- 02 avr. 2010, 09:15
#30039
Bonjour merci a tous de vos messages et je suis heureux que vous preniez plaisir aux aventures de Catherine
Pour vous , Un petit extrait de sa progression
Amicalement
Il était environ trois heures quand ils quittèrent la boîte pour rejoindre son hôtel qui n'était qu'à quelques centaines de mètres de là, avenue Georges V. Le hall du palace était pratiquement désert. Le concierge salua Georges tout en jetant un regard discret à Catherine, peut-être parce qu'elle lui plaisait, ou peut-être simplement parce que c'était une nouvelle. Il ne devait pas y avoir d'ambiguïté pour lui sur le fait qu'elle était une putain de dit-elle. La voir monter seule avec Georges, suivis du chauffeur et de Franck, semblait clair.
Au cinquième étage, il ouvrit la porte d’une vaste suite richement meublée d’un style assez baroque. Deux portes de chambres s'ouvraient sur le salon dans lequel ils étaient entrés. Catherine s'étonna que le chauffeur et Franck restent avec eux mais Georges ne lui laissa pas le temps de se perdre en conjectures.
- Enlève ton imper !
- Vous la préparez, je vais prendre une douche.
Il disparut dans une des chambres, tandis que Franck posait la mallette sur une table basse et que le chauffeur donnait l'ordre à Catherine d'ôter sa guêpière et de se mettre à genoux au milieu de la pièce, mains croisées derrière la nuque et de regarder devant elle. Elle obéit, mais en défaisant ses jarretelles elle fit remarquer que ses bas ne tiendraient plus.
- Ne t'occupe pas de ça et tais-toi, dit Franck d’une voix cinglante.
Elle se mit dans la position qu'on lui avait ordonnée. Elle se tenait immobile le torse projeté en avant par la position de ses bras. Elle vit le chauffeur s'approcher d'elle tenant une sorte de serre taille en cuir, qu'il avait sorti d'un placard. De gros anneaux en ornaient le pourtour. Elle vit que contrairement aux corsets qu'il lui arrivait de porter, la fermeture de celui-ci était assurée à l'arrière par deux plaques de métal qui devaient se recouvrir.
- Relèves-toi !
Il posa cette sorte de large ceinture autour de sa taille, puis Catherine entendit les deux pans s'enclencher. Elle la serrait modérément et semblait plutôt confortable. Mais après quelques secondes, elle entendit un cliquetis. L'homme était passé derrière elle et faisait tourner ce qu'elle imaginait être une clé. Les pans se rapprochèrent progressivement. La tension devenait de plus en plus forte. Catherine comprit que contrairement à ce qu'elle avait pensé au début, ce devait être bien plus contraignant qu'elle ne l’avait imaginé.
L'homme continuait son œuvre et sa taille commençait à s’étrangler. Le mécanisme était fait de telle sorte, que la clé paraissait tourner sans effort, tandis que ceinture créait une terrible pression. Son souffle devenait plus court, mais l’homme continuait.
- Monsieur Georges aime que les filles soient fines. Encore un peu et ça va aller.
Lorsqu'il cessa, sa taille avait pratiquement diminué de moitié. Le corset semblait presque incrusté en elle. Toujours les mains à la nuque, ce fut l'homme qui tendit les six jarretelles et les attacha à ses bas. Franck s'approcha alors. Du pied, il lui fit écarter les jambes puis posa à ses chevilles et ses poignets de larges bracelets de cuir dotés d'anneaux et de mousquetons, qu'il verrouilla à l'aide de petits cadenas. Il ferma enfin autour de son cou un collier clouté, puis y accrocha une laisse à lourds maillons de métal.
- On va te décorer un peu maintenant !
