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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Bardoine
#2858845
Petit flashback pour une vieille anecdote.

Avant d’expérimenter le candaulisme avec mon conjoint, alors que cela n’était encore qu’un fantasme, mon mari et moi préparions un déménagement.

Un matin, un employé de la société de déménagement était venu déposer des cartons chez nous.
C’était un beau gosse, châtain clair, environ 1m90, musclé, dans la force de l’âge, sans doute entre 25 et 30 ans. Toute la journée, je repensais à lui et son physique.

Le soir, Antoine et moi faisions l’amour avec entrain, et, dans l’élan du moment, il lâcha une phrase un brin clichée : "Il faut que je te démonte avant le déménagement."

Sauf que, dans mon esprit, ce n’était pas Antoine qui me "démontait", mais ce séduisant déménageur… Je l’imaginais en train de me soulever avec la même facilité qu’il pourrait porter nos cartons, me plaquer contre un mur comme une simple étagère à fixer, me faire trembler comme une vieille armoire mal vissée... Cette pensée m’excitait terriblement.

Je voyais Antoine savourer mon plaisir, mais ce frisson qui parcourait mon corps, cette tension qui me faisait me cambrer sous lui… il n’en était pas vraiment la source. Je savourais cette petite tromperie, douce et inoffensive, un fantasme caché entre deux coups de reins, comme un meuble renferme un tiroir secret.

Le jour du déménagement arriva, et, à ma grande tristesse, ce ne fut pas lui qui se présenta, mais d’autres déménageurs.
Heureusement, ils étaient tous aussi solides, tous aussi bien bâtis. De grands hommes aux muscles saillants, leurs bras fermes soulevant sans effort nos meubles les plus lourds. Je les regardais faire, fascinée par leur maîtrise, par cette manière presque sensuelle de manipuler les objets, de les basculer, de les emboîter pour optimiser l’espace dans le camion.

Un fantasme plus osé me traversa l’esprit… et si, cette fois, c’étaient eux qui me soulevaient, eux qui me démontaient, eux qui me faisaient perdre pied ? Une scène presque irréelle, où je me retrouvais, moi aussi, à être transportée, manipulée, vidée…
Mais je chassai vite cette pensée. J’étais encore trop prude pour fantasmer sur un plan à plusieurs. Trop sage pour imaginer qu’ils pourraient me livrer plus qu’un simple service.

Pourtant, alors que l’un d’eux me lança un sourire en coin après avoir porté un meuble particulièrement encombrant, je sentis une chaleur familière s’installer en moi. Peut-être qu’un jour, j’oserais aller plus loin… Peut-être qu’Antoine, lui aussi, prendrait plaisir à me voir être prise en charge par d’autres mains.

Mais ce jour-là, je me contentai d’observer, savourant à nouveau cette douce et délicieuse tension… Comme un meuble prêt à être monté, mais encore soigneusement emballé...

Fin du flashback
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par LeCouple
#2858871
@Bardoine Merci de cet interlude exquis, vibrations passées d'actes à venir
Bardoine a liké
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par Dionysos06
#2861056
@Bardoine merci pour ce retour en arrière si charmant et teinté d'un érotisme sage qui allait plus tard cesser de l'être.
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par Bardoine
#2867890
Un dîner qui dérape

Ce soir-là, un dîner chez nous avec Lucas et Sophie avait commencé comme une soirée ordinaire. Antoine avait débouché un côte-de-nuit, fier de son choix, et l’odeur du vin rouge se mêlait à celle de l’entrecôte grillée. Sophie, assise en face de moi, était magnifique : son corps athlétique moulé dans un chemisier mettait en valeur sa poitrine généreuse (90E), et une douceur presque magnétique émanait d’elle. Ses cheveux châtains ondulaient sur ses épaules, et son sourire me faisait fondre. Lucas, à ses côtés, avec sa carrure imposante et son air décontracté, semblait prêt à tout.

