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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#33795
Bonjour à vous tous
Catherine vit un tournant de son existence. Elle met pour la première fois les pieds dans une vraie maison close publique. Et pas pour une simple visite..
Beaucoup de plaisir à tous
amicalement

La femme s’était assise et Catherine restait seule debout au centre de la pièce et essayait de trouver une contenance, nue, son verre à la main.
- Elle fait quel rythme actuellement ?
- En moyenne quatre passes quotidiennes, cinq à six jours par semaine.
- Du travail de call-girl. Ça va la changer ici …
Toujours assis à son bureau, l’homme prit la parole.
- Viens là ma chatte.
Catherine s’approcha en se dandinant. Il flatta sa croupe nue
- Pose ton verre et mets toi à genoux à côté de moi.
Elle obéit et, instinctivement, croisa les bras dans le dos.
- Ici c’est Irina et moi, Peter, qui dirigeons les lieux et les filles. Pour toi comme pour les autres ce sera « Monsieur » et « Madame », c’est tout ce que tu auras à savoir. Et dès qu’avec ton mari nous aurons conclu les termes de ton placement, ce sera à nous que tu devras exclusivement obéir. Compris ?
- Oui Monsieur.
- Maintenant, on m’a dit qu’avant de te mettre à louer ton cul, tu exerçais des responsabilités et tu jouissais de considération professionnelle et sociale. Même si ça a dû déjà pas mal changer depuis que tu fais la pute de luxe, ici on va t’apprendre que tes seules responsabilités vont être de rapporter le plus possible et que la considération qu’on va te porter sera uniquement liée à ton assiduité à ouvrir les cuisses et le reste.
- Oui Monsieur.
- Dans ton précédent job, tu étais une grande professionnelle à ce que je sais. Ici il va falloir que tu comprennes que pute est un job légal comme un autre, rien à voir avec l’amateurisme que permet la clandestinité dans laquelle vous exercez en France. Tu vas pouvoir nous montrer de quoi tu es capable et gravir les barreaux de l’échelle si tu te montres à la hauteur de ce qu’on attend de toi. Comme dans tout boulot, ici il y a des règles claires et strictes que tu devras respecter à la lettre et qui devront même devenir une seconde nature pour toi.
Il sortit du dossier une liasse de papiers reliés.
- Ça c’est ton contrat de travail. Rien de bien particulier, hormis le fait que ton activité est clairement définie selon les lois en vigueur ici. Ça n’est pas hôtesse ou escort, c’est simplement écrit « prostituée ». Dans ce document, tu reconnais que tu fais cela volontairement et que tu acceptes de plein gré toutes les pratiques sexuelles qui te sont demandées par les clients. Quand ton mari reviendra après ta période d’essai, tu iras avec nous te faire enregistrer et ficher auprès de la police municipale comme travailleuse du sexe et ce sera ton statut officiel à partir de ce moment.
Ce n’était qu’une formalité administrative à effectuer, mais un frisson la parcourut en pensant qu’elle allait faire inscrire dans un fichier public que sa profession était de se prostituer et que cela resterait peut-être à jamais au vu et au su de tous quoiqu’elle fasse.
Catherine salon W 2.jpg
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glissements a liké
#33990
Bonjour
oui la ville et l'établissement existent vraiment.
C'est en effet un roman mais en effet mon épouse y a vécu
une expérience réelle de façon plus limitée .. sourire

amicalement
#34064
rebonjour
voilà un petit extrait de la suite du "placement" de Catherine
Amicalement

Il paraphait la dernière page, lorsque Catherine, précédant Dimitri, les rejoignit. Elle arborait toujours la même tenue, s’était remaquillée, mais sa démarche semblait mal assurée. Elle s’arrêta au milieu de la pièce et regarda Marc un bref instant avant de baisser les yeux, mettre les bras dans le dos et écarter un peu les jambes.
- Alors, votre impression générale?
Dimitri hésita, regardant Marc.
- Tu peux y aller Monsieur Coster est aussi là pour entendre votre évaluation à tous les trois.
- Pas de problème, elle aime ça… même trop. Elle prend bien de tous les côtés et même du très gros calibre comme celui de Karim sans broncher dans le cul. Elle a encore la chatte étroite, mais on a pu la prendre à deux bites ensemble sans problème. Pour le sandwich, elle sait bien bouger et garder les queues en elle. Elle sait pomper et c’est une gourmande, elle nous a avalé le foutre sans en laisser une goutte. Pour les nichons, ils sont bien fermes sous la main, et on peut y aller à fond pour jouer avec ses anneaux avant qu’elle commence à couiner.
- Elle supporte aussi très bien ceux de sa chatte. Elle a le bouton bien sensible et elle se tortille dès qu’on joue avec l’anneau qu’elle a en travers. Je la tenais en laisse par là pendant que Karim l’enculait, elle gueulait, mais j’ai l’impression qu’elle a joui quand même. De toute façon, je sais pas si c’est pour donner bonne impression, mais pour tout ce qu’on lui faisait faire, elle était bien active. Même quand on l’a un peu dérouillée pour voir ce qu’elle pouvait supporter, elle se mettait toute seule en position et disait merci. C’est Hélène qui s’est occupée d’elle pour le fouet et elle n’a pas réussi à la faire crier avant le quinzième coup. Pour le gouinage, elle lui a fait reluire le bouton avec les doigts et la langue, et elle doit être aussi lesbienne qu’hétéro pour être aussi efficace. Hélène dit aussi qu’elle doit être un peu maso parce qu’elle la remerciait à chaque fois qu’elle la giflait.
- Rien d’autre ?
- Non. À part qu’elle parle trop, et qu’elle dit la vérité à chaque fois qu’on lui pose une question.
- On arrangera ça. Merci Dimitri. Tu peux le remercier toi aussi !
Catherine releva un peu la tête.
- Merci, Monsieur Dimitri.
Marc remarqua qu’elle prononçait ces mots avec spontanéité, sans éprouver aucune gêne après avoir été décrite et qualifiée avec autant de rudesse par cet homme devant eux.
Pour elle, les heures qui venaient de s’écouler avaient fait disparaître les traces d’hésitation et d’appréhension qui l’habitaient encore. Le temps n’était plus aux atermoiements. Les décisions avaient été prises pour elle et son rôle était maintenant de les assumer sans se poser de question. Obéir et satisfaire.
Catherine bas talons métal E.jpg
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glissements a liké
#35011
bonjour ,
à vous tous
Catherine a accepté ce qui a été décidé pour elle
elle vient de commencer à en vivre le quotidien et va cette fois s'engager
sait elle vraiment à quoi?

