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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par cpl75marichaste
#773
Bonjour a vous tous

J'aime ici sentir que les gens qui participent à ce forum
vivent pleinement notre pulsion commune de candaulisme,
qu'elle soit ancrée dans la réalité ou fantasmée mais qu'importe du moment qu'elle est sincère.
Pour notre part j'ai voulu écrire un livre sur notre parcours.
Je ne veux pas faire de "publicité" pour celui-ci, je l'ai juste écrit pour le plaisir de partager
Pour vous tous je vous en met un extrait ici et je peux vous assurer que c'est du très "reel"
ce fut la première vraie expérience "black de groupe" de mon adorée
(cela se nomme "Swinging Paris")

Amicalement
Avant leur arrivée, il avait préparé la chambre et couvert les lampes de tissus rouges afin de tamiser la lumière. Il savait qu’elle aimait cette ambiance qui flattait encore plus sa plastique. Mais ils avaient disparu. Cela ne devait pas correspondre à leurs attentes, et il n’y avait plus place à la suggestion. Les corps se dessinaient avec précision.
Ce contraste des peaux, parfois aperçu dans la pénombre des clubs, était magnifié. Ce corps mince et pâle entre deux masses de muscles bruns. Caroline accroupie et empalée sur l’homme allongé, suçait et branlait celui qui lui faisait face debout.
Un membre noir anthracite d’une taille qui semblait sortir tout droit d’une bande dessinée porno. C’était « lui ». Elle avait parlé de Bobby, mais ce qui entrait et sortait de sa bouche et qu’elle caressait à deux mains, était à peine humain… Pourtant, dès qu’elle libérait sa bouche, ses mots ne traduisaient qu’une excitation vorace. A un point qu’il ignorait presque. Ses ongles rouges griffaient les bourses, sa fine langue rose se faisait pointue et agaçait l’énorme gland foncé avant de l’engouffrer à nouveau. String et soutien-gorge avaient disparu. Ses seins libres et lourds battaient contre sa poitrine tandis que d’elle-même elle allait et venait sur la verge parée de l’or des fines lèvres rosées qu’elle écartelait. Même si elle ne rivalisait pas avec celle que Caroline branlait et suçait presque avec brutalité, elle n’était pas moins d’une taille remarquable. Mentalement Nicolas l’estima environ au double la sienne, alors qu’il se considérait déjà comme convenablement gâté par la nature. Pourtant il voyait ces deux fesses descendre sans appréhension jusqu’aux bourses, puis s’agiter avec vigueur, comme si elle désirait encore plus le sentir en elle.
Debout, à côté de Nicolas, l’homme regardait et caressait lentement son sexe maintenant en érection.
- Ca va être à ton tour…
- De baiser ta femme ?
- Oui.
A nouveau l’homme lui sourit.
- Mais c’est déjà fait… dans sa chatte et j’ai joui dans sa bouche. Mais ne t’inquiètes pas, j’y retourne. Tu n’avais pas menti c’est une gourmande ta chérie, elle aime la bite …
En les entendant Caroline, libéra sa bouche et se tourna vers eux.
- Alors ça te plait chéri ? Ta petite femme qui se fait défoncer par d’énormes bites de noirs sous tes yeux. C’est ça que tu voulais non ?
L’obscénité et la spontanéité des paroles de Caroline le mit un peu mal à l’aise.
- Et puis je peux te dire que ça c’est de la bite et que ça mollit pas. Montre moi au moins si ça te fais bander !
Contrairement aux trois hommes entièrement nus il n’ouvrit que sa braguette et son sexe jaillit aussitôt et spontanément il commença se caresser.
- C’est bien mon amour ! Viens Adou ! montrez lui comment vous me faites gueuler !
Elle tendit la main vers son voisin qui monta sur le lit. Ce devait être le fesseur. Ses larges mains se mirent à claquer ses les globes roses, tandis que l’homme sous elle, la maintenait par la taille pour qu’elle ne puisse s’y soustraire. La bouche et le sexe envahis par ces sexes qui semblaient infatigables, son fessier sursautait et rougissait sous les commentaires des trois hommes qui semblaient avoir oublié la présence de Nicolas.
- T’aimes ça les bites de blacks ! hein ! c’est bon ?
Bâillonnée par le colosse de chair et maîtrisée par la main de son détenteur, elle ne pu que faire un hochement de tête d’approbation.
- Alors on va te montrer comment on aime s’occuper de petites bourgeoises vicieuses comme toi.
L’homme allongé fit glisser ses mains pour l’enlacer et la plaquer contre son torse. Elle avait compris.
- Non je n’aime pas ça ! et vous êtes trop gros !
- Ne t’inquiète pas chérie, on est des spécialistes ! on n’a jamais eu de plaintes ! Ils éclatèrent de rire.
Nicolas hésita à intervenir mais les accents de Caroline ne trahissaient pas vraiment de refus. Plutôt une posture. Ce « Non » qui n’en était pas un.
Adou cracha dans ses mains et en lubrifia le préservatif sur son sexe.
- Détends toi chérie, et cambre ton cul ! Tu voulais du black, tu vas voir c’est ce qu’il y de meilleur avec nous!
Lentement le gland s’immisça entre ses fesses. Ce fut elle qui serra alors l’homme qui la plaquait contre lui, lorsque qu’elle sentit son œillet se distendre sous la poussée forte et continue de l’intrus.
Jusque là, elle avait peu prisé ce type de pénétration, mais était-ce l’épaisseur de l’animalité ambiante, la rage sexuelle qu’ils avaient faite émerger d’elle, la contrainte acceptée, ou la provocation de se comporter ainsi devant Nicolas, l’intromission qui progressait et l’écartelait, rencontrait un nouveau plaisir mental et physique mêlé.
Presque hypnotisé , Nicolas regardait ce sexe noir progresser en elle sans à coups, semblant ne pas devoir finir, jusqu’à ce que les deux bourses butent contre les fesses. Il avait vu bien souvent des sexes pénétrer Caroline et l’émotion s’était émoussée. Pas cette fois.
La violence de la scène ne lui provoquait pas d’envie de s’y mêler, mais au contraire de la prendre dans ses bras, et la réconforter dans cette épreuve. Son enculeur s’était arrêté. L’homme qui lui faisait face releva ses cheveux blonds.
- Tu aimes ça chérie ?
- Maintenant, oui… il a été doux
- Et dur ?..
- Oh ça oui ! et il l’est encore…
- Elle esquissa un sourire et tourna son regard vers Nicolas
- Viens m’embrasser, chéri !
Aussitôt leurs bouches s’unirent et il perçut distinctement le goût des sexes qui s’y étaient succédés. Elle prit son sexe et le branla de deux doigts.
