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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Novum21
#36193
Texte écrit par Jerome492

Je suis un jeune cadre de 31 ans marié depuis 5 ans à une charmante épouse de 29 ans. Caroline est une grande brune avec les cheveux qui lui arrivent juste aux épaules. Mince et sexy avec tout ce qu’il faut là où il le faut, c’est à dire une belle poitrine à faire réveiller les morts… (95 bonnets C).

Récemment, à ma boîte, nous avons subi une restructuration et avons été rachetés par un grand groupe étranger. À cette occasion, j’ai changé de patron. Ils ont rajeuni l’équipe et je me retrouve désormais avec un supérieur à peine plus âgé que moi, un dénommé Luis.

Quelques semaines après son arrivée, celui-ci me convoque dans son bureau où je passe un sale quart d’heure (A croire qu’il cherche ma démission !). Plus rien ne lui convient, ni les résultats, ni les méthodes, ni la stratégie, ni les budgets… Je ne suis qu’un incapable donc… Enfin je pense plutôt que la stratégie de la nouvelle direction consiste à décourager l’ancien encadrement pour dégraisser dans les effectifs. Je rentre chez moi quelque peu abattu par cet entretien. Ce n’est vraiment pas le moment ! Nous sommes endettés jusqu’au cou après l’achat de notre grande maison et celui de deux belles voitures. C’est évident que nous vivons au-dessus de nos moyens mais tant que l’argent rentre, pourquoi s’en préoccuper. D’autre part, je sais pertinemment que si je quitte cette boîte pour retrouver du travail ailleurs, je ne retrouverai jamais ce niveau de salaire car je suis largement au-dessus du cours du marché… Je confie mes déboires à Caroline qui essaie de me consoler, qui me dit que tout n’est peut-être pas perdu, que je devrais essayer d’inviter mon patron à dîner à la maison pour essayer de l’amadouer…

J’en reste sur cette dernière idée et, le lundi, quand je retourne au travail, je vais directement dans le bureau de Luis pour lui proposer cette invitation. Lorsque je rentre dans son bureau, je suis soudain effrayé par l’étrangeté de ma démarche. Je suis sur le point d’abandonner cette idée mais finalement me jette à l’eau. Contrairement à toute attente, mon boss accepte d’emblée cette idée sans aucune réticente et sans avoir l’air de même se poser de question, presque avec enthousiasme. Et nous convenons de la journée de vendredi qui semble la plus appropriée sur nos agendas respectifs. Mais, alors que je suis en train de prendre congé et que je suis sur le point de refermer la porte dernière moi, il me rappelle à l’ordre…

— Vous avez une très jolie femme, m’a-t-on dit !
— … Je me retourne interloqué.
— J’espère qu’elle se mettra en valeur ce soir-là, ajoute-t-il avec un sourire narquois.

Je me retiens pour ne pas retourner lui casser la gueule et préfère m’en aller sans rien dire. Qu’est-ce qu’il croit ce petit con ? Que je vais lui offrir mon épouse ?

Plusieurs fois au cours de la journée je l’avais rencontré à nouveau dans les couloirs, avec son air méprisant et son sourire triomphateur. Je me sentais humilié et serrais les poings de rage. Plus d’une fois j’ai même été sur le point de faire irruption dans son bureau et d’annuler l’invitation. Je ne l’ai pas fait parce que je savais quelque part que dans ce cas c’était la porte assurée…

De retour chez moi, ma première réaction a été de ne rien dire à Caroline. Elle était occupée à la cuisine et ne m’a rien demandé. Je l’ai embrassée et suis allé me servir un whisky. Ensuite le soir a passé très vite car sa mère était invitée à dîner.

Ensuite, nous nous sommes couchés. Caro s’est endormie comme une masse, le lendemain elle avait une journée très chargée. Moi, avec beaucoup plus de difficulté, je n’arrivais pas à trouver le sommeil, je me tournais et retournais dans le lit sans parvenir à trouver le sommeil. Au bout d’un certain temps, ça l’a réveillée, elle m’a demandé ce qui se passait… Et je lui ai tout raconté. Elle était furax contre mon patron, furax et écœurée qu’il tienne de tels propos et qu’il se fasse de telles idées à propos des femmes de ses employés. D’un autre côté, elle me conseilla de conserver cette invitation. Après tout cela ne voulait pas dire qu’elle allait tomber dans ses bras, elle était assez grande pour se défendre…

La semaine a passé, très vite, trop vite. Le beau Luit, ce connard, était parti en déplacement en Espagne et du moins je ne risquais pas de le rencontrer. Le vendredi, c’était mon tour d’être en déplacement, un voyage à Paris auprès de mon principal client. Je n’ai donc pas rencontré à nouveau mon patron avant ce satané dîner.