Amicalement

CHAPITRE XVI
NOUVEAU MONDE


Une berline noire l’attendait en gare de Lille. Le Thalys l’avait conduit en un peu moins d’une heure depuis Paris. Juste le temps de parcourir « Le Monde ».
- Monsieur Coster ? C’est moi qui suis chargé de vous conduire.
L’homme lui ouvrit la porte arrière, et Marc s’installa. Les vitres fumées offraient un parfait anonymat, mais en ce début d’après-midi ensoleillé, il voulut profiter de la douceur ambiante.
- Le trajet est long ?
- Non, un quart d’heure à peine. Vous trouverez devant vous un album qui a été préparé à votre intention.
Dans le dossier du siége qui lui faisait face, il aperçut une couverture de cuir qu’il identifia instantanément. Le nom de Lisa y était incrusté. Il eut une hésitation à l’ouvrir avec cet homme aussi proche, mais il esquissa un sourire en réalisant qu’il l’avait certainement déjà feuilleté et peut-être même disposé de Catherine.
La première page était juste un texte en lettres gothiques qui décrivait en une quinzaine de lignes, le profil et les possibilités de Lisa. Il était surmonté d’une photo d’elle en élégant tailleur, debout dans ce qui avait été son bureau à Paris. Il ignorait quand cette photo avait pu être prise et comment elle était arrivée là.
Il comprit très vite en revanche ce qu’avait voulu dire Peter lors de la présentation de Catherine. Le contraste entre cette photo et le texte qui suivait, répondait vraiment au fantasme de la bourgeoise et de la putain. On la décrivait tout d’abord comme une femme mariée, de milieu aisé ayant occupé de hautes responsabilités, cultivée, parlant plusieurs langues, puis cela se poursuivait par des détails intimes de sa vie privée.

Les quelques lignes expliquaient que Lisa avait toujours été friande de sexe, fréquentait clubs échangistes et partouzes, aimait la pluralité de partenaires, était bisexuelle et avait une forte tendance à la soumission. Cela l’avait conduit progressivement à faire la call-girl de luxe, puis à quitter sa profession pour se consacrer volontairement à la prostitution et devenir pensionnaire de la « Porte Noire ». Le texte était elliptique mais suffisamment suggestif pour enflammer les imaginations.
Venaient ensuite, un encadré avec age, mensurations, caractéristiques intimes, puis la liste des prestations pour lesquelles elle était proposée. C’étaient bien celles qu’il avait acceptées pour elle, mais celle de « soumise » devait suffisamment rare pour qu’elle ait été écrite en rouge et en gras …
Il commença à feuilleter la dizaine de pages qui suivaient. Pour ouvertement pornographiques qu’elles aient été, il fut d’abord frappé par la qualité des images. C’était du travail de pro. On commençait par la voir seule en lingerie, en pose d’invite, se caressant le sexe et les seins. Marc remarqua immédiatement, qu’ainsi qu’il avait été annoncé, les anneaux de Catherine avaient été changés pour faire place à de nouveaux, plus larges et plus épais, mais en acier. La taille de celui du clitoris était particulièrement remarquable, et sur une photo, Catherine y glissait tout son index sans difficulté.
Les photos suivantes la montraient suçant un membre de belle taille tout en caressant les bourses, puis se faisant pénétrer par un homme en levrette, se faire sodomiser, être prise par deux hommes, caresser, lécher et embrasser une femme.



Dressage W.jpg
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glissements a liké
#35786
Merci à tous de vos message et je suis heureux du plaisir que vous prenez aux troubles terribles et délicieux qui s'imposent à Catherine
Voilà pour vous
amicalement

