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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par CedSand76
#2808898
La mer est légèrement agitée et La vedette « Les Iles d’or » dans laquelle nous nous trouvons, fend les vagues et se dirige vers l’île du Levant.
Près de 30 ans que je n’y ai pas mis les pieds, et l’envie de faire découvrir cette très belle île à mon épouse m’a décidé à organiser ce séjour.

Gladys et moi-même allons avoir 48 ans et nous souhaitons fêter nos 28 ans de vie commune dans un environnement différent. L’idée de nous rendre sur cette île m’a paru être une bonne idée.

Pour ceux qui ne connaissent pas, Le Levant est une destination bien connue des naturistes, mais également (ce n’est pas notre cas) celle de libertins.
Il y fait beau, et la nature y est encore particulièrement préservée.
C’est l’endroit qui me paraissait répondre à notre besoin de nous retrouver tous les deux en amoureux et de déconnecter.

Pour faire les présentations, je l’ai dit, nous approchons des 48 ans et avons 2 garçons de 22 ans et 17 ans.
Gladys, ma jolie épouse aux yeux noisette, mesure un mètre 66, pèse 55 kg et a une belle poitrine (90C). Elle est plutôt introvertie et réservée mais sait paradoxalement se lâcher, et s’amuser. Il faut juste pour cela qu’elle soit dans un environnement qui s’y prête.
Quant à moi, au-delà de mon mètre 80 pour 95 Kg (sportif mais difficile de maintenir la ligne à mon âge), je suis beaucoup moins réservé qu’elle et suis même très porté sur la chose…

Le bateau nous dépose au port du Levant, et nous voilà partis à entamer la longue montée vers notre bungalow. De longues minutes, et un vrai effort après, nous voici installés.
Cadre magnifique, et vue superbe sur la mer, nous étions dès les premières minutes conquis par l’environnement général et le charme de notre petit bungalow.

La première baignade, fut une expérience à part, puisque Gladys n’avait jamais pratiqué le naturisme, alors que je ne l’avais pas pratiqué depuis tant d’années.
Je n’étais pas des plus à l’aise, Gladys encore moins, mais comme nous avions choisi de nous isoler dans les rochers ça s’est bien passé.
Assez curieusement, la situation n’a nourri aucune pensée érotique, voir coquine alors que ma femme était nue devant moi, en pleine nature et visible des rares baigneurs qui avaient choisi les mêmes rochers.

Le soir venu en revanche, a été riche de sexe. A peine avions nous fini de manger, que nous avons rejoint le lit et avons fait l’amour. Je sais que Gladys est excitée, à la façon dont elle entame une fellation. Le mouvement de sa langue sur mon sexe tendu, sa main qui caresse mes boules sans que je ne lui demande quoi que ce soit. Je profite de sa position pour lui caresser les fesses, puis le sexe pour m’apercevoir qu’elle dégouline.
J’y introduis un puis deux doigts, avant de lui faire comprendre que je veux la prendre.
J’adore quand Gladys se lâche, et c’est particulièrement le cas ce soir. Ses gémissements, le mouvements de son bassin pour que la pénétration soit plus profonde, plus forte, me font monter souvent trop vite. C’est souvent le moment où je décide d’entamer un cunnilingus pour faire descendre la pression.
Ce soir-là, ça m’aura permis de gagner quelques précieuses minutes car j’ai pris le temps de la faire jouir avec ma langue et mes doigts qui à nouveau ont repris le chemin de son sexe, puis de son adorable petit cul. Ce fut ensuite mon tour d’inonder son sexe au bout de quelques
aller-retour. Nous nous sommes lovés de longues minutes avant de nous endormir très vite enlacés.

Le lendemain, nous avons fait quelques courses puis nous avons effectué une petite balade pour que Gladys découvre ce si bel environnement.
L’après-midi, je lui ai proposé de nous rendre à la plage des Grottes.
Cette plage étant l’unique accessible, elle est plutôt fréquentée et la nudité y est obligatoire.
Pour autant, elle a accepté assez aisément, et nous voilà donc partis sur les coups de 15h00.
Installés à quelques mètres de l’eau, nous voilà nus au milieu d’une foule de baigneurs. Situation inédite, déroutante, mais aucun regard vers nous, ce qui a contribué à nous rendre plus sereins.
Comme nous le faisons habituellement, je lui mets de la crème solaire dans le dos, quand elle effectue la même chose avec moi, puis nous nous orientons vers l’eau.

A notre retour de la baignade, un couple s’est installé à quelques mètres de nous, un peu trop près à mon goût.
Bien que peu ravi, je prends sur moi puisque la plage n’est pas très grande, et que les nouveaux baigneurs s’installent là où ils le peuvent.
Naturellement, je me laisse aller à observer ce couple, à qui je donnerais le même âge que le nôtre, et comme je l’entends, et ce que je trouve absolument attirant, ils parlent italien. Ils sont très bronzés et je trouve madame particulièrement belle, et alors que je ne veux justement pas faire avec eux ce je n’aimerais pas que l’on fasse avec nous, je cherche à détourner le regard en proposant à ma femme de lui remettre de la crème solaire.

Alors que je rebadigeonne ma belle épouse, j’entends justement la belle italienne pester. Je crois comprendre (je ne parle pourtant pas du tout l’italien) qu’elle cherche vainement quelque chose dans son sac.
Après quelques secondes, elle nous regarde, et avec un accent ravissant, elle me demande si elle peut nous emprunter la crème solaire.
Je la lui tends, et fais un clin d’œil à Gladys. Je ne peux m’empêcher par la suite d’observer son mari (ou amant ?) lui étaler la crème de manière très sensuel. En effet, chacun de ses gestes est fait avec délicatesse et douceur. Ses mains parcourent la totalité de son corps alors même qu’ils sont au milieu de tout le monde. J’en viens à l’envier alors qu’ils étalent la crème sur les deux seins lourds de sa femme puis après qu’elle se soit retournée, ses fesses rebondies en ne se privant pas de glisser dans sa raie.
Gladys et moi croisons nos regards, et sourions un peu gênés en nous disant que la situation est spéciale.

Puis c’est au tour de Madame de protéger Monsieur, en prenant le même soin, et en oubliant aucune partie de son corps. D’ailleurs, il n’était pas très compliqué de s’apercevoir que sa queue s’était à moitié redressée… comme la mienne.

Finalement, Madame m’a rendu la crème en me remerciant et en m’offrant un sincère sourire et un petit clin d’œil que je n’ai pu m’empêcher sur le coup, de qualifier de coquin alors qu’elle regardait mon entrejambe. C’est ce que j’appelle un grand moment de gêne, et Gladys ne put s’empêcher de me taquiner.

Nous avons profité de l’eau à nouveau, et alors que l’heure était venue de plier les serviettes, la jolie transalpine se rapprocha de nous, et nous demanda si pour nous remercier pour la crème nous souhaitions nous joindre à eux afin de prendre un verre au bar après que chacun ait pris sa douche. Gladys et moi avons accepté avec joie.

Nous avons discuté sur le chemin du retour et la discussion s’est vite orientée vers la crème solaire et nos deux beaux italiens. Gladys comme moi, a trouvé ça surprenant mais un brin excitant. C’est d’autant plus surprenant que nous soyons sur la même longueur d’onde que Gladys n’a jamais été d’un tempérament voyeur, ni exubérant.
La douche fut particulièrement agréable, et je dirais même jouissive car Gladys a décidé de me rejoindre. Visiblement, le petit spectacle de la plage et notre conversation, ont conditionné son envie d’être coquine, et je ne peux que m’en féliciter.
Une fellation gourmande a précédé un coït endiablé jusqu’à ce que jouisse fort en elle. Comme j’aime le faire à l’occasion, je l’ai faire jouir avec ma langue alors que son sexe était plein de ma semence.

Une fois propres et habillés, nous partons au bar rejoindre, et nous l’apprendrons plus tard, Livio et Francesca.

Les femmes prirent un Prosecco rosé, alors que de mon coté je pris un Whisky, et Livio un Mojito.
Les sujets de discussion furent variés, légers mais souvent l’occasion de beaucoup rigoler. Ils viennent de Rome, ville que j’adore, et sont mariés depuis 10 ans. Ils ont sensiblement le même âge que nous puisque Livio va avoir 45 ans quand Francesca a fêté le mois dernier ses 47 ans. Seule Francesca a des enfants d’un premier mariage, et ils sont avec leur père en Italie.
La soirée fut très agréable, le courant est particulièrement bien passé. Et après quelques verres supplémentaires, accompagnés de tapas, nous avons convenu de nous retrouver le lendemain à la plage.

Nous avons occupé notre matinée du lendemain à la détente et à la lecture. Ce sont des moments précieux lors des vacances. Et il est vrai que de profiter de ces moments, en bénéficiant d’une vue fabuleuse sur la cote varoise, et l’île de Port-Cros est sensationnel.
Après avoir déjeuné, et une sieste plus tard, nous sommes partis à la plage.
Nous avons précédé nos deux italiens d’une bonne demi-heure, et avons fait le nécessaire pour qu’ils puissent se retrouver à nos côtés… mais comme la veille, devant nous mais cette encore plus proches.
Cette fois-ci, Francesca n’a pas oublié la crème solaire. Pour la deuxième fois, nous avons pu profiter de ce que Gladys et moi pourrions qualifié de spectacle : Madame et Monsieur qui s’appliquent à se protéger mutuellement du soleil sans oublier le moindre recoin du corps de l’autre. A nouveau mon entrejambe vierge de textile, réagit… Et comme la précédente fois, Francesca me fait un clin d’œil en observant mon sexe à demi-bandé. Gladys quant à elle, a le visage rougi alors même que Livio lui fait le même clin d’œil. D’où il est, il a une vue imprenable sur le sexe joliment entretenu de Gladys, et peut être que celui-ci trahit une excitation difficilement dissimulable.

La baignade qui a suivi a permis de se rafraichir les idées, et de revenir sur nos serviettes tranquillement. L’après-midi fort agréable, fut agrémenté de lecture, d’aller-retour dans l’eau et de discussions avec nos nouveaux amis romains.
Il fut convenu très naturellement, au moment de partir, de nous rejoindre à nouveau au bar afin de passer la soirée ensemble.