J’étais rentré de Paris vers 19 heures. Caro avait déjà tout préparé, le dîner, la table, l’apéritif. Elle avait mis nos deux enfants chez la nourrice pour toute la soirée. Et elle … s’était mise très en beauté … Je la reconnaissais à peine, une robe de soirée largement décolletée qu’elle n’avait mis qu’une ou deux fois depuis que nous nous connaissions et elle était outrageusement maquillée. Ça m’a tout de suite choqué. Je l’ai saluée avec un regard froid et désapprobateur "Tu ne vas pas t’habiller comme ça quand même ? Tu es folle ou quoi ?". Son sourire s’était figé sur sa joue, trop de tension accumulée, elle était au bord des larmes je crois… J’ai tout de suite regretté, je l’ai prise dans mes bras pour la consoler. Entre deux sanglots, elle me disait "Je fais cela pour toi tu sais, pour que tout se passe bien, pour que tout le monde soit content". J’ai été sur le point de la rejeter, de lui répondre méchamment que je ne voulais pas que ma femme fasse la pute… Mais je n’ai rien fait, inutile d’envenimer.

Elle n’a eu que le temps de s’essuyer les yeux et de se refaire une beauté que déjà le beau Luis sonnait. J’ai ouvert la porte et suis tombé nez à nez avec son sourire Colgate, Dieu que je le maudissais. Je me suis forcé à lui rendre son sourire mais il m’a négligemment écarté et est entré dans le living comme en terrain conquis, un grand bouquet de fleurs bon marché à la main. Caroline était là, debout, dans sa tenue sexy, à le regarder, à le jauger. Il s’est approché d’elle, lui a embrassé la main avec déférence en lui disant qu’elle était véritablement charmante et adorable et qu’il était enchanté de faire sa connaissance. Mais ses yeux ne faisaient que la déshabiller un peu plus et il en bavait d’envie ce gros con.

Nous prîmes l’apéritif tous les trois. Luis et Caroline discutaient tous les deux, Luis surtout. Je ne parvenais pas à me joindre à la conversation, Luis me traitait désormais comme quantité négligeable et à chaque fois que j’ouvrais la bouche j’étais coupé dans mon élan. Ce qui me surprenait le plus, c’était l’attitude de Caroline qui semblait vraiment très décontractée avec mon patron, trop décontractée, je bouillonnais. Et en plus elle buvait, plus qu’à l’accoutumé. Il était près d’elle, il se collait à elle, c’en était presque obscène…

Un peu plus tard nous sommes passés à table et j’ai profité d’un moment de répit pour rejoindre mon épouse dans la cuisine et pour lui faire une scène, pour passer ma mauvaise humeur sur elle, son attitude était inqualifiable… Mais elle riait à moitié, elle était à moitié bourrée, je ne l’avais jamais vue dans cet état en 5 ans de mariage. Je suis retourné dans la salle à manger retrouver Luis. Celui-ci regardait ailleurs et me traitait avec un mépris royal. Au bout d’un certain temps, il susurra entre ses lèvres "Ce doit être une bonne salope, elle a l’air d’aimer ça…". D’un bond je me suis levé, près à me jeter sur lui. Caroline est arrivée au bon moment pour m’empêcher de faire une bêtise. Je me suis rassis tandis qu’elle nous servait. J’ai tout de suite vu que quelque chose clochait chez elle… Oui mais quoi ? Je n’en croyais pas mes yeux. Caroline avait profité de son passage à la cuisine pour retirer son soutien-gorge. Ses gros seins se baladaient à l’air sous sa robe et, quand elle bougeait, on ne pouvait que le remarquer. Aussitôt, je l’ai fusillée méchamment du regard. Mais elle semblait désormais me dédaigner tout autant que mon patron désormais. On aurait dit qu’ils étaient seuls au monde et quand elle est passée près de lui pour le servir et qu’il lui a mis la main aux fesses, elle n’a pas cillé d’un poil, totalement offerte et complice. Je me demandais vraiment où cette petite plaisanterie allait s’arrêter.

