- 18 sept. 2009, 10:40
#773
Bonjour a vous tous
J'aime ici sentir que les gens qui participent à ce forum
vivent pleinement notre pulsion commune de candaulisme,
qu'elle soit ancrée dans la réalité ou fantasmée mais qu'importe du moment qu'elle est sincère.
Pour notre part j'ai voulu écrire un livre sur notre parcours.
Je ne veux pas faire de "publicité" pour celui-ci, je l'ai juste écrit pour le plaisir de partager
Pour vous tous je vous en met un extrait ici et je peux vous assurer que c'est du très "reel"
ce fut la première vraie expérience "black de groupe" de mon adorée
(cela se nomme "Swinging Paris")
Amicalement
Avant leur arrivée, il avait préparé la chambre et couvert les lampes de tissus rouges afin de tamiser la lumière. Il savait qu’elle aimait cette ambiance qui flattait encore plus sa plastique. Mais ils avaient disparu. Cela ne devait pas correspondre à leurs attentes, et il n’y avait plus place à la suggestion. Les corps se dessinaient avec précision.
Ce contraste des peaux, parfois aperçu dans la pénombre des clubs, était magnifié. Ce corps mince et pâle entre deux masses de muscles bruns. Caroline accroupie et empalée sur l’homme allongé, suçait et branlait celui qui lui faisait face debout.
Un membre noir anthracite d’une taille qui semblait sortir tout droit d’une bande dessinée porno. C’était « lui ». Elle avait parlé de Bobby, mais ce qui entrait et sortait de sa bouche et qu’elle caressait à deux mains, était à peine humain… Pourtant, dès qu’elle libérait sa bouche, ses mots ne traduisaient qu’une excitation vorace. A un point qu’il ignorait presque. Ses ongles rouges griffaient les bourses, sa fine langue rose se faisait pointue et agaçait l’énorme gland foncé avant de l’engouffrer à nouveau. String et soutien-gorge avaient disparu. Ses seins libres et lourds battaient contre sa poitrine tandis que d’elle-même elle allait et venait sur la verge parée de l’or des fines lèvres rosées qu’elle écartelait. Même si elle ne rivalisait pas avec celle que Caroline branlait et suçait presque avec brutalité, elle n’était pas moins d’une taille remarquable. Mentalement Nicolas l’estima environ au double la sienne, alors qu’il se considérait déjà comme convenablement gâté par la nature. Pourtant il voyait ces deux fesses descendre sans appréhension jusqu’aux bourses, puis s’agiter avec vigueur, comme si elle désirait encore plus le sentir en elle.
Debout, à côté de Nicolas, l’homme regardait et caressait lentement son sexe maintenant en érection.
- Ca va être à ton tour…
- De baiser ta femme ?
- Oui.
A nouveau l’homme lui sourit.
- Mais c’est déjà fait… dans sa chatte et j’ai joui dans sa bouche. Mais ne t’inquiètes pas, j’y retourne. Tu n’avais pas menti c’est une gourmande ta chérie, elle aime la bite …
En les entendant Caroline, libéra sa bouche et se tourna vers eux.
- Alors ça te plait chéri ? Ta petite femme qui se fait défoncer par d’énormes bites de noirs sous tes yeux. C’est ça que tu voulais non ?
L’obscénité et la spontanéité des paroles de Caroline le mit un peu mal à l’aise.
- Et puis je peux te dire que ça c’est de la bite et que ça mollit pas. Montre moi au moins si ça te fais bander !
Contrairement aux trois hommes entièrement nus il n’ouvrit que sa braguette et son sexe jaillit aussitôt et spontanément il commença se caresser.
- C’est bien mon amour ! Viens Adou ! montrez lui comment vous me faites gueuler !
Elle tendit la main vers son voisin qui monta sur le lit. Ce devait être le fesseur. Ses larges mains se mirent à claquer ses les globes roses, tandis que l’homme sous elle, la maintenait par la taille pour qu’elle ne puisse s’y soustraire. La bouche et le sexe envahis par ces sexes qui semblaient infatigables, son fessier sursautait et rougissait sous les commentaires des trois hommes qui semblaient avoir oublié la présence de Nicolas.