- Elle bande bien ta petite bite mon chéri… mais c’est vrai qu’elle n’a rien à voir avec celles de nos amis… Remarque c’est suffisant pour juste regarder…
Nicolas sourit. Il ne ressentait aucune gêne de cette remarque ironique, bien plutôt un sourd plaisir de cette connivence qu’elle lui confirmait ainsi partager.
- Allez assied-toi, je crois que pour moi ça va vraiment commencer…
Etait ce pour les provoquer, leur faire comprendre par défi qu’elle ne considérait ce qui s’était déroulé jusque-là, que comme de simples préliminaires, quoiqu’il en soit, piqué au vif celui qui emplissait ses fesses et immobile jusque là donna un brusque coup de reins qui la fit taire aussitôt.
- Il t’encule ton mari ?
- Non …c’est rare…
- Alors on va t’assouplir le cul comme il faut pour lui rendre service…
Commencèrent des va et vient de plus en plus rapides, bientôt presque ininterrompus, qui lui tiraient cris, ahanements et gémissements. Elle n’aimait pas la douleur gratuite, et la voir tendre ses fesses à son présumé bourreau, laissait supposer que cet apprentissage n’était pas aussi pénible que Nicolas avait pu le redouter.
Etait-ce parce que c’était sous ses yeux, était-ce parce qu’elle avait laissé ses sens prendre le dessus, mais elle s’associait aucune retenue à cette étreinte et répondait par l’affirmative et des encouragements à poursuivre, lorsque l’homme lui demandait si c’était bon et si elle en voulait encore. Son enculage dura de très longues minutes. Le colosse avait repris place dans sa bouche. Elle secouait presque frénétiquement le visage, faisant voler sa chevelure. L’homme sous elle ne la maintenait plus. Il se glissa pour se dégager.
- A moi !
Sans avoir joui, Adou toujours rigide, se retira et laissa la place qui fut investie cette fois sans effort malgré une taille tout aussi remarquable. Il se branlait négligemment aux côtés de Nicolas.
- C’est vrai que tu ne l’encules pas ?
- Non. Elle me disait ne pas aimer ça et je n’ai insisté. A vrai dire ça ne me manque pas.
- Tu as tort. C’est bien meilleur que la baise et c’est comme ça qu’on les possède vraiment. Surtout les vraies salopes, mais faut pas s’arrêter à leurs minauderies. On en a enculé pas mal et je peux t’assurer que ta femme elle aime …
- Elle accepte peut-être seulement ?
- Des bites comme les nôtres ? Si elle y trouvait pas son compte, il y a longtemps qu’elle t’aurait demandé qu’on s’en aille… regarde plutôt comme elle frétille sa croupe avec pourtant les vingt cinq centimètres de bite de mon copain dans le cul…
Pour lui confirmer ses dires il s’approcha d’elle.
- T’aimes ça salope… ? hein ?
Caroline libéra sa bouche un instant.
- Vous êtes gros ! Ca m’a fait mal.
- Et maintenant ?
Pour éviter de répondre Caroline avait repris le colosse entre ses lèvres. Adou claqua ses fesses.
- Alors maintenant ça te plait ?
Toujours muette, il réitéra sa question en appuyant cette fois son geste et parvint à ses fins. Caroline émit un simple « oui » à peine audible.
- Oui quoi ?
- Oui ça me plait !
- Qu’est ce qui te plait ? Allez précise pour ton mari !
Il frappa à nouveau sa croupe. Tout son corps vibrait des enculades. Abandonnant d’un coup toute contenance, elle se tourna vers Adou, assurée et arrogante.
- Ca me plait de me faire enculer par vos grosses bites. C’est bon, c’est chaud, c’est dur. Je les sens bien au fond de mon ventre et quand elles forcent mon petit trou.
Elle s‘était mise à branler Adou.
- J’aime vos grosses bites noires ! Elles m’excitent et ça me fait du bien !
Ses mots avaient fait monter la tension dans la pièce. L’homme la tenait par les hanches et allait de plus en vite et de plus en plus fort en elle. Adou jeta sa capote et investit sa bouche libre. Nicolas se branlait frénétiquement devant le spectacle. L’enculeur la traita de bonne pute à blacks en jouissant. Il laissa sa place, ruisselant de sueur et glissant deux doigts dans l’orifice encore béant s’adressa au colosse.
- Elle est prête pour toi cette salope ! Et elle en veut …
Comprenant ce qui s’annonçait, Caroline se libéra d’Adou et se releva un peu.
- Non pas lui ! je ne pourrais pas ! Chéri dis leur !
D’une seule main, l’homme plaqua son dos sur le lit.
- Mais si tu vas y arriver et ça te fera des souvenirs! dit-il en riant. Et ton chéri, il va laisser faire pour lui avoir raconté des bobards…
- Salauds !
Paradoxalement, l’intonation de l’insulte valait acceptation. Plongeant le visage dans un oreiller, elle tendit la main à Nicolas qui s’installa près d’elle et entrelaça leurs doigts. A quelques centimètre cette fois, il pu se rendre compte de la taille de ce membre, et à quel point le simple diamètre du gland excédait de très loin, l’œillet un peu refermé face auquel il pointait. Quant à la longueur, il semblait physiquement impossible que caroline puisse l’accepter entièrement. Et pourtant…
Les doigts de Caroline s’incrustèrent dans les siens à la première poussée, puis se détendirent tandis que la colonne de chair brune progressait lentement en elle jusqu’à ce que, pour lui aussi, ses bourses viennent y mettre un terme.
- Ca va chérie ?
La question resta sans réponse. L’homme avait commencé son œuvre. Caroline haletait, gémissait n’articulait plus un mot. Elle semblait ne faire qu’un avec le corps d’ébène. Elle lâcha la main de son mari, tendit ses bras en arrière et les unit à ceux de l’homme. Le mouvement des deux corps n’était plus qu’un. Lorsque le spasme commença à croître, il les anima de concert jusqu'à ce qu’un cri ultime s’élève de leurs tripes et de leurs gorges.
Pour Nicolas, c’était presque irréel d’assister à un tel spectacle d’abandon et d’animalité. Elle qui jamais ne laissait ses pulsions prendre le contrôle de son comportement. Elle se tourna vers l’homme, encore unis et l’embrassa.
- Merci. C’était bon. A toi chéri ! Viens !
Nicolas hésita. Voulait-elle qu’il prenne la place vacante ? N’en était- elle pas repue ? Lorsqu’il vit Caroline emboucher Adou, il comprit ce qu’elle attendait de lui. Cette fois elle demeurait béante. C’était obscène mais hypnotique. Son sexe entra presque sans sentir ses parois intimes. Lui qui avait toujours hésité à forcer cet anneau rosé, y coulissait maintenant plus facilement que dans sa bouche.
- Tu es dans mon cul, chéri ? Je ne sens rien !...
Elle le provoquait sciemment et il amplifia ses coups de reins.
