- 11 mars 2015, 16:13
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La journée de la femme dignement fêtée
Lundi 09 mars 2015.
La veille était la journée de la femme, même si à ce jour je n’y accordais pas une grande importance, je comptais tout de même marquer le coup.
Ne pouvant me rendre disponible ce dimanche pour des raisons familiales, anniversaire d’une petite nièce. Je fis comprendre à Frédéric que le lendemain je comptais sur lui pour m’offrir une journée digne de ce nom.
Il vient de trouver un emploi de gestionnaire dans une petite PME sur la région d’Auray. Il pouvait maintenant donc s’assumer un peu plus grâce à son salaire. Mais je crois que ce qui le déstabilise aussi dans cette vie professionnelle, c’est qu’en plus du retournement de situation concernant notre couple, nos différences de salaires le mettait mal à l’aise.
Toujours est-il, ce lundi il était bien décidé à m’envoyer diner dans un petit restaurant assez huppé de Vannes pour célébrer cette journée féministe.
Il était 18h, cela faisait maintenant une petite demi-heure qu’Émilie avait déjà quitté le travail. Il ne restait plus que moi et Maxime à l’agence.
Il me restait encore quelques petits papiers à terminer, tandis que Maxime profitait de ce temps mort pour continuer d’avancer sur son mémoire de stage. Il n’était pas rare qu’il reste après la fermeture de l’agence pour avancer sur son dossier, il savait aussi que j’étais plus disponible pour des questions éventuelles. Tout comme Marc, j’essaye d’être au mieux la plus professionnelle dans mon travail et guider le mieux qu’il soit mon stagiaire.
Frédéric arriva à l’agence peu avant 19h. Bouquet de fleurs à la main il pensait me trouver seule au bureau. Maxime était dans son bureau (qui était le mien auparavant) tandis que moi je m’afférai dans le mien à envoyer quelques derniers mails en conclusion de ma journée.
Il arriva dans mon bureau tout penaud.
« Bonsoir, tu es prêtes. J’ai réservé pour 19h15. »
« Oui je finis deux trois trucs et je suis à toi. Merci pour les fleurs ! Tu peux les mettre dans un vase et les mettre sur la petite table. Merci »
Il alla chercher un vase qui devait trainer dans la salle de pause et décora mon bureau de son bouquet. L’odeur des fleurs parfuma la pièce.
Sagement il s’assit sur le canapé du bureau et m’attendit en prenant soi de ne pas me déranger.
Je le trouvais attachant de le voir ainsi se plier en quatre pour moi. Mes deux trois mails envoyés j’étais fin prête à aller diner avec mon cher et tendre. Mais l’envie irrésistible de me lover près de lui prit le dessus. Langoureusement je vins donc à lui et l’embrassa tendrement.
Mes mains caressaient son corps par dessus sa chemise et son pantalon, l’envie de lui et de le sentir montèrent en moi.
Assise à ses cotés, j’écartais légèrement les cuisses pour lui laisser entreprendre la possibilité d’y glisser une main.
Il remonta ma cuisse pour se glisser dans mon entrejambe, sa main passa sous ma jupe droite et alla en contact avec ma lingerie.
Il caressa mes lèvres à travers le fin tissu tout en continuant son baiser. Ses gestes étaient doux et minutieux. Un doigt s’y glissa par le coté pour venir comme un rideau découvrir mon petit abricot. J’écartai très largement mes jambes pour lui souhaiter la bienvenue. Il prit la température et y insérant un doigt et compris mon état d’excitation quand il comprit à quelle point j’étais excitée.
Je m’excusai de lui pour venir m’agenouiller au pied du canapé, entre ses jambes. J’ouvris son pantalon, pour en extirper son sexe déjà à demi tendu. Sans le faire plus attendre, ma bouche vint l’aspirer et commença une longue et douce fellation.
Avec ma main droite je le masturbais tandis que ma bouche s’occupait à lui décupler le plaisir. De temps en temps, ma langue venait simplement titiller son gland pour m’assurer de l’exciter toujours un peu plus. Sa verge gonflait à chaque coup de langue.
Sa main caressait mes cheveux et m’encourageait à continuer. Je le regardai droit dans les yeux, son sexe en bouche. Il me motivait par des mots doux.
« Oh oui chérie, que c’est bon ! Vas y continue. Tu sais que j’aime çà. » Je le sentais se détendre et prendre confiance.
