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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par louis
#12568
J’ai toujours fantasmé sur la femme de mon meilleur pote Pierre : Sophie, une grande brune taille mannequin, de jolis seins et un visage à rendre n’importe qui amoureux.

Un soir où je faisais la fête avec Pierre dans un bar, notre conversation a dérivé autour du sexe. Pierre aborda naturellement sa relation avec Sophie.

Il me dit qu’il était comblé, mais avait remarqué à plusieurs reprises, notamment lorsqu’il lui faisait l’amour, que Sophie évoquait des envies de soumission, et cela, de plus en plus fréquemment.

Il me confia que cela ne le branchait pas, qu’il ne se sentait pas l’âme d’un dominateur.

Je profitai de l’occasion :



— Si tu veux que je te rende service, pas de problème, tu peux me la confier…


J’appréhendais sa réaction.



À mon grand bonheur, il fut intéressé par la proposition, il m’avoua même que cela pourrait l’exciter de savoir sa femme offerte à un autre.



— La prochaine fois que je fais l’amour avec Sophie et qu’elle évoque le moindre désir de soumission, j’essaierais de lui vendre notre projet, nous avons une chance. Je crois que tu lui plais…


Je quittais Pierre assez euphorique.



3 semaines plus tard, Pierre m’appela.

Il avait réussi à la convaincre, non sans mal. Elle avait peur de ne pas pouvoir supporter, de ne pas être à la hauteur, mais un pas était franchi, le rendez-vous était convenu un samedi soir chez moi.

Pierre me dit :



— Maintenant, à toi de jouer, c’est toi qui prendras les choses en main.


J’étais très excité, mais assez anxieux de la réaction de Sophie et de la tournure de la soirée.



Ils arrivèrent pile à l’heure, 20 h. Sophie est habillée d’une jupe moulante et d’un joli chemisier, assez BCBG.

J’ouvris une bouteille de champagne, évidemment, l’ambiance était un peu différente de d’habitude.



Au bout d’une vingtaine de minutes de discussions assez banales, je me lançai. Sophie était en train de me tendre son verre afin que je la resserve.



— Non Sophie, tu n’es pas ici pour boire du champagne, lui dis-je très sèchement.


En un instant, l’atmosphère se glaça, Pierre restait stoïque.



— Lève-toi s’il te plaît (d’un ton très autoritaire).


Sophie se leva lentement du canapé, je la sentais extrêmement fébrile, ses mains tremblaient.



— Mets-toi au centre du salon, et attends-moi debout, les bras le long du corps.


Elle fit quelques pas silencieux et s’immobilisa.



Après quelques instants, je me levai et allai me positionner derrière elle, d’un pas lourd. Je pris mon temps, puis, après un long silence, je posais mes 2 mains sur ses épaules. Je lui caressais lentement la nuque et déboutonnais un par un les boutons de son chemisier. Je fis tomber la chemise à terre en la tirant d’un coup sec vers le sol.



— Maintenant, enlève ton soutien-gorge.


Sophie hésita quelques secondes.



— Enlève-le, et dépêche-toi, dis-je d’un ton qui n’autorisait aucune contestation.


Elle passa alors la main dans son dos et l’enleva, dévoilant de magnifiques seins. J’étais terriblement excité. Je pris alors un sein dans ma main, le caressai et le soupesai, comme on soupèse un objet.



— Ta femme a vraiment de beaux seins, dis-je à Pierre en me tournant vers lui.


Je sentais Sophie humiliée.



— Bon maintenant, mets-toi à poil, je veux te voir complètement nue.


Sophie, rouge de honte, se déshabilla totalement, marquant un léger temps d’arrêt avant d’ôter sa culotte.

Toujours en m’adressant à Pierre :



— Elle est vraiment bonne, quel cul ! Merci pierre, je vais vraiment m’amuser pendant ces prochaines 24 h.


