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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par cpl75marichaste
#20755
Chers amis et fervents de ce site

Comme vous, j’en suis membre depuis longtemps de ce site des « cocus magnifiques »…
Je le suis moi aussi depuis plus quinze ans d’un femme superbe que j’ai incitée au début à découvrir de nouveaux plaisirs avec d’autres partenaires.
Et c’est devenu rapidement pour elle très naturel. Nous nous aimons toujours passionnément, mais c’est avec d’autres qu’elle a vécu ses plaisirs, ses sensations et ses expériences les plus intenses pour notre plus grand plaisir commun.
L’année dernière j’avais publié un livre « Swinging Paris » qui racontait notre parcours sexuel et amoureux.
Mais cette fois, même si cela s’inspire sur certains points de notre propre vécu j’ai décidé de publier un roman érotique qui s’intitule la « Tentation de Catherine » sous forme numérique. Pour que chacun et chacune puisse y avoir accès selon ses désirs et avec un très faible coût il est publié sous forme de chapitres hebdomadaires, comme les feuilletons.
Je l’ai installé sur un site nommé http://tentationdecatherine.wifeo.com
Vous pourrez en trouver un premier aperçu et j’espère que cela vous donnera envie d’aller plus loin…
Amicalement
par candaule31
#20977
A vous tous, si j'ai un conseil à donner et un seul !!!
lisez "SWINGING PARIS "
C'est un livre que j'ai trouvé trés créatif, avec un style trés agréable à lire.
En gros un trés bon moment
BRAVO encore à toi cple75marichaste
#21412
bonjour
merci
J'espère que la Tentation de Catherine te plaira aussi
c'est un roman mais basé sur pas mal de vécu...
Pour Swinging Paris, oui c'est en effet du vécu.... un parcours de plaisirs et d'émotions

amicalement
#25724
Le troisième chapitre de la Tentation de Catherine est en ligne ....
Je voulais remercier les plus de 4700 lecteurs qui prennent plaisir a suivre les aventures de Catherine
Vous pouvez maintenant laisser des messages si vous en avez envie