- C’est mieux ! Allez videz vos queues! Remplissez-moi bien !
Piqués au vif, ils la firent ballotter d’un sexe à l’autre et leurs semences chaudes se déversèrent en elle.
Tous quatre, épuisés gisaient sur le lit. Elle dans ses bras. Tendre et amoureuse. De retour sur terre.
Modifié en dernier par cpl75marichaste le 18 sept. 2009, 14:00, modifié 1 fois.
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par cpl75marichaste
#798
alors en voilà un autre passage.
Un des premier amants de mon épouse, damien.
D’un commun accord, Damien, même si en réalité il n’était que l’instrument de leurs fantasmes, assurait lors de ces soirées le rôle du mâle dominant au sein du trio. Caroline donnait libre cours à des pulsions souvent suggérées par Nicolas, parfois issue de sa propre imagination, ce qui le réjouissait au plus haut point. Il arrivait que Caroline se mette à longuement à la sucer au salon , encore tout habillé, tandis qu’il discutait avec Nicolas puis d’un coup se lève le prenne par la main et lance à son mari.
- On va baiser, chéri. Tu nous laisses tranquilles, mais tu peux venir écouter et te branler derrière la porte. Du moment qu’on ne t’entends pas…
Puis ils disparaissaient et Nicolas se régalait des mots et des gémissements qu’il savait lui être en grande partie destinés.
Rassurée sur le peu de limites qu’elle savait maintenant devoir s’imposer, ce fut elle qui leur demanda un jour de la suivre ensemble dans la chambre et de se mettre nus. Dévêtue elle se plaqua à Damien et l’embrassa. Enlacés, ils se caressaient ainsi, debout
- Chéri viens près de nous !
Nicolas s’approcha
- Prends la queue de Damien dans ta main !
Il fut un peu déstabilisé. Si l’homosexualité était un sujet qu’il abordait sans malaise, jamais il n’avait même envisagé de faire un pas dans ce sens. Il savait que d’aucuns associaient le désir de partager sa femme avec d’autres hommes, à une homosexualité refoulée ou non assumée, mais n’avait jamais même éprouvé une quelconque curiosité pour cela. Même pas un vague pensée.
En souriant, Caroline prit sa main et la posa sur la verge érigée de son amant.
- Caresse-la, mon amour. Elle est belle, hein…? tu comprends pourquoi j’aime tant la sentir dans mon ventre et mes reins…
Il se taisait et hochait la tête. Sentir un autre le sexe que le sien entre ses doigts n’était pas désagréable et instinctivement, il se mit à lui prodiguer la même caresse qu’à lui-même. Après à peine quelques minutes, elle rompit à nouveau le silence et une l’épaisse sensualité qui s’était installée.
- Prends-la dans ta bouche maintenant… Prépares-la bien à pénétrer ton épouse…
Caroline avait posément articulé ces derniers mots. Comme un cadeau à son attirance pour ce jeu de possession qu’il aimait pousser si loin.
Lui faire sucer un homme, son amant, devant elle, faire ce simulacre d’acte d’allégeance à ce rival. Etait-ce un pas qu’elle faisait dans l’imaginaire de Nicolas ? Satisfaisait-elle le sien ? Etait-ce le fruit d’un désir évoqué par Damien ?
Pourtant, presque sans hésiter, alors qu’il allait transgresser d’un coup une hétérosexualité exclusive jusqu’alors, et perdre son statut « dominant » devant ses yeux, il se mit lentement à genoux auprès d’eux, et, comme il l’avait vue faire si souvent, lécha par petits coups de langue le gland qui lui faisait face avant de le glisser dans sa bouche. Etait-ce la découverte de cette caresse nouvelle, était-ce cette situation humiliante, mais Nicolas y trouvait un plaisir indéniable auquel il commença à se consacrer avec application.
Cette verge dans sa bouche était plutôt agréable et oubliant presque que c’était une demande de Caroline, il déploya des qualités ignorées de lui-même, peut-être celles dont il aimait particulièrement bénéficier de sa part.
Collée à son côté, ils s’embrassaient, se caressaient
- Il suce bien ?
- Oui …vraiment très bien…
- Mieux que moi ?
- C’est différent, mais tu sais un homme connaît parfaitement ce qui lui fait du bien…
- En tout cas, ça le fait bander… Regardes !
Nicolas affichait en effet une érection remarquable qu’elle vint taquiner du bout de son talon aiguille
- Il va finir pas y prendre goût, et toi aussi , dit elle en souriant, ne te laisses pas aller, elle est pour moi !
Caroline bascula sur le lit, se mit en levrette.
- Viens maintenant chéri, j’ai envie de toi
Elle avait à dessein voulu maintenir l’ambiguïté en usant de ce « chéri » et tous deux s’approchèrent
- Termines ton travail, chéri ! Guides la bien dans ma petite chatte, et regardes comme elle mouille.
Damien était déjà à genoux derrière elle, Nicolas reprit son membre à la main et l’approcha des lèvres luisantes. Le gland disparut puis les reins de de son amant se mirent à l’œuvre devant ses yeux.
- Ca te plait hein… ? Allonges toi près de moi, caresses lui les couilles, branles toi et regardes nous jouir mon amour.
Ces mots crus, si rares dans sa bouche, étaient comme un cadeau qu’il savourait.
Ils passèrent ainsi la nuit tous les trois, Caroline maîtresse de ce jeu de rôles qu’il assuma comme une catharsis. Jusqu’à lécher la semence de Damien en elle.
Au matin, quand il les quitta, les personnages avaient repris leurs places.
- Tu as aimé mon amour ?
- Que tu diriges ?
- Oui et de sucer un autre homme…
- Parce que c’était devant toi et que tu le voulais, oui…
- Tu voudrais recommencer ?
- Si tu en as envie, pourquoi pas…
- Alors on verra. Je t’aime tu sais…
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par cpl75marichaste
#803
merci du compliment.. sourire
mais il ne fait que retranscrire du réel ... c'est ma chérie qui m'inspire... et cela me fait penser a elle
par Patrick
#810
:?:
Modifié en dernier par Patrick le 23 sept. 2009, 14:09, modifié 1 fois.
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par cpl75marichaste
#814
tu sais le livre fait 270 pages.... je ne vais pas tout mettre ici ... il faut de la place pour toute le monde
merci en tout cas
j'en remet un dernier je prefere parler avec vous du présent
Ce furent ses premiers pas dans les jeux de soumission avec un couple au Roi René et c'est toujours du réel ...

Faisant face à Nicolas, elle était installée entre ses deux amis, qui l’une comme l’autre caressaient négligemment ses cuisses jusqu’au plus haut.
- On va faire un tour à la salle de billard ? ça doit être calme, dit Gérard
- Bien sûr mon chéri ! répondit Bernadette avec un sous-entendu complice. Tu prends les choses en main ?
