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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

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#15229
Voici une histoire que j'ai inventée en imaginant ma femme à la place de la salope de cette aventure:

Fin Janvier mon employeur m'informa que je devais me rendre en Hollande pour rencontrer un client afin de lui présenter notre nouvelle gamme d'appareils. Depuis quelques jours Aude, ma femme, une jolie brune de 37 ans, était devenue soucieuse, la petite boutique de lingerie qu'elle gérait avec une de ses amies connaissait quelques difficultés passagères, je l'invitais donc à m'accompagner.
Elle accepta sans hésiter trop heureuse de fuir quelques instants ses soucis.
Le vol sur la compagnie KLM nous posa en à peine trois quart d'heures à Amsterdam. Le rendez-vous avec mon client décidé tôt dès 9 h ce matin du samedi me permit d'être libre en fin de matinée. Aude pendant ce temps avait loué une chambre dans un charmant petit hôtel en ville avec vue sur les canaux. L'après-midi nous vit flâner à pied dans cette superbe ville et visiter l'architecture de ses petites maisons multicolores.
Il était donc vers les 22 h, et comme nous avions terminé de dîner dans une pizzeria, nous décidâmes de finir la soirée dans un de ces nombreux clubs érotique qui parsèment la ville.
La journée n’avait pas été super, nous n’avions pas réussi à bien communiquer entre nous. Elle plongée dans son mutisme et moi tout à mes contrats. Un spectacle érotique nous donnerait de la gaité pour rentrer à l’hôtel.
A la porte un énorme videur noir qui tenait un chien malinois muselé en laisse nous ouvrit l'air rébarbatif. Aude m'en fit la remarque d'un air contrarié...

L'intérieur était dans la pénombre et une jeune fille nous conduisit à une petite table au deuxième rang face à la scène et nous apporta deux consommations. Une femme, assez grasse était déjà sur l'estrade, elle se déhanchait au son d'une musique aîgrillarde, ses seins boudinés dans une sorte de grands soutien gorge tressautaient à chacun de ses pas et son slip ressemblait à un sac a jambon.... Un écran vidéo projetait en gros plans des vues soit de ses fesses bourrées de cellulites, soit de son visage mal maquillé. Le rideau tomba et quelques sifflets fusèrent dans la salle... Apparemment nous n'avions pas choisi le meilleur endroit de la ville. Aude me fit part de son désir de rentrer ou d'aller voir ailleurs.
La salle fut à nouveau plongée dans l'obscurité, le rideau se leva et apparu en pleine clarté une jeune femme vêtue d'un pantalon, d'une veste et d'une casquette en cuir. En 3 langues (allemand, anglais et français) elle nous fit un petit discours qui provoqua des rumeurs et par lequel elle expliquait qu'un malaise de sa partenaire habituelle l'empêchait à son grand regret d'exécuter son célèbre numéro 'lune de miel au brésil", A moins précisa-t'elle qu'une de ces dames de l'assistance fut disposée à remplacer l'artiste défaillante, ce qui n'exigeait aucun talent particulier mais seulement un peu de bonne volonté.
Le brouhaha s'accrut. Un projecteur se promena sur les rangées de fauteuils alors que le regard de la femme s'aiguisait pour scruter les visages des spectatrices. Son bras se leva et pointant son index vers l'une d'elles et demanda
- Vous !
L'intéressée secoua négativement la tête avec énergie, affreusement gênée d'être le point de mire de la salle et surtout d'être l'objet d'une semblable proposition. Son compagnon rigolard aggrava la confusion en la poussant à accepter mais elle continuait de refuser avec obstination.

Le doigt de la femme s'étant déplacé se fixa dans la direction de Aude.
- Vous !
Un silence plana, puis des gens lancèrent des exhortations plaisantes incitant l'interpellée à se montrer coopérative, a se laisser fléchir ; je retins Aude par le bras, mais elle s'était ennuyée ferme durant toute la soirée et me faisait un peu la gueule....
Ma compagne, les lèvres pincées me jeta un coup d'œil furieux. Elle lut dans mes yeux que je ne tenais pas a ce qu'elle participe ...

