. Le public semblait apprécier la scène certains même anticipaient en se déshabillant déjà, prêt à se lancer dans les hostilités.
Manue était totalement déboussolée par ce qui était en train de se passer. Dans quel guet-apens était elle tombée ? Malgré l’obscurité de la pièce elle arrivait à deviner certaines verges déjà en érection, et certains hommes étaient fortement montés. Ce qui ne la rassurait pas.

La vieille femme était maintenant entreprit sur Emilie un cunnilingus, mais avec une particularité où dans le vrai sens du terme elle venait mordiller son petit bouton. En même temps ses mains venaient s’agripper à sa petite poitrine et la tirait violemment par le bas. Les tétons étaient sollicités à la limite de la rupture.

« Allez crache sur ma queue pour la faire reluire un peu. » Elle s’exécuta, cracha dessus pour la reprendre aussitôt en bouche pour la nettoyer.

« Mais donc un petit doigt à mon homme, tu verras comment ca à le don de l’exciter ! »

Totale incompréhension ? Avait-elle bien compris ? La femme lui demandait de mettre un doigt dans le derrière de l’homme. Jamais elle n’avait fait çà, malgré qu’elle ai déjà entendu dire que le fameux point G des hommes se retrouvait là. Elle s’exécuta. Elle passa sa main le long de la taille pour arriver au niveau de sa cuisse droite, elle frôle la fesse pour aller directement dans la raie. Il lui fallut tâter un peu sur la longueur pour trouver le petit trou, et docilement enfonça son index. Après quelques centimètres de passage étroit, son doigt arriva en butée. Mais elle due tout de même constater que pendant cette pénétration le sexe qu’elle tenait en bouche commençait à prendre de la vigueur.

Il s’enfonçait toujours un peu plus au fond de sa gorge et commençait à l’étouffer.

« C’est bon çà ! Bon tu m’as enculé avec ton petit doigt ma jolie, à moi de te rendre l’appareil à un détail prêt … » L’homme se coucha sur le dos le sexe bien tendu en l’air. Malgré ce que l’on aurait pu penser de sa taille au repos, une fois en érection son sexe était tout à fait honorable. Sa femme vint elle-même lui mettre le préservatif. Elle avait spécialement prévu le nervurer pour accroitre le sensation de pénétration et certainement pas pour le plaisir de la demoiselle.

Elle prit Emilie par la main pour l’inviter à passer au dessus de son mari.

« Et mets pas une plombe à te l’enfiler. Vas y d’une traite et sans grimace ! » Elle adressa une petite gifle sur le visage de la jeune fille.
« Vous êtes juste bonnes à ca vous les gamines, vous prendre des bites au cul. »

Après une grande respiration, Emilie entreprit sa descente vers l’organe édifié. Arrivé en contact avec celui-ci, elle ne montra aucun signe d’’arrêt et continue sa descente en essayant de ralentir au mieux pour qu’il coulisse le plus facilement possible. Mais à peine les premiers millimètres entrés, la vieille femme l’appuya par les épaules pour qu’elle finisse empalé par fracas. Elle réussit à contenir à temps son cri.

Elle se suréleva un tout petit peu au dessus du corps pour que monsieur puisse la pilonner énergiquement pendant que madame jouait avec ses petits seins. Elle les mordait, les pincait, allant même jusqu’à cracher dessus.

« Alors ca te fait quoi de te faire enculer par mon mari ? Elle est bonne sa queue ? »
« Oui madame. »
« Dis le à l’assemblée que mon mari à une bonne queue. »
« Oui, elle est bonne sa queue ! »

Par chance ce vieux monsieur ne semblait pas endurant du tout. Le calvaire ne dura que quelques minutes. Mais encore une fois ce couple était bien rodé. Sa femme le connaissait par cœur et très vite à l’expression de son visage, elle savait qu’il allait décharger. Dans un sursaut il dégagea Emilie de son sexe, pendant que sa femme se mit à quatre pattes à coté de lui. Il s’empressa d’y venir s’agenouiller derrière elle et in extrémiste la pénétra pour jouir au fond d’elle. Son râle raisonna dans toute la pièce.

Mais ce n’était pas encore fini pour Emilie, il l’obligea à venir se mettre à quatre pattes derrière le cul de sa femme pour venir recueillir son sperme encore chaud qui coulait le long de ses cuisses et ses lèvres.

Le public ovationna ce couple pour leur démonstration et la ferveur de pouvoir enfin passer à l’action se faisait sentir.
par manukib56
#1588039
Son harem 5

Une fois en avoir totalement fini avec elle, ils la laissèrent ainsi et sans un mot descendirent de leur estrade pour se rhabiller laissant ainsi la place aux autres prétendants.

Un homme était déjà prêt à passer à l’action, préservatif déjà déroulé sur le sexe, il ne lui laissa même pas le temps de se redresser qu’il l’empoigna par les fesses pour la mettre en face de lui et profita de l’élargissement déjà entamé par le vieil homme pour la sodomiser d’une traite. Il n’était pas là pour perdre son temps non plus, il la pénétrait avec vigueur et vitalité. Très vite la jeune fille fût entourée de quatre, cinq hommes qui soit se masturbaient au dessus d’elle, soit présentaient leur sexe pour être sucé, d’autre passaient leurs mains où ils pouvaient sur les seins, le sexe. Bref partout.
Elle n’arrivait plus à savoir d’où venaient toutes ses mains et ses sexes. Les bites s’enchainèrent dans sa bouche mais aussi dans son anus. Un coup une grosse, un coup une plus petite.

Pendant ce temps là, c’était Audrey qui entrait en scène, deux femmes d’une petite quarantaine d’années aux corps encore tout à fait fermes et filiformes avaient pris les devants. Les deux étaient un peu lésées de leur poitrine et si leur choix c’était imposé sur Audrey c’est vraisemblablement pour pouvoir s’amuser avec sa protubérance imposante mais ferme de jeunesse.

Elles la déshabillèrent en prenant soin chacune d’elle de saisir un sein dans leur bouche. Leurs langues s’enroulèrent sur ses tétons pendant que leurs mains se baladaient sur le reste du corps maintenant nu.

Il faut l’avouer que ce moment était pour Audrey assez plaisant les femmes y mettaient de la douceur et devant tant de caresses la jeune brune pulpeuse sentie monter en elle une certaine excitation. Très vite elle s’est prise au jeu et accorda toute son ardeur à ce moment lesbienne.

Marie José alla chercher Manue qui était toujours en train d’attendre au pied de la scène.

« Viens par ici ! » Sur un coin de la scène encore inoccupé, l’intendante la fît monter et lui donna un gode aux dimensions proches de notre ami Jean Pierre.

« Allez mets toi en scène, ils veulent te voir en action. Montre leur que toi aussi tu aimes la bite. » Comme on le sait tous maintenant, ce n’est pas du tout la tasse de thé de Manue de se mettre en scène ainsi. Même si depuis maintenant un certain temps elle s’assumait plus et revendiquait aimer le sexe, se mouvoir ainsi devant tant de monde tout en sachant que cela dérapera sans doute à l’issu, l’apeurait. Elle tourna la tête dans tous les sens pour trouver un peu de compassion mais aucune de ses amies ne pouvaient être là pour elle. Emile était sollicitée de partout pendant qu’Audrey se lovait dans les bras de ses deux femmes. Elle était maintenant seule face à ses choix. Timidement n’osant même pas regarder en face d’elle, elle descendit très lentement la fermeture éclaire de sa combinaison en latex le petit air qu’elle ressentait sur sa peau lui frissonna légèrement l’épiderme. Elle avait même l’impression de ressentir les souffles cours des hommes qui étaient devant elle. La petite forme ronde de ses seins se laissait entrevoir dans cette ouverture. Ses gestes étaient maladroits et aux combiens tremblant. Son nombril était maintenant à découvert et la fermeture s’arrêta à l’échancrure de son sexe. Cela n’avait que pour but de laisser un certain suspense.

Pas moins de dix personnes étaient coltinées autour d’elle. Il y en avait de tous âges allant du trentenaire passé au sexagénaire, du mince au gros, du petit au grand. Il y avait aussi quelques femmes, trois au total. Et un peu en retrait un homme d’origine africaine dont il était difficile de donner un âge mais qui semblait un peu effacé du reste.

Elle continua son show du mieux qu’elle pouvait. Le gode à la main elle le fît partir de sa bouche pour le faire glisser le long de sa peau jusqu’à son bas ventre. Elle essayait de répliquer au mieux ce que l’on voit à la télé dans des moments d’exhibitions mais personne n’était dupe cela se voyait que c’était une grande première pour elle et cela lui donnait un attachement particulier. Elle avait du mal à se concentrer du fait des cris forts et soutenus d’Emilie qui était en train de vivre une véritable chevauchée à la chaine. Dans un bref instant de regard vers elle, elle l’aperçut sur le dos avec un homme en dessous et un autre au dessus tandis que deux autres se faisaient sucer.

Elle essaya de se concentrer au mieux et de reprendre ses esprits. Après avoir jouer un petit moment à balader la verge en plastique sur son corps, elle entama l’effeuillage. Sensuellement elle commença par ouvrir sa combinaison pour laisser sortir un sein et dégagea son bras droit. Ensuite vint le tour de son sein gauche de sortir de sa cachette. Torse nu elle caressa sa poitrine en cherchant bien à faire dresser ses petits tétons. Elle savait que cela avait pour avantage d’exciter les hommes et surtout de rendre plus esthétique son petit 85b. Elle reprit son sextoy pour le faire se balader sur ses petites auréoles roses, poussant même le vice à simuler une branlette espagnole.

Elle n’eut pas le temps de terminer sa démonstration que les trois femmes montèrent sur scène pour venir s’occuper d’elle. Tandis que deux s’occupaient de ses petits seins, la troisième (la plus jeune) s’agenouilla devant elle pour faire glisser sa combinaison aux chevilles et ainsi libérer son sexe imberbe. Manue se déchaussa pour retirer intégralement sa tenue, et rechaussa ses talons pour être plus en hauteur. La jeune ballait sa langue entre ses lèvres et marquait de long instant sur son clitoris. Elle la fouillait et cherchait à la faire mouiller le plus rapidement possible. Une des autres femmes, palpait ses fesses en glissant quelques doigts entre pour venir gentiment titiller son petit trou. L’autre l’embrassa à pleine bouche tout en malaxant son sein gauche.

Deux hommes montèrent sur l’estrade totalement nus, l’un d’eux devait avoir une cinquantaine d’années tandis que l’autre était le cadet de la salle. Les deux femmes firent comprendre à Manue qu’elle devait se mettre en position. Appuyant sur ses épaules ma copine comprit qu’elle devait se mettre à genoux pour être à hauteur de sexe. De part et d’autre d’elle les hommes vinrent se mettre et présentèrent leurs sexes. C’était la première fois qu’elle se retrouvait en face de verges totalement inconnues et de plus sans ma présence. Un sentiment de tromperie l’envahie. Mais il fût de courte durée, une des femmes pressa sur sa tête pour l’inciter à prendre en bouche celui de gauche. La machine était lancée. Le sexe mou dans sa bouche la dégoutait, mais très vite il prenait de la vigueur entre ses lèvres. Vînt ensuite le tour de l’autre, le plus jeune, sa verge était plus petite et était déjà en érection. Elle le prit à son tour dans sa bouche, il était foufou et se prenait comme pour un acteur porno. Sa main agrippait les cheveux de Manue et s’essayait à la gorge profonde. Des fois il sortait sa verge pour la biffler et la renfournait aussitôt. Heureusement, cet amateurisme n’était que de la prétention et en quelques secondes il explosa de jouissance sur l’épaule de ma conjointe. Même son éjaculation ne fût pas contrôlée.

Une des femmes vint littéralement lécher le sperme encore dégoulinant sur le corps de Manue et l’embrassa aussitôt pour s’en débarrasser.

