Elle n’avait aucune intention de me planter ce soir-là. Elle était ravissante, Sandrine portait juste une brassière blanche en haut.
On pouvait apercevoir ses tétons, sa jupe plissée bleu marine de nos premiers trios ne cachait pas bien un ravissant String rouge transparent. Elle portait toujours quelquechose pour une question de confort, mais on pouvait souvent facilement, un string de chienne en chaleur. Comme ses bas de couleur chair extrêmement sexy et des talons qui la rendait sulfureuse avec son mètre 71 et ses hanches larges. Elle paraissait très grande, putain ce qu’elle faisait envie la salope.
En plus, elle sortait de chez le coiffeur, épilée de surcroît, elle voulait être parfaite, elle savait qu’elle allait les exciter à mort.
Elle n’avait pas encore cédé aux avances de Philippe qui voulait la doubler avec lui.
Ce n’était pas la première fois, nous étions indécis, elle continuait de les teasers et moi par la même occasion.
Nous sommes arrivés au bar, j’ai rencontré Tony. C’était la première fois que je le voyais et le feeling n’a pas été immédiat avec lui.
Malgré tout, entouré des ces deux mâles qui ne pensaient qu’à baiser ma femme, j’étais très excité et très dur dans mon pantalon.
Grace à toutes les femmes exhibe sur ce forum, je comprend mieux ce que Sandrine ressentait et elle jouait le jeu, elle existait grave, elle se sentait bien.
J’avais peur qu’elle finisse aux toilettes avec un des deux probablement Philippe.
Heureusement ce n’est pas arrivé car je ne sais pas comment j’aurais réagi.
Elle s’est fait un peu toucher et tripoter rien de plus. Elle flirtait devant moi et la
soirée était super sympa. J’ai fini par bien sympathisé avec Tony, Philippe m’en avait dit pas mal de bien.
Elle a passé une excellente soirée et nous avons fait l’amour comme deux amants en rentrant. Je l’ai fait jouir avec mes doigts et la bouche, à quoi pensait-elle ? Ensuite quand je l’ai prise, Sandrine m’a confié qu’elle avait hâte de se faire baiser par les deux salauds et j’ai joui instantanément.
- 12 janv. 2025, 21:40
#2852074
Rien que la voir flirter devant toi et se faire tripoter, c'est déjà énormément excitant! 
Kimilefty75, Kimilefty75 a liké
- 12 janv. 2025, 22:35
#2852080
Tony avait une bonne quinzaine d’années de plus que nous trois. Et si au début, la première fois qu’elle l’avait rencontré seule, cela avait été bloquant. Ce jour là, c’était plutôt séduisant pour elle.
Il n’était pas un ami mais un collègue de Philippe, son supérieur, la situation était particulière pour nous tous.
J’avais le sentiment de jouer avec le feu, d’où l’indécision, je sentais que pour débloquer la situation, ils ne devaient pas nous demander nos avis et c’est ce qui arrivera.
Malgré tout, il faisait jeune, hyper sympa, ouvert d’esprit, il reluquait ma femme, il était cool avec moi.
Elle devait probablement être plus excitée par la perspective que par la chose elle-même.
Peut-être se rappelait-t-elle encore le goût de sa grosse queue dans sa bouche alors qu’il lui tenait la tête pour qu’elle avale tout.
Comme première fois, avant même de l’avoir embrassé, lui mettre deux doigts puis l’obliger à avaler, c’était très gentleman. Mâle Alpha, elle a apprécié, les femmes sexuellement n’aiment pas les gentils.
Je vois encore le petit sac à main de Sandrine hyper féminin et dans lequel il n’y avait pas de préservatif ni encore de string de secours. Tout cela était inutile à l’époque, ils la prenaient tous les deux à cru et tout le monde adorait ça y comprit moi.
Tony en avait une aussi grosse que Philippe, ils étaient grands et puissants et elle aimait ça. Elle allait se les prendre l’un ou l’autre dans le cul sans aucun problème.
Encore une fois je ne connaissais pas le terme à l’époque, mais c’était devenu du vrai Candaulisme. Malgré tout, nous faisions beaucoup l’amour et elle était encore plus doué pour m’exciter et me faire jouir. Même si ce n’était pas très qualitatif, de mon côté, c’était quantitatif, je lui prouvait mon amour et j’en profitais allègrement.
Il n’était pas un ami mais un collègue de Philippe, son supérieur, la situation était particulière pour nous tous.
J’avais le sentiment de jouer avec le feu, d’où l’indécision, je sentais que pour débloquer la situation, ils ne devaient pas nous demander nos avis et c’est ce qui arrivera.
Malgré tout, il faisait jeune, hyper sympa, ouvert d’esprit, il reluquait ma femme, il était cool avec moi.
Elle devait probablement être plus excitée par la perspective que par la chose elle-même.
Peut-être se rappelait-t-elle encore le goût de sa grosse queue dans sa bouche alors qu’il lui tenait la tête pour qu’elle avale tout.
Comme première fois, avant même de l’avoir embrassé, lui mettre deux doigts puis l’obliger à avaler, c’était très gentleman. Mâle Alpha, elle a apprécié, les femmes sexuellement n’aiment pas les gentils.
Je vois encore le petit sac à main de Sandrine hyper féminin et dans lequel il n’y avait pas de préservatif ni encore de string de secours. Tout cela était inutile à l’époque, ils la prenaient tous les deux à cru et tout le monde adorait ça y comprit moi.
Tony en avait une aussi grosse que Philippe, ils étaient grands et puissants et elle aimait ça. Elle allait se les prendre l’un ou l’autre dans le cul sans aucun problème.