D'un air rageur, elle se leva tout d'une pièce saluée aussitôt par des applaudissements chaleureux, se déplaça pour quitter la rangée de tables et monter sur la scène suivie par la clarté du projecteur.


Les approbations redoublèrent quand elle apparue ravissante, vêtue d'un jeans moulant, et d'un large pull noir en laine mohair, l'artiste lui serra la main pour la remercier de son dévouement. Puis se tournant vers les spectateurs elle les pria d'observer désormais le plus grand silence, celui-ci étant absolument nécessaire pour la suite du programme.

L'intensité de l'éclairage diminua, l'écran géant s'alluma et une musique indienne créa un climat d'intimité pendant que le rideau s'ouvrait sur un décor très sobre : un immense sofa bleu flanqué de deux tables de chevet sur lesquelles des lampes distillaient une lueur orangée.

La jeune artiste ôta sa casquette et secoua sa chevelure blonde, ouvrit sa veste de cuir ; un soutien gorge cloutés munis de deux larges ouvertures dans les bonnets laissaient sortir la moitié de ses deux seins magnifiques. Elle enlaça Aude et l'entraîna dans un slow langoureux. L'écran vidéo projetait leurs visages en gros plans, la lumière orangée donnait a cette scène un air surréaliste. La jeune femme blonde serrait Aude de près, ses mains se promenaient sur les fesses de mon amie et les pointes de ses seins étaient dressées au contact du pull de ma compagne. Tout en dansant les longues mains fines de l'artiste, commencèrent à déboutonner le jeans. La main de Aude se crispa sur celle de la jeune femme ; celle-ci se recula un peu et dit quelques mots à Aude qui la laissa faire. La longue main disparue dans l'ouverture. Le visage de Aude était sur l'écran, sa tête était enfouie dans les cheveux blonds, les yeux fermés elle se laissait aller à la caresse.
Le jeans glissa sur les hanches, la jeune femme blonde se baissa, retira les bottines et la débarrassa de son pantalon. Le pull lui descendait presque jusqu'aux fesses mais l'on devinait dessous la petite culotte blanche. Ses longues jambes bronzées et ses cheveux bruns très courts accentuaient sa beauté un peu sauvage...
Peu après le pull rejoignit le pantalon et la salle ne pût, à ma grande fierté, réprimer un murmure de satisfaction. Il faut avouer que Aude était absolument mignonne, les spectateurs semblaient conquis. Les images vidéo s'attardaient sur la chute de ses reins, sur l'ovale de son visage et sur la petite culotte et le soutien-gorge de dentelle blanc.
L'artiste invita Aude à prendre place sur le divan, elle s'assit à ses côtés et la prenant par les épaules, elle lui déposa un baiser sur les lèvres tout en lui dégrafant dans le dos son soutien-gorge. Les deux seins apparurent en gros plans sur l'écran. Grossis de cette façon ils étaient encore plus beaux, plus arrogants, dont les bouts durs fripés et tendus m’informait de son état de grande excitation sexuelle.

Le déshabillage intégral continua, Aude gardait les yeux fermés, mais le léger roulement de hanche lorsque la fille lui ôta sa culotte et le luisant de sa fente ensuite ne pouvait tromper personne. Ma femme mouillait à cette exhibition. Tous le monde se rinçaient l'œil de la plastique de ma compagne.

La jeune artiste retira à son tour son soutien gorge, ses seins n'avaient rien à envier en beauté à ceux de Aude...Dos au public et face à Aude, elle faisait glisser à présent son pantalon de cuir, le visage de Aude sur l'écran retint l'attention de tous car une expression d'étonnement et de confusion y transparut...

L'artiste était à présent absolument nue de dos, ses fesses rebondies et la courbe de ses reins parfaite laissait la salle silencieuse. Elle se retourna d'un bloc et une immense clameur souleva le public....en pleine lumière crue d'un projecteur et en gros plan sur la vidéo un imposant sexe masculin à moitié bandé, rasé, pendait de manière obscène. La jeune femme était en réalité un magnifique travesti. Il prit Aude par la main qui se leva du sofa, elle était à la fois surprise et resplendissante à ses côtés, ils firent un salut à la salle, la lumière et l'écran s'éteignirent et le rideau tomba.
Le colosse noir de l'entrée vêtu d'un habit queue de pie s'adressa à la foule en invitant le public à consommer et avertit que la seconde partie du spectacle allait recommencer dans quelques instants.