- Tu serais tenté par une pipe de Lisa, chéri ?
Il sursauta. Elle s’était accoudée au dossier derrière lui, et regardait elle aussi l’écran.
- Mais tu sais, je ne fais pas que ça…
- Chérie !
Elle posa un doigt sur ses lèvres. L’air à la fois mutin et ferme. Elle s’installa sur l’accoudoir. Elle ne portait qu’une courte guêpière. Un minuscule string fendu laissait apparaître ses anneaux, maintenant très voyants, de part et d’autre. D’une façon très naturelle, elle avait écarté les jambes pour que son intimité soit accessible. Marc en accepta l’invite et sa main, lentement, se mit à caresser ces chairs si douces.
- Qu’est ce qui te ferait plaisir mon grand?
Marc était un peu déstabilisé par l’attitude de Catherine. Elle ne semblait pas afficher de complicité particulière, juste avoir envers lui le même comportement que toutes autres filles présentes. Rien qui ne marquait le bonheur qui aurait dû être le sien, de retrouver son homme. Il était pourtant sûr qu’elle devait le ressentir mais n’en affichait rien.
Était-ce par ce qu’elle se sentait surveillée ? Était-ce déjà une manifestation de son conditionnement ? Voulait-elle lui montrer à quel point il pouvait être fier d’elle ?
Il n’avait pas du tout imaginé leurs retrouvailles de cette façon. Il était vrai que lui, pour sa part, n’avait pas changé d’univers, ni de modes de rapports avec les autres.
Sa main continuait à déambuler.
- Oui j’aimerais goûter à tes spécialités…
- Le mieux est de prendre le tout, mon grand…
- Le plus cher j’imagine ?
Peut-être par réflexe acquis, Catherine ouvrit un peu plus les cuisses comme si elle voulait emporter la décision.
- Tu pourras faire tout ce qui est proposé dans le catalogue, chéri et tu ne seras pas déçu… Même me faire corriger…
- Par une autre fille ?
- Oui.
- Ça ne me tente pas. J’ai envie d’être seul avec toi.
- Comme tu voudras Chéri… Peut-être une autre fois ?
- Oui sûrement une autre fois.
Elle se pencha à son oreille.
- C’est quatre cents, Chéri… Tu vas voir Muriel avant de monter.
- Ça me convient.
Lui qui était censé être le maître de cette situation, n’arrivait pas à entrer vraiment dans un des rôles qui auraient dû être les siens. Le simple client, le mac ou le mari. Peut-être parce qu’il était encore simplement les trois à la fois. Et il ne savait lequel éprouvait le plus de désir pour cette créature à la fois proche et si étrangère.
Catherine avait dit quelques mots à la femme, prit une clé, et s’était déjà engagée sur les marches, une main sur la rampe.
- Deux cents pour vous, lui dit la femme. Vous avez trois quart d’heure maximum. Amusez vous bien …
La porte refermée, elle se jeta aussitôt à ses pieds et l’enserra dans ses bras.
- Merci, mon amour. Je t’aime. Si tu savais à quel point je suis heureuse que tu sois là.
- Tu es malheureuse ici ?
- Non, mon amour, mais j’avais tellement envie que tu voies celle que tu as faite de moi ici. Que tu sois fier de Lisa. Je t’aime. C’est bon d’être à toi. Embrasse ta putain s’il te plait.
Il la souleva par les épaules et leurs bouches se plaquèrent dans un baiser dont la violence n’avait plus rien d’un acte amoureux. Il se retrouvait à l’unisson de sa femme mais dans un univers et dans une relation qu’ils n’avaient jamais encore atteint. L’image d’Anne Laure s’imposa à lui. Ce qui n’avait été qu’un fantasme, était maintenant une très proche réalité.
- Tu embrasses ici ?
- Non jamais, c’est strictement interdit. Sauf avec les patrons et son homme.
- C’est plus intime que de prendre une queue dans la bouche ?
- Oh oui tu sais. Ça n’a même rien à voir.
Ses gestes étaient à la fois précis et rapides. Elle dégrafa sa chemise, défit son pantalon puis ses sous-vêtements. Le sexe déjà rigide qui se tendit devant elle, fut une bouffée de fierté. Sans rien avoir à ôter de sa tenue, Catherine s’allongea sur le lit, écartant les jambes sans aucune pudeur.
- Viens prendre ton plaisir, mon chéri. Viens prendre ta pute.
Il n’y avait aucune ostentation, ni ton forcé dans sa voix et ses mots. Seulement une sincérité qui ne laissait place à rien d’autre qu’à la simple situation présente.
- Les capotes sont sur le chevet…
- Pour moi aussi ?
- Oui mon amour, ici c’est une règle sans exception. Les filles doivent être saines et le rester. C’est mieux pour moi tu sais…
- Mais moi ?
- Ici, tant que les macs y laissent leurs filles, il doivent aussi respecter ça.
- Pourquoi ?
- Certains les cèdent à la maison, et elles doivent être irréprochables.
- Les cèdent … ?
- Oui, mais viens chéri. J’ai trop envie de te sentir en moi.
Qui était ce « chéri »? Celui qu’elle attribuait à tous ceux qui disposaient d’elle, ou celui qui l’avait placée là ?
L’attitude de Catherine, l’oubli de ses propres doutes, n’avaient que créé un désir irrépressible de cette fille désirable qui, à cet instant, n’attendait de lui que la possession qu’elle avait tout fait pour mériter.
Pour étrange qu’ait pu sembler cette situation, d’un mari qui louait sa propre épouse comme une simple prostituée, une épouse qui, en quelques jours, se comportait comme une vraie professionnelle de bordel, pour eux deux cependant, plus rien n’entravait la logique qui les avait conduits jusque-là.
Catherine s’était relevée un instant pour dérouler le fin latex sur le membre érigé, puis avait basculé sur le dos, les jambes relevées à l’équerre et maintenues par ses bras. Marc s’approcha, glissa ses index dans chacun des anneaux pour écarter ses lèvres et, sans autre préliminaire, s’enfonça en elle d’un coup de rein.
Pendant près d’une demi-heure, l’étreinte fut sauvage, continue, violente. Catherine usait d’un langage cru et direct qu’il ne lui avait jamais connu, et qui ne faisait qu’amplifier la perte de toute retenue de Marc à son égard.
Il gisait épuisé sur le lit. Catherine s’était accroupie auprès de lui caressant et embrassant son torse.
- Elle t’a fait du bien ta pute ?
- C’était superbe chérie, et pour toi ?
- Un délice, mon amour. Si tu savais ce que c’est bon d’être prise par son homme, sentir sa queue et la faire jouir.
- Toi tu as joui ?
- Tu t’en es rendu compte non ? Il n’y a qu’avec toi que j’ai le droit de ne pas simuler, tu le sais, et que j’en aie envie aussi.
- Ça ne te manques pas ?
- Je ne suis pas là pour ça, et je n’ai pas vraiment temps d’y penser tu sais.
Il se mit à la caresser doucement, à admirer ce corps désiré et devenu si expert à donner du plaisir.
- Tu supportes bien tes anneaux ?
- Oui. J’ai dû m’habituer à leur taille, mais ça plait beaucoup. Ils les ont posés dès le lendemain de mon arrivée.
- Et ton nouveau rythme de travail ?
- Ça va… Tu ne m’as pas fait de cadeau en mettant la barre aussi haut. J’ai eu un peu mal au début, mais on m’a appris à me gérer.
Catherine Esacliers 24-59.jpg
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#36690
bonsoir à tous
Oubliant pour un temps Catherine à sa nouvelle condition et à son nouveau quotidien,Marc et son égérie goûtent sans limite
aux plaisirs sous le soleil lusitanien.
Toujours animée par son inclination naturelle à la manipulation, celle-ci dirige son compagnon et ses très malléables invités, à satisfaire pleinement ses pulsions et ses fantasmes.

bien à vous
voilà un extrait

Il l’admirait sans bruit. Il bandait. Derrière ses larges lunettes de
soleil qui la rendaient inaccessible, Anne semblait fixer le ciel.
- Tu as déjà sucé un homme chéri ?
- Non jamais.
- Va chercher Antoine, s’il te plait, j’ai envie…
Marc s’éloigna un peu intrigué et revint avec lui. Anne ne
tourna pas la tête.
- Mets toi nu et à genoux devant notre ami, mon chéri. J’ai
envie que tu me prépares ce beau mâle …
Marc hésita un court instant, puis s’exécuta. Antoine restait
immobile
- Chéri, tu vas bien sucer cette superbe queue pour qu’elle
puisse me remplir. Elle est si bonne tu sais. Allez….
Marc éprouvait un sentiment étrange et ambigu. Non que
l’homosexualité n’ait jamais fait de sa part l’objet de réflexions ou de
discussions avec les uns et les autres. Il admettait parfaitement que
lui aussi était devait être sujet à cette pulsion et ne la rejetait pas.
Mais était-ce un tabou culturel ou l’image du mâle dominant qu’il
avait développé aux côtés de Catherine, et certainement envers luimême,
jamais il n’avait même envisagé de franchir le pas.
Cependant à cet instant, la curiosité et une forme de désir
encore inconnu prenaient le pas sur la transgression de son statut. Le
fait que ce ne soit pas sa propre initiative, facilitait encore le
franchissement de ce Rubicon. Il prit les bourses d’Antoine dans une
de ses paumes, puis sa verge encore flaccide de l’autre main,
approcha son visage et commença à lécher le gland circoncis qui lui
faisait face.
- Tu as envie ? lui demanda Anne.
- Je ne sais pas … J’ai jamais fait ça avec un mec.
- Eh bien, ce sera une première pour vous deux. Je suis sûre
que vous savez bien mieux que nous, vous occuper de vos queues.
Après tout vous les connaissez par coeur et vous n’ignorez rien des
sensations qui leur sont les plus agréables. Je suis certaine que vous
allez y prendre goût. Allez mon chéri, montre ce tu sais faire…
Ses dernières inhibitions s’évanouirent en entendant Anne. Il y
avait presque un défi dans ces paroles et cela ne fit qu’augmenter
l’excitation qu’il n’avait plus aucune envie de réprimer.
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glissements a liké
#36716
visnou65 a écrit :Toujours aussi excitant et je dois dire qu'alors que ma femme est avec l'un de ses amants pour la nuit ... c'est bon.