Encore une fois je ne connaissais pas le terme à l’époque, mais c’était devenu du vrai Candaulisme. Malgré tout, nous faisions beaucoup l’amour et elle était encore plus doué pour m’exciter et me faire jouir. Même si ce n’était pas très qualitatif, de mon côté, c’était quantitatif, je lui prouvait mon amour et j’en profitais allègrement.
- 12 janv. 2025, 22:52
#2852082
@Olivierito oui tout a fait.
Elle faisait du pied à Philippe tout en me regardant.
On sentait le vice chez Tony qui reniflait la chair fraîche.
Philippe lui mettait facilement à la main sur la cuisse. Nous étions sur un petit canapé avec une table basse qui masquait rien. Quand elle écartait pour leurs montrer son string tout en me tenant la main, j’étais comme un fou.
Je fais le malin aujourd’hui, mais je n’étais pas si fier ce jour là et cela devait se voir, c’est pourquoi ils n’ont rien osé.
Il y a encore quelques mois, elle n’aurait pas laissé visible ses bas à la vue de tout le monde, et là elle semblait s’en moquer et j’étais fier d’elle, je lui avait d’ailleurs dit par la suite et cela nous avait bien libéré.
Elle faisait du pied à Philippe tout en me regardant.
On sentait le vice chez Tony qui reniflait la chair fraîche.
Philippe lui mettait facilement à la main sur la cuisse. Nous étions sur un petit canapé avec une table basse qui masquait rien. Quand elle écartait pour leurs montrer son string tout en me tenant la main, j’étais comme un fou.
Je fais le malin aujourd’hui, mais je n’étais pas si fier ce jour là et cela devait se voir, c’est pourquoi ils n’ont rien osé.
Il y a encore quelques mois, elle n’aurait pas laissé visible ses bas à la vue de tout le monde, et là elle semblait s’en moquer et j’étais fier d’elle, je lui avait d’ailleurs dit par la suite et cela nous avait bien libéré.
- 13 janv. 2025, 10:10
#2852139
Tu racontes bien et j’aime les histoires où on a le ressenti des personnages.
Merci.
Merci.
michpat, Kimilefty75 a liké
- 13 janv. 2025, 11:01
#2852156
Ce sentiment de fierté souvent contrarié par un sentiment de peur voire d'angoisse , c'est le lot de beaucoup de candaulistes , je crois .Un sentiment tellement fort , qu'on ne peut plus s'en détacher ....
Merci pour vos récits qui reflètent bien vos émotions
Kimilefty75 a écrit :Je fais le malin aujourd’hui, mais je n’étais pas si fier ce jour là et cela devait se voir, c’est pourquoi ils n’ont rien osé.
Ce sentiment de fierté souvent contrarié par un sentiment de peur voire d'angoisse , c'est le lot de beaucoup de candaulistes , je crois .Un sentiment tellement fort , qu'on ne peut plus s'en détacher ....
Merci pour vos récits qui reflètent bien vos émotions
La complicité , le partage , le jeu , la réciprocité ,notre philosophie de vie. viewtopic.php?p=2236567#p2236567
- 16 janv. 2025, 15:31
#2852913
@olch Il est toujours difficile de sortir de sa zone de confort, on dit non à certaines choses, mais on en crève d’envie. La peur, n’évite pas le danger et l’on finit par se brûler … délicieusement dans notre cas.
Il y a de la jalousie et beaucoup d’excitation et on perd un peu les pédales. On accepte ou on est obligé d’accepter certaines choses, de faire des concessions.
Ce qui est drôle, c’est que les plus belles émotions, rétrospectivement, ne sont pas les moments les plus hard.
Il y a de la jalousie et beaucoup d’excitation et on perd un peu les pédales. On accepte ou on est obligé d’accepter certaines choses, de faire des concessions.
Ce qui est drôle, c’est que les plus belles émotions, rétrospectivement, ne sont pas les moments les plus hard.
- 16 janv. 2025, 17:36
#2852935
Merci à toi pour ta superbe prose et tes ressentis... Je viens de découvrir ton post, que j'ai parcouru d'une seule traite !
Je me suis reconnu dans une grande partie de tes ressentis par rapport à certaines situations similaires que j'ai bien heureusement connue
Vivement la suite
Je me suis reconnu dans une grande partie de tes ressentis par rapport à certaines situations similaires que j'ai bien heureusement connue
Vivement la suite
Kimilefty75, Kimilefty75 a liké
GYGES
- 18 janv. 2025, 16:32
#2853481
@Kimilefty75 très beaux récits, pleins de naturel et de sensibilité.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 22 janv. 2025, 17:17
#2854617
Malgré mes réticences et celles de Sandrine qui ne voulaient pas passer pour une femme trop facile et n’être qu’un vide couilles, comme les réticences de Philippe, qui se voyait mal baisé ma femme avec son supérieur (d’après ses propos que je ne le croyais finalement pas), cela a finit par se faire. Nous en avions tous les trois trop envie inconsciemment et comme toujours, c’est Philippe qui a mit le feu poudre ou plutôt au cul de ma femme.
Avant l’épisode 1, je sais juste qu’elle avait été un cocktail à la concession où ils travaillaient tous les deux et qu’elle était sortie avec des copines en boîte de nuit avec eux. Ils étaient chauds.
Elle lui avait mis la totale car elle ne savait pas que ce bel homme plus âgé serait là. Elle c’était apprêtée de façon indécente pour Philippe qui de nouveau en couple, était beaucoup moins disponible. Quand elle a enlevé son manteau, alors qu’ils avaient déjà bu un coup, impossible de les retenir et ils se sont jetés sur elle pour la goûter.
Ils n’ont pas eu besoin à beaucoup la pousser, elle n’attendait que cela pour se donner à eux.
