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Avatar de l’utilisateur
par Xander
#1746930
skyman a écrit :
zztop a écrit :T'es une vraie salope.... Gobe ma grosse queue


:shock: Whouaaa tu as fait combien d'années d'étude pour arriver à sortir une phrase aussi pertinente ???


:lol: :lol: :lol: Excellent!!

Quand a Manue tu es vraiment de plus en plus salope j'adore :)
par manukib56
#1748938
L’erreur qui coûte chère


Cette semaine je rencontrais un client dans ce que j’appelle un face à face pour une question de montage financier sur des plans d’assurances.

Lors de ces rendez vous que je qualifie d’important, j’essaye d’en la mesure du possible que le client se sente à son aise et privilégie donc les rendez vous sur le canapé.

C’était une règle clé que Marc m’avait enseigné au cours de ma formation, plus le client se sentira à l’aise, plus il aura confiance en son interlocuteur et plus la signature sera aisée.

C’est donc pour cela qu’un espace canapé et fauteuils est aménagé dans le bureau, pour donner au client une sensation d’être comme à la maison.

Ce jour là je recevais un client d’un âge proche de la retraire qui cherchait à se prémunir pour ses futurs vieux jours. Je l’accueilli donc dans mon bureau et passions un peu plus d’une heure où je lui expose les différentes possibilités.

Je voyais qu’il me zieutait de manière discontinue et que mon discours commercial ne lui importait peu. Il scrutait mon corps avec un regard de pervers. J’essayai du mieux que je pouvais de ne pas me déstabiliser face à cela.

« Écoutez mademoiselle, ce que vous me dites me parait en effet fort intéressant. Mais qu’est ce que j’y gagne concrètement si je signe chez vous. Deviendriez vous ma correspondante privilégiée ? »

« Notre équipe en effet se tiendra à votre disposition tout au long de la démarche et pourra vous renseigner sur toutes questions qui vous semblerait importante. »

« Votre équipe, j’en ai rien à faire. C’est de vous que je parle. Qu’est ce que vous pouvez m’offrir de plus que la concurrence. Vous ! »

« Excusez moi, mais je crains ne pas comprendre le fond de votre pensée Mr … »

« Vous m’avez très bien compris. Une si jolie fille de votre âge à ce poste n’est certainement pas arrivée ici par hasard. J’imagine donc que vous ne verrez pas d’inconvénients … »

« Alors que ‘l’on soit bien clair tout de suite Monsieur … notre agence est une agence sérieuse avec une déontologie et un sérieux qui nous est reconnu. Je préfère que nous en restions ainsi et vous prierai de bien vouloir quitter mon bureau. »

« Une petite qui a du caractère ! Mais je ne m’en arrêterai pas là mademoiselle. »

L’homme se leva et prit congé de moi.


Vendredi 12 mars 2015.


Il était 18h30 quand je m’apprêtai à quitter le bureau pour aller rejoindre Frédéric, nous avions projeté d’aller voir le dernier film de Jean Jacques Annaud, quand Marc fit irruption dans l’agence. Cela me rappela la fois où il était entré pour me baiser sauvagement sur mon bureau.

« Alors ! C’est quoi ce bordel, maintenant qu’on est responsable d’une petite agence de bourgade on se croit au dessus de tout. La petite bourgeoise que tu es devenue a vite oublié comment elle est arrivée ici ! »
« Je ne comprends pas ce que vous dites ? »
« Comment çà tu ne comprends pas. Ce n’est quand même pas moi qui ai foutu à la porte Monsieur … mardi dernier. »
« Non mais attendez, il … »
« Je ne veux pas savoir. Tu n’as pas su gérer et c’est tout. Tu croyais quoi que je n’en aurais pas été mis au courant. »
Intimidé par cette intrusion je ne savais que dire.

« Regarde moi çà comment t’es habillée, moi je vais te faire un retour au source ma petite. Allez enfile moi çà. » Il tenait dans sa main un sac en tissus qu’il ouvrit.

Il en sorti une jupe en cuir, un pauvre débardeur, une paire de chaussures talons pointus et de lingerie bas de gamme.

Valait mieux pour moi ne pas montrer de résistance en quoi que ce soit. Je m’exécutai donc. J’abandonnai devant lui mon tailleur deux pièces, retira ma belle lingerie et ainsi nue vint chercher les vêtements qu’ils avaient jetés à ses pieds.

J’enfilai d’abord le string, ensuite le débardeur, il n’y avait pas de soutien gorge dans la panoplie. La jupe était très moulante et particulière courte, c’était tout juste si elle cachait quelque chose. Une paire de bas vint terminer la tenue.

« Va te maquiller. Et mets en un paquet je veux te voir comme une pute. Et attache moi ces cheveux. Je t’attends dans mon véhicule. »

Je quittai mon bureau pour aller en salle de pause où il y un miroir. Marc quitta l’agence.

Je forçai sur le rouge à lèvre pour en mettre exagérément, le rimmel était aussi mis à outrance. Quand j’eu tiré mes cheveux en arrière et ai bien pris le temps de me regarder dans ce miroir, c’était effectivement une pute que je voyais apparaître. Je me trouvais moche mais pour ne pas créer d’autres émulsions envers mon patron je devais une nouvelle fois me plier à ses règles.

Avant de rejoindre Marc dans sa voiture, j’eu juste le temps de prévenir Frédéric par sms.

« Ne m’attends pas ce soir. Biz »

Je fermai l’agence et chercha des yeux la grosse berline de mon responsable. Il s’était garé à quelques centaines de mètres de l’agence pour bien me faire défiler dans la rue dans cet accoutrement. J’avais du mal à tenir perchée sur ces talons hauts. Même si les températures s’étaient adoucies en cette saison, il n’en faisait pas moins assez froid dehors pour me pavaner en débardeur et mini jupe. Mais connaissant Marc maintenant, je ne me risquai pas à mettre un manteau.

« Ah ben voilà ! Une vraie trainée. Allez monte »
« Où va-t-on ? »
« Tu le sauras bien assez tôt. »

Il quitta Vannes en direction de Nantes. Nous étions sur la quatre voies et aucun de nous parlait.

Cela faisait peut être vingt minutes que nous roulions quand il mit son clignotant pour sortir sur l’aire de repos de Marzan. Petite commune du Morbihan.

Le parking semblait vide à l’exception d’une ou deux voitures, d’un camping car et de quatre camions routiers.

Nous fîmes le tour du bâtiment sanitaire pour nous garer sur les rangements en épis destinés aux poids lourds. Bien entendu, comme vous l’aurez comprit Marc prit bien soin de venir faufiler sa voiture entre deux camions.

« Bon va attendre que la famille qu’il y a au fond se casse et ensuite tu vas aller faire ton petit show là bas. J’ai étais clair ? Mais avant çà … » Il déboutonna son pantalon pour y extraire son sexe et me le présenter à sucer.

Bien entendu notre arrivée en plein phare entre deux camions a causé de l’inquiétude auprès des routiers et pendant que je suçais mon chef dans sa voiture j’entendais des portes de camion s’ouvrir. C’était le chauffeur d’un camion qui venait voir ce que notre voiture faisait là. Sauf que pour le coup il eu une agréable surprise. Il resta à la vitre avant conducteur pour être aux premières loges du spectacle exhibition.

« Allez vas y pompe moi bien ! »

Je m’appliquai du mieux que je pouvais pour ne pas à avoir d’autres reproches.

« Ca y est ils sont partis. Allez sort de la voiture et va te pavaner à la lumière là bas. Fais toi voir de tous. »
« Mais si je sors comme çà je vais me faire agresser. »
« Tu crois quoi ! Allez descends ! »

Pas rassurée, je descendis du véhicule. Très vite suivie par le chauffeur. Il gardait une certaine distance mais sa présence omniprésente ne me rassurait point. Marc assistait à la scène de sa voiture.

Arrivée à la lumière du bâtiment, je n’en menais pas large. Ne cessant de regarder dans la direction j’attendais avec la plus grande impatience un signe de sa part pour me dire de revenir au véhicule.

Un homme sorti de sa voiture et je suis sure prétexta d’aller au toilette pour venir me mater. Ses yeux ne décollèrent pas de moi pendant toute sa venue. Il me croisa et dans un sourire me salua.

« Bonsoir »

Il alla à l’urinoir sans me quitter des yeux. Il ne fallut pas 2 minutes pour qu’il revienne en ma direction mais cette fois ci de manière plus assurée.

« Vous cherchez quelque chose ? »
« Heu .. » incapable de répondre quoi que ce soit. Il voyait bien que j’étais frigorifiée.
« Vous devez avoir froid dans cette tenue ? »
« On s’y habitude »
« Vous êtes venue avec votre conjoint ? »
« Heu ce n’est pas mon conjoint »
« Entendu »

Le cinquantenaire était grassouillet et pas du tout dans mes gouts. De taille assez petite, son ventre débordant en faisait un bonhomme disgracieux. Ses cheveux gris semblaient gras et son jean ne devait pas être très propre. Bref tout pour me répugner.

Marc sorti enfin de sa voiture ; ce qui fit légèrement reculer le type. Le camioneur était toujours dans son périmètre de courtoisie.

« Bonsoir Monsieur. »
« Bonsoir, excusez moi je crois qu’il y a eu méprise. Je pensais que cette demoiselle était seule. »
« Oh ne vous excusez pas, vous savez c’est une petite trainée que j’ai ramassé sur la route. Je l’ai amené ici pour en faire profiter aux autres. »
« Je vois que monsieur est partageur, ca se perd de nos jours. »

Il se rapprocha dangereusement de moi. Son air était plus détendu et avait compris maintenant ma présence, seule, habillée de cette manière. Je ne parlai plus.

« Regardez-moi, une belle petite jeune fille toute seule abandonnée. » Il vint se coller dans mon dos me prenant par la taille. Je sentais son souffle parcourir mon épaule. Ses mains remontèrent le long de mon ventre pour venir prendre mes seins.

« Mmmh mais c’est qu’elle est docile cette petite. Dis moi ma petite tu vas être gentille avec tonton Henri hein ? »

Qui ne mot dit consent.

Il retira ses mains de mes seins et dans la seconde j’entendis un bruit de braguette. Il me prit la main pour me guider vers un coin de mur un peu plus à l’abri du vent et des regards. J’étais entre les pissotoirs et un wc fermé. Le sol était sale, jonché de feuilles immaculées dans la boue et certainement l’urine. L’odeur des lieux était forte.

Il me fit m’agenouiller sur ce parterre, son pantalon était déjà baissé jusqu’au cheville et à la manière d’un pilon il enfonça son sexe dans ma bouche sans attendre autre consentement. Je restai statique et ne faisait aucun effort pour donner quoi ce soit comme plaisir à cet inconnu. Mais cela ne semblait pas le soucier.

« Mouaahhhh quelle salope ! Hein ? Tu aimes te faire baiser la bouche. Allez vas y fait moi bander petite pute. Je vais t’apprendre moi à venir te pavaner comme ca sur les aires d’autoroute. » Ce scénario devait le stimuler car son sexe gonfla en une fraction de seconde et rempli la quasi totalité de ma bouche. Il s’agrippait à mes cheveux pour venir me faire aller et venir sur sa bite.
« Allez ma belle avale tout. Je sais que tu en es capable. » Son sexe sentait l’urine à plein nez. Il n’avait même du prendre la peine de se la secouer après avoir pissé tout à l’heure.
J’avais des relents de vomit.
« Qu’est ce qu’il y a elle sent fort ma queue. Tu ne crois tout de même pas que j’allais te la laver pour toi non plus. Allez tu n’as qu’à la nettoyer avec ta salive. »

Tellement occupée à me retenir de ne pas vomir que je n’avais pas fais cas que le routier lui aussi comptait maintenant profiter de la situation.

Sans même avoir prit le temps d’échanger avec qui que ce soit, son sexe vint se présenter à ma gauche.

« Allez, quoi tu ne vois pas que mon ami veut que tu le suces aussi. Un bon garage à bite comme toi ne peut pas lui refuser cela ? »

C’est donc contrainte que j’accueilli un deuxième sexe totalement inconnu dans ma bouche.