- T’aimes ça les bites de blacks ! hein ! c’est bon ?
Bâillonnée par le colosse de chair et maîtrisée par la main de son détenteur, elle ne pu que faire un hochement de tête d’approbation.
- Alors on va te montrer comment on aime s’occuper de petites bourgeoises vicieuses comme toi.
L’homme allongé fit glisser ses mains pour l’enlacer et la plaquer contre son torse. Elle avait compris.
- Non je n’aime pas ça ! et vous êtes trop gros !
- Ne t’inquiète pas chérie, on est des spécialistes ! on n’a jamais eu de plaintes ! Ils éclatèrent de rire.
Nicolas hésita à intervenir mais les accents de Caroline ne trahissaient pas vraiment de refus. Plutôt une posture. Ce « Non » qui n’en était pas un.
Adou cracha dans ses mains et en lubrifia le préservatif sur son sexe.
- Détends toi chérie, et cambre ton cul ! Tu voulais du black, tu vas voir c’est ce qu’il y de meilleur avec nous!
Lentement le gland s’immisça entre ses fesses. Ce fut elle qui serra alors l’homme qui la plaquait contre lui, lorsque qu’elle sentit son œillet se distendre sous la poussée forte et continue de l’intrus.
Jusque là, elle avait peu prisé ce type de pénétration, mais était-ce l’épaisseur de l’animalité ambiante, la rage sexuelle qu’ils avaient faite émerger d’elle, la contrainte acceptée, ou la provocation de se comporter ainsi devant Nicolas, l’intromission qui progressait et l’écartelait, rencontrait un nouveau plaisir mental et physique mêlé.
Presque hypnotisé , Nicolas regardait ce sexe noir progresser en elle sans à coups, semblant ne pas devoir finir, jusqu’à ce que les deux bourses butent contre les fesses. Il avait vu bien souvent des sexes pénétrer Caroline et l’émotion s’était émoussée. Pas cette fois.
La violence de la scène ne lui provoquait pas d’envie de s’y mêler, mais au contraire de la prendre dans ses bras, et la réconforter dans cette épreuve. Son enculeur s’était arrêté. L’homme qui lui faisait face releva ses cheveux blonds.
- Tu aimes ça chérie ?
- Maintenant, oui… il a été doux
- Et dur ?..
- Oh ça oui ! et il l’est encore…
- Elle esquissa un sourire et tourna son regard vers Nicolas
- Viens m’embrasser, chéri !
Aussitôt leurs bouches s’unirent et il perçut distinctement le goût des sexes qui s’y étaient succédés. Elle prit son sexe et le branla de deux doigts.
- Elle bande bien ta petite bite mon chéri… mais c’est vrai qu’elle n’a rien à voir avec celles de nos amis… Remarque c’est suffisant pour juste regarder…
Nicolas sourit. Il ne ressentait aucune gêne de cette remarque ironique, bien plutôt un sourd plaisir de cette connivence qu’elle lui confirmait ainsi partager.
- Allez assied-toi, je crois que pour moi ça va vraiment commencer…
Etait ce pour les provoquer, leur faire comprendre par défi qu’elle ne considérait ce qui s’était déroulé jusque-là, que comme de simples préliminaires, quoiqu’il en soit, piqué au vif celui qui emplissait ses fesses et immobile jusque là donna un brusque coup de reins qui la fit taire aussitôt.
- Il t’encule ton mari ?
- Non …c’est rare…
- Alors on va t’assouplir le cul comme il faut pour lui rendre service…
Commencèrent des va et vient de plus en plus rapides, bientôt presque ininterrompus, qui lui tiraient cris, ahanements et gémissements. Elle n’aimait pas la douleur gratuite, et la voir tendre ses fesses à son présumé bourreau, laissait supposer que cet apprentissage n’était pas aussi pénible que Nicolas avait pu le redouter.