- Oui. C’est mon tour maintenant non ? Vous nous rejoignez dans quelques minutes ?
Il prit Caroline par la main et la fit entrer dans cette pièce toute proche, très peu éclairée. Nicolas s’apprêtait à les suivre, mais Bernadette le retint.
- On va leur laisser une peu d’intimité avant de les rejoindre. Je suis sure que ça te plaira.
Il sentait qu’il n’était plus le seul maître du jeu mais ce glissement était assez délicieux et son imaginaire s’envolait encore plus qu’à l’habitude durant ce moment d’attente.
Quand enfin Bernadette l’invita à la suivre, ses yeux mirent quelques secondes à s’habituer à la pénombre. Trois ou quatre couples étaient assis sur les banquettes qui bordaient la pièce. Au centre sur le feutre vert de la table, Caroline, nue à l’exception de sa lingerie et ses talons, était agenouillée, jambes écartées, visage et coudes sur la table et mains jointes derrière la nuque. Gérard, torse nu, seul son sexe érigé émergeait de son pantalon. Il lui assénait quelques fermes fessées qu’il alternait avec des caresses sur ses cheveux. Ses cuisses largement ouvertes dévoilaient son sexe nu, et l’or de ses anneaux et de son pendentif accrochait les faibles rayons des spots d’ambiance. Il les faisait tinter par d’expertes petites claques ciblées. Ils les observèrent un instant sans bouger. Gérard venait de présenter son sexe devant la bouche de Caroline, qui aussitôt avait relevé le visage sans aucun autre mouvement, et prodigué la caresse souhaitée. Ce fut bref. Certainement frustrant pour elle. Certainement le but recherché.
- Avoue que tu aimes être soumise !
- Oui.
- Oui quoi ?
- Oui j’aime être soumise.`
- Plus fort je n’entends rien !
- Oui j’aime être soumise !
- C’est pour ça que tu portes des anneaux ?
- Oui c’est pour ça.
La voix de Caroline hésitait entre sincérité et répétition sans vraie conviction des paroles qu’il lui faisait prononcer. Elle y parvenait cependant à la seconde ou troisième reprise, abandonnant ses interdits.
- Tu veux devenir notre soumise ?
- Je ne sais pas…
- Un claque s’abattit sur ses fesses.
- Tu veux devenir notre soumise ?
- Oui … peut-être
- Sois sincère quand tu réponds !
- Une autre claque
- Oui … j’aimerais
- Plus fort !
- Oui j’ai envie d’être votre soumise.
- C’est bien !
Il fit signe discrètement à sa compagne qui s’approcha du visage de Caroline.
- Mais ce ne sont que des paroles. Tu as déjà accepté la marque de ta maîtresse, maintenant je vais t’offrir la mienne. Demandes la et mérites la !
Bernadette avait pris ses mains dans les siennes et lui faisant face, l’embrassait. Elle l’encourageait aussi sans qu’on les entende, à répondre comme il l’attendait. D’un ton assuré et serein, sans emphase, elle s’exprima d’une voix très intelligible pour tous les présents.
- Oui je veux porter vos marques à tous les deux. J’ai envie d’être votre soumise.
Ce fut certainement Nicolas qui ressentit le plus fort frisson à entendre ces mots qui ne cachaient pas leur sincérité même si la situation avait fait prendre le pas aux sens sur la raison. Son épouse, son amour, qui déclarait sa soumission à d’autres que lui et acceptait de la reconnaître publiquement. Et ce n’était pas de sa part un simple jeu. Jamais elle n’acceptait de sortir de son intime réserve si elle n’éprouvait pas une forme de sentiment à l’endroit de celle ou celui pour qui elle franchissait ce pas, il le savait et allait le découvrir bien plus encore.
Mais dès ce moment, le bonheur de partager son existence avec une femme qui se révélait autre et nouvelle était une félicité incomparable. Une femme qu’il se devait d’à nouveau séduire quotidiennement, qui l’étonnait, qui accordait à d’autres ce qu’il n’aurait pas imaginé lui demander, ce qu’elle n’aurait pas accepté de lui par amour. Mais le plaisir n’est pas l’amour, il avait essayé de le lui expliquer par les mots, mais c’est elle qui lui en donnait la preuve par les actes
Certainement sur les indications de Bernadette, elle creusa son dos, tandis que celle-ci lui maintenait fermement les bras. Gérard qui n’était pas homme à s’encombrer d’accessoires symboliques, défit sa ceinture d’un coup, enroula la boucle et un tiers de sa longueur dans sa main. Caroline ne pouvait voir ce qu’il faisait, mais Nicolas s’inquiéta brusquement d’autant que le regard et le rictus presque cruel qu’il apercevait lui faisait craindre le pire. Elle n’était pas prête pour ça. Le jeu dérapait. L’ambiance était épaisse, prégnante. Il s’approcha d’eux, mais Bernadette le retint et lui parla doucement.
- Elle sait. Elle l’accepte. Fais confiance à Gérard, il ira juste un peu delà de ses limites. Tu verras
- Alors tu veux être notre soumise, ma chérie ?
- Caroline de différait ni n’amputait plus ses réponses
- Oui j’ai envie de vous être soumise, de vous obéir, de faire ce que vous voudrez.
- Et qu’est ce qui est nécessaire avec une soumise , ma chérie?
- Là elle reprit sa respiration et sa voix se fit moins assurée.
- La corriger.
- Mieux que ça !
- La corriger.
- Et il faut un motif ?
- Non, c’est normal c’est tout.
- Et c’est ce que tu désires ?
- Oui j’en ai envie. Fais ce qu’il me faut
A peine cette phrase prononcée la lanière de cuir s’abattit avec force en travers de ses fesses. La pénombre ne permettait pas de distinguer la longue marque qui venait de se dessiner, mais le cri de Caroline et la torsion de son corps en faisaient foi. Le bras de Gérard continua à oeuvrer sans faiblesse. Elle se tordait, criait, pleurait, les sanglots de ses larmes troublaient ses réponses lorsqu’il lui demandait si elle en voulait encore et qu’elle acquiesçait. Elle s’abandonnait aux bras de Bernadette qui l’embrassait. Il lui en asséna une quinzaine de coups. Trois au delà de sa supplique d’arrêter. Il jeta d’un coup sa ceinture , monta d’un coup sur la table, constata de la main que Caroline était trempée et s’introduisit en elle sans ménagement, avant de jouir en quelques coups de reins et lui tirer cette fois des râles de jouissance sans équivoque.
Après un dernier baiser à sa complice elle se tourna vers son bourreau, lui émit à haute voix un merci épanoui et lui enlaça le cou pour l’embrasser longuement. Tous deux l’aidèrent à se remettre sur pied. Son rimmel dessinait de longues coulées le long de ses joues, mais elle souriait. Un sourire serein et profond. Elle se jeta dans les bras de Nicolas.