La conversation roulait tranquillement. Antoine, exploitant agricole, parla de son travail avec ses bêtes. « J’ai l’habitude de trouver des beaux taureaux pour mes vaches, » lança-t-il avec un rire, avant d’ajouter, les yeux pétillants, « et Agathe, c’est ma belle vache à moi ! » Je lui donnai une petite tape sur le bras, gênée mais amusée. Sophie révéla qu’elle était professeure, sa voix posée trahissant une intelligence calme. Moi, je glissai que j’étais secrétaire administrative à mi-temps dans une mairie, un job discret qui me laissait du temps libre. Lucas, lui, se présenta comme développeur freelance, ce qui collait à son allure d’homme libre.

Puis, Sophie changea l’atmosphère. Elle posa sa fourchette, se tourna vers Antoine avec un sourire doux mais ferme. « Antoine, merci pour ce dîner, c’est vraiment délicieux. Mais… pour la suite, je préférerais que tu nous laisses. Ce qu’on va faire avec Lucas et Agathe, je ne veux pas t’y inclure. » Sa voix était pleine de tact, presque caressante, mais sans appel. Antoine cligna des yeux, un peu déstabilisé, mais hocha la tête. « D’accord, je comprends, » dit-il en se levant, emportant son verre de vin pour s’éclipser dans la pièce voisine.

Quand la porte se referma, mon cœur s’accéléra. L’idée qu’il soit là, exclu mais si proche, me troublait. Ça me gênait, oui, mais ça m’excitait aussi, comme une vague chaude qui montait dans mon ventre. Sophie, elle, ne perdit pas de temps. « Franchement, je vais quand même pas coucher avec un cocu, » lâcha-t-elle, une dureté soudaine dans le ton, loin de sa douceur habituelle. Ces mots me frappèrent comme une gifle, et sur le moment, ils me firent frissonner de désir brut. Plus tard, en écrivant ça, je me sentirais mal pour Antoine, regrettant de ne pas avoir réagi à cette remarque cinglante.

Sophie se tourna vers moi, ses yeux glissant sur ma peau blanche qui brillait presque sous la lumière. « Agathe, ta peau… elle est si fraîche, si pure, » murmura-t-elle, ses doigts effleurant mon bras. « Ton physique, j’adore ça. Ces courbes, cette poitrine… » Elle désigna mon 105E avec une admiration sincère. Je rougis, flattée, mon pouls s’accélérant sous son regard. Lucas renchérit avec un sourire. « Elle a raison. Et moi, je suis bien membré, un vrai taureau, pas vrai ? » Sophie éclata de rire. « Oh oui, un sacré taureau ! »

A suivre ... :x
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par Dionysos06
#2868826
@Bardoine toujours très plaisant de lire tes récits si bien ciselés. Tu décris parfaitement les situations et les sentiments des participants ; et toujours avec beaucoup de tendresse pour tous ceux (et toutes celles) qui croisent ta route libertine.
Je vais, par contre, me montrer critique vis-à-vis de Sophie... du moins en fonction de ce que tu en dis dans ce début de récit. Je trouve son attitude par rapport à Antoine intentionnellement cruelle et méchante. Et il ne le mérite absolument pas. Elle manifeste un sentiment de supériorité vis-à-vis de lui parcequ'elle est professeure qui m'insupporte totalement. Sentiment inepte et déplacé car je doute qu'elle soit la grande intellectuelle que son orgueil croit qu'elle est.
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par Bardoine
#2869319
La suite du diner

L’air devint électrique. Sophie se leva, s’approcha de moi, ses doigts frôlant ma nuque. « On commence toutes les deux, » souffla-t-elle, son souffle tiède contre mon oreille. Elle m’entraîna vers le canapé, et je me laissai guider, le corps déjà vibrant d’anticipation. Ses mains, délicates mais assurées, déboutonnèrent mon chemisier, libérant mes seins lourds qui se balancèrent légèrement. Elle les prit dans ses paumes, caressant mes tétons avec ses pouces. Une chaleur douce monta en moi, et je sentis mes mamelons durcir sous ses doigts, un frisson me parcourant la poitrine.

Lucas, assis à côté, tendit une main pour effleurer mes cuisses pleines, remontant doucement vers mes hanches. Il ne faisait que caresser, pour l’instant, et j’aimais cette retenue qui laissait Sophie prendre les devants. Elle pencha la tête, ses lèvres capturant un téton, le suçant avec une lenteur qui me fit gémir. Sa langue tournait autour, humide et chaude, et je sentais mon sexe pulser sous mon jean, une moiteur grandissante entre mes jambes. Puis, sa main glissa vers mon entrejambe, frottant mon clitoris à travers le tissu. « T’es déjà toute mouillée, » murmura-t-elle, un éclat coquin dans les yeux.