bonsoir visnou
j'espère que ces lignes te tiendront compagnie pendant que ta belle prend un plaisir moins cérébral ... :) peut être que son amant la conduira sur les traces de catherine....

amicalement
par visnou65
#37527
Hello
Semaine chargée et donc je ne découvre ce dernier extrait que maintenant ... Ma femme n'est rentrée que dimanche soir tard... elle vient de me laisser un message car un autre amant lui a offert il y a 4 heures de partir pour un weekend à St Malo en précisant "Il fait froid, il ne fait pas beau, 48 sexe non stop ..." Elle a acceptée et ne passera pas par la maison ce soir mais à promis de me tenir au courant de ses exploits!!!
#38535
Bonsoir à tous

Catherine attend avec impatience le retour de son homme et s'efforce de donner le meilleur
d'elle même dans sa maison close.
Les choses vont pendre une tournure à laquelle elle ne s'attend pas...
http://tentationdecatherine.wifeo.com/

amicalement
un extrait pour vous

HORIZONS


- Et ton chauffeur t’ouvrait la porte ?
- Oui bien sûr, c’est son job tu sais.
- Et il t’attendait ?
- Oui, ça durait parfois des heures pour des rendez-vous ou des déjeuners.
- Ça doit être super d’avoir un larbin comme ça !
- Je ne m’en rendais pas vraiment compte. C’était pratique, c’est tout. Et puis je n’étais pas une patronne très exigeante.
- Tu avais bien tort. Maintenant que c’est ton tour, tu dois comprendre que ceux qui payent et qui décident ont tous les droits. Surtout avec toi ma chatte…
- C’est sûrement vrai, mais ça n’a jamais été ma nature.
- Ça, je m’en rends compte. Pour accepter de passer de ce que tu étais à ce que tu es devenue, faut vraiment être tordue. Moi, tu vois, je t’aime bien, mais s’il fallait que je t’envoie le dans pire bordel d’Albanie, en échange du dixième de ce que tu étais, je peux t’assurer que je n’hésiterais pas une seule seconde… Mais malheureusement tu n’es pas à moi, alors faut pas rêver… Remarque déjà qu’on t’ait mise sous ma coupe, ça me fait bénéficier de pas mal d’avantages, c’est déjà ça… Alors tu comprends que moi, en dehors du plaisir que j’y prends, j’ai aucun intérêt à te faire de cadeaux.
Catherine était à genoux. Hélène nue, installée dans un fauteuil, venait de prendre un bain pour se délasser de sa journée. Sa protégée l’avait séchée coiffée, épilée, massée, avant de s’occuper d’elle-même de façon plus spartiate. Une simple douche et un shampoing à l’eau glacée, puis une friction intégrale au gant de crin. C’était sa compagne qui avait édicté cette hygiène rude.
Elle avait ensuite passé toujours avec la même appréhension cette large ceinture qui lui étranglait la taille, et à laquelle étaient fixés deux bracelets de cuir.
Se présentant ainsi devant Hélène, celle-ci, les ferma sur ses poignets. C’était ce qui lui avait été imposé après sa supplique à Marc. Elle arrivait maintenant à trouver le sommeil, mais les premières nuits, ainsi entravée, furent terribles à supporter.
La perte de l’usage de ses mains permettait par ailleurs à Hélène de l’empêcher de se caresser, même quand le sommeil ne lui permettait plus de la surveiller. Sa propre jouissance ne relevait plus de son désir mais de l’arbitraire. Pourtant, chaque soir, une fois Catherine restreinte, Hélène sollicitait sa langue pour la conduire à l’orgasme.
- Tu as fait combien aujourd’hui ?
- Quatorze clients.
- Plus la séance avec moi ?
- Oui quinze en tout.
- C’est vraiment bien. Ils vont tous être contents.
- Tous ?
- Ceux pour qui tu bosses. Mais arrête de poser des questions. Ça, il va vraiment falloir que ça te passe.
Catherine pensa qu’elle voulait parler de Marc, de ses patrons peut-être de Marina. Mais, après tout, quelle importance. Hélène la prit par les cheveux et l’inclina vers elle.
- Allez ma belle, au boulot !

Ne jamais sortir de ces murs, n’avoir de repères qu’au travers d’évaluations hebdomadaires, donnait à l’écoulement du temps une perception brouillée. Catherine savait seulement que cela faisait maintenant bien plus de quatre semaines que Marc l’avait laissée ici. Six, sept peut être, sans compter la semaine d’essai. Elle n’avait posé qu’une fois la question à Irina, mais la sanction qui s’ensuivit, la convainquit d’attendre en silence le retour de son homme.
Parfois, laconiquement on l’informait qu’il avait appelé et qu’il allait bien. C’était tout. Elle s’était résolue à ne consacrer ses pensées et son énergie qu’à son travail, et qu’à ce que ses résultats soient à son retour une source de fierté.
Un changement de son être s’était progressivement effectué. Catherine s’était doucement effacée pour faire place à une Lisa qui semblait parler d’une autre lorsque Hélène se délectait de lui faire raconter cette vie antérieure. De cet autre monde.
cath-seance-11-W.jpg
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#40924
Bonsoir à tous
le nouveau chapitre de la tentation de Catherine -Deauville-
est en ligne
http://tentationdecatherine.wifeo.com/