J'attendais Aude en sirotant un mousseux tiède, en me demandant pourquoi ma femme était si longue à revenir. Des spectateurs me tapaient sur l'épaule en passant, heureux d'avoir pu admirer Aude sous tous les angles. Cette situation m’inquiétait ...

La lumière de la salle s'éteignit à nouveau, le rideau se leva une nouvelle fois.
Apparemment le même décor.
L'écran s'alluma et bien que l'image fut sombre je reconnus le beau visage de Aude. La lumière avait repris de l'intensité et sous un tonnerre d'applaudissement la salle à son tour la reconnue. Celle-ci couchée sur le divan la tête tournée vers le public prodiguait au travesti qui était debout une caresse vieille comme le monde. En gros plan la bite transsexuelle allait et venait dans sa bouche, la déformant. Aude le suçait tantôt l’embouchant jusqu’au fond de la gorge, tantôt lui suçant le gland ou lui léchant la hampe en fermant les yeux.
Aude était une bonne suceuse, mais là, elle se libérait. La salive lui coulait sur le menton, jusqu’à sa poitrine.
Et tandis que d'une main elle se tirait et pinçait sur le bouts des seins, de l’autre elle massait les testicules du travesti, puis ses doigts s'insinuèrent entre les fesses de l'artiste qui se pencha pour offrir sa croupe à la vue du public. D'un doigt, Aude le sodomisa..., jamais je n'aurais imaginé même dans mes phantasmes les plus fous qu'elle puisse allez aussi loin. Je ne pensais pas que sa prestation sur scène aurait pu aller plus loin qu'un simple striptease.
Mais il fallait se rendre à l’évidence, ma femme était un train de se taper un trav, sous mes yeux, et elle y prenait un grand plaisir. Ses petits cris de contentement en attestaient, ainsi que sa chatte ruisselante et bien ouverte en gros plan sur l’écran. Elle palpitait et un liquide clair coulait en fin filets depuis le bord de ses lèvre jusqu’au sol. Je n’avais jamais vu non plus son clitoris prendre de tels proportions.

Le comédien ôta sa bitte de la bouche de ma compagne et lui tournant le dos, le visage à présent face au public, il écarta ses fesses de ses deux mains et incita Aude à y introduire sa langue. Le doigt fit place à la langue, qui se fraya une place dans le petit anneau brun. Aude la langue raidie, le visage enfoui entre les fesses s'efforçait d'entrer le plus profondément possible son morceau de chair dans le petit trou noir. Elle y réussissait fort bien d'après les images que nous renvoyaient l'écran et le plaisir évidant qu'elle procurait à son partenaire.. La salle retenait son souffle, subjugué par l'indécent spectacle. Je bandais comme un fou et je du libérer mon sexe pour qu’il prenne un peu l’air. Autour de moi, certaines femmes avaient sorti un de leur seins, le caressait, ou branlaient lentement leur mari, la bouche ouverte et les yeux écarquillés. L’atmosphère était devenue moite, chaude et sexuelle.