Il m’invita à me lever. Ses mains se lovèrent sur mes hanches pour me contourner et venir s’agripper à la fermeture éclaire de ma jupe. Dans un mouvement sec il la fit descendre, et aussi le vêtement glissa à mes chevilles. Pendant qu’il s’occupait de ma lingerie intime, je déboutonnai mon chemisier pour me mettre à nue devant lui.
Enfin nue, sa main ne cessait de fouiller mon sexe tandis que moi je me penchais sur le sien pour le masturber.
Je me redressai, sa bouche s’approcha de mon sexe et tandis qu’un doigt s’atterrait à des allers et venus entre mes lèvres humides, sa langue parcourait le dessus en venant se frotter sur mon clitoris.
Ma respiration se faisait plus saccadée et des petits gémissements commençaient à sortir de ma bouche.
« Oh oui ! Mmmmh » Ses doigts écartaient mes lèvres pour venir mettre à l’air libre ma petite protubérance érectile. Cela donnait le champ libre à langue qui venait y dessiner des petits huit. Je me sentais couler face à ces caresses buccales. C’était à mon tour d’agripper sa chevelure comme pour lui faire comprendre que je ne voulais pas qu’il s’en décolle.
Sa langue me fouillait de plus en plus et commençait à investir l’entrée de mon sexe. J’entamai une danse du bassin pour venir me coller un peu plus à son visage.
Il leva pour embrasser mes petits seins. Tout en les embrassant, il retirait son pantalon pour lui aussi adopter la tenue d’Adam.
Il me fit s’allonger sur le canapé passa ses mains sous mes jambes pour venir me positionner plus près de lui. Les jambes relevées et suffisamment écartées il s’agenouilla devant et appuyant sur l’arrière de mes cuisses pour m’assure de bien les garder en l’air, il vint tapoter son sexe à l’entrée de mes lèvres et me pénétra. La tête légèrement relevé sur l’accoudoir j’assistais à cette pénétration. Nos regards s’échangèrent ils étaient pleins de tendresse.
Pendant qu’il me pénétrait son pouce droit massait mon clitoris pour rajouter encore un peu plus de plaisir. Je n’arrivai plus à contenir mes petits cris de plaisir.
« Ah ! Mhhh ! Oh oui. Comme çà doucement. »
Il tenait sa verge de sa main pour accentuer encore plus la raideur de son membre et donner l’effet qu’il donnait plus d’effort dans la pénétration.
« Oh oui chérie, que c’est bon d’être en toi ! Oh !! Comme tu es bonne » Son rythme s’accélérait. Des fois il se dégageait totalement et venait soit frotter contre mon clitoris ou alors le tapoter avant de revenir me pénétrer et me baiser par des vas et viens rapides et secs.
Aucun de nous n’était dans la retenue de nos petits cris et nous nous laissions aller à notre simple plaisir.
Il essayait de prendre un peu de hauteur sur ses genoux pour venir me pénétrer de manière plus profonde.
J’avais envie de plus, un besoin de le sentir encore et toujours plus. Je me dégageai de lui, il s’assit sur le canapé. Dos à lui je viens m’asseoir dessus et je pouvais ainsi moi même gérer la pénétration et l’intensité dont je voulais être baisée.
Notre accouplement prenait une tournure plus virile. Je passais mes bras derrière pour essayer de prendre appui et me coucher un peu plus sur lui. Il profita de cette aubaine pour prendre entre ses mains mon petit 85b et le malaxer comme il se doit.
Je donnais à cœur pour descendre et monter le long de son organe. Ma respiration se faisait plus soutenue, mes gémissements étaient plus fréquents. Petit à petit je commençais à sombrer dans l’euphorie du plaisir charnel. Nos corps étaient en train de se retrouver et revivaient cette synergie qui nous était chère auparavant.
Une de ses mains quittait de temps en temps un de mes seins pour venir caresser mon petit bouton.
J’accélérai, mon corps chauffait sous l’effort que je produisais. Le plaisir m’inondait.
Frédéric me saisit par les hanches pour me faire me relever. Il m’invita à me mettre à quatre pattes sur le bord de l’assise du canapé. Bien ouverte, il me pénétra en levrette. Une jambe accroupie sur le canapé et une autre posée au sol, c’est ainsi que maintenant il décida de me prendre. Agrippé à mes fesses il me secoua par ses assauts. Je sentais ses testicules qui venaient cogner contre mon clitoris à chaque intrusion.
