- 17 mars 2015, 16:32
#1748938
L’erreur qui coûte chère
Cette semaine je rencontrais un client dans ce que j’appelle un face à face pour une question de montage financier sur des plans d’assurances.
Lors de ces rendez vous que je qualifie d’important, j’essaye d’en la mesure du possible que le client se sente à son aise et privilégie donc les rendez vous sur le canapé.
C’était une règle clé que Marc m’avait enseigné au cours de ma formation, plus le client se sentira à l’aise, plus il aura confiance en son interlocuteur et plus la signature sera aisée.
C’est donc pour cela qu’un espace canapé et fauteuils est aménagé dans le bureau, pour donner au client une sensation d’être comme à la maison.
Ce jour là je recevais un client d’un âge proche de la retraire qui cherchait à se prémunir pour ses futurs vieux jours. Je l’accueilli donc dans mon bureau et passions un peu plus d’une heure où je lui expose les différentes possibilités.
Je voyais qu’il me zieutait de manière discontinue et que mon discours commercial ne lui importait peu. Il scrutait mon corps avec un regard de pervers. J’essayai du mieux que je pouvais de ne pas me déstabiliser face à cela.
« Écoutez mademoiselle, ce que vous me dites me parait en effet fort intéressant. Mais qu’est ce que j’y gagne concrètement si je signe chez vous. Deviendriez vous ma correspondante privilégiée ? »
« Notre équipe en effet se tiendra à votre disposition tout au long de la démarche et pourra vous renseigner sur toutes questions qui vous semblerait importante. »
« Votre équipe, j’en ai rien à faire. C’est de vous que je parle. Qu’est ce que vous pouvez m’offrir de plus que la concurrence. Vous ! »
« Excusez moi, mais je crains ne pas comprendre le fond de votre pensée Mr … »
« Vous m’avez très bien compris. Une si jolie fille de votre âge à ce poste n’est certainement pas arrivée ici par hasard. J’imagine donc que vous ne verrez pas d’inconvénients … »
« Alors que ‘l’on soit bien clair tout de suite Monsieur … notre agence est une agence sérieuse avec une déontologie et un sérieux qui nous est reconnu. Je préfère que nous en restions ainsi et vous prierai de bien vouloir quitter mon bureau. »
« Une petite qui a du caractère ! Mais je ne m’en arrêterai pas là mademoiselle. »
L’homme se leva et prit congé de moi.
Vendredi 12 mars 2015.
Il était 18h30 quand je m’apprêtai à quitter le bureau pour aller rejoindre Frédéric, nous avions projeté d’aller voir le dernier film de Jean Jacques Annaud, quand Marc fit irruption dans l’agence. Cela me rappela la fois où il était entré pour me baiser sauvagement sur mon bureau.
« Alors ! C’est quoi ce bordel, maintenant qu’on est responsable d’une petite agence de bourgade on se croit au dessus de tout. La petite bourgeoise que tu es devenue a vite oublié comment elle est arrivée ici ! »
« Je ne comprends pas ce que vous dites ? »
« Comment çà tu ne comprends pas. Ce n’est quand même pas moi qui ai foutu à la porte Monsieur … mardi dernier. »
« Non mais attendez, il … »
« Je ne veux pas savoir. Tu n’as pas su gérer et c’est tout. Tu croyais quoi que je n’en aurais pas été mis au courant. »
Intimidé par cette intrusion je ne savais que dire.
« Regarde moi çà comment t’es habillée, moi je vais te faire un retour au source ma petite. Allez enfile moi çà. » Il tenait dans sa main un sac en tissus qu’il ouvrit.
Il en sorti une jupe en cuir, un pauvre débardeur, une paire de chaussures talons pointus et de lingerie bas de gamme.
Valait mieux pour moi ne pas montrer de résistance en quoi que ce soit. Je m’exécutai donc. J’abandonnai devant lui mon tailleur deux pièces, retira ma belle lingerie et ainsi nue vint chercher les vêtements qu’ils avaient jetés à ses pieds.
J’enfilai d’abord le string, ensuite le débardeur, il n’y avait pas de soutien gorge dans la panoplie. La jupe était très moulante et particulière courte, c’était tout juste si elle cachait quelque chose. Une paire de bas vint terminer la tenue.
