- 06 janv. 2010, 20:03
#15770
Histoire de bien finir l'année B. a reçu son amant à la maison, uniquement
pour prendre un verre "en tout bien tout honneur",
mais bien sûr les choses ont fini par déraper et c'est avec le sexe de son amant
au plus profond de son intimité que B. est passée sans s'en rendre compte de 2009 à 2010,
alors que je l'attendais pour sortir.
Mais la nuit précédente fut autrement plus mouvementée.
Étant tout les deux seuls à la maison B. avait invité Dune à venir passer la soirée et la nuit à la maison.
J'avais donné mon accord, mais avais-je vraiment le choix?
Après une rude journée de travail, la soirée a bien commencé autour de quelques verres accompagnés d'amuse-gueules préparés par mes soins.
Nous échangions des blagues et des souvenirs de fêtes, puis l'heure passant j'ai senti qu'il était peut-être temps de m'éclipser. J'inventai alors un prétexte quelconque pour descendre au bureau.
S'ensuivit une attente pendant laquelle je surfais distraitement, essayant d'imaginer ce qui se passait au dessus de moi, sous mon toit, la façon dont il prenait possession de ma femme, son corps frémissant entre ses mains qui la déshabillaient, la main de B. s'emparant déjà de son membre tendu de désir, puis...leurs langues qui se mêlent, leurs corps nus enlacés devant la cheminée. J'imagine B. allongée sur le canapé, offerte,le pubis gonflé d'envie, le sexe de son amant, dressé, fier qui s'immisce en elle, elle qui commence à onduler du bassin pour le sentir au plus profond de son ventre.
Le temps passe lentement lorsqu'on attend, on a le temps d'imaginer tant de choses...
Puis soudain, sans que je l'ai entendu arriver, la silhouette de B. apparait dans l'encadrement de la porte. Elle est nue, rayonnante, le corps légèrement humide, seulement vêtue d'un gilet sans manche doublé en fourrure.
Elle vient me dire, que dis-je, m'ordonner de démarrer MSN puis repart le retrouver.
Ils ont installé un portable sur la table basse, face au canapé. Je vais pouvoir les contempler, par cam interposée, voir enfin en direct le sort si délectable que son amant lui réserve.
C'est à une succession de scènes toutes plus chaudes les unes que les autres qu'ils m'ont convié à assister.
Ma femme agenouillée prend ce sexe si désiré dans sa bouche, essayant de l'enfoncer jusqu'à la garde pendant que son amant lui caresse les cheveux tout en lui tapant négligemment la croupe.
Je m'empare de mon téléphone et commence à filmer l'écran de la main gauche pendant que de l'autre je dégage mon sexe de mon jean et me masturbe doucement.
Après cette fellation qui a eu l'air de les combler tous les deux, Dune s'assoit sur le canapé face à l'écran et je vois ma femme me tournant le dos, venir s'empaler sur le membre érigé qui l'attend, commence alors de lentes montées et descentes du corps de mon épouse sur le pieu de son amant qui agrippe ses fesses, je peux alors distinguer leurs deux sexes emboités et le petit trou de B. qui semble me dire : "regarde bien, cocu, tout à l'heure c'est moi qui vais être à la fête!".
Après de longues allées-venues qui se sont accélérées, ils s'interrompent, B. se positionne à quatre pattes et à défaut de pouvoir toucher, j'ai de nouveau une vue imprenable sur son cul et ses lèvres entrouvertes, elle semble impatiente de retrouver ce sexe, tant aimé, en elle. Je vois ses pieds adorés qui s'agitent, semblants me narguer. Ils remuent au rythme du plaisir que B. doit ressentir.
De nouveau, ils s'arrêtent, B. reprend la fellation de ce sexe que son amant découvre de son préservatif. Elle passe du canapé au tapis sans le lâcher, comme une femelle au pied de son mâle.
Enfin, satisfaits mais non repus, ils se séparent, B. tape un message : "Stop, on va se coucher!" puis "Monte nous deux bières!" Ce qui ne souffre pas de commentaires de ma part.