Alors que nous nous préparions après la douche, et allions sortir du bungalow, je ne pus m’empêcher de poser une question à Gladys. Cette même question, que je pose de temps à autres dans le lit lors de jeux coquins et scenarii au cours duquel je la partage avec un autre homme. Et pour cela, nous utilisons un gode réaliste – d’une taille équivalente à mon sexe, à savoir tout sauf énorme – que j’aime voir honorer sa bouche, son sexe, voire très occasionnellement son petit cul d’amour. Il est vrai que je ne lui ai jamais dissimulé mes fantasmes candaulistes, et pour la première fois, je lui pose donc cette fameuse question, alors que nous nous apprêtons à rejoindre un couple qui nous a troublé deux après-midi de suite : « Que ferais-tu si l’occasion se présentait ce soir ave Livio ? » Comme à son habitude Gladys répondit par un silence que je déteste car généralement, il veut dire « non » ou « ton sujet ne m’intéresse pas… ».

Il est 19h00 quand nous arrivons au bar où sont déjà assis Livio et Francesca. Ils sont tous deux vêtus avec de jolis vêtements blancs d’été. Chemise ouverte et bermuda en lin pour Livio, et haut très échancré pour Francesca, laissant deviner sa belle et opulente poitrine bronzée, ainsi qu’une jupe à volant assez courte. Je ne parviens à a dire si elle a une culotte ou pas.
Nous reprenons tous les mêmes boissons que la veille, et nous discutons à nouveau de tout et de rien. Les rires et la bonne humeur sont de mise, ce qui rend ce moment très agréable.
Comme à mon habitude, les verres cumulés ont raison de ma vessie, et je suis contraint de quitté la table.
En revenant, Gladys me sourit mais gênée. Livio est debout derrière elle et s’applique à lui masser les épaules et la nuque. Je connais ma femme, et elle adore ça. Cependant, c’est très surprenant de la retrouver aux mains d’un autre homme dans un contexte qui ne s’y prête pas de prime abord. Livio le lui a proposé alors que Gladys grimaçait après un faux mouvement.
Je m’assois donc à la place de Livio, à coté de son épouse et fait face à mon épouse et son masseur. Je suis troublé et cela doit se voir car Francesca me pose justement la question si ça me gène.
Je lui réponds que non, bien au contraire mais que je suis surpris. « Bien au contraire ? » me dit-elle avec le même petit clin d’œil de ce deux derniers après-midi… Je rigole mais nerveusement.
Les yeux de Gladys sont clos, elle apprécie. Livio s’attarde sur son cuir chevelu, puis redescend sur sa nuque, ses épaules, puis les contourne pour descendre à la naissance de la poitrine.
La décence veut qu’il ne descende pas trop bas, mais curieusement il aurait pu le faire que ça n’aurait gêné personne. Le moment et le lieu ne le permettaient en revanche pas à cet instant précis.
Livio achève son massage et claque une bise à Gladys qui le remercie avec un grand sourire.
Il est presque 22h00 quand nous finissons notre dernier verre. Livio paye la note pour tout le monde et nous propose de nous joindre à eux dans leur hôtel qui propose une soirée !
Un seul regard entre Gladys et moi suffit pour accepter, et nous nous joignons à eux…

Quelques centaines de mètres plus loin, nous arrivons à leur hôtel où un DJ mettait l’ambiance.
De nombreux danseurs, sur la piste, mais les alentours de la pistes sont chargés aussi. Il faut peu de temps pour nous apercevoir que la soirée n’est pas des plus traditionnelles. En effet, les danses sont des plus lascives, et certains couples et plus sont assez occupés dans les recoins de l’espace.
Livio et Francesca nous regardent avec une forme d’appréhension. Il est vrai qu’ils ne nous avaient pas prévenus et rien hormis l’histoire de la crème solaire ne laissait entendre qu’ils pouvaient appartenir à ce monde. Avec du recul, les massages de Livio, et la remarque de Francesca voulaient dire beaucoup.
Un peu gênés mais sans être sur le reculoir, nous suivons nos amis. Nous trouvons une table encore libre, puis nous commandons un nouveau verre.
Ce fut l’occasion d’évoquer ce monde, que nous ne connaissons pas, mais l’ambiance sonore n’était pas de plus confortables. C’est alors que Livio nous proposa d’aller dans leur chambre où nous serions plus tranquilles. Nous voilà partis, nos verres à la main…
Une fois la porte ouverte, nous avons découvert plus qu’une chambre, une vraie suite magnifique, avec terrasse, jacuzzi privés et vue sur la mer… absolument magique !
Nous nous installâmes sur la terrasse, et avons pu enfin discuter plus tranquillement. Pour le plus grand plaisir de mon épouse, Francesca avait sorti le champagne. Livio très gentiment m’a proposé du Whisky.
Très vite, la conversation a eu pour sujet ce que nous venions de découvrir en rentrant dans l’établissement. Ils nous ont donc expliqué qu’hormis les vacances d’été, nos amis sont comme nous, un couple exclusif. Mais l’été, et notamment à l’Ile du Levant, ils se permettent une parenthèse où le plaisir de l’un et de l’autre se conjugue à plusieurs mais jamais l’un sans l’autre. Il s’avère qu’ils nous ont remarqué la première fois que l’on s’est vus sur la plage et que Francesca nous a demandé la crème solaire. Ils ont trouvé là l’occasion de nous tester, et nos réactions respectives les a convaincus que nous pourrions devenir des partenaires de jeu.

Gladys et moi étions sur le cul, mais curieusement pas offusqués. A l’inverse, leur démarche en toute transparence et douceur, nous ont naturellement amené à rester en toute confiance et sérénité. La gentillesse tout à fait sincère de ce couple fait que nous n’avions pas envie d’être ailleurs. J’ai regardé Gladys et on s’est compris… Je leur ai adressé un sourire et ai repris une gorgée de whisky quand Gladys fit la même chose avec son verre de champagne.

Sur ce, Livio finit son verre et demanda à Gladys s’il elle souhaitait qu’il reprenne son massage.
Elle accepta après m’avoir regardé, et après que je lui eu fait une bise dans le cou.
Livio mis une musique d’ambiance et adapta la luminosité afin que l’environnement soit le plus serein et zen pour tous, puis il remplit un nouveau verre à chacun d’entre nous.

L’ambiance était telle que personne ne parlait, Livio devenait le chef d’orchestre.
Il fit assoir Gladys sur un tabouret de telle façon qu’elle pouvait poser ses coudes sur le rebord du jacuzzi. Il ne fut même pas nécessaire de lui demander l’autorisation de retirer son haut, puis son soutien-gorge, que ma jolie épouse se trouva torse-nu. Gladys posa sa tête sur ses avant-bras et se laissa aller aux caresses expertes de Livio. Sa respiration trahissait son plaisir.
Francesca vint s’assoir à côté de moi, et m’invita à profiter de cet instant. Le « bien au contraire » de tout à l’heure à trahit mes pensées. « Tu prendras plaisir à voir ta femme dans les bras de mon Livio », c’est comme ça que Francesca l’a traduit, et elle a eu mille fois raisons.

Tout en me caressant le dos, elle me glissa des mots à l’oreille. Au-delà de son délicieux accent qui m’émoustille, elle me décrit tout ce que qui se passe devant mes yeux mais en laissant deviner ce qui va se passer. Francesca sait que je bande. Elle m’invite à observer mon épouse qui s’abandonne de plus en plus.
Effectivement, Livio descend plus bas dans le dos de Gladys, à lisière de ses fesses, et lui propose désormais de s’allonger sur les coussins à côté. Mais avant cela, il la relève puis lui retire sa jupe, puis sa culotte qu’il baisse lentement. Gladys lève les pieds l’un après l’autre pour permettre à Livio de la retirer, tout en s’appuyant sur sa tête. Il agenouillé devant mon épouse, et a le visage à quelques centimètre de son sexe. Ma femme est nue devant un autre homme et nous ne sommes pas à la plage naturiste…

Il invita Gladys à s’allonger sur le ventre puis récupéra une fiole d’huile de massage. A nouveau les gémissement de mon épouse se font entendre. Les caresses se font désormais plus sensuelles et Livio ne se prive plus de masser les fesses de ma belle. Il passe un moment à lui masser les jambes, et alors qu’il remonte vers le dos, je vois Gladys avoir un soubresaut. C’est Francesca qui me confirme à l’oreille ce que j’ai vu : Les doigts de son mari sont passés dans la raie de ma femme et ont volontairement dévié vers sa fente ouverte et humide.
Je reconnais la respiration de Gladys quand nous faisons l’amour, elle prend du plaisir.

Je bande de plus en plus fort, alors que Francesca tout en continuant à me caresser le dos, me susurre à l’oreille « as-tu vu les doigts de Livio pénétrer ta belle ? ». Et oui, je les ai vus. Au moins deux sont entrés puis sortis. Livio, la caressa encore de longues minutes en allant du sommet du crâne jusqu’aux orteils en s’attardant systématiquement sur son sexe en y pénétrant deux voir trois doigts ou en caressant son anus.

Livio proposa ensuite à Gladys de se retourner, mais avant de reprendre ses caresses, il se déshabillât, nous dévoilant une belle queue bandée. Dame Nature ne m’ayant pas spécialement gâté, je me dis que Francesca ne devait pas s’ennuyer avec son amant.
Alors que les caresses reprirent, Livio se pencha pour embrasser ma douce dans le cou. Ses mains continuaient leur parcours sur le ventre et les seins de Gladys, jusqu’à rejoindre le sexe trempée de ma femme dans lequel à nouveau trois doigts disparurent.

Francesca, me demanda, si ce je voyais me plaisait, et me proposa de me mettre plus à l’aise.
Il n’y avait aucune raison d’aller à l’encontre de sa proposition puisque oui ça me plaisait énormément. Je me levais de ma chaise pour ôter mes affaires quand je me rendis compte que Francesca était complétement nue. Je ne m’étais même pas aperçu qu’elle s’était dénudée tellement le spectacle de ma femme caressée m’hypnotisait. Je constatais la beauté incroyable de l’italienne et le lui dis. Pour me remercier, elle me fit un bisou langoureux mais amical sur la joue. Nous n’étions pas les amants du soir, mais les spectateurs de nos chéris respectifs.
Elle m’invita à m’assoir au sol sur les coussins et se mit immédiatement derrière moi. Sentir sa poitrine nue contre mon dos, fut particulièrement agréable. Le côté pratique c’est qu’elle pouvait me caresser également tout en me parlant à voix basse.
C’est précisément à ce moment qu’elle me demanda en chuchotant si cela me plairait de voir la queue de son mari dans la bouche ma femme. Mon « Ô que oui » fut spontané.
C’est alors qu’elle a dit en italien à son mari « suo marito ama quello che vede, mettigli in bocca ». Celui-ci s’est alors décalé un tout petit peu et tout en continuant ses caresses a approché son sexe du visage de Gladys. Je ne pouvais pas bander plus fort, et un simple contact sur ma bite aurait eu pour conséquence de me faire éjaculer à grandes saccades.
Il a pris la main de ma belle et la posée sur sexe. Gladys a alors commencé un timide va-et-vient puis avec de plus en plus d’assurance.

