- 24 mars 2025, 13:10
#2869319
La suite du diner
L’air devint électrique. Sophie se leva, s’approcha de moi, ses doigts frôlant ma nuque. « On commence toutes les deux, » souffla-t-elle, son souffle tiède contre mon oreille. Elle m’entraîna vers le canapé, et je me laissai guider, le corps déjà vibrant d’anticipation. Ses mains, délicates mais assurées, déboutonnèrent mon chemisier, libérant mes seins lourds qui se balancèrent légèrement. Elle les prit dans ses paumes, caressant mes tétons avec ses pouces. Une chaleur douce monta en moi, et je sentis mes mamelons durcir sous ses doigts, un frisson me parcourant la poitrine.
Lucas, assis à côté, tendit une main pour effleurer mes cuisses pleines, remontant doucement vers mes hanches. Il ne faisait que caresser, pour l’instant, et j’aimais cette retenue qui laissait Sophie prendre les devants. Elle pencha la tête, ses lèvres capturant un téton, le suçant avec une lenteur qui me fit gémir. Sa langue tournait autour, humide et chaude, et je sentais mon sexe pulser sous mon jean, une moiteur grandissante entre mes jambes. Puis, sa main glissa vers mon entrejambe, frottant mon clitoris à travers le tissu. « T’es déjà toute mouillée, » murmura-t-elle, un éclat coquin dans les yeux.
Je n’en pouvais plus. Dans un élan, je l’attrapai par les épaules et l’embrassai voracement, ma langue plongeant dans sa bouche avec une faim brute. Sophie gémit, surprise, ses mains s’emmêlant dans mes cheveux. Elle défit mon pantalon, glissant deux doigts dans ma chatte trempée. Ils s’enfoncèrent doucement, explorant mes parois humides, et elle trouva ce point sensible qui me fit tressaillir. Ses mouvements étaient lents, précis, et je sentais la pression monter, une boule de plaisir qui grossissait dans mon bas-ventre. Mes hanches ondulaient d’elles-mêmes, mes seins lourds frémissant à chaque vague, et je jouis dans un cri étouffé, les cuisses tremblantes, le corps secoué par une déferlante de chaleur.
À peine remise, je voulais la goûter. « À toi, » soufflai-je, encore essoufflée. Sophie s’allongea sur le canapé, écartant les jambes avec une assurance naturelle. Son corps athlétique était sublime : ses cuisses fermes, son ventre plat, et ses seins généreux qui pointaient sous son haut relevé. Je baissai son legging et sa culotte, découvrant sa chatte lisse, déjà brillante d’excitation. Je posai ma bouche dessus, humant son odeur musquée avant de glisser ma langue entre ses lèvres. Elle était chaude, humide, et son goût salé me fit frissonner.
Je léchai son clito, doucement d’abord, puis plus fort, le sentant gonfler sous ma langue. Sophie gémissait, ses doigts tirant sur mes cheveux, et je la sentais se tendre, son bassin se pressant contre mon visage. Je suçai son bouton, l’aspirant entre mes lèvres, et elle jouit dans un cri aigu, ses cuisses se refermant autour de ma tête alors que son corps tremblait.
Quelque part derrière la porte, je savais qu’Antoine était là, mon cocu adoré, peut-être le verre à la main, écoutant mes gémissements étouffés. L’idée qu’il soit réduit à ce rôle, exclu mais témoin malgré lui, me pinçait le cœur autant qu’elle m’enflammait. Il avait accepté ça, mon plaisir avec d’autres, mais ce mot, "cocu", que Sophie avait lâché si durement, résonnait dans ma tête. Ça m’excitait, oui, mais une petite voix me soufflait que je le regretterais plus tard.
Sophie, encore haletante, se redressa et lança un regard malicieux à Lucas. « Hé bé, mon taureau, on t’oublie ? » dit-elle en riant. Il était resté en retrait, mais son boxer tendu trahissait son excitation. Sophie et moi nous approchâmes à quatre pattes sur le tapis. Elle baissa son sous-vêtement, libérant sa queue massive, longue et épaisse, les veines saillantes sous la peau tendue. « Putain, quel engin, » murmurai-je, fascinée par sa taille.
On s’y mit ensemble. Sophie le prit en bouche, ses lèvres s’étirant autour de son gland luisant, tandis que je léchais ses couilles pleines, les caressant avec ma langue. Puis on échangea : je fis glisser ma langue le long de sa verge, savourant sa chaleur et sa fermeté, avant de le prendre dans ma bouche. Il était si gros que mes joues se creusaient, et je sentais son pouls battre contre ma langue. Sophie, à côté, le branlait à la base, ses doigts serrés autour de son manche. Lucas grognait, ses mains crispées sur nos têtes, et je sentais son sexe gonfler encore, prêt à exploser.