Je m'empresse d'aller les retrouver, ils sont, là, sur le canapé, leurs corps encore frémissants, à peine couverts.
Nous discutons un peu, de leur plaisir, de mes sensations après les avoir vu ainsi unis dans cet acte d'amour. Voilà, pour moi , c'est la fin du "spectacle ", je n'ai plus qu'à monter me coucher dans la chambre d'amis située juste au dessus de la chambre conjugale.
Une fois dans le lit, la tête étourdie et les yeux encore remplis d'images, je les entends parler puis le silence...
Je comprends qu'ils recommencent à peine à deux mètres sous moi.
Ils sont dans notre futon, ma femme commence à gémir, ses gémissements se transforment en petits cris qu'elle accentue, que je sois sûr de bien les entendre (le plancher n'est pas épais, elle n'a pas de souci à se faire).
Après une série de cris plus intenses qui me laisse imaginer la partie du corps de ma femme qui vient d'être investi, le bruit de la douche et leurs voix étouffées me parviennent.
Et les gémissements de ma femmes recommencent, faut-il qu'ils se désirent à ce point?
Enfin un grand silence succède au tumulte auquel je viens d'assister... C'est alors que j'entends les pas légers de ma femme dans l'escalier, elle vient me souhaiter bonne nuit, elle dégage le drap, s'allonge sur moi et frotte son corps luisant, recouvert du sperme de son amant, magnifique cadeau!
Elle prend mon sexe qui n'a pas débandé de la soirée et le rentre dans son vagin dégoulinant de jouissance et me permet de la sodomiser à mon tour, que c'est doux, son plaisir a dû être intense!
B. m'embrasse, me remercie et me souhaite une bonne nuit solitaire. Elle redescend, retrouver notre lit où l'attend son amant.
Le matin venu, je vais comme convenu taper doucement à la porte de la chambre, il est temps de se lever, une journée ordinaire nous attend.
La suite vous la connaissez déjà.
J-Ph
pour prendre un verre "en tout bien tout honneur",
mais bien sûr les choses ont fini par déraper et c'est avec le sexe de son amant
au plus profond de son intimité que B. est passée sans s'en rendre compte de 2009 à 2010,
alors que je l'attendais pour sortir.
Mais la nuit précédente fut autrement plus mouvementée.
Étant tout les deux seuls à la maison B. avait invité Dune à venir passer la soirée et la nuit à la maison.
J'avais donné mon accord, mais avais-je vraiment le choix?
Après une rude journée de travail, la soirée a bien commencé autour de quelques verres accompagnés d'amuse-gueules préparés par mes soins.
Nous échangions des blagues et des souvenirs de fêtes, puis l'heure passant j'ai senti qu'il était peut-être temps de m'éclipser. J'inventai alors un prétexte quelconque pour descendre au bureau.
S'ensuivit une attente pendant laquelle je surfais distraitement, essayant d'imaginer ce qui se passait au dessus de moi, sous mon toit, la façon dont il prenait possession de ma femme, son corps frémissant entre ses mains qui la déshabillaient, la main de B. s'emparant déjà de son membre tendu de désir, puis...leurs langues qui se mêlent, leurs corps nus enlacés devant la cheminée. J'imagine B. allongée sur le canapé, offerte,le pubis gonflé d'envie, le sexe de son amant, dressé, fier qui s'immisce en elle, elle qui commence à onduler du bassin pour le sentir au plus profond de son ventre.
Le temps passe lentement lorsqu'on attend, on a le temps d'imaginer tant de choses...
Puis soudain, sans que je l'ai entendu arriver, la silhouette de B. apparait dans l'encadrement de la porte. Elle est nue, rayonnante, le corps légèrement humide, seulement vêtue d'un gilet sans manche doublé en fourrure.
Elle vient me dire, que dis-je, m'ordonner de démarrer MSN puis repart le retrouver.