Aude due relever la tête pour reprendre sa respiration et l'artiste en profita pour se coucher sur ma compagne en position 69. Des deux mains lui aussi il lui écarta sa chatte devenue rouge sombre, ouverte et visqueuse. En gros plan le clitoris bandé, les petites lèvres, l'intérieur rose et trempé du réceptacle n’eurent plus aucuns secrets pour le public tétanisé. Elle dégorgeait son plaisir qui lui coulait dans la raie.
Aude avait à présent trois doigts plantés dans l'anus de son amant . Les trois doigts tournaient doucement dans le fondement pour en agrandir l'ouverture. Elle les retira pour contempler son ouvrage. Elle paraissait satisfaite car de l'autre main libre elle entreprit une douce branlette au travestit. Celui-ci la remercia d'un coup de langue dans sa grotte.
L'anus était resté ouvert et à nouveau trois doigts, vite rejoint par leurs frères s'insinuèrent dans l'ouverture... Aude s'était accroupie à présent derrière le travelo qui s'était mis à genoux sur le sofa, le cul bien en l'air. Aude poussait sa petite main fine qui à présent était presque entièrement absorbée par la cavité rectale...De l’autre, elle avait glissé deux doigt dans sa chatte et deux dans son cul.
L'artiste subissait la pénétration d'un air extasié...le bras de Aude allait et venait très doucement et imprimait au corps mi-homme, mi-femme une jouissance extrême. Ma femme dardait sa langue en gémissant. Ne pouvant se retenir plus longtemps, la blonde poussa un cri rauque et sa bite pourtant à demi bandée expulsa sa semence qui sortit en plusieurs petits jets et macula le divan. Aude avec précaution et beaucoup de douceur ressortit son avant-bras qui semblait démesuré sur l'écran. Comme pour la remercier, le travesti entreprit de lécher l’avant bras de ma femme. Il léchait sur toute la longueur la peau douce du bras, poussant délicatement sur la nuque de mon amour, il l'incita à en faire de même. J'étais rouge de colère et de honte, Aude se laissait faire et ses lèvres à présent courraient sur son bras, accompagné de la langue du travelo. C'était obscène. Quelques cris fusèrent dans la salle. La femme du couple le plus proche englouti de membre de son mari au moment où il éjaculait. Je la regardait déglutir, avalant cette semence qui semblait abondante.
Une autre, non loin, jouissait en retenant ses cris.

La toilette terminée il lui prit le menton, la forçant à le regarder dans les yeux, il discuta un instant avec elle, mais nul ne pouvait entendre leur conversation. Aude comme une enfant baissa la tête et acquiesça. Il l'embrassa sur les lèvres, la serra contre lui, leurs seins se frottaient, leurs langues se mêlaient et leur baiser devint passionné, provoquant...
Mon désir coulait doucement de mon méat, le long de ma hampe et je ne pouvait m’empêcher de me branler lentement en regardant, l’esprit vide, ma femme jouir debout, la langue sortie bataillant avec celle du travelo qui lui triturait le bout des seins de ses longue mains manucurées.
Une voisine rapprochât sa chaise, les yeux brillants et la jupe retroussée. Sa main remplaça la mienne et la mienne se glissa entre ses cuisse grande ouverte. Elle ouvrit la bouche et se crispa sur mon vit quand, partagé entre la jalousie et une excitation inconnue pour moi, je lui glissait deux doigt dans la fente gluante en fixant ma femme. Mais en pleine lumière, elle ne pouvait me voir.

Alors se tournant face au public l'acteur leur signifia dans les trois langues que sa partenaire, dont le désir n'avait pas été comblé, désirait faire l'amour avec un mâle, - un vrai - dit-il en souriant. Des huées montèrent de la salle, quelques phrases vicelardes fusèrent, mais personne ne se fit connaître. Ils hésitaient tous à monter sur scène....Sans doute intimidés par le sex apeal de Aude, ou inquiet à l’idée de jouir trop vite.
Aude fixait dans ma direction et je levais le doigt.

- "Non pas vous" - me dit sèchement le travelo, vous êtes ensemble.... Aude eut un sourire dépité, elle aurait aimé me faire partager son expérience sur scène....

Aucun spectateur ne se décida. ...

Bien dit-il, je suis un peu déçu par votre manque de coopération, Mademoiselle est pourtant jolie, douce ... et très, très agréable....
Je vais devoir faire appel à Léo qui reste le seul mâle disponible....si toutefois Mademoiselle l'accepte...Alors apparu dans la lumière tamisée de la scène, en peignoir vert, le colosse noir qui gardait l'entrée. Il était immense, plus de deux mètres, des mains et des lèvres énormes, un monstre de muscles.
Quand il ouvrit son peignoir il monta de la salle un murmure de stupéfaction, ce n'était pas la beauté de son corps musclé, mais l'ampleur du désir qu'avait suscité en lui le spectacle de Aude lors de ses ébats. Subjuguée par la virilité de l'artiste, ma voisine au branlage expert augmenta la pression de ses doigts et je la senti jouir sous ma main, à la seule vue de l’énorme sexe du black. Elle s’imaginait sans doute à la place de ma femme.
Je ne pouvais admettre dans mon for intérieur que cet individu oserait en faire usage, d'autres spectateurs semblaient partager cette opinion tout en espérant au fond d'eux-mêmes avec une jubilation anticipée qu'elle serait démentie.