« Bonsoi’ messieur. Est ce que je peux me joind’ à vous ? »
« Oh dis donc tu en de la chance ma cocotte. Un black j’espère qu’il sera à la hauteur de leur réputation. Joints toi à nous mon ami. Cette jeune trainée n’attend que çà. »

Marc se tenait bien à l’écart de cela et suivait avec attention ce gang bang improvisé.

Le plus vieux des trois me releva. Il souleva le peu de jupe qui m’habillait et me malaxait les fesses avec fermeté.

« Je crois messieurs que l’on va bien s’amuser avec cette petite pute gracieusement offerte par le monsieur là. »

Il retira mon débardeur et retira ma jupe qu’il jeta au sol sans même prendre garde à les épargner des flaques ou autre.

Le Black qui se tenait derrière moi me cambra et écarta mon string pour venir me lécher l’anus. Henri enfournait son sexe dans ma bouche tandis que le routier me pelotait les seins en attendant son tour pour venir se faire sucer.

Un doigt vint me pénétrer et la langue ne cessait de s’activer autour pour préparer le terrain de l’intrusion d’un second.

« Comment t’appelles-tu mon garçon ? »
« William Monsieu’ »
« Et toi ? »
« Scusi, non ho capito »

Stupeur, le type que j’étais en train de sucer et qui était avec nous depuis déjà un peu plus d’une demie heure en fait ne comprends rien de ce que les autres disaient. Car il n’était pas français.

« Oh putain un Italien ! Moi je m’appelle Henri et toi ? Henri, William et toi ? » En le montrant du doigt.

« Mi chiamo Alessandro »

A défaut de les connaître j’avais au minimum leur prénom, je savais maintenant que j’allais être abusée par Henri le cinquantenaire, William l’antillais et Alessandro l’italien.

« Et ben en tout cas ce n’est pas la pwemiè’ bite dans son cul qu’elle doit se pwend’ celle là ! »

Le plus jeune des trois, déboutonna son pantalon, tout en continuant de fouiller avec son autre main ma petite intimité.

« Wouahhhh ! Quelle bite ! Ah oui en effet ce n’est pas un mythe la taille des blacks. Tu ne vas tout de même pas la baiser par le cul avec çà ? »
« Paw no ploblem ti mal !”

Toujours occupée par la contrainte de sucer l’italien de service, je comprenais par bride ce que les deux autres essayaient de manigancer derrière moi. Le latino devenait plus sec dans ses gestes et comptait bien aussi profiter parti de la situation.

Il s’amusait à me faire essayer de vomir en m’enfonçant de manière très forte et brutale son sexe au fond de ma gorge. Ses mains s’appuyaient sur mes épaules pour bien me tenir cambrée pour que les autres puissent avoir accès direct à mon petit cul.

« Excusez-moi messieurs de vous interrompre. Je vois que vous vous apprêtez à la baiser comme il se doit. Et vous auriez bien tord de vous en priver. Mais voici de quoi vous habiller » Marc avait prévu le coup encore une nouvelle fois et tandis à William une boite de préservatifs.

Henri prit une nouvelle fois les choses en main et vint m’arracher à Alessandro.

« Allez la pute viens te mettre en place pour te faire défoncer la rondelle par notre ami. Les chiennes se font baiser à même le sol non ? Allez fous toi à quatre pattes ! »

Au milieu d’eux, je m’agenouillai sur le sol crasseux et n’eus d’autres choix que d’y venir y poser les mains pour être mise à quatre pattes. Je me sentais honteuse d’être ainsi mise en scène. Mais cela ne leur suffisait pas.

« Allez vas y marche un peu comme çà. Viens chercher ta bite ! Montre à quel point tu en as envie ! » Tête baissée l’air répugnée je m’exécutai à déambuler entre eux à la manière d’un chat qui cherche les caresses sur les jambes de ses maitres.

« Regardez çà les amis, c’est qu’elle se colle à nous la trainée. Tu la veux cette queue ? Hein ? Allez William fais nous l’honneur de défoncer cette petite pute ! »

L’antillais vint me stopper dans ma balade et et me tourna de manière à être derrière moi.

« Allez camb’ toi bien ! Pose ta tête pou’ bien ouvwi ton cul ! » Elle appuya sur l’arrière de ma tête pour venir de force m’obliger à poser ma joue droite directement contre le carrelage. Je sentais sur ma peau l’humidité du sol et de petits gravillons venaient s’enfoncer sur ma peau.

Il me saisit les mains pour venir les mettre en croix derrière mon dos. Alessandro les maintenaient liées. Je n’avais plus rien pour me maintenir et tout mon poids venait se concentrer sur mon visage au sol.

Henri écarta mes cuisses et me cracha dessus pour assister son ami du soir.

Prise entre les mains de ces deux hommes je n’avais plus aucun moyen de m’échapper tellement leur force m’empêchait de bouger. Dans une dernier sursaut de lucidité j’en appelais à leur bonté.

« S’il vous plais ne faites pas çà ! Marc où êtes-vous ! »
« Et bien ma mignonne on aurait des remords ? C’est trop tard je crains. Allez vas y Will défonce là pour nous. »

Il avait retiré son pantalon et s’était équipé d’un préservatif. Un dernier filet de salive et l’impact était imminent.

Je senti son sexe venir se positionner sur mon petit orifice. Les mains d’Henri ne cessèrent d’écarter mes cuisses pour ouvrir au maximum l’étroit passage. Accroupi au dessus de moi, il comptait bien ne pas avoir à s’y reprendre à plusieurs fois pour venir me pénétrer.
J’essayai du mieux que je pouvais de me concentrer. Aussi bizarre que cela puisse paraître, il fallait me faire une raison, je ne pouvais m’échapper et cette sodomie était inévitable. Il me fallait donc me détendre au mieux pour essayer de supporter le mieux qu’il soit cette bite étrangère. Je savais qu’elle était grosse quant à la stupéfaction du cinquantenaire mais je ne l’avais pas encore vu. Qu’entendait-il par gros ?

J’allais être vite fixée, il entama sa descente. C’était fort, il forçait. Je ne pouvais pas me retenir de crier, des larmes coulaient le long de mon visage. J’avais mal. J’essayais de souffler au mieux pour ne pas me contracter plus. Mais c’était impossible, il était trop !

« Stop, s’il vous plaît ! J’ai mal ! Je vous en prie ! Aïe nonnn ! »
Mes doléances n’étaient pas entendues. Il continuait. L’italien forcit dans sa prise en main pour m’éviter de trop bouger. Henri essayait toujours d’écarter un peu plus. William accrocher à mes hanches ne s’arrêtait pas et comptait bien forcer cette porte.

Jamais je n’avais connu une sodomie aussi douloureuse malgré ce que j’avais pu connaître avec Jean Pierre. Cela ne faisait aucun doute, cet étalon était mieux monté que mon sexagénaire.

Mes cris portaient de plus en plus, la douleur était intense. Qu’en enfin avec toute la puissance du sexe black mon petit cul céda. J’ai cru qu’il m’avait déchiré. J’étais en feu.
Mais cela ne semblait pas vouloir le faire arrêter. Quand il eu touché le fond, il commença à bouger en moi et retirait volontaire tout son sexe pour revenir investir le passage.

« Pouahh et bien il t’a bien ouverte on dirait. »
« Mmmh çà y’est je suis bien dedans ! T’es sewé ! Wegad’ comment ca went’ maintenant”

Henri relâcha mon fessier et se prépara aussi, voulant à son tour profiter de l’ouverture. Dans un grand moment de politesse après m’avoir bien écartelé, l’antillais céda sa place au sénior.

« La vache !! On y rentre comme dans un moulin ! Beau travail garçon ! Voilà un cul bien éduqué. »

Alessandro lacha mes mains pour lui aussi passer derrière. Les trois hommes tournèrent ainsi un très long moment, voulant chacun profiter de mon anus le plus possible. J’étais secouée de partout et mes bas s’effilaient toujours un peu plus à force de frotter par terre.

Tantôt ils tiraient mes cheveux pour que je relève la tête afin de me mettre une bite en bouche, tantôt il me l’écrasait totalement au sol.

Allessandro voulu me prendre d’une manière bien particulière. Il me fit m’allonger dos au sol en prenant bien soin de me faire glisser comme si j’étais une serpière. Il passa ses mains sous mon bassin et me forçà à me mettre dans une position qui s’apparente à une chandelle. Ma tête en appui contre le sol, mon cou était torsionné de manière très douloureuse mais encore une fois sans les soucier plus que cela.

Henri essayit de me maintenir ainsi édifiée en me tenant par les jambes. Alessandro prit une position étrange il passa une jambe au niveau de mon flan droit et l’autre jambe derrière ma cuisse gauche. Il était au dessus de moi me chevauchant en billet. Il pointa son sexe vers le bas. Cracha violemment sur mon anus et me pillona avec grosse vigueur. Me surplombant ainsi il n’y avait plus aucun obstacle pour stopper sa descente. Jamais je n’avais été pénétrée aussi profondément. Ca en était même trop.

Amusé par cela William voulu testé aussi suivi ensuite par Henri.

Cela par contre en était trop pour le plus vieux.

« Ohhh putain, je vais jouir. Toujours au dessus de moi. Il se retira, décapuchonna son sexe du préservatif et m’aspergea dans un même mouvement de son foutre. Avec la hauteur le liquide venait m’asperger les seins mais aussi le visage de manière assez forte. C’était dur pour moi de garder les yeux ouverts tellement son jet était incontrôlable.

J’attendais donc patiemment que cela s’arrête, toujours dans cette position d’inconfort. Une sensation bizarre me retira de cet état second, comme s’il pleuvait à la différence prêt que cette pluie était assez chaude. J’entrouvris les yeux pour véritablement me rendre compte qu’il était bonnement en train de me pisser dessus.

« Quoi ma jolie ? Tu n’allais pas rester comme çà pleine de foutre faut bien te nettoyer. Ne me dis pas que c’est ta première douche dorée ? » Toute cette urine m’empêchait de faire quoi que ce soit. Il était impensable d’ouvrir la bouche pour prononcer quoi que ce soit au risque de devoir le boire. Je fermai mes yeux à nouveau pour m’éviter plus longtemps cette image de cauchemar. Ca y est les jets se faisaient par à-coups il devait avoir finir, sa vessie devait être maintenant totalement vide. Une main m’agrippa par les cheveux et me fit me remettre à quatre pattes.

« Et si on lui prenait sa petite chatte maintenant. Hein les gars ? Où pourrions-nous nous mettre à l’aise. A oui tient. Suivez-moi. »
Toujours agrippé à mes cheveux il me traina comme une chienne en laisse dans le WC à coté d’où nous étions. Il bascula la lunette et me fit m’asseoir dessus. A nouveau les jambes en l’air en faisant quasi le grand écart. Allessandro prit place et me baisa. Ses mains frappaient mes seins pleins de pisse. Henri força une nouvelle fois ma bouche pour m’enfoncer son sexe mou qui sentait horriblement l’urine.

J’avais envie de vomir et j’étais à deux doigts de le faire.

William s’imposa devant l’attroupement des deux hommes. Il me releva du siège des toilettes et prit ma place. Dos à lui il vint me faire s’asseoir sur lui pour à nouveau investir mon anus. Il me suréleva de ses mains en maintenant bien mes jambes en l’air et écartées pour que l’italien puisse prendre l’autre trou.

J’étais sur une aire d’autoroute, assise sur un black dans un wc absolument dégoutant prise en sandwich par deux inconnus. Cela était totalement irréaliste, le cauchemar allait bien se terminer tôt out tard. Allessandro se voyait venir et se retira pour venir par le coté m’éjaculer sur le visage. Il devait ne pas avoir jouit depuis un long moment vu la quantité importante qui se déversait sur mon visage.

William continuait à me sodomiser, quand après de longues minutes ce fut à son tour de jouir. Il me fit m’allonger par terre et au dessus de moi m’éjacula et imita son aieul en se terminant par m’uriner dessus.

Dès que leur affaire été faite, ils me laissèrent là gisante sur le sol. Et regagnère chacun leur véhicule.