Etait-ce parce que c’était sous ses yeux, était-ce parce qu’elle avait laissé ses sens prendre le dessus, mais elle s’associait aucune retenue à cette étreinte et répondait par l’affirmative et des encouragements à poursuivre, lorsque l’homme lui demandait si c’était bon et si elle en voulait encore. Son enculage dura de très longues minutes. Le colosse avait repris place dans sa bouche. Elle secouait presque frénétiquement le visage, faisant voler sa chevelure. L’homme sous elle ne la maintenait plus. Il se glissa pour se dégager.
- A moi !
Sans avoir joui, Adou toujours rigide, se retira et laissa la place qui fut investie cette fois sans effort malgré une taille tout aussi remarquable. Il se branlait négligemment aux côtés de Nicolas.
- C’est vrai que tu ne l’encules pas ?
- Non. Elle me disait ne pas aimer ça et je n’ai insisté. A vrai dire ça ne me manque pas.
- Tu as tort. C’est bien meilleur que la baise et c’est comme ça qu’on les possède vraiment. Surtout les vraies salopes, mais faut pas s’arrêter à leurs minauderies. On en a enculé pas mal et je peux t’assurer que ta femme elle aime …
- Elle accepte peut-être seulement ?
- Des bites comme les nôtres ? Si elle y trouvait pas son compte, il y a longtemps qu’elle t’aurait demandé qu’on s’en aille… regarde plutôt comme elle frétille sa croupe avec pourtant les vingt cinq centimètres de bite de mon copain dans le cul…
Pour lui confirmer ses dires il s’approcha d’elle.
- T’aimes ça salope… ? hein ?
Caroline libéra sa bouche un instant.
- Vous êtes gros ! Ca m’a fait mal.
- Et maintenant ?
Pour éviter de répondre Caroline avait repris le colosse entre ses lèvres. Adou claqua ses fesses.
- Alors maintenant ça te plait ?
Toujours muette, il réitéra sa question en appuyant cette fois son geste et parvint à ses fins. Caroline émit un simple « oui » à peine audible.
- Oui quoi ?
- Oui ça me plait !
- Qu’est ce qui te plait ? Allez précise pour ton mari !
Il frappa à nouveau sa croupe. Tout son corps vibrait des enculades. Abandonnant d’un coup toute contenance, elle se tourna vers Adou, assurée et arrogante.
- Ca me plait de me faire enculer par vos grosses bites. C’est bon, c’est chaud, c’est dur. Je les sens bien au fond de mon ventre et quand elles forcent mon petit trou.
Elle s‘était mise à branler Adou.
- J’aime vos grosses bites noires ! Elles m’excitent et ça me fait du bien !
Ses mots avaient fait monter la tension dans la pièce. L’homme la tenait par les hanches et allait de plus en vite et de plus en plus fort en elle. Adou jeta sa capote et investit sa bouche libre. Nicolas se branlait frénétiquement devant le spectacle. L’enculeur la traita de bonne pute à blacks en jouissant. Il laissa sa place, ruisselant de sueur et glissant deux doigts dans l’orifice encore béant s’adressa au colosse.
- Elle est prête pour toi cette salope ! Et elle en veut …
Comprenant ce qui s’annonçait, Caroline se libéra d’Adou et se releva un peu.
- Non pas lui ! je ne pourrais pas ! Chéri dis leur !
D’une seule main, l’homme plaqua son dos sur le lit.
- Mais si tu vas y arriver et ça te fera des souvenirs! dit-il en riant. Et ton chéri, il va laisser faire pour lui avoir raconté des bobards…
- Salauds !
Paradoxalement, l’intonation de l’insulte valait acceptation. Plongeant le visage dans un oreiller, elle tendit la main à Nicolas qui s’installa près d’elle et entrelaça leurs doigts. A quelques centimètre cette fois, il pu se rendre compte de la taille de ce membre, et à quel point le simple diamètre du gland excédait de très loin, l’œillet un peu refermé face auquel il pointait. Quant à la longueur, il semblait physiquement impossible que caroline puisse l’accepter entièrement. Et pourtant…
Les doigts de Caroline s’incrustèrent dans les siens à la première poussée, puis se détendirent tandis que la colonne de chair brune progressait lentement en elle jusqu’à ce que, pour lui aussi, ses bourses viennent y mettre un terme.