Amicalement
pervertoy a liké
#30039
Bonjour merci a tous de vos messages et je suis heureux que vous preniez plaisir aux aventures de Catherine
Pour vous , Un petit extrait de sa progression
Amicalement
Il était environ trois heures quand ils quittèrent la boîte pour rejoindre son hôtel qui n'était qu'à quelques centaines de mètres de là, avenue Georges V. Le hall du palace était pratiquement désert. Le concierge salua Georges tout en jetant un regard discret à Catherine, peut-être parce qu'elle lui plaisait, ou peut-être simplement parce que c'était une nouvelle. Il ne devait pas y avoir d'ambiguïté pour lui sur le fait qu'elle était une putain de dit-elle. La voir monter seule avec Georges, suivis du chauffeur et de Franck, semblait clair.
Au cinquième étage, il ouvrit la porte d’une vaste suite richement meublée d’un style assez baroque. Deux portes de chambres s'ouvraient sur le salon dans lequel ils étaient entrés. Catherine s'étonna que le chauffeur et Franck restent avec eux mais Georges ne lui laissa pas le temps de se perdre en conjectures.
- Enlève ton imper !
- Vous la préparez, je vais prendre une douche.
Il disparut dans une des chambres, tandis que Franck posait la mallette sur une table basse et que le chauffeur donnait l'ordre à Catherine d'ôter sa guêpière et de se mettre à genoux au milieu de la pièce, mains croisées derrière la nuque et de regarder devant elle. Elle obéit, mais en défaisant ses jarretelles elle fit remarquer que ses bas ne tiendraient plus.
- Ne t'occupe pas de ça et tais-toi, dit Franck d’une voix cinglante.
Elle se mit dans la position qu'on lui avait ordonnée. Elle se tenait immobile le torse projeté en avant par la position de ses bras. Elle vit le chauffeur s'approcher d'elle tenant une sorte de serre taille en cuir, qu'il avait sorti d'un placard. De gros anneaux en ornaient le pourtour. Elle vit que contrairement aux corsets qu'il lui arrivait de porter, la fermeture de celui-ci était assurée à l'arrière par deux plaques de métal qui devaient se recouvrir.
- Relèves-toi !
Il posa cette sorte de large ceinture autour de sa taille, puis Catherine entendit les deux pans s'enclencher. Elle la serrait modérément et semblait plutôt confortable. Mais après quelques secondes, elle entendit un cliquetis. L'homme était passé derrière elle et faisait tourner ce qu'elle imaginait être une clé. Les pans se rapprochèrent progressivement. La tension devenait de plus en plus forte. Catherine comprit que contrairement à ce qu'elle avait pensé au début, ce devait être bien plus contraignant qu'elle ne l’avait imaginé.
L'homme continuait son œuvre et sa taille commençait à s’étrangler. Le mécanisme était fait de telle sorte, que la clé paraissait tourner sans effort, tandis que ceinture créait une terrible pression. Son souffle devenait plus court, mais l’homme continuait.
- Monsieur Georges aime que les filles soient fines. Encore un peu et ça va aller.
Lorsqu'il cessa, sa taille avait pratiquement diminué de moitié. Le corset semblait presque incrusté en elle. Toujours les mains à la nuque, ce fut l'homme qui tendit les six jarretelles et les attacha à ses bas. Franck s'approcha alors. Du pied, il lui fit écarter les jambes puis posa à ses chevilles et ses poignets de larges bracelets de cuir dotés d'anneaux et de mousquetons, qu'il verrouilla à l'aide de petits cadenas. Il ferma enfin autour de son cou un collier clouté, puis y accrocha une laisse à lourds maillons de métal.
- On va te décorer un peu maintenant !
Elle le vit prendre dans la mallette, des poids de différentes tailles mais dont déjà les plus petits lui semblaient imposants. Malgré son appréhension, Catherine remarqua que c'étaient de beaux bijoux, dorés et gravés d'initiales, certainement celles de Georges. À chacun des anneaux de ses seins, il accrocha deux sphères de la taille d’une bille de flipper. Catherine grimaça lorsqu'il les laissa pendre. Elles étaient nettement plus lourdes que tout ce qu'elle avait supporté auparavant.
Aux anneaux de ses lèvres, il posa deux cylindres, eux aussi très massifs. Elle ne pu réprimer un gémissement quand elle les sentit se balancer entre ses cuisses ouvertes.
- Bouge ton cul et tes nichons pour voir ce que ça donne…
Catherine lui obéit. Elle se mordait les lèvres pour ne pas montrer la douleur qu'il l'obligeait à s'infliger elle-même. Tandis qu'elle continuait à onduler ainsi, il posa une chaîne entre les anneaux de ses chevilles.
- Ça te plait salope?
- Oui monsieur.
- Remets toi à genoux, et garde les fesses relevées pour que les poids ne touchent pas par terre.
Une fois en position, Il relia chacun de ses poignets à deux des anneaux de son corset, pratiquement au-dessus de ses fesses.
Elle était maintenant devant ces deux hommes, encore inconnus d'elle quelques heures auparavant, à genoux, cuisses largement écartées, chevilles enchaînées, seins et lèvres intimes étirés par ses poids, les bras immobilisés le long du corps, la taille totalement étranglée.
Son sentiment était étrange. Il mêlait fierté et humiliation. Elle vit Franck déposer sur une table plusieurs objets, et notamment un fouet qui était très semblable à celui de Marina. Le chauffeur, quant à lui, installait sur un pied une petite caméra vidéo qu'il orientait et réglait sur Catherine. Son image apparut sur deux téléviseurs du salon. L’un était orienté vers le canapé qui lui faisait face, l'autre vers elle. L'attente lui faisait encore plus intensément ressentir les contraintes qui lui étaient imposées, mais elle mettait un point d'honneur à demeurer immobile. Elle vit enfin Georges se profiler dans l'encadrement de la porte de la chambre. Il était nu sous un peignoir en soie rouge et noir, largement ouvert. Elle remarqua que son sexe était maintenant rasé et que cela le rendait plus épais, même s'il était encore au repos. Il s'affala dans le canapé face à elle. Il jeta un coup d'œil aux écrans.
- Tu te plais ?
- Oui Monsieur.
- Tu n'as pas choisi ce qu'il y a de plus facile pour débuter ta carrière de pute, ma chérie, dit-il en souriant. Mais c'est ce que tu voulais non ?
- Oui Monsieur. Elle répondait presque mécaniquement.
Franck posa devant lui un verre et une bouteille de whisky.
- Sergio, laisse nous maintenant. Tu peux te faire sucer avant de partir si tu veux, mais fait vite.
- Merci monsieur. J'enregistre?
- Oui tu peux y aller, elle n'est pas maquée et ce n'est pas son mari qui nous posera des problèmes. Ça lui fera des souvenirs et ça nous sera sûrement utile.
Il mit un disque dans un graveur puis enclencha une touche.
Il s'approcha d'elle, ouvrit sa braguette et en exhiba un sexe circoncis qui était déjà en érection. Sa hampe était pratiquement tatouée sur toute la longueur et son gland, percé d'un anneau d'acier épais qui entrait par le méat et ressortait au-dessous du frein. Il prit la tête de Catherine à deux mains, la plaqua contre lui et se mit à lui baiser la bouche. Elle se contentait de faire un anneau de ses lèvres autour de sa verge et c'est lui qui la pénétrait jusqu'à venir buter au fond de sa gorge. Les poids de ses seins se rappelaient cruellement à elle. Cela ne dura pas plus d'une minute ou deux. Il maintint avec force ses lèvres contre ses bourses et se répandit immobile dans sa bouche.
- Avale tout !
Ce furent les seuls mots qu'il prononça. Il salua Georges et quitta la pièce.
ericmotard a liké
#30084
Bonjour a vous je vous avais laissé un MP l'avez vous reçu ?
J'espère que ça ne va pas trop loin ....
Car les choses commencent vraiment pour Catherine...
en confidence le parcours de mon épouse m'a beaucoup inspiré...
Le prochain chapitre est pour ce soir