Marc me laissa un instant seule, je ne savais trop où il était. Quand enfin il arriva à mes coté, me prit en photo avec son téléphone.

« Alors, tu as bien compris maintenant ce que tu étais où il faut que je te fasse une autre démonstration ? »
Je ne répondis pas.
« Allez relève toi sale trainée. Putain tu chlingues comme pas permis. »

Arrivés à son véhicule, il ouvrit son coffre.

« Tu crois tout de même pas que tu vas monter comme çà dans ma caisse. Allez rentre dedans »

Le coffre se referma sur moi et me plongea dans le noir. Le trajet dura une internité mais eu comme avantage de pouvoir me laisser me reposer. Je sentais mon corps meurtris et mon anus me faisait mal. J’étais collante, puante, moche et totalement nue dans ce coffre.
Le coffre s’ouvrit à nouveau. J’étais arrivée chez Marc.

Jean Pierre nous attendait sur le pas de la porte avec une serviette éponge.

« Ca va ma petite Manue ? Viens rentre tu dois avoir froid. Je t’ai fait couler un bain. C’est bon c’est terminé maintenant. Repose-toi et détends-toi. C’est fini. »

Je passai la nuit chez Marc ...
par manukib56
#1752530
Face au miroir

Qu’étais je devenue ? Étais cela que je voulais ? La nuit fut interminable tellement de questions venaient hanter ma nuit.

J’attendais avec impatience le petit matin pour venir m’extirper de cette maison. Je me sentais oppressée.

Il était à peine 8h du matin, je n’avais pas réussit à fermer l’œil de la nuit. Jean Pierre avait lui aussi passé la nuit chez son ami. Une chambre lui était attitrée dans cette immense demeure.

A pas de loup, je vins à son chevet le suppliant de me ramener chez moi.

« Jean Pierre ! Jean Pierre ! J’ai besoin de rentrer chez moi. Tu peux me ramener. »

Il me prêta une de ses chemises pour m’habiller ne serait qu’un peu. Mais vêtements étaient importables de la veille.

On sorti dans la fraicheur matinale et entra dans sa voiture. Au moment où il ferma la portière derrière moi, je me sentis en sécurité. Jean Pierre avait toujours été très délicat avec moi et je savais qu’il n’abuserait jamais de moi. Il avait toujours eu une affection particulière pour moi, depuis le début j’avais provoqué chez lui une certaine émotion, où la tendresse primait sur les autres filles de la bande.

Le trajet se fit dans un parfait silence. Sa voiture s’arrêta devant le grand portail de mon logement de fonction.

« N’hésite pas à m’appeler si tu as le moindre soucis. A n’importe quelle heure. »
« Merci Jean Pierre. Ca va aller. Bonne journée. »

Arrivée enfin chez moi, je me dirigeai immédiatement sous la douche pour encore une fois essayer de me laver de la souillure de la veille.

Emilie venait à peine de se lever.

« Manue c’est toi ? Qu’est ce qui c’est passé ? Frédéric m’a dit que tu avais annulé votre rendez vous au dernier moment. Ca va ? »
« Oui oui t’inquiète. » Je la pris par la main, l’approcha de moi et l’embrassa à pleine bouche. J’étais nue dans la salle de bain prête à me glisser sous ma douche. Ma main effleura le déshabillé de nuit de ma colocataire et le fit glisser le long de son corps et l’invita à me rejoindre sous la douche.

J’avais un besoin de tendresse, de caresses. Je caressai longuement son petit fessier pendant que nos lèvres étaient toujours collées entre elles. Elle avait compris ce que je recherchai et avec le plus de délicatesse possible, s’assura de me détendre du mieux qu’elle puisse.

Ses mains touchaient délicatement mes seins et sa bouche venait les embrasser. Son souffle sous ma peau me donnait des frissons.
Une de ses mains descendit lentement, doucement vers mon entre cuisse. Mon sexe était encore sensible de la veille tellement il avait été malmené. Son touché me fit sursauter les premiers instants, et le temps me fit me réhabituer à la sensation.

Son touché m’électrisait le bas ventre et le désir commençait à monter. A mon tour je vins reproduire le geste sur elle pour que toutes les deux nous soyons sur le même nuage.

Elle alluma la douche. La pluie chaude venait humidifier nos peaux et accentuait cet érotisme du moment.

Elle s’agenouilla face à moi, écarta mes jambes et me fit surélever une sur la paroi de la douche. Elle approcha son visage de ma vulve et y posa un doux baiser. Sa langue vint ensuite panser mes douleurs. Je m’agrippai à ses cheveux, ma tête se bascula en arrière et ma jouissance pue enfin prendre tout son sens.

C’était bon, délicat, attentionné.

Nous restâmes ainsi de longues minutes avant de prendre congés de la salle de bain pour nous étendre sur mon lit.

Frédéric n’avait pas dormit sereinement non plus cette nuit là. Il était toujours dans l’interrogation du pourquoi j’avais annulé notre soirée au dernier moment.

Inquiet il décida de venir ce matin là chez moi pour m’assurer que j’allais bien. Il toqua à ma porte. N’ayant aucune réponse, il ouvrit la porte et entra dans mon grande demeure.

Sans bruit il se dirigea vers ma chambre pensant me trouver en train de dormir. Bien entendu c’est tout autrement qu’il me trouva. Lovée dans les bras d’Emilie entièrement nues.

Toutes les deux nous ne levèrent ensemble et alla à la rencontre de l’homme. Nous le tirâmes à nous, et l’invita à nous rejoindre dans nos ébats.

Cette matinée fût salvatrice pour moi et grâce à elle pu véritablement comprendre qu’elles étaient réellement mes attentes et mes envies.

Le lundi matin quand je suis arrivée à l’agence, avc un gros pincement au cœur et une très grosse émotion. Je m’asseyais pour la dernière fois dans mon fauteuil et alluma aussi pour la dernière fois mon ordinateur.

De la manière la plus formelle qui soit j’adressai mon ultime mail à destination de Marc pour lui annoncer ma démission.

Fin.
par zztop
#1752728
Pas la fin de toutes tes histoires, MANUE..
Viens raconter ce que tu comptes faire, ce qui s'est passé après, de toi, du cas d'Emilie, etc...
Tu dois revenir..
par zztop
#1768463
Déstabilisée? Voire choquée? Que s'est il passé dans ta vie depuis? Que fais tu désormais pour vivre? Ta sexualité n'est elle pas morne désormais MANUE..
Viens me raconter tout cela...
par manukib56
#1781716
C'est en moi !

Le mail que je lui avais adressé raisonna comme une bombe au sein de notre compagnie d’assurances.

Recevant ses mails professionnels sur son Smartphone, il fut instantanément informé de ma volonté de démissionner. Il était loin de s’attendre à cette prise de décision venant de ma part, surtout aussi brutale.

Cela faisait même quinze minutes que je venais d’envoyer mon mail que mon portable vibra en affichant le nom de Marc. Je ne me sentais pas en état de m’entretenir avec lui et préféra laissa sonner dans le vide.

Trois longs bip retentirent, signalant qu’un message avait été déposé. Sans me préoccupé de mon téléphone, je quittai mon bureau en laissant tout comme si je revenais le lendemain.

Mais dans ma tête c’était clair je tournai la clé pour la dernière fois.

J’étais bien décidée à tirer un trait de cette expérience. Un taxi m’attendait devant l’agence pour me conduire à la gare. Ma valise à la main, je rentrai chez mes parents en Ile et Vilaine pour me ressourcer. Je laissais tout derrière moi : voiture, appartement, ordinateur, portable professionnel etc … Bref à cet instant précis je redevenais la jeune Emmanuelle.

Une fois dans le train, je me sentis prise d’un soulagement que je n’avais pas connu depuis des mois. Plus personne ne m’attendait, plus ce besoin d’exister auprès des autres. Je redevenais la jeune étudiante banale que certains qualifiaient de timide.

J’avais coupé les ponts avec tout le monde, je me sentais préservée dans mon cocoon familial, à l’abri de mauvaise intension.

J’avais prétextée à mes parents que je me prenais des vacances exceptionnelles pour essayer de sortir un peu la tête du boulot. Bien entendu je m’étais gardé de leur dire tous dans les détails.

Même Frédéric ignorait où j’étais et je ne l’avais pas mis non plus dans la confidence de ma volonté de démissionner.

J’étais maintenant libre, je n’avais plus rien. Plus de travail, plus d’appartement, plus de voiture.

Je retrouvai ma chambre de gamine, mes parents l’avaient conservée comme je l’avais laissée. Avec mes posters d’époque et quelques peluches meublant encore la pièce. Cette atmosphère en était rassurante. Même si certaines nuits je m’écroulais en sanglots sans trop savoir pourquoi, ce temps était nécessaire pour moi pour me reconstruire et commencer doucement à repenser au lendemain.

Cela fait maintenant trois semaines que je suis chez mes parents, reposée je suis prête à rebondir.

Mon père et ma ma mère sont toujours persuadés que je travaille dans le cabinet d’assurances, je n’ai pas osé leur dire que j’avais démissionné de peur qu’ils me demandent de justifier pourquoi j’ai fais cela.

Je les quittai donc en prétextant retourner au travail et à ma vie de femme d’affaires. Quand ils me déposèrent sur le quai de la gare, j’étais tirailler de voir leur fierté dans leurs yeux. Pour eux j’étais l’exemple même de la réussite sociale. Être à la tête d’une agence d’assurances à mon âge relevait du génie, ils étaient loin de se douter que cela ne relatait seulement que de mon cul.

J’avais décidé de retourner à Vannes pour rendre des comptes à Frédéric et Émilie qui avaient le droit de savoir pourquoi j’avais pris cette décision. C’est la boule au ventre que je suis retournée dans ce wagon pour rejoindre le Morbihan.

Nous sommes le 20 avril, le temps est pluvieux et me voilà après un mois d’absence de retour à Vannes sans trop vraiment savoir où aller.

Ma valise à la main j’errai dans les rues de Vannes. Je décidai de me poser dans un bar pour me réchauffer et réfléchir à ce que j’allais bien pouvoir faire.

Il n’eut fallut pas plus de cinq minutes pour que quelqu’un s’approche de ma table.

« Mademoisell P… quel plaisir de vous revoir. Vous étiez partie en vacances m’a t’on dit ? J’étais passé à l’agence pensant vous voir mais elle était fermée. Rien de grave j’espère ? »

Le monsieur qui venait de m’accoster était un de mes clients.

« Vous a t’on dit ? C’est à dire ? »
« Et bien voyant que l’agence était fermée je me suis permis d’appeler sur votre portable mais c’est un monsieur qui a répondu et qui m’a dit que vous rentreriez d’ici quelques semaines. Et je suis content de vous aujourd’hui. »

Il était certainement tombé sur Marc qui avait récupéré mon téléphone. Mais je fus surprise qu’il espère encore me voir revenir.

Il fallait que j’en sache d’avantage. Je décidai donc d’aller voir Emilie. Je retournai donc à mon ancien domicile.

« Manue !!!! Quel plaisir de te revoir. Je me suis inquiétée tu sais. Tu es partie comme çà sans rien dire. Ca fait du bien de te savoir de retour. Vas y installe toi, je reviens dans tout de suite. »

Je me dirigeai dans le grand salon, rien n’avait changé depuis mon départ à croire que je n’étais jamais partie. Emilie me retrouva dans le salon complètement nue.

« Tu vois je n’ai pas oublié les règles que tu m’avais imposée. »

« Tu peux te rhabiller. Ca en est fini pour moi tout çà. J’ai tourné la page » Je me sentais gênée de la voir ainsi totalement dénudée debout en face de moi. Son sexe était encore impeccablement entretenu sans doute pour coller à la volonté de Marc. Ses petits seins se dressaient juste au dessus de mes yeux. Même sans avoir de réelles attirances pour les femmes, le corps féminin ne me laissait jamais indifférente et je savais apprécier les jolies courbes comme celles d’Émilie. Je connaissais son corps et me souvenais de l’odeur de sa peau. Je sentais une certaine chaleur à l’intérieur de moi, était ce de l’excitation. Je n’en sais rien et ne voulais pas avoir à faire à cela pour l’instant.