Et ma chère et tendre épouse qui continuait de boire en gloussant. Luis était en train de lui raconter des histoires drôles, paillardes et lourdingues à souhait, et cette imbécile gloussait. On voyait presque ses nichons à moitié sortis de sa robe, elle ne faisait plus rien pour les camoufler. J’étais déjà out, à l’écart, cantonné à un malheureux rôle de voyeur passif, une véritable lopette… Ils s’amusaient devant, ils se draguaient ouvertement devant moi et Caroline n’était plus qu’une sale petite allumeuse dévergondée et franchement ça se sentait qu’elle avait envie de baiser avec ce gros con, j’en étais malade… Ce gros con de Luis qui lui était véritablement radieux, Guillaume le conquérant, aucune fille ne peut échapper à l’envie de toucher ses grosses couilles, même les plus revêches en sont fascinées…

Après le repas, le beau Luis a demandé à Caroline s’il lui était possible de prendre une douche.
"Oh ! Même un bain si tu le désires". Elle était à moitié pétée en disant ça. Je fulminais.
Ils sont carrément montés tous les deux à l’étage en gloussant comme de jeunes amoureux. Et moi je suis resté tout seul en bas à débarrasser la table. J’ai entendu l’eau couler dans la baignoire et ma chère et tendre épouse éclater d’un rire joyeux. J’imaginais ce salaud en train de lui peloter les miches, en train de la bécoter dans un coin. J’étais véritablement écœuré mais en même temps je me sentais complètement vidé, totalement HS, plus abattu que réellement en colère… Caroline s’éternisait en haut, j’étais convaincu qu’elle était en train de se faire peloter, voire branler, voire même baiser. J’essayais de m’occuper comme je pouvais pour m’éviter de penser. J’avais eu le temps de tout débarrasser et même de passer un coup de balai sous la table. J’entendais sans arrêt des rires et des bruits d’eau dans la salle de bain et même des petits bruits que j’interprétais comme des râles de jouissance, mais j’étais beaucoup trop loin et les bruits me parvenaient beaucoup trop étouffés pour en être sûr.
A un moment mon degré d’écœurement est devenu si fort que je suis sorti sur le patio pour fumer une cigarette, j’ai même fait quelques pas en empruntant le petit chemin qui menait dans la campagne. Mon degré de nervosité était tel qu’il me semblait que j’étais prêt à exploser.

La fuite n’était pas non plus une solution… Je me suis efforcé à retourner à la maison. Caroline et Luis étaient redescendus, Luis dans un de mes peignoirs et ils se bécotaient sans gêne sur le canapé. La vue de ce spectacle ne m’a même pas surpris. De même que cela ne m’a pas non plus surpris de voir que c’était encore Caroline la plus passionnée, la plus investie dans ces ébats illicites. Une vraie furie, je ne l’avais jamais vue dans cet état, en tout cas jamais avec moi, elle ne l’avait jamais été. Elle avait une main fermement glissée sous le peignoir de Luis et était visiblement en train de lui branler la queue. Elle était grimpée sur lui et c’était elle qui le bécotait fiévreusement et avec une sensualité exacerbée. J’ai haussé les épaules en me raclant la gorge. Ils ne se sont même pas retournés pour me regarder. Alors j’ai traversé la pièce et suis allé me réfugier dans le bureau. En refermant la porte, je les ai entendus éclater d’un rire moqueur…
Ensuite j’ai allumé mon PC mais je n’avais vraiment plus goût à rien. Je suis resté un long moment à regarder l’écran sans rien faire. Je ne pensais plus à rien, j’étais comme mort. De la pièce d’à côté quelques bruits à peine étouffés me parvenaient, des bruits de baise, aucun doute là dessus, des bruits de chatte que l’on défonce, des bruits de cul qu’on encule, des bruits de salope jouisseuse…