La seule chose qu’ils ont eu à faire, c’est la pousser sur le canapé de Philippe et elle s’est retrouvé en levrette avec la grosse queue de Tony au fond de sa chatte épilée et sans capote.
Dégager ses seins gonflés comme faire sauter, l’agraphe du léger body laissons tout apparaître n’était qu’un jeu d’enfant avec la micro jupe plissée de film porno qu’elle portait.
Le plus embarrassé c’était bien Tony, cela avait été si vite, il ne l’avait même pas encore embrassé et il la baissait déjà tout habillé mais Philippe l’a rassuré ; vas-y tu peux la prendre comme ça, t’es un bon père de famille sauf avec cette salope qui l’a bien cherchée. Ces mots comme d’autres mots crus qui ont volé n’ont fait que la stimuler.
Elle n’a rien dit, elle était beaucoup trop excitée, elle les a laissé la prendre a cru chacun leur tour pour marquer leur territoire et jouir en elle. Elle se masturbait pour jouir encore et encore avec eux. Mon salaud d’ex pote jubilait de faire ce qu’il voulait avec ma femme et pour son boss, qu’il tiendrait un peu ainsi par les couilles par la même occasion.
Le timing était finalement parfait.
Quand ils ont commencé à la bousculer, elle était déjà en rut, elle devait tortiller du cul toute mouillée. D’après elle, découvrir le plan que lui avait fait Philippe de cette façon-là, c’était à la fois dans son dos, mais finalement super excitant.
Je n’ai pas eu d’autres détails mais ils l’ont bien baisé, elle jouissait plusieurs fois et elle y est retournée malgré la bestialité croissante. Ils ne la doubleront pas cette fois-là, mais ça allait venir rapidement. En dehors des moments chauds, ils se sont révélés charmants. Il est vrai qu’ils soignaient leurs jouets pour en disposer à volonté.
Sandrine avait peur de ma réaction, elle ne me l’a pas dit tout de suite, ils l’ont tringlé plusieurs fois avant que je sois au courant. Un soir qu’elle devait sortir avec Philippe, elle m’a avoué que c’était avec Tony qu’elle sortait. Ce soir là, j’ai compris et connement je lui ai fait une scène plutôt que de l’encourager.
Aucun des trois ne s’est lassé avant notre déménagement et j’ai eu droit à un baroude d’honneur avec moi, paraît-il assez soft, mais très plaisant à regarder.
J’avais peur par manque de couilles, mais je regrette aujourd’hui car Tony était cool, et je pense que j’aurais pu être aussi bestial qu’eux avec elle et en profiter allègrement. Nous aurions pu être à trois sur cette salope au lieu de deux. Toujours plus facile à dire qu’à faire surtout rétrospectivement.
Avant l’épisode 1, je sais juste qu’elle avait été un cocktail à la concession où ils travaillaient tous les deux et qu’elle était sortie avec des copines en boîte de nuit avec eux. Ils étaient chauds.
Elle lui avait mis la totale car elle ne savait pas que ce bel homme plus âgé serait là. Elle c’était apprêtée de façon indécente pour Philippe qui de nouveau en couple, était beaucoup moins disponible. Quand elle a enlevé son manteau, alors qu’ils avaient déjà bu un coup, impossible de les retenir et ils se sont jetés sur elle pour la goûter.
Ils n’ont pas eu besoin à beaucoup la pousser, elle n’attendait que cela pour se donner à eux.
La seule chose qu’ils ont eu à faire, c’est la pousser sur le canapé de Philippe et elle s’est retrouvé en levrette avec la grosse queue de Tony au fond de sa chatte épilée et sans capote.
Dégager ses seins gonflés comme faire sauter, l’agraphe du léger body laissons tout apparaître n’était qu’un jeu d’enfant avec la micro jupe plissée de film porno qu’elle portait.
Le plus embarrassé c’était bien Tony, cela avait été si vite, il ne l’avait même pas encore embrassé et il la baissait déjà tout habillé mais Philippe l’a rassuré ; vas-y tu peux la prendre comme ça, t’es un bon père de famille sauf avec cette salope qui l’a bien cherchée. Ces mots comme d’autres mots crus qui ont volé n’ont fait que la stimuler.
Elle n’a rien dit, elle était beaucoup trop excitée, elle les a laissé la prendre a cru chacun leur tour pour marquer leur territoire et jouir en elle. Elle se masturbait pour jouir encore et encore avec eux. Mon salaud d’ex pote jubilait de faire ce qu’il voulait avec ma femme et pour son boss, qu’il tiendrait un peu ainsi par les couilles par la même occasion.
Le timing était finalement parfait.
Quand ils ont commencé à la bousculer, elle était déjà en rut, elle devait tortiller du cul toute mouillée. D’après elle, découvrir le plan que lui avait fait Philippe de cette façon-là, c’était à la fois dans son dos, mais finalement super excitant.
Je n’ai pas eu d’autres détails mais ils l’ont bien baisé, elle jouissait plusieurs fois et elle y est retournée malgré la bestialité croissante. Ils ne la doubleront pas cette fois-là, mais ça allait venir rapidement. En dehors des moments chauds, ils se sont révélés charmants. Il est vrai qu’ils soignaient leurs jouets pour en disposer à volonté.
Sandrine avait peur de ma réaction, elle ne me l’a pas dit tout de suite, ils l’ont tringlé plusieurs fois avant que je sois au courant. Un soir qu’elle devait sortir avec Philippe, elle m’a avoué que c’était avec Tony qu’elle sortait. Ce soir là, j’ai compris et connement je lui ai fait une scène plutôt que de l’encourager.
Aucun des trois ne s’est lassé avant notre déménagement et j’ai eu droit à un baroude d’honneur avec moi, paraît-il assez soft, mais très plaisant à regarder.
