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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#30039
Bonjour merci a tous de vos messages et je suis heureux que vous preniez plaisir aux aventures de Catherine
Pour vous , Un petit extrait de sa progression
Amicalement
Il était environ trois heures quand ils quittèrent la boîte pour rejoindre son hôtel qui n'était qu'à quelques centaines de mètres de là, avenue Georges V. Le hall du palace était pratiquement désert. Le concierge salua Georges tout en jetant un regard discret à Catherine, peut-être parce qu'elle lui plaisait, ou peut-être simplement parce que c'était une nouvelle. Il ne devait pas y avoir d'ambiguïté pour lui sur le fait qu'elle était une putain de dit-elle. La voir monter seule avec Georges, suivis du chauffeur et de Franck, semblait clair.
Au cinquième étage, il ouvrit la porte d’une vaste suite richement meublée d’un style assez baroque. Deux portes de chambres s'ouvraient sur le salon dans lequel ils étaient entrés. Catherine s'étonna que le chauffeur et Franck restent avec eux mais Georges ne lui laissa pas le temps de se perdre en conjectures.
- Enlève ton imper !
- Vous la préparez, je vais prendre une douche.
Il disparut dans une des chambres, tandis que Franck posait la mallette sur une table basse et que le chauffeur donnait l'ordre à Catherine d'ôter sa guêpière et de se mettre à genoux au milieu de la pièce, mains croisées derrière la nuque et de regarder devant elle. Elle obéit, mais en défaisant ses jarretelles elle fit remarquer que ses bas ne tiendraient plus.
- Ne t'occupe pas de ça et tais-toi, dit Franck d’une voix cinglante.
Elle se mit dans la position qu'on lui avait ordonnée. Elle se tenait immobile le torse projeté en avant par la position de ses bras. Elle vit le chauffeur s'approcher d'elle tenant une sorte de serre taille en cuir, qu'il avait sorti d'un placard. De gros anneaux en ornaient le pourtour. Elle vit que contrairement aux corsets qu'il lui arrivait de porter, la fermeture de celui-ci était assurée à l'arrière par deux plaques de métal qui devaient se recouvrir.
- Relèves-toi !
Il posa cette sorte de large ceinture autour de sa taille, puis Catherine entendit les deux pans s'enclencher. Elle la serrait modérément et semblait plutôt confortable. Mais après quelques secondes, elle entendit un cliquetis. L'homme était passé derrière elle et faisait tourner ce qu'elle imaginait être une clé. Les pans se rapprochèrent progressivement. La tension devenait de plus en plus forte. Catherine comprit que contrairement à ce qu'elle avait pensé au début, ce devait être bien plus contraignant qu'elle ne l’avait imaginé.
L'homme continuait son œuvre et sa taille commençait à s’étrangler. Le mécanisme était fait de telle sorte, que la clé paraissait tourner sans effort, tandis que ceinture créait une terrible pression. Son souffle devenait plus court, mais l’homme continuait.
- Monsieur Georges aime que les filles soient fines. Encore un peu et ça va aller.
Lorsqu'il cessa, sa taille avait pratiquement diminué de moitié. Le corset semblait presque incrusté en elle. Toujours les mains à la nuque, ce fut l'homme qui tendit les six jarretelles et les attacha à ses bas. Franck s'approcha alors. Du pied, il lui fit écarter les jambes puis posa à ses chevilles et ses poignets de larges bracelets de cuir dotés d'anneaux et de mousquetons, qu'il verrouilla à l'aide de petits cadenas. Il ferma enfin autour de son cou un collier clouté, puis y accrocha une laisse à lourds maillons de métal.
- On va te décorer un peu maintenant !
Elle le vit prendre dans la mallette, des poids de différentes tailles mais dont déjà les plus petits lui semblaient imposants. Malgré son appréhension, Catherine remarqua que c'étaient de beaux bijoux, dorés et gravés d'initiales, certainement celles de Georges. À chacun des anneaux de ses seins, il accrocha deux sphères de la taille d’une bille de flipper. Catherine grimaça lorsqu'il les laissa pendre. Elles étaient nettement plus lourdes que tout ce qu'elle avait supporté auparavant.
Aux anneaux de ses lèvres, il posa deux cylindres, eux aussi très massifs. Elle ne pu réprimer un gémissement quand elle les sentit se balancer entre ses cuisses ouvertes.
- Bouge ton cul et tes nichons pour voir ce que ça donne…
Catherine lui obéit. Elle se mordait les lèvres pour ne pas montrer la douleur qu'il l'obligeait à s'infliger elle-même. Tandis qu'elle continuait à onduler ainsi, il posa une chaîne entre les anneaux de ses chevilles.
- Ça te plait salope?
- Oui monsieur.
- Remets toi à genoux, et garde les fesses relevées pour que les poids ne touchent pas par terre.
Une fois en position, Il relia chacun de ses poignets à deux des anneaux de son corset, pratiquement au-dessus de ses fesses.
Elle était maintenant devant ces deux hommes, encore inconnus d'elle quelques heures auparavant, à genoux, cuisses largement écartées, chevilles enchaînées, seins et lèvres intimes étirés par ses poids, les bras immobilisés le long du corps, la taille totalement étranglée.
Son sentiment était étrange. Il mêlait fierté et humiliation. Elle vit Franck déposer sur une table plusieurs objets, et notamment un fouet qui était très semblable à celui de Marina. Le chauffeur, quant à lui, installait sur un pied une petite caméra vidéo qu'il orientait et réglait sur Catherine. Son image apparut sur deux téléviseurs du salon. L’un était orienté vers le canapé qui lui faisait face, l'autre vers elle. L'attente lui faisait encore plus intensément ressentir les contraintes qui lui étaient imposées, mais elle mettait un point d'honneur à demeurer immobile. Elle vit enfin Georges se profiler dans l'encadrement de la porte de la chambre. Il était nu sous un peignoir en soie rouge et noir, largement ouvert. Elle remarqua que son sexe était maintenant rasé et que cela le rendait plus épais, même s'il était encore au repos. Il s'affala dans le canapé face à elle. Il jeta un coup d'œil aux écrans.
- Tu te plais ?
- Oui Monsieur.
- Tu n'as pas choisi ce qu'il y a de plus facile pour débuter ta carrière de pute, ma chérie, dit-il en souriant. Mais c'est ce que tu voulais non ?
- Oui Monsieur. Elle répondait presque mécaniquement.
Franck posa devant lui un verre et une bouteille de whisky.
- Sergio, laisse nous maintenant. Tu peux te faire sucer avant de partir si tu veux, mais fait vite.
- Merci monsieur. J'enregistre?
- Oui tu peux y aller, elle n'est pas maquée et ce n'est pas son mari qui nous posera des problèmes. Ça lui fera des souvenirs et ça nous sera sûrement utile.
Il mit un disque dans un graveur puis enclencha une touche.
Il s'approcha d'elle, ouvrit sa braguette et en exhiba un sexe circoncis qui était déjà en érection. Sa hampe était pratiquement tatouée sur toute la longueur et son gland, percé d'un anneau d'acier épais qui entrait par le méat et ressortait au-dessous du frein. Il prit la tête de Catherine à deux mains, la plaqua contre lui et se mit à lui baiser la bouche. Elle se contentait de faire un anneau de ses lèvres autour de sa verge et c'est lui qui la pénétrait jusqu'à venir buter au fond de sa gorge. Les poids de ses seins se rappelaient cruellement à elle. Cela ne dura pas plus d'une minute ou deux. Il maintint avec force ses lèvres contre ses bourses et se répandit immobile dans sa bouche.
- Avale tout !
Ce furent les seuls mots qu'il prononça. Il salua Georges et quitta la pièce.
ericmotard a liké
#30084
Bonjour a vous je vous avais laissé un MP l'avez vous reçu ?
J'espère que ça ne va pas trop loin ....
Car les choses commencent vraiment pour Catherine...
en confidence le parcours de mon épouse m'a beaucoup inspiré...
Le prochain chapitre est pour ce soir