« Faut pas le gaspiller ! Vient prendre ta béquer mon petit oiseau » Les filles s’échangèrent le liquide séminale de bouche en bouche à l’aide de leur langue. Manue tenait toujours fermement le sexe de l’autre homme et essayait de l’user en le masturbant, mais celui-ci demeurait beaucoup plus endurant que le jeunot.

Elle se doutait bien qu’il ne se contenterait donc pas à quelques caresses manuelles. Elle s’excusa de la dame pour venir à nouveau le prendre en bouche et m’y tout son art pour essayer de mettre fin au plus vite à son calvaire.

Il lui malaxait les seins en même temps, ce qui donna une idée à Manue. Elle ressortie la verge bien droite de sa bouche, et laissa couler un gros filet de salive dessus et vint la coller entre ses seins. Avec ses deux mains elle referma son petit 85b et commença des allers et venus sur le sexe. Fallait le faire jouir le plus rapidement possible et qu’elle comptait bien y arriver. De temps en temps elle donnait des petits coups de langues brefs sur le gland pour accentuer le désir.

« Merde, putain elle va me faire jouir cette salope. » L’homme tentait de se retenir, son visage se crispait à chaque passage entre les seins. Mais les petits coups de langues bien appuyés sur sa verge le déstabilisaient. Elle sentait que la verge se gonflait, il n’allait plus pouvoir résister longtemps. Elle resserra un peu plus ses petits seins, et saliva une nouvelle fois pour augmenter la sensation de glisse. Il ne suffit que de quelques petits coups pour enfin sentir quelques à-coups signe que l’homme était en train de se décharger entre ses seins. Très vite la sensation de chaleur vint confirmer la chose. La quantité de foutre était impressionnante, elle se réjouit même d’avoir opté pour cette pratique, cela lui a épargné de devoir tout se prendre en bouche.

Tout son torse en était tapissé, l’homme l’étala avec son sexe sur la plus large partie.

« Et bien ma belle, c’est bien la première fois que je me fais ainsi prendre au jeu. Timide peut être mais bien excitante. Tu sais y faire avec les hommes. »

En parlant d’hommes, cela n’en était pas fini pour elle. Les deux femmes l’avaient abandonnée pour aller préparer trois autres hommes. Tous oscillaient dans la quarantaine et parmi eux le black mystérieux était présent.
Les filles se démenaient pour lui faire hisser son sexe, mais aucune d’elles n’arrivaient à le prendre en bouche complètement. Manue avait déjà connu des sexes dit « hors normes », cela avait commencé avec celui de Mathias qui avait été très vite devancé par celui de Jean Pierre, qui lui value toute une période d’apprentissage pour bien savoir comment le prendre pour minimiser son insertion, Mais celui ci battait des records, les mains des deux femmes avaient du mal à en faire le tour. Il était gros par son diamètre mais aussi par sa taille. Les deux autres étaient plus dans la normalité même si leur sexe était déjà de taille honorable.

Le plus bedonnant des trois, se servit dans le panier et s’habilla d’un préservatif. Lui était décidé à baiser et à ne pas se laisser avoir comme le prédécesseur. Une fois le capuchon mit, il allongea Manue sur le dos et la pénétra sans plus attendre. Le deuxième vint le rejoindre et offrit son sexe à sucer. Il avait déjà mis son préservatif, il n’était juste là que pour attendre son tour. Son collègue lui donna la place.

« Vas-y tu peux y aller. Elle est pas mal serrée mais on y rentre bien dedans. » Son acolyte prit la place et la pénétra d’une traite. Ils se relayèrent comme çà pendant de longues minutes s’imposant ainsi des pauses pour être plus performants.

« Putain j’ai envie de lui prendre le cul à cette petite. S’il est aussi serré que sa chatte on va se régaler. »

Il la fit se lever pour changer de position, et la mettre à quatre pattes sur le bord de la scène.

Marie-José vint proposer le gel. L’homme accepta.

« Ce n’est pas moi qui vais lui faire grand mal. Mais notre ami derrière risque de poser des complications. Vaut mieux donc anticiper. » Il saisit le tube et s’empressa d’enduire son petit trou de ce gel qui a en plus la fonction anesthésiante. Son doigt s’introduisait facilement ce qui le mit en confiance, il le remplace très vite par son sexe.

Il appuyait doucement et avançait étape par étape, pour enfin finir sa course entièrement dans le cul de ma petite amie.
par manukib56
#1590191
Son harem 6

20h15 venait de s’afficher au cadran de mon radio réveil. Mathias et moi nous nous étions donné rendez vous chez moi pour nous connecter à Skype.

Cela faisait de longues minutes que nous étions en train d’attendre devant notre écran d’ordinateur que notre demande de contact « monharem » veuille bien se connecter.

Il était à l’heure, l’icône verte s’afficha sur mon écran et un appel provient sur mon ordinateur.

Je regardai Mathias pour avoir son sentiment. Tous les deux étions rongés par la jalousie et l’énervement de ne plus rien maîtriser. Devions-nous accepter cet appel ? Qu’allions nous découvrir ?

Le sentiment de voyeurisme ne poussa à cliquer sur le bouton vert. Un brouhaha surgit de mes enceintes. L’image mit de longues secondes avant d’apparaitre sur mon écran. C’était flou, la lumière sombre et on ne distinguait qu’une masse de personne tous coltinés au même endroit.

La caméra se déplaça un peu dans la pièce et alla fixer un petit groupe. Nous apercevions très difficilement un attroupement qui nous semblait être des hommes autour d’une personne. Nos cœurs battaient forts. L’image se stabilisa et nous reconnûmes Emilie qui était prise dans tous les sens par des hommes qui la secouaient fortement. Ses cris transperçaient le micro de la petite caméra. On pouvait maintenant voir distinctement qu’elle était prise des deux cotés. Pendant que deux autres se faisaient sucer en gorge profonde.

La caméra se tourna à 90° pour maintenant voir Audrey entre lassée dans les bras de filles. Un homme se tenait à coté d’elle se masturbant énergiquement. Le timing était parfait, il était sur le point d’éjaculer. Quand il donna l’ordre aux filles de passer pour asperger la petite amie de Mathias de son foutre. Il l’éclaboussa sur tout le visage allant des cheveux au menton en prenant bine soin de diriger son jet sur la joue. Elle n’arrivait plus à ouvrir les yeux tellement la quantité était importante. Mathias remuait sur sa chaise, on voyait chez lui le malaise de voir son ami ainsi soumise. L’homme la biffla, le bruit du sperme collant contre sa peau et le sexe à demi mou retentissait sur la vidéo.

Ce fût à mon tour d’avoir cette boule au ventre, quand la caméra se dirigea vers ma belle et tendre. J’ai eu beaucoup de mal à la reconnaitre entourée de ces trois hommes. Le zoom vint se cadrer sur son fessier où je pouvais bien voir le sexe de cet étranger entrer dans sa petite intimité. Au vu de comment il était entrain de la limer je me doutais bien que cela devais faire un moment qu’il était dedans.

Le sexe se retira et une autre verge vint prendre sa place. Il n’y avait plus de doute pour moi, elle était dans une pleine tournante. La caméra se détacha un instant de cet accouplement pour me donner la vision de la suite des hostilités. J’aperçu le physique du jeune noir avec son sexe bien tendu. Je n’en croyais pas mes yeux, même Mathias en était estomaque.

« La vache t’a vu le mec ? »
« C’est pas possible d’avoir une bite pareil. »

La scène en était insoutenable pour moi. Mais un sentiment plus fort m’obligeait à continuer de regarder. Quand il fût fin prêt et qu’un préservatif est bien voulu se mettre sur son organe sans se déchirer c’est toute l’assemblée qui se mit à l’arrêt.

Tout le monde voulait être témoin de ce qui allait se passer. Le bruit de fond se stoppa net. Il s’avanca vers elle. Elle était toujours à quatre pattes bien cambrée, les cuisses ouvertes au maximum. Il se présenta derrière elle. Passa ses grosses mains sous son ventre pour venir saisir ses petits seins. Il les malaxa un instant et embrassa l’épaule gauche de ma petite amie comme pour lui donner du courage et la rassurer sur les suites à venir.

Il ramassa à ses pieds le petit tube de lubrifiant, enduit sans économie le trou déjà travaillé par les deux hommes précédents. Il s’en garda un peu pour enduire aussi sa verge. Il apposa sa main droite sur le bas du dos de Manue pour bien la maintenir cambrée. Avec sa main gauche il vint présenter son immense membre sur l’auréole. Il poussa, très lentement, très très lentement. Sans aucun à coups et de manière la plus régulière possible. Manue gémit mais ne crie pas. Sa tête se pose entre ses mains, elle subit. Essaye toujours un peu plus de s’ouvrir. Elle y met du sien.

Contre toute attente, on aperçoit le sexe rentrer doucement. D’abord un petit centimètre, puis deux, puis trois. Manue se trémousse, elle a mal mais ne cri toujours pas.

Le gland disparait maintenant totalement, et le reste suit dans le même mouvement. Il n’y eu pas cinq minutes pour que cet homme monté comme un cheval fasse disparaitre son sexe dans le cul de ma copine. Une fois bien au fond d’elle, il se repencha sur elle pour à nouveau reprendre ses petits seins et apposer un nouveau baiser.

Il y était maintenant, une nouvelle fois très lentement il commença à se retirer et re-rentrer. Au fur et à mesure de ses passages, l’étroitesse du passage s’élargit pour enfin coulisser de manière assez aisée. Son rythme s’accéléra au fil du temps pour finir par un réel va et vient musclés. Les gémissements de ma chère et tendre étaient maintenant des cris mais de jouissance. J’en étais médusé.

Emilie et Audrey la rejoignit. Elles se lovaient toutes les deux à coté de leur camarade qui était en train de se faire sodomiser.

Le souffle de l’étalon se fit plus s’saccadé, il était arrivé au point de non retour. Il se retira précipitamment de Manue et la fit s’assoir devant lui. Il se palucha quelques instants au dessus de son visage, encore propre, et l’aspergea, et le mot est faible, de son épais liquide de jouissance.

Les filles excitées comme des puces se ruèrent sur Manue pour venir nettoyer au mieux son visage et venaient elles aussi se prendre des petits jets de semence.

Les deux autres hommes vinrent se vidanger à leur tour sur le visage des trois demoiselles. Et d’autres hommes qui étaient restés plus en retrait pendant la soirée profitèrent de cet instant pour venir se soulager sur nos petites putes. Elles étaient maintenant toutes les trois allongées en étoile pendant que tous les hommes de la soirée se vidèrent l’un après l’autre sur leur corps, leur visage. Où bon leur disait.
La soirée se termina sous une douche de sperme, toutes les trois étaient recouvertes d’une pellicule de foutre venant de plusieurs jouissances. Jamais avant elles n’avaient été autant recouverte. D’un coté elles n’avaient jamais assistées à une soirée avec autant de monde à la fois.

Nous venions Mathias et moi d’assister à la pire chose pour nous. C’était la première fois que nous voyons nos femmes ainsi livrées au bon vouloir de d’autres hommes sans que nous puissions interagir. Marc avait fait un travail remarquable sur la soumission de notre gente féminine mais indirectement il nous contrôlait aussi en nous exposant ainsi son travail. En acceptant de visionner cela nous nous soumettions au travail de cet homme d’affaires. Mais la jalousie que cela pouvait dégager au sein de nous ne faisait qu’attiser encore plus notre désir pour nos copines respectives. Nous étions maintenant liés.
par manukib56
#1676343
Mars 2014 à aujourd’hui

Huit mois, plus de trente semaines sans aucun récit. Vous allez dire qu’est il arrivé à notre Manue ?