J’avais peur par manque de couilles, mais je regrette aujourd’hui car Tony était cool, et je pense que j’aurais pu être aussi bestial qu’eux avec elle et en profiter allègrement. Nous aurions pu être à trois sur cette salope au lieu de deux. Toujours plus facile à dire qu’à faire surtout rétrospectivement.
- 23 janv. 2025, 08:44
#2854704
@Kimilefty75 ta femme possède, comme beaucoup en fait, une personnalité complexe et duale. Épouse qui t'aime et se voudrait fidèle ; femme en rut aux envies sexuelles torrides que tu ne peux, à toi seul, assouvir. Ses réactions et attitudes reflètent cette dualité. Et ce récit en apporte une belle preuve. Il faut bien du doigté de ta part pour la guider, la conseiller et la rassurer tout à la fois.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 29 janv. 2025, 20:00
#2855958
@Dionysos06
C’est notre lot à tous.
Une femme a aussi du mal à remplir tous les rôles pour son mari.
Historiquement, les hommes trompaient leurs femmes pour cette raison.
De même un homme ne peut remplir tous les rôles pour sa femme, c’est l’égalité des sexes.
Jeune, je me rappelle que mon père, jockey et passionné des chevaux de courses, me disait :
Mon fils… il faut que tu es le tiercé dans l’ordre.
Une femme du monde en société, un cordon bleu en cuisine et une grosse cochonne au lit.
Si tu as le tiercé dans le désordre, je te laisse imaginer le bordel
Au sujet de mon fameux doigté pour appréhender la situation, je dirais plutôt que la prise en main n’était plus de mon ressort.
En lâchant la bride, j’ai très vite lâché le contrôle, une fois qu’on met le doigt dans ce mode de vie, il est impossible d’en sortir.
Quand nous avons voulu en sortir, c’était la femme de notre couple, aucun regret.
C’est notre lot à tous.
Une femme a aussi du mal à remplir tous les rôles pour son mari.
Historiquement, les hommes trompaient leurs femmes pour cette raison.
De même un homme ne peut remplir tous les rôles pour sa femme, c’est l’égalité des sexes.
Jeune, je me rappelle que mon père, jockey et passionné des chevaux de courses, me disait :
Mon fils… il faut que tu es le tiercé dans l’ordre.
Une femme du monde en société, un cordon bleu en cuisine et une grosse cochonne au lit.
Si tu as le tiercé dans le désordre, je te laisse imaginer le bordel
Au sujet de mon fameux doigté pour appréhender la situation, je dirais plutôt que la prise en main n’était plus de mon ressort.
En lâchant la bride, j’ai très vite lâché le contrôle, une fois qu’on met le doigt dans ce mode de vie, il est impossible d’en sortir.
Quand nous avons voulu en sortir, c’était la femme de notre couple, aucun regret.
- 28 févr. 2025, 23:49
#2863472
J’ai vu un post sur l’après libertinage candauliste.
Il n’y a pas d’après, c’est impossible.
Lorsque l’on a mis le doigt dedans, tout est permis, on s’éclate tous ensemble, même si le mari, moi en l’occurrence, passe plus de temps à se branler qu’à baiser sa femme, mais c’était parfaitement satisfaisant, ma femme s’éclatait et ses deux amants aussi.
Quand j’ai voulu arrêter, j’avais même une maîtresse, quand nous avons voulu arrêter pour nous retrouver, nous nous sommes perdus.
Nous avions déménagé et elle avait envie de nouveaux amants, mais elle pensait que nous allions nous retrouver et elle restait sage.
En fait, elle aurait dû me tromper de nouveau…. Je lui aurais couru après.
Il n’y a pas d’après, c’est impossible.
Lorsque l’on a mis le doigt dedans, tout est permis, on s’éclate tous ensemble, même si le mari, moi en l’occurrence, passe plus de temps à se branler qu’à baiser sa femme, mais c’était parfaitement satisfaisant, ma femme s’éclatait et ses deux amants aussi.
Quand j’ai voulu arrêter, j’avais même une maîtresse, quand nous avons voulu arrêter pour nous retrouver, nous nous sommes perdus.
Nous avions déménagé et elle avait envie de nouveaux amants, mais elle pensait que nous allions nous retrouver et elle restait sage.
En fait, elle aurait dû me tromper de nouveau…. Je lui aurais couru après.
- 01 mars 2025, 08:54
#2863505
Quand mon ex et moi avons arrêté le candaulisme - chute de libido pour Madame vivant très mal sa ménopause et les changements de son physique -, notre vie sexuelle s'est arrêtée elle aussi. Et elle m'a quitté, au bout de 13 ans de relation.
Kimilefty75 a liké
- 03 mars 2025, 10:22
#2863862
@Olivierito Etais-tu comme moi à l’origine de l’arrêt ? … Qu’en est-il de tes dernières aventures avec une déesse Arabe ?
@Dionysos06 ta remarque est bienveillante à l’intention de mon ex-femme mais si nous étions amoureux, elle n’a jamais voulu m’être fidèle. C’est pourquoi elle a adhéré facilement à mes envies de libertinage et notre libido a explosé dès la première tentative. Après cette soirée, elle a recouché avec Philippe a son enterrement de vie de jeune fille.
Plutôt soumise au début, elle a pris un pouvoir et une assurance incroyable qui la rendait encore plus belle et désirable.
Le facteur X c’était lui, l’élément déclencheur, le mâle alpha qui a permit à Sandrine comme à moi d’assouvir nos envies sexuelles. C’est lui qui l’a guidé et rassuré qu’elle pouvait y aller à fond dans mon dos, que j’aimerais ça. C’est encore lui qui lui a présenté son collègue et supérieur, qu’elle a sucé dès le premier rendez-vous dans sa voiture.
