©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#38535
Bonsoir à tous

Catherine attend avec impatience le retour de son homme et s'efforce de donner le meilleur
d'elle même dans sa maison close.
Les choses vont pendre une tournure à laquelle elle ne s'attend pas...
http://tentationdecatherine.wifeo.com/

amicalement
un extrait pour vous

HORIZONS


- Et ton chauffeur t’ouvrait la porte ?
- Oui bien sûr, c’est son job tu sais.
- Et il t’attendait ?
- Oui, ça durait parfois des heures pour des rendez-vous ou des déjeuners.
- Ça doit être super d’avoir un larbin comme ça !
- Je ne m’en rendais pas vraiment compte. C’était pratique, c’est tout. Et puis je n’étais pas une patronne très exigeante.
- Tu avais bien tort. Maintenant que c’est ton tour, tu dois comprendre que ceux qui payent et qui décident ont tous les droits. Surtout avec toi ma chatte…
- C’est sûrement vrai, mais ça n’a jamais été ma nature.
- Ça, je m’en rends compte. Pour accepter de passer de ce que tu étais à ce que tu es devenue, faut vraiment être tordue. Moi, tu vois, je t’aime bien, mais s’il fallait que je t’envoie le dans pire bordel d’Albanie, en échange du dixième de ce que tu étais, je peux t’assurer que je n’hésiterais pas une seule seconde… Mais malheureusement tu n’es pas à moi, alors faut pas rêver… Remarque déjà qu’on t’ait mise sous ma coupe, ça me fait bénéficier de pas mal d’avantages, c’est déjà ça… Alors tu comprends que moi, en dehors du plaisir que j’y prends, j’ai aucun intérêt à te faire de cadeaux.
Catherine était à genoux. Hélène nue, installée dans un fauteuil, venait de prendre un bain pour se délasser de sa journée. Sa protégée l’avait séchée coiffée, épilée, massée, avant de s’occuper d’elle-même de façon plus spartiate. Une simple douche et un shampoing à l’eau glacée, puis une friction intégrale au gant de crin. C’était sa compagne qui avait édicté cette hygiène rude.
Elle avait ensuite passé toujours avec la même appréhension cette large ceinture qui lui étranglait la taille, et à laquelle étaient fixés deux bracelets de cuir.
Se présentant ainsi devant Hélène, celle-ci, les ferma sur ses poignets. C’était ce qui lui avait été imposé après sa supplique à Marc. Elle arrivait maintenant à trouver le sommeil, mais les premières nuits, ainsi entravée, furent terribles à supporter.
La perte de l’usage de ses mains permettait par ailleurs à Hélène de l’empêcher de se caresser, même quand le sommeil ne lui permettait plus de la surveiller. Sa propre jouissance ne relevait plus de son désir mais de l’arbitraire. Pourtant, chaque soir, une fois Catherine restreinte, Hélène sollicitait sa langue pour la conduire à l’orgasme.
- Tu as fait combien aujourd’hui ?
- Quatorze clients.
- Plus la séance avec moi ?
- Oui quinze en tout.
- C’est vraiment bien. Ils vont tous être contents.
- Tous ?
- Ceux pour qui tu bosses. Mais arrête de poser des questions. Ça, il va vraiment falloir que ça te passe.
Catherine pensa qu’elle voulait parler de Marc, de ses patrons peut-être de Marina. Mais, après tout, quelle importance. Hélène la prit par les cheveux et l’inclina vers elle.
- Allez ma belle, au boulot !

Ne jamais sortir de ces murs, n’avoir de repères qu’au travers d’évaluations hebdomadaires, donnait à l’écoulement du temps une perception brouillée. Catherine savait seulement que cela faisait maintenant bien plus de quatre semaines que Marc l’avait laissée ici. Six, sept peut être, sans compter la semaine d’essai. Elle n’avait posé qu’une fois la question à Irina, mais la sanction qui s’ensuivit, la convainquit d’attendre en silence le retour de son homme.
Parfois, laconiquement on l’informait qu’il avait appelé et qu’il allait bien. C’était tout. Elle s’était résolue à ne consacrer ses pensées et son énergie qu’à son travail, et qu’à ce que ses résultats soient à son retour une source de fierté.
Un changement de son être s’était progressivement effectué. Catherine s’était doucement effacée pour faire place à une Lisa qui semblait parler d’une autre lorsque Hélène se délectait de lui faire raconter cette vie antérieure. De cet autre monde.
cath-seance-11-W.jpg
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#40924
Bonsoir à tous
le nouveau chapitre de la tentation de Catherine -Deauville-
est en ligne
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un extrait pour vous
amicalement

- Tu t’occupes de nous trouver deux grandes chambres
communicantes au Normandy ce week-end, Chéri…
- J’avais réservé ta suite préférée sur le jardin pour ton
anniversaire…
- C’est adorable, mais j’ai invité Damien. Il me baise si bien, tu
sais. Ça, ce sera un vrai cadeau…
- Tu dis pourtant qu’il est plutôt con…
- Et alors… Toi t’as besoin d’une intellectuelle pour te vider
les couilles, chéri ?
- Comme tu voudras…
- Je sais… Tu demandes à ta secrétaire de s’en occuper ?
- Oui.
- Ça la fera rêver cette salope. Elle te suce toujours au fait ?
- Ça t’intéresse vraiment ?
- Non, c’est juste comme ça… Mais je l’ai choisie pour te
détendre. Profites en… Tu passes me prendre chez lui vers quinze
heures ? J’ai mis mes affaires dans la voiture ce matin. Je t’embrasse,
à tout à l’heure.
Elle raccrocha sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit.
C’était toujours le cas avec elle. Il ne s’en plaignait pas, mais il
mesurait à quel point sa vie avait changé depuis qu’elle y était entrée,
pour ne pas dire qu’elle en avait pris la direction.
En un peu plus d’un an, il était passé du rôle de celui qui
décidait de tout, à celui qui se pliait à tout ce que décidait sa
compagne. Elle disposait d’une totale liberté de comportement et ne
l’y associait que si elle en décidait.
Il était vrai qu’en revanche qu’elle n’entravait en rien ses désirs
quels qu’ils soient.
En réalité cela lui importait peu, et si elle y participait parfois
c’était simplement parce que la situation, ou que la partenaire de
Marc provoquaient son propre intérêt. C’était elle qui organisait la
plupart de leurs relations, et s’était aussi introduite dans sa vie
professionnelle. Elle influençait le choix de ses contrats, même de ses
collaborateurs.
Sa secrétaire par exemple, pour professionnelle qu’elle soit, était
d’abord la femme très facile d’un de ses amants, qu’elle avait placée
auprès de lui à toutes fins utiles.
Anne l’accompagnait pratiquement lors de chacun des ses
déplacements à l’étranger, et s’occupait elle-même de lui faire
découvrir ou partager les plaisirs que chacun de ces endroits pouvait
offrir.
Après l’expérience avec Antoine, elle l’avait convaincu, de ses
dispositions pour l’homosexualité.
Même s’il y trouvait sans conteste des satisfactions jusqu’ici
ignorées, jamais cependant il ne prenait d’initiatives en ce sens.
Cela se produisait généralement lors de soirées privées avec
certains couples, ou quand elle le sollicitait pendant que ses
partenaires, venaient passer la soirée, la nuit ou même le week-end
chez eux. Passivement ou activement il pratiquait parfois la sodomie,
mais elle l’invitait le plus souvent à les sucer et rester à leur
disposition.
La plupart affichaient envers lui, une certaine condescendance
non dissimulée.
Durant un séjour en Tunisie dans un luxueux complexe
hôtelier de Djerba, elle profita de l’inscription de l’homosexualité
dans la culture locale pour lui faire pratiquer presque exclusivement
ce type de rapports sexuels avec la complicité du concierge de l’hôtel.
Un peu surpris au début, que le mâle d’un couple accepte de
servir de jeunes hommes devant ce qu’ils imaginaient être sa femme,
ceux-ci comprirent vite qu’ils n’avaient pas à manifester de retenue,
et ils furent rapidement de plus en plus nombreux à fréquenter leur
suite ou même à les inviter chez eux.
Marc associait instinctivement cette sexualité à une forme de
soumission, surtout en la pratiquant sous les yeux et la direction
d’Anne.
La Tentation de Catherine
Gabriel Buffet
330
C’était un univers qu’il découvrait et qui ne lui déplaisait pas.
Bien qu’il en eût été persuadé depuis longtemps, il percevait
clairement au travers de cette nouvelle distribution des rôles, à quel
point le terme et l’acte de possession appliqué aux relations de plaisir
recouvraient un sentiment de pouvoir.
Il arrivait parfois qu’elle-même, ceinte d’un godemiché, lui
demande de la sucer tandis qu’elle se caressait, puis le prenne.
Elle avait aussi insisté pour que Marc porte comme elle, un
piercing et malgré une certaine réticence initiale de sa part, elle
l’avait accompagné pour lui faire poser un Prince Albert, un anneau
qui traversait son gland.
Anne trouvait que cela lui procurait de fortes sensations quand
il la pénétrait et il reconnaissait quant à lui que cela le
sursensibilisait. Il était l’objet de nombreuses questions de la part de
ceux qui découvraient cela.
Un soir, à Paris, ils s’étaient rendu dans un club de la rue Sainte
Croix de la Bretonnerie, exclusivement gay, à la réputation bien
établie. Marc, vêtu d’une tenue noire stricte était loin d’arborer les
codes vestimentaires du lieu, pour lui presque caricaturaux . Cuirs
noirs, chaînes, piercings… Si l’entrée du couple avait un peu étonné,
l’attitude très directe d’Anne comme à son habitude, avait très vite
amusé et mis à l’aise la foule d’hommes présents.
Accoudée au bar, elle avait abordé un grand type au crâne rasé
et aux pectoraux moulés dans un débardeur. Ses termes étaient sans
ambiguïté et à l’unisson des conversations et des attitudes ambiantes.
Elle lui avait annoncé que son chéri avait des pulsions refoulées et
qu’elle l’avait amené ici, pour qu’on lui fasse découvrir ce qu’il
n’osait pas demander lui-même. Il en sourit et lui promit qu’il allait
faire le nécessaire pour en faire leur petite femme ce soir-là.
Quelques minutes plus tard il embrassait Marc à pleine bouche
tandis qu’il malaxait vigoureusement ses bourses au travers de son
pantalon. Quand au bout d’un moment, il annonça qu’il allait
conduire Marc dans la back room pour s’occuper de ce « petit chat »,
Anne lui tendit une poignée de préservatifs en lui disant de bien
s’occuper de ces messieurs. Pour sa part elle partait passer la nuit avec
un de ses amants et lui assura qu’elle allait être très excitée de penser
à lui entre les mains de ses nouveaux amis…
Catherine DEAUVILLE CHAP .jpg
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#44305
bonjour à tous
le nouveau chapitre de la tentation de Catherine - Rachat- vient d'être mis en ligne.
De nombreuses choses inattendues s'y déroulent...
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en voila un extrait pour vous
amicalement

