- 09 juil. 2011, 16:12
#605613
Suite de “ma femme enceinte” sur “Vos fantasmes liés au candaulisme ( langage choisi ) ”
Après le déclic qu'à constitué Philippe, on a cherché pour ma femme un autre partenaire, ni elle ni moi ne tenant à établir une relation régulière avec le même amant. ( Nous avons par la suite revu Philippe, mais uniquement à titre amical. ) Par ailleurs, l'attrait de la nouveauté était trop fort.
On a donc recherché sur minitel – c'était il y a 20 ans. Dur dur... Quand on a éliminé ceux qui n'ont pas le profil, et ceux qui n'ont d'autre ambition et vocabulaire que de “transformer la salope en garage à bites” et “remplir ses trous de chiennasse”, il ne reste plus grand monde.
Finalement, on a sympathisé avec Marc, un homme plus agé que nous, ce que nous ne souhaitions pas au départ, mais semblait-il d'un bon niveau, expérimenté, sportif, beau membre. Il était également autoritaire et vicieux, ce qui m'inquiétait un peu, mais en fait, nous excitait aussi terriblement tous les deux.
Ne le connaissant pas, on a préféré se faire inviter pour ne pas dévoiler notre adresse. Il nous a reçu dans un appartement d'une résidence luxueuse qui domine Marseille.
On devait être en août, vers... 19 heures. Il nous a reçu en vêtements légers. Il ne nous avait pas menti au minitel. Franchement, à 45 ans, dix de plus que moi, c'était une très belle bête. Un corps de sportif, brun, bronzé, les yeux verts, sûr de lui, le type d'homme qu'aime ma femme.
Il a tout de suite été très directif. Il nous a fait asseoir pour l'apéritif au salon, ( lui à côté de ma femme sur le canapé, moi en face sur un fauteuil ), a pris en main la conversation, nous a servi à boire.
Je me suis immédiatement senti comme un petit garçon, ne pouvant rivaliser avec cet homme mûr et plein d'assurance. Comme avec Philippe. Je me suis revu acceptant avec lâcheté que ma femme me trompe sous mes yeux. Mais le plus abject avait été le plaisir que j'avais éprouvé à me faire humilier ainsi. Et ce soir ça allait recommencer. La veille, au lit, pendant que j'essayais de lui faire l'amour le plus sensuellement possible, ma femme ne m' avait que parlé du rendez-vous du lendemain; et de son envie du sexe de Marc.
( A suivre... si vous le voulez )
Après le déclic qu'à constitué Philippe, on a cherché pour ma femme un autre partenaire, ni elle ni moi ne tenant à établir une relation régulière avec le même amant. ( Nous avons par la suite revu Philippe, mais uniquement à titre amical. ) Par ailleurs, l'attrait de la nouveauté était trop fort.
On a donc recherché sur minitel – c'était il y a 20 ans. Dur dur... Quand on a éliminé ceux qui n'ont pas le profil, et ceux qui n'ont d'autre ambition et vocabulaire que de “transformer la salope en garage à bites” et “remplir ses trous de chiennasse”, il ne reste plus grand monde.
Finalement, on a sympathisé avec Marc, un homme plus agé que nous, ce que nous ne souhaitions pas au départ, mais semblait-il d'un bon niveau, expérimenté, sportif, beau membre. Il était également autoritaire et vicieux, ce qui m'inquiétait un peu, mais en fait, nous excitait aussi terriblement tous les deux.
Ne le connaissant pas, on a préféré se faire inviter pour ne pas dévoiler notre adresse. Il nous a reçu dans un appartement d'une résidence luxueuse qui domine Marseille.
On devait être en août, vers... 19 heures. Il nous a reçu en vêtements légers. Il ne nous avait pas menti au minitel. Franchement, à 45 ans, dix de plus que moi, c'était une très belle bête. Un corps de sportif, brun, bronzé, les yeux verts, sûr de lui, le type d'homme qu'aime ma femme.
Il a tout de suite été très directif. Il nous a fait asseoir pour l'apéritif au salon, ( lui à côté de ma femme sur le canapé, moi en face sur un fauteuil ), a pris en main la conversation, nous a servi à boire.
Je me suis immédiatement senti comme un petit garçon, ne pouvant rivaliser avec cet homme mûr et plein d'assurance. Comme avec Philippe. Je me suis revu acceptant avec lâcheté que ma femme me trompe sous mes yeux. Mais le plus abject avait été le plaisir que j'avais éprouvé à me faire humilier ainsi. Et ce soir ça allait recommencer. La veille, au lit, pendant que j'essayais de lui faire l'amour le plus sensuellement possible, ma femme ne m' avait que parlé du rendez-vous du lendemain; et de son envie du sexe de Marc.
( A suivre... si vous le voulez )