Même s’il était très bon, elle a quand même préféré épouser le gentil garçon au doigté surtout utile pour la faire jouir.
Le plus excitant c’était de lâcher prise, que nos femmes et leurs amants finissent par tenir les clefs. Tout bon cocu rêve de cela… mais une fois à ce stade, l’égo en prend un coup et si on jouissaient tous comme des fous, j’avais quand même la sensation de n’avoir que les miettes.
J’ai prit peur lors d’une première tentative en club sur la côte après le déménagement … il y avait bien trop de facteurs X sur place
@Dionysos06 ta remarque est bienveillante à l’intention de mon ex-femme mais si nous étions amoureux, elle n’a jamais voulu m’être fidèle. C’est pourquoi elle a adhéré facilement à mes envies de libertinage et notre libido a explosé dès la première tentative. Après cette soirée, elle a recouché avec Philippe a son enterrement de vie de jeune fille.
Plutôt soumise au début, elle a pris un pouvoir et une assurance incroyable qui la rendait encore plus belle et désirable.
Le facteur X c’était lui, l’élément déclencheur, le mâle alpha qui a permit à Sandrine comme à moi d’assouvir nos envies sexuelles. C’est lui qui l’a guidé et rassuré qu’elle pouvait y aller à fond dans mon dos, que j’aimerais ça. C’est encore lui qui lui a présenté son collègue et supérieur, qu’elle a sucé dès le premier rendez-vous dans sa voiture.
Même s’il était très bon, elle a quand même préféré épouser le gentil garçon au doigté surtout utile pour la faire jouir.
Le plus excitant c’était de lâcher prise, que nos femmes et leurs amants finissent par tenir les clefs. Tout bon cocu rêve de cela… mais une fois à ce stade, l’égo en prend un coup et si on jouissaient tous comme des fous, j’avais quand même la sensation de n’avoir que les miettes.
J’ai prit peur lors d’une première tentative en club sur la côte après le déménagement … il y avait bien trop de facteurs X sur place
- 03 mars 2025, 20:23
#2864017
@Kimilefty75 merci à toi pour toutes ces précisions.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 11 mars 2025, 22:58
#2866007
La première fois a été plutôt difficile, la deuxième incongrue mais parfaite.
La troisième fois, c’était chez lui par terre.
Enlèves ses talons, elle me flingue les cuisses … me disait-il.
À cheval sur la queue de mon pote, elle profitait la coquine, elle avait beaucoup de plaisir.
Elle était à poil avec juste un large serre taille blanc et bas assortis, sans oublier ses escarpins de pute. Il faut dire que nous savions ce que nous allions faire chez lui ce soir là.
Je lui ai bouffé le cul, il était trempé déjà offert, déjà dilaté, je l’ai doigté avant de bien l’enculer comme un chien.
Avec Philippe, nous en avons bien profité car elle ne pouvait pas bouger. Une fois qu’elle avait joui, elle nous demandait, allez y les garçons mais cette fois-là nous n’obéissons pas. Enfin lui, car moi je me suis lâché assez vite, c’était si bon de lui remplir le cul.
M’enfin, revenons sur la deuxième double.
Elle fût basculé de côté sur notre table de cuisine, tout habillé, déjà double pénétré comme préliminaire à cette soirée.
Pourtant, on s’était promis d’y aller doucement de profiter du climat avant de la baiser.
Elle mouillait tellement quand on a commencé à l’embrasser. Elle écartait déjà et nos mains ne pouvait que constater les dégâts de notre présence à ses cotés.
…
Alors qu’il la caressait debout, tout en lui roulant une grosse pelle devant moi, nous avons eu tous les deux la même idée de lui mettre la main à la salle de jeux … elle dégoulinait.
Notre reine était doublement satisfaite de ses deux chevaliers.
J’ai découvert bien après que ma femme était une femme fontaine. En fait, elle dégoulinait dès le début, elle était tellement trempée qu’elle coulait mais nous ne savons pas ce que c’était à l’époque.
À suivre…
La troisième fois, c’était chez lui par terre.
Enlèves ses talons, elle me flingue les cuisses … me disait-il.
À cheval sur la queue de mon pote, elle profitait la coquine, elle avait beaucoup de plaisir.
Elle était à poil avec juste un large serre taille blanc et bas assortis, sans oublier ses escarpins de pute. Il faut dire que nous savions ce que nous allions faire chez lui ce soir là.
Je lui ai bouffé le cul, il était trempé déjà offert, déjà dilaté, je l’ai doigté avant de bien l’enculer comme un chien.
Avec Philippe, nous en avons bien profité car elle ne pouvait pas bouger. Une fois qu’elle avait joui, elle nous demandait, allez y les garçons mais cette fois-là nous n’obéissons pas. Enfin lui, car moi je me suis lâché assez vite, c’était si bon de lui remplir le cul.
M’enfin, revenons sur la deuxième double.
Elle fût basculé de côté sur notre table de cuisine, tout habillé, déjà double pénétré comme préliminaire à cette soirée.
Pourtant, on s’était promis d’y aller doucement de profiter du climat avant de la baiser.
Elle mouillait tellement quand on a commencé à l’embrasser. Elle écartait déjà et nos mains ne pouvait que constater les dégâts de notre présence à ses cotés.
…
Alors qu’il la caressait debout, tout en lui roulant une grosse pelle devant moi, nous avons eu tous les deux la même idée de lui mettre la main à la salle de jeux … elle dégoulinait.
Notre reine était doublement satisfaite de ses deux chevaliers.
J’ai découvert bien après que ma femme était une femme fontaine. En fait, elle dégoulinait dès le début, elle était tellement trempée qu’elle coulait mais nous ne savons pas ce que c’était à l’époque.