un extrait pour vous
amicalement

- Tu t’occupes de nous trouver deux grandes chambres
communicantes au Normandy ce week-end, Chéri…
- J’avais réservé ta suite préférée sur le jardin pour ton
anniversaire…
- C’est adorable, mais j’ai invité Damien. Il me baise si bien, tu
sais. Ça, ce sera un vrai cadeau…
- Tu dis pourtant qu’il est plutôt con…
- Et alors… Toi t’as besoin d’une intellectuelle pour te vider
les couilles, chéri ?
- Comme tu voudras…
- Je sais… Tu demandes à ta secrétaire de s’en occuper ?
- Oui.
- Ça la fera rêver cette salope. Elle te suce toujours au fait ?
- Ça t’intéresse vraiment ?
- Non, c’est juste comme ça… Mais je l’ai choisie pour te
détendre. Profites en… Tu passes me prendre chez lui vers quinze
heures ? J’ai mis mes affaires dans la voiture ce matin. Je t’embrasse,
à tout à l’heure.
Elle raccrocha sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit.
C’était toujours le cas avec elle. Il ne s’en plaignait pas, mais il
mesurait à quel point sa vie avait changé depuis qu’elle y était entrée,
pour ne pas dire qu’elle en avait pris la direction.
En un peu plus d’un an, il était passé du rôle de celui qui
décidait de tout, à celui qui se pliait à tout ce que décidait sa
compagne. Elle disposait d’une totale liberté de comportement et ne
l’y associait que si elle en décidait.
Il était vrai qu’en revanche qu’elle n’entravait en rien ses désirs
quels qu’ils soient.
En réalité cela lui importait peu, et si elle y participait parfois
c’était simplement parce que la situation, ou que la partenaire de
Marc provoquaient son propre intérêt. C’était elle qui organisait la
plupart de leurs relations, et s’était aussi introduite dans sa vie
professionnelle. Elle influençait le choix de ses contrats, même de ses
collaborateurs.
Sa secrétaire par exemple, pour professionnelle qu’elle soit, était
d’abord la femme très facile d’un de ses amants, qu’elle avait placée
auprès de lui à toutes fins utiles.
Anne l’accompagnait pratiquement lors de chacun des ses
déplacements à l’étranger, et s’occupait elle-même de lui faire
découvrir ou partager les plaisirs que chacun de ces endroits pouvait
offrir.
Après l’expérience avec Antoine, elle l’avait convaincu, de ses
dispositions pour l’homosexualité.
Même s’il y trouvait sans conteste des satisfactions jusqu’ici
ignorées, jamais cependant il ne prenait d’initiatives en ce sens.
Cela se produisait généralement lors de soirées privées avec
certains couples, ou quand elle le sollicitait pendant que ses
partenaires, venaient passer la soirée, la nuit ou même le week-end
chez eux. Passivement ou activement il pratiquait parfois la sodomie,
mais elle l’invitait le plus souvent à les sucer et rester à leur
disposition.
La plupart affichaient envers lui, une certaine condescendance
non dissimulée.
Durant un séjour en Tunisie dans un luxueux complexe
hôtelier de Djerba, elle profita de l’inscription de l’homosexualité
dans la culture locale pour lui faire pratiquer presque exclusivement
ce type de rapports sexuels avec la complicité du concierge de l’hôtel.
Un peu surpris au début, que le mâle d’un couple accepte de
servir de jeunes hommes devant ce qu’ils imaginaient être sa femme,
ceux-ci comprirent vite qu’ils n’avaient pas à manifester de retenue,
et ils furent rapidement de plus en plus nombreux à fréquenter leur
suite ou même à les inviter chez eux.
Marc associait instinctivement cette sexualité à une forme de
soumission, surtout en la pratiquant sous les yeux et la direction
d’Anne.
La Tentation de Catherine
Gabriel Buffet
330
C’était un univers qu’il découvrait et qui ne lui déplaisait pas.
Bien qu’il en eût été persuadé depuis longtemps, il percevait
clairement au travers de cette nouvelle distribution des rôles, à quel
point le terme et l’acte de possession appliqué aux relations de plaisir
recouvraient un sentiment de pouvoir.
Il arrivait parfois qu’elle-même, ceinte d’un godemiché, lui
demande de la sucer tandis qu’elle se caressait, puis le prenne.
Elle avait aussi insisté pour que Marc porte comme elle, un
piercing et malgré une certaine réticence initiale de sa part, elle
l’avait accompagné pour lui faire poser un Prince Albert, un anneau
qui traversait son gland.
Anne trouvait que cela lui procurait de fortes sensations quand
il la pénétrait et il reconnaissait quant à lui que cela le
sursensibilisait. Il était l’objet de nombreuses questions de la part de
ceux qui découvraient cela.
Un soir, à Paris, ils s’étaient rendu dans un club de la rue Sainte
Croix de la Bretonnerie, exclusivement gay, à la réputation bien
établie. Marc, vêtu d’une tenue noire stricte était loin d’arborer les
codes vestimentaires du lieu, pour lui presque caricaturaux . Cuirs
noirs, chaînes, piercings… Si l’entrée du couple avait un peu étonné,
l’attitude très directe d’Anne comme à son habitude, avait très vite
amusé et mis à l’aise la foule d’hommes présents.
Accoudée au bar, elle avait abordé un grand type au crâne rasé
et aux pectoraux moulés dans un débardeur. Ses termes étaient sans
ambiguïté et à l’unisson des conversations et des attitudes ambiantes.
Elle lui avait annoncé que son chéri avait des pulsions refoulées et
qu’elle l’avait amené ici, pour qu’on lui fasse découvrir ce qu’il
n’osait pas demander lui-même. Il en sourit et lui promit qu’il allait
faire le nécessaire pour en faire leur petite femme ce soir-là.
Quelques minutes plus tard il embrassait Marc à pleine bouche
tandis qu’il malaxait vigoureusement ses bourses au travers de son
pantalon. Quand au bout d’un moment, il annonça qu’il allait
conduire Marc dans la back room pour s’occuper de ce « petit chat »,
Anne lui tendit une poignée de préservatifs en lui disant de bien
s’occuper de ces messieurs. Pour sa part elle partait passer la nuit avec
un de ses amants et lui assura qu’elle allait être très excitée de penser
à lui entre les mains de ses nouveaux amis…
Catherine DEAUVILLE CHAP .jpg
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#44305
bonjour à tous
le nouveau chapitre de la tentation de Catherine - Rachat- vient d'être mis en ligne.
De nombreuses choses inattendues s'y déroulent...
http://tentationdecatherine.wifeo.com/
en voila un extrait pour vous
amicalement