Amicalement
#31482
Bonjour

Voilà . La vie de Catherine prend cette fois un tournant irréversible
les nouveaux chapitres sont en ligne

amicalement
Voila un extrait de ce pointe de non retour

Sonia entra enfin, portant sur les bras ce qui allait être sa tenue pour la soirée. Elle posa le tout face à Catherine et s’installa dans un fauteuil.
- Mets ça ! Ensuite on ira voir Madame.
Les vêtements lui semblaient bien moins sophistiqués qu’à l’habitude. Pourtant Marina lui avait parlé de gens importants.
Sonia la regardait s’habiller sans mot dire, mais avec une esquisse de sourire qui ne lui était pas habituelle. Plus elle découvrait la tenue qui lui avait été préparée, plus elle s’en étonnait. Elle avait d’abord passé un soutien-gorge quart seins en vinyle rouge aux bretelles en chaînettes dorées, puis un string fendu et un serre taille identiques. Les jarretelles, elles aussi en métal brillant, tendaient des bas à grosses résilles noires. Pour terminer le tout, de très hautes sandales à plateforme et à brides rouges, elles aussi. En faisant face au miroir, ce qu’elle découvrit était encore plus provocant et vulgaire qu’elle ne l’avait imaginé.
Tout à fait la tenue des mannequins en vitrine des sex-shops ou celle des filles des peep-show. Ainsi vêtue, Catherine donnait plus l’image d’une fille de la rue Saint Denis ou d’une tapineuse du bois de Boulogne, que celle des courtisanes haut de gamme que Marina avait l’habitude de proposer à ses clients, et qu’on lui avait appris à incarner.
Elle ne cachait rien de ses charmes, et cette tenue au contraire les exposait de manière la plus impudique qui soit. Elle avait envie de demander à Sonia le pourquoi de cette caricature de putain, mais elle savait qu’elle s’exposait à une réponse cinglante, et certainement peu amène. Ce fut au contraire elle qui prit la parole.
- Bouge un peu que je vois à quoi tu ressembles comme ça !
Outre le malaise qu’elle avait à assumer cette apparence, Catherine se déplaçait avec difficulté sur près de vingt centimètres de talons et de semelles compensées.
Elle ne faisait que de petit pas, arpentant la pièce sous l’oeil de Sonia qui la scrutait en silence. Cependant après quelques minutes, elle reprit assurance, et puisqu’on voulait qu’elle adopte ce rôle, elle commença à exagérer sa démarche ainsi que l’ondulation de ses fesses et son buste. On la voulait provocante, elle le serait. Il ne lui manquait qu’un petit sac à faire tourner au bras, pour donner l’impression qu’elle racolait. Elle souriait même à Sonia pour lui montrer que même exhibée ainsi, elle n’était nullement déstabilisée. Mais dans ce petit jeu de pouvoir, Catherine savait cependant que la relation qui s’était instaurée entre elles depuis longtemps, ne serait jamais en sa faveur.
- C’est pas la peine d’en rajouter, même en tailleur tu fais déjà pute. Va te maquiller et force la dose. Tu mettras aussi des faux cils et tu passeras du rose sur tes nichons et ta chatte.
Sonia resta à l’attendre et la renvoya à deux reprises pour qu’elle accentue encore ce qu’elle lui avait indiqué. Elle sortit enfin, et Catherine la suivit jusqu’au salon de réception. Il était vide.
- Mets toi sur le pouf et prend le gode qui est posé à côté. Tu écartes les cuisses et tu te branles jusqu'à ce que ce que Madame arrive.
Elle quitta la pièce sans un regard et Catherine s’exécuta. Cette façon d’agir n’était pas habituelle à ce qu’elle avait vécu en ces lieux. Elle n’était pas surveillée, on lui demandait de se donner du plaisir seule, elle n’était pas dirigée d’une façon ou d’une autre. Elle commença à se caresser doucement avec le godemiché. Et elle y prenait du plaisir. Elle se tourna vers un des miroirs. Se voir ainsi vêtue et outrageusement maquillée l’excitait et lui donnait envie d’être encore plus provocante. Elle releva un peu ses jambes et se regarda faire pénétrer ce sexe de plus en plus en plus profondément en elle. Elle en vint à avoir envie de se faire jouir, mais se contrôla. Ce n’était pas ce qui lui avait été ordonné. Mais elle continua se livrer à cette caresse, prenant des poses, comme hypnotisée par ce que lui renvoyait le miroir.
Elle fut comme une adolescente surprise en faute lorsque Marina entra. Mais celle-ci ne dit pas un mot en s’installant dans son fauteuil habituel, laissant Catherine reprendre sa place sur le pouf face à elle.

- Alors ma chérie, heureuse de revenir au bercail ?
- Oui, Madame.
- Tu es parfaite ainsi. Tu vas beaucoup plaire à notre ami. Tu es vulgaire à souhait et c’est ce genre de fille dont il a envie. C’est un type très important qui aime les vraies pro, les tapineuses, pas le genre sophistiqué. Tu as déjà la tenue et, en sa présence je veux que ton comportement et ton langage soient crus et sans fioritures. Compris ?
- Oui, Madame.
- C’est un type très exigeant, et il aime que filles aillent au-devant de ses désirs. Tu lui proposeras tout ce qu’il peut faire de toi, et bien évidemment sans aucune restriction. Tu feras marcher ton imagination. Sonia te présentera à lui, elle vérifiera que tu te comportes comme il faut, puis ensuite tu feras en sorte qu’il soit totalement satisfait. C’est un homme important qui est à Paris pour affaires. Il veut être détendu pour le lendemain, alors ne ménage pas ta peine.
Même si la manière dont elle était présentée n’était pas vraiment valorisante pour elle, Catherine ressentait une certaine fierté à ce que Marina l’ait choisie pour une passe qui semblait revêtir autant d’importance pour elle.
- Il va être là d’ici une demi-heure. Je vais terminer de te préparer moi-même. Ça fait longtemps que je me suis pas occupée de toi ma chérie. Tu apprécies j’espère ?
- Oui, Madame.
- Lèves-toi et va à la poutre.
Catherine eut besoin de quelques secondes pour retrouver l’équilibre sur ces immenses talons, puis se rendit à une extrémité du salon où un lourd encadrement sculpté de porte thaïlandaise faisait office de portique.
Catherine Baillon 36-57.jpg
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glissements a liké
#31757
bonjour à tous

Qui a trahi Catherine? et pourquoi
Si vous êtes curieux.......
Amicalement

........

Si c’était bien ce à quoi elle s’attendait de sa part, Catherine sentit monter en elle une irrépressible sensation de plénitude. Devoir assumer de la pire façon, l’humiliation que lui imposait son vainqueur. Cela semblait impossible, mais elle éprouvait un plaisir qui allait en s’amplifiant d’être pénétrée ainsi par cet homme qui venait de la priver de son rang et son avenir, et qu’elle méprisait par-dessus tout. Ses reins butaient de plus en plus violemment contre ses bourses. Elle avait envie de cette verge haïe dans ses chairs les plus intimes, et c’est elle qui les lançait vers lui.
- T’aime ça te faire enculer, sale pute !
- Oui j’aime ça ! J’ai envie que votre bite laboure mon cul de pute !
Plus vite qu’il ne l’aurait certainement voulu, il explosa en elle et Catherine se retint de ne pas jouir avec lui. Il se rajusta rapidement la laissant épuisée, le buste collé au cuir.
- Voilà, maintenant une page est tournée pour nous deux, chérie. On sera amenés à se revoir quand j’aurai envie de me vider les couilles ou si j’ai besoin de faire un cadeau.
Elle entendit la porte claquer. Elle se releva. Sonia lui tendit un peignoir.