À suivre…
- 12 mars 2025, 10:49
#2866105
La deuxième fois suite …
À l’arrivée de Phillipe, je lui ai dit que si c’était si tendu que ça avec son boss, il avait qu’à venir jouer avec nous et je me suis pris un taquet.
Elle ne savait pas encore qu’ils allaient bien s’entendre pour la prendre à deux comme la défoncer en levrette sans moi, une soirée que j’ai déjà évoqué. Une position qu’elle affectionnait ailleurs avec eux, chacun son tour sans m’en dire davantage. Une forme de soumission à la débauche loin de notre mariage.
Sandrine ne voulait pas que ça aille trop vite, ni de juste servir d’objet sexuel à cause des tensions de son boulot. Pourtant pour lui c’est bien ce qu’elle était, un vide couille mais malgré cela, elle se sentait bien en sa présente. Sans faire obstacle à notre amour, elle avait des sentiments pour lui si tactile et charmant qui la dévorait des yeux.
Il y avait pas mal d’ambiguïté dans son comportement car elle aimait aussi que ce soit intense et de ne pas avoir le choix.
Elle ne voulait pas que ça aille trop vite, et pourtant, elle avait fait tout fait pour cela, habillée comme la salope qu’elle était.
Perchée sur des sandales indécentes, sa petite jupe plissée bleu marine, bas woolford et ridicule string aussi léger que transparent. Juste une brassière blanche qui masquer à peine ses tétons qui pointaient et son 90 C gonflé de désirs.
Alors qu’il sortait sa grosse queue le string trempée était déjà sur le sol de la cuisine. Il a commencé à la prendre debout sur le bord de la table. En quelques va et vients, elle gloussait de plaisir empalée sur cette queue déjà dure et impressionnante dans sa vulve dilatée.
La prendre en double pénétration ensuite sur la table de la cuisine, penché sur le côté, c’était finalement beaucoup plus facile que la première fois. Nos queues s’entrechoquaient en elle, je le sentais bien car il prenait tellement de place le salauds.
Accroches toi lui a-t-il ordonner et il la emmener toujours leurs deux sexes en communions dans le salon pour continuer de la baiser sur le canapé.
Je goûtais maintenant du spectacle en gros plan confortablement installé dans mon fauteuil.
Missionnaire pour commencer, elle le chevauchait ensuite, j’apercevais sa vulve, gonflé, bien prise par cette grosse bite. Il lui caressait les seins qu’il dégustait quand il n’était pas sur sa bouche. Son endurance était impressionnante mais il a fini par jouir en la prenant en levrette avec des grands coups de buttoirs qu’elle appréciait tant.
J’adorais sa façon de vociférer en l’insultant, il avait ma bénédiction. J’étais si fier qu’il prenne tant de plaisir avec ma salope. Ses mots tombait à propos pour la chienne qui lui donnait tant de plaisir comme pour son moi qui jubilait alors qu’il l’inondait de son foutre.
C’était beau, ils baissaient super bien et je me suis branlé et joui dessus une nouvelle fois avec un grand plaisir égoïste.
À l’arrivée de Phillipe, je lui ai dit que si c’était si tendu que ça avec son boss, il avait qu’à venir jouer avec nous et je me suis pris un taquet.
Elle ne savait pas encore qu’ils allaient bien s’entendre pour la prendre à deux comme la défoncer en levrette sans moi, une soirée que j’ai déjà évoqué. Une position qu’elle affectionnait ailleurs avec eux, chacun son tour sans m’en dire davantage. Une forme de soumission à la débauche loin de notre mariage.
Sandrine ne voulait pas que ça aille trop vite, ni de juste servir d’objet sexuel à cause des tensions de son boulot. Pourtant pour lui c’est bien ce qu’elle était, un vide couille mais malgré cela, elle se sentait bien en sa présente. Sans faire obstacle à notre amour, elle avait des sentiments pour lui si tactile et charmant qui la dévorait des yeux.
Il y avait pas mal d’ambiguïté dans son comportement car elle aimait aussi que ce soit intense et de ne pas avoir le choix.
Elle ne voulait pas que ça aille trop vite, et pourtant, elle avait fait tout fait pour cela, habillée comme la salope qu’elle était.
Perchée sur des sandales indécentes, sa petite jupe plissée bleu marine, bas woolford et ridicule string aussi léger que transparent. Juste une brassière blanche qui masquer à peine ses tétons qui pointaient et son 90 C gonflé de désirs.
Alors qu’il sortait sa grosse queue le string trempée était déjà sur le sol de la cuisine. Il a commencé à la prendre debout sur le bord de la table. En quelques va et vients, elle gloussait de plaisir empalée sur cette queue déjà dure et impressionnante dans sa vulve dilatée.
La prendre en double pénétration ensuite sur la table de la cuisine, penché sur le côté, c’était finalement beaucoup plus facile que la première fois. Nos queues s’entrechoquaient en elle, je le sentais bien car il prenait tellement de place le salauds.
Accroches toi lui a-t-il ordonner et il la emmener toujours leurs deux sexes en communions dans le salon pour continuer de la baiser sur le canapé.
Je goûtais maintenant du spectacle en gros plan confortablement installé dans mon fauteuil.
Missionnaire pour commencer, elle le chevauchait ensuite, j’apercevais sa vulve, gonflé, bien prise par cette grosse bite. Il lui caressait les seins qu’il dégustait quand il n’était pas sur sa bouche. Son endurance était impressionnante mais il a fini par jouir en la prenant en levrette avec des grands coups de buttoirs qu’elle appréciait tant.
J’adorais sa façon de vociférer en l’insultant, il avait ma bénédiction. J’étais si fier qu’il prenne tant de plaisir avec ma salope. Ses mots tombait à propos pour la chienne qui lui donnait tant de plaisir comme pour son moi qui jubilait alors qu’il l’inondait de son foutre.