- Ca t’a plu mon chéri ?
- C’était au-delà de mes fantasmes . Et à toi ?
- Oui.
L’excitation retombée, les mots n’avaient plus leur place. Elle se retira pour reprendre un aspect plus socialement correct. Redevenir l’image qui était celle de tous. Les trois autres reprirent un semblant de conversation banale, implicitement sous-tendue par ce qui venait de se dérouler. Nicolas était à la fois dans une admiration et un trouble total de la femme qu’il venait de découvrir.
Lorsque qu’elle les rejoignit rien ne transparaissait de ce que venait se dérouler. Ses mots au contraire ne semblaient n’avoir pour but ne venaient que de dédramatiser la force et la signification des instants précédents.
Ils se séparèrent enfin de simples baisers de convenance et des poignées de main. Cependant les deux femmes convinrent de se téléphoner et de se revoir rapidement. Ce furent pas que des paroles.
par hbreton56
#821
270 pages d'un érotisme aussi intense, sisi j'insiste nous en voulons et nous devons pas être les seuls !
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par cpl75marichaste
#825
Merci c'est gentil mais il vaut mieux lire de livre par le début
C'est facile à trouver . Ca se nomme "Swinging Paris" Je ne vous incite pas à l'acheter je ne suis pas la pour ça. C''etait juste pour vous faire plaisir comme beaucoup le font ici en racontant ou leur histoire ou leur fantasmes.
par DesDesirs
#831
Bonjour,
J'ai vu avec l'admin, il n'y a pas de soucis pour cette "info publicité" accompagné de ces larges extraits.
par philippe et olga
#841
cpl75marichaste a écrit :Bonjour a vous tous

J'aime ici sentir que les gens qui participent à ce forum
vivent pleinement notre pulsion commune de candaulisme,
qu'elle soit ancrée dans la réalité ou fantasmée mais qu'importe du moment qu'elle est sincère.
Pour notre part j'ai voulu écrire un livre sur notre parcours.
Je ne veux pas faire de "publicité" pour celui-ci, je l'ai juste écrit pour le plaisir de partager
Pour vous tous je vous en met un extrait ici et je peux vous assurer que c'est du très "reel"
ce fut la première vraie expérience "black de groupe" de mon adorée
(cela se nomme "Swinging Paris")

Amicalement
Avant leur arrivée, il avait préparé la chambre et couvert les lampes de tissus rouges afin de tamiser la lumière. Il savait qu’elle aimait cette ambiance qui flattait encore plus sa plastique. Mais ils avaient disparu. Cela ne devait pas correspondre à leurs attentes, et il n’y avait plus place à la suggestion. Les corps se dessinaient avec précision.
Ce contraste des peaux, parfois aperçu dans la pénombre des clubs, était magnifié. Ce corps mince et pâle entre deux masses de muscles bruns. Caroline accroupie et empalée sur l’homme allongé, suçait et branlait celui qui lui faisait face debout.
Un membre noir anthracite d’une taille qui semblait sortir tout droit d’une bande dessinée porno. C’était « lui ». Elle avait parlé de Bobby, mais ce qui entrait et sortait de sa bouche et qu’elle caressait à deux mains, était à peine humain… Pourtant, dès qu’elle libérait sa bouche, ses mots ne traduisaient qu’une excitation vorace. A un point qu’il ignorait presque. Ses ongles rouges griffaient les bourses, sa fine langue rose se faisait pointue et agaçait l’énorme gland foncé avant de l’engouffrer à nouveau. String et soutien-gorge avaient disparu. Ses seins libres et lourds battaient contre sa poitrine tandis que d’elle-même elle allait et venait sur la verge parée de l’or des fines lèvres rosées qu’elle écartelait. Même si elle ne rivalisait pas avec celle que Caroline branlait et suçait presque avec brutalité, elle n’était pas moins d’une taille remarquable. Mentalement Nicolas l’estima environ au double la sienne, alors qu’il se considérait déjà comme convenablement gâté par la nature. Pourtant il voyait ces deux fesses descendre sans appréhension jusqu’aux bourses, puis s’agiter avec vigueur, comme si elle désirait encore plus le sentir en elle.
Debout, à côté de Nicolas, l’homme regardait et caressait lentement son sexe maintenant en érection.
- Ca va être à ton tour…
- De baiser ta femme ?
- Oui.
A nouveau l’homme lui sourit.
- Mais c’est déjà fait… dans sa chatte et j’ai joui dans sa bouche. Mais ne t’inquiètes pas, j’y retourne. Tu n’avais pas menti c’est une gourmande ta chérie, elle aime la bite …
En les entendant Caroline, libéra sa bouche et se tourna vers eux.
- Alors ça te plait chéri ? Ta petite femme qui se fait défoncer par d’énormes bites de noirs sous tes yeux. C’est ça que tu voulais non ?
L’obscénité et la spontanéité des paroles de Caroline le mit un peu mal à l’aise.
- Et puis je peux te dire que ça c’est de la bite et que ça mollit pas. Montre moi au moins si ça te fais bander !
Contrairement aux trois hommes entièrement nus il n’ouvrit que sa braguette et son sexe jaillit aussitôt et spontanément il commença se caresser.
- C’est bien mon amour ! Viens Adou ! montrez lui comment vous me faites gueuler !
Elle tendit la main vers son voisin qui monta sur le lit. Ce devait être le fesseur. Ses larges mains se mirent à claquer ses les globes roses, tandis que l’homme sous elle, la maintenait par la taille pour qu’elle ne puisse s’y soustraire. La bouche et le sexe envahis par ces sexes qui semblaient infatigables, son fessier sursautait et rougissait sous les commentaires des trois hommes qui semblaient avoir oublié la présence de Nicolas.
- T’aimes ça les bites de blacks ! hein ! c’est bon ?
Bâillonnée par le colosse de chair et maîtrisée par la main de son détenteur, elle ne pu que faire un hochement de tête d’approbation.
- Alors on va te montrer comment on aime s’occuper de petites bourgeoises vicieuses comme toi.
L’homme allongé fit glisser ses mains pour l’enlacer et la plaquer contre son torse. Elle avait compris.
- Non je n’aime pas ça ! et vous êtes trop gros !
- Ne t’inquiète pas chérie, on est des spécialistes ! on n’a jamais eu de plaintes ! Ils éclatèrent de rire.
Nicolas hésita à intervenir mais les accents de Caroline ne trahissaient pas vraiment de refus. Plutôt une posture. Ce « Non » qui n’en était pas un.
Adou cracha dans ses mains et en lubrifia le préservatif sur son sexe.
- Détends toi chérie, et cambre ton cul ! Tu voulais du black, tu vas voir c’est ce qu’il y de meilleur avec nous!