Je voudrai avant toute chose commencer par une confession, qu’un très petit cercle d’intimes est au courant. Je me suis pendant plus de 50 récits cachés sous l’identité de Frédéric pour relater les aventures de Manue. Certains d’entre vous mon démasqués et pour la suite de mes récits je suis obligée de devoir décliner la véritable identité.

Si tous les personnes qu’apparaissent dans ces récits sont 100% réels, le narrateur n’est en fait que moi Manue ! La gentille et sensible petite fille timide.

Frédéric n’est pas du coup averti de ces publications de notre vie intime sur le net. L’écriture a été pour moi une belle échappatoire dans mes confessions, une psychanalyse en quelque sorte.

Être ainsi exploitée à mon âge est difficile à assumer, à mon sens, et l’idée de pouvoir coucher mes péripéties sur une feuille blanche m’aide considérablement à admettre ce que je suis devenue. Vos commentaires m’ont aussi beaucoup aidée.

Si je vous livre tout çà aujourd’hui, c’est pour vous faire part d’un changement. Je ne voudrai pas parler de rupture mais plutôt d’un éloignement qui s’opère entre Frédéric et moi.

Depuis ma dernière soirée, où Marc m’a volontairement livrée à une horde d’étrangers, cela a été l’élément déclencheur pour moi. Je lui étais entièrement soumise mais plus je lui appartenais. Tout le monde se doutait bien que cela allait finir ainsi mais je me sentais plus forte que çà.

Il m’a fallut un peu de temps pour le comprendre et surtout l’accepter.

J’en reviens à ce soir là : nous sommes le 25 mars 2014

Tous ces étrangers se sont tous vidanger un à un sur moi. Mon corps est totalement enduis de ce liquide aqueux blanc où la diversité des semences en dégage une odeur forte. Je pu le foutre, et n’arrive pas à voir qu’elle partie de mon corps n’a pas été touchée.

La pièce se vida quasi instantanément, il ne restait plus que nous trois, totalement épuisées par ce qui venait de nous arriver. Aucune de nous parlait, nous étions tous dans nos pensées et refaisions le fil de la soirée pour essayer de comprendre comment nous avions pu en arriver là.

La femme hispanique ouvrit la porte et nous fit se lever. Toutes les trois étions dégoulinantes et ne rêvions que d’une chose, une bonne douche.

Mais elle n’était pas de cet avis.

« La voiture vous attend, allez rentrez chez vous maintenant ! » On se fit ainsi accompagné jusqu’à la porte où la grosse berline qui nous avait enlevée nous attendais le moteur ronflant.

Décontenancées nous montions dans le véhicule qui nous ramena chez Emilie où nous pouvions enfin prendre notre douche tant attendue. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, aucune de nous aborda le sujet et essayons chacune d’oublier cette soirée en pensant que la vie reprendrait le cours et effacerait peut être cet épisode.

Pour moi, l’heure était aux questionnements. Qu’étais je devenue ? Aimais-je vraiment çà ? Me sentais je contrainte en quelque chose ? Quelle était la place de Frédéric dans ma vie à ce jour ?

Le dimanche soir je reçu un texto de Marc :

« Je suis en déplacement jusqu’à mercredi. Je veux te voir mercredi matin dans mon bureau, il faut que nous ayons une discussion. »

Ma réponse fut brève : « OK » qu’avait-il encore derrière la tête. Ce message était il professionnel, attendait il encore des choses de moi ?

Inquiète mais aussi, bizarrement, impatiente d’être à ce mercredi pour enfin savoir ce que j’allais devenir.
par manukib56
#1676455
Madame la Directrice

Mercredi 02 avril 2014 :

Comme à l’accoutumée j’arrive la première à l’agence. J’étais maintenant rodée et comme tout mercredi j’avais mon petit rituel. Je renfermais à clé la porte derrière moi, me dirigeais aussitôt dans la salle de pause pour y laisser ma tenue de civil et retourner à mon bureau pour commencer ma journée. Je pris tout de même le soin de préparer le café sachant que Marc sera présent d’un moment à l’autre.

Il n’arriva pas avant 10h. J’entendis ses clés dans la serrure. Il alla directement dans son bureau en me hélant du hall : « Tu nous amèneras deux café Manue ? »

Armée de mon plateau et de ses deux tasses, je toquai à la porte entre ouverte de mon patron. Qui avait à peine eu le temps d’allumer son ordinateur.

« Oui, installe-toi. Il faut que nous ayons une longue discussion tous les deux. » Il avait cet air grave que je connaissais du Marc professionnel, grand patron d’assurances. Une chose était sure il n’était pas là pour parler chiffon mais business. Je commençais à bien le connaître maintenant.

« Bon ca fait maintenant presque un an que tu as rejoins l’agence de Vannes, et je n’ai jamais pris le temps de te dire que je suis très content de ton travail. Avec tout ce que je te fais subir tu arrives à ne pas dévier dans la qualité de ton travail, et chaque jour tu progresses et surtout tu t’affirmes plus comme professionnelle. »

« heu … » mon cœur battait fort, mes mains étaient moites. Jamais il n’avait critiqué mon travail mais jamais il ne m’avait autant d’éloges dessus.

« Voilà, j’ai d’autres horizons et d’autres opportunités que je pense qu’il faut saisir. Il y a quelques temps de çà avant que tu n’arrives. Avec Camille on avait monté une petite étude de marché dans l’Est pour essayer d’ouvrir une autre agence. Les frontaliers sont assez porteurs et le marché pas très développé. Je vais donc devoir délaisser un peu l’agence de Vannes. Aussi j’ai pensé que tu étais suffisamment capable d’en assumer la gérance. Bon comme tu es encore en études je ne peux pas te nommer officiellement directrice de l’agence. Ce que je te propose. Assumer le poste de Directrice de l’agence bien entendu je resterai toujours disponible pour toi en cas de difficultés. Je ne te lâche pas dans la nature non plus. Comme je ne peux te rémunérer à la hauteur de tes responsabilités, on est tenu par le contrat d’alternance. Je te propose de te rémunérer en nature »

Mon coté un peu naïve, me laissa penser qu’il voulait encore abuser de moi et de mon corps en me parlant de rémunération en nature. Mais non …

« J’ai mis une option sur une très belle location à Vannes, tu auras une vue imprenable sur le golfe du Morbihan. L’appartement doit faire pas moins de 110m². Le loyer est payé en intégralité par l’agence et te sera mis à disposition à titre de logement de fonction. J’ai aussi commandé pour toi un véhicule de fonction. Tu as rendez vous chez Audi cet après midi pour choisir la couleur e convenir d’une date de livraison. »
Je croyais rêver ! Pendant qu’il m’énumérait tout cela je ne cessais de penser à Camille. Me rappelant comment je la dévisageais la première fois que je l’ai rencontré me disant que cette femme avait tout. Qu’elle avait réussit sa carrière, elle me fascinait et aujourd’hui moi la petite étudiante d’IUT GEA de Vannes rentrait dans la sphère très élitiste des business women.

« Tiens, voici ta carte de crédit pour tous tes frais de restaurant, gasoil et surtout pour tes tenues. Bien que celle ci me convienne, maintenant que tu tiens les rênes de l’agence de Vannes faudra pas lésiner sur les dépenses en tailleur. Et pense toujours à un coté sexy, c’est ce qui fait ta force dans les négociations. »

Il me tendit une tasse de café encore fumante comme pour trinquer à ma nouvelle nomination.

« Aussi, comme la charge de travail reste importante, tu ne pourras gérer toute seule l’agence. Que dirais tu d’embaucher Emilie pour t’aider dans les taches administratives. Elle connaît l’agence, on sait qu’elle est sérieuse. »

« Oui très bonne idée. »
« Mais par contre faudra te montrer directive avec elle. Entendu ? »
« Oui j’ai compris »
« Que dirais tu de la prendre chez toi, pas en colocataire mais comme fille à tout faire ? Elle est encore jeune et doit encore être éduquée »
« Excellente idée, je lui proposerai »
« Bon je suis content de te voir aussi enthousiaste » il appuya son dos contre le dossier du canapé sur lequel il était assis. Ses mains attrapa sa ceinture et déboutonna son pantalon.

« Par contre faut pas oublier d’où tu viens ! Allez viens ici me pomper »

Il ne perdait pas le Nord et voulait toujours garder le contrôle. Mais je suis obligée de l’avouer c’est comme çà qu’il me tient. Je me levai de mon fauteuil et adopta tout de suite la position quatre pattes pour venir à son sexe. Il agrippa mes cheveux et colla mon visage sur sa verge molle. J’ouvris ma bouche et avala son sexe. Ses deux mains pressaient fortement ma nuque pour bien coller mon front sur son ventre. Son sexe gonflait lentement dans ma gorge mais je ne peux m’en dégager. Très vite je me sentis oppressée, suffoquant presque.

Dans un dernier effort, je fis jouer ma langue dans le peu d’espace qui lui restait. Je ne sais pas si c’est le plaisir trop intense, ou la chatouille que cela pouvait lui provoquer, en tout cas sa pression se relâcha et je pu enfin me dégager pour reprendre mon souffle. Je ne tardai pas trop, je savais qu’il n’aurait pas apprécié. Après une bonne bouffée d’air frais, je ré englouti son sexe dans ma bouche en essayant d’aller caresser le haut de ses testicules avec les lèvres. Doucement mais surement j’y arrivai enfin à le prendre dans l’intégralité. Il n’en fallut pas plus pour le faire exploser, la quantité était importante manquant d’avaler de travers, je n’arrivai pas à recueillir tout son liquide et était obligée d’en laisser couler le long de son organe.

Ce qui me valut une remarque.

« Non putain Manue, ca coule partout. Allez nettoie moi çà ! Je ne veux plus rien voir »

C’est donc avec ma langue que je viens laper son foutre en essayant de rendre son sexe le plus luisant possible. Une fois la tâche accomplie ; il reboutonna son pantalon et retourna à son bureau.

« Tu ramèneras le plateau dans la salle de pause ? Tu n’as rien prévu ce midi ? »
« Non, pourquoi ? »
« On déjeune ensemble pour fêter cela ? Demande à Émilie de venir on lui annoncera la bonne nouvelle. »
par zztop
#1676492
Nickel..
Chère collègue bretonne, je ne pouvais espérer meilleure évolution.
Effectivement, j'imaginais difficilement que ton mec pouvait retranscrire aussi bien toutes ces situations, tout du moins la plupart...
J'avoue que ça m'a traversé l'esprit de penser que ce n'était que des récits érotiques fantasmés.
Mais là, c'est encore meilleur...
Ne manque que te baiser - comme tu le mérites - pour avoir une idée de qui tu es et avoir ton odeur...
Continue, voisine soumise..
Un jour, je te baiserai..
par manukib56
#1679254
Madame la Directrice 2

Mercredi 02 avril 2014 – 12h00

Encore du mal à me faire à l’idée que j’allais devenir d’ici quelques jours la femme en charge de cette agence. Je serai totalement arbitre de mes décisions et pourrai mener mes dossiers comme il me semble. Depuis l’annonce de Marc, je restais un long moment assise derrière mon bureau, totalement nue avec encore le gout en bouche de mon patron, à prendre conscience de ce qui était en train de m’arriver. Mes idées fusèrent, et s’entre choquaient. Comment allait réagir Frédéric face à cette nomination ? Où était clairement ma vie ? Avec lui, avec Marc ?

Je l’aimais profondément, et si nous n’avions pas connu l’histoire avec mon ancien propriétaire est ce que tout ceci aurait eu lieu ?

J’étais perdue, j’avais des choix à faire. Ces choix allaient guider ma vie future et m’orienter vers de nouveaux horizons.

Je m’accordai une petite pause dans ma réflexion et adressa un petit sms à Emilie.

« Rends toi disponible ce midi pour déjeuner avec Marc et moi, on a une annonce à te faire. »

Je commençais inconsciemment à rentrer dans mon rôle en adoptant un ton impératif dans le texto à Émilie.