« Écoute Émilie, c’est compliqué pour moi. Marc a été trop loin cette fois et je ne peux pas continuer ainsi. Il est temps pour moi de passer à autre chose. »
« Mais l’agence ? »
« Quoi l’agence ? Elle tournait avant moi, elle continuera à tourner après moi. »
« Je ne crois pas non. Tout le monde te demande. Même Maxime le pauvre il est perdu sans toi. Je ne sais pas ce qui c’est passé entre toi et Marc et je dirai que cela fait parti de votre histoire. Mais tu as pensé à moi et Maxime ? Qu’est ce qu’on fait nous maintenant ? »
« Mais vous continuerez comme à l’habitude. »
« Non, Manue ! Justement Marc parle de fermer l’agence et de délocaliser les gros comptes à bordeaux avec Camille, et les petits comptes de les filer à la concurrence. »
« Mais il ne peut pas faire çà ? »
« Je crois que ta démission lui a touché son estime propre et il réagit de manière brutale. Mais d’un coté on le connaît tous maintenant. Mais il en est bien capable tu sais. »
« Pfffffff ! Et sinon tu as des nouvelles de Frédéric ? »
« Oui il vient souvent ici, il ne comprend pas non plus et se demande vraiment ce qui c’est passé entre vous deux. Je préfère être honnête avec toi tout de suite, il nous arrive de coucher ensemble de temps à autres. Tu sais il est très triste en ce moment et …. »
« Non ne te justifie pas, je peux comprendre. Je n’ai pas été très présente avec lui ces derniers temps. Ca ne me gène pas du tout t’inquiète. » et c’était vrai, je les comprenais et cela me rassurait même de le savoir entre de bonnes mains. Émilie était une fille bien et honnête. C’était tout le bonheur que je pouvais leur souhaiter.

Il était temps pour moi de prendre congé et de quitter cet appartement qui ne m’appartenait plus.

« Promets-moi de passer à l’agence demain matin Manue ? S’il te plait ! Au moins pour voir Maxime. »

« Je verrai, je ne sais pas … »
par manukib56
#1782045
Je n’ai pas pu passer à l’agence le lendemain matin, c’était encore beaucoup trop tôt pour moi. Il me fallait panser mes plaies et retrouver un équilibre psychologique pour espérer renouer contact avec ces gens de ce monde.

C’est Émilie qui initia la reprise de contact par un texto appelant de l’aide.

« Il faut que tu reviennes ! STP fais le pour nous ! »

Cela faisait quelques semaines que j’avais élu domicile chez une amie qui m’hébergeait gracieusement. Démissionnaire de mon travail je ne pouvais malheureusement pas toucher les allocations.

Cette fille était une amie de l’IUT avec qui je m’entendais bien mais que j’avais préservé volontairement en laissant un peu de distance à notre relation amicale. Elle n’a pas hésité une seconde quand je lui ai demandé un toit. Elle vivait aussi à Vannes et travaillait comme gestionnaire administratif dans une petite société bretonne.

J’essaye de me faire discrète dans les rues de Vannes, de peur de croiser un client ou quelqu’un comme Jean Pierre, voire même Marc.

Mais l’appel au secours d’Émilie allait provoquer la chose.

Je me rendis à l’appartement un soir pour la rencontrer. Elle m’expliqua que Marc avait été catégorique, et que l’agence vivait ces derniers mois. Le temps de transférer les dossiers et la porte se fermera pour toujours.
Elle me demanda d’essayer de le raisonner, que moi seule pouvait encore éviter le pire.

Prise ainsi par le sentiment de culpabilité, il me fallait une nouvelle fois prendre sur moi pour accepter cette entrevue avec cet homme. L’angoisse m’envahissait …

Mercredi 3 juin :

Nous avions rendez vous dans un restaurant où nous avions l’habitude de déjeuner lors d’occasions extraordinaires. La boule au ventre, je m’avançai seule dans cette rue piétonne en direction de ce lieu de rencontre.

Il était déjà là et m’attendait tout sourire.

« Manue, quel plaisir de te revoir ! Allez viens rentre. Allons-nous installer. »

Sans mots je le suivi dans le restaurant et pris place en face de lui sur cette table minuscule. Je n’osai lever la tête de peur de croiser son regard.

« Bon je n’irai pas par quatre chemins Manue, l’agence a besoin de toi et tu le sais. Si tu ne reviens pas, je ne vois pas comment je peux la garder. Moi je suis bloqué dans l’Est de la France avec mes nouveaux projets, je ne peux pas tout mener de front. Tu es indispensable, il faut que tu reviennes. »
« Non. Pas après ce qui c’est passé. »
« Mais tu en as besoin ! C’est peut être dur à admettre mais tu as ce besoin d’être stimulé de cette manière. Si je suis là aujourd’hui à vouloir te faire revenir ce n’est pas à cause de ton cul ma belle. Je suis convaincu de tes compétences, je sais que tu es capable de mener cette agence d’une main de maître. A la différence des autres, tu as un besoin d’être stimulé de cette manière pour gagner en efficacité. »
« Mais comment pouvez dire çà ! Vous croyez que de se faire violer sur un parking, c’est de la stimulation par le haut. »
« Oublie cette enveloppe charnel. Fais en abstraction. » Le ton montait entre nous deux.
« Comment çà fais en abstraction, vous voulez que je vous remémore qu’ils m’ont tout de même pissé dessus ! » J’étais aux bords des larmes
« Et alors quoi ! Oui, ils l’ont fait. Oui ils ont abusé de toi. Mais entre nous, je commence à te connaître Manue. Tu as pris ton pied ! C’est juste ton estime de toi qui en a prit un coup. C’est tout. Tu as besoin de cela pour avancer, c’est comme çà faut l’assumer. Ce n’est qu’un corps, je sais ce que tu vaux autrement. Regarde comment tu t’es affirmée en quelques années. Dans ton couple, dans ta relation avec les autres … Sans cette stimulation tu ne te serais pas forgée cet état d’esprit et ces ambitions. Tu as besoin de cela ais tu te le refuses trop encore. Regarde ton stagiaire, un coincé de première qui grâce à toi c’est émancipé et demande à ce que tu reviennes. Acceptes d’être ce que tu es ! »

Cela en était trop pour moi, j’ai préférai quitter le restaurant.
par manukib56
#1786339
Mon retour dans la vie active.

Mercredi 10 juin 2015 :

Il m’eu bien fallut une semaine pour peser le pour et le contre avant d’enfin décider à revenir à l’agence.

Portée par le fait de ne pas imposer à Émilie et Maxime les conséquences de ma décision, je me devais de revenir pour leur permettre de continuer d’avoir de l’activité.

Ce matin là avait un goût amer. Sans la grande conviction que je connaissais il y a encore quelques mois. Je trainais chez ma copine pour me préparer, je faisais volontairement durer les choses pour reculer encore un peu plus.

J’arrivai devant la porte de l’agence. La lumière du plafonnier dans l’espace d’accueil était allumée. Je n’étais pas la première arrivée.

Je poussai la porte et entra dans le hall. J’apercevais au fond de la pièce la porte de mon bureau fermée.

Je m’y dirigeai avec toujours cette boule au ventre. Tout était calme. J’allumai la lumière dans mon bureau et redécouvrit mon ordinateur et mes dossiers qui ne semblaient pas avoir bougés même d’un millimètre.

Emilie m’entendit arriver et vint à ma rencontre un café à la main.

« Salut Manue ! Contente de te voir parmi nous ! » Elle était entièrement dénudée, fidèle aux règles qui nous étaient imposées. Je ne pouvais m’empêcher de regarder son corps parfaitement dessiné. Ce fût celui de Maxime qui arriva dans mon bureau pour me saluer.

« Bonjour Manue. Content de vous revoir aussi. » Mes yeux instinctivement se posèrent sur sa verge. Cela faisait des mois que je n’avais vu le sexe d’un homme, à en croire que j’avais oublié à quoi cela ressemblait. Lui aussi avait opté pour une épilation intégrale. Cela m’amusait de voir que même chez les hommes la chasse aux poils était devenue un véritable phénomène.

Pour retrouver ma place dans cette société il fallait que je fasse des efforts. Je les invitai à m’attendre dans mon bureau pour que nous fassions une petite réunion staff. Je les quittai pour aller dans la salle de pause. Cette fameuse pièce où nous devions laisser nos habits les mercredis. Je me forçais à la tâche, je me devais de mettre au même niveau que mes camarades. Je quittai donc mes vêtements un a un pour finir aussi entièrement nue à mon tour.

Nous étions tous les trois assis nus dans l’espace salon de mon bureau, buvant un café. Je me faisais exposer par mes collaborateurs tous les suivis des dossiers depuis mon départ. J’essayai du mieux que je pouvais de donner mes lignes directrices pour rattraper le retard engendré. Je savais que mes semaines à venir allaient être très fournies en masse de travail pour combler cette absence.
Occupés à déblatérer sur chaque dossier aucun de nous entendu la porte de l’agence s’ouvrir et se fermer.

Marc fît irruption dans mon bureau sans même prévenir de sa présence.

« Ah çà y est la team de Vannes est au complet. Je vois que vous êtes studieux ! »


Il nous dévisagea tous les trois et son petit rictus que je lui connaissais de toujours ne l’avait pas abandonné.

Il a alla se mettre à côté d’Emilie sans rien demander déboutonna son pantalon et sorti son sexe mou le tendant à sucer. La jolie rousse le saisit en bouche et s’attela à le faire gonfler entre ses lèvres.

J’assistai blaze à la scène me disant que de toute façon, en ayant acceptée de revenir ici il fallait me faire à l’idée que ce genre d’événement allaient refaire partis de mon quotidien.

Maxime regardait avec envie son patron en train de se faire sucer, son sexe se durcissait aussi excité par ce spectacle. Emilie se donnait à la tâche. De temps en temps on entendait des sons de gorges, elle s’essayait à la profonde. Marc était agrippé à ses cheveux la retenant de tout retour en arrière et s’assurant ainsi de l’avoir toujours collée contre son ventre. Elle essayait de le repousser en appuyant sur ses hanches, mais l’homme ne fléchissait pas. Son visage devenait rouge et preuve qu’elle était en train de s’étouffer. Il la relâcha enfin, lui accordant un moment de répit. Avant à nouveau de s’y ré engouffrer.

Vulgairement, il était en train de la baiser par la bouche. Elle quitta son siège pour venir se mettre à genoux devant lui. Il fît signe à Maxime de venir près de lui.

« Fais en sorte qu’elle ne se dégage pas ! » Le stagiaire était maintenant au courant des pratiques de son patron et il n’avait plus besoin qu’on lui explique ceux dont on attendait de lui. Il se mit derrière Emilie et lui attrapa ses mains pour l’obliger à les garder dans son dos. A l’aide de son autre main, il appuyait sur sa tête pour la faire s’enfoncer toujours un peu plus sur le sexe de Marc. C’était lui maintenant qui décidait du rythme.

« C’est bien mon petit ! Voilà fais-la s’enfoncer encore plus. Elle peut me prendre en bouche encore plus elle en a la capacité. C’est sûr que sa responsable d’agence à des prédispositions pour ce genre de pratique. Je dirai même qu’elle excelle dans cette pratique. Heine Manue ? »

Tout en baisant la bouche d’Emilie il s’adressait à moi comme si c’était ma bouche qu’il était en train de remplir.

Il s’en amusait, il avait compris qu’étant revenue au sein de l’agence, j’assumais indirectement ce qui s’y passait. Il retira son sexe et laissa respirer la jeune assistante. Il se dirigea vers moi le pantalon rabaissé et le sexe encore gorgé. Il me prit la main droite et fit comprendre en tirant dessus qu’il voulait que j’obtempère et m’agenouillant à mon tour devant lui.

J’arrivai au niveau de sa ceinture, mon visage était presque à le toucher. J’entrouvris légèrement la bouche pensant qu’il voulait l’investir. Mais non, il se garda une distance et se paluchait énergiquement.

Bestialement, comme le dominant de la troupe il comptait seulement marquer son territoire en venant m’éjaculer dessus. Je me convaincu que ce n’était qu’une enveloppe corporelle et qu’il pouvait en faire ce qu’il voulait.