Ce dont j’ai rêvé depuis si longtemps se passait sous mes yeux et de façon très naturelle. Gladys, s’est tourné vers moi, et avec un grand sourire m’a fait comprendre que c’était maintenant. Effectivement, en se repositionnant afin d’avoir de meilleurs appuis, ma douce a embrassé puis léché le sexe de Livio avant d’entamer la plus belle des fellations. C’est indescriptible de voir pour la 1ère fois alors même que c’est votre fantasme absolu, votre femme sucer un autre homme.
Gladys y prenait du plaisir, et les bruits de succion mêlés aux gémissements de Livio le confirmaient.
Les doigts de Livio avaient repris la direction du sexe de Gladys qui bougeait son bassin de telle manière que son sexe avalait les doigts de Livio. Celui-ci s’est même permis de pénétrer d’un doigt le petit cul de ma femme.

Francesca, me dit alors qu’elle aimait le spectacle et qu’elle trouvait ma femme très belle dans cette situation. Je ne pu que lui donner raison…
Certainement au bord de la jouissance, Livio retira son sexe de la bouche de Gladys puis se mis en position pour à son tour lui donner du plaisir. Il entama un cunnilingus ultra gourmant.
Ses doigts ne se privaient pas de pénétrer alternativement son vagin et son anus quand sa langue stimulait son clitoris. Gladys était aux portes du plaisir. Elle ne put se retenir longtemps et jouit intensément. Ce fut particulièrement sonore, contrairement à la maison où elles se contient pour ne pas que nos enfants l’entendent. Elle se redressa et embrassa son amant et je vis leurs langues se mêler l’une à l’autre.
Quelques secondes plus tard, je l’entendis demander à Livio de la pénétrer. Celui-ci s’équipa d’un préservatif. Très entreprenante, Gladys se positionna à quatre pattes, et Livio vint derrière elle. Il positionna son sexe à l’entrée de la grotte du plaisir de mon épouse qui d’un petit mouvement de bassin accompagna celui de Livio. Le râle de ma belle indiquait qu’il était désormais profond en elle. La façon dont ils étaient positionnés nous permettait à Francesca et moi-même d’avoir une parfaite vue sur la pénétration.
Le mouvement des seins de Gladys indiquait que les coups de reins de Livio n’étaient pas feints.
De longs et profonds aller-retour amenaient progressivement Gladys à son second orgasme. Ses gémissement étaient à nouveau très bruyants et annonçaient l’extase à venir. Francesca pris alors l’initiative de prendre mon sexe et de me masturber. Encore une fois, en me le suggérant à l’oreille, elle m’invita à regarder ma femme jouir et à profiter du spectacle en me laissant aller. C’était tellement surprenant et culpabilisant de me faire toucher par une autre femme que la mienne.
Ses seins contre mon dos, sa main qui me donnait du plaisir, s’en était trop. Comme ma femme, j’exprimais mon plaisir par des gémissements prononcés. Je me répandais sur mon ventre et par terre. La main de Francesca était également maculée de mon plaisir.
Je précédais de quelques secondes Gladys qui montait pour la seconde fois au septième ciel.
Livio jouissait à son tour alors que mon épouse avait ses derniers soubresauts.

Nous nous sommes regardés Gladys et moi, et nous nous sommes souri. Je me levais et la rejoignis. Je l’embrassais et pris du plaisir à le faire alors que le sexe de Livio était encore dans sa bouche quelques instants plus tôt. Je lui ai dit combien elle avait été belle à faire l’amour avec un autre homme. Mon amour pour mon épouse à encore atteint des sommets ce soir-là.

Nous sommes restés plusieurs minutes à nous regarder et à nous sourire tous les quatre.
Le temps de reprendre nos esprits, Livio et Francesca nous ont chaleureusement remercie de leur avoir accordé notre confiance et félicité pour notre première aventure libertine. Nous les avons remerciés à notre tour pour nous avoir accompagné de la sorte et avec tant de bienveillance et de respect. Nous avons convenu de nous revoir le lendemain à la plage. Puis nous avons repris nos affaires, avons dit au revoir à nos hôtes. Non sans s’être embrassés, notamment Gladys qui a appuyé sa bise à la commissure des lèvres de Livio.

Sur le chemin du retour à notre bungalow, je me suis rendu-compte que nous étions trois à avoir jouis. Seule Francesca n’avait pas eu ce privilège, tout du moins pas encore. Gladys me la presque reproché. La nuit n’était pas finie et après que soyons partis, Livio a fait l’amour à sa femme.
En tout cas, et parceque j’avais très envie qu’il me rassure, Livio nous l’a dit le lendemain.

Les jours qui ont suivi, nous nous sommes revus à la plage, puis au bar, puis à la plage puis au bar et certainement parceque c’était le dernier jour, à la plage, au bar… puis dans leur suite.
La dernière nuit à Héliopolis fut également mémorable mais c’est une autre histoire…
Wysiwyg, lolosissi77, glamour77 et 18 autres a liké
Avatar de l’utilisateur
par LeCouple
#2809302
@CedSand76
Merci pour le récit.
Nous sommes habitués du Levant, et nous cherchions mais où est donc cette suite, bien qu'on en connaisse :-)... Peut être que le fantasme va devenir réalité ;) :cuck:
Aux plaisirs
babas84 a liké
par CedSand76
#2809350
Merci @LeCouple :)
Les brefs descriptifs du Levant correspondent à de vrais souvenirs que j’en ai. Et j’espère effectivement que le reste deviendra réalité au Levant ou ailleurs ;) :x
LeCouple, babas84 a liké
par Saultmaure
#2809499
Très joli récit ! A la hauteur de l'endroit qu'il décrit.

Le Levant. Le Levant. Vaste programme pour un si petit bout de terre au milieu de la flotte. Je connais plutôt bien le coin, une partie de ma famille du côté maternel vient de la zone Bormes/Le Lavandou et j'y passais la plupart de mes petites et grandes vacances scolaires dans la maison familiale. On voyait passer, assis sur la plage, durant les beaux jours la fameuse navette qui trace sa petite route sur les flots en longeant le littoral (jamais compris son parcours exact avec son tout droit vers Cavalaire). Bon, évidemment, gamin, c'était plus son côté Ile Mystérieuse avec sa dimension militaire et son épave qui me fascinait. Bien qu'on ne pouvait pas passer à côté de sa dimension nudiste, encore plus avec la bien connue plage du Layet à côté qui regroupait des vieilles frippées et/ou fricées du coin lol. Le simple fait d'imaginer des gens vivre nus avait un côté cocasse et peu compréhensible.

Y'avait aussi un ptit côté fascinant avec le mode de vie parfois précaire dont j'entendais parler, avec leurs soucis de flotte/d'électricité depuis une éternité, du côté rudimentaire de certaines baraques dans leur jus ou des rapports tendus avec la mairie à propos des accès et du respect de la question de la nudité dans les différentes zones, les rues montantes et le port principal concentrant des touristes, l'élection de leur Miss locale fameuse. L'été semble être assez infernal désormais, on est bien loin de l'ilôt isolé tranquille des terriens. Transformation de la côté généralisée. Les Anglais ont débordé d'Antibes avec la Suisse.

De plus, faut quand même le reconnaitre, le coin est tout de même biiien plus beau que la zone d'Adge et ses moustiques (je défends ma paroisse :P ). Et là où le Cap a toujours eu une dimension sexuelle affirmée, le Levant maitrise l'art de la séparation avec une sexualité "d'ambiance", confinée aux cercles privés sans débauche visible en publique, loin des "Cochons" de l'Hérault.

Ca a toujours été plus une conséquence de la vision hédoniste développée par les naturistes "à l'Allemande". Ma grand-mère parfait souvent d'un slogan parlant d'eux, quelque chose du genre "Frisch, fröhlich, frei ", je ne m'en souviens pas exactement, mais il y avait des mots en allemand. :) Le Levant a toujours été également un sanctuaire pour les homos à l'époque où c'était encore un tabou total. Ca collait parfaitement à l'époque libertaire et l'esprit Mai-68 des "Il est interdit d'interdire" et au miracle des années pré-SIDA. A l'inverse du reste de la société qui était patriarcale, on décrivait toujours une forme de société matriarcale sur place avec les femmes à la manœuvre, faut dire que l'esprit libertin et l'accès au corps était une révolution quasi totale. Imaginez à quel point une femme tenait sa revanche sur le monde quand elle se faisait baiser par des amis à son mari, devant ses yeux. Ere de l'expérimentation. J'ai ouï-dire d'une histoire dans les années 70 où une tante se faisait sauter et remplir par son neveu nouvellement adulte. Liberté quasi-totale.
cristian70241 a liké
par Askelletbelle
#2809508
Merci pour ce superbe récit qui nous a trznsportés. Cest bien écrit, la pression monte doucement, on ressrnt les émotions de chacun. Il manque juste une photo ou deux, pour illustrer :)
par CedSand76
#2809510
Merci @Saultmaure :)
Le Levant c’est pour moi des souvenirs d’enfants et d’adolescent qui riment avec l’innocence. Des souvenirs d’une île magnifique de part sa si jolie nature, le côté sauvage avec le dîner aux bougies et la douche avec le sac d’eau chauffée au soleil ;) mais aussi tout ce qui a conditionné ce texte… ce que j’ai analysé en tant qu’adulte et tous les phantasmes que cette île génère.

Merci @Askelletbelle :)
J’aurais tant aimer y joindre de belles photos d’une situation vécue… peut être un jour :x
par Saultmaure
#2809519
CedSand76 a écrit :Merci @Saultmaure
Le Levant c’est pour moi des souvenirs d’enfants et d’adolescent qui riment avec l’innocence. Des souvenirs d’une île magnifique de part sa si jolie nature, le côté sauvage avec le dîner aux bougies et la douche avec le sac d’eau chauffée au soleil mais aussi tout ce qui a conditionné ce texte… ce que j’ai analysé en tant qu’adulte et tous les phantasmes que cette île génère.