Je ne pouvais pas non plus rester ainsi sans rien faire et en les imaginant. Alors j’ai entrouvert délicatement la porte.
Ils étaient toujours sur le divan mais cette fois entièrement nus et c’était à ce moment là Caroline qui chevauchait son étalon en se malaxant les seins. Elle semblait y prendre un plaisir fou, inimaginable. Je vous dis, je ne l’avais jamais vue ainsi. Elle allait et venait comme une folle sur la bitte que j’imaginais énorme mais que je ne pouvais voir d’où j’étais. Et je voyais à chaque aller et venue ses gros nichons rebondir.
Ensuite, Luis a grogné quelque chose alors elle s’est dégagée et s’est mise à quatre pattes sur le canapé et ce connard est venu l’enfiler par derrière. À cet instant j’ai entraperçu sa bitte… Bof il n’y avait vraiment pas de quoi fouetter un chat et je pense même que la mienne était plus grosse. Il semblait même qu’il bandait sans exagération excessive. Et pourtant l’autre pute y prenait un plaisir plus qu’évident, tellement évident qu’elle venait prestement à la rencontre de ses coups de queue. Ils ne parlaient pas ou alors très peu. Quelques "T’es une bonne salope", quelques "Plante-moi à fond" en réponse, mais rien de transcendant. Mais les gestes suffisaient et ils y allaient bon train.

J’ai senti le plaisir monter en Luis, je l’ai senti prêt à cracher. Caroline n’avait visiblement pas encore joui et avait envie que ça continue, elle allait être déçue. Au dernier moment, il a sorti sa bite du con de ma femme et lui a aspergé le dos, les fesses et la raie du cul. Immédiatement après elle s’est retournée. Visiblement insatisfaite elle n’avait pas envie de s’arrêter là. Toujours à quatre pattes elle s’est penchée sur le manche gluant de son amant et l’a englouti sauvagement en le pipant comme une cinglée. Je ne l’avais jamais vue dans cet état et ne la connaissais pas aussi chaude. Luis a même été obligé de tempérer ses ardeurs en lui demandant d’aller plus doucement mais cette goulue a redoublé d’énergie sur la bite de mon chef, désirant à tout prix l’empêcher de débander. L’espace d’un instant elle tourna la tête vers moi et nos regards se sont croisés mais cela ne l’a nullement fait fléchir ses ardeurs. Apparemment, en y mettant toute son énergie, avec sa bouche et ses doigts, elle parvint à ses fins. Luis, à nouveau opérationnel fut à nouveau convié à prendre son con et il ne se fit pas prier et il recommença à la limer avec force.
Un peu plus tard, peut-être cinq minutes ou alors un quart d’heure, j’avais véritablement perdu la notion du temps, Caroline fut prise de méchants spasmes assortis à des hurlements de bête, des cris de chienne. Jamais non plus je ne l’avais vue jouir ainsi, avec autant de force… Mais cette fois c’était Luis qui restait sur sa faim. Aussi, il ne lui laissa aucun répit et continua à la pilonner tandis qu’elle jouissait. Ensuite, tout en continuant de la défoncer, il enduit un doigt de salive et entreprit de lui doigter le cul…

Cette fois c’en était trop, beaucoup plus que je ne pouvais en supporter en tout cas, il n’allait pas en plus baiser le cul de ma femme jusqu’alors inviolé. Certes, je lui avais déjà doigté le petit trou à plusieurs reprise mais je n’avais jamais été plus loin, tout d’abord parce qu’elle me l’avait toujours refusé et ensuite parce que je n’avais jamais osé la forcer… Hors de question donc de laisser cet enfoiré prendre ce que je n’avais jamais eu.
En un bond je me suis retrouvé au centre de la pièce et j’ai méchamment poussé mon boss qui est allé s’écraser sur la table basse en hurlant. Il s’est relevé aussitôt et a fait face mais déjà un méchant coup de poing s’abattait sur son vilain nez et il repartait vers la cheminée. Sa tête a heurté l’angle saillant et elle a à moitié éclaté. Il est resté assis à terre, à moitié dans les vapes, la tête ensanglantée, visiblement complètement sonné, certainement pas par mon coup de poing mais plutôt par sa malencontreuse rencontre avec la poutre de la cheminée. Caroline regardait le spectacle sans rien dire, assise sur le divan, médusée… Je l’ai agrippée par les cheveux et je l’ai giflée, encore et encore, plusieurs fois de suite, jusqu’à lui faire éclater la lèvre…