Sophie fit un mouvement de stupeur, elle venait d’apprendre que sa soumission durerait 24 h, je la sentais encore plus fébrile.



— Marche un peu, que je t’admire à poil.


Sophie hésita un court instant à obéir, puis fit plusieurs allers-retours dans la pièce.



— Bien, arrête-toi et mets-toi à genoux.


Sophie s’exécuta et mit ses 2 genoux au sol, sans rien dire, nue au milieu de ce grand appartement.



— Très bien, lui dis-je en lui caressant les cheveux.
— Pierre, avant que je m’occupe de cette salope, tu reprendras bien un peu de champagne ?


Nous avons alors discuté pendant plusieurs dizaines de minutes, sans même adresser un regard à Sophie, qui attendait immobile, offerte, nue, sans dire un mot.



Avant de partir, Pierre me confia devant Sophie :



— Profite bien d’elle, décoince-la un peu, et n’oublie de me faire quelques vidéos. Je raccompagnai Pierre à la porte.


En revenant dans le salon, je criais :



— À nous deux !!!


Sans lui laisser une seconde de répit, je me mis devant elle et sortis mon sexe à hauteur de sa bouche.



— Allez… C’est parti, tu vas commencer par une bonne pipe, et applique-toi.


Sophie prit mon sexe dans sa main, me branla puis le prit en bouche. Après quelques instants, je pris Sophie par les cheveux et imprimai moi-même la cadence.

Je sentais Sophie complètement soumise, au bout d’un moment, l’excitation et les va-et-vient dans sa bouche eurent raison de moi, je sentis de longues giclées des permes se déverser dans sa bouche. Je la forçai à tout avaler, jusqu’à la dernière goutte.



Je me reculai et regardai Sophie, à genoux devant moi.

Une dernière goutte de sperme coula de mon sexe et s’écrasa au sol. Sophie tout en me fixant dans les yeux, baissa sa tête et nettoya le sol du liquide blanchâtre avec sa langue.



— Eh bien, je vois que tu aimes le sperme ma petite !
— Non, je déteste ça, c’est simplement parce que je suis excitée.
— Très prometteur, debout maintenant !


Sophie se leva.



— Bien, mets tes deux mains sur la table, penche-toi et cambre-toi au maximum, écarte bien tes jambes.


Sophie s’exécuta sans un mot. De ma main, je caressais Sophie très lentement, provoquant des frissons sur tout son corps.



— Tu as un très beau cul, tu t’es déjà fait sodomiser ?


Sophie eut un léger sursaut.



— Non jamais, mais, pitié, je ne supporterai pas ça.
— Tu y passeras quand même, je veux même que cela soit toi qui me le demandes, à toi de choisir le meilleur moment d’ici demain soir.


Sophie resta muette.

Ma main se dirigeait lentement vers son sexe, remontant doucement entre ses jambes. Sophie, sous l’excitation, se mit à faire quelques mouvements du bassin, comme pour m’inviter à presser le mouvement.



— Je ne t’ai pas dit de gesticuler.


Je retirais ma main immédiatement.



— Par pitié, prends-moi, je suis trop excitée.
— T’inquiète… Je vais te prendre, mais pas dans cette position, mets-toi à quatre pattes comme une bonne soumise.


Sophie se mit rapidement au sol.



— Très bien, attends-moi dans cette position, je vais brancher la caméra, Pierre appréciera.


Je pris mon temps pour installer la vidéo, laissant Sophie le plus longtemps possible dans cette position assez humiliante.



Je vins me positionner derrière elle, et mis mes mains sur ses hanches.



— Regarde Pierre, ta femme est vraiment une fille facile, dis-je en regardant la caméra.


Sophie ne sembla guère apprécier la remarque, mais ne fit aucun commentaire.



— Tu n’es pas encore assez offerte, mets tes mains dans ton dos et serre-les l’une contre l’autre.


