Après cette première expérience intense avec Antoine, une nouvelle dynamique s’était installée entre Julien et moi. Ce n’était plus simplement un jeu orchestré pour explorer nos désirs. Une connexion plus profonde s’était créée, et cette fois-ci, nous voulions quelque chose de différent, une échappatoire où nous serions seuls, loin de tout jugement. L’idée de partir pour un week-end, juste nous deux, semblait parfaite.
Nous choisîmes un petit village pittoresque, Noyer-sur-Serin, pour cette escapade. Entre ses ruelles pavées et ses maisons de pierre, nous avions trouvé un charmant AirBnB avec une vue imprenable sur la rivière. Nous louâmes aussi une petite voiture décapotable, une manière de nous glisser dans la peau de jeunes tourtereaux insouciants, profitant du moment. Je sentais déjà l’excitation monter en moi à l’idée de ce que ce week-end représentait.
À peine arrivés dans la maison, l'atmosphère changea. Julien, toujours attentionné, me proposa une idée à laquelle je n'avais pas pensé. « On pourrait envoyer des photos à Antoine, non ? » me souffla-t-il avec un sourire en coin, en sortant son téléphone.
Je n’eus même pas besoin de réfléchir. L’idée me plaisait. C’était notre manière de partager avec Antoine, de l’inclure à distance dans notre escapade. Je me déshabillai lentement, sous le regard attentif de Julien, jusqu’à me retrouver en sous-vêtements. Il prit plusieurs photos, chacune capturant l'essence de ce moment : mes courbes, mes hanches pleines, et ma poitrine généreuse mises en valeur sous la lumière douce de la pièce.
Mon corps, sensuellement plein et voluptueux, attirait le regard de Julien avec une fascination qui ne cessait de grandir. Mes cuisses épaisses, mes hanches larges et ma poitrine abondante semblaient créer un contraste presque irréel avec la perfection sculpturale de son corps. Julien ressemblait à une statue vivante, musclé comme un dieu grec, chaque muscle de son torse parfaitement dessiné, chaque ligne de ses abdominaux tracée comme si elle avait été façonnée par des mains divines. Ses abdos me faisaient mouiller à leur simple vue. Ses mains larges et sans défauts me faisaient chavirer. Et son visage…
Il s'approcha de moi, murmurant à mon oreille : « Une dernière photo, sans rien. » Un frisson me parcourut. Je me glissai hors de mes sous-vêtements, laissant Julien capturer ce moment intime où je me tenais nue devant lui, mes formes pleinement révélées. Mon ventre rond, mes cuisses épaisses, et mes seins lourds réagissaient à chaque geste, se balançant légèrement sous l’effet de mes mouvements. Je sentais son excitation croître à mesure qu’il me regardait, ses yeux parcourant chaque centimètre de ma peau.
Une fois les photos envoyées à Antoine, nous savions tous les deux que le reste du week-end serait torride. Je ne pouvais m’empêcher de penser au plaisir que ces photos feraient à Antoine. Oui j’étais belle, et oui Antoine le savait. Je savais que ces photos l’exciteraient…
Julien, toujours attentionné et désireux de faire monter la température, sortit une petite bouteille d’huile de massage. « Laisse-moi prendre soin de toi, » murmura-t-il, un sourire sensuel aux lèvres. Je m’allongeai sur le lit, face contre terre, mon corps nu offert à lui. Il versa l’huile sur mes épaules et commença à masser lentement, ses mains expertes glissant sur ma peau, détendant chaque muscle.
L'huile chaude se répandit sur mon dos, et je sentis ses doigts fermes mais doux pétrir mes épaules, puis descendre le long de ma colonne vertébrale. Mes hanches pleines se soulevèrent légèrement sous son toucher, mes seins lourds s’écrasant doucement contre le matelas à chaque mouvement. La sensation de l’huile glissante sur ma peau, combinée à la chaleur des mains de Julien, me plongeait dans un état de relaxation mêlé d'excitation. Je pouvais sentir la tension monter en moi, mes sens éveillés par chaque geste qu'il faisait.
Ses mains descendirent jusqu’à mes fesses généreuses, caressant mes courbes avec une adoration presque palpable, puis remontèrent pour masser mes cuisses épaisses. Je pouvais sentir mon corps réagir à chacune de ses caresses, et la chaleur entre mes jambes devenait de plus en plus insoutenable. Julien, conscient de l’effet qu’il me faisait, prit tout son temps, savourant chaque moment, et moi aussi. Je me laissais aller à cette sensation, prête à lui céder totalement.
Une fois le massage terminé, je me redressai légèrement, remerciant Julien pour cette attention délicieuse. Je me tournai vers lui, un sourire espiègle sur les lèvres, et pris son sexe déjà dur dans mes mains. En guise de remerciement pour ce moment de tendresse, je me penchai doucement et laissai mes lèvres glisser sur son sexe, offrant une fellation lente et sensuelle. Ma langue caressa son gland avec douceur, tandis que je le sentais frémir sous mes gestes. Julien laissa échapper un soupir de plaisir, ses doigts se perdant dans mes cheveux tandis que je continuais ce doux massage buccal, savourant chaque instant.
Alors que l’excitation montait à son comble, Julien, toujours joueur, attrapa à nouveau son téléphone. « Laisse-moi immortaliser ce moment, » me murmura-t-il avec un sourire en coin. Je savais exactement ce qu’il voulait, et cela me plaisait. Sans hésiter, je pris son sexe dur en bouche une dernière fois, juste avant qu'il ne me pénètre. Il saisit ce moment, prenant une photo de moi, nue et soumise à son plaisir, ses mains posées sur ma tête, mon regard espiègle tourné vers lui.
Ce cliché, tout comme ceux pris plus tôt, était destiné à Antoine, une manière de le rendre spectateur de notre intimité, même à distance. La sensation du sexe de Julien dans ma bouche, combinée à cette idée que mon mari recevrait cette image, amplifiait encore plus mon excitation. C’était comme si chaque geste, chaque photo, ajoutait une nouvelle couche de désir à cette expérience déjà brûlante.
A suivre ...