Anne toujours plongée dans ses comptes, ce fut avec Irina et
Peter, que Marc échangea quelques banalités. Quelques instants plus
tard, sans qu’elle ait toujours prononcé un seul mot, Catherine suivit
Dimitri. Anne avait maintenant terminé son contrôle et refermé la
mallette
- Alors sans rancune chéri ? Et puis grâce à moi, tu disposes
d’une vraie perle maintenant…
- C’est vrai, reprit Peter… Je peux vous assurer que nous
sommes nombreux à regretter votre décision, vous devez vous en
douter…
- Je peux comprendre, mais peut-être était-ce moi qui m’étais
fourvoyé. Sachez que je ne vous en veux pas. Voulez-vous que nous
trinquions ensemble à la fin de cette expérience ?
Peter sonna aussitôt pour faire monter à boire.
Anne était étonnée de son attitude, mais elle avait obtenu ce
qu’elle voulait et peu lui importait le reste. Elle ne put cependant se
réprimer.
- Expérience qui te coûte cher mon chéri… Mais comme tu le
dis si bien, ce qui ne coûte rien ne vaut rien …
Marc esquissa un sourire.
Portant un plateau, une des filles entra. Il reconnut aussitôt
Evelyne. Elle se nommait maintenant Carla. Son exubérance avait
fait place à une attitude presque craintive et à une obéissance apprise.
- Pose ça là, dit Irina.
- Vous la connaissez, je crois ? dit-elle à Marc.
- Oui. Elle et son mari avaient été nos invités au Portugal.
- C’est cette chère Anne qui nous les a adressés et elle a eu
raison. Cette chatte avait d’une part de parfaites dispositions pour ce
métier et d’autre part son mari a su très vite comprendre son intérêt à
nous en céder entièrement l’exploitation. Il a bien sur fallu lui faire
surmonter son chagrin et lui apprendre de nouvelles règles, mais
maintenant notre Carla s’est parfaitement adaptée. N’est-ce pas ma
chérie ?
- Oui Madame.
Tandis qu’elle se baissait pour poser le seau et les verres, Marc
reconnut le petit tatouage, et sourit. Mais les autres marques de la
maison prouvaient son évolution depuis. Elle sortit sans un mot.
- Je ne voulais pas en parler devant elle, mais son mari est
vraiment nul en affaires. Il nous l’a cédée pour à peine le quart de ce
nous étions prêts à payer.
- Pour combien de temps ?
- En toute propriété et c’est extrêmement intéressant pour
nous. Il s’est laissé séduire par une gamine, a divorcé au bout de
quelques mois de son placement, et nous a cédé la dette de Carla,
contre un petit supplément.
Irina se leva pour prendre la bouteille et emplit les verres. Ils les
levèrent, le cristal tinta. La discussion se poursuivit dans l’attente du
retour de Catherine.
Anne s’était progressivement alanguie dans son profond fauteuil
et semblait se laisser aller à une certaine somnolence. Elle posa sa
coupe avec difficulté et quelques secondes plus tard le contrôle de
son corps sembla lui échapper.
Les yeux toujours ouverts, elle avait mentalement quitté la
réalité de ce qui l’entourait. Marc s’était tu et observait cette
métamorphose.
- C’est fait ?
- Oui c’est pratiquement immédiat, répondit Irina, et j’ai mis
la dose nécessaire.
- Du GHB ?
- Oui.
- Elle est consciente ?
- Oui. Elle n’a perdu que toute forme de volonté, de décision
ainsi que la mémoire de ce qu’elle fait.
- C’est ce qu’elle avait fait prendre à Catherine ?
- Non. Elle, c’était des amphétamines. Elle voulait qu’elle soit
totalement consciente de ce qu’elle lui faisait subir.
- L’effet va durer combien de temps ?
- Environ deux jours.
- Parfait.
Marc sortit une épaisse enveloppe de sa veste et la leur tendit.
- Cette chérie était trop sûre d’elle pour ne pas en payer le prix.
Je pense qu’elle n’avait même pas imaginé que ce que vous aviez
accepté d’elle, vous étiez totalement ouverts à en faire autant pour
moi.
- D’autant plus qu’elle sera seule à ne pas pouvoir se souvenir
ce qu’elle va subir, sourit Irina. Dimitri sera là d’ici quelques
instants. Dans quelques heures, elle aura pris la place de Lisa à
Anvers.
- Nous sommes bien d’accord, je veux qu’elle ait le même
traitement que celui qu’elle lui a infligé.
- N’ayez crainte. Elle fera comme convenu dix jours d’abattage
intensif, et comme vous avez eu la générosité de nous offrir le
bénéfice de son travail, nous allons faire en sorte qu’elle compense
un peu la perte de votre épouse.
- Combien en fera t elle ?
- Au moins mille deux cent
- Et elle n’aura aucun souvenir ?
- Elle, non rien de précis, mais sa chatte et son cul… si… Et
elle sera battue avec la même fréquence que Catherine, ne serait-ce
que pour lui redonner de la vigueur. Et elle aura régulièrement sa
dose pour la maintenir dans cet état
- Parfait, et n’oubliez pas d’en faire une vidéo qui pourra
toujours m’être utile un jour.
- C’est prévu.
Marc la regardait, presque inerte, éprouvant une satisfaction
qu’il ne dissimulait pas. Il ne put se retenir de tester l’impuissance de
cette incarnation de la cruauté maintenant asservie, et s’approcha
d’elle.
- Elle n’est pas en mesure de parler, mais elle peut comprendre
et obéir.
- Lèves-toi salope ! et fous toi à poil !
Avec lenteur, mécaniquement, Anne obéit puis resta plantée
devant eux.
Marc prit une poignée de ses cheveux et la força à se mettre à
genoux en la giflant, sans provoquer de réaction.
- Suce-moi salope !
Il avait repris place dans le canapé et Anne s’exécutait comme
dans un film au ralenti.
- Irina, vous pouvez la cravacher pour lui donner un peu
d’entrain
chapitre 20 rachat.jpg
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#47311
bonsoir à tous