Oui :)
C'est aussi ce qui m'a toujours fait vibrer avec cette île. Son aspect magnifique de prime abord, un des plus beaux endroits de France selon moi cette partie de la côte d'azur. Le Ciel, la Terre, la Mer. La vision innocente que l'on peut en avoir. Et derrière la découverte progressive de ce qu'elle renferme avec les années qui passe, l'âge qui s'affirme. La liberté sexuelle, la débauche. La face cachée de la Lune :)

Surtout que comme dit avant, autant le Cap a une réputation sulfureuse et sexuelle de base, autant ce n'est pas le cas du Levant. A l'heure actuelle t'as d'ailleurs une forte opposition entre les "historiques" qui partagent cette vision de l'hédonisme méditerranée discret et des "néo-libertins" qui voudraient y voir un cap bis. Le libertinage des historiques étant fait d'amitiés, de cooptations. Si on enlève les hôtels libertins de l'ile (dont un a été restauré il y a quelques années si je me souviens bien ?), t'as aucun lieu qui permet les rencontres directes des libertins (bon allez si la placette centrale et encore). Pour ça que certains reviennent très déçu du coin lol
CedSand76 a liké
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par LeCouple
#2809522
@Saultmaure @CedSand76
N'en parlez pas trop... sourire, il faut préserver ce petit paradis et surtout ne pas en faire un Cap, l'absence de voiture, la liberté préservée comme la nature et le respect est si précieux. Mais bien sûr bienvenue à ceux dont l'esprit s'accouple merveilleusement avec le lieu...
Aux plaisirs de vous y croiser...

S et M
par Saultmaure
#2809627
LeCouple a écrit :@Saultmaure @CedSand76
N'en parlez pas trop... sourire, il faut préserver ce petit paradis et surtout ne pas en faire un Cap, l'absence de voiture, la liberté préservée comme la nature et le respect est si précieux. Mais bien sûr bienvenue à ceux dont l'esprit s'accouple merveilleusement avec le lieu...
Aux plaisirs de vous y croiser...

S et M


Absolument :) Le lieu est trop beau pour qu'il soit gâché, il faut le préserver et en effet ne surtout pas en faire un cap. D'où la "rivalité" dont je parlais entre les historiques de l'ile et de son esprit qui veulent la préserver et les nouveaux venus à l'esprit plus exhib.

Je connais un couple qui passe chaque année 1 semaine au cap pour ses gros clubs, pour les soirées au Glamour, le sexe exhib et qui derrière passent du temps au Levant pour son calme relatif et sa sexualité plus tournée autour des amitiés et entre certaines familles qui se connaissent de longue date :) :cuck:
par babas84
#2809636
Ah le levant !!! Nous y étions avec ma compagne actuelle en juin !
J’y ai découvert des soirées privées torrides avec mon ex compagnon en 2017 . Des soirées torrides où je la regardais se faire baiser ! J’y ai pris aussi beaucoup de plaisir avec quelques femmes devant ma chérie .
Puis en 2023 au rocher du secret dans un hôtel libertin un week-end torride avec une autre compagne qui est en photo sur ce site ! Elle s’est faite baiser tout le week-end par un couple ! Quel bonheur ! J’adorais ça ! Le levant c’est le kiff total pour les candaulistes comme moi
par Saultmaure
#2809640
babas84 a écrit :Ah le levant !!! Nous y étions avec ma compagne actuelle en juin !
J’y ai découvert des soirées privées torrides avec mon ex compagnon en 2017 . Des soirées torrides où je la regardais se faire baiser ! J’y ai pris aussi beaucoup de plaisir avec quelques femmes devant ma chérie .
Puis en 2023 au rocher du secret dans un hôtel libertin un week-end torride avec une autre compagne qui est en photo sur ce site ! Elle s’est faite baiser tout le week-end par un couple ! Quel bonheur ! J’adorais ça ! Le levant c’est le kiff total pour les candaulistes comme moi


Il avait été vraiment bien refait en plus le rochet du secret, j'entends que des bons retours (sauf de ceux qui râlent que ça soit un hôtel libertin). Madame a visiblement pris son pied au max et toi aussi ! :P

Les soirées privées du Levant ont tjs eu la réputation d'être sulfureuses et légendaires lol :x
Un paradis pour les femmes depuis toujours. Jouir sans limite ni entrave
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par LeCouple
#2809656
]@Saultmaure @cando16 @CedSand76
Nous y allons plusieurs fois par ans, endroit où l'on peut passer d'un état contemplatif à des jeux plus collaboratif :-) à notre guise sans pressions, la liberté et le respect... Y jouer tout en y étant authentique. :cuck:
Saultmaure a liké
par Saultmaure
#2809659
J'ai toujours apprécié les collaborations...étroites 8-)
Le côté sans pression est sûrement l'un des plus appréciables, au cap on a parfois l'impression que c'est un concours au gigantisme et à la performance permanent. Laquelle va se faire gangbang par le plus de mecs en même temps, laquelle va sucer le plus de mecs en même temps devant le plus grand attroupement
CedSand76 a liké
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par LeCouple
#2809663
@Saultmaure
Oui et c'est justement tout ce qui fait fuir Madame. Nous préférons le jeu, la séduction et le moment de bascule qui n'était pas nécessairement prévu. Et parfois mieux, élaborer un plan, un jeu sur plusieurs jours, faire monter la pression. Et pour cela mieux vaut être dans des endroits de liberté et non d'injonction
par Saultmaure
#2809669
LeCouple a écrit :@Saultmaure
Oui et c'est justement tout ce qui fait fuir Madame. Nous préférons le jeu, la séduction et le moment de bascule qui n'était pas nécessairement prévu. Et parfois mieux, élaborer un plan, un jeu sur plusieurs jours, faire monter la pression. Et pour cela mieux vaut être dans des endroits de liberté et non d'injonction


Clairement ! Et beaucoup de candaulistes pensent comme ça aussi. Vous avez fait quoi pour coquiner la dernière fois que vous y étiez ?
CedSand76 a liké
par Saultmaure
#2809670
babas84 a écrit :@Saultmaure
Ohhh oui que je prend mon pied étant très très candauliste , j’adore regarder ma belle avec tous ses amants


Si tu m'avais dit le contraire en étant sur ce forum, tu m'aurais étonné :)
Et puis l'hôtel des roches, c'est la garantie de voir Madame se faire prendre, le choix de la sécurité, plat du pied, sécurité. :)

Vous avez fait comment pour intégrer les soirées privées de l'ile vous ?
CedSand76 a liké
par Saultmaure
#2809688
babas84 a écrit :Grâce a madame qui était magnifique ! On nous a recruté au bar lol


Femme jolie trouve partenaire pour son lit :cuck:
Et c'était parti pour des nuits endiablées, divers trous pénétrés et des jouissances en foliiie
CedSand76 a liké
Avatar de l’utilisateur
par LeCouple
#2809697
Nous aussi Madame superbe. Et puis aller d'un lieu à l'autre sympathiser on fini par se faire des relations :-).
La dernière fois c'était il y a peu mais ce fut sage, alors que cet été devrait être plus hot.
Nous avons fait à chaque fois dans des endroits différents et parfois pas prévu pour lol
par CedSand76
#2809748
Pour ma part, n’ayant jamais eu cette chance de voir Madame prendre du plaisir devant moi, il est intéressant de lire vos commentaires sur le Levant et ses endroits que je n’ai pas vus en tant qu’adulte.
Ce qui est certain, c’est que si ça devait arriver c’est plutôt dans cet environnement où rien n’est prévu et forcément plus soft
LeCouple, dav39100 a liké
par CedSand76
#2896621
Bonjour à tous,
Ce fut long, mais voici la suite de mon fantasme :

Les mois et les semaines passent depuis cette formidable soirée vécue à l’ïle du Levant.
Le quotidien reprend son cours : Les réveils pressés, le travail, les courses, les repas en famille. Gladys redevient en apparence, l’épouse sage et tendre que je connais depuis près de 30 ans, comme s’il ne s’était rien passé à l’Île du Levant.
Elle n’évoque jamais cette soirée, et je finis par croire qu’elle l’a rangée au rayon des exceptions dans une vie, et qu’elle restera une belle parenthèse que l’on referme.
Après avoir plusieurs fois tenté, j’ai bien compris qu’il est inutile de d’évoquer le sujet.

Un soir de décembre alors que nous revenons des sempiternelles courses de Noël, nous sommes seuls à la maison. Nos enfants sont à droite, à gauche, ce que je commence à apprécier car cela nous laisse des soirées en amoureux sans avoir nécessairement à sortir.
Nous sommes dans la cuisine avec chacun un verre de vin, et je prépare un plat de pâtes, spécialité de Rome : Bucatini all’amatriciana et pour rire, je prends maladroitement l’accent italien alors que je finis la préparation.
Il n’y a donc aucun signe avant-coureur de quoi que ce soit.

Pourtant Gladys, se saisit de son verre avant de me rejoindre à coté des casseroles, et me demande :

- « Tu sais ce que j’ai préféré ce soir-là ? »

Je ne comprends pas sur le coup de quoi elle me parle, mais aperçois son sourire malicieux.

- « C’est quand j’ai pris Livio dans ma bouche… Et que je t’ai vu bander en me regardant faire. »

Elle laisse planer un silence, ses yeux fixés dans les miens puis continue :

- « Je crois que je n’ai jamais ressenti quelques choses d’aussi puissant que ce mélange… son sexe dans ma bouche, et ton désir brûlant posé sur moi. »

Elle glisse alors sa main vers mon entrejambe, comme pour confirmer son intuition.

- « Ça t’a rendu fou pas vrai ? Jaloux, mais excité comme jamais. »

Et en se mordillant la lèvre :

- « En y repensant, j’ai la culotte toute mouillée ».