C’était beau, ils baissaient super bien et je me suis branlé et joui dessus une nouvelle fois avec un grand plaisir égoïste.
- 20 mars 2025, 00:39
#2868022
Le plus excitant et frustrant à la fois, c’est une fois que Madame fut conviée régulièrement sans moi à des petits plans privés entre hommes
Dire que j’en avais fantasmé... c’était son jardin secret où elle s’épanouissait sexuellement .
Je n’ai pas voulu casser l’ambiance et passer pour un con quand Philippe m’en a parlé clairement bienveillamment.
On peut continuer ?
Dire que j’en avais fantasmé... c’était son jardin secret où elle s’épanouissait sexuellement .
Je n’ai pas voulu casser l’ambiance et passer pour un con quand Philippe m’en a parlé clairement bienveillamment.
On peut continuer ?
- 20 mars 2025, 16:51
#2868165
Oui … il pouvait continuer, de toute façon je n’avais plus le choix. J’étais beaucoup plus jeune, et il n’y avait pas ce genre de site pour comprendre ce qui se passait dans ma tête.
Les salauds pouvaient être de plus en plus inventifs et ambitieux car elle se donnait totalement à eux.
Avec mes déplacements professionnels, il m’arrivait de lui dire que cela ferait plaisir à Sandrine, qu’il passe la chercher à la parfumerie un soir par exemple.
Philippe avait bien compris que je n’étais pas au courant de tout mais derrière les paroles et les actes de ma femme, il sentait mon approbation, et que j’étais à l’origine de ses tenues. Parfois, ce n’était pas faux, j’échangeais avec elle pour lui donner mon avis. Esthéticienne, elle était toujours hyper soignée, un vrai régal pour ses amants comme pour moi.
De mon côté, je n’avais pas envie d’avoir trop de détails, juste de savoir l’essentiel où ? quand ? avec qui ? Comment c’était ? … ses paroles me faisait jouir instantanément lorsque nous faisions l’amour.
je n’avais plus le choix. J’étais beaucoup plus jeune, et il n’y avait pas ce genre de site pour comprendre ce qui se passait dans ma tête.Les salauds pouvaient être de plus en plus inventifs et ambitieux car elle se donnait totalement à eux.
Avec mes déplacements professionnels, il m’arrivait de lui dire que cela ferait plaisir à Sandrine, qu’il passe la chercher à la parfumerie un soir par exemple.
Philippe avait bien compris que je n’étais pas au courant de tout mais derrière les paroles et les actes de ma femme, il sentait mon approbation, et que j’étais à l’origine de ses tenues. Parfois, ce n’était pas faux, j’échangeais avec elle pour lui donner mon avis. Esthéticienne, elle était toujours hyper soignée, un vrai régal pour ses amants comme pour moi.
De mon côté, je n’avais pas envie d’avoir trop de détails, juste de savoir l’essentiel où ? quand ? avec qui ? Comment c’était ? … ses paroles me faisait jouir instantanément lorsque nous faisions l’amour.
- 23 mars 2025, 08:39
#2868829
@Kimilefty75 torride tout ceci.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 26 mars 2025, 23:04
#2869958
Si Sandrine avait dû répondre à un questionnaire Hot Wife comme celui superbe de Candieprune
voilà les réponses qu’elle aurait pu donner :
Plutôt douce et soumise, elle aimait être dominer en levrette avec ses amants.
Ce qui l’excitait, c’est qu’ils savaient ce qu’ils voulaient, d’être a leur merci, de ne pas avoir le choix et de pouvoir ainsi lâcher prise.
L’apothéose pour elle c’était la double pénétration avec eux comme les attitudes et mots directs et crues dans le feu de l’action. L’absence de préliminaires, nos jeux en était un bien plus long et puissant comme que je l’accompagne dans leurs délires puis de ne plus être là.
Si elle m’a trompé avant, et après le mariage, ce n’était pas spécialement pour me tromper à l’époque, juste des circonstances. Elle n’a eu que 2 amants avant qu’on se quitte.
Elle n’avait pas du tout envie de se faire passer pour sa femme, mais appréciait être sa maîtresse et de s’habiller très sexy, comme de porter de la belle lingerie, des bas, des talons.
Elle aimait particulièrement qui lui dise comment s’habiller et de ne pas avoir à choisir.
Pour des raisons pratiques, elle n’aimait pas sortir sans culotte mais quand ses deux amants lui demandait, elle le faisait.
Elle n’aimait pas la pornographie mais on regardait un peu avec moi, sans scénarios bidons surtout des trios et gangbangs car moi j’ai toujours aimer cela.
Pas de jeu de rôle, si ce n’est de la soumission.
Peu de sextoys, ni les discussions virtuelles, ni les jeux, rôle, ni d’être attaché … elle préférait être tenu fermement sans lien par un homme qui sait ce qu’il veut, qui le prend et qui l’obtient.
Elle n’avait aucune envie de rencontrer plein d’hommes, déjà pour Tony, c’était pas gagné et elle a fini par raffoler.
Notamment pour la sodomie sans en refoler.
Elle avalait sans que ce soit son kiff plus pour faire plaisir, ou quand elle n’avait pas le choix.
Elle préférait toujours que nous jouissions en elle et moi en missionnaire.
Que de l’abstinence subit lorsque qu’elle avait envie de rapports sauvages et que ses amants étaient indisponibles.
Elle n’avait aucune envie d’essayer avec un black comme avec une femme, et surtout pas avec une femme. Trois hommes faisait partie de ses fantasmes mais sans moi et pas un gang bang. Le dogging nous savions pas ce que c’était, ce n’aurait pas été son truc ni le mien.