Cela dura de longues minutes où mes cris étaient maintenant fortement audibles.
Nous avions besoin de souffler. Toujours debout je m’agenouillai devant lui pour le prendre à nouveau en bouche et surtout calmer un peu nos ardeurs.
Pendant que je m’amusais à l’exercice de quelques gorges profondes, pour son plus grand plaisir, ma main ne cessait de caresser mon sexe pour continuer d’attiser ce désir.
C’est avec deux doigts dans mon sexe que maintenant je continue de le sucer. Ses râles à lui aussi se font entendre.
« Mon dieu, qu’est ce que tu suces bien. J’aime ta bouche ! Oh oui vas y comme çà enfin bon bien tout. Voilà bien au fond. Allez continue. Garde-la en bouche. » M’encourageait il.
Quand son sexe sortait de ma bouche je tirai la langue pour qu’il vienne le tapoter contre. Des fois c’était ma joue qui prenait cette gifle. Il aimait le rentrer et appuyer sur l’intérieur de ma joue comme pour me transpercer le visage.
La bouche entre ouverte, il glissa son long dans la longueur à l’extérieur, une branlette espagnole avec des lèvres pour être plus claire. Je salivais abondamment pour accentuer cette sensation de glisse.
Tout d’un coup il eu une idée particulière, il escalada le canapé pour s’y mettre debout et me fit m’asseoir entre ses jambes. Assis sur l’arrière du canapé ma tête coincée entre ses jambes au niveau de ses bourses, je les léchai pendant qu’il se masturbait au dessus de moi.
« Vas y ouvre bien grand la bouche. » Avec sa main il appuya sur son sexe pour le mettre vers le bas. Il le cala entre mes lèvres et accroupie sur ses jambes il commença des flexions pour venir toujours plus enfoncer son organe au fond de ma gorge. Son gland tapait le fond de ma bouche et je n’avais d’autre choix que de subir cette invasion. Il était littéralement en train de me baiser la bouche.
Pendant que nous étions occupés à cela, Maxime entra dans mon bureau dans l’idée de nous saluer avant de quitter l’agence. Ne voulant pas nous déranger il patienta sur le seuil, dans l’attente que l’un de nous ai prit conscience qu’il était là.
Je repris ma position initiale, allongée sur le canapé les jambes bien en l’air pour être à nouveau prise de la sorte. C’est quand Frédéric me repénétra à nouveau que je tournai la tête vers la porte et vis mon stagiaire sagement en train de nous mater.
Il ne fallait pas être dupe pour savoir qu’il avait du déjà nous entendre depuis un bon moment. Ce prétexte de nous dire au revoir et simplement pour se rincer l’œil et sans doute pour voir ce qui pouvait me jouir ainsi.
« Ne reste donc pas planté là. Amène ta bite ici ! Y’a jamais assez de deux ! » Je voyais bien que cela décontenançait Frédéric mais cela m’importait peu. C’était à mon plaisir que je pensais.
Et faut l’avouer, Maxime avait fait d’énorme progrès en matière de sexe depuis son arrivée à l’agence. C’était long d’être un performer mais il prenait de plus en plus d’assurance qui en faisait de lui un bon coup !
Devant mon air directif, il ne se fit pas prié plus longtemps. Et vint se positionner à mes cotés pendant que Frédéric continuait à me sauter.
Il balada ses mains sur mes seins qui sautillaient au rythme des aller et venus de mon copain.
« Allez sort ton sexe, je veux te sucer. » Il déboutonna son jean et défit sa ceinture et me tendit son sexe à sucer. Il était totalement penché au dessus moi.
Voyant que de toute manière il ne maitrisait plus rien, Frédéric se résigna à me partager avec ce jeune homme.
« Va te mettre sur le dossier du canapé ! » ordonna t’il à Maxime qui alla docilement s’asseoir sur le dossier du canapé les pieds sur l’assise. A genoux sur l’assise je n’avais plus qu’à me pencher pour atteindre de ma bouche le jeune sexe tandis que Frédéric me baisait par derrière en levrette. Chaque fois qu’il poussait son sexe dans le mien m’obligeait à enfoncer le sexe de Maxime un peu plus dans ma bouche. Mon jeune stagiaire profitait de mes seins pendant et ballotant pour venir les peloter au passage.