Amicalement
#31482
Bonjour

Voilà . La vie de Catherine prend cette fois un tournant irréversible
les nouveaux chapitres sont en ligne

amicalement
Voila un extrait de ce pointe de non retour

Sonia entra enfin, portant sur les bras ce qui allait être sa tenue pour la soirée. Elle posa le tout face à Catherine et s’installa dans un fauteuil.
- Mets ça ! Ensuite on ira voir Madame.
Les vêtements lui semblaient bien moins sophistiqués qu’à l’habitude. Pourtant Marina lui avait parlé de gens importants.
Sonia la regardait s’habiller sans mot dire, mais avec une esquisse de sourire qui ne lui était pas habituelle. Plus elle découvrait la tenue qui lui avait été préparée, plus elle s’en étonnait. Elle avait d’abord passé un soutien-gorge quart seins en vinyle rouge aux bretelles en chaînettes dorées, puis un string fendu et un serre taille identiques. Les jarretelles, elles aussi en métal brillant, tendaient des bas à grosses résilles noires. Pour terminer le tout, de très hautes sandales à plateforme et à brides rouges, elles aussi. En faisant face au miroir, ce qu’elle découvrit était encore plus provocant et vulgaire qu’elle ne l’avait imaginé.
Tout à fait la tenue des mannequins en vitrine des sex-shops ou celle des filles des peep-show. Ainsi vêtue, Catherine donnait plus l’image d’une fille de la rue Saint Denis ou d’une tapineuse du bois de Boulogne, que celle des courtisanes haut de gamme que Marina avait l’habitude de proposer à ses clients, et qu’on lui avait appris à incarner.
Elle ne cachait rien de ses charmes, et cette tenue au contraire les exposait de manière la plus impudique qui soit. Elle avait envie de demander à Sonia le pourquoi de cette caricature de putain, mais elle savait qu’elle s’exposait à une réponse cinglante, et certainement peu amène. Ce fut au contraire elle qui prit la parole.
- Bouge un peu que je vois à quoi tu ressembles comme ça !
Outre le malaise qu’elle avait à assumer cette apparence, Catherine se déplaçait avec difficulté sur près de vingt centimètres de talons et de semelles compensées.
Elle ne faisait que de petit pas, arpentant la pièce sous l’oeil de Sonia qui la scrutait en silence. Cependant après quelques minutes, elle reprit assurance, et puisqu’on voulait qu’elle adopte ce rôle, elle commença à exagérer sa démarche ainsi que l’ondulation de ses fesses et son buste. On la voulait provocante, elle le serait. Il ne lui manquait qu’un petit sac à faire tourner au bras, pour donner l’impression qu’elle racolait. Elle souriait même à Sonia pour lui montrer que même exhibée ainsi, elle n’était nullement déstabilisée. Mais dans ce petit jeu de pouvoir, Catherine savait cependant que la relation qui s’était instaurée entre elles depuis longtemps, ne serait jamais en sa faveur.
- C’est pas la peine d’en rajouter, même en tailleur tu fais déjà pute. Va te maquiller et force la dose. Tu mettras aussi des faux cils et tu passeras du rose sur tes nichons et ta chatte.
Sonia resta à l’attendre et la renvoya à deux reprises pour qu’elle accentue encore ce qu’elle lui avait indiqué. Elle sortit enfin, et Catherine la suivit jusqu’au salon de réception. Il était vide.
- Mets toi sur le pouf et prend le gode qui est posé à côté. Tu écartes les cuisses et tu te branles jusqu'à ce que ce que Madame arrive.
Elle quitta la pièce sans un regard et Catherine s’exécuta. Cette façon d’agir n’était pas habituelle à ce qu’elle avait vécu en ces lieux. Elle n’était pas surveillée, on lui demandait de se donner du plaisir seule, elle n’était pas dirigée d’une façon ou d’une autre. Elle commença à se caresser doucement avec le godemiché. Et elle y prenait du plaisir. Elle se tourna vers un des miroirs. Se voir ainsi vêtue et outrageusement maquillée l’excitait et lui donnait envie d’être encore plus provocante. Elle releva un peu ses jambes et se regarda faire pénétrer ce sexe de plus en plus en plus profondément en elle. Elle en vint à avoir envie de se faire jouir, mais se contrôla. Ce n’était pas ce qui lui avait été ordonné. Mais elle continua se livrer à cette caresse, prenant des poses, comme hypnotisée par ce que lui renvoyait le miroir.
Elle fut comme une adolescente surprise en faute lorsque Marina entra. Mais celle-ci ne dit pas un mot en s’installant dans son fauteuil habituel, laissant Catherine reprendre sa place sur le pouf face à elle.