Il s’astiquait encore et encore quand soudain je compris qu’il était arrivé au point de non-retour. Il fléchit légèrement les genoux pour bien s’axer en face de mon visage. Posa sa main sur le dessus de ma tête de peur sans doute que je ne fuie. Les premiers jets sortir de son sexe et viennent gicler en désordre sur mon visage. Un coup sur ma joue, l’autre sur mes lèvres allant même dans mes yeux, que j’essayais de garder le plus possibles fermés.

Son sexe ramollissait à chaque giclée, il me bifflait avec en prenant bien soin de répandre sa semence partout sur mon visage à la manière d’un masque de soin. Le devant de mes cheveux était collant de sperme. Une fois s’être bien vidé, il me fit ouvrir ma bouche et je due le nettoyer de tout son foutre avant de ne pouvoir le laisser prendre congé de moi.

Contre toute attente vint le tour de Maxime qui sous les ordres de son supérieur, tout penaud prit lui aussi place devant moi et le sexe tendu vers moi se masturba quelques instants avant de venir immaculer mon visage. Il se déchargea en deux temps, le premier étant focalisé sur mon visage il descendit ensuite pour venir se finir sur mon petit 85B.

Il colla son sexe tout gluant entre mes seins et vint les serrer contre et s’offrit une petite caresse mammaire. Il savourait le moment et marqua la fin en me saisissant par les tétons le temps d’un instant pensant qu’il allait pouvoir les faire se dresser.

Marc renfourna son sexe dans son pantalon.

« Bon je vous laisse à votre travail. On déjeune ensemble ce midi ? Je reviens d’ici une petite heure. »

Il quitta mon bureau comme il y était entré.
par zztop
#1788411
Effectivement, tu fais une erreur majeure de jugement.. Si tu as eu ce poste, c'est grâce à tes compétences professionnelles et non pas pour ton cul.. Aussi accueillant soit il... Et autre erreur : ce n'est pas l'excuse d'Emilie et du stagiaire qui t'a fait revenir... Non, petit cul..? Viens faire un tour aux Charrues pour te changer les idées
par manukib56
#1943128
Voilà bien plus d’un an que je ne me suis pas connectée sur le forum. J’y suis retournée cette semaine et j’ai été agréablement surprise de voir au combien mes textes étaient lus.
J’ai reçu un grand nombre de marques d’affections de vous par messages privés et je vous en remercie.
Je dois dire que c’est agréable de se savoir soutenue et comprise. Merci à tous !
Pour donner de mes nouvelles donc.
En juillet 2015, j’ai fait un abandon de poste me permettant ainsi de toucher le chômage tout de suite.
J’ai pas mal galéré ces quelques mois, je suis rentrée sur Vitré chez mes parents.
J’ai coupé tout contact avec Vannes et ces habitants. (Marc, Mathias, Frédéric, Audrey etc…)
Seuls quelques messages étaient encore échangés avec Emilie par sms, qui s’inquiétait beaucoup pour moi.
Je crois que j’ai frôlé de très près une petite dépression. Heureusement ma famille et mes amis d’enfance ont sût m’encadrer et me donner espoir en mon futur.
Jean Pierre, était très inquiet pour moi et s’en voulait terriblement de la tournure qu’avaient pris les choses.
Cette soirée sur l’aire de repos était pour lui peut être la soirée de trop.
Je savais qu’il prenait de mes nouvelles via Emilie et je sentais bien au fond de lui qu’il avait réellement d’empathie envers moi.
Il aura été un peu mon Saint Bernard dans cette affaire, c’est grâce à lui aujourd’hui que je me suis reconstruite et que je peux revenir à vous.
Je ne travaille plus dans les assurances mais dans les produits bancaires. Jean Pierre a beaucoup sollicité ses contacts en tant qu’ancien chef d’entreprise. Et grâce à lui je travaille maintenant dans une banque en tant que chargée d’affaires en produits bancaires (prêts, placement etc …).
Je vis maintenant sur la région de Lorient avec Jean Pierre, nous formons un couple heureux depuis presque un an.
Beaucoup de choses ceux sont passées qui j’en suis sûre feront l’objet de nouveaux récits.

Votre dévouée Manue
par manukib56
#1943420
Un nouveau chapitre est en train de s'ouvrir

12 décembre 2015 :

Cela fait maintenant quatre mois que Jean Pierre et moi sommes officiellement en couple. Il a déménagé aussi pour que nous installions dans une petite commune limitrophe de Lorient, là où je travaille maintenant.

Notre vie est des plus classiques à la différence près notre écart d’âges qui provoque encore chez certains des interrogations.

Jean Pierre vit pleinement de sa retraire d’ancien chef d’entreprise tandis que moi je me construis une nouvelle vie professionnelle sur une base plus seine.

Avec Jean Pierre nous discutons beaucoup, son calme et son analyse me permettent d’amener beaucoup de réponses à mes questions et vraiment me donner confiance en ce que je suis réellement.

Notre sexualité est jusqu’à aujourd’hui classifiée comme banale, si on peut classifier cela comme çà. La fidélité est bien présente autant chez moi que chez lui.

Mais une certaine routine commença doucement à s’installer, ma reprise de confiance en moi me fît aussi admettre que cette sexualité un peu débridée est essentielle pour moi et que la sensation d’appartenir à un homme dominant était entrée dans mes meurs.

Jean Pierre avec son rôle protecteur et quasi paternel ne pouvait plus m’offrir cela. Il était garant de mon épanouissement mais plus à n’importe quel prix.

Mais par amour pour moi il était prêt à quelques sacrifices.

Un jour de semaine, il m’annonce qu’il nous a réservé une petite chambre dans un hôtel spa cinq étoiles dans le nord de la Bretagne pour aller se détendre un petit peu en cette fin d’année.
C’est vrai que mon travail me prenait beaucoup de temps et que le stress m’avait un peu tendu. L’idée d’un petit week-end relaxant était fort opportune.

Nous arrivions devant ce magnifique hôtel sur la côte de Perros-Guirec, offrant une vue imprenable sur la mer. Il faisait froid et la pluie battait fort, un temps idéal pour s’offrir un petit séjour cocooning dans cette demeure de luxe où Spa et soins du corps seront mes seules activités.
Nous étions arrivés en tout début d’après-midi, la table pour le déjeuner était réservée. A peine déposé nos valises dans notre chambre très cosie et à la décoration intérieure très raffinée, nous descendîmes au restaurant.

La table ronde s’accolait à l’immense verrière offrant une vue à 180° sur la Manche. Le détail des quatre couverts ne m’avait pas interpelée tout de suite. Je sentais Jean Pierre subitement un peu tendu comme gêné à l’annonce de quelque chose.

« Ça va ? »
« Heu oui oui. »
« Tu m’as l’air tendu ? »
« Non non ça va. Je t’assure ! »

Un couple fît son apparition dans la salle du restaurant et sont pris en charge par le serveur. Débarrassés de leurs manteaux, ils arpentent l’allée entre les tables vers notre direction.

A leur approche Jean Pierre se leva.
« Bertrand ! Comment vas-tu ? »
« Bonjour Céline. » Et il fit la bise à cette dame.

Ils étaient dans les même âges que Jean Pierre, peut-être un peu moi pour la Dame. L’homme était assez grand et gardait une certaine forme athlétique. Quant à elle, plus petite mais relativement fine et très bien conservée pour son âge. Ces cheveux blonds ondulés laissaient entrevoir des reflets blancs. Elle était très sobrement maquillée et habillée avec très grande classe.

« Je vous présente ma compagne, Emmanuelle. »
« Enchantée Emmanuelle. Bertrand. Jean Pierre m’a beaucoup parlé de vous. »
« Bonjour, Céline, la femme de Bertrand. »
« Vous avez fait bonne route ? » Jean Pierre les invita à notre table.

La discussion battait son plein et de manière très courtoise. Devant cette petite déconvenue je restais malgré moi un peu en retrait, ne comprenant pas trop pourquoi Jean Pierre ne m’avait pas parlé de la venue de ses amis ce week-end. Ceci le rendait encore plus suspicieux.

Il faut tout de même l’avouer ce couple était très charmant et d’agréable compagnie. En rien ne se dégageait d’eux quoique ce soit de déplacé.

Ils me posèrent beaucoup de question à mon intention me demandant ce que je faisais dans la vie, quels étaient mes centres d’intérêts. Au fil de mes réponses je me doutais bien qu’ils étaient déjà au courant de pas mal de sujet me concernant. Ceci me toucha, à l’idée que Jean Pierre parle de moi autant à son entourage proche.

« Dites-moi Emmanuelle, j’ai un modelage dans une petite heure vous inviteriez vous à moi histoire que nous papotions pour laisser ainsi nos hommes. »
« J’en serai ravie. Merci. »
Céline se leva, embrassa son mari.
« Je monte à notre chambre pour passer mon peignoir. Emmanuelle nous nous retrouvons à l’espace Spa ? A tout de suite » La ravissante dame prit congé de nous.

Voyant l’heure, je m’excusai auprès de ces messieurs pour à mon tour me changer pour le soin.
Je retrouvai Céline dans le patio de l’hôtel. Toutes les deux en peignoir nous attendions les masseurs.

Une jeune femme et un jeune homme vinrent à notre rencontre, ils portaient le polo bleu marine du staff Spa.

« Mesdames, si vous voulez bien nous suivre. »

La pièce n’était pas bien grande et sentait bon les huiles essentielles. De jolies plantes vertes venaient orner la salle. On nous remis une grande serviette de bain à chacune. Pudiquement je m’éclipsai derrière un paravent pour ôter mon peignoir et m’enrouler dans la serviette.
Céline, sans doute moins pudique que moi, retira son peignoir et le déposa sur une chaise. Elle allongea sa serviette sur la table de massage et vint s’y allonger dessus ventre à plat.
Brièvement, dans sa quasi nudité intégrale (seulement une culotte de dentelle l’habillait), je remarquai que son corps était encore très ferme pour son âge. Que je situais aux alentours des cinquante-cinq ans. Sa poitrine certainement plus généreuse que la mienne défiait encore les lois de l’apesanteur.

Toutes les deux seulement drapées de notre serviette sur les hanches nous nous faisions masser. Céline était pétrie par les mains musclées du jeune homme tandis que j’étais éprise de la douceur de la jeune fille. Le moment était plus que relaxant.

Après bien trois quart d’heures de relaxation extrême, ils nous couvrirent d’une couverture chauffante et prirent congés de nous en laissant le soin de mettre une petite musique douce en fond.

Nous étions toutes les deux, allongées, cote à cote.

« Quel calme ! Moi je suis totalement détendue. Et vous ? »
« Oh oui, cela m’a fait un bien fou. »
« Jean Pierre me disait que vous travaillez dans l’agence …… sur Lorient ? »
« Oui, je suis chargée d’Affaires. J’y travaille depuis septembre. »
« Je sais Jean Pierre nous a raconté votre histoire. Comment vous sentez vous maintenant ? »

Elle semblait être au courant de beaucoup de choses et j’imagine bien qu’elle doit être dans la confidence … Je n’osai répondre et laissa pas à un long moment de silence.

« Je connais Marc vous savez. Je sais de quoi il est capable. C’est normal que vous soyez autant bouleversée. Nous sommes pareilles c’est indéniable, à la différence prêt vous étiez trop jeune pour cela. »

Je ne comprenais pas trop où elle voulait en venir par « nous sommes pareilles »

« Quand Marc tient une jeune femme et qu’il sent le pouvoir qu’il peut exercer sur elle, il devient incontrôlable. On ne peut pas anticiper ce dont il veut et les limites qu’il se donne à lui. C’est un peu ce que nous recherchons inconsciemment au fond de nous, mais pour cela il faut être totalement en phase avec nous-même. Et seule la maturité peut nous aider à assumer cela. »
« Pourquoi me racontez-vous tout cela ? »
« Jean Pierre est venu nous voir pour nous parler. Il sent que vous n’êtes pas tout à fait épanouie, qu’il vous manque quelque chose. Aussi étrange que cela puisse paraitre quand vous étiez sous l’emprise de Marc vous sembliez plus assouvie et plus sûre de vous. Effectivement la dernière épreuve qu’il vous a fait vivre, vous l’avez vécu comme extrême, borderline. Certains pourraient même qualifier cela de viol. Mais c’est juste que c’était trop tôt dans votre éducation. Jean Pierre tient beaucoup à vous ça se ressent, depuis le premier jour où il vous a rencontré. Mais il sait que vous avez besoin d’autres choses, que vous êtes très demandeuse. Et par amour, il accepte. Il sait que pour vous garder à ses côtés il doit vous donner certaines libertés pour que vous puissiez assouvir vos besoins et canaliser votre excitation. »

« Mais comment avez-vous connu Marc et Jean Pierre ? »

(…)
par manukib56
#1943712
Qui sont ils ?