- Ca va chérie ?
La question resta sans réponse. L’homme avait commencé son œuvre. Caroline haletait, gémissait n’articulait plus un mot. Elle semblait ne faire qu’un avec le corps d’ébène. Elle lâcha la main de son mari, tendit ses bras en arrière et les unit à ceux de l’homme. Le mouvement des deux corps n’était plus qu’un. Lorsque le spasme commença à croître, il les anima de concert jusqu'à ce qu’un cri ultime s’élève de leurs tripes et de leurs gorges.
Pour Nicolas, c’était presque irréel d’assister à un tel spectacle d’abandon et d’animalité. Elle qui jamais ne laissait ses pulsions prendre le contrôle de son comportement. Elle se tourna vers l’homme, encore unis et l’embrassa.
- Merci. C’était bon. A toi chéri ! Viens !
Nicolas hésita. Voulait-elle qu’il prenne la place vacante ? N’en était- elle pas repue ? Lorsqu’il vit Caroline emboucher Adou, il comprit ce qu’elle attendait de lui. Cette fois elle demeurait béante. C’était obscène mais hypnotique. Son sexe entra presque sans sentir ses parois intimes. Lui qui avait toujours hésité à forcer cet anneau rosé, y coulissait maintenant plus facilement que dans sa bouche.
- Tu es dans mon cul, chéri ? Je ne sens rien !...
Elle le provoquait sciemment et il amplifia ses coups de reins.
- C’est mieux ! Allez videz vos queues! Remplissez-moi bien !
Piqués au vif, ils la firent ballotter d’un sexe à l’autre et leurs semences chaudes se déversèrent en elle.
Tous quatre, épuisés gisaient sur le lit. Elle dans ses bras. Tendre et amoureuse. De retour sur terre.
J'aime ici sentir que les gens qui participent à ce forum
vivent pleinement notre pulsion commune de candaulisme,
qu'elle soit ancrée dans la réalité ou fantasmée mais qu'importe du moment qu'elle est sincère.
Pour notre part j'ai voulu écrire un livre sur notre parcours.
Je ne veux pas faire de "publicité" pour celui-ci, je l'ai juste écrit pour le plaisir de partager
Pour vous tous je vous en met un extrait ici et je peux vous assurer que c'est du très "reel"
ce fut la première vraie expérience "black de groupe" de mon adorée
(cela se nomme "Swinging Paris")
Amicalement
Avant leur arrivée, il avait préparé la chambre et couvert les lampes de tissus rouges afin de tamiser la lumière. Il savait qu’elle aimait cette ambiance qui flattait encore plus sa plastique. Mais ils avaient disparu. Cela ne devait pas correspondre à leurs attentes, et il n’y avait plus place à la suggestion. Les corps se dessinaient avec précision.
Ce contraste des peaux, parfois aperçu dans la pénombre des clubs, était magnifié. Ce corps mince et pâle entre deux masses de muscles bruns. Caroline accroupie et empalée sur l’homme allongé, suçait et branlait celui qui lui faisait face debout.
Un membre noir anthracite d’une taille qui semblait sortir tout droit d’une bande dessinée porno. C’était « lui ». Elle avait parlé de Bobby, mais ce qui entrait et sortait de sa bouche et qu’elle caressait à deux mains, était à peine humain… Pourtant, dès qu’elle libérait sa bouche, ses mots ne traduisaient qu’une excitation vorace. A un point qu’il ignorait presque. Ses ongles rouges griffaient les bourses, sa fine langue rose se faisait pointue et agaçait l’énorme gland foncé avant de l’engouffrer à nouveau. String et soutien-gorge avaient disparu. Ses seins libres et lourds battaient contre sa poitrine tandis que d’elle-même elle allait et venait sur la verge parée de l’or des fines lèvres rosées qu’elle écartelait. Même si elle ne rivalisait pas avec celle que Caroline branlait et suçait presque avec brutalité, elle n’était pas moins d’une taille remarquable. Mentalement Nicolas l’estima environ au double la sienne, alors qu’il se considérait déjà comme convenablement gâté par la nature. Pourtant il voyait ces deux fesses descendre sans appréhension jusqu’aux bourses, puis s’agiter avec vigueur, comme si elle désirait encore plus le sentir en elle.