Anne toujours plongée dans ses comptes, ce fut avec Irina et
Peter, que Marc échangea quelques banalités. Quelques instants plus
tard, sans qu’elle ait toujours prononcé un seul mot, Catherine suivit
Dimitri. Anne avait maintenant terminé son contrôle et refermé la
mallette
- Alors sans rancune chéri ? Et puis grâce à moi, tu disposes
d’une vraie perle maintenant…
- C’est vrai, reprit Peter… Je peux vous assurer que nous
sommes nombreux à regretter votre décision, vous devez vous en
douter…
- Je peux comprendre, mais peut-être était-ce moi qui m’étais
fourvoyé. Sachez que je ne vous en veux pas. Voulez-vous que nous
trinquions ensemble à la fin de cette expérience ?
Peter sonna aussitôt pour faire monter à boire.
Anne était étonnée de son attitude, mais elle avait obtenu ce
qu’elle voulait et peu lui importait le reste. Elle ne put cependant se
réprimer.
- Expérience qui te coûte cher mon chéri… Mais comme tu le
dis si bien, ce qui ne coûte rien ne vaut rien …
Marc esquissa un sourire.
Portant un plateau, une des filles entra. Il reconnut aussitôt
Evelyne. Elle se nommait maintenant Carla. Son exubérance avait
fait place à une attitude presque craintive et à une obéissance apprise.
- Pose ça là, dit Irina.
- Vous la connaissez, je crois ? dit-elle à Marc.
- Oui. Elle et son mari avaient été nos invités au Portugal.
- C’est cette chère Anne qui nous les a adressés et elle a eu
raison. Cette chatte avait d’une part de parfaites dispositions pour ce
métier et d’autre part son mari a su très vite comprendre son intérêt à
nous en céder entièrement l’exploitation. Il a bien sur fallu lui faire
surmonter son chagrin et lui apprendre de nouvelles règles, mais
maintenant notre Carla s’est parfaitement adaptée. N’est-ce pas ma
chérie ?
- Oui Madame.
Tandis qu’elle se baissait pour poser le seau et les verres, Marc
reconnut le petit tatouage, et sourit. Mais les autres marques de la
maison prouvaient son évolution depuis. Elle sortit sans un mot.
- Je ne voulais pas en parler devant elle, mais son mari est
vraiment nul en affaires. Il nous l’a cédée pour à peine le quart de ce
nous étions prêts à payer.
- Pour combien de temps ?
- En toute propriété et c’est extrêmement intéressant pour
nous. Il s’est laissé séduire par une gamine, a divorcé au bout de
quelques mois de son placement, et nous a cédé la dette de Carla,
contre un petit supplément.
Irina se leva pour prendre la bouteille et emplit les verres. Ils les
levèrent, le cristal tinta. La discussion se poursuivit dans l’attente du
retour de Catherine.
Anne s’était progressivement alanguie dans son profond fauteuil
et semblait se laisser aller à une certaine somnolence. Elle posa sa
coupe avec difficulté et quelques secondes plus tard le contrôle de
son corps sembla lui échapper.
Les yeux toujours ouverts, elle avait mentalement quitté la
réalité de ce qui l’entourait. Marc s’était tu et observait cette
métamorphose.
- C’est fait ?
- Oui c’est pratiquement immédiat, répondit Irina, et j’ai mis
la dose nécessaire.
- Du GHB ?
- Oui.
- Elle est consciente ?
- Oui. Elle n’a perdu que toute forme de volonté, de décision
ainsi que la mémoire de ce qu’elle fait.
- C’est ce qu’elle avait fait prendre à Catherine ?
- Non. Elle, c’était des amphétamines. Elle voulait qu’elle soit
totalement consciente de ce qu’elle lui faisait subir.
- L’effet va durer combien de temps ?
- Environ deux jours.
- Parfait.
Marc sortit une épaisse enveloppe de sa veste et la leur tendit.
- Cette chérie était trop sûre d’elle pour ne pas en payer le prix.
Je pense qu’elle n’avait même pas imaginé que ce que vous aviez
accepté d’elle, vous étiez totalement ouverts à en faire autant pour
moi.
- D’autant plus qu’elle sera seule à ne pas pouvoir se souvenir
ce qu’elle va subir, sourit Irina. Dimitri sera là d’ici quelques
instants. Dans quelques heures, elle aura pris la place de Lisa à
Anvers.
- Nous sommes bien d’accord, je veux qu’elle ait le même
traitement que celui qu’elle lui a infligé.
- N’ayez crainte. Elle fera comme convenu dix jours d’abattage
intensif, et comme vous avez eu la générosité de nous offrir le
bénéfice de son travail, nous allons faire en sorte qu’elle compense
un peu la perte de votre épouse.
- Combien en fera t elle ?
- Au moins mille deux cent
- Et elle n’aura aucun souvenir ?
- Elle, non rien de précis, mais sa chatte et son cul… si… Et
elle sera battue avec la même fréquence que Catherine, ne serait-ce
que pour lui redonner de la vigueur. Et elle aura régulièrement sa
dose pour la maintenir dans cet état
- Parfait, et n’oubliez pas d’en faire une vidéo qui pourra
toujours m’être utile un jour.
- C’est prévu.
Marc la regardait, presque inerte, éprouvant une satisfaction
qu’il ne dissimulait pas. Il ne put se retenir de tester l’impuissance de
cette incarnation de la cruauté maintenant asservie, et s’approcha
d’elle.
- Elle n’est pas en mesure de parler, mais elle peut comprendre
et obéir.
- Lèves-toi salope ! et fous toi à poil !
Avec lenteur, mécaniquement, Anne obéit puis resta plantée
devant eux.
Marc prit une poignée de ses cheveux et la força à se mettre à
genoux en la giflant, sans provoquer de réaction.
- Suce-moi salope !
Il avait repris place dans le canapé et Anne s’exécutait comme
dans un film au ralenti.
- Irina, vous pouvez la cravacher pour lui donner un peu
d’entrain
chapitre 20 rachat.jpg
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#47311
bonsoir à tous