- Puis-je voir Marina ?
- T’as rien à demander et de toute façon elle t’attends. Allez avance.
Elle entra dans le grand salon, Marina installée dans son fauteuil lisait. Elle lui fit face, bras croisés dans le dos et le regard tourné vers le sol.
- Merci, Madame.
Le silence se fit. Son attitude montrait que Catherine avait compris que tout ce qui venait de se passer avait été soigneusement préparé. Et qu’elle l’avait accepté. Marina savait le sens de ses paroles, mais désirait l’entendre le dire clairement.
- Pourquoi ce merci, ma chérie ? regarde-moi.
- Merci d’avoir mis un terme à ma faiblesse de ne pas avoir su vraiment accepter ce que je suis.
- Et qu’est ce tu es ?
- Je suis une putain, Madame, je suis votre putain.
- Non, ma chérie, tu es la putain de ton mari, tant qu’il voudra de toi, ne l’oublie jamais. Moi je t’exploite à son profit pour le moment. Un jour tu seras peut-être à moi ou à d’autres, mais putain tu le resteras et cette fois tu l’as compris.
- Oui madame.
- Tu es heureuse ?
- Oui madame, je ne me rends pas encore vraiment compte, mais je sais que c’est ce que je désirais.
- C’est bien Lisa. Maintenant tu vas rentrer chez toi. Ton mari doit t’attendre et il sait.
- Puis je vous demander quelque chose ?
- Pourquoi pas, si ça me convient.
- Je souhaiterais que cette journée et ce tournant de ma vie ne disparaissent jamais de ma mémoire et de ma chair, et j’aimerais être corrigée de votre main, plus durement que je ne l’ai jamais été, jusqu’à en perdre connaissance.
Un sourire s’esquissa sur le visage de Marina.
- Ta demande me convient parfaitement, ma chérie, mais es-tu sûre de vraiment être prête à supporter ça ? Tu sais que j’irais au bout.
- Non, Madame je n’y suis pas prête, je le sais, et je sais que je vous supplierai d’arrêter.
- Mais tu le veux quand même ?
- Oui Madame.
- C’est bien. Alors va au portique et je peux t’assurer que ça va être un vrai plaisir pour moi que d’aller au bout de ton souhait.
Quelques minutes plus tard, le bras de Marina, armé d’une cravache tressée se levait. Il n’arrêta son cruel ouvrage qu’une vingtaine de minutes plus tard, après avoir conduit Catherine, pantelante dans ses liens, bien au-delà de qu’elle aurait pu imaginer de cette épreuve initiatique.
glissements a liké
#32536
Bonjour,
D'abord merci aà tous du plaisir que vous semblez trouver au parcours de Catherine
Les chapitre 11 12 13 de la Tentation de Catherine viennent d'être mis en ligne
Bonne lecture et beaucoup de plaisir....

CHAPITRE IX
LE PAS
L’été s’était installé sur Paris. À l’arrière du taxi, Catherine
savourait cette langueur de fin d’après-midi. Rien n’occupait son
esprit, et elle se laissait aller à la dégustation des sensations les plus
simples.
La chaleur de l’air qui glissait sur ses épaules nues, le ciel qui se
dégradait en nuances de pourpre, les reflets du soleil dans la Seine,
quelques senteurs d’herbe fraîchement coupée qui glissaient des
jardins du Trocadéro.
Elle était radieuse et rien ne semblait pouvoir ternir l’harmonie
de l’instant.
Ce n’était qu’un plaisir dénué de toute cérébralité, une
sensualité primitive que sa nouvelle existence lui avait fait découvrir
ou peut-être redécouvrir.
Elle se laissait diriger par la vie, par ceux qui la dirigeaient pour
elle, sans plus avoir à prendre de décisions. Si quelques mois encore
auparavant, elle ne l’aurait même pas envisagé, par principes ou par
éducation, la liberté d’être ne la séduisait plus.
Il n’y avait plus de demain, plus d’hier, juste le jour, l’instant,
une succession de moments, de sensations, de plaisirs, de
découvertes, d’obligations, de sanctions parfois. Une vie de parcelles
sans but précis, mais qui lui procurait une plénitude qu’elle n’avait
jamais connue.
Rien n’avait de sens ni de justification, mais rien n’en avait
besoin. Elle devait juste servir. Servir à ceux elle donnait du plaisir,
servir ceux pour qui elle travaillait, et les satisfaire tous était pour elle
un accomplissement.
Cette servitude acceptée dont elle goûtait le plaisir subtil et
tortueux qui en faisait une répulsion spontanée pour les autres. Et
elle avait été les autres…
-



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glissements a liké
#33795
Bonjour à vous tous
Catherine vit un tournant de son existence. Elle met pour la première fois les pieds dans une vraie maison close publique. Et pas pour une simple visite..
Beaucoup de plaisir à tous
amicalement

La femme s’était assise et Catherine restait seule debout au centre de la pièce et essayait de trouver une contenance, nue, son verre à la main.
- Elle fait quel rythme actuellement ?
- En moyenne quatre passes quotidiennes, cinq à six jours par semaine.
- Du travail de call-girl. Ça va la changer ici …
Toujours assis à son bureau, l’homme prit la parole.
- Viens là ma chatte.
Catherine s’approcha en se dandinant. Il flatta sa croupe nue
- Pose ton verre et mets toi à genoux à côté de moi.
Elle obéit et, instinctivement, croisa les bras dans le dos.
- Ici c’est Irina et moi, Peter, qui dirigeons les lieux et les filles. Pour toi comme pour les autres ce sera « Monsieur » et « Madame », c’est tout ce que tu auras à savoir. Et dès qu’avec ton mari nous aurons conclu les termes de ton placement, ce sera à nous que tu devras exclusivement obéir. Compris ?
- Oui Monsieur.
- Maintenant, on m’a dit qu’avant de te mettre à louer ton cul, tu exerçais des responsabilités et tu jouissais de considération professionnelle et sociale. Même si ça a dû déjà pas mal changer depuis que tu fais la pute de luxe, ici on va t’apprendre que tes seules responsabilités vont être de rapporter le plus possible et que la considération qu’on va te porter sera uniquement liée à ton assiduité à ouvrir les cuisses et le reste.
- Oui Monsieur.
- Dans ton précédent job, tu étais une grande professionnelle à ce que je sais. Ici il va falloir que tu comprennes que pute est un job légal comme un autre, rien à voir avec l’amateurisme que permet la clandestinité dans laquelle vous exercez en France. Tu vas pouvoir nous montrer de quoi tu es capable et gravir les barreaux de l’échelle si tu te montres à la hauteur de ce qu’on attend de toi. Comme dans tout boulot, ici il y a des règles claires et strictes que tu devras respecter à la lettre et qui devront même devenir une seconde nature pour toi.
Il sortit du dossier une liasse de papiers reliés.
- Ça c’est ton contrat de travail. Rien de bien particulier, hormis le fait que ton activité est clairement définie selon les lois en vigueur ici. Ça n’est pas hôtesse ou escort, c’est simplement écrit « prostituée ». Dans ce document, tu reconnais que tu fais cela volontairement et que tu acceptes de plein gré toutes les pratiques sexuelles qui te sont demandées par les clients. Quand ton mari reviendra après ta période d’essai, tu iras avec nous te faire enregistrer et ficher auprès de la police municipale comme travailleuse du sexe et ce sera ton statut officiel à partir de ce moment.
Ce n’était qu’une formalité administrative à effectuer, mais un frisson la parcourut en pensant qu’elle allait faire inscrire dans un fichier public que sa profession était de se prostituer et que cela resterait peut-être à jamais au vu et au su de tous quoiqu’elle fasse.
Catherine salon W 2.jpg
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glissements a liké
#33990
Bonjour
oui la ville et l'établissement existent vraiment.
C'est en effet un roman mais en effet mon épouse y a vécu
une expérience réelle de façon plus limitée .. sourire

amicalement
#34064
rebonjour
voilà un petit extrait de la suite du "placement" de Catherine
Amicalement