Elle se considérait pas comme une salope, mais comme Ma salope et Leur chienne. Elle me disait que j’étais partageur, nous ne connaissions pas le terme candaulisme et elle aurait aimé que Philippe lui fasse connaître d’autres expériences et rencontrer d’autres hommes, qu’il soit finalement encore plus directif et imaginatif qu’il a pu l’être.
Un lieu particulier où elle a fait l’amour ?
Je n’ai pas tout su ( cocu ) mais il y a eu un cinéma avec eux deux.
Elle n’avait pas spécialement envie de passer un week-end avec lui en amoureux, et quand c’est arrivé cela n’a pas été le grand kif. Ce qu’il l’a le plus excité, c’est que je lui offre le billet d’avion, même si c’était dans l’air, nous avions déménager, que je le provoque, que je l’emmène à l’aéroport et que je vienne la rechercher.
C’était divin à son retour et fini avec lui.
voilà les réponses qu’elle aurait pu donner :
Plutôt douce et soumise, elle aimait être dominer en levrette avec ses amants.
Ce qui l’excitait, c’est qu’ils savaient ce qu’ils voulaient, d’être a leur merci, de ne pas avoir le choix et de pouvoir ainsi lâcher prise.
L’apothéose pour elle c’était la double pénétration avec eux comme les attitudes et mots directs et crues dans le feu de l’action. L’absence de préliminaires, nos jeux en était un bien plus long et puissant comme que je l’accompagne dans leurs délires puis de ne plus être là.
Si elle m’a trompé avant, et après le mariage, ce n’était pas spécialement pour me tromper à l’époque, juste des circonstances. Elle n’a eu que 2 amants avant qu’on se quitte.
Elle n’avait pas du tout envie de se faire passer pour sa femme, mais appréciait être sa maîtresse et de s’habiller très sexy, comme de porter de la belle lingerie, des bas, des talons.
Elle aimait particulièrement qui lui dise comment s’habiller et de ne pas avoir à choisir.
Pour des raisons pratiques, elle n’aimait pas sortir sans culotte mais quand ses deux amants lui demandait, elle le faisait.
Elle n’aimait pas la pornographie mais on regardait un peu avec moi, sans scénarios bidons surtout des trios et gangbangs car moi j’ai toujours aimer cela.
Pas de jeu de rôle, si ce n’est de la soumission.
Peu de sextoys, ni les discussions virtuelles, ni les jeux, rôle, ni d’être attaché … elle préférait être tenu fermement sans lien par un homme qui sait ce qu’il veut, qui le prend et qui l’obtient.
Elle n’avait aucune envie de rencontrer plein d’hommes, déjà pour Tony, c’était pas gagné et elle a fini par raffoler.
Notamment pour la sodomie sans en refoler.
Elle avalait sans que ce soit son kiff plus pour faire plaisir, ou quand elle n’avait pas le choix.
Elle préférait toujours que nous jouissions en elle et moi en missionnaire.
Que de l’abstinence subit lorsque qu’elle avait envie de rapports sauvages et que ses amants étaient indisponibles.
Elle n’avait aucune envie d’essayer avec un black comme avec une femme, et surtout pas avec une femme. Trois hommes faisait partie de ses fantasmes mais sans moi et pas un gang bang. Le dogging nous savions pas ce que c’était, ce n’aurait pas été son truc ni le mien.
Elle se considérait pas comme une salope, mais comme Ma salope et Leur chienne. Elle me disait que j’étais partageur, nous ne connaissions pas le terme candaulisme et elle aurait aimé que Philippe lui fasse connaître d’autres expériences et rencontrer d’autres hommes, qu’il soit finalement encore plus directif et imaginatif qu’il a pu l’être.
Un lieu particulier où elle a fait l’amour ?
Je n’ai pas tout su ( cocu ) mais il y a eu un cinéma avec eux deux.
Elle n’avait pas spécialement envie de passer un week-end avec lui en amoureux, et quand c’est arrivé cela n’a pas été le grand kif. Ce qu’il l’a le plus excité, c’est que je lui offre le billet d’avion, même si c’était dans l’air, nous avions déménager, que je le provoque, que je l’emmène à l’aéroport et que je vienne la rechercher.
C’était divin à son retour et fini avec lui.
- 27 mars 2025, 07:21
#2869994
@Kimilefty75 merci pour toutes ces précisions fort intéressantes.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 02 avr. 2025, 23:15
#2872015
Je pense que l’instant fondateur de notre couple candauliste c’est quand j’ai osé lui dire que j’avais envie qu’elle le voit sans moi … Philippe me l’avait soufflé et j’en avait envie aussi sabs en mesurer les conséquences
Puis quand très excité par ma révélation et en me chevauchant pour se donner du plaisir, elle m’a avouée que c’était déjà fait
Une libération mutuelle qui a permis toutes les excentricités futures
Puis quand très excité par ma révélation et en me chevauchant pour se donner du plaisir, elle m’a avouée que c’était déjà fait
Une libération mutuelle qui a permis toutes les excentricités futures
- 03 avr. 2025, 06:59
#2872039
@Kimilefty75 merci pour ces belles explications.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 03 avr. 2025, 15:41
#2872189
Pour le coup, elle t'a vraiment fait cocu
Kimilefty75 a écrit :Je pense que l’instant fondateur de notre couple candauliste c’est quand j’ai osé lui dire que j’avais envie qu’elle le voit sans moi … Philippe me l’avait soufflé et j’en avait envie aussi sabs en mesurer les conséquences
Puis quand très excité par ma révélation et en me chevauchant pour se donner du plaisir, elle m’a avouée que c’était déjà fait
Une libération mutuelle qui a permis toutes les excentricités futures
Pour le coup, elle t'a vraiment fait cocu
Kimilefty75 a liké