Je n’en pouvais plus. Dans un élan, je l’attrapai par les épaules et l’embrassai voracement, ma langue plongeant dans sa bouche avec une faim brute. Sophie gémit, surprise, ses mains s’emmêlant dans mes cheveux. Elle défit mon pantalon, glissant deux doigts dans ma chatte trempée. Ils s’enfoncèrent doucement, explorant mes parois humides, et elle trouva ce point sensible qui me fit tressaillir. Ses mouvements étaient lents, précis, et je sentais la pression monter, une boule de plaisir qui grossissait dans mon bas-ventre. Mes hanches ondulaient d’elles-mêmes, mes seins lourds frémissant à chaque vague, et je jouis dans un cri étouffé, les cuisses tremblantes, le corps secoué par une déferlante de chaleur.

À peine remise, je voulais la goûter. « À toi, » soufflai-je, encore essoufflée. Sophie s’allongea sur le canapé, écartant les jambes avec une assurance naturelle. Son corps athlétique était sublime : ses cuisses fermes, son ventre plat, et ses seins généreux qui pointaient sous son haut relevé. Je baissai son legging et sa culotte, découvrant sa chatte lisse, déjà brillante d’excitation. Je posai ma bouche dessus, humant son odeur musquée avant de glisser ma langue entre ses lèvres. Elle était chaude, humide, et son goût salé me fit frissonner.

Je léchai son clito, doucement d’abord, puis plus fort, le sentant gonfler sous ma langue. Sophie gémissait, ses doigts tirant sur mes cheveux, et je la sentais se tendre, son bassin se pressant contre mon visage. Je suçai son bouton, l’aspirant entre mes lèvres, et elle jouit dans un cri aigu, ses cuisses se refermant autour de ma tête alors que son corps tremblait.

Quelque part derrière la porte, je savais qu’Antoine était là, mon cocu adoré, peut-être le verre à la main, écoutant mes gémissements étouffés. L’idée qu’il soit réduit à ce rôle, exclu mais témoin malgré lui, me pinçait le cœur autant qu’elle m’enflammait. Il avait accepté ça, mon plaisir avec d’autres, mais ce mot, "cocu", que Sophie avait lâché si durement, résonnait dans ma tête. Ça m’excitait, oui, mais une petite voix me soufflait que je le regretterais plus tard.

Sophie, encore haletante, se redressa et lança un regard malicieux à Lucas. « Hé bé, mon taureau, on t’oublie ? » dit-elle en riant. Il était resté en retrait, mais son boxer tendu trahissait son excitation. Sophie et moi nous approchâmes à quatre pattes sur le tapis. Elle baissa son sous-vêtement, libérant sa queue massive, longue et épaisse, les veines saillantes sous la peau tendue. « Putain, quel engin, » murmurai-je, fascinée par sa taille.
On s’y mit ensemble. Sophie le prit en bouche, ses lèvres s’étirant autour de son gland luisant, tandis que je léchais ses couilles pleines, les caressant avec ma langue. Puis on échangea : je fis glisser ma langue le long de sa verge, savourant sa chaleur et sa fermeté, avant de le prendre dans ma bouche. Il était si gros que mes joues se creusaient, et je sentais son pouls battre contre ma langue. Sophie, à côté, le branlait à la base, ses doigts serrés autour de son manche. Lucas grognait, ses mains crispées sur nos têtes, et je sentais son sexe gonfler encore, prêt à exploser.

Sophie, encore haletante, se redressa et lança un regard malicieux à Lucas. « Hé bé, mon taureau, on t’oublie ? » dit-elle en riant. Il était resté en retrait, mais je sentais ses yeux sur moi, détaillant mes formes avec une intensité qui me faisait frissonner. Son boxer tendu trahissait son excitation, mais ce qui me troublait davantage, c’était la façon dont il admirait mes courbes – mes hanches pleines, mes seins lourds qui débordaient presque de mon chemisier entrouvert. Il ne disait rien, mais son regard parlait pour lui : il aimait ce qu’il voyait, et ça me donnait une assurance brûlante. Sophie et moi nous approchâmes à quatre pattes sur le tapis, et elle baissa son sous-vêtement, libérant sa queue massive, longue et épaisse, les veines saillantes sous la peau tendue. « Putain, quel engin, » murmurai-je, fascinée par sa taille, tandis que ses yeux ne quittaient pas mon corps.