Midi, Marc vient toquer à ma porte.

« Tu vas t’habiller et on va manger. Je ne dois pas trop trainer je file en clientèle après. Tu as eu Emilie ? »

« Oui, je lui ai envoyé un texto. Je vais me préparer. »

Hâtivement je vais donc m’isoler dans la salle de pause pour me vêtir de mon habit de ville, un bref passage devant le miroir pour me faire un semblant de beauté et me voici prête pour aller déjeuner.

Marc m’attendait au niveau de la porte et m’invita à mon monter dans sa voiture.

« On va dans notre petit resto près du port ? »
« Oui j’ai dit à Emilie de nous y rejoindre directement. »

La jolie jeune rousse nous y attendait un peu anxieuse par l’annonce qu’on allait lui faire. Elle ne savait pas du tout de quoi cela en résultait.

Elle s’était préparée à la va vite et était habillée dans la tenue d’étudiante. Jean moulant et petit pull qui camouflait sa toute petite poitrine.

Marc lui raconta tout et lui proposa la possibilité de l’embauche en prenant bien sur en compte ses études. Et que nous ferions tout pour aménager au mieux son emploi du temps pour qu’elle puisse ne pas délaisser ce qui nous paraissait être très important : le scolaire.

« Par contre, comme Manue devient ta directrice tu seras donc aussi sous ses ordres mais pas seulement au boulot. Tu vas quitter ton appartement et venir t’installer dans celui de ta directrice au titre de fille à tout faire. Ai-je bien été clair par « fille à tout faire » ? Tu me seras toujours soumise mais Manue maintenant a entière disposition sur toi aussi. »

Un regard s’échangea entre nous deux. Je m’efforçais de ne laisser paraître aucune émotion sur mon visage pour bien lui faire comprendre qui j’étais devenue.

Le déjeuner se poursuivit, tout de même pris à la hâte. Marc avait rendez vous et moi je devais me rendre chez le garagiste pour ma nouvelle voiture !!

« Emilie ? »
« Oui, Manue ? »
« Je file chez Audi pour ma nouvelle voiture je devrais en avoir tout au plus pour une heure. Prends les clés de l’agence et attends-moi. »
« Entendu »

15h30 :

Je sors de chez le concessionnaire Audi. Ma voiture de leasing était réservée, j’ai craqué sur l’audi A1 de couleur rouge. Ma couleur du moment. Trop hâte de la conduire. C’est la première fois que je vais conduire une voiture neuve.

J’arrive donc à l’agence, et pousse la porte d’entrée.

« Emilie ? »
« Oui je suis dans la salle d’archives ! »

Elle arriva dans le hall et à ma grande stupeur totalement habillée.

« Ah non mais attends, tu fais fausse route ! Ce n’est pas parce que Marc ne gérera plus l’agence que les règles doivent changer. Tu vas me retirer çà tout de suite et tu me rejoints dans le bureau de Marc » Je sentais bien que mon ton hautain l’agaçait, mais je me devais d’être ferme le plus rapidement possible pour entrer parfaitement dans mon rôle de femme dirigeante.

Je l’attendais dans le bureau de Marc. Cinq minutes passèrent avant que je la vis arriver toute penaude dans la pièce.

« Bon c’est mieux comme çà ! Tu feras aussi un effort sur ton épilation. Bon le bureau de Marc va devenir le mien à compter d’aujourd’hui. Je voudrai donc que tu m’aides à faire le déménagement. Tu prendras mon bureau. »

« Mais pour l’accueil ? »
« On avisera. Je t’aménagerai des créneaux horaires d’accueil et d’autres d’assistanat. On va trouver une solution, je ne suis pas inquiète »
Elle s’apprêtait à sortir du bureau quand …

« Attends un peu avant de partir » debout devant elle, je commençai à déboutonner mon chemisier, ouvrir la fermeture éclair du coté de ma jupe. Ma lingerie était faite de dentelle et avait une ressemblance frappante avec la nouvelle couleur de ma voiture. Je dégrafai mon soutien gorge et retira mon petit shorty.

« J’aime bien cette coutume de travailler nue ! Par contre je n’aurai plus besoin de cela. »
Délicatement j’écartai mes jambes pour venir y glisser ma main entre mes cuisses. Un doigt puis un second viennent fouiller mon sexe pour en extraire l’œuf vibrant que j’avais pour obligation de porter pendant mes heures de bureau.

« Il t’en revient la charge maintenant de le porter à chaque fois que tu seras au bureau. Je ne tolérerai aucun manquement. Ai-je été claire ? »

« Oui Manue »
« Madame ! »
« Oui Madame » elle saisit l’objet qu’il lui était tendu et se l’inséra devant moi.
« Très bien tu peux disposer »

Marc avait eu la gentillesse de me laisser la télécommande, j’avais continué à mettre l’œuf vibrant tout ce temps par peur de représailles mais cela faisait un moment qu’il ne l’avait mis en action. Je comptais bien lui faire reprendre du service.

Je savais ce qu’il pouvait provoquer comme effet. Je voulais en avoir le cœur net. J’actionnai donc le petit bouton et augmenta le potentiomètre quasiment au maximum de sa graduation.

J’entendis dans le bureau mitoyen un petit cri suivi de quelques affaires qui tombèrent au sol. La jolie rousse venait de ressentir l’œuf vibrer dans son ventre. J’avais eu ce même effet de surprise.

Nous passâmes toutes les deux l’après midi totalement nues à faire des allers et venus d’un bureau à l’autre.

17h bien repu de notre après midi mais point moins satisfaites de nous, nous étions arrivées à bout de ce réaménagement d’agence.

« Quand est ce que nous devons aménager dans votre appartement Madame ? »
« Marc me disait peut être vendredi. Mais selon il n’y arien à prévoir. Il sera déjà entièrement meublé. Il a fait appel à un de nos gros clients qui est architecte d’intérieur afin qu’il gère tout l’agencement du loft. Bon et si on fêtait cela ce soir ? On appelle Audrey, Mathias et Fred et on leur donne rendez vous au Roscanvec. C’est moi qui invite pour une fois que je peux ! Tu te charges d’organiser çà et après tu peux rentrer. Ce sera bon pour aujourd’hui. »

Elle se retourna pour aller à son bureau et m’offrit une jolie vue sur son fessier. Dire que maintenant je pouvais en faire ce que je voulais.

20h30 –

Émilie s’était bien gardée de dire à mes invités le pourquoi de cette invitation si soudaine, et en pleine semaine.

C’est Mathias et Audrey qui arrivèrent les premiers accueillies par Émilie. Chacun avait fait un effort vestimentaire pour cette occasion et Audrey n’avait pas lésiné sur une robe moulante qui nous offrait une magnifique vue sur son corps voluptueux.

Frédéric arriva très peu de temps, lui aussi c’était mis sur son trente et un, et avait sorti la veste pour l’occasion. A ce moment nous continuions à nous voir mais notre relation commençait tout doucement à glisser.

Ne me voyant pas venir, ils décidèrent de s’installer. Ils étaient tous très interrogatif à l’égard d’Émilie essayant de glaner quelques infos. Mais la jeune étudiante se murait dans son mutisme.

Le suspense allait bientôt être levée je fis mon apparition dans le bar. Je m’étais fait belle pour l’occasion et à en voir les yeux ébahit de Mathias mais surtout de Frédéric, je devais faire mon effet.

Ma jupe était courte et la dentelle de mes bas se laissait facilement entrevoir à chacun de mes pas. Mon petit chemisier blanc n’était fermé que de quelques boutons et laissait entre voir un nouvel ensemble rouge caraco.

D’autres hommes d’affaires qui étaient en train de diner avaient fait l’effort de tourner leur tête en ma direction et me dévisageaient de manière alléchante.

Je sentais un qui était plus insistant sur mon fessier, où ma fine lingerie se faisait légèrement surprendre.

Ceci avait pour don d’agacer Frédéric, je m’installai donc à table et interpella la serveuse pour lui demander de servir à mes invités une bouteille de champagne.

« Et ben ma belle qu’est ce qu’il a de si particulier pour que nous ayons même droit à du champagne ? »

« Oh mon petit Mathias, c’est bien simple. Je viens d’être nommée directrice de l’agence à compter d’aujourd’hui midi. Et c’est donc tout naturellement que je voulais le fêter avec vous. »

Cette annonce déclencha une effusion de joie chez mes amis, tous contents de ma nomination. Pour eux cela était amplement mérité, et qu’il me connaissait mon coté sérieuse et travailleuse. Malgré tout ce qu’on pouvait penser sur Marc et ses pratiques peu orthodoxes cela en restait tout de même un homme d’affaires aguerri et très professionnel dans ses choix.

Mathias et Audrey étaient d’un enthousiasme partageur tandis que Frédéric était plus sur la réserve à l’annonce de cette nouvelle. Il savait que cette nomination pourrait avoir des conséquences sur notre couple.

Les questions de mes amis fusaient et me devait de répondre aux mieux. Je leur annonce aussi pour Emilie. Le repas était jovial et les bouteilles de champagne et de vins défilèrent sur notre table.

00h30 – Nous décidâmes enfin de sortir du restaurant. Nous ne pouvions pas nous laisser comme çà sur le trottoir d’un restaurant. L’appartement d’Émilie n’était qu’à quelques encablures d’où nous étions, Mathias avait réussit à négocier avec le restaurant pour acheter une dernière bouteille de champagne que nous allions boire chez mon assistante.

Nous étions tous les cinq bien éméchés et dans un état de franche camaraderie. Cela me donnait du baume au cœur de nous retrouver ainsi complices.

00h45 – Arrivée dans le hall de la résidence de chez Emilie, l’atmosphère prenait une tournure différente et l’alcool nous aidant. Frédéric par le pouvoir de l’alcool se décontractait et prenait le bon coté de la soirée en venant se lover à moi. A peine arrivé dans le hall devant la porte de l’ascenseur que ses mains baladeuses parcouraient mes hanches et venaient caresser ma poitrine. Devant ce spectacle Mathias voyait les choses plus en grand et quant à lui il se lovait à Audrey mais aussi à Emilie. Il les embrassait une à une chacune à leur tour.

La robe d’Audrey se levait au fur et à mesure que l’ascenseur descendait. Pour au final être totalement retirée. Elle se retrouva ainsi en string à la vue de tout le monde. Voyant cela je quittai Frédéric pour aller à sa rencontre et embrasser sa généreuse poitrine. Ma main foulait son petit bout de tissus restant pour venir titiller son petit bouton. Nous nous embrassions langoureusement.

« Emilie, va t’occuper de Frédéric. Ne le laisse pas planter là. »

Je voyais bien que ce n’était pas de cela qu’avait envie mon petit ami, mais peu m’importait. J’allais où mes envies me guidaient. Pendant que mon visage disparaissait entre les seins majestueux de ma copine, Mathias me tâtait les fesses au travers de ma jupe.

La porte de l’ascenseur s’ouvrit enfin, et nous y entrèrent. Ma jupe était maintenant relevée et mon fessier ainsi livré. Il écarta ma lingerie et inséra un doigt dans mon sexe.

« Pouahh ma parole t’es déjà dégoulinante ! » ni une, ni deux. Il déboutonna son pantalon, baissa son boxer et me pénétra par derrière.

« La vache, je ne t’ai jamais connu aussi pénétrable ! » Je ne pouvais lui répondre tellement occupée à caresser la langue d’Audrey avec la mienne. Ses coups étaient forts et intenses.