- Alors ma chérie, heureuse de revenir au bercail ?
- Oui, Madame.
- Tu es parfaite ainsi. Tu vas beaucoup plaire à notre ami. Tu es vulgaire à souhait et c’est ce genre de fille dont il a envie. C’est un type très important qui aime les vraies pro, les tapineuses, pas le genre sophistiqué. Tu as déjà la tenue et, en sa présence je veux que ton comportement et ton langage soient crus et sans fioritures. Compris ?
- Oui, Madame.
- C’est un type très exigeant, et il aime que filles aillent au-devant de ses désirs. Tu lui proposeras tout ce qu’il peut faire de toi, et bien évidemment sans aucune restriction. Tu feras marcher ton imagination. Sonia te présentera à lui, elle vérifiera que tu te comportes comme il faut, puis ensuite tu feras en sorte qu’il soit totalement satisfait. C’est un homme important qui est à Paris pour affaires. Il veut être détendu pour le lendemain, alors ne ménage pas ta peine.
Même si la manière dont elle était présentée n’était pas vraiment valorisante pour elle, Catherine ressentait une certaine fierté à ce que Marina l’ait choisie pour une passe qui semblait revêtir autant d’importance pour elle.
- Il va être là d’ici une demi-heure. Je vais terminer de te préparer moi-même. Ça fait longtemps que je me suis pas occupée de toi ma chérie. Tu apprécies j’espère ?
- Oui, Madame.
- Lèves-toi et va à la poutre.
Catherine eut besoin de quelques secondes pour retrouver l’équilibre sur ces immenses talons, puis se rendit à une extrémité du salon où un lourd encadrement sculpté de porte thaïlandaise faisait office de portique.
Catherine Baillon 36-57.jpg
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glissements a liké
#31757
bonjour à tous

Qui a trahi Catherine? et pourquoi
Si vous êtes curieux.......
Amicalement

........

Si c’était bien ce à quoi elle s’attendait de sa part, Catherine sentit monter en elle une irrépressible sensation de plénitude. Devoir assumer de la pire façon, l’humiliation que lui imposait son vainqueur. Cela semblait impossible, mais elle éprouvait un plaisir qui allait en s’amplifiant d’être pénétrée ainsi par cet homme qui venait de la priver de son rang et son avenir, et qu’elle méprisait par-dessus tout. Ses reins butaient de plus en plus violemment contre ses bourses. Elle avait envie de cette verge haïe dans ses chairs les plus intimes, et c’est elle qui les lançait vers lui.
- T’aime ça te faire enculer, sale pute !
- Oui j’aime ça ! J’ai envie que votre bite laboure mon cul de pute !
Plus vite qu’il ne l’aurait certainement voulu, il explosa en elle et Catherine se retint de ne pas jouir avec lui. Il se rajusta rapidement la laissant épuisée, le buste collé au cuir.
- Voilà, maintenant une page est tournée pour nous deux, chérie. On sera amenés à se revoir quand j’aurai envie de me vider les couilles ou si j’ai besoin de faire un cadeau.
Elle entendit la porte claquer. Elle se releva. Sonia lui tendit un peignoir.