Lentement le gland s’immisça entre ses fesses. Ce fut elle qui serra alors l’homme qui la plaquait contre lui, lorsque qu’elle sentit son œillet se distendre sous la poussée forte et continue de l’intrus.
Jusque là, elle avait peu prisé ce type de pénétration, mais était-ce l’épaisseur de l’animalité ambiante, la rage sexuelle qu’ils avaient faite émerger d’elle, la contrainte acceptée, ou la provocation de se comporter ainsi devant Nicolas, l’intromission qui progressait et l’écartelait, rencontrait un nouveau plaisir mental et physique mêlé.
Presque hypnotisé , Nicolas regardait ce sexe noir progresser en elle sans à coups, semblant ne pas devoir finir, jusqu’à ce que les deux bourses butent contre les fesses. Il avait vu bien souvent des sexes pénétrer Caroline et l’émotion s’était émoussée. Pas cette fois.
La violence de la scène ne lui provoquait pas d’envie de s’y mêler, mais au contraire de la prendre dans ses bras, et la réconforter dans cette épreuve. Son enculeur s’était arrêté. L’homme qui lui faisait face releva ses cheveux blonds.
- Tu aimes ça chérie ?
- Maintenant, oui… il a été doux
- Et dur ?..
- Oh ça oui ! et il l’est encore…
- Elle esquissa un sourire et tourna son regard vers Nicolas
- Viens m’embrasser, chéri !
Aussitôt leurs bouches s’unirent et il perçut distinctement le goût des sexes qui s’y étaient succédés. Elle prit son sexe et le branla de deux doigts.
- Elle bande bien ta petite bite mon chéri… mais c’est vrai qu’elle n’a rien à voir avec celles de nos amis… Remarque c’est suffisant pour juste regarder…
Nicolas sourit. Il ne ressentait aucune gêne de cette remarque ironique, bien plutôt un sourd plaisir de cette connivence qu’elle lui confirmait ainsi partager.
- Allez assied-toi, je crois que pour moi ça va vraiment commencer…
Etait ce pour les provoquer, leur faire comprendre par défi qu’elle ne considérait ce qui s’était déroulé jusque-là, que comme de simples préliminaires, quoiqu’il en soit, piqué au vif celui qui emplissait ses fesses et immobile jusque là donna un brusque coup de reins qui la fit taire aussitôt.
- Il t’encule ton mari ?
- Non …c’est rare…
- Alors on va t’assouplir le cul comme il faut pour lui rendre service…
Commencèrent des va et vient de plus en plus rapides, bientôt presque ininterrompus, qui lui tiraient cris, ahanements et gémissements. Elle n’aimait pas la douleur gratuite, et la voir tendre ses fesses à son présumé bourreau, laissait supposer que cet apprentissage n’était pas aussi pénible que Nicolas avait pu le redouter.
Etait-ce parce que c’était sous ses yeux, était-ce parce qu’elle avait laissé ses sens prendre le dessus, mais elle s’associait aucune retenue à cette étreinte et répondait par l’affirmative et des encouragements à poursuivre, lorsque l’homme lui demandait si c’était bon et si elle en voulait encore. Son enculage dura de très longues minutes. Le colosse avait repris place dans sa bouche. Elle secouait presque frénétiquement le visage, faisant voler sa chevelure. L’homme sous elle ne la maintenait plus. Il se glissa pour se dégager.
- A moi !
Sans avoir joui, Adou toujours rigide, se retira et laissa la place qui fut investie cette fois sans effort malgré une taille tout aussi remarquable. Il se branlait négligemment aux côtés de Nicolas.
- C’est vrai que tu ne l’encules pas ?
- Non. Elle me disait ne pas aimer ça et je n’ai insisté. A vrai dire ça ne me manque pas.
- Tu as tort. C’est bien meilleur que la baise et c’est comme ça qu’on les possède vraiment. Surtout les vraies salopes, mais faut pas s’arrêter à leurs minauderies. On en a enculé pas mal et je peux t’assurer que ta femme elle aime …
- Elle accepte peut-être seulement ?
- Des bites comme les nôtres ? Si elle y trouvait pas son compte, il y a longtemps qu’elle t’aurait demandé qu’on s’en aille… regarde plutôt comme elle frétille sa croupe avec pourtant les vingt cinq centimètres de bite de mon copain dans le cul…
Pour lui confirmer ses dires il s’approcha d’elle.
- T’aimes ça salope… ? hein ?
Caroline libéra sa bouche un instant.
- Vous êtes gros ! Ca m’a fait mal.
- Et maintenant ?
Pour éviter de répondre Caroline avait repris le colosse entre ses lèvres. Adou claqua ses fesses.
- Alors maintenant ça te plait ?
Toujours muette, il réitéra sa question en appuyant cette fois son geste et parvint à ses fins. Caroline émit un simple « oui » à peine audible.
- Oui quoi ?
- Oui ça me plait !
- Qu’est ce qui te plait ? Allez précise pour ton mari !
Il frappa à nouveau sa croupe. Tout son corps vibrait des enculades. Abandonnant d’un coup toute contenance, elle se tourna vers Adou, assurée et arrogante.
- Ca me plait de me faire enculer par vos grosses bites. C’est bon, c’est chaud, c’est dur. Je les sens bien au fond de mon ventre et quand elles forcent mon petit trou.
Elle s‘était mise à branler Adou.
- J’aime vos grosses bites noires ! Elles m’excitent et ça me fait du bien !
Ses mots avaient fait monter la tension dans la pièce. L’homme la tenait par les hanches et allait de plus en vite et de plus en plus fort en elle. Adou jeta sa capote et investit sa bouche libre. Nicolas se branlait frénétiquement devant le spectacle. L’enculeur la traita de bonne pute à blacks en jouissant. Il laissa sa place, ruisselant de sueur et glissant deux doigts dans l’orifice encore béant s’adressa au colosse.
- Elle est prête pour toi cette salope ! Et elle en veut …
Comprenant ce qui s’annonçait, Caroline se libéra d’Adou et se releva un peu.
- Non pas lui ! je ne pourrais pas ! Chéri dis leur !
D’une seule main, l’homme plaqua son dos sur le lit.
- Mais si tu vas y arriver et ça te fera des souvenirs! dit-il en riant. Et ton chéri, il va laisser faire pour lui avoir raconté des bobards…
- Salauds !
Paradoxalement, l’intonation de l’insulte valait acceptation. Plongeant le visage dans un oreiller, elle tendit la main à Nicolas qui s’installa près d’elle et entrelaça leurs doigts. A quelques centimètre cette fois, il pu se rendre compte de la taille de ce membre, et à quel point le simple diamètre du gland excédait de très loin, l’œillet un peu refermé face auquel il pointait. Quant à la longueur, il semblait physiquement impossible que caroline puisse l’accepter entièrement. Et pourtant…
Les doigts de Caroline s’incrustèrent dans les siens à la première poussée, puis se détendirent tandis que la colonne de chair brune progressait lentement en elle jusqu’à ce que, pour lui aussi, ses bourses viennent y mettre un terme.