Sophie, encore haletante, se redressa et lança un regard malicieux à Lucas. « Hé bé, mon taureau, on t’oublie ? » dit-elle en riant. Il était resté en retrait, mais je sentais ses yeux sur moi, détaillant mes formes avec une intensité qui me faisait frissonner. Son boxer tendu trahissait son excitation, mais ce qui me troublait davantage, c’était la façon dont il admirait mes courbes – mes hanches pleines, mes seins lourds qui débordaient presque de mon chemisier entrouvert. Il ne disait rien, mais son regard parlait pour lui : il aimait ce qu’il voyait, et ça me donnait une assurance brûlante. Sophie et moi nous approchâmes à quatre pattes sur le tapis, et elle baissa son sous-vêtement, libérant sa queue massive, longue et épaisse, les veines saillantes sous la peau tendue. « Putain, quel engin, » murmurai-je, fascinée par sa taille, tandis que ses yeux ne quittaient pas mon corps.
On s’y mit ensemble. Sophie le prit en bouche, ses lèvres s’étirant autour de son gland luisant, pendant que je léchais ses couilles pleines, les caressant avec ma langue. Lucas grogna doucement, et je levai les yeux pour croiser son regard : il me fixait, un sourire discret au coin des lèvres, comme s’il savourait autant mes courbes que mes gestes. Puis on échangea : je fis glisser ma langue le long de sa verge, savourant sa chaleur et sa fermeté, avant de le prendre dans ma bouche. Il était si gros que mes joues se creusaient, et je sentais son pouls battre contre ma langue, ses mains se crispant sur nos têtes. Sophie, à côté, le branlait à la base, ses doigts serrés autour de son manche, et je voyais dans ses yeux qu’il appréciait chaque ondulation de mon corps, chaque tremblement de mes seins pendant que je m’activais. Son sexe gonflait encore, prêt à exploser, et je me sentais désirée comme jamais.
Sophie s’allongea sur le dos, écartant les cuisses. « Viens, mon taureau, » l’appela-t-elle. Lucas se plaça entre ses jambes, frottant sa queue contre sa chatte avant de s’enfoncer lentement. Elle gémit fort, ses seins rebondissant à chaque coup de reins, mais même là, je sentais qu’il me jetait des coups d’œil, admirant la façon dont mes formes s’étalaient sur le tapis. Il se retira, encore raide, et se tourna vers moi, ses yeux plongeant dans les miens avec une lueur de désir brut.
Je me mis sur le dos, jambes écartées, offrant ma chatte trempée. Lucas s’approcha, ses mains puissantes agrippant mes hanches pleines, et je vis son regard s’attarder sur mes cuisses épaisses, mon ventre rond, mes seins qui s’étalaient sous leur propre poids. « T’es magnifique, » murmura-t-il, presque pour lui-même, avant d’entrer en moi doucement, laissant mon corps s’habituer à sa taille. Chaque centimètre me remplissait, étirant mes parois avec une pression délicieuse, et je gémissais à chaque mouvement, sentant ses yeux me dévorer autant que son sexe me prenait. Il accéléra, ses coups devenant plus profonds, plus rythmés, et je sentais mes seins lourds tanguer sous l’assaut, une chaleur intense irradiant de mon ventre. Sophie glissa une main entre nous, frottant mon clito avec ses doigts agiles, et je perdis pied. L’orgasme me frappa comme une vague, mes cuisses tremblant autour de Lucas alors qu’il continuait à me pilonner, son regard toujours fixé sur mes courbes qui s’agitaient sous lui. Il grogna, son sexe pulsant en moi, et je sentis ses jets chauds me remplir, prolongeant mon plaisir dans une extase brûlante.
Et pourtant, en cet instant, alors que mon corps vibrait encore sous l’étreinte de Lucas, une pensée me traversa. J’aime Antoine, profondément, d’un amour qui dépasse ces moments de chair. Mais ce qu’il ne peut me donner, cette sauvagerie, cette intensité brute qui me fait me sentir vivante, c’est ce que le candaulisme m’apporte. Antoine, avec sa tendresse et sa bedaine rassurante, ne peut pas rivaliser avec le physique de Lucas – ce mètre quatre-vingt-dix de muscles bronzés, cette puissance animale qui me submerge. Il le sait, et il m’offre cette liberté parce qu’il m’aime. Mais moi, j’ai besoin de ça, de ces taureaux qui me labourent là où lui ne suffit plus. C’est une évidence, une faim que je ne peux nier, même si mon cœur reste ancré à lui.