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#18042
Après quelques temps de courtes relations purement sexuelles, ma femme à eu le "coup de foudre" pour son patron et en est devenue la maitresse.

Ce n'est pas simple à vivre dans la peau d'un cocu. Même si j'ai les idées larges, il n'est pas toujours évident d'accepter que sa femme se donne à corps perdu à un autre, qu'elle parte de la maison, sur un appel téléphonique, parce que son amant à un moment de libre pour la baiser. de savoir que, sur son lieu de travail, son patron puisse, à tout moment la prendre à sa guise, s'épancher en elle, disposer de son corps....
Il y a aussi le regard des autres, l'air goguenard des employés de sa société quand je l'amenais, parfois, à son travail lorsqu'on n'avait qu'une seule voiture, et qu'on se quittait avec un bisou sur le parking. Tout le monde savait qu'elle était la maitresse du patron et qu'il allait l'accueillir, une minute après, en lui caressant le sexe sous sa robe.....Le soir, quand je venais la chercher, elle m'embrassait, peut être juste après avoir fait une fellation à son patron....
Mais je ne pouvais m'empêcher de l'aimer et comme elle me le rendait bien, j'acceptais.
Non sans quelques questions, ça peut paraitre puéril mais je n'ai pas su éviter de l'interroger sur la satisfaction comparée qu'elle tirait du sexe de son amant et du mien. En clair, avais-je une queue et des couilles à la hauteur ou était-elle tentée de combler ailleurs mes insuffisances. Elle ne m'a jamais répondu précisément, se contentant de dire "tu n'as pas à rougir de ce que tu as". C'est vrai qu'on baisait énormément mais, il m'a semblé, au bout de quelques mois, qu'elle jouissait moins avec moi. Elle avait aussi de plus en plus souvent tendance, durant nos ébat, à encercler de ses doigts la base de mon pénis, comme pour en évaluer le diamètre.
C'est vrai que j'ai un pénis plutôt long mais pas très épais, sauf le gland qui est très proéminent. J'ai conclu, de sa caresse que, plus ou moins consciemment, elle me faisait comprendre que son amant avait plutôt une queue large et épaisse. Elle devait donc, avec moi, se sentir moins comblée.
Ma façon de lui faire l'amour à donc évolué, je prenais l'habitude de me retirer presque complètement, jusqu'à ce qu'elle sente bien mon gland à l'orée de son vagin, j'y entrais à nouveau mais juste un peu, puis me retirais a nouveau. Bref, je la baisais de mon gland sur quelques centimètres. Résultat garanti, elle adorait ça.
Une autre variante, dans la position du missionnaire : je la pénétrais bien à fonds mais doucement, pour ne pas lui faire mal, et, une fois arrivé, je poussais doucement, en même temps vers le fond et vers le haut pour accentuer la pression sur le haut du vagin, à défaut d'arriver à tout remplir aussi bien que son amant. C'était merveilleux, chaque poussée la mettait en transe, tremblant de tout son corps ; je pouvais parfaitement l'amener au plaisir avec moi dans une explosion commune. C'était le paradis.
Dans le rôle de cocu, il y a aussi la question sanitaire. à l'époque le vih existait déjà même si c'était encore loin et il y a aussi d'autres mst. Bien sur ma femme qui ignorait déjà le slip, ignorait encore plus le préservatif. Je lui faisais l'amour de façon absolue, je faisais tout avec elle, je la léchais partout n'importe quand et, quand elle rentrait et me rejoignais au lit, j'imaginais bien que son sexe ne ruisselait pas seulement de cyprine. Les poils de son pubis étaient parfois "amidonnés" de sperme.
Je lui ai, une fois, demandé ce qu'elle faisait avec son amant, elle m'a répondu : "je l'aime, je lui donne tout"
En clair, j'ai probablement largement absorbé le sperme de son amant en léchant ma femme et lui en a fait autant avec le mien car elle ne se privait pas de baiser avec moi et même parfois juste avant de partir le reloindre.
Une fois elle était presque partie, et, à la porte, elle s'est retournée et m'a dit "viens". Nous allons à la chambre, elle enlève sa robe (comme toujours elle était nue dessous) et se met à 4 pattes, comme une chienne, déjà cambré, le vagin déjà entrouvert par son excitation. Elle ne pouvait plus attendre, je l'ai pénétrée immédiatement, elle était aux anges, et me disais "je t'aime, je vous aime tous les deux, j'ai besoin de vous deux". Elle parlait comme si elle était en présence de ses deux hommes, moi et celui qu'elle allait rejoindre aussitôt après. ça m'a énormément excité, je suis parti dans une éjaculation énorme, de longs jets que je sentais bien partir, ça n'en finissait plus, Elle m'avait attrapé les couilles par dessous elle et les massait et je continuais à l'emplir de sperme, c'était incroyable. Après, sans plus de manière, elle à remis sa petit robe et est partie. Ce soir la son amant à léché mon sperme, à pénétré son vagin rempli de mon sperme.....
D'un certain point de vue, c'était plus rassurant, au plan hygiénique, qu'elle ait un amant régulier plutôt que des baises occasionnelle avec tous les représentants en assurance et autres comme elle faisait avant.....
ça à duré des années et, à présent, j'ai envie de le raconter.
J'en dirait plus encore dans un autre message.
FranclovX78 a liké
#18061
Esterel, je ne sais pas si tu fantasmes ou si ton début de récit est basé sur du vécu (et cela ne nous regarde pas ...) mais pour moi qui vit depuis 5 ans le libertinage intense de ma femme je retrouve beaucoup de vérité, tant dans le fait de n'avoir qu'un amant au début, du plaisir qu'elle prend à me faire ou à ce que je lui fasse l'Amour, au fait qu'elle "se donne" entière à ses amants et réalise des choses avec eux qu'elle n'aurait jamais accepté de moi ...
La seule différence que j'y vois à ce stade c'est que ma femme a toujours exigé le préservatif...j'ai malgré tout remarqué sur une des rares vidéos que j'ai où elle fait l'amour avec son premier amant (relation de plus de 2 ans) officiel (lui était seul et amoureux) qu'il est sans préservatif et éjacule dans mon épouse. Il avait fait prise de sang me dira-t-elle plus tard!!!

Impatient d'avoir la suite de l'évolution de votre libertinage unilatéral sur les dix dernières années ...

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