Je suis abasourdi, mais elle a réussi son coup car je bande très fort.
Elle le sait et s’agenouille alors devant moi et me débraguette avant de sortir mon sexe déjà bien raide et commence à me branler doucement :

- « Que dirais-tu si je te suce et que je t’appelle Livio le temps de cette pipe ? »

J’ai donc à l’instant, confirmation qu’elle n’a rien oublié et qu’elle est surtout ouverte à envisager une suite, et lui réponds :

- « Succhiami il cazzo, tesoro »

Gladys me suce comme rarement, et j’ai du mal à croire à l’instant T qu’elle ne s’imagine pas avec le sexe de Livio dans la bouche. La simple idée que ce soit le cas, trahit ma résistance.
Alors que je préviens mon épouse que je viens, nouvelle surprise : Elle ne se retire pas et je jouis dans sa bouche pour la toute première fois depuis nos premiers ébats il y a de trop nombreuses années où nous expérimentions tout. Pour couronner le tout, en se relevant, elle vient m’embrasser et me fait partager le gout de mon plaisir…

Après ces aveux brulant, et après cet acte incroyable venant de ma femme, elle me susurre à l’oreille d’un ton mi innocent, mi-provocateur :

- « On pourrait voir ce qu’ils deviennent »

C’est après quelques nouveaux verres de vin et après avoir savouré ce très bon plat de pâtes que nous nous rendons sur le profil Facebook de Francesca.

Nous parcourons son profil et identifions une photo d’elle et Livio… à l’Île du Levant.
Ni une, ni deux, nous likons cette photo, puis patientons.
Il faudra attendre la semaine suivante, pour qu’enfin je reçoive le message tant attendu de Francesca, que je m’empresse de partager avec Gladys :

- « Ciao ! J’ai vu ton like sur notre photo à l’Île du Levant… ça m’a rappelé de si bons moments. Livio et moi parlions justement de nos baignades, et d’autre chose… Si vous passez à Rome un de ces jours, on pourrait se retrouver et discuter autour d’un verre, juste pour continuer à rire, et peut-être voir où le hasard nous mène. Baci ! »

Comme des enfants à qui on vient d’apprendre une bonne nouvelle, Gladys et moi nous empressons de rédiger une réponse que nous essayons de rendre la plus appropriée :

- « Ciao Francesca ! Merci pour ton message, ça fait tellement plaisir d’avoir de vos nouvelles. Nous serions ravis de vous revoir à Rome et de passer un bon moment tous ensemble. Disons que cette fois, ce ne sera plus le hasard… On a tous les deux envie de vous retrouver. Bisous ! »

C’est au mois de mai que nous convenons de nous retrouver.
Profitant du pont du 1er mai, c’est pendant 4 jours que nous allons profiter de Rome et de nos retrouvailles.
Avant d’atterrir, je glisse à l’oreille de Gladys :

- « Pour ce week-end, lâche-toi et permets-toi de tout oser pour ton plaisir… ce sera le miens »

Elle me regarde avec un sourire amoureux, me caresse la joue, et m’embrasse.
Elle me répond « Promis ».

Il est 10h03 quand notre avion se pose à l’aéroport du Fiumicino.
Nous récupérons notre valise et enfin apercevons Francesca et Livio.
Toujours bronzés, ils n’ont pas changé. Francesca est toujours aussi belle, alors que Livio correspond toujours au bel italien que beaucoup de femmes aiment. En tout cas, il n’y a pas de discussion avec la mienne, qui bien que dans la retenue, ne peut dissimiler une certaine émotion à lui faire la bise.

La journée est ensoleillée et il ne fait pas trop chaud, ce qui nous permet (après avoir déposé notre valise chez nos hôtes) de profiter des rues de Rome à pied.
Nous prenons notamment le temps d’admirer les ruines du Colisée puis celles du Forum.
Les discussions restent légères, et nous prenons quelques selfies et photos de ces magnifiques monuments. Les gestes sont innocents bien que… Gladys touche le bras de Livio, Livio replace une mèche de cheveu de Gladys. Je suis déjà dans l’analyse et l’observation…

Il est presque 13h00 quand nous décidons de nous assoir à la terrasse d’un café en nous orientant vers la fontaine de Trevi et y faire un vœu.

Gladys et Livio s’assoient l’un à côté de l’autre. Nous commandons chacun un soda rafraichissant. Les discussions et les rires s’enchainent. Il ne fait nul doute que la connivence entre Gladys est Livio est totale. Les regards échangés sont éloquents. Francesca l’a remarqué également et me titille en me donnant un petit coup de coude.
Très intuitive, elle met sa main sur ma cuisse et vient me susurrer a l’oreille qu’elle les trouve très complices. Je ne peux qu’acquiescer bien que tout reste pour le moment particulièrement sobre et léger.

Nous finissons par repartir vers la fontaine de Trevi, y faisons donc notre vœu puis vaquons dans les rues de Rome jusqu’à la fin d’après-midi ou Livio nous propose de diner dans un petit restaurant qu’il connait bien prêt du Vatican.

Comme au bar, Gladys et Livio, s’installent l’un à côté de l’autre. A nouveau les mots, les rires sont présents mais l’ambiance a quelque peu changé. Les regards, les contacts entre les futurs amants sont différents. La main de Livio sans jamais s’y attarder passe sous la table, et il est évident qu’elle vient caresser la cuisse de ma femme.
Les plats arrivent, et nous nous régalons. Les mots laissent désormais place à quelques silences complices.
Francesca rompt le dernier silence et quelque part la tension qui monte en évoquant la nécessité de se rendre au petit coin. Elle invite Gladys à l’accompagner.
Pendant l’absence de nos épouses, Livio et moi échangeons afin de ne pas créer un silence gênant. Il le sait pertinemment mais je me crois obligé de lui dire que Gladys à mon total consentement. Livio me sourit et me fait comprendre avec beaucoup de compassion qu’il prendra le plus grand soin d’elle.
Les filles sont désormais revenues alors que les dessert sont servis.

Encore une fois, les silences significatifs reprennent place. Livio pose sa main sur celle de ma femme, puis la fait disparaitre à nouveau sous la table. Gladys est plus rouge, elle se mord de manière très discrète la lèvre inférieure. J’ai la sensation d’avoir vu Gladys avoir un léger soubresaut. C’est alors que Francesca fait tomber (volontairement) sa cuillère et me demande si je peux la lui ramasser. Une fois sous la table, vision incroyable ; Alors que nous sommes au milieu de tous, je vois les doigts de Livio caresser en profondeur le sexe nu et humide de Gladys.
Deux doigts caressent son clito puis se dirigent vers le vagin avant de repartir vers son bouton.
La main complice de Gladys rejoint celle de Livio.
Je me redresse et réobserve les deux amants qui restent en façade très discrets. Gladys me regarde et ses yeux me parlent. Comme s’ils me disaient le plaisir est déjà là mon chéri.
Francesca tout en me caressant le dos me glisse à l’oreille qu’elle a suggéré à Gladys de revenir des toilettes sans culotte. Livio était évidemment au courant de son petit manège. Il a cessé ses caresses avant que Gladys ne jouisse, peut-être pour s’éviter d’être trahit pas des sons évocateurs non désirés.
Alors que nous quittons le restaurant, je reste pantois dans la mesure où personne ne s’est rendu compte de ce qu’il s’est passé, et nous nous orientons vers le domicile de Francesca et Livio.

La marche est désormais ponctuée de regards complices et des gestes beaucoup plus évocateurs du désir qui monte.
Gladys et Livio marchent côte à côte et nous précèdent.
Francesca a pris mon bras et nous marchons bras dessus, bras dessous, avec une certaine tendresse à regarder la connivence de nos conjoints respectifs.
Livio tient Gladys par la taille et sa main descend clairement sur ses reins puis ses fesses avant de remonter.

La lune brille fort dans le ciel quand nous arrivons au pied de l’immeuble, puis nous montons les 3 étages avant de rentrer dans ce très bel appartement qui sera le théâtre de notre libertinage désormais assumé.

Francesca nous propose un dernier verre. Une fois nous avoir servis, elle gère la musique, la lumière puis allume une très élégante bougie parfumée. L’ambiance est complétement adaptée à ce pourquoi nous sommes tous les quatre présents dans cet appartement.

Gladys est assise dans un sofa très confortable. Francesca et moi sommes installés dans un second sofa lui faisant fasse.
Livio se rapproche naturellement de ma femme, puis lui touche l’épaule avant d’ajuster subtilement un coussin afin de parfaire leur position et pouvoir entamer ses caresses. Puis de manière très méthodique et érotique, il déshabille au fur et à mesure ma belle.
Je suis à nouveau témoin-voyeur et souris intérieurement voyant ma chérie se détendre complétement et se prêter au jeu de Livio.
Francesca à mes côtés se rapproche de moi, puis me murmure malicieusement :

- « Elle est prête… Tu le sais. Elle n’attend que ces gestes de Livio »

Gladys se sentant en totale sécurité et plus que confiante, répond implicitement aux caresses de Livio. Elle me regarde avec son sourire ravageur et elle se rapproche encore de Livio. Elle veut s’offrir devant moi, et les caresses deviennent plus audacieuses.
La tension est totale. Gladys est désormais nue quand elle enlève les derniers vêtements de Livio.
Francesca tout en m’invitant à maintenir mon regard vers Gladys et Livio, me demande tout comme elle vient de le faire, de retirer mes vêtements.

Gladys touche pour la première fois depuis l’Île du Levant le sexe de Livio qui me parait encore plus gros que la dernière fois. Je suis en extase devant ce spectacle.
Dans une dynamique logique, Gladys entame une fellation et Livio réagit immédiatement avec un long râle. La main libre de ma douce est active et caresse le ventre de Livio, puis ses boules avant de glisser dans la raie de ses fesses. Livio est visiblement au bord de jouir quand Gladys insère un doigt dans le derrière de son amant ce qui a pour conséquence de le faire exploser.
Gladys ne se recule pas pour autant et continue de le sucer et avale la semence italienne.
C’est rapide, intense mais provoque le plaisir de nous tous.
Gladys me regarde à nouveau, elle a la bouche souillée. Francesca me suggère d’aller l’embrasser.
Comme à la maison dans la cuisine j’embrasse ma femme alors que sa bouche a le gout de sperme. En revanche, ce n’est cette fois-ci pas le miens, mais tant pis, nous sommes dans le partage et ce baiser est fantastique.