- Ca va chérie ?
La question resta sans réponse. L’homme avait commencé son œuvre. Caroline haletait, gémissait n’articulait plus un mot. Elle semblait ne faire qu’un avec le corps d’ébène. Elle lâcha la main de son mari, tendit ses bras en arrière et les unit à ceux de l’homme. Le mouvement des deux corps n’était plus qu’un. Lorsque le spasme commença à croître, il les anima de concert jusqu'à ce qu’un cri ultime s’élève de leurs tripes et de leurs gorges.
Pour Nicolas, c’était presque irréel d’assister à un tel spectacle d’abandon et d’animalité. Elle qui jamais ne laissait ses pulsions prendre le contrôle de son comportement. Elle se tourna vers l’homme, encore unis et l’embrassa.
- Merci. C’était bon. A toi chéri ! Viens !
Nicolas hésita. Voulait-elle qu’il prenne la place vacante ? N’en était- elle pas repue ? Lorsqu’il vit Caroline emboucher Adou, il comprit ce qu’elle attendait de lui. Cette fois elle demeurait béante. C’était obscène mais hypnotique. Son sexe entra presque sans sentir ses parois intimes. Lui qui avait toujours hésité à forcer cet anneau rosé, y coulissait maintenant plus facilement que dans sa bouche.
- Tu es dans mon cul, chéri ? Je ne sens rien !...
Elle le provoquait sciemment et il amplifia ses coups de reins.
- C’est mieux ! Allez videz vos queues! Remplissez-moi bien !
Piqués au vif, ils la firent ballotter d’un sexe à l’autre et leurs semences chaudes se déversèrent en elle.
Tous quatre, épuisés gisaient sur le lit. Elle dans ses bras. Tendre et amoureuse. De retour sur terre.

Où peut-on trouver ce merveilleux ouvrage?
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par cpl75marichaste
#851
je ne suis pas venu dans ce but sur ce forum mais je reconnais que je suis fier et heureux que vous appréciiez ma prose :D
Merci en tout cas aux modérateurs de me laissez donner les renseignements à ceux qui me le demandent. Ca se trouve en librairie ou sur les sites de VPC de livres tapez le titre sur un moteur de recherche vous trouverez ...
Pour les amateurs et pour vous remercier de votre gentillesse
Un matin enfin, Caroline lui annonça au téléphone, que son amie l’avait invitée à déjeuner dans sa maison de Saint Cloud. Elle souhaitait la présenter à l’une de ses connaissances sans plus de précisions autres que sur sa tenue, qu’elle souhaitait la plus féminine possible et la plus suggestive possible.
Alors qu’elle mettait un point d’honneur à ce que personne, surtout pas lui, ne l’influence sur ce type de choix, cette fois elle n’y avait vu aucun inconvénient.
Arrivée sur le perron d’une belle demeure bourgeoise de deux étages, un bouquet à la main, elle fut accueillie par son amie, féminine aussi certes, mais dans une tenue plus discrète que la sienne. Les banalités d’usage terminées sur son trajet, elle l’introduisit dans un salon au sol de marbre, et l’invita à s’installer dans un profond canapé de cuir noir. Sans même lui demander ses préférences elle posa des coupes de champagne devant elles.
- Tu es à croquer ma chérie !
- C’est ce que tu voulais ?
- Oui c’est parfait, mais encore un peu trop sage à mon goût…
- Je pouvais pas faire plus pour prendre un taxi…minauda t elle. Et je suis honorablement connue dans mon immeuble…
- Bien sur mais maintenant mets toi à l’aise. Otes ta veste de tailleur, remontes ta jupe à la hauteur de tes bas et ouvres ton corsage jusqu'à ton soutien-gorge.
- Tu m’avais dit que quelqu’un allait venir ?
- Bien sur mais ne t’inquiète pas. Dépêches toi !
Toujours douce, sa voix retrouvait les accents de fermeté qu’elle commençait à bien connaître. Caroline s’exécuta sans hésiter, même avec sensualité.
- Je te plais ainsi ?
- Tu es parfaite ma chérie !
- Installée face à elle , son verre vint faire tinter le sien.
- Décroise simplement tes jambes que je vois si tu portes toujours mon cadeau
Elle écarta les jambes et de l’endroit où Bernadette était assise, celle-ci put aisément admirer le sexe lisse et orné, sans string, initiative que Caroline avait prise d’elle-même.
- Je ne l’ôte jamais, tu sais.
- J’espère bien … j’aurais l’impression que tu me trompes…
- Une dizaine de minutes s’écoulèrent avant que la sonnette ne retentisse.
- Ne bouge pas ! je reviens. Et ne touches pas à ta tenue !
- Elle entendit un peu indistinctement dans le hall des paroles qui prouvaient une intimité certaine. C’était un homme. Elle se retint du désir spontané de revenir à une tenue plus « présentable », mais se fit violence et resta telle que Bernadette le désirait.
- Celle-ci entra enfin aux côtés d’un homme impeccablement vêtu d’un costume noir de belle facture. Sans lui laisser le temps de se lever, il s’approcha d’elle et s’inclina pour lui délivrer un baise main tout à fait dans les formes.
- Enchanté je me prénomme Antoine, vous Caroline je crois ?
- Oui, je suis enchantée aussi, Bernadette m’avait fait la surprise de votre venue.
- Elle ne m’avait pas menti. Vous êtes superbe.
- Il s’installa face à elle. Elle s’empourpra un peu et se fit violence pour ne pas céder à pulsion de se revêtir plus convenablement face à cet homme distingué. Bernadette était passée derrière elle pour aller remplir les verres. De derrière le canapé, Caroline vit ses deux mains descendre le long de son buste, s’introduire dans son corsage de crêpe noir, en faire sauter les derniers boutons, puis prendre ses seins à pleines mains, les faisant presque entièrement sortir de son soutien gorge pigeonnant.
- Vous voyez en plus elle a des superbes nichons, doux, fermes, et sensibles croyez-moi ! joignant le geste à la parole, elle avait commencé à les manipuler avec force et lenteur.
- Magnifiques, chère amie ! quelle taille faites vous ?
- Quatre vingt quinze D
- Naturels ?
- Oui bien sur.
- Félicitations !
Bernadette avait lâché son ouvrage pour servir à boire et les avait rejoints.
- J’aperçois ces fameux ornements dont m’a parlé notre amie. Auriez-vous la gentillesse de me les exposer plus généreusement ?