« Va te maquiller. Et mets en un paquet je veux te voir comme une pute. Et attache moi ces cheveux. Je t’attends dans mon véhicule. »
Je quittai mon bureau pour aller en salle de pause où il y un miroir. Marc quitta l’agence.
Je forçai sur le rouge à lèvre pour en mettre exagérément, le rimmel était aussi mis à outrance. Quand j’eu tiré mes cheveux en arrière et ai bien pris le temps de me regarder dans ce miroir, c’était effectivement une pute que je voyais apparaître. Je me trouvais moche mais pour ne pas créer d’autres émulsions envers mon patron je devais une nouvelle fois me plier à ses règles.
Avant de rejoindre Marc dans sa voiture, j’eu juste le temps de prévenir Frédéric par sms.
« Ne m’attends pas ce soir. Biz »
Je fermai l’agence et chercha des yeux la grosse berline de mon responsable. Il s’était garé à quelques centaines de mètres de l’agence pour bien me faire défiler dans la rue dans cet accoutrement. J’avais du mal à tenir perchée sur ces talons hauts. Même si les températures s’étaient adoucies en cette saison, il n’en faisait pas moins assez froid dehors pour me pavaner en débardeur et mini jupe. Mais connaissant Marc maintenant, je ne me risquai pas à mettre un manteau.
« Ah ben voilà ! Une vraie trainée. Allez monte »
« Où va-t-on ? »
« Tu le sauras bien assez tôt. »
Il quitta Vannes en direction de Nantes. Nous étions sur la quatre voies et aucun de nous parlait.
Cela faisait peut être vingt minutes que nous roulions quand il mit son clignotant pour sortir sur l’aire de repos de Marzan. Petite commune du Morbihan.
Le parking semblait vide à l’exception d’une ou deux voitures, d’un camping car et de quatre camions routiers.
Nous fîmes le tour du bâtiment sanitaire pour nous garer sur les rangements en épis destinés aux poids lourds. Bien entendu, comme vous l’aurez comprit Marc prit bien soin de venir faufiler sa voiture entre deux camions.
« Bon va attendre que la famille qu’il y a au fond se casse et ensuite tu vas aller faire ton petit show là bas. J’ai étais clair ? Mais avant çà … » Il déboutonna son pantalon pour y extraire son sexe et me le présenter à sucer.
Bien entendu notre arrivée en plein phare entre deux camions a causé de l’inquiétude auprès des routiers et pendant que je suçais mon chef dans sa voiture j’entendais des portes de camion s’ouvrir. C’était le chauffeur d’un camion qui venait voir ce que notre voiture faisait là. Sauf que pour le coup il eu une agréable surprise. Il resta à la vitre avant conducteur pour être aux premières loges du spectacle exhibition.
« Allez vas y pompe moi bien ! »
Je m’appliquai du mieux que je pouvais pour ne pas à avoir d’autres reproches.
« Ca y est ils sont partis. Allez sort de la voiture et va te pavaner à la lumière là bas. Fais toi voir de tous. »
« Mais si je sors comme çà je vais me faire agresser. »
« Tu crois quoi ! Allez descends ! »
Pas rassurée, je descendis du véhicule. Très vite suivie par le chauffeur. Il gardait une certaine distance mais sa présence omniprésente ne me rassurait point. Marc assistait à la scène de sa voiture.
Arrivée à la lumière du bâtiment, je n’en menais pas large. Ne cessant de regarder dans la direction j’attendais avec la plus grande impatience un signe de sa part pour me dire de revenir au véhicule.
Un homme sorti de sa voiture et je suis sure prétexta d’aller au toilette pour venir me mater. Ses yeux ne décollèrent pas de moi pendant toute sa venue. Il me croisa et dans un sourire me salua.
« Bonsoir »
Il alla à l’urinoir sans me quitter des yeux. Il ne fallut pas 2 minutes pour qu’il revienne en ma direction mais cette fois ci de manière plus assurée.
« Vous cherchez quelque chose ? »
« Heu .. » incapable de répondre quoi que ce soit. Il voyait bien que j’étais frigorifiée.