Alors que je retourne doucement vers le sofa, Francesca me fait face et m’embrasse et retrouve le goût de son mari sur mes lèvres.
Puis elle me laisse m’assoir alors qu’elle se dirige vers Livio, se penche puis l’embrasse comme une femme amoureuse le fait avec son mari. Sa main touche le sexe de Livio qui reprend vie.
Francesca quitte les lèvres de Livio puis se tourne vers moi avec un sourire provocateur :

- « Tu vois… Il est prêt à recommencer. Et ta femme n’attend que lui. »

Gladys excitée par la scène qu’elle vient de voir, s’approche aussitôt du bel italien, et d’un geste tendre et assuré vient s’assoir sur son membre bandé.
Le sexe de Livio disparaît entièrement dans celui de ma femme. C’est désormais Gladys qi dicte le rythme de cette pénétration. Elle gémit, souffle fort alors que nous entendons le claquement de ses fesses sur les cuisses de Livio.
Livio à son tour se permet d’insérer deux doigts dans le petit cul de ma femme.
Ses râles trahissent son plaisir. Il ne faut que quelques minutes de cet intense balai pour que Gladys jouisse.
Francesca et moi sommes subjugués par l’intensité de cet échange charnel.

Francesca comprenant que désormais les barrières peuvent tomber facilement, me demande discrètement si j’aimerais que Livio sodomise ma femme.

- « Ça va de soit » lui réponds-je en lui faisant un sourire taquin.

Francesca se lève puis d’un ton ferme et en italien dit à Livio :

- « Sodomizzala. Fallo… per noi »

Surprise par le ton impérieux de Francesca et malgré l’italien Gladys comprend ce qui va se passer et ne s’en offusque pas… Elle s’abandonne à l’idée que son cul accueille le gros sexe de Livio. Elle me fait un clin d’œil complice. Je lui envoie un bisous tout aussi complice.

Francesca d’un pas décidé part chercher un flacon de lubrifiant. Pendant ce temps, Livio bascule Gladys sur le dos puis se positionne entre ses jambes. Avant de penser à la suite, il plonge sa bouche dans l’intimité trempée de Gladys.
C’est un long cunnilingus : Ses lèvres et sa langue savourent chaque pli du sexe de ma femme. J’adore la voir fermer les yeux quand je la lèche, et je retrouve ce même plaisir alors que c’est Livio qui en profite. Gladys gémit, se cambre alors que progressivement Livio descend plus bas.
Sa langue effleure désormais la rosace de ma chérie. Elle s’agrippe aux cheveux de son amant quand Francesca revient avec le lubrifiant. Je suis quant à moi fasciné par le plaisir pris par Gladys.

Francesca toujours très directive demande à Livio de s’asseoir face à moi afin d’orchestrer le spectacle à venir et que je n’en perdre pas une miette.
Paradoxalement, c’est avec beaucoup de douceur qu’elle se penche vers Gladys, et avec beaucoup de délicatesse, prépare le petit chemin du plaisir secret.
Une fois Gladys prête, Francesca lui demande de venir s’asseoir (toujours face à moi) sur Livio.
Chose magnifique, c’est Francesca qui se saisit du membre de son chéri pour le diriger vers le petit trou de ma femme puis me rejoint sur le canapé.
Avec une infini douceur, le pieu italien disparait centimètre par centimètre dans le cul de ma douce.
Une fois entièrement dedans, Livio commence à entamer des va-et-vient lents puis de plus en plus rapides. C’est la première fois que je vois Gladys prendre du plaisir avec cette intensité.
Ses yeux se ferment, sa bouche est ouverte, sa tête bascule en arrière sur l’épaule de Livio, qui lui, tient vigoureusement ma femme par la taille.
Entre les râles de Livio, ceux de Gladys puis les sons émanant de la pénétration, l’ambiance sonore est délicieuse. Tout comme cette vision de sexe paradisiaque.

C’est alors que Francesca demande de manière autoritaire à Gladys de la regarder, puis elle se penche vers moi et commence à me sucer.
Je suis complétement apeuré par la réaction de ma femme mais son sourire me rassure et je me laisse aller.
Ô surprise, Gladys finit par franchir le seuil du plaisir interdit, et Livio la suite de quelques secondes. Leur orgasme est long et j’ai l’impression que Livio déverse des litres de sperme dans le cul de Gladys. Le spectacle du foutre sortant de son derrière a raison de mon plaisir que je déverse dans la bouche de Francesca. Elle me regarde ensuite avec ses yeux espiègles, et vient m’embrasser. Je prends curieusement goût à ces bisous salé, brulant et mêlés au plaisir du mâle. Puis Gladys nous rejoint et à son tour, embrasse langoureusement et longuement Francesca.
Puis elle se penche vers moi, et m’invite à la faire jouir.

Pour la première fois, je m’occupe de Francesca. Je m’autorise enfin à la regarder comme une amante. Je caresse ses magnifiques seins, titille ses tétons avec ma langue, puis descend doucement en déposant plein de petits bisous sur son ventre jusqu’à découvrir son jardin secret parfaitement épilé.
Ma langue découvre son goût merveilleux puis va à la conquête de son bouton de plaisir.
Je prends le temps de me délecter de son sexe trempé alors que Gladys et Livio nous regardent lovés l’un contre l’autre.
Je sens que le plaisir de ma partenaire monte alors je me permets d’insérer un doigt puis un deuxième. Francesca me fait comprendre qu’elle en veut plus, et je m’exécute en y insérant un troisième puis un quatrième. C’est fou la facilité déconcertante que j’ai à la pénétrer si facilement (j’en viendrai presque à envisager de mettre la main mais me raisonne). Son orgasme est fantastique et je découvre que Francesca est une femme fontaine. Je suis subjugué et tellement heureux de l’avoir fait jouir.
Francesca me remercie et je remonte jusqu’à son joli visage souriant pour l’embrasser. Je regarde Gladys qui m’envoie un baiser. Tout comme Livio et Gladys nous nous lovons et finissons par nous endormir.

Ce week-end romain est l’occasion de découvrir la ville en large et en travers et les plaisir libertins chaque soir jusqu’à notre retour en banlieue parisienne.
Nos amis nous raccompagnent à l’aéroport. Nous reprenons nos places de couples exclusifs et nous embrassons sans ambiguïté… avec la promesse de garder le contact.
Gladys est une femme désormais épanouie et assume ses envies, et moi un candauliste heureux.
Vivement la suite !
#2897577
Et voici la troisième et dernière partie :x

Cela fait cinq mois déjà que nous avons vécu notre deuxième et fabuleuse aventure avec nos amis italiens. Notre quotidien est revenu à la normale, mais cette fois-ci, Gladys ne s'est pas renfermée dans une bulle silencieuse. Nous n'avons pas eu de nouvelles aventures libertines, mais nous évoquons de temps en temps la possibilité d'une prochaine fois.
Nos garçons sont partis faire leurs études au Canada pour notre aîné de 23 ans, et notre cadet de 18 ans s'est rapproché de son école en élisant domicile chez sa grand-mère.
Nous ne sommes donc que tous les deux, et nous nous rendons compte que nos enfants peuvent nous manquer, mais que paradoxalement, c'est une liberté retrouvée de faire ce que nous voulons quand nous voulons.

À côté de ça, nous n'avons cette fois-ci pas perdu le contact avec Francesca (et indirectement Livio) qui échange régulièrement avec Gladys sur WhatsApp à propos de tout et de rien. Quelques sous-entendus coquins bien sûr, mais c'est vraiment une vraie relation entre amis qui s'est instaurée.

D'ailleurs, c'est le dernier message de Francesca que Gladys vient de recevoir qui va tout déclencher.

« Ciao mia bella !

J'espère que tu vas bien et que tout se passe bien en région parisienne.
Je t'écris parce que j'ai un petit service à te demander... Livio et moi avons des amis dont le fils – Luigi – vient de finir ses études de kiné et ouvre son propre cabinet (quelle fierté !). Il doit se rendre au salon Rééduca à Paris du 9 au 11 octobre.

Malheureusement, un bug informatique a annulé sa réservation d'hôtel. Du coup, je me demandais s'il serait possible qu'il puisse séjourner chez vous pendant ces quelques jours et si quelqu'un pourrait aller le chercher à l'aéroport ?

Je comprends que c'est beaucoup demander, mais ça lui sauverait vraiment la mise... Bien sûr, il te remerciera mille fois et il est super sympa.
Merci d'avance pour votre aide, tesori !
Un gros abrazo depuis Rome »
Gladys m'appelle et me montre le message.
N'ayant pas prévu quoi que ce soit la semaine prochaine, naturellement, nous sommes d'accord sur le principe que nous pourrions accueillir Luigi. En plus, le contexte de la rentrée fait que les chambres de nos garçons sont libres. Gladys envoie la réponse à Francesca qui nous remercie chaleureusement et nous envoie les coordonnées de Luigi, ainsi que toutes informations relatives au vol et une photo de lui pour que nous puissions le reconnaître facilement à son arrivée.

Le mercredi suivant, nous voilà en toute fin de journée à l'aéroport d'Orly pour accueillir Luigi. Il apparaît dans le hall, grand, élancé, le teint légèrement hâlé, ses yeux verts pétillants et son sourire franc captent immédiatement notre attention.

— Bonjour ! Tu dois être Luigi ?
— Buongiorno... oui, je suis Luigi. Merci beaucoup de m'accueillir.
— Avec plaisir... je suis Gladys, et voici Nicolas.
— Piacere.
— Enchantés. Tu as fait bon voyage ?
— Oui... ça va, grazie. Et vous, ça va ?
— Oui, très bien. Suis-nous, on va te conduire à la maison.
— Va bene, grazie.

Son accent italien, doux et chantant, rendait chacune de ses phrases délicieusement séduisantes, un rappel subtil de Livio, mais avec une innocence propre à lui.

Dans la voiture, nous échangeons des banalités sur le salon de kinésithérapie, sur Paris et ses petites habitudes quotidiennes. Luigi, avec ses maladresses exquises, glisse parfois des mots français légèrement hésitants, ce qui ajoute à son charme. Je l'observe attentivement dans mon rétroviseur, notant la façon dont Gladys sourit à ses histoires.

Après avoir installé ses affaires dans la chambre d'ami, nous préparons et profitons d'un repas simple, puis passons tous dans le salon, avec un verre de vin en discutant de manière légère. Nous échangeons sur nos goûts culinaires, et rions des petites maladresses de Luigi quand il tente de prononcer certains mots français. Gladys le taquine gentiment, et lui répond avec une politesse charmante et un sourire en coin. Je savoure ces instants, observant chaque regard, chaque mouvement. Chaque sourire échangé entre elle et Luigi fait battre mon cœur plus vite, et je me surprends à imaginer les possibles interactions qui pourraient suivre. L'excitation monte, cette joie intense de voir ma femme désirée par un autre, alors que tous les paramètres sont réunis pour qu'il ne se passe rien. D'autant plus que Luigi n'a que deux ans de plus que notre fils aîné. Et en effet, et très logiquement, il ne se passe rien...