la quête de Catherine touche à sa fin
c'est l'avant dernier épisode
amicalement

CHAPITRE XIX
L’OUBLI
Même si l’histoire semblait se répéter, tous savaient que cette
fois l’issue allait en être bien différente.
Catherine était resplendissante. Elle était entrée dans le bureau
de Peter et Irina vêtue d’un long manteau de vison noir côtelé.
Dessous, elle apparut dans un tailleur Chanel taillé sur mesure à sa
plastique. Jupe au genou, décolleté discret, elle était l’image de la
distinction et de l’aisance matérielle.
Un court collier de saphirs et de brillants ornait son cou. À
chacun de ses poignets, plusieurs bracelets et épaisses gourmettes en
or. À ses doigts enfin un solitaire de plusieurs carats, une
constellation, plusieurs autres bagues serties de pierres, et son
alliance. Tout était en harmonie et ne donnait aucune impression
d’étalage ostentatoire.
Irina avait complimenté Catherine pour son élégance, et
comme si rien ne s’était déroulé jamais entre eux, ils furent reçus
chaleureusement , mais sans aucune familiarité.
Le vouvoiement était de mise entre tous et une discussion de
bon ton s’installa. Marc évoquait avec Peter leurs voyages, tandis
qu’Irina s’enquérait auprès de Catherine de la provenance de sa
tenue et de ses bijoux. Ce fut elle-même qui fit le service et emplit
les coupes d’un champagne millésimé.
Les lourdes tentures toujours tirées, la pièce n’était éclairée que
par plusieurs lampes dont les abat-jour dispensaient une lumière
ambrée. De grosses bûches crépitaient dans l’âtre de la cheminée et
participaient à cette ambiance chaude et feutrée
Catherine Menottes NB2 ref.jpg
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par cocu59
#48246
Un énorme bravo pour le livre swinging paris.
rarement lu un livre traitant ce genre de littérature aussi bien écrit.
Nous aurions pu l'écrire à peu de chose prêt.
Nous avons du nous croiser.
#49546
bonjour
merci beaucoup de votre message
j'y suis très sensible. Oui peut être nous sommes nous croisés...
car c'est en effet autobiographique vous avez pu le constater...
Le livre sera bientôt en ligne comme la Tentation
très amicalement
#54086
bonjour
l'ultime chapitre de la tentation de catherine est maintenant en ligne
avec des rebondissements....

amicalement

Caroline avait adopté une simple tunique et un jean pour se mouvoir et se fondre dans cette fourmilière humaine, mais dès que le soir commençait à tomber sur la ville, elle revêtait de superbes fourreaux de soie brodée, fendus hauts sur ses cuisses, et se glissait avec délice dans la peau de ces femmes fleurs et vénéneuses qui hantaient l’imaginaire de ce pays. Sa chevelure noire remontée en savant chignon en faisait presque une autochtone plus vraie que nature. Marc lui fit découvrir les restaurants les plus typiques et les plus luxueux de la ville, mais hésita à la conduire dans les lieux de jeu ou de débauche, là où la femme dans cette culture n’avait pas sa place, en tout cas pas en tant que spectatrice ou cliente.
Mais la chaleur moite et permanente alliée à tout ce que cette ville distillait pour aiguiser les sens, leur faisait goûter dans cette chambre d’hôtel aux allures de riche pagode et aux essences fleurant le jasmin, à des plaisirs sensuels qui s’étaient mis à l’unisson de l’âme de cette ville.
Caroline y découvrit les charmes du massage et les talents de celles qui les exerçaient. Marc fit monter une jeune femme pour sa compagne, qui débuta sagement par des palpations des plus expertes, destinées à détendre un corps fourbu. Marc l’invita à poursuivre de façon plus intime et vit Caroline se laisser aller et gémir sous les mains de la fille maintenant nue, puis commencer à lui rendre ses caresses et enfin faire l’amour jusqu'à l’épuisement. Caroline était amatrice de plaisirs féminins, mais lui avoua, une fois qu’elle fut partie, qu’elle n’avait jamais eu une partenaire aussi experte.
par yankev
#54164
cpl75marichaste a écrit :bonjour
l'ultime chapitre de la tentation de catherine est maintenant en ligne avec des rebondissements....
amicalement

Bonjour,

Je viens de finir la lecture de votre ouvrage; il est superbe.

Comme je n'ai pas votre plume, je fourbi en vrac:
- accessible,
- flamboyant,
- troublant,
- crédible,
- assertif


BRAVO ! ! !

L'escapade deauvillienne est une apothéose; il a réveillé en moi des souvenirs que je croyais perdu à jamais.