L’ascenseur arriva à destination et la porte s’ouvrit. Par chance le couloir était vide. Nous nous extirpions de la cabine mais la situation étant trop excitante il était encore trop tôt pour nous de rentrer dans l’appartement. Mathias me plaqua contre le mur et continua de me pénétrer sauvagement. Audrey s’accroupie à coté de lui et saisissait son sexe quelques secondes en bouche avant de revenir me pilonner. Elle profita aussi de l’occasion pour finir de déboutonner mon chemisier pour me le retirer, ainsi que mon joli soutien gorge. Ma petite poitrine ballotait maintenant dans le vide sous les assauts de mon ami viril.

Il se retira et voulu changer de partenaire, la situation l’excitait tellement qu’il était bien décidé à poursuivre nos ébats ici. Il s’allongea sur la moquette du couloir, Audrey le chevaucha, ne prit même pas la peine non plus de retirer son string, l’écarta seulement et viens s’empaler sur son sexe. Je m’approchai pour venir soutenir ses seins et l’embrasser. Je retrouvais enfin mes premières sensations de baise entre amis.

Frédéric était, quant à lui, sagement en train de se faire sucer par Émilie qui se tenait à genoux devant lui.

« Reste pas comme çà Emilie, tout le monde est déjà à part toi. Allez retire tout ! » elle marqua donc une pause dans sa fellation pour se déshabiller intégralement. Je pu constater qu’elle avait fait un effort suite à ma remarque du matin et s’était totalement épilé le sexe. Quand son petit abricot était ainsi chouailler cela lui conférait un corps de jeune fille à peine majeur. Sans doute accentué par sa toute petite poitrine.

Audrey me laissa la place et à mon tour je chevauchai le sexe de Mathias. Il me malaxait les seins de manière très forte, mes tétons en ressortaient tout dressés. C’était bien la première fois que je m’envoyais en l’air dans le couloir. La scène était assez burlesque, une partouze dans un endroit aussi public.

Frédéric assistait, enfin devrais je dire « subissait » la scène. Cela pouvait se lire sur son visage que ce n’était pas du tout çà qu’il espérait. Certes Émilie savait y faire en fellation, même qu’elle s’acharnait à lui offrir des gorges profondes.

C’était une sensation divergente, malgré toute l’affection que j’avais pour lui je ressentais plus le désir de devoir lui donner envie que de le satisfaire. Ca me faisait plaisir de le voir ainsi me désirer sans pouvoir me toucher et surtout de voir que je prenais mon pied en dehors de lui. Je sentais bien qu’au fond de lui il était en train de regretter de m’y avoir amené à cette libération sexuelle.

Mathias était heureux et n’avait qu’a disposer, Audrey et moi nous relayèrent chacune à notre tour sur son sexe en plein milieu de ce couloir.

« Putain je vais jouir les filles. »

Ni une, ni deux, Audrey se dégagea de lui et vint se mettre à genoux devant lui pour venir prendre sa giclée. A mon tour je viens me tenir prête aussi à recevoir le nectar. C’est dans la bouche d’Audrey qu’il éjacula, elle prenait garde de ne pas avaler et de garder la bouche bien ouverte pour tout contenir.

Quand il eu finit de se vider, j’ouvris ma bouche, elle se mit un peu au dessus de moi et fit couler de sa bouche l’épais liquide blanc encore chaud.

J’avalai tout d’une traite.

« Émilie, fais en de même avec Frédéric ! » Sous mes ordres elle accentua sa fellation et malaxant bien ses testicules pour faire monter un peu plus vite la semence. Même pas deux minutes suffirent pour qu’il à son tour éjacula. Émilie rampant sur le sol en prenant garde de ne rien perdre vint à sont tour me donner la becquée.

J’aimais son gout, il était sucré.

Nous rentrions enfin dans l’appartement où toutes les trois nous nous laissions aller à une belle relation lesbiennes.

Émilie était au centre de tout et nous en disposions comme bon nous semble. Je voulais lui offrir un bon moment et invita les garçons à l’honorer pendant qu’Audrey et moi étions sagement en train de nous caresser langoureusement tout en appréciant le spectacle.

C’est Mathias qui reprit de la vigueur le premier et commença à pénétrer la petite. Il la fit se mettre à genoux sur son clic clac, le torse reposant sur le dossier. Il lui écarta les cuisses pour venir tâter son petit orifice. Il avait décidé de s’offrir la primeur de son cul. Il s’efforçait de saliver sur son index et venir lubrifier tant bien que mal la petite partie rose.

« J’ai du lubrifiant dans la salle de bain. » dit elle
« Non t’inquiète t’es une grande maintenant. Tu vas bien pouvoir accepter ma bite comme çà. » Et il vint tout de suite présenter son organe. Il poussa le plus régulièrement et ne relâchait jamais sa pression. Son sexe gagnait du terrain et l’anus de la jeune rousse se dilatait suivant l’avancée. Sa poitrine se plaquait voire même se comprimait de plus en plus contre le coussin tellement Mathias y mettait tout son poids. Il était bien décidé à la sodomiser en seule fois. Il arriva çà à lui arraché un cri sourd preuve qu’il venait enfin de la transpercer. Son sexe tapait maintenant au fond. Il prit tout de même la peine de laisser couler un filet de bave entre son sexe et l’orifice ouvert de la fille et entama un va et vient. Tout d’abord doucement pour bien lui laisser le temps de s’ouvrir et une fois que le passage se faisait moins étroit, sa cadence accélérait. On entendait ses testicules claquer contre son vagin, avec ses mains il écartait bien l’entre cuisse de mon assistante pour ouvrir toujours un peu plus son petit cul.

Voyant que Frédéric était à nouveau opérationnel, il lui donna sa place. Sans grande conviction mon petit ami, obstrua de son sexe l’immense trou béant. Comme son sexe était plus petit que celui de son ancien camarade de classe, il s’engouffra s’en difficulté. Il commence non châlant un va et viens entre les cuisses.

« Putain mais Frédo qu’est ce qui se passe ? Mais baises là bon dieu. Défonce là ! »

Mathias le fit se retirer pour reprendre sa place.

« Regarde mon pote comment faut la secouer ! » Il pilonnait énergiquement Émilie, qui ne pouvait se retenir de crier sous les coups.
« C’est pas la première fois qu’on l’encule en plus. Allez vient on va la prendre en double »

Mathias s’assit sur le canapé et la fit monter sur lui, dos à lui. Se sentant bien serré dans son cul il continua à la prendre comme cela. Il lui écarta les jambes pour faire de la place à son ami et l’inviter à la baiser.

« Allez vient mon pote, sa chatte est encore toute fraiche. » docilement Frédéric investissait le sexe humide d’Émilie, qui ne savais plus où elle était tellement envahie par le plaisir. Mathias serrait très fort sa petite poitrine pour accentuer encore plus, l’effort sexuel.

Les deux hommes étaient en train de la violenter mais elle avait été à bonne école elle aussi. Et en plus d’avoir connu les idées de Marc, elle s’était aussi faite prendre par Jean Pierre. Et après avoir connu Jean Pierre, on est capable de tout accepter.

Le supplice de la double pénétration dura de longues minutes, quand ils sentirent qu’ils étaient sur le point de jouir, ils se désolidarisèrent d’elle pour la mettre au sol à genoux entre eux et chacun vint jouir sur ses seins. Malgré le fait qu’ils aient déjà éjaculé il ya quelque temps, leur foutre cumulé était suffisant pour bien napper ces deux protubérances.

C’est vraiment lors de cette soirée, que je me suis rendu compte d’où était ma place maintenant.
par manukib56
#1680191
Rupture non conventionnelle

25 juillet 2014 –

Voilà maintenant un peu plus de quatre mois, que j’ai pris mes responsabilités au sein de l’agence.

Avec Emilie on ne sent sort pas trop mal, Marc essaye tout de même de passer tous les deux semaines (généralement le mercredi, comme par hasard) à l’agence pour faire ce qu’il appelle un CODIR. (Conseil de direction).

Le coté rassurant c’est qu’il se tient toujours disponible pour moi au téléphone pour toutes questions que je pourrai avoir.

Ma vie a donc beaucoup changé surtout du fait de mon emménagement dans mon grand appartement. Je consacre beaucoup de temps à mon travail et de plus en plus nos points de vue avec Frédéric mais surtout nos centres d’intérêts divergents. Cela en devenait trop conflictuel, j’ai donc pris la douloureuse décision de mettre un terme à notre relation. Mais pour cela je voulais aussi avoir ma petite vengeance et bien lui montrer qui j’étais devenu à cause (ou grâce) à lui.

C’est quand même lui qui m’a poussé dans les bras de mon propriétaire pour me prostituer, c’est quand même qui m’a présenté à Mathias pour me partouzer avec lui. Il n’a jamais montré le moindre gène à me laisser vulnérable dans les bras de Marc ou même Jean Pierre.

Combien de fois a t’il prit son pied à me voir m’enfourcher sur le sexe surdimensionné du sexagénaire. Se plaisir qu’il avait à me voir enduit de tout le foutre de ces hommes.

Même si maintenant j’assume pleinement ce que je suis devenue et que je parts du principe de ne jamais rien regretter. J’ai tout de même décidé de taper fort lors de notre rupture. Comme il a toujours aimé me voir me faire prendre par un autre homme que lui, cette fois-ci j’allais le devancer.

Je me suis donc inscrite à un site de rencontre gratuit, Badoo pour ne pas le citer. (Ne perdez pas votre temps à me chercher dessus, j’ai bien évidemment prit un pseudo).

Assumant maintenant ma féminité et pour éviter les modérateurs j’ai posté une photo de moi lors de mes dernières vacances d’été à Quiberon. Je pensais bien que le maillot deux pièces aurait son effet. Je me suis mise donc en chasse du parfait inconnu mais avec des critères que je m’étais imposée.

J’ai eu le plaisir de constater que mon annonce plaisait à plus d’une personne. Très vite ma boite mail fut envahit de plusieurs prétendants aux profils très divers. Les romantiques qui ont préféré mettre l’accent sur le texte, d’autre qui misaient tout sur leur physique en envoyant leur plus beau selfie, certains allaient même en m’envoyant directement la photo de leur sexe. Bref tous un éventail bien garnit.

Un mail ressortait plus des autres par rapport aux critères que je m’étais donné. Maxime, 29 ans franchement pas très jolis garçon, rondouillet, déjà un peu dégarni, une peau marquée par l’acné, dans l’échancrure de sa chemise sur sa photo de profil on pouvait s’imaginer qu’il devait aussi avoir une sacrée pilosité sur le torse. Bref, rien ne souriait à ce pauvre jeune homme. Il vivait sur Elven (commune pas très loin de Vannes) et était technicien agricole.

Son mail était truffé de fautes et surtout il se dévalorisait à chaque phrase.

« Vu votre profil, je sais bien que mon mail restera sans réponse »
« Je n’ai jamais su séduire une jolie fille »
« Je n’ai eu qu’une relation sexuelle »

Bref la complainte du pauvre type. Et bien casse la tienne, cet étalon me conviendrai très bien.

Je décidai donc de répondre à son mail, en lui invoquant des phrases types :

« Votre mail m’a émue au plus haut point. »
« Je ne m’attarde pas aux physiques des gens mais à leur vrai valeur »

Le rendez vous est prit, je l’invite à prendre un verre. Pour essayer de garder l’anonymat, je préfère ne pas l’inviter dans mon nouvel appartement et lui propose d’aller dans l’ancien appartement d’Émilie. Que Marc avait gardé mais toujours pas reloué.

En parallèle je convie aussi Frédéric aussi à cette même adresse, lui prétextant qu’on serait plus tranquille dans cet appartement.

J’avais donc rendez vous avec Maxime ce 25 juillet 2014 à 18h, tandis que Frédéric avait reçu comme invitation 19h30. Ce qui me laissait une heure trente pour séduire ce jeune homme.

J’avais mis le paquet pour qu’il me tombe rapido presto dans mes bras. Une petite jupe courte blanche à volant, un petit débardeur sans soutien gorge, un petit string blanc en légère dentelle et une paire de sandale. Voilà tout. Le strict minimum pour je l’espère un maximum d’excitation.