« Vous devez avoir froid dans cette tenue ? »
« On s’y habitude »
« Vous êtes venue avec votre conjoint ? »
« Heu ce n’est pas mon conjoint »
« Entendu »
Le cinquantenaire était grassouillet et pas du tout dans mes gouts. De taille assez petite, son ventre débordant en faisait un bonhomme disgracieux. Ses cheveux gris semblaient gras et son jean ne devait pas être très propre. Bref tout pour me répugner.
Marc sorti enfin de sa voiture ; ce qui fit légèrement reculer le type. Le camioneur était toujours dans son périmètre de courtoisie.
« Bonsoir Monsieur. »
« Bonsoir, excusez moi je crois qu’il y a eu méprise. Je pensais que cette demoiselle était seule. »
« Oh ne vous excusez pas, vous savez c’est une petite trainée que j’ai ramassé sur la route. Je l’ai amené ici pour en faire profiter aux autres. »
« Je vois que monsieur est partageur, ca se perd de nos jours. »
Il se rapprocha dangereusement de moi. Son air était plus détendu et avait compris maintenant ma présence, seule, habillée de cette manière. Je ne parlai plus.
« Regardez-moi, une belle petite jeune fille toute seule abandonnée. » Il vint se coller dans mon dos me prenant par la taille. Je sentais son souffle parcourir mon épaule. Ses mains remontèrent le long de mon ventre pour venir prendre mes seins.
« Mmmh mais c’est qu’elle est docile cette petite. Dis moi ma petite tu vas être gentille avec tonton Henri hein ? »
Qui ne mot dit consent.
Il retira ses mains de mes seins et dans la seconde j’entendis un bruit de braguette. Il me prit la main pour me guider vers un coin de mur un peu plus à l’abri du vent et des regards. J’étais entre les pissotoirs et un wc fermé. Le sol était sale, jonché de feuilles immaculées dans la boue et certainement l’urine. L’odeur des lieux était forte.
Il me fit m’agenouiller sur ce parterre, son pantalon était déjà baissé jusqu’au cheville et à la manière d’un pilon il enfonça son sexe dans ma bouche sans attendre autre consentement. Je restai statique et ne faisait aucun effort pour donner quoi ce soit comme plaisir à cet inconnu. Mais cela ne semblait pas le soucier.
« Mouaahhhh quelle salope ! Hein ? Tu aimes te faire baiser la bouche. Allez vas y fait moi bander petite pute. Je vais t’apprendre moi à venir te pavaner comme ca sur les aires d’autoroute. » Ce scénario devait le stimuler car son sexe gonfla en une fraction de seconde et rempli la quasi totalité de ma bouche. Il s’agrippait à mes cheveux pour venir me faire aller et venir sur sa bite.
« Allez ma belle avale tout. Je sais que tu en es capable. » Son sexe sentait l’urine à plein nez. Il n’avait même du prendre la peine de se la secouer après avoir pissé tout à l’heure.
J’avais des relents de vomit.
« Qu’est ce qu’il y a elle sent fort ma queue. Tu ne crois tout de même pas que j’allais te la laver pour toi non plus. Allez tu n’as qu’à la nettoyer avec ta salive. »
Tellement occupée à me retenir de ne pas vomir que je n’avais pas fais cas que le routier lui aussi comptait maintenant profiter de la situation.
Sans même avoir prit le temps d’échanger avec qui que ce soit, son sexe vint se présenter à ma gauche.
« Allez, quoi tu ne vois pas que mon ami veut que tu le suces aussi. Un bon garage à bite comme toi ne peut pas lui refuser cela ? »
C’est donc contrainte que j’accueilli un deuxième sexe totalement inconnu dans ma bouche.
« Bonsoi’ messieur. Est ce que je peux me joind’ à vous ? »
« Oh dis donc tu en de la chance ma cocotte. Un black j’espère qu’il sera à la hauteur de leur réputation. Joints toi à nous mon ami. Cette jeune trainée n’attend que çà. »
Marc se tenait bien à l’écart de cela et suivait avec attention ce gang bang improvisé.
Le plus vieux des trois me releva. Il souleva le peu de jupe qui m’habillait et me malaxait les fesses avec fermeté.
« Je crois messieurs que l’on va bien s’amuser avec cette petite pute gracieusement offerte par le monsieur là. »
Il retira mon débardeur et retira ma jupe qu’il jeta au sol sans même prendre garde à les épargner des flaques ou autre.