Elle ne tarda pas à l'être… prenant Aude dans ses bras comme un fétu de paille il se coucha sur le divan. Aude, en transe, se mit à califourchon sur lui, l'écran vidéo nous retransmettait en gros plan son sexe érigé, les petites fesses et l'entrée huileuse de sa chatte. Le gland sombre, de la taille d’une mandarine, était juste posé sur les lèvre, les séparant délicatement.
Toute la salle retenait son souffle. L’odeur était devenue animale et j’était au bord du plus formidable orgasme de ma vie. J’était tellement absorbé par cette vision que je n’avait pas vu l’époux de ma branleuse se glisser sur la banquette à ses coté. Ce n’est qu’a la sensation de pression sur mes doigts en elle que je compris qu’il l’enculait profondément, lentement…
Il me sourit et me dit en anglais « Merci à votre femme, c’est pour moi la 1ere fois que Daisy (le nom de ma branleuse) me laisse passer par ici. »
Ceci expliquait pourquoi cette dernière avait cesser de s’occuper de moi…Elle savourait ce moment.

Sur scène, dans un long gémissement d’extase, ma femme s’'appropria le black en se laissant descendre d'une longue traite, bouche ouvert, yeux fermé et langue sortie jusqu'à se souder à lui, a l'énorme surprise de tout le monde.
Les presque 25cm d’ébène et leur diamètre impressionnant venait de disparaître à l’intérieur de mon amour.
Par la suite, elle m’avouât que la sensation qu’elle avait ressenti alors dépassait toutes les pénétrations qu’elle avait connue. Elle s’était sentie remplie comme jamais dans une extase indescriptible.
Elle s'était accroupie sur lui. La grosse bitte entreprit son mouvement de va et vient. Entrant et sortant presque entièrement à chaque fois, celle-ci se couvrait des sécrétions de ma femme. Elle mouillait tellement que son jus coulait le long des grosses couilles et tâchait le canapé.
Une longue plainte gutturale et ininterrompue sortait maintenant de la gorge d’Aude.
La tête rejetée en arrière, les yeux révulsés, elle jouissait sans discontinuer.

Dans la salle, l'ambiance pouvait glisser à l'orgie d'un instant pas l'autre. Tous les pantalons étaient ouverts, et les femmes, à l'unisson de l'amour de ma vie avait sombré dans un communicatif délire érotique. Un peu partout autour de moi, les bouches suçaient ici un gland est là un mamelon, les doigts se perdaient dans les orifices vaginales et rectales tandis que les soupirs remplissaient la moiteur de l'air ambiant. On entendait en plusieurs langues les indications du plaisir. Déjà, les couples les plus proches de la scène s'étaient plus que rapprochés. Je voyais une femme mordre l'épaule de son compagnon pour ne pas faire trop de bruit tandis qu’un inconnu la prenait par le cul, le membre de son mari profondément enfoncé dans la chatte.

Sur scène, quelques minutes de pistonnage passèrent. Assit dans la pénombre à près du couple en copulation, le travesti s'était approché et branlait doucement son sexe de bonnes proportions. Tout en continuant de limer la petite chatte distendue de mon épouse, le colosse fit signe à son camarade.

L'attention du public revint immédiatement vers le couple dépareillé. Lui si grand, si épais, et elle si fine et qui pourtant se délectait de l'énormité de l'introduction. Cependant, jamais en entrant dans cette salle quelque peu minable, aucun ne s'attendait à assister à pareille scène... décidemment devaient-ils penser Amsterdam est la capitale de tous les vices..et s'ils avaient su que tout cela n'était pas préparé...