(…)

L’histoire est assez longue.

Bertrand et moi nous nous sommes rencontrés alors que nous étions encore sur les bancs de l’école, pendant nos études supérieurs.

Bertrand suivait des cours pour reprendre l’entreprise familiale et moi j’étudiais la compta.
Depuis notre première rencontre nous nous sommes jamais séparés, même dans le travail. C’est moi qui tenais la comptabilité dans le groupe.

Nous avions une petite vie très bien rangée. Après nos études, Bertrand a donc reprit la société de terrassement de son père et je suis venue l’épauler pour tout ce qui était administratif et comptabilité.

Nous nous sommes mariés et avons eu deux beaux enfants.

C’est en 2005 que tout a commencé. Bertrand avait considérablement développé la société et avait racheté quelques entreprises locales pour étendre son activité dans la région.

Très vite de petite PME, nous sommes arrivés à un groupe comptant pas loin de 200 salariés.
Devant cette croissance à trois chiffres notre assureur historique ne pouvait plus nous garantir. Notre cheptel d’engins, de véhicules et notre masse salariale devenaient trop important pour sa structure plus axé particuliers et petites entreprises.

Le club des entrepreneurs auquel Bertrand appartenait lui avait donné le contact d’un assureur réputé et capable de pouvoir nous assurer dans les meilleurs conditions.

Le rendez-vous a donc été pris avec ce fameux Marc. Je me souviendrai toujours de cette première rencontre.

Nous nous rendions, Bertrand et moi, à son agence pour discuter des modalités. J’ai tout de suite été prise de quelque chose devant cet homme sûr de lui, avec un discours commercial bien rôdé. Son regard était lourd et pesant. La présence de Bertrand ne le mettait en rien mal à l’aise. Il en allait même à des commentaires du genre : « avec une épouse aussi charmante que la vôtre » etc …

L’entretien dura une bonne heure, au moment de nous quitter il nous raccompagna jusqu’à la porte.

« Au plaisir de vous revoir très prochainement. Et peut-être dans d’autres situations ? »
Bertrand n’avait pas relevé cette fin de phrase et salua l’assureur content d’avoir pu traiter une affaire avec lui. La poignée de main je lui adressai était sans équivoque plus moite et moins ferme. Son large sourire n’était pas là pour me rassurer.

Jusque-là tout se passait normalement, j’avais peu de contacts avec lui si ce n’était pour gérer des facturations ou des réactualisations de certificat. Je m’y étais fait à ces petits piques misogynes et essayait d’en faire abstraction.

En 2008, nous avons connu dans la société une petite baisse d’activité, la concurrence était rude et les prix de marchés s’effondraient. Nous devions resserrés nos dépenses au mieux pour maintenir la tête hors de l’eau. Bertrand s’investissait énormément dans son travail et se donnait corps et âme pour maintenir l’activité et assurer de garder ses salariés. Je le voyais moins souvent.
De mon côté j’essayais au mieux de limiter nos dépenses et cherchait les économies possibles. Les assurances étaient un gros poste de dépense pour nous chaque trimestre. D’années en années les trêves augmentaient et commençaient à peser lourd dans la balance.

Je décidai de mon propre chief de prendre rendez-vous avec Marc pour trouver une optimisation ou alléger certaines clauses.

Et c’est là où tout a commencé …

Il m’a reçu dans son bureau un soir alors que tout le monde avait quitté l’agence.

Je lui expliquai la situation économique de l’entreprise, qui certes n’était pas catastrophique mais qu’une vigilance accrue des dépenses était nécessaire pour redresser la barre.

Marc, était très à l’écoute même si je sentais de temps à autre son regard un peu insistant sur mon chemisier.

Après de longues minutes de discussion et d’échanges, il en arrive à me proposer des solutions avec des échéanciers de paiement mieux étalés, et des clauses suspensives retirées. Bref, nous avions trouvé un accord. Mais une question me taraudait l’esprit.

« Mais dites-moi ce que nous faisons, cela rentre bien dans le cadre réglementaire ? »
« Je ne vous cache pas que nous tutoyons avec la légalité même si nous n’en sortons pas. Mais ne vous inquiétez pas ceci est mon affaire. Ce n’est pas pour rien que tous les grands entrepreneurs me font confiances. » Un dernier clic sur son ordinateur, Il se leva de sa chaise, se dirigea vers la porte de son bureau et referma la porte. Je n’osais me retourner. Le cliquetis de la clé de la porte me fît tressaillir de peur.

« Bien entendu, comme nous chevauchons avec la légalité il m’est indispensable d’avoir une contrepartie de votre part. Comme dans toute négociation, des concessions doivent être faites dans les deux sens. »
« Vous savez comme je vous le disais, nous avons une trésorerie très tendue. Je ne sais pas combien vous voulez mais nous ne pourrons certainement pas payer, si ce n’est ce que nous vous devons. »
« Qui vous parle d’argent ? N’y a-t-il vraiment que çà dans la vie ? »

Il s’approcha de moi et posa ses mains sur mes épaules. J’étais tétanisée et çà il le savait.

« Je fais un pas vers vous, maintenant c’est à vous de faire un pas vers moi. Vous voulez enlever le stress à votre mari ? Il se démène tant pour votre société. Il serait tellement fier de vous, de savoir que vous aussi vous vous démener pour trouver des solutions pour l’entreprise. » Sa main glissait dangereusement sur mon sein droit. Par-dessus mon chemisier il venait me peloter.
Je suis d’éducation catholique, issue d’une famille assez bourgeoise. Nous avons toujours été élevés dans des règles d’éducations traditionnelles. La sexualité était existante bien sur entre Bertrand et moi mais cela était très conventionné. C’est tout juste si je pratiquais la fellation. Cela m’arrivait de temps en temps mais vraiment pas de manière systématique. Je trouvais ça rabaissant pour la femme que de prendre le sexe de son mari en bouche pour lui procurer du plaisir.

Marc me fît me lever, par la main il me fît faire le tour de son bureau. Il s’assit sur sa chaise de bureau et me fît mettre à genoux devant entre ses jambes.

« Je ne veux pas qu’il est quoi que ce soit de signé entre nous. Tout ce qui nous liera sera de l’oral !!!! » Son rire en disait long sur jeu de mots.

Il dégrafa sa ceinture, déboutonna son pantalon et lentement fît glisser sa braquette pour en extraire son sexe. C’était la première que je voyais un autre sexe que celui de mon mari.
Sa main empoigna ma chevelure et avant même que je ne puisse réagir, il m’inclina pour que mon visage soit au plus près de sa verge.

« Allez ma petite bourgeoise. Montre-moi ce que tu sais faire. Ne me dis pas que tu n’aimes pas ça ! »

Pétrifiée, hypnotisée, horrifiée, aucun qualificatif ne pourra illustrer vraiment ce que je ressentais à ce moment-là. Comme transportée, sans vraiment comprendre ce qui m’arrivait. Sous la contrainte j’ai dû ouvrir la bouche et gober son sexe mou.

« Vas-y salive plus pour bien la faire glisser ! Mais dis-moi ce n’est quand même pas la première que tu suces une bite dit moi. Allez vas y ! » Sa main sur mes cheveux donnait la cadence. Je salivais pour faciliter l’intrusion et remarqua que cela faisait gonfler sa verge dans ma bouche.
« Mais non de Dieu, range tes dents !!! » il me gifla le visage pour me remettre dans le droit chemin.
« Je suis sûr que ta gamine de 17ans suce mieux son petit ami que toi tu ne dois sucer ton mari. Allez maman mais toi à l’ouvrage. »

Sa verge était maintenant devenue bien raide et il ne cessait de pousser toujours un peu plus loin dans ma gorge au risque de m’étouffer.

Il la ressortie et me fît cracher dessus.

« Allez crache sur ma queue Maman et ouvre grand la bouche. Je vais t’apprendre comment une bonne salope comme toi doit sucer. Tu feras un heureux à la maison après çà, je te le garantie. »
Je libère de ma bouche un petit filet de bave qui vint s’écraser sur son gland. Docilement j’écartai les lèvres pour lui offrir ma bouche bien béante.

Sa main resserra ma touffe de cheveux, son bassin se décolla de l’assise de sa chaise et brutalement il vint enfourner son sexe dans ma bouche. Ses va et viens étaient incessants et il n’hésitait pas à se retirer totalement pour se refourreauter dans ma gorge.

« Voilà, comme çà. Vas-y maintenant joue un peu avec ta langue. Fais monter la sève. Tu voulais me donner de l’argent mais c’est moi qui vais te donner des liquidités »

Déjà que la fellation n’était pas une de mes pratiques favorites alors l’idée du sperme me dégouttait au plus haut point. J’avais bien sur entendu que certaines femmes pouvaient avaler le sperme de leur conjoint mais pour moi cela restait très fantasmagorique pour les hommes et n’était réservé qu’à une poignée de femmes. Comme dans les films x par exemple.

Il alterna sa main sur main, pour me prendre avec sa main gauche. La main droite libérée le servait maintenant à se masturber tout en m’obligeant à le prendre en bouche.

Sa verge se gonflait encore entre mes lèvres, et sans prévenir un jet long et fort inonda ma bouche. Il venait de m’éjaculer dans ma bouche. La quantité était abondante et j’essayais d’évacuer ce liquide blanchâtre le plus possible par les côtés. Son foutre coulait le long de mon menton et venait goûter sur mon chemisier et le sol du bureau.

« Ne me dis pas que tu n’y pas goûte. Allez nettoies moi tout çà. »
Il me força à lui nettoyer le sexe. C’était la première fois que je goûtais le sperme et ce n’était pas celui de mon mari. Chaque coup de langue me ramenait une quantité de ce liquide chaud et à ma grande surprise sucré et pas si nauséabond.

J’étais bouleversée par ce qui était arrivé. Je reprenais petit à petit mes esprits à genoux entre les jambes d’un parfait inconnu.

Je quittai le bureau sans même me retourner et sans dire un mot.
par manukib56
#1944736
(…)

« Votre histoire aussi étrange que cela puisse être ne m’étonne en rien. Il a un pouvoir sur les femmes qu’il est difficile de résister. Et que s’est-il passé après ? »

« Je ne l’ai pas revu pendant quelques mois. Mais un jour j’ai reçu un mail sur ma messagerie avec un lien. Quand j’ai cliqué sur le lien je suis tombée sur une vidéo où l’on pouvait m’apercevoir entre ses jambes en train de le sucer. La vidéo n’était pas de bonne qualité mais n’importe quel proche de mon entourage pouvait me reconnaitre aisément sur cette vidéo.

C’est à ce moment-là que je me suis souvenu qu’avant de se lever de son bureau il avait cliqué sur son ordinateur. J’ai compris maintenant qu’il allumait sa webcam et qu’en m’amenant à sa chaise de bureau, nous serions dans les champs de caméra.

Nous étions en arrêté comptable et en fin d’année civile, pour cela je dois réactualiser tous les certificats pour la nouvelle année. Je devais donc faire établir des nouveaux pour nos contrats d’assurances, surtout la décennale qui est primordiale dans nos métiers.

Je lui adressai un mail lui demandant de m’envoyer mes attestations d’assurances. Sa réponse ne tarda pas.

« Elles sont prêtes vous pouvez passer à l’agence mercredi »

Je savais au fond de moi que c’était un nouveau guet-apens mais elles étaient importantes et avec la vidéo il pouvait me soudoyer comme il voulait. Je n’avais d’autres choix que de m’y rendre.
J’arrivai devant l’agence mais elle était fermée au public. Je frappai timidement à la porte en espérant fortement qu’elle soit vide. Malheureusement non, il ouvrit la porte.