Luigi prévoit de se rendre au salon le jeudi, le vendredi puis uniquement le samedi matin.
Nous avons convenu que nous lui ferons visiter Paris, l'après-midi du samedi et dimanche avant de le raccompagner à l'aéroport.

Nous ne le voyons que très peu au cours des deux premiers jours, car fatigué, il va assez vite se coucher à l'issue du dîner.
Gladys et moi profitons de la matinée de ce samedi ensoleillé pour tondre et entretenir les haies.
Il est 12h15 quand Luigi rentre de son salon, pousse la porte du portail et nous rejoint dans le jardin.
Gladys et moi finissons de mettre les déchets végétaux dans les sacs quand d'un coup Gladys grimace. Elle vient de se faire mal en soulevant un sac rempli d'herbe fraîchement tondue.

Luigi, d'un geste rapide et attentionné, s'approche et dit avec une innocente sollicitude :

— Tu as mal où ?
— Là ! répond Gladys grimaçante en montrant le bas de sa nuque.
— Laisse-moi regarder. Certainement un faux mouvement... Accepterais-tu un petit massage ?

Gladys, surprise, mais souriante, acquiesce :

— Oui, ce serait gentil, merci !


Luigi propose d'aller au salon pour être plus confortables.
Elle me lance un regard complice, et je sens une chaleur familière s'installer en moi. Observer cette scène éveilla immédiatement mes sens : je vois ma femme, mon amour, se laisser toucher par ce jeune homme attentif. Chaque geste, chaque contact renforçant cette excitation silencieuse et profondément satisfaisante, alors même que j'observe un massage complètement innocent.
Le massage commence avec douceur : les mains de Luigi sont posées sur les épaules de ma belle, se concentrent d'abord de longues minutes sur la zone douloureuse puis descendent lentement le long du dos. Les gestes du jeune italien sont mesurés, précis, mais avant tout innocents. Gladys respire profondément, et ressent des frissons subtils le long de sa colonne vertébrale, et je m'aperçois que je perçois également chaque micro-frémissement, chaque soupir, chaque mouvement de son corps contre les mains de Luigi.

Au fil des minutes, la tension monte progressivement. Le massage, encore innocent, devient une danse sensuelle implicite. Je peux voir la gratitude et le plaisir sur le visage de Gladys, et chaque interaction entre elle et Luigi amplifie mon excitation.
Je prends la décision de mettre une musique douce afin de passer un message subtil à Gladys, mais également à Luigi.
Presque imperceptiblement, le rythme de Luigi change. Ses gestes deviennent plus attentifs, plus prolongés, comme s'il écoutait le corps et guidait ses sensations vers un autre espace. Je remarque le nouveau frisson léger qui parcourt le dos de Gladys, et le souffle plus profond qu'elle laisse échapper. Tout en restant un moment de détente, l'atmosphère semble s'épaissir d'une promesse sensuelle, et je reste là, observateur attentif, ressentant l'intimité silencieuse qui s'installe entre eux.
Puis Luigi qui jusque-là était resté muet, glisse à l'oreille de Gladys :

— Si tu veux, je peux te proposer un massage différent, connais-tu le tantrisme ?

J'entends Gladys, particulièrement détendue, lui répondre par la positive.

— Souhaites-tu que nous prolongions ce moment et profiter de mes connaissances ?
— Pourquoi pas ! répond de manière espiègle Gladys sans même me regarder.
— Alors, il va falloir te déshabiller chère Gladys.
— Intégralement ? demande Gladys faussement innocente.
— Oui, si tu n'y vois pas d'inconvénient.
— Alors, allons dans notre chambre, nous serons plus à l'aise.

Gladys très doucement se redresse, puis tout en me regardant retire un à un ses vêtements. Elle n'esquisse aucun mouvement pour cacher sa poitrine ou son sexe au regard du jeune transalpin. Nous nous rendons ensuite dans notre chambre, puis elle se rallonge sur le ventre et se livre aux nouvelles caresses de Luigi.
Luigi me demande si nous avons de l'huile de massage. Je lui apporte un grand flacon, mais il se met à rire :

— C'est du lubrifiant, mais ça fera bien l'affaire ! En me faisant un clin d'œil.


Le jeune masseur commence par lubrifier délicatement ses mains qui reprennent leur parcours sur le corps de Gladys, mais maintenant avec un mélange de douceur et d'attention plus suggestives. La sensation de la chaleur de ses mains sur sa peau, l'odeur subtile du produit, et les frissons de Gladys me font vibrer
Les gestes sont lents, attentifs, presque méditatifs. Luigi explore la féminité de Gladys avec un respect qui la met totalement en confiance. Je remarque son souffle qui s'accélère, ses jambes légèrement frémissantes, ses doigts qui effleurent doucement le bras de Luigi.
À mesure que la tension monte, Luigi lui fait découvrir des sensations plus profondes, en guidant ses mouvements et en observant attentivement ses réactions. La complicité entre eux est palpable, mais Gladys ne cesse de m'envoyer des regards complices, me lance des sourires, des clins d'œil subtils, qui font basculer mon plaisir vers un nouveau palier.

Chaque frémissement, chaque soupir de Gladys est une musique pour mes oreilles. Je la vois découvrir des zones qu'elle n'avait encore jamais explorées, chaque sensation étant amplifiée par la conscience et l'attention de Luigi. Tout cela rend l'instant intensément érotique.

Je note comment Gladys répond aux gestes de Luigi : ses yeux brillent, ses lèvres s'humidifient légèrement, ses mains cherchent à maintenir le contact, mais jamais avec empressement. Tout est contrôle et abandon mêlés, un équilibre parfait entre curiosité et plaisir. Mon rôle de spectateur me permet de savourer chaque micro-détail, de ressentir l'excitation de ma femme et la complicité naissante avec Luigi.

La progression est lente, sensuelle, presque méditative. Luigi ajuste ses gestes à la respiration de Gladys, guidant ses découvertes avec douceur, chaque caresse choisie pour éveiller un frisson, un soupir, un sourire. Je me surprends à imaginer la suite, à ressentir l'intimité grandissante, et à anticiper chaque nouvelle facette qu'elle découvrira grâce à cette exploration.

Après plusieurs minutes, Luigi ajuste ses gestes, plus attentifs, presque exploratoires, tout en restant doux et précis. La lumière de la chambre est tamisée, les ombres caressent les contours du corps de Gladys, et l'atmosphère devient plus intime, chargée de cette tension sensuelle qui monte lentement mais sûrement.

Selon que ma douce soit sur le ventre ou sur le dos, je vois très clairement que les caresses de Luigi passent désormais également par ses seins et ses zones les plus intimes. Elles descendent plus bas, éveillant ses petites lèvres, frémissantes sous la chaleur de ses doigts. Je vois son souffle se hâter, son ventre se tendre, et un frisson parcourir l'intimité de son clitoris à chaque effleurement délicat. Gladys est plus sonore dans ses réactions. Lorsqu'il effleure le creux chaud de son vagin, elle laisse échapper un souffle tremblant, mélange de surprise et de plaisir. Même en simple observateur, je sens l'intensité de chaque mouvement, la tension et la douceur qui se mêlent dans ce moment suspendu.

Puis il murmure calmement à l'oreille de ma belle :

— Si tu veux, je peux te montrer quelque chose de différent...
— Oui, je te fais confiance ! répond Gladys en hochant la tête, intriguée et curieuse.


La lumière douce enveloppe la pièce, et la musique semble ralentir le temps. Le massage éveille déjà chaque fibre de son corps, mais maintenant, le geste de Luigi devient plus attentif, plus profond.
D'abord, un seul doigt effleure son intimité, frôlant la délicatesse de ses petites lèvres. Elle laisse échapper un souffle tremblant, et ses muscles se contractent sous la nouveauté. Un léger frisson parcourt son bas-ventre, et ses mains s'agrippent au drap comme pour se raccrocher à quelque chose de familier.

Puis vient un deuxième doigt, explorant avec prudence, mais détermination. Son souffle se fait plus court, ses cuisses frémissent, et un petit gémissement s'échappe malgré elle. Son corps s'ouvre, réagit à chaque mouvement, à chaque pression.

Le troisième doigt suit, introduit avec soin. Ses frissons deviennent plus visibles, ses hanches se cambrent légèrement, et son souffle s'approfondit. Son clitoris vibre, son ventre se tend, et je peux presque sentir la tension et le plaisir se mêler dans chaque fibre de son corps.

Lorsque le quatrième doigt rejoint les autres, un mélange de surprise et de plaisir s'installe. Son corps tout entier frémit, ses soupirs se font plus graves, plus longs. Elle se laisse guider par la douceur et la maîtrise du geste, abandonnant peu à peu toute retenue.

Enfin, la main entière entre, et la découverte devient totale. Les sensations sont intenses, nouvelles, et son corps réagit avec abandon. Ses soupirs se transforment en cris étouffés de plaisir, ses muscles se contractent et se relâchent à un rythme effréné. Un flot chaud et abondant s'échappe de ma belle, révélant pour la première fois sa capacité à être femme fontaine, et le mélange de surprise et de plaisir illumine son visage.

Je reste là, observateur attentif, fasciné par la puissance de l'instant, par cette découverte intime et totale, témoin de son abandon, de sa jouissance et de cette part secrète d'elle-même enfin révélée.

Son corps, encore chaud et frémissant, s'affaisse doucement contre le matelas. Chaque muscle se relâche peu à peu, comme si l'orage de plaisir avait emporté toute tension. Son souffle, d'abord court et haletant, retrouve lentement un rythme plus calme, ses inspirations profondes trahissant le mélange d'épuisement et de satisfaction.

Ses paupières s'ouvrent lentement, et son regard, encore embrumé par l'extase, se pose sur moi avec un mélange de douceur et de surprise. Un léger sourire étire ses lèvres, fragile et lumineux, comme un rayon de chaleur qui revient à la surface après la tempête

Ses doigts effleurent mon bras avec une lenteur nouvelle, retrouvant la conscience de son corps et du contact humain. Un petit rire tremblant s'échappe, accompagné d'un souffle léger, et je sens qu'elle reprend peu à peu pied dans la réalité, encore marquée par l'intensité de ce qu'elle vient de vivre.