Ils ont installé un portable sur la table basse, face au canapé. Je vais pouvoir les contempler, par cam interposée, voir enfin en direct le sort si délectable que son amant lui réserve.
C'est à une succession de scènes toutes plus chaudes les unes que les autres qu'ils m'ont convié à assister.
Ma femme agenouillée prend ce sexe si désiré dans sa bouche, essayant de l'enfoncer jusqu'à la garde pendant que son amant lui caresse les cheveux tout en lui tapant négligemment la croupe.
Je m'empare de mon téléphone et commence à filmer l'écran de la main gauche pendant que de l'autre je dégage mon sexe de mon jean et me masturbe doucement.
Après cette fellation qui a eu l'air de les combler tous les deux, Dune s'assoit sur le canapé face à l'écran et je vois ma femme me tournant le dos, venir s'empaler sur le membre érigé qui l'attend, commence alors de lentes montées et descentes du corps de mon épouse sur le pieu de son amant qui agrippe ses fesses, je peux alors distinguer leurs deux sexes emboités et le petit trou de B. qui semble me dire : "regarde bien, cocu, tout à l'heure c'est moi qui vais être à la fête!".
Après de longues allées-venues qui se sont accélérées, ils s'interrompent, B. se positionne à quatre pattes et à défaut de pouvoir toucher, j'ai de nouveau une vue imprenable sur son cul et ses lèvres entrouvertes, elle semble impatiente de retrouver ce sexe, tant aimé, en elle. Je vois ses pieds adorés qui s'agitent, semblants me narguer. Ils remuent au rythme du plaisir que B. doit ressentir.
De nouveau, ils s'arrêtent, B. reprend la fellation de ce sexe que son amant découvre de son préservatif. Elle passe du canapé au tapis sans le lâcher, comme une femelle au pied de son mâle.
Enfin, satisfaits mais non repus, ils se séparent, B. tape un message : "Stop, on va se coucher!" puis "Monte nous deux bières!" Ce qui ne souffre pas de commentaires de ma part.
Je m'empresse d'aller les retrouver, ils sont, là, sur le canapé, leurs corps encore frémissants, à peine couverts.
Nous discutons un peu, de leur plaisir, de mes sensations après les avoir vu ainsi unis dans cet acte d'amour. Voilà, pour moi , c'est la fin du "spectacle ", je n'ai plus qu'à monter me coucher dans la chambre d'amis située juste au dessus de la chambre conjugale.
Une fois dans le lit, la tête étourdie et les yeux encore remplis d'images, je les entends parler puis le silence...
Je comprends qu'ils recommencent à peine à deux mètres sous moi.
Ils sont dans notre futon, ma femme commence à gémir, ses gémissements se transforment en petits cris qu'elle accentue, que je sois sûr de bien les entendre (le plancher n'est pas épais, elle n'a pas de souci à se faire).
Après une série de cris plus intenses qui me laisse imaginer la partie du corps de ma femme qui vient d'être investi, le bruit de la douche et leurs voix étouffées me parviennent.
Et les gémissements de ma femmes recommencent, faut-il qu'ils se désirent à ce point?
Enfin un grand silence succède au tumulte auquel je viens d'assister... C'est alors que j'entends les pas légers de ma femme dans l'escalier, elle vient me souhaiter bonne nuit, elle dégage le drap, s'allonge sur moi et frotte son corps luisant, recouvert du sperme de son amant, magnifique cadeau!
Elle prend mon sexe qui n'a pas débandé de la soirée et le rentre dans son vagin dégoulinant de jouissance et me permet de la sodomiser à mon tour, que c'est doux, son plaisir a dû être intense!
B. m'embrasse, me remercie et me souhaite une bonne nuit solitaire. Elle redescend, retrouver notre lit où l'attend son amant.
Le matin venu, je vais comme convenu taper doucement à la porte de la chambre, il est temps de se lever, une journée ordinaire nous attend.
La suite vous la connaissez déjà.
J-Ph