« Ma chère, je vous en prie entrez. Vous quitterai bien votre manteau ? »
« Oh merci mais je ne resterai pas longtemps. Je passais simplement prendre les attestations. »
« Venez-vous poser quelques instants. Avez-vous bien reçu ma petite vidéo souvenir ? Je trouve ça toujours agréable d’immortaliser des moments aussi importants n’est-ce pas ? »

Je ne savais quoi répondre.

« L’avez-vous partagée avec votre mari ? »
« Je vous en prie, il ne doit rien savoir ! S’il vous plait ! »
« Cela dépend de vous ! Il faudra vous montrer plus coopérative »
« Mais que voulez-vous au juste ? »
« Rien de bien désagréable. Si ce n’est réveiller en vous la femme que vous êtes vraiment. »
« Que voulez dire ? »
« Vous êtes un vraie salope mais vous ne le savez pas encore. Je suis sûr que pendant que vous me suciez votre chatte était trempée. N’est-ce pas vrai ? »

Je n’osai répondre quoi que ce soit.

« Nous allons maintenant passer à l’étape supérieur. Retirez-moi tous ces habits. Je veux vous voir à poil. Maintenant que vous savez sucer, je vais vous apprendre à baiser ! »
« Vous ne pouvez rien m’obliger »
« Non bien sûr, mais je peux simplement transférer la vidéo à votre mari. Et dans l’extrait que je vous ai envoyé vous ne semblez pas si contrainte que çà. Allez fous toi à poil et vite ! »

J’étais dans une impasse, je ne pouvais plus faire demi-tour et je le savais capable de tout dévoiler à mon mari pouvant mettre en péril mon couple et ma famille. Honteusement je quittai mes vêtements un à un pour me retrouver totalement nue devant cette crapule.

« Regardez-moi çà ces seins biens lourds ! Et ces tétons qui ne demandent qu’à être redressés »

Avec ses deux mains il vint les pincer fortement. Il les tournait dans tous les sens pour les faire pointer.

« Et cette chatte mais bordel quelle touffe ! L’épilation tu connais ? »

Sa main venait fouiller ma toison et son index cherchait l’entrée de mon sexe.

« Ma parole tu caches bien ton jeu petite salope, regardes comme tu dégoulines ! Une vraie fontaine ! Ca t’excite de te retrouver ainsi à poil devant un étranger. Ton mari ne doit pas te troncher souvent hein ? »

Là il n’avait pas tort cela faisait plusieurs moi que Bertrand et moi n’avions pas eu de moments intimes. Le travail et le stress avait totalement pris le dessus sur notre libido. Et n’arrivant pas à me contrôler je mouillais devant ce type.

Il ouvrit son pantalon le retira complètement et son caleçon avec.

« Allez viens me sucer. Montres-moi comment tu as retenu la leçon. »

Docilement je viens m’agenouiller devant lui et entrepris une fellation comme selon ses désirs.
« Mmmmh c’est mieux ! Voilà comme j’aime ! »

Mes apnées étaient maintenant plus longues et je toussotais beaucoup moins quand il enfonçait son sexe. Des fois il sortait sa verge et venait me gifler avec.

« Allez, maintenant je vais te baiser. Tu vas voir ce que c’est d’être baisée comme une vraie chienne. Fous toi à quatre pattes, des salopes comme çà on les baises à même le sol »

Il ramassa son pantalon et extirpa un préservatif, le temps que je me mette à quatre pattes il s’était déjà manchonnée du capuchon plastique.

« Cambre toi bien, montre-moi ta croupe ! »

Il avait une vue imprenable dans sur mon entrecuisses, il était maintenant au-dessus de moi. Ses doigts venaient se frayer une ouverture, il allait me pénétrer quand soudain il s’arrêta net à l’entrée de mon sexe.

« Dis moi Maman, est ce que ton mari t’a déjà prise par derrière ? »
« Oh non s’il vous plais je vous en prie. Faites tout de moi mais pas çà. »
« C’est bien ce qui me semblait, j’ai à faire à une vierge du cul. Ma pauvre comment peux-tu vivre sans connaitre la sensation d’avoir une bonne bite dans ton cul ?
« Je vous en prie !!! »
« Oh oui tu fais bien de te faire prier. » Son index vint se poser sur mon petit orifice. Il força le chemin et s’essaya à une première intrusion.
« Mon dieu que c’est serré tout çà. » Ses crachas viennent éclabousser mon encablure et avec son doigt amena le liquide sur ma rondelle. Il venait de temps à autre prendre de la mouille de mon sexe pour tapisser l’orifice.
« Allez Maman, grand moment pour toi. Je vais te sodomiser. »

Il s’agenouilla derrière moi, glissa son sexe de mon sexe à mon petit trou en essayant de récolter le maximum de mouille avant la plongée dans le grand noir. Il commença à appuyer doucement, il maintenant la pression constante.

« Ne lutte pas ! Laisse toi baiser. Tu peux crier t’inquiète nous sommes seuls. Allez savoure ma bite, viens t’empaler »

Les premiers millimètres étaient maintenant passés, mes gémissements et mes supplications ne le ralentissaient en rien.

Ses mains s’agrippaient à mes fesses en essayant de les écarter au mieux pour favoriser le passage.

« Voilà ça y est tu commences à te relâcher, mon gland vient de passer. Encore quelques instants pas très faciles et tu verras après. Ahhhhhhhhhh ça y est ma belle, te voilà enculée bien profond. Tu la sens ma queue en toi. Elle t’écarte bien là. Mmmh comme tu es serrée c’est bon çà. Je crois que je ne vais pas tenir longtemps serré comme çà. Comme je te l’explose ton cul. Tu entends cette succion, tu m’aspires là. »

Il se redressa légèrement, pour quitter la position à genoux, et venir au-dessus de moi accroupie. Cet angle d’attaque lui permettait de venir me pénétrer plus en profondeur. Je sentais son sexe venir taper mon bas ventre. Son rythme était soutenu. Plus mes cris lui résonnaient à ses oreilles plus son rythme s’intensifiait.

« Ah ma salope tu vas me faire jouir » Il se retira, resta au-dessus de moi et retira son préservatif. Il approcha son sexe de mon anus encore ouvert et gicla dedans, dessus à grande quantité de foutre.
« Allez viens me nettoyer comme tu sais bien faire. »

Je me redressai et pris son sexe en bouche pour le nettoyer de son sperme. Pendant que j’étais occupée à le lécher, j’étais en train de prendre conscience que je n’avais jamais été excitée autant.

Cet homme venait de réveiller en moi quelque chose de terrible.
par manukib56
#1945124
(…)

« Et vous avez continuez à le voir après cela ? »

« Oui. Un jour, je reçois une notification de ma banque me disant que le virement que j’effectuais chaque moi pour payer les trêves des assurances ne pouvait aboutir. J’appelle à l’agence pour m’assurer qu’ils n’aient pas changé leurs coordonnées bancaires. Marc me répond que maintenant chaque mois, je devrais moi-même lui porter le chèque. Les rendez-vous été pris.
Ce petit jeu a duré un long moment. Tous les mois, je devais me rendre le dernier mercredi de chaque fin de mois à l’agence pour aller payer ce que je devais.

Après lui avoir déposé le chèque, il me baisait violemment suivant son envie du moment. C’était devenu un rituel. Par contre, jamais il ne me baisait vaginalement, il s’était proclamé propriétaire de mon cul !

Aussi étrange que cela puisse paraître, au fil du temps j’ai commencé à m’émanciper. A accepter ma féminité et mes envies. Je gagnais en assurance et en confiance en moi.

J’attendais ces mercredis avec impatience. J’aimais ce sentiment d’appartenance à un homme. J’osais plus de chose et assumais mes envies sexuelles.

J’avais trouvé mon équilibre, je me faisais baiser sauvagement une fois par mois, et j’avais toute la tendresse que je souhaitais avec mon mari.

Bertrand me trouvait étrange ces derniers temps, j’étais beaucoup plus avenante et beaucoup plus demandeuse sexuellement. J’aimais le sucer longuement avant qu’il puisse me baiser.

Mais un soir, je m’en souviens encore c’était un week-end. Notre grande fille était partie chez une amie et notre dernier chez ma sœur pour le week-end. Nous avions profité de ce petit week-end sans enfants pour nous faire une petite soirée romantique à la maison.

Nous avions commandé un diner chez un traiteur et nous étions mis sur notre trente et un.

La soirée était calme, nous avions débouché une bouteille de champagne comme apéritif et pendant le repas un merveilleux vin rouge comme nous aimons. Nous étions tous les deux un peu épris de l’alcool. L’alcool aidant je sentais monter en moi l’excitation, j’étais devenue câline envers mon mari.

Tous les deux dans le canapé nous commencions à nous lover tendrement. Ma main caressait son entre jambe, je le sentais raidir. Je lui ouvris son pantalon et commença à lui masser le sexe. Comme Marc me l’avait appris, je me glissai entre ses genoux devant lui et commença à le sucer avec toutes les techniques que maintenant je connaissais. Ma salive enveloppait sa verge qui coulissait aisément entre mes lèvres. Chaque va et vient étaient l’occasion de l’enfoncer encore un peu plus au fond de ma gorge.

« Oh mon dieu ma chérie !!!! » Il était en totale extase, jamais je ne l’avais entendu rugir ainsi. Ceci me motivait à continuer.

Ma langue jouait avec son gland, je crachais sur son sexe pour accenteur l’effet de mouille. Ma main le branlait.

« Chérie, arrête s’il te plaît je n’en peux déjà plus. » Je l’enfonce une dernière fois dans ma bouche, il essaye de basculer ma tête en arrière mais je tiens bon. Il ne peut plus se retenir et explose dans ma bouche. J’avale son sperme à chaque jet, je laisse sortir volontairement quelques gouttes pour accentuer l’effet salope sur mon visage. Je le nettoie, il est au septième ciel.

Je continue ma fellation pour le refaire gonfler. C’était une grande première, après seulement quelques minutes de succion, mon mari pu reprendre de la vigueur.
Très vite j’abandonnai mes habits de soirée pour lui dévoiler ma nouvelle lingerie. C’était la première fois que mon mari me voyait en string avec une paire de bas.

« Mais chérie … »
« Quoi ca ne te plait pas ? »
« Oh si terriblement ! »
« Alors qu’attends tu pour venir ? »

Il s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement. Sa main caressait mon sein et glissa le long de mon corps pour venir dans mon entre jambes. Il glissa sa main sous le petit tissus de mon string et là surprise !!

« Mais tu es totalement épilée ? »
« Tu n’aimes pas ? »
« Heu si bien sur ! Mais tu me surprends c’est tout. »
« Non c’est à toi de me surprendre. Viens me gouter maintenant. » Je m’allonge sur le canapé et lui offrit ma croupe à lécher. Il me fît un cunnilingus comme jamais il m’en avait fait. Je compris que mon excitation avait des répercutions sur la sienne. Nous étions en extase.
Il me pénétra, son rythme et pour une fois soutenue.

« J’en ai marre que tu me baises comme une bonne mère de famille. Allez vas-y bouscule moi ! »
Je m’échappai du canapé pour venir sur le tapis du salon me mettre à quatre pattes.
« Viens me prendre par derrière, je veux te sentir. Arrêtes avec les retenues, baises moi ! »
Il m’agrippa par les hanches et s’introduisit à la manière d’un mâle en rut.

« Ohhh oui comme çà fais-moi jouir »
« Ohhh chérie qu’est-ce que tu m’excites. Je crois que je vais jouir »
« Non pas avant ne m’avoir sodomisé. Je veux te sentir dans mon cul »
« Comment ? Mais je croyais que tu ne voulais pas »
« Arrêtes de parler et encule moi. »

Il s’y prenait comme un manche, c’était pour lui sa première sodomie. Je mouillai quelques doigts et moi-même dû me préparer à le recevoir. Me sentant suffisamment dilaté j’écartai mes fesses et l’invita à me pénétrer.