Encore merci.
Yankev

PS: la version papier a déjà sa place réservée dans ma bibliothèque, sur l'étagère "Enfer" (mais si, vous connaissez, elle est tout au fond, tout en haut, à gauche, là où on n'arrive jamais par hasard:)
#57038
bonjour à tous
la version intégrale illustrée est maintenant en ligne sur le site de la Tentation de Catherine
http://tentationdecatherine.wifeo.com/
Si cela vous tente pour épicer vos vacances ...
par ailleurs "Swinging Paris" qui est l'autobiographie de notre parcours sera très bientôt en ligne sous la même forme
merci à tous de vos commentaires
Couverture.jpg
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#57660
bonjour à tous
comme je vous l"avais annoncé ici, si vous avez pris plaisir à la Tentation de Catherine, sur un sujet que beaucoup partagent ici , avec moi d'ailleurs, j'ai commencé à mettre en ligne "Swinging Paris" qui relate de manière très autobiographique un long et délicieux parcours de candaulisme et d'échangisme.
Parcours réel dans lequel je pense beaucoup d'entre vous trouveront des sensations qui leur sont chères... de plaisirs , de doutes, de troubles jouissances...
Vous pourrez le trouvez sous
http://swinging.wifeo.com
en voila un extrait pour vous
amicalement
Cette fois tous deux allaient devoir assumer la réalité. Il l’embrassa
tout en regardant cette imposante main noire s’insinuer sous la jupe et
remonter jusqu'à son intimité. Caroline ne bougeait pas, mais il perçut
un léger mouvement de ses cuisses pour permettre la progression de
l’intruse.
Un couple s’était levé puis installé dans l’espace clos par la porte en
fer forgé. La femme avait ôté jupe et corsage pour ne garder que sa
lingerie noire ses bas et ses escarpins. Son partenaire était nu, affichant
une belle érection. Ils se caressaient sans un mot, puis rapidement
l’homme commença à la pénétrer en levrette. La femme gémissait. Des
couples et certains hommes s’étaient approchés pour admirer le spectacle.
La porte sans serrure n’était qu’un obstacle virtuel mais respecté par tous.
Ce ne fut que sur un signe de l’homme, qu’un couple les rejoignit et se
fondit dans leurs ébats.
Malgré sa curiosité et son envie d’aller voir le spectacle, l’émoi que
lui provoquait cette simple main sous la jupe de Caroline l’emportait
sans hésitation. Elle lui faisait toujours face et l’embrassait tandis que sa
jupe maintenant largement remontée découvrait ses jarretelles. L’homme
semblait, malgré sa carrure imposante, se comporter avec douceur et
délivrer des caresses aussi subtiles qu’elle les appréciait.
- Tu m’aimes ?
Pour incongrus qu’ils puissent paraître en cette situation, c’étaient
les seuls mots qui venaient spontanément à la bouche de Caroline. Mais
il savait que ce n’était qu’une phrase convenue dénuée de son sens initial.
Cela signifiait bien plutôt « Veux tu que j’aille plus loin ? Es-tu vraiment
prêt à ce que j’offre à un autre ce qui n’était qu’à nous ? ». Mais ces
questions, ils se les étaient déjà souvent posées avant de franchir le seuil
de cet endroit. Elles n’étaient plus de mise et Nicolas savait que Caroline
ne cherchait qu’un ultime assentiment. La permission d’un plaisir
physique apparemment commun mais qu’elle goûterait seule.
Egoïstement. C’était clairement la règle du jeu. Elle n’avait accepté de
franchir cette limite que s’il n’y trouvait qu’un plaisir strictement cérébral
et qu’elle demeure l’unique objet de son désir, même si c’était un autre
qui allait se substituer au rôle qui fut exclusivement le sien jusqu’alors.
Pour toute réponse, il plaqua ses lèvres contre sa bouche qui
trahissait son trouble, puis lécha le lobe de son oreille et murmura.
- Il te caresse ?
- Oui…
- C’est bon ?
- Oui… Je crois.
Nicolas sourit. Cette réponse était l’image même de cette valse hésitation
dans laquelle elle se complaisait.
- Tu veux continuer ?
- Oui … Ça t’excite ?
Joignant le geste à la parole, elle posa la main sur le sexe de Nicolas
et sentit une rigidité qui valait toutes les réponses. Satisfaite, elle tourna
enfin le buste vers l’homme et tendit le bras entre ses jambes, lui rendant
la caresse qu’il lui prodiguait.
Nicolas était enfin face à ce qui n’avait été longtemps qu’une
construction de l’esprit. Son épouse, devant ses yeux, se faisait caresser
par un inconnu et était en train de commencer à donner du plaisir à un
membre qui n’était pas sien. Et il bandait...
C’est lui qui maintenant se sentait un peu mal à l’aise. Non pas
qu’il ne soit en mesure d’assumer ce qu’il avait désiré, mais simplement
parce qu’il ne savait pas exactement quel devait être son rôle et son
comportement. Il avait imaginé cette scène depuis longtemps, mais avait
simplement oublié de s’y inscrire. Devait-il rester à ses côtés et la
regarder ? La caresser en même temps que cet homme ? Ce serait peutêtre
rassurant pour elle, mais en même temps il risquait de la mettre mal
à l’aise, de l’inhiber. Devait-il la laisser seule pour qu’elle ne se sente pas
seulement le jouet de ses fantasmes ? Il opta pour la seconde solution et
tandis qu’elle commençait à échanger des caresses plus marquées avec
l’homme, il rejoignit le groupe qui observait les deux couples.
Les deux femmes juste vêtues de leurs porte-jarretelles et de bas se
faisaient face à quatre pattes en s’embrassant tandis que les hommes les
prenaient en levrette. Le fait qu’ils aient tous les deux mis des
préservatifs, semblait confirmer qu’ils avaient échangé leurs compagnes
légitimes. Quelques spectateurs masculins plus ou moins discrètement se
caressaient.
Ce qui étonna le plus Nicolas ce fut qu’en dehors des gémissements
des quatre partenaires, ils n’échangeaient aucune parole. Un sexe
purement physique qui ne semblait pas nécessiter de complicité ou de
quelconque cérébralité. Il s’en dégageait une certaine sensualité, mais il
s’aperçut que cela ne provoquait chez lui aucune réelle excitation.
Aucune envie de ces femmes pourtant désirables. C’était juste un
spectacle auquel il ne s’imaginait aucunement participer.
#58731
merci à vous
le second chapitre de notre parcours dans "Swinging Paris"
est en ligne

amicalement
Chapitre 2 SP photo.jpg
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#62274
bonjour
la suite de notre long et délicieux parcours d'échangisme et de candaulisme est maintenant sur le site avec des photo de "caroline" (ce n'est pas son vrai prénom) mais c'est elle....
Si vous avez envie de pimenter vos vacances .....
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en voilà un extrait pour vous
Souvent ils allaient au préalable arpenter les boutiques du
Boulevard Rochechouard afin de chercher tenues et souliers pour
Caroline.
Elle, si élégamment discrète dans son quotidien, n’avait aucune
réticence à choisir puis arborer les tenues les plus provocantes, dans cette
sorte de vie parallèle.
Ils fréquentaient principalement trois endroits pour ce genre
d’emplettes. Pour sa lingerie c’était une petite boutique près de la place
Clichy. Il n’y avait qu’une vendeuse, jeune, aux formes généreuses,
certainement amatrice d’amours féminines, même si elle n’avait jamais
été très loin avec Caroline . Elles étaient vite devenues complices. La fille
lui montrait ses nouvelles livraisons et l’accompagnait dans la petite
cabine dont le rideau était presque symbolique. Elles ne prirent d’ailleurs
rapidement, plus la peine de le tirer, même quand un client entrait.
Parfois Nicolas se demandait si elle ne lui faisait essayer autant de tenues,
rien que pour le plaisir de la tenir entre ses mains, de serrer sa guêpière,
de rajuster ses seins dans les bonnets. Une fois même, particulièrement
enjouée, elle avait posé à Caroline des menottes de cuir que Nicolas avait
décroché d’un présentoir. Mains immobilisées dans le dos, seulement
parée d’un porte-jarretelles, d’un soutien gorge pigeonnant, de bas noirs,
et perchée sur des escarpins, elle l’invita à sortir de la cabine pour se
présenter ainsi à son mari. Sans gêne, plutôt joueuse, elle tourna sur ellemême
au milieu de la boutique.
- Ca lui va bien non ? dit la vendeuse.
- Très bien en effet mais le string n’est pas assorti…
- Vous avez raison, je dois avoir ce qu’il lui faut.
Elle s’affaira dans les rayons, puis tendit un étroit triangle de cuir.
Les mains toujours attachées, Caroline lui sourit.

Amicalement
Chapitre 3 SWP photo.jpg
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Modifié en dernier par cpl75marichaste le 27 juil. 2010, 19:34, modifié 1 fois.
#63135
Bonjour à vous tous
le quatrième chapitre de "Swinging Paris" est en ligne
http://swinging.wifeo.com
Mais il y a une innovation, qui s'inscrit pour notre grand plaisir et le vôtre je l'espère, dans le fil de notre parcours et de nos expériences.
Si vous cliquez sur bouton "cadeau" vous aurez une surprise, très réelle, car nous vivons toujours nos fantasmes, pour l'un (ou l'une) d'entre vous et pourquoi pas un couple....
Vous en saurez plus en suivant ce qui est indiqué, mais ... chutt.
Amicalement
Un extrait pour vous