Les deux grosses mains du colosse, chacune couvrant largement une fesse les écartèrent sans ménagement. La longue langue de la blonde mi femme mi homme léchait de haut en bas la raie cullière d’Aude, et s'attardait quelquefois sur le gros mandrin noir qui allait et venait dans le trou du dessous. Ma femme était emportée par un délire obscène...Egarée, le cerveau vide, enfin comblée par des ardeurs masculines aux moyens redoutables... Aude cédait vicieusement aux caprices de ses amants sans plus réaliser ou elle se trouvait….La caresse linguale et les doigts fins du travelo la propulsait dans un monde de jouissance alors inconnu pour elle.
Malgré la taille du chibre qui la pourfendait, sous cette incroyable caresse, son petit trou anal s’était ouvert tout seul et on aurait pu y glisser un stylo sans qu’il ne touche les bords.

« Hoooo ouiii ! Encooore, encooooore… C’est trop booooon !! Dans le cul, je la veux dans le cuuuuul, viiite, maintenant»
Gémissait-elle. Elle voulait plus qu’une chose, une double pénétration, sans connaître l’origine du membre qui la prendrait. Elle écartait maintenant d’elle même ses fesse et se trémoussait sur le membre noir, la chatte béante, ouverte, violette de plaisirs.
Ce dernier, surpris par cette femelle en furie ne sachait plus trop comment gérer la situation devant ce déferlement de stupre.
Ma petite Maude lui ordonnait : « Vas-yyy, Tire sur mes seins ! Allezzz, mais tiiiree ! C’est trop bonnnnn ! »
Lui, écrasait entre ses gros doigts les mamelons de ma femme devenue prêtresse du sexe.
En tournant la tête, elle compris l’origine de cette jouissance inconnue. Ses yeux s’écarquillèrent en voyant le sourire de contentement de son lécheur mais dans sa raie mais la sensation était trop forte.
Elle regarda dans ma direction, ferma les yeux, suça vicieusement deux de ses doigts et se les introduisit deux dans le cul en feulant.
« Dis lui de me la mettre !! Vas-yyyy, dans mon trou du cul, je t’en priiis ! » Ordonna-t-elle d’une voie guturale.

Sur l’écran, tantôt en gros plan ,tantôt en plan plus large, la vision dépassait l’entendement : Ma petite femme qui grignotait du bout des lèvres une pizza 2 heures plus tôt était maintenant sur le point de se faire prendre en sandwich sur la scène d’un cabaret entre un travesti et un noir au sexe disproportionné tandis qu’à 3 m. de là, je fistait presque ma voisine anglaise alors qu’elle me suçait en gorge profonde et que son mari l’enculait bien à fond.

La grotte ruisselante de ma compagne était devenue pour le deuxième homme comme une invitation. Les secrétions de ma femme devaient être un délice pour lui et la vision de son anus dilaté par les doigts appelait impérieusement le coït. D'un bond, le sexe bien tendu, il s’approcha de la petite porte déjà ouverte, palpitante de désir.
La bouche sèche, les yeux exorbité, je vis que le sexe était devenu long d'environ une bonne vingtaine de cm et d'un diamètre conséquent. Lorsque Aude senti le pénis de la blonde s’appuyer sur son anus elle sorti les doigts de son fondement et s’ouvrit l’anneau en bavant.
Le grand noir la tint fermement serrée contre lui et lui bâillonna la bouche de ses grosses lèvres. Les fesses ainsi largement ouvertes, le travesti enfonça son gland dans l'entrée de l’anneau brun dilaté, et d'un seul mouvement de reins, propulsa la hampe jusqu'au fond du fondement de ma douce.
Dans un cri de bonheur, Aude fut prise en sandwich.

Sur l'écran, les images de ces trois corps imbriqués étaient d'une intensité sexuelle folle. Aude, le cul bien en l’air, se faisait limer à qui mieux-mieux par cette blonde au sexe masculin qui coulissait en elle avec une vitesse décuplée, le noir pistonnait dans sa chatte avec avidité....

"Oui ! Oui ! plus vite ! plus fort ! Oui c'est ça...encore..." criait-elle pour les encourager...
« Encooore, encoore, profooond….Hoooo Ouiiiiii !!! » Elle jouissait et coulait sur les couilles du noir !
Les mains dans le dos, elle retenait l'autre en elle et de la langue elle léchait la sueur qui coulaient du front de son amant.