Son sexe se posa contre ma petite rondelle et il vint appuyer doucement. Son sexe s’enfonça comme par enchantement. Il n’osait bouger. C’est donc moi par des coups de reins et hanches qui venai me culbuter contre sa bite.

« Ohhhh c’est serré, c’est trop bon. »

Il ne lui fallut pas plus d’une minute pour venir m’inonder de son foutre. Mon cul en était rempli. Quand il eut repris ses esprits, je le suçai doucement pour le nettoyer de tout son foutre.
Il m’apposa un baiser doux et câlin sur le front.

« Je t’aime »

A la suite de cette soirée, nous avons beaucoup discuté. Bertrand avait besoin d’être rassuré sur ce changement radical. Il voulait comprendre. Ne pouvant rien lui cacher je lui ai avoué tout en lui relatant tous les moindres détails.

Au début il s’est trouvé trahi et a eu beaucoup de mal à l’accepter. Je lui ai promis de ne plus retourner.

Mais au bout de quelques semaines, notre libido était à nouveau revenue quasi inexistante et les rares fois où nous faisions l’amour, le classique avait repris sa place. Nous n’étions plus autant épanouis que cette fameuse soirée.

Nous en avons longuement discuté, et il fallait se l’avouer nous y avions trouvé notre équilibre. Bertrand arrivait même à être excité par l’idée qu’un autre homme pouvait profiter de moi sans aucune limite.

Et c’est depuis çà, que nous avons commencé se partage. Bertrand me laissait aller chez Marc et je lui revenais plus excitée que jamais.

Mon éducation était donc commencée.
par manukib56
#1945783
La fin de la séance venait de sonner. Notre masseurs sont venus nous rechercher pour nous retirer notre couverture chauffante et nous enduire d’un lait soin du corps.

Après ces derniers moments de tendresse il était temps pour nous de rejoindre nos conjoints réciproques.

Jean Pierre m’attendait dans le petit salon de l’hôtel tandis que Bertrand était parti faire un tour dehors sur le bord de mer pour s’aérer.

« Ca va ma chérie, comment c’est passé la séance ? »
« Relaxant à souhait ! Merci mon amour. Ton ami Céline a été d’une agréable compagnie. Nous avons beaucoup discuté. »
« Tu ne m’en veux pas de t’avoir mis sur le fait accompli ? »
« Non, t’inquiète. »
« Je suis content. Ne te sens jugée et forcée de rien surtout. Je veux juste que tu puisses échanger avec eux de leur expérience. »
« T’inquiète » je l’embrassa tendrement.

Bertrand rentra de sa balade.

« Ah vous voilà ! Alors cette séance massage ? Céline est montée dans la chambre ? »
« Magnifique, oui elle est montée s’assoupir un instant. »
« Dites, nous avons réservé le sauna pour dans trente minutes. Si vous le souhaitez, vous êtes les bienvenus. »

Je regarde Jean Pierre qui attendait un retour de ma part.

« Oui avec grand plaisir ! Merci à toute l’heure donc. »

Après mettre désaltéré au bar, d’un thé senteur cannelle. Il était maintenant l’heure de rejoindre notre couple d’amis.

Nous arrivons dans l’espace privé du Spa et des peignoirs étaient déjà accrochés aux portes manteaux. J’ouvris la porte du Sauna, et entra dedans suivi de Jean Pierre. Je n’avais pas cas tout de suite mais Bertrand et Céline étaient totalement nus.

J’étais un peu décontenancée par ce fait accompli. Je m’installai. Céline était allongée sur la paillasse du bas tandis que Bertrand était sur l’estrade du haut adossé au mur.
Jean Pierre retira son maillot pour adopter la tenue d’Adam. Seule encore en maillot de bain, je devenais un peu la brebis galeuse du troupeau. Je défie le nœud du haut de mon maillot et offrit la vision de mes petits seins. Ma culotte glissa le long de mes jambes, nous étions maintenant à égalité.

J’étais un peu gênée, et alla m’assoir sur la première estrade. Je n’arrivais pas à retenir mon regard, il se posait systématiquement sur le corps, ma foie, assez athlétique de Bertrand. Son sexe n’était pas aussi bien membré que celui de mon sexagénaire mais il n’avait pas à en avoir honte. Il avait le torse musclé et viril.

J’avais déjà pu voir Céline, au détail près c’est qu’ici elle était totalement nue. Son sexe était bien entretenu avec le fameux et irremplaçable ticket de métro.

Mon épilation intégrale quant à elle semblait faire le bonheur de Bertrand. Son regard se montrait insistant sur mon corps. Je sentais bien qu’il était en train de m’analyser de bas en haut et sous tous les angles.

Fallait bien me l’avouer cette situation ne me laissait pas insensible, je sentais le vice revenir en moi.

Je préférai m’isoler, je fermai les yeux et essayais de penser à autre chose. Enfermée dans ma bulle, les yeux de Bertrand et Céline posés sur moi, ne cessaient de me hanter et commençaient à sérieusement m’exciter.

L’image de ces deux inconnus totalement nus hantait mes esprits.

Notre séance tourna à sa fin.

« Dites, voulez-vous vous joindre à notre table ce soir ? Nous pourrions faire plus amples connaissances avec vous ma chère Emmanuelle. »
« Avec joie. »
Nous remontions chacun dans nos chambres.
« Comment trouves tu mes amis ? »
« Physiquement ou en général ? »
Jean Pierre en était amusé « En général, quoi que je serai intéressé d’avoir ton avis sur le deuxième cas de figure. »
« Ils sont tous les deux très gentils et surtout très courtois. J’ai beaucoup apprécié passer du temps avec Céline. Et la petite séance Sauna, malgré notre nudité je ne me suis pas sentie obligée de quoi que ce soit. Quant à leur physique, pour des personnes de leur je les trouve très élancé. Ils sont très bien conservés. J’ai remarqué que Bertrand me regardait beaucoup à ce propos. »
« Je ne suis pas étonné. Bertrand a tout aimé les belles et jolies choses. Il m’en aurait été navrant que ta nudité n’ait pas causé d’effet. Et crois-moi pour Céline ce devait être de même. Je voudrai qu’à l’occasion tu les rencontres seules. Je pense qu’ils ont des choses à te faire découvrir. Depuis un petit moment je ne te trouve plus épanouie, tu vis renfermée sur toi-même. Je sais qu’au fond de toi tu as ce besoin d’adrénaline. »
« Pourquoi seule ? Pourquoi pas toi ? »
« Je veux que tu vives ta propre expérience, avec tes propres limites. Et puis on se dit tout … »
« Je ne sais pas. C’est trop tôt pour moi, je suis encore fragile »
par MKL
#1947143
bjr
très heureux de votre retour votre histoire est toujours aussi passionnante.
merci
en attendant de vous lire pour la suite de votre aventure
par manukib56
#1949878
Elle me raconta un autre jour, une autre histoire assez rocambolesque de Marc.

Un jour Bertrand lui demande si ça ne nous dirai pas d’aller à la piscine ce samedi ? Ce genre d’activités n’était pas dans nos habitudes. Je n’étais pas très chaude pour y aller surtout plus un samedi où l’on sait que les bassins sont pris d’assaut avec les familles et qu’un brouhaha de cris d’enfants raisonne en permanence dans l’enceinte du complexe aquatique.

Mais voyant que cela lui tenait à cœur et que pour une fois mon mari voulait faire du sport, peut être une bonne résolution, j’acceptai.

14h nous sommes au guichet de la piscine, les bassins étaient bondés.

Bertrand me guida dans les vestiaires.

« Tiens attendons que celui-ci se libère et nous le prendrons. »
« Mais il y’a pleins d’autres de libres »
« Oui mais celui-là est pour handicapés ou familles, nous serons moins à l’étroit »

La cabine se libère, une petite famille y sortie. Nous prime leur place.

Nous commencions à nous changer, quant au moment où je voulu prendre mon maillot de bain dans le sac.

« Non reste comme çà. Tu es pressée d’aller dans l’eau ? » Il sorti du sac un masque de nuit comme on trouve dans les avions.

« Tiens passes çà sur tes yeux. »

Il étendit une serviette de bain sur le carrelage froid et humide de la piscine, et me fit mettre à quatre pattes.

« Cambre toi bien ma chérie ! » Il me doigta un instant, me lécha le sexe en prenant bien soin de saliver. Je sentis quelque chose de froid couler le long de mon petit orifice. Ses doigts vinrent maintenant s’y glisser. C’était du lubrifiant.

« Mais que fais-tu ? »
« Crois-moi tu en auras besoin. »

Je l’entendis prendre toutes les affaires de la cabine et la quitter. J’étais seule, en levrette dans un vestiaire. J’avais peur.
Quelqu’un s’approche de moi.

« Alors, ma petite pute préférée. Comme çà on se laisse manigancer par son mari ? » Je reconnue la voix, c’était Marc.

« Ecoute moi bien, tu n’es pas toute seule ici. Il y a plein de monde et notamment des enfants. Peu importe ce qui va t’arriver je ne veux pas t’entendre. Ai-je été clair ? »

« Où est Bertrand ? Qu’est-ce que vous voulez de moi ? »

« Tu ne dois pas bouger, ne retire jamais ce masque ! Tu m’entends ? Ne t’inquiète pas ton mari n’est pas très loin. Et crois-moi ce petit l’amuse tout autant que moi. Maintenant fais-moi honneur ! »

Je l’entendis partir. Je suis restée comme çà de longues et interminables minutes. J’étais tétanisée à l’idée que quelqu’un puisse entrer par inadvertance et me découvrir ainsi.

Des pas m’encerclèrent. Le cliquetis de la porte s’abattit. J’étais maintenant isolée avec des gens autour de moi dont je ne connaissais leur identité. Je me laissai à penser qu’il s’agissait de Bertrand et Marc.

Quelqu’un s’agenouille derrière sans rien dire. Même pas une caresse, un toucher, rien, il me pénétra sauvagement. Il ne comptait y passer des heures. Il se dégagea de moi et je sentie son sperme chaud couler le long de ma fente. Il venait de jouir sur mon cul.

Un autre prit le relais. Pendant qu’il me baisait sauvagement, des mains vinrent me traite la poitrine. Mes tétons étaient tirés dans tous les sens. Une bite força le passage dans ma bouche.
Ils étaient au moins trois voire quatre sur moi à ce moment-là. L’individu quitta mon sexe pour venir me sodomiser.

Il se retira. Quelqu’un me souleva pour qu’un autre individu s’allonge sous moi. Il m’empala sur un sexe, et mon cul fut à nouveau investi. Des sexes s’alternaient dans ma bouche. Et de temps en temps de fortes giclées venaient frapper mon visage, ou mes seins, et même ma gorge.
Certains spermes avaient même un gout très âpre mais j’essaye de ne pas montrer le moindre dégout.

Jamais autant je n’aurai été baisée. Les sexes se succédèrent dans ma bouche, mon sexe, mon cul. Mes seins étaient meurtris de toutes les maltraitances possibles. Il n’y avait plus un centimètre carré de moi qui n’était pas recouvert de sperme. Mon visage collait et je sentais le foutre.
J’étais épuisée de toutes ces sollicitations. Je ne ressentais plus rien, mon corps tout entier était endolori.

Ca y est, ils avaient tous déchargés. On me rendait mon corps. La cabine se vida aussi vite qu’elle s’était remplie. J’agonisais allongée essayant de reprendre mon souffle.

Marc et Bertrand étaient dans le vestiaire d’à côté et avaient été les témoins de cette orgie.

Bertrand me retrouva allongée totalement nue dégoulinante de foutre masculin. Une once de pitié pouvait se lire sur son visage mais une grande excitation était visible dans son maillot.

Encore endolori par les secousses bestiales, je m’agenouillai devant lui, baissa son caleçon de bain et le pris en bouche.

Sa main caressait mes cheveux tandis que ma langue parcourait son sexe. Ces aventures aussi particulières qui soient avaient réveillé en nous une véritable soif de sexe.

Quelques instants passèrent et son doux liquide chaud inonda ma bouche. Je l’avalai avec délectation.

Une nouvelle fois Marc avait eu raison de nous …
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