Quelques jours plus tard, vers dix-huit heures, Nicolas sonnait à la
porte. Avec un sourire entendu, la jeune femme du vestiaire lui fit savoir
que l’ambiance était particulièrement animée. Les quelques marches
descendues, il chercha aussitôt Caroline du regard.
A l’issue de longues discussions, elle avait accepté de s’y rendre
seule et qu’il la rejoigne anonymement une demi-heure plus tard. Proie
consentante offerte aux mâles. Objet désirable, censé venir assouvir seul,
ses besoins sexuels. Incarnation d’une présumée nymphomanie,
fantasmée par la majorité des hommes.
Il avait envie de la laisser ainsi seule assumer ce rôle et réagir
comme elle l’entendrait, sans que sa présence interfère dans la
spontanéité de son comportement. Puis vivre les instants délicieux de
l’attente, de l’imagination et de la découverte.
Parcourant des yeux la salle principale puis celle du lit à baldaquin,
il ne vit qu’un couple amoureusement enlacé, venu certainement abriter
des amours adultérins. Deux hommes regardaient de loin sans les
approcher. Etait-elle venue ? Repartie ? Les partenaires annoncés
n’étaient-ils qu’imaginaires ?
Du bout d’un petit couloir émergeait un bruit sourd. S’y engageant,
il devina de loin des corps, nombreux, agglutinés sur un lit circulaire qui
occupait la totalité de la pièce. Une main se posa fermement sur son
épaule et le tira un peu en arrière
- Monsieur ! s’il vous plait. Veuillez passer au bar et régler votre
entrée.
Un peu décontenancé, Nicolas suivit l’homme et s’exécuta.
- Vous avez de la chance, cet après-midi il y a une fille superbe et
qui en veut ! Une gourmande de la queue ! Mais vous aurez peut-être du
mal à trouver une place… Des salopes comme ça c’est rare !
Nicolas sourit.
- Une blonde aux cheveux mi-longs et aux yeux noisette ? Qui est
arrivée il y a une demi-heure ?
- Oui…
- Alors je pense avoir mes chances… C’est mon épouse !
Cette fois ce fut l’homme qui perdit son assurance.
- Excusez-moi. Je ne savais pas…
Il se perdit en justifications embrouillées. Il n’était pas là lors de leur
première venue et n’avait pu les reconnaître. Il était désolé. Ils seraient
désormais ses invités pour se faire pardonner de cette méprise.
- Je vous en prie, coupa Nicolas, ce n’est pas grave, mais j’ai hâte
d’aller voir la « salope » dans ses oeuvres… A plus tard.
Même s’il était difficile de dénombrer le nombre de participants,
autour d’une dizaine, il était clair qu’une seule femme concentrait
l’attention, les mains et les sexes des hommes présents. Tous nus, à
l’exception de leurs chaussettes, caractéristique fréquente et ridicule, qui
amusait beaucoup Caroline, ils en étaient presque à se bousculer pour
avoir accès à ses charmes.
Nicolas joua un peu des coudes pour se frayer un passage jusqu'à
elle.
- Tu as été long mon chéri !
- Je voulais te laisser le temps de t’occuper de ces messieurs…
- Oui mais maintenant ça va… J’ai trop chaud et j’ai envie de boire
un verre.
Elle se dégagea des étreintes persistantes et haussa un peu la voix.
- Merci messieurs. Je crois que me suis bien occupé de vous tous, et
pour les autres ce sera pour une prochaine fois. Maintenant je vais
m’occuper de mon mari…
Le prenant dans sa bouche, la « salope » lui prodigua une caresse
courte et vorace qu’elle dégusta jusqu'à le laisser sans ressources.
Chapitre 4 SP Photo.jpg

Chapitre 4 SP Photo.jpg
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#65415
Bonjour à tous

si vous avez envie de passer de l'autre côté du miroir de "Swinging Paris" et "jouir" d'un cadeau vraiment exceptionnel et tout à fait réel lisez ci dessous, et vous prendrez place dans ce parcours....
amicalement
Concours SWP TXT 2.jpg
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#67384
Bonjour a vous

Voila un nouveau chapitre de notre parcours candauliste et libertin (et véridique...)
Les premières amours saphiques de Caroline
Le "Cadeau" est toujours d'actualité pour les gourmands et gourmandes
amicalement
http://swinging.wifeo.com

En pleine lumière de midi, au milieu d’un salon bourgeois sobrement décoré, face à deux personnes en tenue de ville, elle seins nus débordant de son corsage, jupe relevée, cuisses largement écartées, exposant d’intimes bijoux, elle ne ressentait ni gêne ni désir de se soustraire à cet état. Au contraire, une certaine sérénité. Etait-ce cela la soumission dont on la disait porteuse ? Le plaisir de l’abandon à une autorité bienveillante et rassurante ? Le don à celle-ci de la clé de cette porte que l’on n’ose pas franchir ? Mais alors pourquoi pas à Nicolas ? Elle n’eût pas envie d’approfondir cette ambiguïté à ce moment. Juste le savourer. Elle pensa à ces visages sereins du « Déjeuner sur l’herbe ».
Antoine à ce moment proposa un autre verre et s‘apprêtait à tendre la main vers le seau.
- Je vous en prie, c’est maintenant à cette chérie d’assumer son rôle. Ôtes ta jupe et ton corsage, Caroline, et va chercher sur la console de l’entrée ce que j’ai préparé pour ton effectuer ton service. Et dépêche-toi !
Même si elle fut un peu surprise de la tournure que prenait cette rencontre, elle n’en fut pas déstabilisée, plutôt agréablement troublée.
Elle ôta ses vêtements devant eux avec lenteur, roula son soutien-gorge sous ses globes laiteux, les faisant saillir encore un peu plus, puis se dirigea vers la console. Un collier de cuir, une laisse en métal et deux paires de menottes l’y attendaient.
- Apportes-les nous !
- Voulez-vous les poser vous-même à notre accorte soubrette ?
- Avec grand plaisir, chère amie.
Il prit tout d’abord une première paire de menottes reliées par une chaîne assez longue et la referma sur ses chevilles. Il fit de même avec ses poignets. Puis il lui demanda de s’agenouiller afin de lui poser le collier et y fixer la laisse.
- N’est elle pas superbe ainsi ?
- Je dirais même faite pour les porter ! Une créature de fantasme.
- Tu vas aller dans la cuisine. J’ai tout fait livrer par le traiteur. Tu nous serviras, c’est tout. Et tant qu’Antoine est là, pour toi, c’est Monsieur et Madame. Compris ?
Tous deux se levèrent et s’installèrent dans la salle à manger, la table déjà dressée. Caroline comprit en les suivant que les entraves de ses chevilles limitaient grandement ses déplacements tout en provoquant une démarche faite de petits pas hautement suggestifs pour ceux qui l’observaient.
Chapitre 6 Bernadette photo.jpg
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glissements a liké
#69548
Bonjour
D'abord merci à vous tous pour l'intérêt que vous portez aux aventures (réelles) de caroline.
Vous êtes déjà nombreux à participer au jeu du "cadeau" et elle (et moi aussi) attends avec impatience de savoir qui sera l'heureux gagnant...(ou gagnante..)
amicalement
Gabriel
#72277
Bonjour merci à tous et je pense que l'un de vous va très bientôt être l'heureux bénéficiaire du "Cadeau"
Voilà un nouvel extrait pour vous
amicalement
En très peu de temps, ses Pygmalions firent preuve envers Caroline d’une expérience et d’une imagination insoupçonnée. Chaque rencontre était l’occasion d’une nouvelle découverte, de nouveaux émois, de sensations et situations inconnues, de nouvelles perversions, comme disaient les autres. Une sexualité qui se nourrissait de bien d’autres choses que de simples caresses, que de contacts d’épidermes, que de pénétrations qui n’en étaient que les termes. Les aboutissements de ces mises en condition qui en décuplaient les effets.
Même s’il ne vivait ses aventures que par procuration, Nicolas était l’ultime bénéficiaire des charmes exacerbés de cette femme qui lui revenait toujours, sans qu’il éprouve la moindre inquiétude à ce sujet. De plus, qu’elle comme lui ignorassent généralement ce qui l’attendait, ne faisait qu’alimenter avec délices son imaginaire jusqu'à son retour. Et ce n’était pas le moindre de ses plaisirs.
Ainsi, ils la conduisirent, un soir près de la porte Dauphine en une tenue qui prêtait peu à confusion, là où stationnaient des poids lourds en quête d’une bonne fortune. Pas une professionnelle, mais une femme cherchant la virilité et la rudesse présumée des routiers pour assouvir ses pulsions. Il y avait le long du tunnel cinq ou six camions. Ils se garèrent derrière eux. Quelques-uns de leurs chauffeurs discutaient sur le trottoir et les virent tous trois descendre de la voiture.
Bernadette l’envoya frapper à la porte du premier de la file. Cette délicieuse angoisse l’étreignait. Le plaisir de la transgression imposée. En cuissardes mini jupe et chemisier de tulle ouvert sur ses seins, elle attirait le regard, mais aussi les questions.
L’homme se pencha par la vitre.
- Tu es superbe chérie…Mais c’est combien ?
- C’est gratuit…
- Vrai ?
- Mais oui je vous assure…
L’homme jeta un regard alentour afin de vérifier si ce n’était pas une sorte de traquenard. Rassuré il ouvrit la portière pour la faire monter. En short et chaussettes dans des sandales de cuir, un tee-shirt qui moulait un ventre plus que rebondi, la sensualité n’était pas vraiment au rendez-vous. Mais ce n’était justement pas ce qu’on l’envoyait découvrir. L’homme était aimable autant que rustre et pourtant un peu intimidé.
Ce fut elle qui glissa la main dans son short, le long de ses cuisses velues jusqu’à son sexe.
Il tira alors les rideaux de la cabine, l’entraîna sur la couchette, la mit à genoux, lui exhiba un sexe bandé qu’elle se mit aussitôt à sucer avec avidité, sans pourtant en éprouver de désir. Elle sortit de son soutien-gorge un des préservatifs que lui avait remis Bernadette, puis d’elle-même se mit en levrette et releva sa mini jupe.
Elle sentit la bedaine taper contre ses fesses en même temps que son sexe entrait en elle. Il la besogna fermement et rapidement en lui répétant qu’elle était belle et « bonne »…
Quelques minutes plus tard, rapidement remaquillée, elle embrassait cet homme en le remerciant et s’apprêtait à rejoindre ses amis.
Il n’avait pu, malgré les dénégations de Caroline, s’empêcher de glisser un billet dans son décolleté. Ouvrant la porte, elle découvrit tous les chauffeurs réunis au pied des marches. Bernadette et Gérard à leurs côtés.
- Ces Messieurs t’attendaient ! lui dit-elle.
Caroline un peu décontenancée allait rétorquer qu’il n’avait été question que d’un seul, mais n’en eut pas le temps.
- C’est un quart d’heure avec chacun. Tu verras, ils sont charmants, ne t’inquiètes pas ! Nous allons prendre un verre en t’attendant. D’ici une heure et demie, nous revenons te chercher.
Sans lui laisser le temps de dire un mot, ils s’éloignèrent, et elle vit l’Audi noire faire demi-tour.
Elle en dénombra six. On lui prit la main. Elle monta à nouveau quelques marches. Le rideau fut tiré. Elle suça, se fit prendre, redescendit, un autre homme l’attendait, elle lui souriait et le suivait.
Lorsque ce fut Gérard qui apparut, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas fait le compte et que si un autre s’était présenté, elle aurait continué. Ce ne fut qu’une fois dans la voiture qu’elle réalisa vraiment ce qu’elle venait de faire. Après quelques reproches pour la forme, le ton devient enjoué au fil des descriptions croustillantes que leur faisait Caroline. Incités par le cadeau dont l’avait gratifié le premier, et peut être aussi pour la remercier de son application, tous avaient spontanément suivi. Les billets dépassaient de son corsage. La somme était modeste, mais tous trois décidèrent d’appeler Nicolas et d’aller ensemble la flamber autour d’un dernier verre.