Sophie s’exécuta, passant dans une position très inconfortable, la tête et les genoux au sol et les fesses en l’air.



— Très bien, je ne vais pas t’attacher les mains, c’est à toi de les tenir serrées, si tu les écartes, tu seras punie.
— Oui Maître.


C’était la première fois qu’elle m’appelait Maître, sans lui demander, témoignant de sa totale soumission.

Je m’enfonçai alors dans son sexe trempé, je la possédai sans ménagement, lui donnant de grands coups de bite et serrant très fortement ses hanches avec mes mains. Sous l’excitation, Sophie ne put se retenir de pousser des cris, je la sentais en totale perte de contrôle.

Au bout d’un long moment, j’arrêtai les va-et-vient, la privant du plaisir procuré par mon sexe.



— Ne t’arrêtes pas, c’est trop bon, m’implora-t-elle.
— C’est moi qui décide, petite salope.


Mes mains parcouraient tout son corps, puis je pris ses 2 tétons que je pinçais alors fortement.

Cela lui arracha des petits cris, mais surtout je la sentais encore plus offerte et excitée.



— Prends-moi encore, je ferai tout ce que tu exiges… Je t’offre mes fesses.
— J’ai mal entendu, répète ce que tu viens de dire.
— Prends mes fesses, encule-moi, je suis à toi.
— Tu entends Pierre, elle veut se faire sodomiser, dis-je en regardant la caméra, tu es une bonne soumise, lui dis-je en lui caressant les cheveux comme on caresse son chien.


J’ai ainsi disposé de ses fesses sans lui imposer, la possédant totalement, à sa simple demande. Au bout de quelques minutes Sophie se mit à jouir, elle hurla de plaisir. Dans l’excitation, elle ne put garder ses 2 mains serrées comme je lui avais donné l’ordre. Je ne tardai pas à éjaculer et à me vider complètement sur son dos.



— Tes mains ! Tu m’as désobéi, tu seras punie.
— Lève-toi et vas prendre une douche, remets tes habits, mais je t’interdis les sous-vêtements, je te veux accessible en permanence.


Au bout d’un quart d’heure, Sophie revint au salon.



— Passons à table !


Nous avons alors dîné, j’avais fait préparer un repas par un traiteur.

Durant tout le dîner, nous avons conversé d’égal à égal, faisant oublier progressivement le contexte ambiant, revenant les amis que nous étions. Je vis Sophie se relâcher complètement, dialoguant avec moi comme nous en avions l’habitude en temps normal. Je laissai traîner la situation jusqu’au café.

D’une façon assez abrupte, je repris le fil de notre jeu.



— Sophie, va me chercher mes clopes, et après, mets-toi à poil.


Elle fut un peu décontenancée, mais s’exécuta rapidement. Quel plaisir de la regarder se déshabiller…



— Tu es vraiment bien foutue, tu me fais penser à Estelle (mon ex, avec qui Sophie ne s’entendait guère).


Sophie sembla agacée de la comparaison.



— Tu ne l’aimais pas, n’est-ce pas ?
— Non, pas du tout.
— Alors tant mieux, cela va rajouter un peu de piment à la punition que tu vas recevoir.
— Oh non, attends, quel est le rapport ? fit-elle totalement affolée.
— C’est simple, nous allons faire un petit jeu : tu vas me faire une pipe, je vais te filmer avec mon téléphone portable. Si, au bout de 3 minutes, tu n’as pas réussi à me faire éjaculer, j’envoie la jolie petite saynète par MMS à Estelle.
— Par pitié, 3 minutes c’est trop court.
— Tu n’as pas le choix, c’est ta punition, mets-toi à genoux, quand je te donnerai le top, tu pourras t’activer.


La punition était d’autant plus dure, qu’Estelle détestait Sophie, et qu’elle ne se gênerait pas pour transférer la vidéo à des tiers.



— 3. 2. 1. TOP !


À suivre

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