Le Black qui se tenait derrière moi me cambra et écarta mon string pour venir me lécher l’anus. Henri enfournait son sexe dans ma bouche tandis que le routier me pelotait les seins en attendant son tour pour venir se faire sucer.
Un doigt vint me pénétrer et la langue ne cessait de s’activer autour pour préparer le terrain de l’intrusion d’un second.
« Comment t’appelles-tu mon garçon ? »
« William Monsieu’ »
« Et toi ? »
« Scusi, non ho capito »
Stupeur, le type que j’étais en train de sucer et qui était avec nous depuis déjà un peu plus d’une demie heure en fait ne comprends rien de ce que les autres disaient. Car il n’était pas français.
« Oh putain un Italien ! Moi je m’appelle Henri et toi ? Henri, William et toi ? » En le montrant du doigt.
« Mi chiamo Alessandro »
A défaut de les connaître j’avais au minimum leur prénom, je savais maintenant que j’allais être abusée par Henri le cinquantenaire, William l’antillais et Alessandro l’italien.
« Et ben en tout cas ce n’est pas la pwemiè’ bite dans son cul qu’elle doit se pwend’ celle là ! »
Le plus jeune des trois, déboutonna son pantalon, tout en continuant de fouiller avec son autre main ma petite intimité.
« Wouahhhh ! Quelle bite ! Ah oui en effet ce n’est pas un mythe la taille des blacks. Tu ne vas tout de même pas la baiser par le cul avec çà ? »
« Paw no ploblem ti mal !”
Toujours occupée par la contrainte de sucer l’italien de service, je comprenais par bride ce que les deux autres essayaient de manigancer derrière moi. Le latino devenait plus sec dans ses gestes et comptait bien aussi profiter parti de la situation.
Il s’amusait à me faire essayer de vomir en m’enfonçant de manière très forte et brutale son sexe au fond de ma gorge. Ses mains s’appuyaient sur mes épaules pour bien me tenir cambrée pour que les autres puissent avoir accès direct à mon petit cul.
« Excusez-moi messieurs de vous interrompre. Je vois que vous vous apprêtez à la baiser comme il se doit. Et vous auriez bien tord de vous en priver. Mais voici de quoi vous habiller » Marc avait prévu le coup encore une nouvelle fois et tandis à William une boite de préservatifs.
Henri prit une nouvelle fois les choses en main et vint m’arracher à Alessandro.
« Allez la pute viens te mettre en place pour te faire défoncer la rondelle par notre ami. Les chiennes se font baiser à même le sol non ? Allez fous toi à quatre pattes ! »
Au milieu d’eux, je m’agenouillai sur le sol crasseux et n’eus d’autres choix que d’y venir y poser les mains pour être mise à quatre pattes. Je me sentais honteuse d’être ainsi mise en scène. Mais cela ne leur suffisait pas.
« Allez vas y marche un peu comme çà. Viens chercher ta bite ! Montre à quel point tu en as envie ! » Tête baissée l’air répugnée je m’exécutai à déambuler entre eux à la manière d’un chat qui cherche les caresses sur les jambes de ses maitres.
« Regardez çà les amis, c’est qu’elle se colle à nous la trainée. Tu la veux cette queue ? Hein ? Allez William fais nous l’honneur de défoncer cette petite pute ! »
L’antillais vint me stopper dans ma balade et et me tourna de manière à être derrière moi.
« Allez camb’ toi bien ! Pose ta tête pou’ bien ouvwi ton cul ! » Elle appuya sur l’arrière de ma tête pour venir de force m’obliger à poser ma joue droite directement contre le carrelage. Je sentais sur ma peau l’humidité du sol et de petits gravillons venaient s’enfoncer sur ma peau.
Il me saisit les mains pour venir les mettre en croix derrière mon dos. Alessandro les maintenaient liées. Je n’avais plus rien pour me maintenir et tout mon poids venait se concentrer sur mon visage au sol.
Henri écarta mes cuisses et me cracha dessus pour assister son ami du soir.
Prise entre les mains de ces deux hommes je n’avais plus aucun moyen de m’échapper tellement leur force m’empêchait de bouger. Dans une dernier sursaut de lucidité j’en appelais à leur bonté.