la quête de Catherine touche à sa fin
c'est l'avant dernier épisode
amicalement

CHAPITRE XIX
L’OUBLI
Même si l’histoire semblait se répéter, tous savaient que cette
fois l’issue allait en être bien différente.
Catherine était resplendissante. Elle était entrée dans le bureau
de Peter et Irina vêtue d’un long manteau de vison noir côtelé.
Dessous, elle apparut dans un tailleur Chanel taillé sur mesure à sa
plastique. Jupe au genou, décolleté discret, elle était l’image de la
distinction et de l’aisance matérielle.
Un court collier de saphirs et de brillants ornait son cou. À
chacun de ses poignets, plusieurs bracelets et épaisses gourmettes en
or. À ses doigts enfin un solitaire de plusieurs carats, une
constellation, plusieurs autres bagues serties de pierres, et son
alliance. Tout était en harmonie et ne donnait aucune impression
d’étalage ostentatoire.
Irina avait complimenté Catherine pour son élégance, et
comme si rien ne s’était déroulé jamais entre eux, ils furent reçus
chaleureusement , mais sans aucune familiarité.
Le vouvoiement était de mise entre tous et une discussion de
bon ton s’installa. Marc évoquait avec Peter leurs voyages, tandis
qu’Irina s’enquérait auprès de Catherine de la provenance de sa
tenue et de ses bijoux. Ce fut elle-même qui fit le service et emplit
les coupes d’un champagne millésimé.
Les lourdes tentures toujours tirées, la pièce n’était éclairée que
par plusieurs lampes dont les abat-jour dispensaient une lumière
ambrée. De grosses bûches crépitaient dans l’âtre de la cheminée et
participaient à cette ambiance chaude et feutrée
Catherine Menottes NB2 ref.jpg
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par cocu59
#48246
Un énorme bravo pour le livre swinging paris.
rarement lu un livre traitant ce genre de littérature aussi bien écrit.
Nous aurions pu l'écrire à peu de chose prêt.
Nous avons du nous croiser.
#49546
bonjour
merci beaucoup de votre message
j'y suis très sensible. Oui peut être nous sommes nous croisés...
car c'est en effet autobiographique vous avez pu le constater...
Le livre sera bientôt en ligne comme la Tentation
très amicalement
#54086
bonjour
l'ultime chapitre de la tentation de catherine est maintenant en ligne
avec des rebondissements....

amicalement

Caroline avait adopté une simple tunique et un jean pour se mouvoir et se fondre dans cette fourmilière humaine, mais dès que le soir commençait à tomber sur la ville, elle revêtait de superbes fourreaux de soie brodée, fendus hauts sur ses cuisses, et se glissait avec délice dans la peau de ces femmes fleurs et vénéneuses qui hantaient l’imaginaire de ce pays. Sa chevelure noire remontée en savant chignon en faisait presque une autochtone plus vraie que nature. Marc lui fit découvrir les restaurants les plus typiques et les plus luxueux de la ville, mais hésita à la conduire dans les lieux de jeu ou de débauche, là où la femme dans cette culture n’avait pas sa place, en tout cas pas en tant que spectatrice ou cliente.
Mais la chaleur moite et permanente alliée à tout ce que cette ville distillait pour aiguiser les sens, leur faisait goûter dans cette chambre d’hôtel aux allures de riche pagode et aux essences fleurant le jasmin, à des plaisirs sensuels qui s’étaient mis à l’unisson de l’âme de cette ville.
Caroline y découvrit les charmes du massage et les talents de celles qui les exerçaient. Marc fit monter une jeune femme pour sa compagne, qui débuta sagement par des palpations des plus expertes, destinées à détendre un corps fourbu. Marc l’invita à poursuivre de façon plus intime et vit Caroline se laisser aller et gémir sous les mains de la fille maintenant nue, puis commencer à lui rendre ses caresses et enfin faire l’amour jusqu'à l’épuisement. Caroline était amatrice de plaisirs féminins, mais lui avoua, une fois qu’elle fut partie, qu’elle n’avait jamais eu une partenaire aussi experte.
par yankev
#54164
cpl75marichaste a écrit :bonjour
l'ultime chapitre de la tentation de catherine est maintenant en ligne avec des rebondissements....
amicalement

Bonjour,

Je viens de finir la lecture de votre ouvrage; il est superbe.

Comme je n'ai pas votre plume, je fourbi en vrac:
- accessible,
- flamboyant,
- troublant,
- crédible,
- assertif


BRAVO ! ! !

L'escapade deauvillienne est une apothéose; il a réveillé en moi des souvenirs que je croyais perdu à jamais.