J’étais excitée et j’en voulais encore plus.
« Prends-moi le cul ! Allez vient en moi ! » Il n’eut pas fallut insister plus. Un bref filet de salive sur la zone cible et son sexe appuyait pour forcer le passage étroit.
J’avais mal et avait du mal à me décontracter mais j’en avais envie et besoin d’être prise plus fortement. Il continua sa traversée et réussit enfin à me sodomiser. Le sexe de Maxime dans ma bouche dissimula mes cris.
« Oh oui comme çà. Allez vas y baise moi le cul ! »
« Tu la sens bien ma queue ? »
Je n’en pouvais plus mes cris se mêlèrent à de la jouissance. Frédéric me secouait comme il pouvait bien décidé à m’enculer comme il se doit. Maxime jouait avec son sexe et ma bouche.
Il me fallait reprendre à nouveau mes esprits. Frédéric s’allongea par terre en prenant soin de pousser la table basse décorée de son bouquet de fleurs. Je le chevauchai vaginalement pendant que Maxime toujours fidèle au poste se tenait debout devant moi en pointant son sexe dans ma bouche.
J’avais enfin repris mes esprits et contait bien maintenant reprendre un peu la situation en main. Je fis asseoir Maxime sur le canapé et m’agenouilla devant lui pour venir à nouveau le sucer.
« Allez vient Frédéric, y’a de raison qu’il n’y ai que moi à profiter de la queue de mon petit stagiaire. »
« Non Manue, tu sais bien… » Je ne laissai pas terminer sa phrase.
« Est ce que je te demande ton avis. Je te dis viens alors tu viens. Tu ne vas pas faire le difficile. Elle est bien plus jeune se bite que celui de mon propriétaire, tu t’en souviens. Et celle de Mathias tu l’aimais bien aussi au fond de ta gorge. Allez vas y suce »
A en croire le visage de Maxime, cela non plus ne l’enchantait guère de se voir sucer par un homme. Mais il savait que quand j’avais une idée derrière la tête il était impossible de me la retirer. Sans mots dires il se laissa porter par l’excitation du moment.
Frédéric à contre cœur, se vit contraint et forcer de le prendre en bouche. Je le voyais à quel point il était en dégout de cela et qu’il ne s’attendait pas à cela. Ma main masturbait le sexe pendant que la bouche de mon compagnon s’activait dessus.
« Elle n’est pas bonne la bite de mon petit stagiaire ? Tu sais qu’elle me baise aussi celle là. Et ben quoi vas y prends la entière. Quand c’est moi qui te suce tu aimes bien que je l’engouffre entièrement, alors vas y exécutes toi. » Ma main appuyait sur l’arrière de sa tête pour venir l’obliger à l’enfoncer encore plus.
« Ce n’est pas la bite de Jean Pierre que je te demande de sucer mais celle de Maxime. Tu te rends comptes là, tu suces le stagiaire de ta petite amie. Tu l’aurais imaginé çà avant ? »
Quand il marquait des pauses pour reprendre son souffle, je prenais le relai et lui faisait une démonstration de ce qu’est une bonne suceuse.
« Regarde comment ma bouche est familière avec sa bite. Mmmh elle a bon gout sa queue ! Et quand elle me baise je ne te dis pas le pied que je prends avec. Allez à ton tour, fais le jouir ce petit. Montre moi que toi aussi tu es une bonne suceuse ! »
Frédéric s’exécutait et y mettait du sien pour que ne puisse lui reprocher quoi que ce soit. Maxime semblait s’y être fait à l’idée et se détendait à son tour. Il s’agrippait à ma poitrine pour toujours avoir un contact féminin l’aidant sans doute dans l’acceptation de son désir.
Voyant Frédéric bien parti pour la fellation, je me dressai sur le canapé pour venir m’asseoir sur le visage en arrière de Maxime. Il se livrait à un magnifique cunnilingus pendant que mon homme le suçait.
« Au lieu de nous regarder là, continue à le sucer. Allez vas y ! »
« Suce le ! Oh il sait y faire avec sa langue, je dégouline dessus. Vas y Maxime fais plaisir à ta patronne. Mmmmh elle est bonne ta langue, allez vas y fouille moi »
Je descendais d’un cran pour venir à accroupi au dessus du jeune sexe. Frédéric le relâcha de sa bouche et comprit sa mission. C’est lui même qui vint positionner le sexe de mon stagiaire à l’entrée du mien. Pendant que sa main le tenait en l’air je vins tranquillement m’asseoir dessus en le regardant bien dans les yeux pour qu’il puisse voir chaque mimique de mon visage pendant la descente et qu’il comprenne le pied que je suis en train de prendre.