Il paraphait la dernière page, lorsque Catherine, précédant Dimitri, les rejoignit. Elle arborait toujours la même tenue, s’était remaquillée, mais sa démarche semblait mal assurée. Elle s’arrêta au milieu de la pièce et regarda Marc un bref instant avant de baisser les yeux, mettre les bras dans le dos et écarter un peu les jambes.
- Alors, votre impression générale?
Dimitri hésita, regardant Marc.
- Tu peux y aller Monsieur Coster est aussi là pour entendre votre évaluation à tous les trois.
- Pas de problème, elle aime ça… même trop. Elle prend bien de tous les côtés et même du très gros calibre comme celui de Karim sans broncher dans le cul. Elle a encore la chatte étroite, mais on a pu la prendre à deux bites ensemble sans problème. Pour le sandwich, elle sait bien bouger et garder les queues en elle. Elle sait pomper et c’est une gourmande, elle nous a avalé le foutre sans en laisser une goutte. Pour les nichons, ils sont bien fermes sous la main, et on peut y aller à fond pour jouer avec ses anneaux avant qu’elle commence à couiner.
- Elle supporte aussi très bien ceux de sa chatte. Elle a le bouton bien sensible et elle se tortille dès qu’on joue avec l’anneau qu’elle a en travers. Je la tenais en laisse par là pendant que Karim l’enculait, elle gueulait, mais j’ai l’impression qu’elle a joui quand même. De toute façon, je sais pas si c’est pour donner bonne impression, mais pour tout ce qu’on lui faisait faire, elle était bien active. Même quand on l’a un peu dérouillée pour voir ce qu’elle pouvait supporter, elle se mettait toute seule en position et disait merci. C’est Hélène qui s’est occupée d’elle pour le fouet et elle n’a pas réussi à la faire crier avant le quinzième coup. Pour le gouinage, elle lui a fait reluire le bouton avec les doigts et la langue, et elle doit être aussi lesbienne qu’hétéro pour être aussi efficace. Hélène dit aussi qu’elle doit être un peu maso parce qu’elle la remerciait à chaque fois qu’elle la giflait.
- Rien d’autre ?
- Non. À part qu’elle parle trop, et qu’elle dit la vérité à chaque fois qu’on lui pose une question.
- On arrangera ça. Merci Dimitri. Tu peux le remercier toi aussi !
Catherine releva un peu la tête.
- Merci, Monsieur Dimitri.
Marc remarqua qu’elle prononçait ces mots avec spontanéité, sans éprouver aucune gêne après avoir été décrite et qualifiée avec autant de rudesse par cet homme devant eux.
Pour elle, les heures qui venaient de s’écouler avaient fait disparaître les traces d’hésitation et d’appréhension qui l’habitaient encore. Le temps n’était plus aux atermoiements. Les décisions avaient été prises pour elle et son rôle était maintenant de les assumer sans se poser de question. Obéir et satisfaire.
Catherine bas talons métal E.jpg
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glissements a liké
#35011
bonjour ,
à vous tous
Catherine a accepté ce qui a été décidé pour elle
elle vient de commencer à en vivre le quotidien et va cette fois s'engager
sait elle vraiment à quoi?

Amicalement

CHAPITRE XVI
NOUVEAU MONDE


Une berline noire l’attendait en gare de Lille. Le Thalys l’avait conduit en un peu moins d’une heure depuis Paris. Juste le temps de parcourir « Le Monde ».
- Monsieur Coster ? C’est moi qui suis chargé de vous conduire.
L’homme lui ouvrit la porte arrière, et Marc s’installa. Les vitres fumées offraient un parfait anonymat, mais en ce début d’après-midi ensoleillé, il voulut profiter de la douceur ambiante.
- Le trajet est long ?
- Non, un quart d’heure à peine. Vous trouverez devant vous un album qui a été préparé à votre intention.
Dans le dossier du siége qui lui faisait face, il aperçut une couverture de cuir qu’il identifia instantanément. Le nom de Lisa y était incrusté. Il eut une hésitation à l’ouvrir avec cet homme aussi proche, mais il esquissa un sourire en réalisant qu’il l’avait certainement déjà feuilleté et peut-être même disposé de Catherine.
La première page était juste un texte en lettres gothiques qui décrivait en une quinzaine de lignes, le profil et les possibilités de Lisa. Il était surmonté d’une photo d’elle en élégant tailleur, debout dans ce qui avait été son bureau à Paris. Il ignorait quand cette photo avait pu être prise et comment elle était arrivée là.
Il comprit très vite en revanche ce qu’avait voulu dire Peter lors de la présentation de Catherine. Le contraste entre cette photo et le texte qui suivait, répondait vraiment au fantasme de la bourgeoise et de la putain. On la décrivait tout d’abord comme une femme mariée, de milieu aisé ayant occupé de hautes responsabilités, cultivée, parlant plusieurs langues, puis cela se poursuivait par des détails intimes de sa vie privée.

Les quelques lignes expliquaient que Lisa avait toujours été friande de sexe, fréquentait clubs échangistes et partouzes, aimait la pluralité de partenaires, était bisexuelle et avait une forte tendance à la soumission. Cela l’avait conduit progressivement à faire la call-girl de luxe, puis à quitter sa profession pour se consacrer volontairement à la prostitution et devenir pensionnaire de la « Porte Noire ». Le texte était elliptique mais suffisamment suggestif pour enflammer les imaginations.
Venaient ensuite, un encadré avec age, mensurations, caractéristiques intimes, puis la liste des prestations pour lesquelles elle était proposée. C’étaient bien celles qu’il avait acceptées pour elle, mais celle de « soumise » devait suffisamment rare pour qu’elle ait été écrite en rouge et en gras …
Il commença à feuilleter la dizaine de pages qui suivaient. Pour ouvertement pornographiques qu’elles aient été, il fut d’abord frappé par la qualité des images. C’était du travail de pro. On commençait par la voir seule en lingerie, en pose d’invite, se caressant le sexe et les seins. Marc remarqua immédiatement, qu’ainsi qu’il avait été annoncé, les anneaux de Catherine avaient été changés pour faire place à de nouveaux, plus larges et plus épais, mais en acier. La taille de celui du clitoris était particulièrement remarquable, et sur une photo, Catherine y glissait tout son index sans difficulté.
Les photos suivantes la montraient suçant un membre de belle taille tout en caressant les bourses, puis se faisant pénétrer par un homme en levrette, se faire sodomiser, être prise par deux hommes, caresser, lécher et embrasser une femme.