Pour étrange qu’elle fut, la situation se déroulait comme un simple entretien mondain et Caroline se sentait plutôt flattée d’en être le centre. Pourtant aucun rempart ne protégeait cette pudeur instinctive qui la caractérisait généralement. En pleine lumière de midi, au milieu d’un salon bourgeois sobrement décoré, face à deux personnes en tenue de ville, elle seins nus débordant de son corsage, jupe relevée, cuisses largement écartées, exposant d’intimes bijoux, elle ne ressentait ni gêne ni désir de se soustraire à cet état. Au contraire une certaine sérénité. Etait-ce cela la soumission dont on la disait porteuse ? Le plaisir de l’abandon à une autorité bienveillante et rassurante ? Le don à celle-ci de la clé de cette porte que l’on n’ose pas franchir ? Mais alors pourquoi pas à Nicolas ? Elle n’eût pas envie d’approfondir cette ambiguïté à ce moment. Juste le savourer. Elle pensa aux visages sereins du « Déjeuner sur l’herbe »
Antoine à ce moment proposa un autre verre et s‘apprêtait à tendre la main vers le seau.
- Je vous en prie, c’est maintenant à cette chérie d’assumer son rôle
- Ôtes ta jupe et ton corsage Caroline et va chercher sur la console de l’entrée ce que j’ai préparé pour ton effectuer ton service. Et dépêche-toi !
Même si elle fut un peu surprise de la tournure que prenait cette rencontre, elle n’en fut pas déstabilisée, plutôt agréablement troublée. Elle ôta ses vêtements devant eux avec lenteur, roula son soutien-gorge sous ses globes laiteux, les faisant saillir encore un peu plus, puis se dirigea vers la console. Un collier de cuir, une laisse en métal et deux paires de menottes l’y attendaient.
- Apportes-les nous !
- Voulez-vous les poser vous-même à notre accorte soubrette ?
- Avec grand plaisir chère amie.
Il prit tout d’abord une première paire de menottes reliées par une chaîne assez longue et les referma sur ses chevilles. Il fit de même avec ses poignets. Puis il lui demanda de s’agenouiller pour lui poser le collier et y fixer la laisse.
- N’est elle pas superbe ainsi ?
- Je dirais même faite pour les porter ! Une créature de fantasme.
- Tu vas aller dans la cuisine. J’ai tout fait livrer par le traiteur. Tu nous serviras, c’est tout. Et tant qu’Antoine est là, pour toi, c’est Monsieur et Madame. Compris ?
Tous deux se levèrent et s’installèrent dans la Salle à manger déjà dressée. Caroline comprit en les suivant que les entraves de ses chevilles limitaient grandement ses déplacements tout en provoquant une démarche faite de petits pas hautement suggestifs pour ceux qui l’observaient. Spontanément elle tira les chaises des convives pour les inviter à s’asseoir, et constata au vu des deux seuls couverts, qu’à l’évidence, elle n’en faisait pas partie.
Plutôt habituée à se faire servir, ou ne le faire que dans un cadre convivial, elle se prit cependant au jeu du rôle qui lui était imparti. Elle remplit leurs verres tandis qu’ils entamaient une discussion qui confirmait leur grande proximité, puis se retira de quelques pas ses mains entravées sagement posées sur son sexe nu, jambes légèrement écartées autant que la chaîne le lui permettait. Jamais elle n’avait vécu ni même seulement imaginé une telle situation, et pourtant elle ne ressentait nul malaise, ni incongruité.
Bien au contraire sans qu’elle puisse le définir, elle y trouvait un plaisir extrêmement sensuel sans qu’il fut physique. Certainement n’était-il rendu possible que par les sentiments et la confiance qu’elle portait à Bernadette. Une délicieuse découverte d’elle-même vers laquelle elle la conduisait sans lui indiquer à l’avance de chemin. Elle ne l’avait pas trompée, elle ne lui avait seulement rien dit. C’était vraisemblablement ce qui la différenciait de Nicolas qui expliquait trop avant d’agir.
Bernadette s’interrompit.
- Commence à servir Caroline !
- Tandis qu’elle prenait le chemin de la cuisine, son hôtesse la gratifia d’une tape sur ses fesses nues.
- Joli petit cul, non ?
- Vraiment à croquer ! vous êtes vraiment une chasseresse des plus expertes…
Jamais Caroline n’avait évidemment ni cuisiné, ni à fortiori fait le service ainsi entravée, et elle se rendait compte à quel point ces menottes se rappelaient en permanence à elle, dans les gestes les plus simples . Rien que de faire griller le pain qui accompagnait le foie gras était une épreuve. Tenir deux assiettes, une vraie gageure. Elle ne ressentait aucun sentiment humiliant malgré le contexte, juste l’envie de bien faire ce qu’on attendait d’elle. Et en ressentait un certain plaisir, pour éloigné d’une sexualité « normale » qu’il fut.
Les plats posés devant les deux convives qui poursuivaient leur échange de bon aloi, elle reprit sa place quelques pas derrière eux tandis que Bernadette glissait la dragonne de sa laisse à son accoudoir.
Sans lui adresser la parole et sans la regarder, Antoine caressait ses fesses et jouait négligemment avec ses anneaux et le pendentif. Bien plus que les inconnus qui s’introduisaient entre ses cuisses, ces furtives caresses et les conditions dans lesquelles elle les recevait, lui érotisaient les sens à un stade encore ignoré. Tandis que se poursuivaient son service et le repas, Bernadette la fit s’agenouiller à leurs côtés pour que son invité puis aisément jouer avec ses seins. L’excitation de la frustration se faisait de plus en plus prégnante.
- Je vais m’occuper moi-même du dessert, dit enfin Bernadette. En attendant cette chérie va se faire un plaisir de vous en offrir un avant-goût, d’autant plus qu’elle doit être maintenant à point n’est-ce pas Caroline ?
- Oui …Madame !
Joignant le geste à la parole, elle la fit se relever glissa la main entre ses cuisses, puis en exhiba un index dénonciateur qui aurait difficilement pu être plus luisant. Antoine la félicita et l’invita à se glisser sous le plateau de verre circulaire. En quelques instants, elle eut libéré un sexe de belle taille déjà fortement bandé, qu’elle commença faire glisser lentement entre ses lèvres. Mains et genoux à terre, elle balançait tout son corps pour ne faire qu’un avec le mouvement de sa bouche. Il ne lui parlait pas, n’émettait que quelques soupirs de contentement. Lorsque Bernadette réapparut, ce fut elle qu’il félicitât d’un tel cadeau.
Avatar de l’utilisateur
par sergio
#861
Bravo. ;)
Trois textes de situations différentes et aussi excitant les uns que les autres. Vraiment du talent dans l'ecriture.
caroline gagne a être connu pour ses talents d'amante. Nicolas pour sa devotion et son amour pour sa femme.

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