On s’y mit ensemble. Sophie le prit en bouche, ses lèvres s’étirant autour de son gland luisant, pendant que je léchais ses couilles pleines, les caressant avec ma langue. Lucas grogna doucement, et je levai les yeux pour croiser son regard : il me fixait, un sourire discret au coin des lèvres, comme s’il savourait autant mes courbes que mes gestes. Puis on échangea : je fis glisser ma langue le long de sa verge, savourant sa chaleur et sa fermeté, avant de le prendre dans ma bouche. Il était si gros que mes joues se creusaient, et je sentais son pouls battre contre ma langue, ses mains se crispant sur nos têtes. Sophie, à côté, le branlait à la base, ses doigts serrés autour de son manche, et je voyais dans ses yeux qu’il appréciait chaque ondulation de mon corps, chaque tremblement de mes seins pendant que je m’activais. Son sexe gonflait encore, prêt à exploser, et je me sentais désirée comme jamais.

Sophie s’allongea sur le dos, écartant les cuisses. « Viens, mon taureau, » l’appela-t-elle. Lucas se plaça entre ses jambes, frottant sa queue contre sa chatte avant de s’enfoncer lentement. Elle gémit fort, ses seins rebondissant à chaque coup de reins, mais même là, je sentais qu’il me jetait des coups d’œil, admirant la façon dont mes formes s’étalaient sur le tapis. Il se retira, encore raide, et se tourna vers moi, ses yeux plongeant dans les miens avec une lueur de désir brut.

Je me mis sur le dos, jambes écartées, offrant ma chatte trempée. Lucas s’approcha, ses mains puissantes agrippant mes hanches pleines, et je vis son regard s’attarder sur mes cuisses épaisses, mon ventre rond, mes seins qui s’étalaient sous leur propre poids. « T’es magnifique, » murmura-t-il, presque pour lui-même, avant d’entrer en moi doucement, laissant mon corps s’habituer à sa taille. Chaque centimètre me remplissait, étirant mes parois avec une pression délicieuse, et je gémissais à chaque mouvement, sentant ses yeux me dévorer autant que son sexe me prenait. Il accéléra, ses coups devenant plus profonds, plus rythmés, et je sentais mes seins lourds tanguer sous l’assaut, une chaleur intense irradiant de mon ventre. Sophie glissa une main entre nous, frottant mon clito avec ses doigts agiles, et je perdis pied. L’orgasme me frappa comme une vague, mes cuisses tremblant autour de Lucas alors qu’il continuait à me pilonner, son regard toujours fixé sur mes courbes qui s’agitaient sous lui. Il grogna, son sexe pulsant en moi, et je sentis ses jets chauds me remplir, prolongeant mon plaisir dans une extase brûlante.

Et pourtant, en cet instant, alors que mon corps vibrait encore sous l’étreinte de Lucas, une pensée me traversa. J’aime Antoine, profondément, d’un amour qui dépasse ces moments de chair. Mais ce qu’il ne peut me donner, cette sauvagerie, cette intensité brute qui me fait me sentir vivante, c’est ce que le candaulisme m’apporte. Antoine, avec sa tendresse et sa bedaine rassurante, ne peut pas rivaliser avec le physique de Lucas – ce mètre quatre-vingt-dix de muscles bronzés, cette puissance animale qui me submerge. Il le sait, et il m’offre cette liberté parce qu’il m’aime. Mais moi, j’ai besoin de ça, de ces taureaux qui me labourent là où lui ne suffit plus. C’est une évidence, une faim que je ne peux nier, même si mon cœur reste ancré à lui.
Pradus, LeCouple, Olivierito et 5 autres a liké
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par LeCouple
#2869326
@Bardoine
Très beau récit, comme à l’accoutumée une narration subtile entre action, ressenti et analyse... Merci et hâte d'avoir la suite, les ressentis de chacun... :cuck:

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