Image
#76433
Voilà un extrait de la suite
amicalement
venez vite jouer au cadeau...
Le hasard offrait aussi l’opportunité de chasser une « proie » de choix identifiée par l’un ou l’autre, le plus souvent une des nombreuses personnalités qui fréquentaient le lieu.
Un célèbre présentateur du 20h fut l’une d’entre elles.
Accoudé près du au bar, un verre à la main il semblait seul. Simple spectateur de sages allées et venues à cet endroit.
- C’est lui tu crois ?
- Oui . Tu veux le « vamper » ?
- Non mais lui faire une gâterie, ça ne me déplairait pas… Je ne le regarderais plus de la même façon dans l’écran ensuite…
- Rien d’autre ?
- On verra…
Caroline souriait. Il adorait cette expression gourmande.
La taille serrée dans un corset rouge et noir qui faisait jaillir sa poitrine, une courte jupe plissée sur ses bas noirs, elle s’installa à ses côtés, lui adressant juste un salut poli. Imaginant aisément qu’il devait être perpétuellement assailli d’importuns et d’importunes, elle respecta la règle de l’endroit et fit le pari de laisser son charme agir. Quelques minutes suffirent pour le gagner, et ce fut lui qui l’aborda. Nicolas les regardait parler comme de vieilles connaissances.
Sa main caressa rapidement ses bas, mais soucieux d’une certaine discrétion, il l’invita à poursuivre en s’exposant moins aux regards. Ce fut elle qui l’entraîna vers la salle vers la salle de billard. Lui, adossé au mur, Caroline agenouillée, le suçait avec une application toute particulière, le branlant de ses fins doigts aux ongles vermillons. Bien plus qu’à l’accoutumée, elle levait les yeux pour vérifier l’efficacité de son ouvrage. Il fixait le plafond pour ne pas croiser les regards environnants, tout en caressant ses fins cheveux blonds. Au début presque détaché et sans réaction apparente, il l’entraîna soudain vers la table, se hissa légèrement sur le bord, s’assit, et s’arc bouta sur ses coudes.
Lui glissant quelques mots à l’oreille, Caroline dégagea ses seins et en fit un fourreau qu’elle referma de ses mains autour du sexe érigé. D’une taille plutôt modeste, il dépassait à peine des deux globes. Avec une technique accomplie, elle commença un lent mouvement de va et vient redoutablement efficace. Il empoignait maintenant sa chevelure sans plus aucune retenue, pour la ployer contre lui. Peu enclin au port du préservatif, il semblait très adepte de ce type de caresse sans risque mais qui nécessitait une partenaires dotée de généreux appâts. Soucieuse de lui laisser un marquant souvenir, Caroline ne relâchait pas la pression de ses globes et sa langue tendue parvenait même à caresser son gland dès qu’il parvenait à bonne distance.
Protégé par l’obscurité, il ne s’encombrait plus d’une quelconque contenance et l’abreuvait de termes plus crus les uns que les autres ce qui semblait décupler son ardeur, et auxquels elle répondait à l’unisson.
Bien plus que sexuel, c’était le plaisir du défi qui la transcendait presque. Même semblant se laisser diriger, c’était cependant elle qui en réalité conduisait l’étreinte et l’incitait à se départir de toute réserve.
Il se répandit abondamment sur son cou et ses globes, tandis qu’elle l’encourageait à « tout lui donner», ce dont il ne se priva pas, agrémentant sa jouissance de sonores « salope » et de « chienne » qui l’emplissaient d’orgueil.
Ce fut elle qui déposa un bref baiser sur ses lèvres en lui glissant à l’oreille un peu par flatterie qu’il avait une belle queue.
chapitre 7 SP CLEO.jpg
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glissements a liké
#83625
Bonjour à tous

Le récit de nos aventures se poursuit...
Nous en sommes au 9e chapitre de Swinging Paris
vous trouverez le lien dans les messages un peu plus haut