Je l’attendais patiemment dans l’appartement. Il était à l’heure. 18h00, il toqua à la porte. Quand il me vit la première j’ai bien cru qu’il allait me faire une crise cardiaque le pauvre.

« Ca ne va pas ? »
« Si si mais je me rends compte que vous êtes encore plus belle en vraie »
« Oh tu es trop mignon. Merci ! Vas y rentre, ne reste pas sur le palier. »
Je pris soin de ne pas claquer la porte.

Nous entrâmes dans la pièce de vie où les meubles d’origines étaient restés. Émilie n’en avait pas besoin chez moi, car lui aussi était meublé. Je l’invitai à s’asseoir sur le canapé et m’installa devant lui dans le fauteuil. Son front ruisselait de sueur et sa tête était baissée de peur de croiser mon regard. Ce n’était pas gagné.

« Enlève ta veste tu dois avoir chaud ? »
« Heu oui. En fait non ! Je … »

Je du donc me lever pour venir m’asseoir à coté de lui et lui ôter moi même sa veste. Son regard tomba au niveau de ma poitrine et vis à travers le tissu mes petits tétons pointer, j’ai cru qu’il allait exploser dans son pantalon.

J’essayais de le questionner sur sa vie pour le détendre un peu plus, de parler de son travail, de ses hobbies etc …

Il me répondait gentiment mais toujours de manière brève.

« Mais pourquoi une fille comme vous s’intéresse à un garçon comme moi ? »
« Oh c’est simple, toi au moins tu ne te la raconte pas. Tu sais les beaux mecs, sont pas souvent les meilleurs coups. »
Quand j’eu dit cela j’ai bien cru qu’il allait s’étouffer. Mais fallait plus que je ne perde de temps. Frédéric allait bientôt arriver.

Ma main se posa sur la jambe droite, et très doucement je caressais le dessus de sa cuisse. Il n’osait bouger.

« Tu as déjà connu une fille ? »
« Heuuuuu oui. Mais une fois »
« Mmmmh raconte moi » ma main glissait sur plus en plus de distance.
« En fait c’était par hasard, c’est un peu compliqué c’était la cousine d’un cousin. Mais y’avait rien de parenté entre nous. »
« Intéressant, monsieur est un peu coquin alors »
« Oh non vous savez … En plus ca n’a pas duré longtemps (…) »

Je ne l’ai pas laissé terminé et ai pris les devants en l’embrassant. Ma main se posa sur son sexe et sans que je m’en aperçoive avant, il était déjà bien tendu. Après se baiser, je me suis levée devant lui, et debout entre ses jambes je retirai mon débardeur pour lui montrer mes petits seins.

Ses yeux étaient comme envoutés par le spectacle qu’ils étaient en train d’assister. Je fis descendre ma petite jupe et dans un demi-tour sur moi même lui offrit la vision de mon petit postérieur et de son string.

« Ne me dis pas que tu n’avais jamais vu une fille en string avant. »
« Ben à part à la télé non »
« Soit pas si timide que çà, vient toucher. »
Timidement il vint poser ses mains sur mon fessier, mais jamais ca ne lui serait venu à l’idée de me les peloter, voire même tâter. Je ressentais un certain dégout de me faire ainsi toucher par un type pareil, mais je me devais de me tenir à mon objectif.

Je retourne donc en face de lui, et baissa mon petit string en le laissant tomber à mes pieds. Mon sexe imberbe apparut à lui, il était à la hauteur de son visage et ne pouvait être à meilleur loge pour l’admirer.

Je levai ma jambe gauche pour la poser à coté de sa cuisse droite sur le canapé. Ma vulve est ainsi ouverte face à son visage.

« As tu déjà lécher une fille ? »
« Heuu non, jamais. »
« Approche ta tête. »

Son visage bouffi s’approcha de mon abricot et après quelques baisers mal placés, il sorti enfin sa langue et parcourait tout ou parti de mon sexe sans vraiment trop savoir où aller.

En plus de n’être pas beau garçon il s’avérait qu’il était totalement inapte au sexe. Je m’assieds à califourchon sur lui et l’invita à venir prendre en bouche mes seins. Ce jeune avortons pour le coup s’y prenait un peu mieux avec ma poitrine et venait me téter comme un enfant sur les mamelles de sa mère. Ca avait au moins le mérite de provoquer quelque chose chez moi. Je sentais à travers son pantalon son sexe dur, pendant qu’il était occupé à m’aspirer mes tétons, je m’attaquais à lui déboucler sa ceinture et lui ouvrir le pantalon. C’est à moment ci que j’entendis derrière moi une voix.

« Manue tu es là ? » C’était Frédéric qui était arrivé, et s’étonna de trouver la porte entre ouverte. Il poussa la porte d’entrée passa le petit couloir pour arriver dans le petit salon et me découvrit nue assise sur les genoux de ce parfait étranger.

« Mais qu’est ce que … »
« Ben quoi, tu ne vas pas me dire que tu es choqué, toi qui a toujours voulu me voir baiser avec d’autres hommes que toi. Je te présente Maxime »
« Heu excusez moi, je crois que je vais aller. »
« Non reste là Maxime, ne t’inquiète pas mon ami à l’habitude de me voir ainsi dans les bras des autres. C’est un peu son kiffe si tu veux tout savoir. Et le monsieur te serrai très reconnaissant si tu me baisais bien devant lui. Hein n’est ce pas Frédéric. » J’embrassai à pleine bouche le pauvre malheureux, je sortais volontairement ma langue de sa bouche pour bien lui montrer nos deux langues s’entre lasser. Ma main glissa entre son pantalon et son ventre bedonnant cherchant sa lance. J’eu un peu de mal à al trouver, c’était loin d’être un étalon, ca sera encore plus humiliant. Je glissai légèrement en arrière pour venir me mettre à genoux, j’agrippai le haut de son pantalon et le fit glisser à ses chevilles. Son petit sexe dur apparut masqué par le bas de son ventre.

Fermant les yeux pour m’éviter ce spectacle, je fermis ma bouche autour de sa verge. Son odeur et son gout étaient forts et me donnaient des relents. Mais je me devais de continuer. J’avais peur qu’il ne puisse se retenir et me gicle dans la bouche. L’avantage avec ce type de sexe, c’est qu’on peut aisément prendre tout l’appareil génital en bouche sans ressentir la sensation d’étouffement. Face au plaisir buccal, il a surement du se remémorer tous les films pornos qui avaient pu voir tout seul devant son ordinateur avec son rouleau de Sopalin et se senti pousser les ailes. Il voulu retranscrire ce qu’il avait pu voir des performers. Ses mains s’agrippèrent à mes cheveux et son sexe appuyait un peu plus dans ma bouche. Il quitta une main pour venir malaxer mon sein droit. Ces gestes étaient maladroits et me le serrait très fort sans comprendre que cela pouvait me faire mal. Mais j’étais habituée maintenant.

Frédéric était là, abasourdi, sans voix, témoin de voir que sa petite amie, timide complexée, studieuse, qu’il qualifiait de coincée était devenue une vraie salope prête à tout. Avec aucunes limites.

Je m’extirpai de l’entre jambes de Maxime, et me dirigea vers Frédéric et l’embrassa à pleine bouche.

« Tu sens l’odeur de son sexe ! Tu as vu mon nouvel amant ? J’aime baiser avec lui, m’envoyer en l’air. Tu ne peux pas t’imaginer comment sa petite bite me procure du plaisir. »

Avant de retourner vers l’agriculteur, je pris dans mon sac un préservatif et vint lui passer le capuchon. Je me retournai dos à lui pour bien faire face à Frédéric, ma main droite passa derrière mon dos pour saisir le sexe de Maxime, et je surenchéri en venant directement le positionner sur ma petite auréole rose. Je savais que j’étais capable de m’enfourner sur ce gabarit sans aucune préparation. Et lentement je glissais sur son sexe pendant que mon regard ne lâchait pas celui de mon ex petit ami.

« Regarde çà Frédéric, il me prend par le cul tout de suite. Tu as vu comment il me rentre dedans. Il m’a prit jusqu’à la garde. Oh le salaud il me baise le cul là ! T’aime çà quand un homme me prend le cul. Mais c’est qu’il me défonce avec sa petite bite. » Je ne cessais de coulisser sur son organe tout en narguant vulgairement mon voyeur.

« Tu l’entends comment il jouit. Est ce que je le baise bien ? Ca te convient ? Je suis une bonne salope comme tu aimes ? En tout cas sa bite est bonne, elle entre bien là. Mmmmh quel délice ! Ca te plait de me baiser Maxime ? Dis au monsieur comment tu es bien dans mon cul. »

Le pauvre n’osait répondre, déjà qu’il avait très peu d’expérience avec les filles mais là de sodomiser une fille qu’il ne connaît pas devant son ex petit ami, il en était tout retourné. Son souffle sur mon dos se faisait plus saccader, je compris qu’il était sur le point de jouir. Je me devais donc de faire encore un petit effort pour bien continuer dans ma lancée. Je me retirai donc m’accroupi face à lui. Retira in extrémis le préservatif et pu recevoir son liquide chaud sur ma bouche et mes seins. J’enfermai son sexe à demi mou entre mes deux seins et le fit coulisser dans son foutre. Ma langue venait titiller son gland, je ne pouvais malheureusement faire plus car son sperme était très âpre et quasi impropre à la consommation.

Ca en devenait trop pour Frédéric qui préféra quitter l’appartement, c’est à compté de ce jour que notre couple à officiellement cessé d’exister.
par manukib56
#1683229
Mon premier stagiaire

Aout 2014 – septembre 2014

Je commence enfin à prendre mes marques au sein de l’agence et les retours clients ou ne serait ce que de Marc sont bons, ce qui m’encourage à me dire que je ne dois pas si mal me débrouiller.

Émilie et moi sommes bien rodées maintenant. Elle m’aide beaucoup dans les taches quotidiennes que ce soit au travail ou à l’appartement. Elle a très bien compris qu’elle me devait obéissance et se voue un certain plaisir à me satisfaire dans mes moindres désirs.

Le mercredi nous nous retrouvons nues toutes les deux au travail et il n’est pas rare, que je l’appelle pour la faire passer sous mon bureau. Je lui offre mon sexe à lécher pendant que j’active avec ma télécommande son petit œuf vibrant et çà plusieurs fois dans la journée. Au travail, certains font des pauses café, clopes etc moi c’est pause cuni par mon assistante. Et la décontraction est tout autant jouissive.

Le soir quand nous rentrons à l’appartement, souvent Émilie arrive avant moi. Je traine toujours un peu plus au boulot pour finaliser deux trois trucs en sachant que je ne serai pas dérangée par des appels téléphoniques ou visites de clients impromptus. Elle a pour obligation d’être habillée seulement d’un string. J’aime arriver, le soir, éreintée de ma journée, ouvrir la grande porte d’entrée et la voir ainsi habillée pour venir me débarrasser. Je l’embrasse générale à pleine bouche comme un jeune couple heureux de retrouver son conjoint après plusieurs semaines. Ma vie « homosexuelle » me plait même si cela ne remplacera jamais la présence masculine et les rapports physiques que l’on peut avoir avec un homme.

J’avais invité Marc à venir diner à la maison pour lui parler d’un sujet à propos du boulot. Ne pouvant pas venir ce mercredi en question, j’ai tout de suite lancée l’invitation pour la maison. L’occasion pour lui de voir aussi comment nous étions installées.

Avec nos emplois du temps bien rempli, j’ai fait appel à un traiteur pour nous livrer un diner à domicile. Quel ne fut pas le bonheur du livreur de voir Émilie l’accueillir à la porte avec seulement un déshabillé. Je lui avais demandé à ce qu’elle enfile un petit top (transparent tout de même), on ne sait pas sur qui on pouvait tomber.