Chaque frisson qui parcourt son ventre ou ses cuisses devient plus discret, plus intime, mais la trace de l'orgasme persiste, un souvenir vibrant qui s'accroche à sa peau. Gladys est revenue, pleinement elle-même, mais transformée par ce moment de total abandon et de plaisir partagé.

Elle se redresse puis pose ses lèvres sur celles de Luigi et lui dit : « Merci ! ».

Je vois ensuite Gladys se pencher vers Luigi avec une hésitation perceptible, un mélange de timidité et de curiosité dans ses yeux. La différence d'âge lui traverse l'esprit un instant : elle est consciente de cette proximité inattendue, et un petit sourire gêné se dessine sur ses lèvres.
Luigi, attentif et patient, lui offre un regard rassurant. Ses mains sont calmes, ses gestes simples et naturels, et cela permet à Gladys de se détendre peu à peu. On sent cette curiosité douce qui la pousse à explorer malgré la gêne initiale.
Je reste en retrait, spectateur silencieux, observant les futurs amants.
Peu à peu, la gêne de Gladys s'efface, remplacée par une forme de confiance et de complicité silencieuse avec Luigi.

Désormais à genoux, Gladys défait patiemment les boutons du pantalon de Luigi puis l'accompagne afin qu'il le retire complètement tout comme son caleçon. Apparaît alors, un sexe raide magnifique, que je qualifierais de délicieusement proportionné.
Gladys commence par le caresser, puis l'embrasser avant d'enfin le prendre en bouche. Comme avec Livio à l'île du Levant ou à Rome, cette vision me subjugue.
Gladys prend son temps et visiblement plaisir à sucer le jeune italien. Luigi gémit et accompagne Gladys en posant ses mains sur sa tête. Gladys me regarde malicieusement, ce qui contribue à me faire bander encore plus fort. Je décide à mon tour de mettre à l'aise afin de me toucher.
Quelques longues minutes ont passé depuis que Gladys caresse la virilité de Luigi avec sa bouche quand il lui dit :

— Je vais venir !


Je vois Gladys se saisir des fesses de son jeune amant afin de l'empêcher de reculer. Dans un râle intense, Luigi éjacule immédiatement dans la bouche de ma femme.
J'observe Gladys déglutir et se relever afin de me rejoindre. Je comprends que comme à Rome, elle veut partager le goût de son amant. Je l'embrasse alors sans retenue et fais même passer ma langue sur son menton pour le nettoyer. Ce baiser complice est merveilleux, et représente à lui seul notre parfaite connivence dans notre dynamique libertine assumée.

Alors que Gladys nous propose de nous rendre dans le salon afin de prendre un verre, nous nous levons doucement, restons nus et laissons derrière nous notre chambre dans laquelle l'odeur du plaisir est encore très présente.

J'entends le silence complice qui accompagne Gladys et Luigi jusqu'au canapé, ponctué de regards et de sourires malicieux. Elle prend un verre, ses doigts effleurent ceux de Luigi quand il en saisit un, et un rire léger s'échappe d'eux, comme si chaque mot était un prélude à ce qui allait suivre.

Nos conversations sont pleines de sous-entendus et de jeux de regards. Chaque mouvement, chaque geste renforcent le désir présent. Le monde extérieur semble suspendu, et l'air vibre d'une tension prête à s'éveiller à nouveau.

Gladys se rapproche du jeune homme, l'enjambe, et se saisit de son sexe bandé et le guide vers son intimité. Elle le fait pénétrer en elle délicatement, et une fois entièrement disparu, entame des mouvements de bas en haut. L'ambiance sonore est très forte, tout comme les odeurs qui font monter l'excitation. Gladys continue de plus en plus intensément à profiter du sexe transalpin en elle, et je me rapproche tout près d'eux. Le pieu de Luigi sort alors du vagin de Gladys. Je sens mon cœur battre à toute vitesse. Sans un mot, je m'en saisis, guidé par mon instinct et par l'excitation évidente de ma femme qui me regarde, qui approuve du regard... Elle veut que je continue.

La sensation est différente, mais tout aussi intense. Je comprends que cette étape, si courte et discrète, est une véritable initiation pour moi, et que Gladys partage pleinement ce moment.
C'est au moment où sa bite sort pour la seconde fois, que la bascule interdite intervient : Gladys me regarde me saisir à nouveau du sexe de Luigi et me demande :

— Tu veux le goûter ?

Silence de ma part

— Moi, j'aimerais vraiment, ajoute Gladys, dont le regard signifie tout.


Je sens ma gorge se nouer, mon excitation monter. Mes yeux cherchent Gladys, et son expression ne laisse aucun doute : Son regard brille, excité, complice, presque joueur, comme une sincère invitation à cette transgression.

Je cède alors, lentement, savourant l'instant, pleinement conscient de la confiance qu'elle m'accorde et de la dynamique unique qui s'est installée entre nous trois. Luigi reste calme, presque observateur, me laissant dans une fluidité naturelle, où chacun trouve sa place dans ce partage inédit, commencer ma première fellation. Je m'applique à lui donner du plaisir, je reconnais le goût de Gladys sur cette tige, et ça m'excite. Je le suce et mon regard est à quelques centimètres de l'anus de Gladys. J'y prends plaisir, mais je préfère voir ce membre de chair dans le puits d'amour de Gladys.
Ayant visiblement apprécié mon rôle actif, et tout en baisant Luigi, Gladys me dit :

— Viens me prendre par derrière !


Les deux amants s'immobilisent, le temps que je prépare Gladys. Je prends quelques secondes à lui lécher son petit trou, puis une fois bien lubrifié, enclenche le premier contact avec mon gland.
Doucement, mais sûrement, je parviens à sodomiser ma femme, et les mouvements à trois commencent. Nouvelle sensation divine pour Gladys, mais également pour moi. Il me faut d'ailleurs très peu de temps avant de jouir intensément en elle.

Les deux amants reprennent leur duo que je trouve encore une fois superbe, avant que Gladys ne change de position et demande à Luigi de la lécher. Je connais ma femme, elle jouit facilement comme ça. Elle s'allonge sur le canapé et Luigi prend place entre ses jambes. Je peux tout voir, notamment le visage du jeune italien se coller au sexe de Gladys. Ses gémissements et soubresauts trahissent les premiers coups de langue de Luigi. Très vite, celui-ci alterne entre son anus souillé, et son clitoris, avant de relever les jambes de ma femme afin de pouvoir insérer deux doigts puis trois. Le cunnilingus intense et les doigts permettent à Gladys de jouir en éjaculant pour la seconde fois... Dieu que ce jeune homme est doué.

Gladys reprend à nouveau ses esprits et embrasse Luigi. Un baiser tendre, mais intense, comme pour le remercier. Bizarrement, Gladys est presque maternelle avec son jeune amant.
Je la regarde avec tout autant de tendresse, puis nos regards se croisent. Ces regards remplis de cette complicité amoureuse que j'aime tant et qui font que je suis éperdument amoureux d'elle. Gladys vient vers moi m'embrasse, puis m'enlace et me glisse à l'oreille :

— Finis ce que tu as commencé tout à l'heure.

J'ai du mal à comprendre, et Gladys poursuit malicieusement :

— Veux-tu récompenser ce jeune homme qui a donné tant de plaisir à ta chérie ?


Je comprends enfin que ma femme veut prendre mon rôle de voyeur, et souhaite me voir faire jouir son bel amant avec ma bouche. Mon érection trahit mon hésitation, et je me dirige vers ce jeune homme à qui j'ai permis de baiser ma femme.

Je m'agenouille et à nouveau, je le suce, et y prends à nouveau plaisir. Mes mouvements sont désormais plus assumés et je vais loin, presque à m'étouffer. Je sens Gladys derrière moi qui me caressait la tête, la nuque, le dos, et j'adore.
Puis Gladys me glisse à nouveau à l'oreille :

— Finis-le avec ta bouche et déguste-le. Je veux voir tout son foutre dans ta bouche, mon amour.


Elle se saisit de ma bite et me branle délicatement tout en m'embrassant dans le cou. Luigi gémit, c'est que je dois bien faire les choses, jusqu'à ce que j'entende :

— Sì, sì... arrivo !


Et il se déverse dans ma bouche. Curieusement, ça ne me rebute pas et ça m'excite même, car j'intensifie mes mouvements à mesure qu'il jouit. J'avale tout, alors que Gladys qui n'a rien perdu du spectacle me branle de plus en plus fort et me fait jouir dans ses mains.
A nouveau, et amoureusement, nous partageons le plaisir de Luigi à travers un nouveau baiser amoureux.
Nous restons complices tous les trois un long moment, et laissons la pression redescendre.

Ces quelques heures de sexe et de plaisir passées au cours de ce week-end représentent une unique parenthèse, puisque le lendemain, nous passons la journée à visiter Paris avec Luigi. Les gestes de Gladys sont tendres, et encore une fois, plus maternels avec Luigi, et ne trahissent en rien le fait qu'ils ont été des amants passionnés la veille.

Arrivés à l'aéroport, c'est le temps des au revoir... mais pas des adieux. Nous sommes certains que d'une façon ou d'une autre, nous nous reverrons à Rome, ici ou ailleurs. Gladys embrasse tendrement Luigi sur la bouche, et je lui fais la bise, puis nous le voyons s'éloigner vers la zone d'embarquement.

Nous repartons ensuite à la maison, je caresse la cuisse de Gladys sur le chemin du retour. Elle me prend la main et me remercie encore de lui permettre de vivre tout ça.
Nous échangeons sur nos ressentis, et naturellement, elle met en avant les troubles que ces aventures peuvent générer comme baiser avec un jeune homme de l'âge de notre fils aîné, alors qu'il aurait été inconcevable de ne serait-ce que l'imaginer. Je souris et lui dis :

— Comme quoi le plaisir n'a pas de frontière.


Puis Gladys se saisit de son smartphone et envoie par WhatsApp un message avec Francesca :
— Nous avons passé un week-end délicieux avec Luigi. Et avons bien profité... A tout point de vue ;-)
Dionysos06, zztop a liké
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par Dionysos06
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@CedSand76 quels récits admirables. Je me suis régalé d'un bout à l'autre. Richesse des mots, des situations, des envies. Vraiment magnifique.

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