Elle était en transe et répondait aux coups de butoir de ses incroyables baiseurs par des mouvements de bassin incontrôlés. La bouche ouverte, elle profitait du plaisir intense que lui procurait cette étreinte bestiale. Des gouttelettes de sperme sortaient de son cul, le travesti devait commencer à épancher son besoin de se vider. Comme un filet, la semence coulait sur sa chatte et glissait jusque sur les bourses du videur. Le sodomisateur accéléra encore l'allure. Ce petit anneau brun qui tant de fois avait reçu ma queue était un pur régal.
Malgré le contrôle qu'il exerçait sur ses sens, le noir s'avisa qu'il allait être emporté prématurément par son plaisir, il ne s'attendait pas à trouver dans le public une fille aussi chaude et aussi salope. Alors d'un coup il agrippa les hanches de ma bien-aimée, son visage eu un rictus, son corps s'arcqueboutta, l'autre de son côté s'enfonça plus encore dans les entrailles en poussant son bas-ventre aussi loin que possible ; Aude les seins gonflés, les yeux chavirés par la jouissance poussa un long cri gutural, le noir et son complice se vidaient d'un même élan dans son corps magnifique. Son anus et son sexe en gros plan sur l'écran débordaient de semence blanchâtre.

Dans la salle, ce signal eu l’effet d’un courant psychique. Le hommes se vidèrent dans les matrices, les cul, les bouches des femmes. La foule jouissait toute ensemble à l’unisson de l’extraordinaire orgasme de ma femme qui m’avouât ensuite avoir perdu toute notion de tout, dés qu’elle était montée sur la scène. Pour ma part, je ne débandait plus. Malgré avoir copieusement tapissé le gosier de ma suceuse de voisine, je restait dur comme du bois, le sexe plus large et le gland gros que je ne l’avais jamais vu. A la fois jaloux, fière, et si surpris par la performance de ma femme…que je découvrais sous un jour inconnu. Je sus cependant qu’une nouvelle vie sexuelle venait de s’ouvrir pour nous.

Aussi vite qu'il était monté sur le canapé, le sbire retira dans un bruit spongieux son sexe encore bien épais de l'anus de Aude et recula lentement en titubant, secoué par l'ampleur de son orgasme.
En voyant ce vit, je compris l’ampleur de la sensation qu’avait du ressentir mon épouse en sentant cette masse remplir son fondement.
Le noir sortit du réceptacle sa bitte débandée qui pourtant était restée de belle taille. Aude repue de plaisir se laissa tomber sur le côté, impudiquement les jambes ouvertes, l'on voyait s'échapper de ses trous béants les deux spermes mélangés. Quatre hommes encore trop excités sautèrent sur la scène leurs sexes turgescents en main, et d'une main ferme ils se branlèrent rapidement.

Aude tenta de se lever, mais le colosse noir la retint en peu, elles ne se débattit pas et dans un accord parfait les quatre membres éjectèrent leur semence.
Aude le visage, les yeux, les seins, la bouche couverte de sperme, se laissa maculer en souriant, la bouche ouverte et la langue se pourléchant les lèvres du jus des inconnus.
Le rideau de scène tomba, l'écran vidéo s'éteint, les lumières furent promptement allumées et l'on vit, qui se reboutonner rapidement, qui rabattre hâtivement sa robe sur ses genoux. Les yeux étaient hagards, les expressions hébétés et la plupart d’entre nous ne devait pas bien saisir ce qui avait pu nous arriver.
Derrière le rideau, les 5 hommes devaient sûrement jouer avec ce jeune corps consentant, activement stimulés par un besoin dévorant d'épuiser a fond leur vigueur, et sachant que cette merveilleuse aubaine ne se représenterait jamais plus.
Aude ne les empêcherait pas dans l'état où elle se trouvait. Les gens étourdis mirent quelques minutes à récupérer leur sang-froid et commencèrent à quitter la salle.
Machinalement je fis de même l’esprit embrumé de trop de sensations, de visions.

Maud me dit plus tard qu’elle l'avait fait exprès pour se venger d'une morne journée, mais elle n’avait pas pu résister à la promesse de jouissance extraordinaire que lui avait fait miroiter le travelo après sa première prestation qui lui avait enflammé les sens.