Le temps de boucler quelques dossiers, envoyer quelques derniers mails et le week-end venait enfin de s’annoncer.

Je ferme l’agence, monte dans l’audi, passe vite fait chez le pâtissier pour passer prendre le dessert et arrive à l’appartement sur les coups de 19h – 19h30

Émilie vint me décharger les bras et je file sous la douche pour me préparer. Elle avait déjà tout préparé, la table, sur la petite table du salon, les verrines et autres petites mises en bouche pour l’apéritif étaient présentées.

Je m’habillé le plus simplement possible, une petite robe légère avec seulement un petit boxer en lingerie. Il faisait suffisament bon dans l’appartement pour être vêtue ainsi. De toute façon avec la tenue exigée d’Émilie je me devais de faire en sorte que la température ambiante soit toujours agréable. La pauvre devoir se pavaner tous les jours à moitié nue, seulement pour mon bon vouloir et mon plaisir.

20h15 – Marc sonna à la porte. Émilie se rendit à l’interphone pour lui ouvrir le portail. Sa grosse berline se gara à coté de ma petite Audi rouge. Il toqua à la porte, c’est Émilie qui bien entendu l’accueillit.

« Et ben dis donc ! Je vois que Manue a gardé les bonnes coutumes. C’est juste pour ce soir ? »
« Non elle exige que je sois ainsi tous les jours passées cette porte. »
Il lui pinça le téton droit.
« Ca manque un peu de fraicheur alors ! Dis moi ca fait combien de temps qu’on n’a pas baisé tous les deux ? »
« Oh quelques mois, vous ne venez plus souvent sur Vannes vous savez. Rentrez, je vous en prie. Manue ne devrait plus tarder elle est en train de se préparer. »

J’arrivai enfin habillée de ma robe bustier fuchsia.

« Marc, vous voici ! Avez vous fait bonne route »
« Toujours aussi radieuse ma petite. Je dois une nouvelle fois te féliciter du travail que tu fais sur Émilie. »
« Ecoutez, je ne peux pas m’en plaindre. C’est une très bonne fille, studieuse dans son travail et très docile. Je vous en prie passons dans le salon. »
« J’ai eu Jean Pierre sur la route, il me charge de te passer le bonjour, et de te dire que ta compagnie lui manque. »
« Qu’il n’hésite pas à passer à l’agence quand il est sur Vannes, on pourra toujours boire un café. »
« Des nouvelles de tes copains ? »
« Oui Mathias et Audrey je les cotoye toujours. Cela nous arrive de boire un pot sur Vannes à l’occasion. Frédéric beaucoup moins, c’est plus sporadique. Il vit assez mal notre rupture. Mais je ne vous ai pas racontez comment nous nous sommes séparés. »

Le sujet de discussion de l’apéro c’est donc tout naturellement porté sur le récit de mon histoire avec Maxime. Marc était subjugué par ma prise de décision et ce dont comment j’avais évolué.

Nous passâmes à table, et la discussion plus sérieuse est abordée. Je lui présente quelques chiffres de l’activité de l’agence, énumère un peu les dossiers sensibles et surtout la charge de travail qui augmente par la complexité des montages financiers. Je soutien qu’Émilie m’apporte une grande aide dans la partie administrative et suivi de dossier. Relance, courriers etc … mais pendant ce temps le travail du relationnel avec le client est un peu délaissé par la non présence d’une personne à l’accueil.

« Je ne pense pas que notre plan comptable nous permette une embauche franche, mais l’idée d’un stagiaire un peu comme moi en alternance me paraît judicieuse, suffisamment subventionnée pour que çà n’impact pas trop le bilan 2014 -2015. Et cela déchargerait un peu Émilie qui pourrait ainsi se consacrer un peu plus à l’accueil clientèle. »

Marc semblait convaincu par ma plaidoirie et trouver ma façon de penser assez judicieuse.
« Ecoute Manue, tu gères à merveille cette agence. Tu as carte blanche. Je te laisse donc lancer le recrutement de ce stagiaire. Si pour l’année cela semble convenable on pourra rediscuter d’une embauche. »

Ca y ‘est j’avais enfin mon feu vert pour effectuer ma première embauche. Cette fois ci c’est moi qui serait derrière le bureau et décisionnelle.

Prenons le café et le dessert dans le salon, qu’en pensez-vous ?

Marc et moi allions nous installer dans le salon, pendant qu’Émilie débarrassait la table et nous préparait nos cafés et les macarons que j’avais été cherché à mon retour du travail.

« Dis moi Manue, tu profites d’Émilie de temps en temps ? »
« Oh oui régulièrement. J’aime la faire venir sous mon bureau. Vous lui avez appris à bien sucer un sexe d’homme mais je peux vous dire qu’elle sait y faire avec celui d’une femme aussi. Vous savez que je lui impose l’œuf vibrant au bureau. Je me délecte du plaisir de la voir se dandiner ! »
« Tu m’impressionnes ! Je suis fier de toi et de ce que tu es venue. Allez viens me remercier ! »

Il agrippa sa main à mon bustier le fit descendre jusqu’à mon nombril et dévoila ainsi ma poitrine à l’air. Sa bouche vint saisir un de mes seins et ses dents pincèrent mon téton pour le faire durcir. Il passa ensuite à l’autre pour une question d’équilibrage.

Sa main fouillait mon sexe et ses doigts entraient et sortaient de ma fente. Il ne ménageait pas non plus mon clitoris, en le pinçant, le tournant, le titillant. Il me fit grimper sur le canapé, debout les jambes écartées au dessus de son visage. Il était en train de me bouffer littéralement. Avec sa langue il me léchait de partout. Plus une zone de mon entrecuisse n’était pas lubrifier de sa bave. Mon sexe était maintenant investi de trois doigts totalement insérés.

Emilie arriva dans la pièce avec le plateau.

« Tiens ma jolie assis toi et regarde comment ta patronne va se faire baiser. »

Il ouvrit son pantalon et sorti son sexe totalement raide.

« Viens me sucer et fait la disparaître bien au fond de ta gorge. Montre le bon exemple à ton assistante. » Je m’appliquai à la tâche et connaissant bien son sexe je savais que je pouvais le prendre en intégralité. Pendant ce temps, il continuait à s’acharner sur mes petits seins en les malaxant violemment.

« Tu veux que je prenne ? »
« Oui bien sur ! »
« Ou veux tu ? »
« C’est vous vous qui décidez et qui disposez »
« Et bien une fois n’est pas coutume, je vais te prendre le cul en premier et viendrai me terminer dans ta petite chatte. Qu’en dis tu ? »
Il me fit me mettre à quatre pattes sur le tapis de mon salon, m’écarta les jambes pour ouvrir le plus grand possible mon postérieur. Ma tête reposait maintenant contre le sol. J’étais cambrée au maximum de mes possibilités. Il vint lécher en salivant abondamment sur ma petite rondelle. Un doigt s’y inséra sans difficulté, suivit d’un deuxième qui ne montra trop de résistance non plus. Son sexe arriva enfin, après un passage pour le moins douloureux de son gland, le reste suivi relativement facilement.

Une fois en butée, il commença ses allers et venus dans mon rectum. Une fois bien ouverte, il s’offrait même le plaisir de se dégager totalement pour me repénétrer d’une traite. Ses testicules tapaient sur mon clitoris ce qui accentuait mon excitation. Il m’écrasait de tout son corps. Il se dégagea une dernière fois et vint tout de suite me pénétrer vaginalement et là commença un petit ballet entre mes deux orifices. Il s’agrippa à mes hanches et dans un dernier sursaut il chercha à aller au plus profond de moi et je sentis ses à-coups qu’il était en train de se vider en moi. Son éjaculation dura un long moment et son sperme chaud commençait à déborder de mes lèvres et couler le long de son sexe. Il se retira enfin après de longues minutes à rester débander en moi. Il ressorti son sexe mou totalement gluant de son foutre mélangé à ma cyprine.

« Reste pas plantée là, viens nous nettoyer » Je restai volontairement dans cette position pour ne pas que le sperme ne coule et Émilie sous mon autorité vint à quatre pattes, elle aussi, me lécher afin de retirer toute trace de semence.
« Nettoies Marc aussi » Le sexe tout mou rentra dans sa bouche elle était obligée de maintenir une petite aspiration pour bien le garder entre ses lèvres pour le nettoyer avec sa langue. Hasard du moment malgré l’air inoffensif de cette verge, elle arriva tout de même à provoquer une autre éjaculation alors qu’il ne s’était même pas remis en érection.

« Et bien elle en fait des progrès, elle a réussit à me faire une gicler une deuxième fois »

Contente d’avoir pu satisfaire mon patron, j’étais heureuse de pouvoir me dire que mon équipe locale allait être étoffée d’un nouvel arrivant.
par manukib56
#1687994
Entretien de débauche

15 septembre 2014

Le feu vert pour recruter un ou une stagiaire m’étant donné par mon patron, je n’ai pas perdu une seconde pour me mettre à la tâche. Je me devais de faire le bon choix sur les capacités mais aussi les compétences qu’allait nous apporter une tierce personne.

Je décidai donc de démarcher directement les écoles de la région et ainsi me voir proposer leurs meilleurs éléments. Pas moins de cinquante candidatures m’ont été soumises des universités et des IUT de Bretagne.

Les profils étaient très diverses avec des aptitudes toutes aussi intéressantes les unes que les autres. J’écartai tout de suite les CV sans photo, vous direz quelle discrimination ! Tout à fait, je voulais qu’en plus de la brillance professionnelle que pouvait nous apporter cette fraicheur il fallait aussi un certain standing dans le physique. Pour le plaisir de mes yeux mais aussi de mes clients.

Mon choix se porta sur cinq potentiels stagiaires : Delphine T, Marion P, David A, Maxime S, Émeline W. Trois jolies filles contre deux jolis beaux mecs le match allait être rude. Du moins c’est ce que leur photo laissait paraître.

Je les convoquai tous le mercredi suivant pour un entretien d’abord collégial.

Mercredi 24 septembre 2014 :

Une fois n’est pas coutume, j’arrivai à l’agence sans passer par la salle de pause avant de rentrer dans mon bureau. Même si maintenant c’était moi la responsable de l’agence et que je n’étais plus tenue par cette règle, j’avais perpétué cette tradition et trouvais un certain plaisir à évoluer totalement nue dans les couloirs de mon agence. Émilie avait aussi pour règle ce jour de garder ses vêtements mais par contre avait l’obligation d’apporter une attention particulière dans le choix vestimentaire qu’elle ferait.

Elle arriva quelques minutes après moi et vint me saluer dans mon bureau. Elle était habillée d’une jupe tailleur bleu marine arrivant mi cuisse et collant parfaitement à sa silhouette. Un petit chemisier satin blanc venait orner le haut et trois boutons ouverts offraient une vue imprenable sur son décolleté où il était aisé de voir qu’elle n’avait pas de lingerie en dessous.
De toute manière, il n’avait qu’à voir la transparence du tissu qui laissait entrevoir la tache plus sombre de ses jolis petits tétons. Sa chevelure rousse détachée retombait sur ses épaules et lui donnait un coté porno chic que j’adorai.

« Belle composition vestimentaire, à la fois sobre mais aussi allumeuse. Vient m’embrasser ! »

Elle fit le tour de mon bureau et vint poser ses lèvres contre les miennes. Ma main glissa sous sa jupe et eu la surprise que même là elle avait omit la lingerie. Son entre cuisse brulante me montrait à quel point sa situation était excitante pour elle. Mon index vint sonder son sexe, qui très vite arriva en butée sur son œuf vibrant. Satisfaite de mon assistante, je la laissai reprendre sa place dans son bureau.

Un dernier coup d’œil pour moi sur les curriculum vitae et j’étais fin prête à recevoir mes candidats.