Voici un extrait du chapitre 8 Joe et Susan , qui furent nos complices
Amicalement
et n'oubliez pas de jouer au "Cadeau" c'est gratuit et c'est un merveilleux cadeau
....
Caroline étouffa une plainte dans l’oreiller qu’elle serra à pleins bras, et comme un chat en colère, arrondit son dos. D’un simple toucher de l’index au creux des reins, Susan lui fit comprendre qu’elle devait reprendre la pose. Alternant caresses et claquements, elle conduisit rapidement son fessier à une couleur cramoisie. Sans vraiment se rebeller, Caroline s’enquérait régulièrement de savoir si sa punition serait bientôt terminée. Susan l’éconduisait avec douceur, prenant le temps d’allumer une cigarette et d’échanger quelques mots avec les deux hommes ravis et même ragaillardis par le spectacle.
Avec ironie, elle leur dit que cela commençait à lui faire mal aux mains et se leva pour ouvrir un tiroir et en extraire de fins gants de chevreau rouge.
- Ce sera parfait avec ça…
Caroline tourna son visage vers elle.
- Non pas ça … C’est fini, s’il te plait
- Tais toi chérie, il ne fallait pas jouer et pas perdre ! Et puis ça ne te déplait pas tant que ça.
Glissant un doigt dans son intimité, elle la fit se trahir en exhibant le cuir brillant.
-Vous voyez ?
Caroline, vaincue, se cambra à nouveau tandis que Susan reprenait son œuvre. La sonnette retentit alors. Sans précipitation, Joe invita Nicolas à passer un peignoir et à s’installer dans un canapé tandis qu’il allait ouvrir la porte.
Les deux femmes demeuraient sur le lit dans les mêmes tenues et les mêmes positions respectives. Caroline avait eu une réaction instinctive de se relever, mais Susan l’en avait empêché. Usant de son seul refuge, telle une autruche, elle cacha son visage au plus profond des oreillers. Le serveur, un plaisant jeune homme blond, était maintenant au milieu de la chambre.
Dès la porte du couloir franchie, le spectacle qui s’offrait à lui sur le lit, attira évidemment son regard, mais rompu aux étrangetés et aux caprices des clients de ce palace, il débuta son service sans afficher d’étonnement particulier. Après un « Bonsoir, Mesdames, Messieurs, » sans affectation ni hésitation, il dressa la table et détailla les multiples mets et boissons qu’avait commandés Joe, sans pour autant se priver de regards discrets et furtifs vers les occupantes du lit. Cela prit environ cinq minutes durant lesquelles, comme faisant fi de sa présence, Susan avait repris son ouvrage, profitant même du silence que s’imposait Caroline pour accentuer son ouvrage. Totalement à l’aise, elle échangeait même quelques mots avec le serveur, sur les détails de ce souper.
À sa demande et sans qu’elle quitte sa position, il lui servit une flûte de champagne et désignant avec détachement le corps qu’elle caressait, lui dit avec le plus parfait naturel que « madame » ne méritait pas encore de goûter à ce nectar.
- Cela vous convient-il ? Désirez vous autre chose ?
- Non c’est parfait, répondit Joe.
- Vous faites partie de l’équipe de nuit ?
- Oui Monsieur.
- Nous avions déjà eu à faire à un de vos collègues qui a été parfait. Vous êtes au courant ?
- A vrai dire je ne devrais pas l’être…
Joe sortit de son peignoir une liasse de billets, et en détailla un nombre plus que respectable avant de les lui tendre. Alors qu’il allait se retirer, Susan l’interpella.
- Venez là !
Il s’approcha à distance convenable.
- Travailler aussi tard mérite d’être bien récompensé, jeune homme…
- Mais Madame, votre mari a déjà été très généreux
- C’est son argent… Moi aussi je veux vous donner ma gratification.
- Nous devons rester à notre place, vous savez, la direction est assez stricte dans ce domaine.
- Ne vous inquiétez pas, nous sommes de très bon clients ici, on ne nous refuse rien et on ne nous fait pas de problèmes. Approchez vous !
Sa main gantée caressait doucement les fesses rougies, maintenant presque brûlantes
- Elle vous plait ?
- Elle est très belle, comme vous…
- Tu veux goûter à sa bouche ?
Il ne voyait pas son visage mais les cheveux blonds qui jaillissaient du coton blanc lui laissaient imaginer une beauté à la mesure du reste de ce corps exposé et dont il avait pu constater la docilité.
- Oui Madame, ce serait avec plaisir …
Caroline entendait le moindre de leurs mots. L’anonymat qu’elle avait voulu conserver, était maintenant vain. Lorsque d’un tapotement, Susan lui fit comprendre qu’elle devait se relever, Caroline s’exécuta aussitôt et se retrouva face à une verge bandée de belle dimension, émergeant de sa braguette entrouverte.
Sans relever le visage pour voir qui était celui à qui elle allait donner du plaisir, sa bouche fit un fourreau autour de ce sexe et commença à glisser autour de sa hampe.
photo chapitre8 SP Joe Susan.jpg
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#101817
bonsoir à vous
Caroline en compagnie de ses nouveaux amis va faire la connaissance très intime de
Withney Houston et de son mari lors d'une très chaude croisière
vous pourrez lire la suite sur le site de Swinging
Bonne lecture

A peine était-elle prête, qu’on frappa, et qu’une voix presque rauque demanda en anglais si l’on pouvait entrer. Susan ouvrit, et tous deux étaient là. Elle referma aussitôt derrière eux. Les deux femmes s’entretirent un instant à voix basse, tandis que Bobby s’était vautré dans un fauteuil.
Susan sortit de son sac une petite fiole emplie d’une poudre blanche dont elle fit un cône sur le miroir de son poudrier avant de le diviser en quatre fines lignes. Elle les présenta à ses hôtes, avant d’en sniffer une, elle-même, et de s’approcher de Caroline.
- Elle me dit qu’il a un peu forcé sur l’alcool et que ça lui permettra de sa remettre en forme … Tu en veux ?
- Je n’en ai jamais pris. Et je suis en forme moi …
- Pour la suite, ça pourrait t’être utile …
Autant par désir de ne pas passer pour une non-initiée, que pour peut-être amplifier l’excitation qui était déjà la sienne, elle les imita.
Bobby s’approcha. Cette fois il ne portait plus que son pantalon de cuir, et exposait un torse nu et musclé, quadrillé de saillantes tablettes de chocolat. Etait-ce déjà l’effet de ce qu’elle venait d’absorber, ou le simple fait que son cadeau était encore plus désirable qu’elle ne l’avait imaginé, mais elle n’aspirait plus qu’à assouvir ses sens. Elle caressa lentement ce corps qui lui faisait face, encore sans réaction.
Whitney s’assit auprès d’elle, curieuse de ces parures qui l’intriguaient. Ses très longs ongles rouges qui terminaient de fins doigts d’ébène, jouaient à les faire tinter et les écartaient comme pour en tester la résistance. Sans s’arrêter elle s’approcha de sa bouche et posa un chaste baiser.
- Tu es superbe petite frenchie chérie… Je ne suis pas très « filles » mais j’aurais bien joué avec toi si je ne devais pas m’occuper de mes invités …Une autre fois peut être …
Elle rejoignit Susan dans un canapé et se mit à discuter. Bobby semblait avoir retrouvé toute sa vitalité et son arrogance.
- Alors bébé, comme ça tu voulais savoir ce que ça fait de sucer la bite d’une star…
- Oui…
- Alors mets-toi en position et tu vas voir pourquoi je plais aux filles…
Caroline se mit à quatre pattes, le visage à la bonne hauteur. Il ne fit que glisser son zip, et en fit émerger une verge qui se déplia comme un serpent endormi, tandis que de l’autre main, il dégageait de volumineuses bourses.
- C’est de la queue ça, bébé … ? Allez montre moi comment tu sais t’en occuper…
Très vite le serpent se réveilla et en moins d’une minute, elle n’en faisait plus le tour de sa main. Circoncis, terminé par un épais gland rosé qui contrastait d’avec cette hampe très brune. Elle semblait ne pas vouloir arrêter d’augmenter de volume et de taille. Caroline titillait le méat du bout de sa langue avec un délice qu’il semblait partager.
Le regard levé vers lui elle épiait la moindre de ses réactions. Peut-être était-ce la plus grosse verge qu’elle ait jamais eu à satisfaire. Elle eut d’un coup un peu peur de ne pas réussir à l’accueillir entre ses lèvres. D’autant qu’il ne semblait pas vouloir se satisfaire d’une simple caresse. Elle s’en rendit d’autant mieux compte lorsqu’il prit fermement sa chevelure à deux mains afin qu’elle passe aux choses sérieuses.
- Allez, « Big boobs », c’est bien comme ça que t’appelle Susan ?
- Oui, c’est vrai.
- Tu voulais me sucer non ? Alors vas-y et à fond…
Le gland passa la barrière de ses lèvres avec moins de difficulté qu’elle ne le redoutait , puis la verge glissa lentement jusqu’à sa gorge. Elle réprima un haut-le-coeur et un hoquètement quand il buta au fond. Elle n’en était pas une habituée, mais voulut lui monter qu’elle était capable de lui offrir une gorge profonde.
Chapitre 10SP Croisière.jpg
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#123193
Bonjour à vous tous amis cocus et candaulistes