« S’il vous plais ne faites pas çà ! Marc où êtes-vous ! »
« Et bien ma mignonne on aurait des remords ? C’est trop tard je crains. Allez vas y Will défonce là pour nous. »
Il avait retiré son pantalon et s’était équipé d’un préservatif. Un dernier filet de salive et l’impact était imminent.
Je senti son sexe venir se positionner sur mon petit orifice. Les mains d’Henri ne cessèrent d’écarter mes cuisses pour ouvrir au maximum l’étroit passage. Accroupi au dessus de moi, il comptait bien ne pas avoir à s’y reprendre à plusieurs fois pour venir me pénétrer.
J’essayai du mieux que je pouvais de me concentrer. Aussi bizarre que cela puisse paraître, il fallait me faire une raison, je ne pouvais m’échapper et cette sodomie était inévitable. Il me fallait donc me détendre au mieux pour essayer de supporter le mieux qu’il soit cette bite étrangère. Je savais qu’elle était grosse quant à la stupéfaction du cinquantenaire mais je ne l’avais pas encore vu. Qu’entendait-il par gros ?
J’allais être vite fixée, il entama sa descente. C’était fort, il forçait. Je ne pouvais pas me retenir de crier, des larmes coulaient le long de mon visage. J’avais mal. J’essayais de souffler au mieux pour ne pas me contracter plus. Mais c’était impossible, il était trop !
« Stop, s’il vous plaît ! J’ai mal ! Je vous en prie ! Aïe nonnn ! »
Mes doléances n’étaient pas entendues. Il continuait. L’italien forcit dans sa prise en main pour m’éviter de trop bouger. Henri essayait toujours d’écarter un peu plus. William accrocher à mes hanches ne s’arrêtait pas et comptait bien forcer cette porte.
Jamais je n’avais connu une sodomie aussi douloureuse malgré ce que j’avais pu connaître avec Jean Pierre. Cela ne faisait aucun doute, cet étalon était mieux monté que mon sexagénaire.
Mes cris portaient de plus en plus, la douleur était intense. Qu’en enfin avec toute la puissance du sexe black mon petit cul céda. J’ai cru qu’il m’avait déchiré. J’étais en feu.
Mais cela ne semblait pas vouloir le faire arrêter. Quand il eu touché le fond, il commença à bouger en moi et retirait volontaire tout son sexe pour revenir investir le passage.
« Pouahh et bien il t’a bien ouverte on dirait. »
« Mmmh çà y’est je suis bien dedans ! T’es sewé ! Wegad’ comment ca went’ maintenant”
Henri relâcha mon fessier et se prépara aussi, voulant à son tour profiter de l’ouverture. Dans un grand moment de politesse après m’avoir bien écartelé, l’antillais céda sa place au sénior.
« La vache !! On y rentre comme dans un moulin ! Beau travail garçon ! Voilà un cul bien éduqué. »
Alessandro lacha mes mains pour lui aussi passer derrière. Les trois hommes tournèrent ainsi un très long moment, voulant chacun profiter de mon anus le plus possible. J’étais secouée de partout et mes bas s’effilaient toujours un peu plus à force de frotter par terre.
Tantôt ils tiraient mes cheveux pour que je relève la tête afin de me mettre une bite en bouche, tantôt il me l’écrasait totalement au sol.
Allessandro voulu me prendre d’une manière bien particulière. Il me fit m’allonger dos au sol en prenant bien soin de me faire glisser comme si j’étais une serpière. Il passa ses mains sous mon bassin et me forçà à me mettre dans une position qui s’apparente à une chandelle. Ma tête en appui contre le sol, mon cou était torsionné de manière très douloureuse mais encore une fois sans les soucier plus que cela.
Henri essayit de me maintenir ainsi édifiée en me tenant par les jambes. Alessandro prit une position étrange il passa une jambe au niveau de mon flan droit et l’autre jambe derrière ma cuisse gauche. Il était au dessus de moi me chevauchant en billet. Il pointa son sexe vers le bas. Cracha violemment sur mon anus et me pillona avec grosse vigueur. Me surplombant ainsi il n’y avait plus aucun obstacle pour stopper sa descente. Jamais je n’avais été pénétrée aussi profondément. Ca en était même trop.
Amusé par cela William voulu testé aussi suivi ensuite par Henri.
Cela par contre en était trop pour le plus vieux.