C’est Maxime qui se présenta le premier à l’accueil, reçu par Émilie. Ces bafouillements à la vision de l’assistance me firent sourire. Le pauvre n’arrivait pas à regarder ailleurs que dans le décolleté de la jeune rousse. Elle le fît patienter dans le patio.

Arriva en même temps Émeline et Marion, qui sont toutes les deux de la même promo. Suivis à cinq minutes prêts de Delphine et David.

Les cinq étudiants avaient fait un effort vestimentaire pour leur premier entretien d’embauche. Les filles étaient sobres mais chic. Seulement Émeline pourtant la mieux foutue des trois avaient préféré le pantalon avec petites chaussures. Elle semblait être plus sur la réserve que les quatre autres.

David quant à lui faisait le petit caïd et arquait une certaine assurance. Marion était je pense la plus belle des trois, cette grande blonde élancée habillée d’un joli ensemble tailleur devait certainement faire tourner la tête à beaucoup d’hommes. En plus d’être grande, ses formes généreuses faisaient une parfaite proportion avec tout le reste. Ses seins devaient être magnifiques me fis je comme réflexion.

Je les invitai à passer en salle de réunion, ou autour de la table ronde chacun devrait motiver ses arguments face aux autres. Maxime toujours sur la réserve répondait toujours justement aux questions mais ne prenait le temps de décliner plus, tandis que les autres même à coté de la plaque enjolivaient leurs réponses par des exemples bidon. Ce jeune homme par son coté un peu coincé intello réveillait ma curiosité.

Je commençais à m’impatienter devant ces jeunots prêts à tout pour ce poste. Je décidai après une bonne heure de confrontation, de les prendre un par un dans mon bureau pour ce que j’appellerai un speed dating.

C’est Marion qui fut la première à rentrer dans mon bureau, mes yeux ne cessaient de scruter son tailleur et l’envie de la voir nue n’arrêtait pas de me traverser l’idée. Pendant qu’elle était en train de me faire son pedigree, je n’arrêtais pas de jouer avec mon petit joystick, je sais que j’agissais directement sur Emilie qui était en salle de réunion avec les autres. Mais ce petit jeu m’était nécessaire pour évacuer mon trop plein de pulsion sexuelle.

Ma jeune assistante sentait son bas ventre vibrer et comprenait que j’étais en train de la manipuler. Ses joues devinrent rouge et une douce chaleur envahie son corps. Elle préféra s’asseoir pour ne pas à avoir à se trémousser devant les candidats et candidates.

L’excitation dont elle était en train de se faire inonder avait une incidence directe sur sa petite poitrine et quasi aussitôt ses tétons pointèrent derrière le tissu. De ce qu’elle me rapporta après Maxime l’avait décelé et devenait aussi rouge qu’elle mais pour d’autres raisons.

Mon entretien avec la plus belle était maintenant terminé, malgré son physique fort agréable ses compétences et sa malléabilité ne me convinrent pas.
Vint ensuite le tour d’Émeline, sa prestation à l’oral ne me convint pas, ce qui ne présageait rien de bon pour un éventuel rendez vous avec un client.

David affirmait trop son coté masculin et pour le coup c’était moi la patronne et comptait bien l’emprise sur mon stagiaire.

Delphine me fît un très beau ressenti. Même si au début je ne l’avais pas vraiment remarquée, mais ces sept minutes avec elle me fit changer d’avis. Cette petite brune, aux yeux un peu bridés avait un joli teint, sa tenue peut être un peu classique pour le coup laissait penser qu’après une bonne séance de relooking, nous approcherions de la perfection. Elle était à la fois timide mais déterminée. Ses réponses à mes questions étaient brèves concises et n’hésitait à me dire quand elle ne savait pas. Son honnête avait le mérite d’être souligné.

C’était au tour de Maxime, de venir dans mon bureau. Ce jeune homme de tous justes vingt ans n’était pas très grand mais semblait être superbement bien bâti. Blond, les yeux bleus lui donnaient un air surfeur. Ce fut d’ailleurs une de mes premières questions.

« Je vous en prie asseyez vous ? Vous pratiquez les sports nautiques ? Bronzé comme vous êtes. »
« Euuh oui, un peu de surf, sinon les étés je suis moniteur de voile légère dans les clubs de la région. »
« Intéressant, j’aime la voile. J’ai déjà eu l’occasion de faire des croisières sur les iles du coin »
Cette brève discussion eu au moins le mérite de le détendre un petit peu.
« Bon parlez moi de vous, de vos compétences et de ce que vous pensez pouvoir apporter à notre agence. »
Sa présentation était très formalisée et on sentait qu’il s’y était préparé et chaque point qu’il m’énonçait avait son importance. Au moins cela avait le mérite d’être efficace et surtout de palier à sa timidité. Sur le plan professionnel je n’avais donc pas trop de remarque à lui faire, il me fallait voir ce qu’il avait dans le ventre.

« Et sinon, le fait d’être subordonné à une femme cela vous pose t’il des problèmes »
« Heuu non, enfin je crois pas. »
« Que pensez-vous du harcèlement au travail ? »
« Je pense que c’est un fléau qui touche malheureusement beaucoup de femmes dans notre pays, j’espère en tout cas que ca se résorbera » Que c’était touchant d’entendre çà, il n’avait pas compris que le harcèlement pouvait aussi venir d’une femme envers un homme.

Émilie frappa à la porte de mon bureau, les sept minutes en compagnie de Maxime étaient maintenant largement dépassées.

« Madame, excusez moi de vous déranger que dois je dire aux candidats ? »
« Écoute Émilie, je n’ai pas fini avec ce jeune homme. Dis leur qu’ils peuvent disposer que mon choix est arrêté sur Maxime. Par contre tu diras à Delphine, la petite brune que son profil m’intéresse aussi. Je la recontacterai peut être courant semaine prochaine pour lui proposer quelque chose. Raccompagne les et rejoints nous en suite. »

« Bon, écoute Maxime pour moi ton profil m’intéresse et je ne vois pas ce qui pourrait bloquer à ta candidature ? Ah si une question, es tu en couple dans la vie ? »
« Pourquoi cette question ? »
« Il faut que tu saches qu’ici les règles de conduites sont assez particulières. Et que pour cela j’ai besoin de savoir si tu es prêt à t’investir dans ton stage pleinement. Sans quoi que ce soit vienne polluer ton travail. Donc ? »
« Non. »
« Non quoi ? »
« Non je n’ai pas de petite copine actuellement. » à peine eu t’il fini sa phrase qu’Émilie rentra dans mon bureau. Comme l’agence était redevenue à nouveau vide, elle était passée dans la salle de pause pour retirer sa tenue de ville et ainsi adopter la nudité du mercredi.
Maxime fit un bond sur sa chaise quand il vit la jeune rousse entrer dans la pièce ainsi.

« Ah Émilie ! Tout le monde est parti ? Bien installe toi. J’étais en train d’évoquer à Maxime certaines règles qu’ils y avaient dans l’agence. Voici déjà une, tous les mercredis, nos bureaux sont fermés au public afin que nous puissions traiter notre administratif sans être dérangé et pour cela afin d’être le plus à l’aise vous avez obligation de travailler entièrement nu. Dès lors où la porte d’entrée est franchie, tout vêtement doit être retiré. Je serai aussi intransigeante sur l’épilation. Regarde comment le sexe d’Émilie est totalement dénué de poils ou autre. N’est ce pas plus joli ? »

Estomaqué par ce qui lui était en train d’arriver, aucun son ne pu sortir de sa bouche seul un hochement de tête me fît comprendre qu’il était toujours parmi nous. Déjà qu’à son arrivé ses yeux avaient du mal à se décoller de l’échancrure du chemisier de l’assistance, cette fois ci c’était tout le corps qui était balayé.

« Un commentaire à faire sur le corps d’Émilie, peut être ? »
« Hein, heuuu non. Enfin je crois pas, j’sais pas. Enfin si … non ! heuuu »
Il était tout décontenancé face à la nudité, à en croire qu’il n’avait jamais vu de corps de fille avant ce jour.
« Ce n’est quand même pas la première fois que tu vois une fille nue, rassures nous ? »
« Non, mais pas comme çà. »
« Entendu, bon Maxime. Nous acceptons ta candidature pour le poste en alternance au sein de l’agence. Je crois que tu as bien compris aussi les accotés qui te seront demandés en plus d’un travail irréprochable. Je vois bien que cela te bouleverse, aussi je te laisse un temps de réflexion. Tu as jusqu’à vendredi 12h pour me donner ou non ta réponse. Dès lors que ta réponse sera donnée, dans les deux cas de figure il te sera impossible de revenir en arrière avec les conséquences que cela pourrait avoir. Émilie veux tu le raccompagner. »

Tout penaud il suivi la jeune fille tête baissé mais bien occupé à lui regarder les fesses.
par manukib56
#1688545
Pas un mais deux, non en fait un !

26 septembre 2014

Le lendemain de ma journée entretien d’embauche, à peine arrivée au bureau le premier mail qui apparut dans ma messagerie était de Maxime. Envoyé le jeudi 25 septembre à 00h21.

« Madame,
Suite à notre entretien d’hier concernant le poste de Stagiaire Organisation comptable des produits bancaires option Assurances dans le cadre de ma formation en licence professionnelle « Sciences de gestion parcours Marketing Vente » au sein de l’UBS, je serai ravi de pouvoir intégrer votre agence.

Conscient de la réputation de votre cabinet et du professionnalisme qu’il en ressort, je mettrai tout en œuvre pour accomplir au mieux la ou les missions qui me seront confiées.

Dans l’attente de votre part,

Cordialement Maxime T.
»

Je transférai donc ce mail à Émilie pour qu’elle prépare son intégration. Sa date effective dans l’agence sera donc le 01 octobre. Hasard du calendrier le 01 du mois tombe un mercredi.

La veille j’avais recontacté Delphine pour la convier à un autre rendez vous, plus privatif afin de lui proposer un autre projet. Connaissant très bien sa formation, car je suis issue du même IUT qu’elle, en plus de son stage elle avait aussi un projet tutoré à rendre. J’avais une petite étude de marché à préparer sur un produit d’assurance professionnelle que je voulais lancer. Faute de temps, il était toujours resté dans les cartons, après avoir brièvement échangé avec Marc au téléphone, il trouvait opportun aussi d’avoir recours à ce genre de service.

Delphine arriva ponctuelle à son entretien, je terminai un rendez vous avec un client et me consacra ensuite à elle.

« Je t’en prie, vas y rentre. Un café ? »
« Non merci.
« Ok si je t’ai fais revenir c’est pour t’exposer un dossier dont je souhaiterai te voir confier pour ton projet tutoré. (…) »

L’explication dura de longues minutes afin d’aborder avec elle toutes les subtilités et la complexité du dossier. Elle semblait bien percuter et ses questions étaient pertinentes.

« (…) donc voilà ce dont j’aurai besoin. Aussi avant toute chose je ne vais pas tourner par quatre chemins avec toi. Même si ta présence à l’agence se fera que de manière très sporadique il y aura des règles à s’y tenir. Notamment vestimentaire, je veux une tenue classe, avec une pointe de sexy. Tu as l’air d’avoir un corps de rêve alors n’hésite pas à en tirer le plus à ton avantage. As-tu un petit ami dans la vie ? »

« Heu non pourquoi me posez vous cette question ? »
« Ici, le harcèlement sexuel n’existe pas car le sexe est totalement libre. Encore j’entends totalement libre par mon bon vouloir. Regardez un exemple. Émilie !? »
« Vous m’avez appelé ? »
« Oui, relève ta jupe et montre ton entre cuisse à cette demoiselle. »
La jeune fille ne voulu pas plus longtemps assister à la scène et quitta mon bureau.

On ne peut pas gagner à tous les coups !
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