Debout, à côté de Nicolas, l’homme regardait et caressait lentement son sexe maintenant en érection.
- Ca va être à ton tour…
- De baiser ta femme ?
- Oui.
A nouveau l’homme lui sourit.
- Mais c’est déjà fait… dans sa chatte et j’ai joui dans sa bouche. Mais ne t’inquiètes pas, j’y retourne. Tu n’avais pas menti c’est une gourmande ta chérie, elle aime la bite …
En les entendant Caroline, libéra sa bouche et se tourna vers eux.
- Alors ça te plait chéri ? Ta petite femme qui se fait défoncer par d’énormes bites de noirs sous tes yeux. C’est ça que tu voulais non ?
L’obscénité et la spontanéité des paroles de Caroline le mit un peu mal à l’aise.
- Et puis je peux te dire que ça c’est de la bite et que ça mollit pas. Montre moi au moins si ça te fais bander !
Contrairement aux trois hommes entièrement nus il n’ouvrit que sa braguette et son sexe jaillit aussitôt et spontanément il commença se caresser.
- C’est bien mon amour ! Viens Adou ! montrez lui comment vous me faites gueuler !
Elle tendit la main vers son voisin qui monta sur le lit. Ce devait être le fesseur. Ses larges mains se mirent à claquer ses les globes roses, tandis que l’homme sous elle, la maintenait par la taille pour qu’elle ne puisse s’y soustraire. La bouche et le sexe envahis par ces sexes qui semblaient infatigables, son fessier sursautait et rougissait sous les commentaires des trois hommes qui semblaient avoir oublié la présence de Nicolas.
- T’aimes ça les bites de blacks ! hein ! c’est bon ?
Bâillonnée par le colosse de chair et maîtrisée par la main de son détenteur, elle ne pu que faire un hochement de tête d’approbation.
- Alors on va te montrer comment on aime s’occuper de petites bourgeoises vicieuses comme toi.
L’homme allongé fit glisser ses mains pour l’enlacer et la plaquer contre son torse. Elle avait compris.
- Non je n’aime pas ça ! et vous êtes trop gros !
- Ne t’inquiète pas chérie, on est des spécialistes ! on n’a jamais eu de plaintes ! Ils éclatèrent de rire.
Nicolas hésita à intervenir mais les accents de Caroline ne trahissaient pas vraiment de refus. Plutôt une posture. Ce « Non » qui n’en était pas un.
Adou cracha dans ses mains et en lubrifia le préservatif sur son sexe.
- Détends toi chérie, et cambre ton cul ! Tu voulais du black, tu vas voir c’est ce qu’il y de meilleur avec nous!
Lentement le gland s’immisça entre ses fesses. Ce fut elle qui serra alors l’homme qui la plaquait contre lui, lorsque qu’elle sentit son œillet se distendre sous la poussée forte et continue de l’intrus.
Jusque là, elle avait peu prisé ce type de pénétration, mais était-ce l’épaisseur de l’animalité ambiante, la rage sexuelle qu’ils avaient faite émerger d’elle, la contrainte acceptée, ou la provocation de se comporter ainsi devant Nicolas, l’intromission qui progressait et l’écartelait, rencontrait un nouveau plaisir mental et physique mêlé.
Presque hypnotisé , Nicolas regardait ce sexe noir progresser en elle sans à coups, semblant ne pas devoir finir, jusqu’à ce que les deux bourses butent contre les fesses. Il avait vu bien souvent des sexes pénétrer Caroline et l’émotion s’était émoussée. Pas cette fois.