Voilà le chapitre consacré à Damien
Je ne vais pas être modeste excusez m'en, mais je suis sincère.
Je pense en relisant ces pages qu'elles relatent au plus profond tous ces sentiments
obscurs et antagonistes qui nous habitent dans notre quête.
Elles sont empreintes à la fois de la sincérité et de la naïveté qui nous dominent lorsque nous désirons mettre en jeu et risquer ce que nous avons de plus précieux.
Elles décrivent, toujours de façon véridique, les pulsions et les tourments qui sont les nôtres lorsque le jeu que nous croyons assumer, nous échappe.
Ce sont aussi les faiblesses que nous devons avouer et reconnaitre lorsque le trouble va au delà de ces que nous avions imaginé et que nous nous croyions capable d'accepter.
Pour la première fois ma femme avait comme je le désirais, comme elle en avait envie, un amant. Pas un simple partenaire sexuel comme elle en avait eu de très nombreux.
Un amant qui était devenu mon complice mais surtout qui la désirait, qu'elle désirait, qui lui faisait superbement l'amour, et dont elle était follement amoureuse sans pour autant moins m'aimer.
C'était ce dont j'avais rêvé...
Mais cette réalité est moins facile à vivre que dans les rêves.

J'insère ici quelques lignes de ce chapitre, mais sans prosélytisme et pour tous ceux qui sont animés par cette pulsions de cocufiage ou de candaulisme, peu importe le mot je vous invite à lire cette part intense de notre parcours amoureux, que vous ayez franchi le pas ou que vous désiriez le franchir, je pense que vous découvrirez ou partagerez les émois qui se produisent au delà du simple plaisir sexuel.
Une dernière chose. C'est un jeu qui se joue a deux. Si vous désirez franchir le pas, faites lire ces lignes à votre compagne ou votre épouse. Cela vous facilitera les choses à tous les deux. Pour ouvrir ou non la boite de Pandore

Amicalement à tous et j'aurais plaisir à vos réactions sur ce chapitre qui fut aussi un chapitre de notre vie.
En voilà presque le début.

Il ne cessa de tenir sa taille lorsque leurs bouches se désunirent. Damien semblait à l’aise. Peut-être parce qu’il avait longuement parlé au préalable avec Nicolas et qu’il savait que sa présence répondait au désir commun du couple qui le recevait. Un désir profond et partagé. Leur accueil le lui avait confirmé. Lettré et anglo-saxon, il évoqua alors la proximité de leur quête avec l’ambiguïté de la relation entre Scott Fizgerald et Zelda.
Caroline l’écoutait, blottie contre lui, souriant à Nicolas, comme un remerciement d’avoir entrouvert cette nouvelle porte. Ce fut elle qui prit l’initiative de rompre la virtualité qui s’était installée. Se levant, elle prit Damien par la main.
- On va aller faire connaissance avec Damien, mon chéri !
- On ?...
- Je veux dire lui et moi … c’est ce qui est convenu , non ?
- Oui, oui, bien sûr.
Il revenait d’un coup à la réalité. Elle s’approcha de lui , posa un baiser et lui murmura, mutine.
- On t’appelle dès qu’on a besoin de toi, mon chéri…
Ils se dirigèrent aussitôt vers la chambre et il entendit la porte claquer.
Il était détendu et pourtant troublé comme rarement il l’avait été. Même si c’était lui qui avait seul préparé cette rencontre, l’attrait que provoquait Damien sur elle était indéniable et, à cet instant, elle n’était plus comme auparavant l’objet complice de ses fantasmes, de leurs fantasmes. C’était un plaisir qu’elle voulait déguster seule, cette porte fermée le lui confirmait.
Il ressentit cet étrange et délicieux sentiment de jalousie qu’il n’avait plus éprouvé à ce point depuis la conquête de Caroline, puis ses premiers abandons sexuels à d’autres que lui. Il savait qu’à cet instant c’était plus que son corps qu’elle était en train de lui offrir.
Il se retint d’aller s’approcher de la porte, et cela ne fit qu’alimenter un peu plus sa machine à fantasme et cette émotion oubliée. Il lui était cependant difficile de fixer son attention sur autre chose que ce qui se déroulait à quelques mètres de lui. Il mit Chet Baker sur la platine. « My Funny Valentine »
Plus d’une heure passa avant que son portable ne se mette à vibrer.
- Tu viens nous rejoindre mon chéri ?...
Sa voix était douce, presque révélatrice d’une plénitude des sens et de l’esprit. Il se contint pour ne pas les rejoindre trop vite et adopter la décontraction qui se devait être la sienne.
Dans une semi pénombre, ils étaient allongés sur le lit. Les draps froissés trahissaient la fougue des ébats qu’ils avaient accueillis. Côte à côte, Damien nu, fumant une cigarette en fixant le plafond, Caroline, encore vêtue de son porte-jarretelles, ses bas noirs et ses escarpins, ses seins lourds et gonflés, caressant lentement le membre au repos.
Deux amants après l’amour. Beaux et repus de plaisir. C’était l’évidence qui s’offrait à ses yeux. Pas deux partenaires qui avaient baisé. Ce qui se dégageait était tout autre. Sans interrompre sa caresse, elle se tourna vers lui en souriant.
- Tu nous apportes à boire, chéri et puis tu viens nous rejoindre ?
Un peu hypnotisé, il ne réagit pas immédiatement, mais quelques minutes plus tard il était de retour avec les verres.
- Viens vite !
Le sexe de Damien avait maintenant repris toute sa vigueur, et il s’aperçut qu’il ne s était nullement vanté lorsqu’il lui avait évoqué une virilité que ses partenaires remarquaient. Ce n’était pas les blacks, mais il était cependant bien plus long et volumineux que le sien.
Paradoxalement cela ne fit qu’amplifier son excitation. Il n’y avait pas de satisfaction à se mesurer à plus faible que soi. Là tout était réuni. Jeune, beau, intelligent, tendre, et maintenant viril, c’était une concurrence redoutable qu’il devait affronter.
Nu, il se glissa à la gauche de Caroline, et ses mains furent aussitôt partout sur son corps. Cette fois, elle branlait les deux sexes ensemble. Nicolas commença par mordiller ses tétons puis remonta lentement jusqu'à sa bouche. Le baiser qu’elle lui offrit fut long, profond, sensuel comme il ne l’avait été depuis longtemps. Son sexe lui faisait presque mal tant il durcissait encore et encore.
- Je t’aime, dit elle en reprenant haleine
Sans lâcher sa virilité, presque brandie comme un trophée, ce fut pourtant vers Damien qu’elle se tourna et dont elle engloutit le sexe.
Etait-elle consciente de la jalousie qu’elle provoquait en lui préférant spontanément son amant alors qu’il venait de les rejoindre ? Ce couple qui faisait l’amour depuis plus d’un heure. Qui affichait son épanouissement et auprès duquel il apparaissait comme une pièce rapportée.
Il savait que non. Qu’elle se laissait seulement aller à la pulsion de l’instant, à son désir, à ce qu’il avait lui-même voulu lui offrir. Elle qui semblait si mesurée aux yeux des autres, recelait une personnalité dont la peur, la mesure, la culpabilité étaient exemptes. Jamais ou presque elle ne provoquait les situations que Nicolas construisait ou facilitait. Mais, le pas franchi, si elle y trouvait une satisfaction, parfois ignorée, la simple idée de limite n’existait plus.

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Photo SP CHAPITREXII DAMIEN.jpg
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