Dressage W.jpg
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glissements a liké
#35786
Merci à tous de vos message et je suis heureux du plaisir que vous prenez aux troubles terribles et délicieux qui s'imposent à Catherine
Voilà pour vous
amicalement

- Tu serais tenté par une pipe de Lisa, chéri ?
Il sursauta. Elle s’était accoudée au dossier derrière lui, et regardait elle aussi l’écran.
- Mais tu sais, je ne fais pas que ça…
- Chérie !
Elle posa un doigt sur ses lèvres. L’air à la fois mutin et ferme. Elle s’installa sur l’accoudoir. Elle ne portait qu’une courte guêpière. Un minuscule string fendu laissait apparaître ses anneaux, maintenant très voyants, de part et d’autre. D’une façon très naturelle, elle avait écarté les jambes pour que son intimité soit accessible. Marc en accepta l’invite et sa main, lentement, se mit à caresser ces chairs si douces.
- Qu’est ce qui te ferait plaisir mon grand?
Marc était un peu déstabilisé par l’attitude de Catherine. Elle ne semblait pas afficher de complicité particulière, juste avoir envers lui le même comportement que toutes autres filles présentes. Rien qui ne marquait le bonheur qui aurait dû être le sien, de retrouver son homme. Il était pourtant sûr qu’elle devait le ressentir mais n’en affichait rien.
Était-ce par ce qu’elle se sentait surveillée ? Était-ce déjà une manifestation de son conditionnement ? Voulait-elle lui montrer à quel point il pouvait être fier d’elle ?
Il n’avait pas du tout imaginé leurs retrouvailles de cette façon. Il était vrai que lui, pour sa part, n’avait pas changé d’univers, ni de modes de rapports avec les autres.
Sa main continuait à déambuler.
- Oui j’aimerais goûter à tes spécialités…
- Le mieux est de prendre le tout, mon grand…
- Le plus cher j’imagine ?
Peut-être par réflexe acquis, Catherine ouvrit un peu plus les cuisses comme si elle voulait emporter la décision.
- Tu pourras faire tout ce qui est proposé dans le catalogue, chéri et tu ne seras pas déçu… Même me faire corriger…
- Par une autre fille ?
- Oui.
- Ça ne me tente pas. J’ai envie d’être seul avec toi.
- Comme tu voudras Chéri… Peut-être une autre fois ?
- Oui sûrement une autre fois.
Elle se pencha à son oreille.
- C’est quatre cents, Chéri… Tu vas voir Muriel avant de monter.
- Ça me convient.
Lui qui était censé être le maître de cette situation, n’arrivait pas à entrer vraiment dans un des rôles qui auraient dû être les siens. Le simple client, le mac ou le mari. Peut-être parce qu’il était encore simplement les trois à la fois. Et il ne savait lequel éprouvait le plus de désir pour cette créature à la fois proche et si étrangère.
Catherine avait dit quelques mots à la femme, prit une clé, et s’était déjà engagée sur les marches, une main sur la rampe.
- Deux cents pour vous, lui dit la femme. Vous avez trois quart d’heure maximum. Amusez vous bien …
La porte refermée, elle se jeta aussitôt à ses pieds et l’enserra dans ses bras.
- Merci, mon amour. Je t’aime. Si tu savais à quel point je suis heureuse que tu sois là.
- Tu es malheureuse ici ?
- Non, mon amour, mais j’avais tellement envie que tu voies celle que tu as faite de moi ici. Que tu sois fier de Lisa. Je t’aime. C’est bon d’être à toi. Embrasse ta putain s’il te plait.
Il la souleva par les épaules et leurs bouches se plaquèrent dans un baiser dont la violence n’avait plus rien d’un acte amoureux. Il se retrouvait à l’unisson de sa femme mais dans un univers et dans une relation qu’ils n’avaient jamais encore atteint. L’image d’Anne Laure s’imposa à lui. Ce qui n’avait été qu’un fantasme, était maintenant une très proche réalité.
- Tu embrasses ici ?
- Non jamais, c’est strictement interdit. Sauf avec les patrons et son homme.
- C’est plus intime que de prendre une queue dans la bouche ?
- Oh oui tu sais. Ça n’a même rien à voir.
Ses gestes étaient à la fois précis et rapides. Elle dégrafa sa chemise, défit son pantalon puis ses sous-vêtements. Le sexe déjà rigide qui se tendit devant elle, fut une bouffée de fierté. Sans rien avoir à ôter de sa tenue, Catherine s’allongea sur le lit, écartant les jambes sans aucune pudeur.
- Viens prendre ton plaisir, mon chéri. Viens prendre ta pute.
Il n’y avait aucune ostentation, ni ton forcé dans sa voix et ses mots. Seulement une sincérité qui ne laissait place à rien d’autre qu’à la simple situation présente.
- Les capotes sont sur le chevet…
- Pour moi aussi ?
- Oui mon amour, ici c’est une règle sans exception. Les filles doivent être saines et le rester. C’est mieux pour moi tu sais…
- Mais moi ?
- Ici, tant que les macs y laissent leurs filles, il doivent aussi respecter ça.
- Pourquoi ?
- Certains les cèdent à la maison, et elles doivent être irréprochables.
- Les cèdent … ?
- Oui, mais viens chéri. J’ai trop envie de te sentir en moi.
Qui était ce « chéri »? Celui qu’elle attribuait à tous ceux qui disposaient d’elle, ou celui qui l’avait placée là ?
L’attitude de Catherine, l’oubli de ses propres doutes, n’avaient que créé un désir irrépressible de cette fille désirable qui, à cet instant, n’attendait de lui que la possession qu’elle avait tout fait pour mériter.
Pour étrange qu’ait pu sembler cette situation, d’un mari qui louait sa propre épouse comme une simple prostituée, une épouse qui, en quelques jours, se comportait comme une vraie professionnelle de bordel, pour eux deux cependant, plus rien n’entravait la logique qui les avait conduits jusque-là.
Catherine s’était relevée un instant pour dérouler le fin latex sur le membre érigé, puis avait basculé sur le dos, les jambes relevées à l’équerre et maintenues par ses bras. Marc s’approcha, glissa ses index dans chacun des anneaux pour écarter ses lèvres et, sans autre préliminaire, s’enfonça en elle d’un coup de rein.
Pendant près d’une demi-heure, l’étreinte fut sauvage, continue, violente. Catherine usait d’un langage cru et direct qu’il ne lui avait jamais connu, et qui ne faisait qu’amplifier la perte de toute retenue de Marc à son égard.
Il gisait épuisé sur le lit. Catherine s’était accroupie auprès de lui caressant et embrassant son torse.
- Elle t’a fait du bien ta pute ?
- C’était superbe chérie, et pour toi ?
- Un délice, mon amour. Si tu savais ce que c’est bon d’être prise par son homme, sentir sa queue et la faire jouir.
- Toi tu as joui ?
- Tu t’en es rendu compte non ? Il n’y a qu’avec toi que j’ai le droit de ne pas simuler, tu le sais, et que j’en aie envie aussi.
- Ça ne te manques pas ?
- Je ne suis pas là pour ça, et je n’ai pas vraiment temps d’y penser tu sais.
Il se mit à la caresser doucement, à admirer ce corps désiré et devenu si expert à donner du plaisir.
- Tu supportes bien tes anneaux ?
- Oui. J’ai dû m’habituer à leur taille, mais ça plait beaucoup. Ils les ont posés dès le lendemain de mon arrivée.
- Et ton nouveau rythme de travail ?
- Ça va… Tu ne m’as pas fait de cadeau en mettant la barre aussi haut. J’ai eu un peu mal au début, mais on m’a appris à me gérer.
Catherine Esacliers 24-59.jpg
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#36690
bonsoir à tous
Oubliant pour un temps Catherine à sa nouvelle condition et à son nouveau quotidien,Marc et son égérie goûtent sans limite
aux plaisirs sous le soleil lusitanien.
Toujours animée par son inclination naturelle à la manipulation, celle-ci dirige son compagnon et ses très malléables invités, à satisfaire pleinement ses pulsions et ses fantasmes.