J’écartais bien les jambes pour qu’il puisse apprécier chaque détail de cette queue qui me remplie.
« Ohh regarde comment je viens m’empaler dessus. Mmmh Elle est bonne sa queue. Oh là elle est bien en moi. Je le sens ! Oh oui Maxime allez vas y baise bien ! Allez ! Plus fort. »
Cela dura un long moment, j’étais heureuse de voir que Maxime pouvait être endurant. Surtout aujourd’hui où j’étais bien décidée à en profiter le plus longtemps possible.
La position changea, Frédéric alla s’asseoir sur le canapé tandis que Maxime me prit en levrette, debout penchée à quatre vingt dix degré je le suçais pendant que l’autre me baisait.
Cette position était assez inconfort, je m’agenouillai donc pour véritablement faire une levrette dans les règles de l’art. Ainsi cambrée mon petit cul s’ouvrit montrant les vestige d’un passage encore frais.
« Allez, toi aussi vient me prendre le cul. Mon à mon petit ami comment on baise sa patronne. » Maxime avait maintenant de l’expérience en matière de sodomie, d’un coté il était à bonne école. Il me sodomisa donc en une seule fois. Et marquait de longs moments de baise effrénée dans mon petit orifice.
Le sexe de Frédéric dans ma bouche ne suffisait plus à camoufler mes cris. J ‘étais en train de repartir dans un état second de jouissance ultime.
La fin semblait proche, pour le préserver encore un peu de temps. Je le quittai et m’allongea par terre sur le dos. Les jambes bien relevées, j’autorisai Frédéric à venir terminer le travail en me sodomisant ainsi à même le sol.
« Alors ca fait quoi de passer après le petit jeunot ? Tu as vu il m’a bien défoncé ! C’est devenu un bon baiseur maintenant tu sais. Émilie et moi on ne s’en prive pas au bureau. Allez montre lui que toi aussi tu sais me baiser. Allez ! »
Frédéric était énervé et excité par cette situation et me pilonnait comme jamais sans se soucier si jamais mal ou pas. Ce qui lui importait c’était de me défoncer.
Maxima s’agenouilla à ma droite au niveau de mon torse, il s’astiquait en vu de jouir dans les minutes, que dis je dans les secondes à venir. Il avait prit pour cible ma bouche, voire même me sseins. Ce qui n’était pas pour me déplaire.
Mais j’avais aussi envie d’autre chose.
« Préviens nous quand tu vas jouir. Toi Frédéric tu vas le bouffer aussi son foutre. »
« Ca y ‘est j’arrive. » Il visait mes seins, le liquide n’allait pas tarder à sortir. Frédéric obéissant se pencha devant, la bouche ouverte attendant, tout en continuant à me sodomiser.
Le sperme jaillit enfin et venait s’écouler en longue trainée sur mon visage. Ma bouche, mon menton, ma joue. Frédéric essayait d’attraper au vol quelques filets. Mais il n’eut d’autre choix que de venir lécher la semence directement sur mon visage. Je l’embrassai à pleine bouche pour venir partager avec lui tout ce que j’avais récolté.
« Il est bon le foutre du stagiaire hein ? Allez nettoies moi de tout çà. »
Maxime prit un peu de distance pour nous laisser terminer notre relation conjugale. Frédéric quitta mon petit orifice pour venir s’insérer dans mon sexe.
A nouveau il me prit par l’intérieur des cuisses pour venir coller mes jambes jusqu’à mon ventre et venait me baiser fortement de tout son poids jusqu’en butée. Il allait très vite, il était comme s’il faisait des pompes et m’infligeait de terrible va et viens.
Il se redressa, se dégagea et m’éjacula sur le ventre et le haut du sexe. Son foutre était chaud, très liquide. Perdant son érection, il jouait avec son sexe à la manière d’un lasso et venait tapoter avec dans sa mare de sperme.
Inutile de vous dire que nous sommes arrivés au restaurant avec quelque peu de retard. Mais que direz vous c’était pour la bonne cause.