Elle le vit prendre dans la mallette, des poids de différentes tailles mais dont déjà les plus petits lui semblaient imposants. Malgré son appréhension, Catherine remarqua que c'étaient de beaux bijoux, dorés et gravés d'initiales, certainement celles de Georges. À chacun des anneaux de ses seins, il accrocha deux sphères de la taille d’une bille de flipper. Catherine grimaça lorsqu'il les laissa pendre. Elles étaient nettement plus lourdes que tout ce qu'elle avait supporté auparavant.
Aux anneaux de ses lèvres, il posa deux cylindres, eux aussi très massifs. Elle ne pu réprimer un gémissement quand elle les sentit se balancer entre ses cuisses ouvertes.
- Bouge ton cul et tes nichons pour voir ce que ça donne…
Catherine lui obéit. Elle se mordait les lèvres pour ne pas montrer la douleur qu'il l'obligeait à s'infliger elle-même. Tandis qu'elle continuait à onduler ainsi, il posa une chaîne entre les anneaux de ses chevilles.
- Ça te plait salope?
- Oui monsieur.
- Remets toi à genoux, et garde les fesses relevées pour que les poids ne touchent pas par terre.
Une fois en position, Il relia chacun de ses poignets à deux des anneaux de son corset, pratiquement au-dessus de ses fesses.
Elle était maintenant devant ces deux hommes, encore inconnus d'elle quelques heures auparavant, à genoux, cuisses largement écartées, chevilles enchaînées, seins et lèvres intimes étirés par ses poids, les bras immobilisés le long du corps, la taille totalement étranglée.
Son sentiment était étrange. Il mêlait fierté et humiliation. Elle vit Franck déposer sur une table plusieurs objets, et notamment un fouet qui était très semblable à celui de Marina. Le chauffeur, quant à lui, installait sur un pied une petite caméra vidéo qu'il orientait et réglait sur Catherine. Son image apparut sur deux téléviseurs du salon. L’un était orienté vers le canapé qui lui faisait face, l'autre vers elle. L'attente lui faisait encore plus intensément ressentir les contraintes qui lui étaient imposées, mais elle mettait un point d'honneur à demeurer immobile. Elle vit enfin Georges se profiler dans l'encadrement de la porte de la chambre. Il était nu sous un peignoir en soie rouge et noir, largement ouvert. Elle remarqua que son sexe était maintenant rasé et que cela le rendait plus épais, même s'il était encore au repos. Il s'affala dans le canapé face à elle. Il jeta un coup d'œil aux écrans.
- Tu te plais ?
- Oui Monsieur.
- Tu n'as pas choisi ce qu'il y a de plus facile pour débuter ta carrière de pute, ma chérie, dit-il en souriant. Mais c'est ce que tu voulais non ?
- Oui Monsieur. Elle répondait presque mécaniquement.
Franck posa devant lui un verre et une bouteille de whisky.
- Sergio, laisse nous maintenant. Tu peux te faire sucer avant de partir si tu veux, mais fait vite.
- Merci monsieur. J'enregistre?
- Oui tu peux y aller, elle n'est pas maquée et ce n'est pas son mari qui nous posera des problèmes. Ça lui fera des souvenirs et ça nous sera sûrement utile.
Il mit un disque dans un graveur puis enclencha une touche.
Il s'approcha d'elle, ouvrit sa braguette et en exhiba un sexe circoncis qui était déjà en érection. Sa hampe était pratiquement tatouée sur toute la longueur et son gland, percé d'un anneau d'acier épais qui entrait par le méat et ressortait au-dessous du frein. Il prit la tête de Catherine à deux mains, la plaqua contre lui et se mit à lui baiser la bouche. Elle se contentait de faire un anneau de ses lèvres autour de sa verge et c'est lui qui la pénétrait jusqu'à venir buter au fond de sa gorge. Les poids de ses seins se rappelaient cruellement à elle. Cela ne dura pas plus d'une minute ou deux. Il maintint avec force ses lèvres contre ses bourses et se répandit immobile dans sa bouche.
- Avale tout !
Ce furent les seuls mots qu'il prononça. Il salua Georges et quitta la pièce.