- Puis-je voir Marina ?
- T’as rien à demander et de toute façon elle t’attends. Allez avance.
Elle entra dans le grand salon, Marina installée dans son fauteuil lisait. Elle lui fit face, bras croisés dans le dos et le regard tourné vers le sol.
- Merci, Madame.
Le silence se fit. Son attitude montrait que Catherine avait compris que tout ce qui venait de se passer avait été soigneusement préparé. Et qu’elle l’avait accepté. Marina savait le sens de ses paroles, mais désirait l’entendre le dire clairement.
- Pourquoi ce merci, ma chérie ? regarde-moi.
- Merci d’avoir mis un terme à ma faiblesse de ne pas avoir su vraiment accepter ce que je suis.
- Et qu’est ce tu es ?
- Je suis une putain, Madame, je suis votre putain.
- Non, ma chérie, tu es la putain de ton mari, tant qu’il voudra de toi, ne l’oublie jamais. Moi je t’exploite à son profit pour le moment. Un jour tu seras peut-être à moi ou à d’autres, mais putain tu le resteras et cette fois tu l’as compris.
- Oui madame.
- Tu es heureuse ?
- Oui madame, je ne me rends pas encore vraiment compte, mais je sais que c’est ce que je désirais.
- C’est bien Lisa. Maintenant tu vas rentrer chez toi. Ton mari doit t’attendre et il sait.
- Puis je vous demander quelque chose ?
- Pourquoi pas, si ça me convient.
- Je souhaiterais que cette journée et ce tournant de ma vie ne disparaissent jamais de ma mémoire et de ma chair, et j’aimerais être corrigée de votre main, plus durement que je ne l’ai jamais été, jusqu’à en perdre connaissance.
Un sourire s’esquissa sur le visage de Marina.
- Ta demande me convient parfaitement, ma chérie, mais es-tu sûre de vraiment être prête à supporter ça ? Tu sais que j’irais au bout.
- Non, Madame je n’y suis pas prête, je le sais, et je sais que je vous supplierai d’arrêter.
- Mais tu le veux quand même ?
- Oui Madame.
- C’est bien. Alors va au portique et je peux t’assurer que ça va être un vrai plaisir pour moi que d’aller au bout de ton souhait.
Quelques minutes plus tard, le bras de Marina, armé d’une cravache tressée se levait. Il n’arrêta son cruel ouvrage qu’une vingtaine de minutes plus tard, après avoir conduit Catherine, pantelante dans ses liens, bien au-delà de qu’elle aurait pu imaginer de cette épreuve initiatique.
glissements a liké
#32536
Bonjour,
D'abord merci aà tous du plaisir que vous semblez trouver au parcours de Catherine
Les chapitre 11 12 13 de la Tentation de Catherine viennent d'être mis en ligne
Bonne lecture et beaucoup de plaisir....

CHAPITRE IX
LE PAS
L’été s’était installé sur Paris. À l’arrière du taxi, Catherine
savourait cette langueur de fin d’après-midi. Rien n’occupait son
esprit, et elle se laissait aller à la dégustation des sensations les plus
simples.
La chaleur de l’air qui glissait sur ses épaules nues, le ciel qui se
dégradait en nuances de pourpre, les reflets du soleil dans la Seine,
quelques senteurs d’herbe fraîchement coupée qui glissaient des
jardins du Trocadéro.
Elle était radieuse et rien ne semblait pouvoir ternir l’harmonie
de l’instant.
Ce n’était qu’un plaisir dénué de toute cérébralité, une
sensualité primitive que sa nouvelle existence lui avait fait découvrir
ou peut-être redécouvrir.
Elle se laissait diriger par la vie, par ceux qui la dirigeaient pour
elle, sans plus avoir à prendre de décisions. Si quelques mois encore
auparavant, elle ne l’aurait même pas envisagé, par principes ou par
éducation, la liberté d’être ne la séduisait plus.
Il n’y avait plus de demain, plus d’hier, juste le jour, l’instant,
une succession de moments, de sensations, de plaisirs, de
découvertes, d’obligations, de sanctions parfois. Une vie de parcelles
sans but précis, mais qui lui procurait une plénitude qu’elle n’avait
jamais connue.
Rien n’avait de sens ni de justification, mais rien n’en avait
besoin. Elle devait juste servir. Servir à ceux elle donnait du plaisir,
servir ceux pour qui elle travaillait, et les satisfaire tous était pour elle
un accomplissement.
Cette servitude acceptée dont elle goûtait le plaisir subtil et
tortueux qui en faisait une répulsion spontanée pour les autres. Et
elle avait été les autres…
-



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glissements a liké

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