Ensuite je suis monté, je les ai laissés ainsi, je suis allé m’allonger sur le lit tout habillé.
Luis n’a pas moisi ici, il a ramassé ses effets et s’est rhabillé. Puis il est parti sans demander son reste. J’ai entendu crisser les pneus de sa voiture peu après dans l’allée…
J’ai attendu patiemment que Caroline remonte mais elle n’est jamais venue. Au bout d’un moment, lorsque je suis redescendu, elle n’était plus là. Je ne sais pas si elle était partie avec Luis. En tout cas sa voiture était toujours dans l’allée…

La semaine suivante j’ai été licencié…
En ce qui concerne Caroline, nous avons été en froid pendant un long moment puis elle a fini par revenir vivre à la maison. Nous nous sommes réconciliés d’une certaine façon, en tout cas en ce qui concerne la vie quotidienne. Mais nous n’avons jamais recouché ensemble, cela fait presque un an maintenant. Je ne sais pas si ça s’arrangera un jour entre nous…
User28930 a liké
Avatar de l’utilisateur
par hlover
#36545
Touché.

Tu touches là toute l'ambiguité du cocufiage. Tu le laisses entrer dans ton espace sans fixer les règles de jeu avec ton épouse, et tu es décontenancé par son attitude à elle. C'est une responsabilité partagée. Mais vous avez tous deux agi en toute conscience. Faut-il mettre son poing dans leur gueule ou les laisser agir ? Bravo pour ton choix. J'aimerai mettre mon poing dans la gueule de certains. Mais je crains que la situation m'échappe. Qu'elle continue en cachète.

Si le récit est vrai, tu devrais te réconcilier avec elle. Car vous portez tous deux cette responsabilité, et cela mérite d'être partagé entre vous.
par urssaf82
#37508
Il y a toujours en effet, le "si ce récit est vrai"... Mais malgré tout, on pourrait en tirer une leçon.
Il n'y avait là aucun consentement mutuel entre les deux élements du couple puisque la situation n'a jamais été évoquée entre eux...
Ennivrée, elle est allée plus loin que ce qu'elle pensait parce qu'elle était absorbée par la nouveauté et certainement, un certain charme. Tout ne va pas sur le dos de l'alcool mais on sait à quel point il a tendance à "lacher" les esprits.
Je pense que c'est au début qu'il n'aurait pas fallu s'absenter et remettre, avec elle, les choses à leurs places, alors qu'il est compréhensible de s'être senti "assomé" par ses agissements.
Ce qui me chagrine le plus, c'est le comportement avant le diner, de ce fameux chef... Ne se connaissaient ils pas avant ? Sa proposition de douche aussi... Je me vois mal demander, juste aprés manger, à me doucher chez des gens que je ne connais pas, mais bon.
Il est évident par contre, que ce n'était pas un simple amant, mais bien quelqu'un qui, en plus, dérangeait vos journées... Quelqu'un envers qui, si elle avait proposé un amant, vous auriez dit 'tous sauf lui". C'est presque une double peine je dirais...
Si vous ne vous êtes pas quittés et si ce récit est vrai, alors il est évident qu'elle est revenue dans des dispositions meilleures, mais que ce "dossier" va trainer longtemps sur les disputes les plus légères... Vous n'étiez pas préparés à un quelconque candaulisme mais en avez vécu presque le pire... Concernant votre sexualité ansemble, faites l'amour comme jamais... Donnez vous l'impression de reprendre possession de ce que vous estimez être "votre bien" en vous sentant supérieur à ce fameux amant. Une femme ne s'use pas et il n'en a pas volé un morceau... Patience... Essayez surtout de ne pas le rappeler sans cesse, pesez son "mea culpa" et vivez avec. Ca passera.
Bonne chance à vous
par Novum21
#38034
Merci pour vos conseils les gars, mais je ne suis pas l'auteur du récit. Comme je l'ai précisé au début il s'agit de Jerome492, auteur sur le net, pas d'adresse mail :(

A++

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