Encore merci.
Yankev

PS: la version papier a déjà sa place réservée dans ma bibliothèque, sur l'étagère "Enfer" (mais si, vous connaissez, elle est tout au fond, tout en haut, à gauche, là où on n'arrive jamais par hasard:)
#57038
bonjour à tous
la version intégrale illustrée est maintenant en ligne sur le site de la Tentation de Catherine
http://tentationdecatherine.wifeo.com/
Si cela vous tente pour épicer vos vacances ...
par ailleurs "Swinging Paris" qui est l'autobiographie de notre parcours sera très bientôt en ligne sous la même forme
merci à tous de vos commentaires
Couverture.jpg
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#57660
bonjour à tous
comme je vous l"avais annoncé ici, si vous avez pris plaisir à la Tentation de Catherine, sur un sujet que beaucoup partagent ici , avec moi d'ailleurs, j'ai commencé à mettre en ligne "Swinging Paris" qui relate de manière très autobiographique un long et délicieux parcours de candaulisme et d'échangisme.
Parcours réel dans lequel je pense beaucoup d'entre vous trouveront des sensations qui leur sont chères... de plaisirs , de doutes, de troubles jouissances...
Vous pourrez le trouvez sous
http://swinging.wifeo.com
en voila un extrait pour vous
amicalement
Cette fois tous deux allaient devoir assumer la réalité. Il l’embrassa
tout en regardant cette imposante main noire s’insinuer sous la jupe et
remonter jusqu'à son intimité. Caroline ne bougeait pas, mais il perçut
un léger mouvement de ses cuisses pour permettre la progression de
l’intruse.
Un couple s’était levé puis installé dans l’espace clos par la porte en
fer forgé. La femme avait ôté jupe et corsage pour ne garder que sa
lingerie noire ses bas et ses escarpins. Son partenaire était nu, affichant
une belle érection. Ils se caressaient sans un mot, puis rapidement
l’homme commença à la pénétrer en levrette. La femme gémissait. Des
couples et certains hommes s’étaient approchés pour admirer le spectacle.
La porte sans serrure n’était qu’un obstacle virtuel mais respecté par tous.
Ce ne fut que sur un signe de l’homme, qu’un couple les rejoignit et se
fondit dans leurs ébats.
Malgré sa curiosité et son envie d’aller voir le spectacle, l’émoi que
lui provoquait cette simple main sous la jupe de Caroline l’emportait
sans hésitation. Elle lui faisait toujours face et l’embrassait tandis que sa
jupe maintenant largement remontée découvrait ses jarretelles. L’homme
semblait, malgré sa carrure imposante, se comporter avec douceur et
délivrer des caresses aussi subtiles qu’elle les appréciait.
- Tu m’aimes ?
Pour incongrus qu’ils puissent paraître en cette situation, c’étaient
les seuls mots qui venaient spontanément à la bouche de Caroline. Mais
il savait que ce n’était qu’une phrase convenue dénuée de son sens initial.
Cela signifiait bien plutôt « Veux tu que j’aille plus loin ? Es-tu vraiment
prêt à ce que j’offre à un autre ce qui n’était qu’à nous ? ». Mais ces
questions, ils se les étaient déjà souvent posées avant de franchir le seuil
de cet endroit. Elles n’étaient plus de mise et Nicolas savait que Caroline
ne cherchait qu’un ultime assentiment. La permission d’un plaisir
physique apparemment commun mais qu’elle goûterait seule.
Egoïstement. C’était clairement la règle du jeu. Elle n’avait accepté de
franchir cette limite que s’il n’y trouvait qu’un plaisir strictement cérébral
et qu’elle demeure l’unique objet de son désir, même si c’était un autre
qui allait se substituer au rôle qui fut exclusivement le sien jusqu’alors.
Pour toute réponse, il plaqua ses lèvres contre sa bouche qui
trahissait son trouble, puis lécha le lobe de son oreille et murmura.
- Il te caresse ?
- Oui…
- C’est bon ?
- Oui… Je crois.
Nicolas sourit. Cette réponse était l’image même de cette valse hésitation
dans laquelle elle se complaisait.
- Tu veux continuer ?
- Oui … Ça t’excite ?
Joignant le geste à la parole, elle posa la main sur le sexe de Nicolas
et sentit une rigidité qui valait toutes les réponses. Satisfaite, elle tourna
enfin le buste vers l’homme et tendit le bras entre ses jambes, lui rendant
la caresse qu’il lui prodiguait.
Nicolas était enfin face à ce qui n’avait été longtemps qu’une
construction de l’esprit. Son épouse, devant ses yeux, se faisait caresser
par un inconnu et était en train de commencer à donner du plaisir à un
membre qui n’était pas sien. Et il bandait...
C’est lui qui maintenant se sentait un peu mal à l’aise. Non pas
qu’il ne soit en mesure d’assumer ce qu’il avait désiré, mais simplement
parce qu’il ne savait pas exactement quel devait être son rôle et son
comportement. Il avait imaginé cette scène depuis longtemps, mais avait
simplement oublié de s’y inscrire. Devait-il rester à ses côtés et la
regarder ? La caresser en même temps que cet homme ? Ce serait peutêtre
rassurant pour elle, mais en même temps il risquait de la mettre mal
à l’aise, de l’inhiber. Devait-il la laisser seule pour qu’elle ne se sente pas
seulement le jouet de ses fantasmes ? Il opta pour la seconde solution et
tandis qu’elle commençait à échanger des caresses plus marquées avec
l’homme, il rejoignit le groupe qui observait les deux couples.
Les deux femmes juste vêtues de leurs porte-jarretelles et de bas se
faisaient face à quatre pattes en s’embrassant tandis que les hommes les
prenaient en levrette. Le fait qu’ils aient tous les deux mis des
préservatifs, semblait confirmer qu’ils avaient échangé leurs compagnes
légitimes. Quelques spectateurs masculins plus ou moins discrètement se
caressaient.
Ce qui étonna le plus Nicolas ce fut qu’en dehors des gémissements
des quatre partenaires, ils n’échangeaient aucune parole. Un sexe
purement physique qui ne semblait pas nécessiter de complicité ou de
quelconque cérébralité. Il s’en dégageait une certaine sensualité, mais il
s’aperçut que cela ne provoquait chez lui aucune réelle excitation.
Aucune envie de ces femmes pourtant désirables. C’était juste un
spectacle auquel il ne s’imaginait aucunement participer.
#58731
merci à vous
le second chapitre de notre parcours dans "Swinging Paris"
est en ligne

amicalement
Chapitre 2 SP photo.jpg
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#62274
bonjour
la suite de notre long et délicieux parcours d'échangisme et de candaulisme est maintenant sur le site avec des photo de "caroline" (ce n'est pas son vrai prénom) mais c'est elle....
Si vous avez envie de pimenter vos vacances .....
http://swinging.wifeo.com
en voilà un extrait pour vous
Souvent ils allaient au préalable arpenter les boutiques du
Boulevard Rochechouard afin de chercher tenues et souliers pour
Caroline.
Elle, si élégamment discrète dans son quotidien, n’avait aucune
réticence à choisir puis arborer les tenues les plus provocantes, dans cette
sorte de vie parallèle.
Ils fréquentaient principalement trois endroits pour ce genre
d’emplettes. Pour sa lingerie c’était une petite boutique près de la place
Clichy. Il n’y avait qu’une vendeuse, jeune, aux formes généreuses,
certainement amatrice d’amours féminines, même si elle n’avait jamais
été très loin avec Caroline . Elles étaient vite devenues complices. La fille
lui montrait ses nouvelles livraisons et l’accompagnait dans la petite
cabine dont le rideau était presque symbolique. Elles ne prirent d’ailleurs
rapidement, plus la peine de le tirer, même quand un client entrait.
Parfois Nicolas se demandait si elle ne lui faisait essayer autant de tenues,
rien que pour le plaisir de la tenir entre ses mains, de serrer sa guêpière,
de rajuster ses seins dans les bonnets. Une fois même, particulièrement
enjouée, elle avait posé à Caroline des menottes de cuir que Nicolas avait
décroché d’un présentoir. Mains immobilisées dans le dos, seulement
parée d’un porte-jarretelles, d’un soutien gorge pigeonnant, de bas noirs,
et perchée sur des escarpins, elle l’invita à sortir de la cabine pour se
présenter ainsi à son mari. Sans gêne, plutôt joueuse, elle tourna sur ellemême
au milieu de la boutique.
- Ca lui va bien non ? dit la vendeuse.
- Très bien en effet mais le string n’est pas assorti…
- Vous avez raison, je dois avoir ce qu’il lui faut.
Elle s’affaira dans les rayons, puis tendit un étroit triangle de cuir.
Les mains toujours attachées, Caroline lui sourit.

Amicalement
Chapitre 3 SWP photo.jpg
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Modifié en dernier par cpl75marichaste le 27 juil. 2010, 19:34, modifié 1 fois.

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