« Ohhh putain, je vais jouir. Toujours au dessus de moi. Il se retira, décapuchonna son sexe du préservatif et m’aspergea dans un même mouvement de son foutre. Avec la hauteur le liquide venait m’asperger les seins mais aussi le visage de manière assez forte. C’était dur pour moi de garder les yeux ouverts tellement son jet était incontrôlable.
J’attendais donc patiemment que cela s’arrête, toujours dans cette position d’inconfort. Une sensation bizarre me retira de cet état second, comme s’il pleuvait à la différence prêt que cette pluie était assez chaude. J’entrouvris les yeux pour véritablement me rendre compte qu’il était bonnement en train de me pisser dessus.
« Quoi ma jolie ? Tu n’allais pas rester comme çà pleine de foutre faut bien te nettoyer. Ne me dis pas que c’est ta première douche dorée ? » Toute cette urine m’empêchait de faire quoi que ce soit. Il était impensable d’ouvrir la bouche pour prononcer quoi que ce soit au risque de devoir le boire. Je fermai mes yeux à nouveau pour m’éviter plus longtemps cette image de cauchemar. Ca y est les jets se faisaient par à-coups il devait avoir finir, sa vessie devait être maintenant totalement vide. Une main m’agrippa par les cheveux et me fit me remettre à quatre pattes.
« Et si on lui prenait sa petite chatte maintenant. Hein les gars ? Où pourrions-nous nous mettre à l’aise. A oui tient. Suivez-moi. »
Toujours agrippé à mes cheveux il me traina comme une chienne en laisse dans le WC à coté d’où nous étions. Il bascula la lunette et me fit m’asseoir dessus. A nouveau les jambes en l’air en faisant quasi le grand écart. Allessandro prit place et me baisa. Ses mains frappaient mes seins pleins de pisse. Henri força une nouvelle fois ma bouche pour m’enfoncer son sexe mou qui sentait horriblement l’urine.
J’avais envie de vomir et j’étais à deux doigts de le faire.
William s’imposa devant l’attroupement des deux hommes. Il me releva du siège des toilettes et prit ma place. Dos à lui il vint me faire s’asseoir sur lui pour à nouveau investir mon anus. Il me suréleva de ses mains en maintenant bien mes jambes en l’air et écartées pour que l’italien puisse prendre l’autre trou.
J’étais sur une aire d’autoroute, assise sur un black dans un wc absolument dégoutant prise en sandwich par deux inconnus. Cela était totalement irréaliste, le cauchemar allait bien se terminer tôt out tard. Allessandro se voyait venir et se retira pour venir par le coté m’éjaculer sur le visage. Il devait ne pas avoir jouit depuis un long moment vu la quantité importante qui se déversait sur mon visage.
William continuait à me sodomiser, quand après de longues minutes ce fut à son tour de jouir. Il me fit m’allonger par terre et au dessus de moi m’éjacula et imita son aieul en se terminant par m’uriner dessus.
Dès que leur affaire été faite, ils me laissèrent là gisante sur le sol. Et regagnère chacun leur véhicule.
Marc me laissa un instant seule, je ne savais trop où il était. Quand enfin il arriva à mes coté, me prit en photo avec son téléphone.
« Alors, tu as bien compris maintenant ce que tu étais où il faut que je te fasse une autre démonstration ? »
Je ne répondis pas.
« Allez relève toi sale trainée. Putain tu chlingues comme pas permis. »
Arrivés à son véhicule, il ouvrit son coffre.
« Tu crois tout de même pas que tu vas monter comme çà dans ma caisse. Allez rentre dedans »
Le coffre se referma sur moi et me plongea dans le noir. Le trajet dura une internité mais eu comme avantage de pouvoir me laisser me reposer. Je sentais mon corps meurtris et mon anus me faisait mal. J’étais collante, puante, moche et totalement nue dans ce coffre.
Le coffre s’ouvrit à nouveau. J’étais arrivée chez Marc.
Jean Pierre nous attendait sur le pas de la porte avec une serviette éponge.
« Ca va ma petite Manue ? Viens rentre tu dois avoir froid. Je t’ai fait couler un bain. C’est bon c’est terminé maintenant. Repose-toi et détends-toi. C’est fini. »
Je passai la nuit chez Marc ...