La violence de la scène ne lui provoquait pas d’envie de s’y mêler, mais au contraire de la prendre dans ses bras, et la réconforter dans cette épreuve. Son enculeur s’était arrêté. L’homme qui lui faisait face releva ses cheveux blonds.
- Tu aimes ça chérie ?
- Maintenant, oui… il a été doux
- Et dur ?..
- Oh ça oui ! et il l’est encore…
- Elle esquissa un sourire et tourna son regard vers Nicolas
- Viens m’embrasser, chéri !
Aussitôt leurs bouches s’unirent et il perçut distinctement le goût des sexes qui s’y étaient succédés. Elle prit son sexe et le branla de deux doigts.
- Elle bande bien ta petite bite mon chéri… mais c’est vrai qu’elle n’a rien à voir avec celles de nos amis… Remarque c’est suffisant pour juste regarder…
Nicolas sourit. Il ne ressentait aucune gêne de cette remarque ironique, bien plutôt un sourd plaisir de cette connivence qu’elle lui confirmait ainsi partager.
- Allez assied-toi, je crois que pour moi ça va vraiment commencer…
Etait ce pour les provoquer, leur faire comprendre par défi qu’elle ne considérait ce qui s’était déroulé jusque-là, que comme de simples préliminaires, quoiqu’il en soit, piqué au vif celui qui emplissait ses fesses et immobile jusque là donna un brusque coup de reins qui la fit taire aussitôt.
- Il t’encule ton mari ?
- Non …c’est rare…
- Alors on va t’assouplir le cul comme il faut pour lui rendre service…
Commencèrent des va et vient de plus en plus rapides, bientôt presque ininterrompus, qui lui tiraient cris, ahanements et gémissements. Elle n’aimait pas la douleur gratuite, et la voir tendre ses fesses à son présumé bourreau, laissait supposer que cet apprentissage n’était pas aussi pénible que Nicolas avait pu le redouter.
Etait-ce parce que c’était sous ses yeux, était-ce parce qu’elle avait laissé ses sens prendre le dessus, mais elle s’associait aucune retenue à cette étreinte et répondait par l’affirmative et des encouragements à poursuivre, lorsque l’homme lui demandait si c’était bon et si elle en voulait encore. Son enculage dura de très longues minutes. Le colosse avait repris place dans sa bouche. Elle secouait presque frénétiquement le visage, faisant voler sa chevelure. L’homme sous elle ne la maintenait plus. Il se glissa pour se dégager.
- A moi !
Sans avoir joui, Adou toujours rigide, se retira et laissa la place qui fut investie cette fois sans effort malgré une taille tout aussi remarquable. Il se branlait négligemment aux côtés de Nicolas.
- C’est vrai que tu ne l’encules pas ?
- Non. Elle me disait ne pas aimer ça et je n’ai insisté. A vrai dire ça ne me manque pas.
- Tu as tort. C’est bien meilleur que la baise et c’est comme ça qu’on les possède vraiment. Surtout les vraies salopes, mais faut pas s’arrêter à leurs minauderies. On en a enculé pas mal et je peux t’assurer que ta femme elle aime …
- Elle accepte peut-être seulement ?
- Des bites comme les nôtres ? Si elle y trouvait pas son compte, il y a longtemps qu’elle t’aurait demandé qu’on s’en aille… regarde plutôt comme elle frétille sa croupe avec pourtant les vingt cinq centimètres de bite de mon copain dans le cul…
Pour lui confirmer ses dires il s’approcha d’elle.
- T’aimes ça salope… ? hein ?
Caroline libéra sa bouche un instant.
- Vous êtes gros ! Ca m’a fait mal.
- Et maintenant ?
Pour éviter de répondre Caroline avait repris le colosse entre ses lèvres. Adou claqua ses fesses.
- Alors maintenant ça te plait ?
Toujours muette, il réitéra sa question en appuyant cette fois son geste et parvint à ses fins. Caroline émit un simple « oui » à peine audible.
- Oui quoi ?
- Oui ça me plait !
- Qu’est ce qui te plait ? Allez précise pour ton mari !