Un vietnamien discret s'approcha de moi, et m'invita à me rendre au bar... les consommations m'étaient offertes par la maison..... La tête me tournait, je ne savais pas quelle contenance adopter lorsque que Aude réapparaîtrait devant moi. Certains hommes en passant près de moi me décochaient un regard vaguement narquois mais tinté d'envie Beaucoup se demandèrent si le scénario n'était pas réglé à l'avance, et s'il ne se reproduisait pas tous les soirs. Déjà de nouveaux clients pénétraient dans l'établissement.

Aude avait récupéré son manteau, et accompagnée du noir et du travesti, fraîche et remaquillée, me dit : "le directeur de l'établissement m'a proposé un contrat et de me payer pour la soirée, figures-toi... mais j'ai refusé tu penses...."

Je finis mon verre, elle fit une bise à ses deux amants d'un soir qui la remercièrent et la complimentèrent encore et à notre tour nous sortîmes de la boîte, l'hôtel se trouvait à une dizaine de minutes a pied.

Elle rompit le silence
- Alors chéri n'avons-nous pas passé une bonne soirée ?
- Oui, oui… je ne sais pas bien, tu était si belle, si sauvage...répondis-je
- Il fallait bien que quelqu'un se dévoue ! répéta-t'elle avec légèreté - "D'ailleurs ils étaient beaux ces types, tu ne peut pas le nier !",

Comme je restais silencieux, elle ajouta :

- Quand on entre dans un sex-club on doit laisser ses préjugés à la porte !, tu as été secoué par l'imprévu de la situation. Moi aussi. Je ne m’attendais pas à tout ce sexe. Mais j’avais trop envie de continuer. C’était si fort, si bon, Mmmm, rien que d’y repenser. Je remouille à nouveau.
Tu n’est pas fâché ? Je suis toujours ta femme qui t’aime plus que tout, tu sais, mais en plus, je suis devenue une grosse salope qui aime tout les types de queue. Les autres hommes m’ont aussi fait jouir derrière le rideau, après… Et je n'ai pas pu récupérer mes habits, quelqu'un a dû les emporter en souvenir... .. Tiens regardes.!.

M'entraînant dans un recoin elle ouvrit son manteau, elle était nue, merveilleusement désirable, elle me prit le poignet et plaqua ma main sur les poils fins de sa petite chatte,
- Suces moi, j'en ai envie..., enfonces bien ta langue...!

Je me mis à genoux devant elle, enfouis ma tête entre ses jambes, sa grotte était encore huilée et odorante de foutre, ma langue lapait les dernières gouttes des épanchements de ses amants. Les deux mains plaquées sur ma nuque, elle arquait les jambes pour que je puisse mieux la lécher....

Un désir violent monta de mes reins, j'eus envie de la prendre là, tout de suite dans la rue comme une belle garce qu'elle était... Je sortis ma bitte toujours dure depuis la fin du spectacle et le clouais dans sa chatte ruisselante. Son corps tiède était plaqué sur le mien, elle s'accrochait à moi, sa langue dans ma bouche, son corps agité par le plaisir....je lui tenais les cuisses en hauteur, la décollais de terre et la labourais violemment de mon sexe …

- « Je t'aime, oui vas-y...profond, bien comme ça, mets moi tes doigts derrière aussi… répétait-elle, je t'aime...., je t'aime....oui, je t'aime... »

Je me vidais en elle comme un torrent....trois doigts dans son cul en lui mangeant la langue alors qu’elle orgasmait aussi encore une fois de plus.

Moi aussi je l'aimais, je l'aimais comme un fou....
#17349
Très beau récit... très bien écrit, excitant au possible et surtout, il fait ressortir de manière admirable l'intensité de l'amour entre Aude et son mari... bravo !
#17365
merci pour ces commentaires. J'ai écris d'autres textes, si cela vous interresse.
#18063
Je suis fan.... j'ai lu beaucoup d'histoire ici et là; (eh oui, un peu cérébral le monsieur ...) mais là je dois dire que tout comme hisotoireslib je trouve que c'est très bien écrit et extrêmement excitant ...
Si tu publies d'autres histoires fait moi signe, si tu publies un livre j'achète immédiatement...

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