bien à vous
voilà un extrait

Il l’admirait sans bruit. Il bandait. Derrière ses larges lunettes de
soleil qui la rendaient inaccessible, Anne semblait fixer le ciel.
- Tu as déjà sucé un homme chéri ?
- Non jamais.
- Va chercher Antoine, s’il te plait, j’ai envie…
Marc s’éloigna un peu intrigué et revint avec lui. Anne ne
tourna pas la tête.
- Mets toi nu et à genoux devant notre ami, mon chéri. J’ai
envie que tu me prépares ce beau mâle …
Marc hésita un court instant, puis s’exécuta. Antoine restait
immobile
- Chéri, tu vas bien sucer cette superbe queue pour qu’elle
puisse me remplir. Elle est si bonne tu sais. Allez….
Marc éprouvait un sentiment étrange et ambigu. Non que
l’homosexualité n’ait jamais fait de sa part l’objet de réflexions ou de
discussions avec les uns et les autres. Il admettait parfaitement que
lui aussi était devait être sujet à cette pulsion et ne la rejetait pas.
Mais était-ce un tabou culturel ou l’image du mâle dominant qu’il
avait développé aux côtés de Catherine, et certainement envers luimême,
jamais il n’avait même envisagé de franchir le pas.
Cependant à cet instant, la curiosité et une forme de désir
encore inconnu prenaient le pas sur la transgression de son statut. Le
fait que ce ne soit pas sa propre initiative, facilitait encore le
franchissement de ce Rubicon. Il prit les bourses d’Antoine dans une
de ses paumes, puis sa verge encore flaccide de l’autre main,
approcha son visage et commença à lécher le gland circoncis qui lui
faisait face.
- Tu as envie ? lui demanda Anne.
- Je ne sais pas … J’ai jamais fait ça avec un mec.
- Eh bien, ce sera une première pour vous deux. Je suis sûre
que vous savez bien mieux que nous, vous occuper de vos queues.
Après tout vous les connaissez par coeur et vous n’ignorez rien des
sensations qui leur sont les plus agréables. Je suis certaine que vous
allez y prendre goût. Allez mon chéri, montre ce tu sais faire…
Ses dernières inhibitions s’évanouirent en entendant Anne. Il y
avait presque un défi dans ces paroles et cela ne fit qu’augmenter
l’excitation qu’il n’avait plus aucune envie de réprimer.
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glissements a liké
#36716
visnou65 a écrit :Toujours aussi excitant et je dois dire qu'alors que ma femme est avec l'un de ses amants pour la nuit ... c'est bon.

bonsoir visnou
j'espère que ces lignes te tiendront compagnie pendant que ta belle prend un plaisir moins cérébral ... :) peut être que son amant la conduira sur les traces de catherine....

amicalement
par visnou65
#37527
Hello
Semaine chargée et donc je ne découvre ce dernier extrait que maintenant ... Ma femme n'est rentrée que dimanche soir tard... elle vient de me laisser un message car un autre amant lui a offert il y a 4 heures de partir pour un weekend à St Malo en précisant "Il fait froid, il ne fait pas beau, 48 sexe non stop ..." Elle a acceptée et ne passera pas par la maison ce soir mais à promis de me tenir au courant de ses exploits!!!
#38535
Bonsoir à tous

Catherine attend avec impatience le retour de son homme et s'efforce de donner le meilleur
d'elle même dans sa maison close.
Les choses vont pendre une tournure à laquelle elle ne s'attend pas...
http://tentationdecatherine.wifeo.com/

amicalement
un extrait pour vous

HORIZONS


- Et ton chauffeur t’ouvrait la porte ?
- Oui bien sûr, c’est son job tu sais.
- Et il t’attendait ?
- Oui, ça durait parfois des heures pour des rendez-vous ou des déjeuners.
- Ça doit être super d’avoir un larbin comme ça !
- Je ne m’en rendais pas vraiment compte. C’était pratique, c’est tout. Et puis je n’étais pas une patronne très exigeante.
- Tu avais bien tort. Maintenant que c’est ton tour, tu dois comprendre que ceux qui payent et qui décident ont tous les droits. Surtout avec toi ma chatte…
- C’est sûrement vrai, mais ça n’a jamais été ma nature.
- Ça, je m’en rends compte. Pour accepter de passer de ce que tu étais à ce que tu es devenue, faut vraiment être tordue. Moi, tu vois, je t’aime bien, mais s’il fallait que je t’envoie le dans pire bordel d’Albanie, en échange du dixième de ce que tu étais, je peux t’assurer que je n’hésiterais pas une seule seconde… Mais malheureusement tu n’es pas à moi, alors faut pas rêver… Remarque déjà qu’on t’ait mise sous ma coupe, ça me fait bénéficier de pas mal d’avantages, c’est déjà ça… Alors tu comprends que moi, en dehors du plaisir que j’y prends, j’ai aucun intérêt à te faire de cadeaux.
Catherine était à genoux. Hélène nue, installée dans un fauteuil, venait de prendre un bain pour se délasser de sa journée. Sa protégée l’avait séchée coiffée, épilée, massée, avant de s’occuper d’elle-même de façon plus spartiate. Une simple douche et un shampoing à l’eau glacée, puis une friction intégrale au gant de crin. C’était sa compagne qui avait édicté cette hygiène rude.
Elle avait ensuite passé toujours avec la même appréhension cette large ceinture qui lui étranglait la taille, et à laquelle étaient fixés deux bracelets de cuir.
Se présentant ainsi devant Hélène, celle-ci, les ferma sur ses poignets. C’était ce qui lui avait été imposé après sa supplique à Marc. Elle arrivait maintenant à trouver le sommeil, mais les premières nuits, ainsi entravée, furent terribles à supporter.
La perte de l’usage de ses mains permettait par ailleurs à Hélène de l’empêcher de se caresser, même quand le sommeil ne lui permettait plus de la surveiller. Sa propre jouissance ne relevait plus de son désir mais de l’arbitraire. Pourtant, chaque soir, une fois Catherine restreinte, Hélène sollicitait sa langue pour la conduire à l’orgasme.
- Tu as fait combien aujourd’hui ?
- Quatorze clients.
- Plus la séance avec moi ?
- Oui quinze en tout.
- C’est vraiment bien. Ils vont tous être contents.
- Tous ?
- Ceux pour qui tu bosses. Mais arrête de poser des questions. Ça, il va vraiment falloir que ça te passe.
Catherine pensa qu’elle voulait parler de Marc, de ses patrons peut-être de Marina. Mais, après tout, quelle importance. Hélène la prit par les cheveux et l’inclina vers elle.
- Allez ma belle, au boulot !