Il frappa à nouveau sa croupe. Tout son corps vibrait des enculades. Abandonnant d’un coup toute contenance, elle se tourna vers Adou, assurée et arrogante.
- Ca me plait de me faire enculer par vos grosses bites. C’est bon, c’est chaud, c’est dur. Je les sens bien au fond de mon ventre et quand elles forcent mon petit trou.
Elle s‘était mise à branler Adou.
- J’aime vos grosses bites noires ! Elles m’excitent et ça me fait du bien !
Ses mots avaient fait monter la tension dans la pièce. L’homme la tenait par les hanches et allait de plus en vite et de plus en plus fort en elle. Adou jeta sa capote et investit sa bouche libre. Nicolas se branlait frénétiquement devant le spectacle. L’enculeur la traita de bonne pute à blacks en jouissant. Il laissa sa place, ruisselant de sueur et glissant deux doigts dans l’orifice encore béant s’adressa au colosse.
- Elle est prête pour toi cette salope ! Et elle en veut …
Comprenant ce qui s’annonçait, Caroline se libéra d’Adou et se releva un peu.
- Non pas lui ! je ne pourrais pas ! Chéri dis leur !
D’une seule main, l’homme plaqua son dos sur le lit.
- Mais si tu vas y arriver et ça te fera des souvenirs! dit-il en riant. Et ton chéri, il va laisser faire pour lui avoir raconté des bobards…
- Salauds !
Paradoxalement, l’intonation de l’insulte valait acceptation. Plongeant le visage dans un oreiller, elle tendit la main à Nicolas qui s’installa près d’elle et entrelaça leurs doigts. A quelques centimètre cette fois, il pu se rendre compte de la taille de ce membre, et à quel point le simple diamètre du gland excédait de très loin, l’œillet un peu refermé face auquel il pointait. Quant à la longueur, il semblait physiquement impossible que caroline puisse l’accepter entièrement. Et pourtant…
Les doigts de Caroline s’incrustèrent dans les siens à la première poussée, puis se détendirent tandis que la colonne de chair brune progressait lentement en elle jusqu’à ce que, pour lui aussi, ses bourses viennent y mettre un terme.
- Ca va chérie ?
La question resta sans réponse. L’homme avait commencé son œuvre. Caroline haletait, gémissait n’articulait plus un mot. Elle semblait ne faire qu’un avec le corps d’ébène. Elle lâcha la main de son mari, tendit ses bras en arrière et les unit à ceux de l’homme. Le mouvement des deux corps n’était plus qu’un. Lorsque le spasme commença à croître, il les anima de concert jusqu'à ce qu’un cri ultime s’élève de leurs tripes et de leurs gorges.
Pour Nicolas, c’était presque irréel d’assister à un tel spectacle d’abandon et d’animalité. Elle qui jamais ne laissait ses pulsions prendre le contrôle de son comportement. Elle se tourna vers l’homme, encore unis et l’embrassa.
- Merci. C’était bon. A toi chéri ! Viens !
Nicolas hésita. Voulait-elle qu’il prenne la place vacante ? N’en était- elle pas repue ? Lorsqu’il vit Caroline emboucher Adou, il comprit ce qu’elle attendait de lui. Cette fois elle demeurait béante. C’était obscène mais hypnotique. Son sexe entra presque sans sentir ses parois intimes. Lui qui avait toujours hésité à forcer cet anneau rosé, y coulissait maintenant plus facilement que dans sa bouche.
- Tu es dans mon cul, chéri ? Je ne sens rien !...
Elle le provoquait sciemment et il amplifia ses coups de reins.
- C’est mieux ! Allez videz vos queues! Remplissez-moi bien !
Piqués au vif, ils la firent ballotter d’un sexe à l’autre et leurs semences chaudes se déversèrent en elle.
Tous quatre, épuisés gisaient sur le lit. Elle dans ses bras. Tendre et amoureuse. De retour sur terre.
Modifié en dernier par cpl75marichaste le 18 sept. 2009, 14:00, modifié 1 fois.