Ne jamais sortir de ces murs, n’avoir de repères qu’au travers d’évaluations hebdomadaires, donnait à l’écoulement du temps une perception brouillée. Catherine savait seulement que cela faisait maintenant bien plus de quatre semaines que Marc l’avait laissée ici. Six, sept peut être, sans compter la semaine d’essai. Elle n’avait posé qu’une fois la question à Irina, mais la sanction qui s’ensuivit, la convainquit d’attendre en silence le retour de son homme.
Parfois, laconiquement on l’informait qu’il avait appelé et qu’il allait bien. C’était tout. Elle s’était résolue à ne consacrer ses pensées et son énergie qu’à son travail, et qu’à ce que ses résultats soient à son retour une source de fierté.
Un changement de son être s’était progressivement effectué. Catherine s’était doucement effacée pour faire place à une Lisa qui semblait parler d’une autre lorsque Hélène se délectait de lui faire raconter cette vie antérieure. De cet autre monde.
cath-seance-11-W.jpg
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#40924
Bonsoir à tous
le nouveau chapitre de la tentation de Catherine -Deauville-
est en ligne
http://tentationdecatherine.wifeo.com/

un extrait pour vous
amicalement

- Tu t’occupes de nous trouver deux grandes chambres
communicantes au Normandy ce week-end, Chéri…
- J’avais réservé ta suite préférée sur le jardin pour ton
anniversaire…
- C’est adorable, mais j’ai invité Damien. Il me baise si bien, tu
sais. Ça, ce sera un vrai cadeau…
- Tu dis pourtant qu’il est plutôt con…
- Et alors… Toi t’as besoin d’une intellectuelle pour te vider
les couilles, chéri ?
- Comme tu voudras…
- Je sais… Tu demandes à ta secrétaire de s’en occuper ?
- Oui.
- Ça la fera rêver cette salope. Elle te suce toujours au fait ?
- Ça t’intéresse vraiment ?
- Non, c’est juste comme ça… Mais je l’ai choisie pour te
détendre. Profites en… Tu passes me prendre chez lui vers quinze
heures ? J’ai mis mes affaires dans la voiture ce matin. Je t’embrasse,
à tout à l’heure.
Elle raccrocha sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit.
C’était toujours le cas avec elle. Il ne s’en plaignait pas, mais il
mesurait à quel point sa vie avait changé depuis qu’elle y était entrée,
pour ne pas dire qu’elle en avait pris la direction.
En un peu plus d’un an, il était passé du rôle de celui qui
décidait de tout, à celui qui se pliait à tout ce que décidait sa
compagne. Elle disposait d’une totale liberté de comportement et ne
l’y associait que si elle en décidait.
Il était vrai qu’en revanche qu’elle n’entravait en rien ses désirs
quels qu’ils soient.
En réalité cela lui importait peu, et si elle y participait parfois
c’était simplement parce que la situation, ou que la partenaire de
Marc provoquaient son propre intérêt. C’était elle qui organisait la
plupart de leurs relations, et s’était aussi introduite dans sa vie
professionnelle. Elle influençait le choix de ses contrats, même de ses
collaborateurs.
Sa secrétaire par exemple, pour professionnelle qu’elle soit, était
d’abord la femme très facile d’un de ses amants, qu’elle avait placée
auprès de lui à toutes fins utiles.
Anne l’accompagnait pratiquement lors de chacun des ses
déplacements à l’étranger, et s’occupait elle-même de lui faire
découvrir ou partager les plaisirs que chacun de ces endroits pouvait
offrir.
Après l’expérience avec Antoine, elle l’avait convaincu, de ses
dispositions pour l’homosexualité.
Même s’il y trouvait sans conteste des satisfactions jusqu’ici
ignorées, jamais cependant il ne prenait d’initiatives en ce sens.
Cela se produisait généralement lors de soirées privées avec
certains couples, ou quand elle le sollicitait pendant que ses
partenaires, venaient passer la soirée, la nuit ou même le week-end
chez eux. Passivement ou activement il pratiquait parfois la sodomie,
mais elle l’invitait le plus souvent à les sucer et rester à leur
disposition.
La plupart affichaient envers lui, une certaine condescendance
non dissimulée.
Durant un séjour en Tunisie dans un luxueux complexe
hôtelier de Djerba, elle profita de l’inscription de l’homosexualité
dans la culture locale pour lui faire pratiquer presque exclusivement
ce type de rapports sexuels avec la complicité du concierge de l’hôtel.
Un peu surpris au début, que le mâle d’un couple accepte de
servir de jeunes hommes devant ce qu’ils imaginaient être sa femme,
ceux-ci comprirent vite qu’ils n’avaient pas à manifester de retenue,
et ils furent rapidement de plus en plus nombreux à fréquenter leur
suite ou même à les inviter chez eux.
Marc associait instinctivement cette sexualité à une forme de
soumission, surtout en la pratiquant sous les yeux et la direction
d’Anne.
La Tentation de Catherine
Gabriel Buffet
330
C’était un univers qu’il découvrait et qui ne lui déplaisait pas.
Bien qu’il en eût été persuadé depuis longtemps, il percevait
clairement au travers de cette nouvelle distribution des rôles, à quel
point le terme et l’acte de possession appliqué aux relations de plaisir
recouvraient un sentiment de pouvoir.
Il arrivait parfois qu’elle-même, ceinte d’un godemiché, lui
demande de la sucer tandis qu’elle se caressait, puis le prenne.
Elle avait aussi insisté pour que Marc porte comme elle, un
piercing et malgré une certaine réticence initiale de sa part, elle
l’avait accompagné pour lui faire poser un Prince Albert, un anneau
qui traversait son gland.
Anne trouvait que cela lui procurait de fortes sensations quand
il la pénétrait et il reconnaissait quant à lui que cela le
sursensibilisait. Il était l’objet de nombreuses questions de la part de
ceux qui découvraient cela.
Un soir, à Paris, ils s’étaient rendu dans un club de la rue Sainte
Croix de la Bretonnerie, exclusivement gay, à la réputation bien
établie. Marc, vêtu d’une tenue noire stricte était loin d’arborer les
codes vestimentaires du lieu, pour lui presque caricaturaux . Cuirs
noirs, chaînes, piercings… Si l’entrée du couple avait un peu étonné,
l’attitude très directe d’Anne comme à son habitude, avait très vite
amusé et mis à l’aise la foule d’hommes présents.
Accoudée au bar, elle avait abordé un grand type au crâne rasé
et aux pectoraux moulés dans un débardeur. Ses termes étaient sans
ambiguïté et à l’unisson des conversations et des attitudes ambiantes.
Elle lui avait annoncé que son chéri avait des pulsions refoulées et
qu’elle l’avait amené ici, pour qu’on lui fasse découvrir ce qu’il
n’osait pas demander lui-même. Il en sourit et lui promit qu’il allait
faire le nécessaire pour en faire leur petite femme ce soir-là.
Quelques minutes plus tard il embrassait Marc à pleine bouche
tandis qu’il malaxait vigoureusement ses bourses au travers de son
pantalon. Quand au bout d’un moment, il annonça qu’il allait
conduire Marc dans la back room pour s’occuper de ce « petit chat »,
Anne lui tendit une poignée de préservatifs en lui disant de bien
s’occuper de ces messieurs. Pour sa part elle partait passer la nuit avec
un de ses amants et lui assura qu’elle allait être très excitée de penser
à lui entre les mains de ses nouveaux amis…
Catherine DEAUVILLE CHAP .jpg
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#44305
bonjour à tous
le nouveau chapitre de la tentation de Catherine - Rachat- vient d'être mis en ligne.
De nombreuses choses inattendues s'y déroulent...
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en voila un extrait pour vous
amicalement

Anne toujours plongée dans ses comptes, ce fut avec Irina et
Peter, que Marc échangea quelques banalités. Quelques instants plus
tard, sans qu’elle ait toujours prononcé un seul mot, Catherine suivit
Dimitri. Anne avait maintenant terminé son contrôle et refermé la
mallette
- Alors sans rancune chéri ? Et puis grâce à moi, tu disposes
d’une vraie perle maintenant…
- C’est vrai, reprit Peter… Je peux vous assurer que nous
sommes nombreux à regretter votre décision, vous devez vous en
douter…
- Je peux comprendre, mais peut-être était-ce moi qui m’étais
fourvoyé. Sachez que je ne vous en veux pas. Voulez-vous que nous
trinquions ensemble à la fin de cette expérience ?
Peter sonna aussitôt pour faire monter à boire.
Anne était étonnée de son attitude, mais elle avait obtenu ce
qu’elle voulait et peu lui importait le reste. Elle ne put cependant se
réprimer.
- Expérience qui te coûte cher mon chéri… Mais comme tu le
dis si bien, ce qui ne coûte rien ne vaut rien …
Marc esquissa un sourire.
Portant un plateau, une des filles entra. Il reconnut aussitôt
Evelyne. Elle se nommait maintenant Carla. Son exubérance avait
fait place à une attitude presque craintive et à une obéissance apprise.
- Pose ça là, dit Irina.
- Vous la connaissez, je crois ? dit-elle à Marc.
- Oui. Elle et son mari avaient été nos invités au Portugal.
- C’est cette chère Anne qui nous les a adressés et elle a eu
raison. Cette chatte avait d’une part de parfaites dispositions pour ce
métier et d’autre part son mari a su très vite comprendre son intérêt à
nous en céder entièrement l’exploitation. Il a bien sur fallu lui faire
surmonter son chagrin et lui apprendre de nouvelles règles, mais
maintenant notre Carla s’est parfaitement adaptée. N’est-ce pas ma
chérie ?
- Oui Madame.
Tandis qu’elle se baissait pour poser le seau et les verres, Marc
reconnut le petit tatouage, et sourit. Mais les autres marques de la
maison prouvaient son évolution depuis. Elle sortit sans un mot.
- Je ne voulais pas en parler devant elle, mais son mari est
vraiment nul en affaires. Il nous l’a cédée pour à peine le quart de ce
nous étions prêts à payer.
- Pour combien de temps ?
- En toute propriété et c’est extrêmement intéressant pour
nous. Il s’est laissé séduire par une gamine, a divorcé au bout de
quelques mois de son placement, et nous a cédé la dette de Carla,
contre un petit supplément.
Irina se leva pour prendre la bouteille et emplit les verres. Ils les
levèrent, le cristal tinta. La discussion se poursuivit dans l’attente du
retour de Catherine.
Anne s’était progressivement alanguie dans son profond fauteuil
et semblait se laisser aller à une certaine somnolence. Elle posa sa
coupe avec difficulté et quelques secondes plus tard le contrôle de
son corps sembla lui échapper.
Les yeux toujours ouverts, elle avait mentalement quitté la
réalité de ce qui l’entourait. Marc s’était tu et observait cette
métamorphose.
- C’est fait ?
- Oui c’est pratiquement immédiat, répondit Irina, et j’ai mis
la dose nécessaire.
- Du GHB ?
- Oui.
- Elle est consciente ?
- Oui. Elle n’a perdu que toute forme de volonté, de décision
ainsi que la mémoire de ce qu’elle fait.
- C’est ce qu’elle avait fait prendre à Catherine ?
- Non. Elle, c’était des amphétamines. Elle voulait qu’elle soit
totalement consciente de ce qu’elle lui faisait subir.
- L’effet va durer combien de temps ?
- Environ deux jours.
- Parfait.
Marc sortit une épaisse enveloppe de sa veste et la leur tendit.
- Cette chérie était trop sûre d’elle pour ne pas en payer le prix.
Je pense qu’elle n’avait même pas imaginé que ce que vous aviez
accepté d’elle, vous étiez totalement ouverts à en faire autant pour
moi.
- D’autant plus qu’elle sera seule à ne pas pouvoir se souvenir
ce qu’elle va subir, sourit Irina. Dimitri sera là d’ici quelques
instants. Dans quelques heures, elle aura pris la place de Lisa à
Anvers.
- Nous sommes bien d’accord, je veux qu’elle ait le même
traitement que celui qu’elle lui a infligé.
- N’ayez crainte. Elle fera comme convenu dix jours d’abattage
intensif, et comme vous avez eu la générosité de nous offrir le
bénéfice de son travail, nous allons faire en sorte qu’elle compense
un peu la perte de votre épouse.
- Combien en fera t elle ?
- Au moins mille deux cent
- Et elle n’aura aucun souvenir ?
- Elle, non rien de précis, mais sa chatte et son cul… si… Et
elle sera battue avec la même fréquence que Catherine, ne serait-ce
que pour lui redonner de la vigueur. Et elle aura régulièrement sa
dose pour la maintenir dans cet état
- Parfait, et n’oubliez pas d’en faire une vidéo qui pourra
toujours m’être utile un jour.
- C’est prévu.
Marc la regardait, presque inerte, éprouvant une satisfaction
qu’il ne dissimulait pas. Il ne put se retenir de tester l’impuissance de
cette incarnation de la cruauté maintenant asservie, et s’approcha
d’elle.
- Elle n’est pas en mesure de parler, mais elle peut comprendre
et obéir.
- Lèves-toi salope ! et fous toi à poil !
Avec lenteur, mécaniquement, Anne obéit puis resta plantée
devant eux.
Marc prit une poignée de ses cheveux et la força à se mettre à
genoux en la giflant, sans provoquer de réaction.
- Suce-moi salope !
Il avait repris place dans le canapé et Anne s’exécutait comme
dans un film au ralenti.
- Irina, vous pouvez la cravacher pour lui donner un peu
d’entrain
chapitre 20 rachat.jpg
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#47311
bonsoir à tous

la quête de Catherine touche à sa fin
c'est l'avant dernier épisode
amicalement

CHAPITRE XIX
L’OUBLI
Même si l’histoire semblait se répéter, tous savaient que cette
fois l’issue allait en être bien différente.
Catherine était resplendissante. Elle était entrée dans le bureau
de Peter et Irina vêtue d’un long manteau de vison noir côtelé.
Dessous, elle apparut dans un tailleur Chanel taillé sur mesure à sa
plastique. Jupe au genou, décolleté discret, elle était l’image de la
distinction et de l’aisance matérielle.
Un court collier de saphirs et de brillants ornait son cou. À
chacun de ses poignets, plusieurs bracelets et épaisses gourmettes en
or. À ses doigts enfin un solitaire de plusieurs carats, une
constellation, plusieurs autres bagues serties de pierres, et son
alliance. Tout était en harmonie et ne donnait aucune impression
d’étalage ostentatoire.
Irina avait complimenté Catherine pour son élégance, et
comme si rien ne s’était déroulé jamais entre eux, ils furent reçus
chaleureusement , mais sans aucune familiarité.
Le vouvoiement était de mise entre tous et une discussion de
bon ton s’installa. Marc évoquait avec Peter leurs voyages, tandis
qu’Irina s’enquérait auprès de Catherine de la provenance de sa
tenue et de ses bijoux. Ce fut elle-même qui fit le service et emplit
les coupes d’un champagne millésimé.
Les lourdes tentures toujours tirées, la pièce n’était éclairée que
par plusieurs lampes dont les abat-jour dispensaient une lumière
ambrée. De grosses bûches crépitaient dans l’âtre de la cheminée et
participaient à cette ambiance chaude et feutrée
Catherine Menottes NB2 ref.jpg
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par cocu59
#48246
Un énorme bravo pour le livre swinging paris.
rarement lu un livre traitant ce genre de littérature aussi bien écrit.
Nous aurions pu l'écrire à peu de chose prêt.
Nous avons du nous croiser.
#49546
bonjour
merci beaucoup de votre message
j'y suis très sensible. Oui peut être nous sommes nous croisés...
car c'est en effet autobiographique vous avez pu le constater...
Le livre sera bientôt en ligne comme la Tentation
très amicalement

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