- 23 avr. 2024, 19:53
#2793913
L’histoire suivante est une histoire vraie, que nous (Rémi et Léada) nous sommes permis d’enjoliver un peu.
Moi, Rémi 26 ans, je suis en couple depuis 4 ans avec Léada, une grande et fine brune de 28 ans.
Depuis un peu plus de 2 ans maintenant nous pratiquons le libertinage et plus récemment le candaulisme.
Été 2022, nous sommes partis en vacances et avons sillonné les routes du centre de la France dans notre camion aménagé.
C’est au détour d’une visite de village que nous avons eu notre première expérience candau.
Il était 14h00, le soleil tapait sur la route quand nous sommes décidé de nous arrêter dans un petit village étape afin de nous restaurer et pourquoi pas visiter les alentours et y rester pour la nuit.
Nous avons été dans un petit restaurant-brasserie dans lequel une ambiance conviviale et légère se dégageait.
Le temps d’un verre et d’un repas, nous avons sympathisé avec un couple de nos âges, Mathilde une belle blonde et Tom un petit brun aux allures de militaire ainsi que 2 hommes légèrement plus vieux, Mathieu un blond aux yeux bleus percent et Martin un brun au physique banal.
Contents de rencontrer des gens aussi sympas, nous leur proposons de passer l’après-midi avec eux en faisant une balade et un apéro à côté d’un lac que nous avions repéré pour y passer peut-être la nuit. C’était pour nous l’occasion de passer un temps en agréable compagnie et de nous décider si oui ou non nous allions rester cette nuit ici. La balade fut agréable et les discussions filèrent bon train.
Vers 17:30 Léada démarra les hostilités et sortie les bières et le vin de notre mini frigo. Mathilde et Tom avait ramené de quoi grignoter tandis que Mathieu et Martin s’étaient occupés de prendre une bouteille de rhum.
Les heures défilèrent et l’alcool aidant, nos discussions étaient très portées sur le cul. Mathilde et Tom expliquaient qu’ils étaient libertins, mais plus particulièrement candaulistes. Tom prêtait Mathilde à des couples ou des connaissances masculines tout en assistant à la scène
Nous-mêmes pratiquions l’échangisme depuis peu et personnellement je me sentais déjà intéressé par le candaulisme que j’avais proposé à Léada qui avait refusé catégoriquement. Cependant, elle semblait là très intéressée par les explications que donnait Mathilde, notamment sur le plaisir de ressentir d’autres sexes dans sa bouche pendant que son mec la regarde.
Mathieu et Martin n’en perdaient pas une miette non plus, leurs regards se baladait sur Mathilde, l’imaginant certainement se faire prendre avec vigueur par plusieurs hommes.
Il faut dire que cette conversation m’excite terriblement aussi, Mathilde est le genre de femme qui plait à tous les hommes, athlétique, blonde aux yeux bleus, de petites fesses bien rebondies et une paire de seins volumineux, magnifiquement mise en avant par son décolleté.
Je dois avouer que l’imaginer se faire baiser par autant de queues commence à me faire bander. Alors que je me perds dans mes pensées érotiques, une phrase de Martin me ramène à la réalité :
"Et toi Léada, tu aimerais te faire prendre pas d’autres mecs devant Rémi ?"
Léada se tourne alors vers moi l’air perdue et répond : « Pourquoi pas un jour… ».
Mathieu dit alors à l’assemblée : « Pourquoi pas maintenant ? Et si on vous baisait toutes les 2 devant vos mecs ? J’ai bien envie de baiser ce soir. »
Mathilde et Tom répondirent qu’ils se sentaient fatigués et qu’ils devaient travailler le lendemain, que ce serait sans eux. Il se levèrent et nous quittèrent.
Je dois avouer que ce départ précipité cassa l’ambiance et que nous retrouver seuls, avec Martin et Mathieu ne m’enchantait pas plus que ça compte tenu de l’ambiguïté pesante.
Pour autant, sur le reste de la soirée le sujet ne fut plus abordé, nous parlions de tout, de rien ; et finalement, je me senti bien à nouveau.
Du coin de l’œil je remarquais que Léada dévorait des yeux Mathieu et ça ne m’étonnait guère, c’était son style. Cependant je n’étais pas jaloux, au contraire, je senti une pointe d’excitation venir en moi et la proposition de Martin me séduisait de plus en plus.
J’avais cette voix dans ma tête : « Et s’ils la baisaient, là, tout de suite, devant moi. ».
Léada devait ressentir la même chose puisqu’en revenant de chercher une bière, elle me glissa à l’oreille : « Je veux me les faire tous les deux, maintenant. Tu es OK ? ».
Cette phrase finit de me convaincre et lui dis : « OK, vas-y ».
Alors que Mathieu et Martin continuaient de parler et que la conversation battait son plein, Léada se leva, et sans prévenir, enleva son haut, laissant paraitre son soutien-gorge.
Les garçons se turent et contemplèrent le spectacle qui ne s’arrêta pas là, elle enleva son soutif et se retrouva topless devant deux hommes rencontrés il y a à peine 6 heures.
Sa poitrine, petite mais ferme se dévoilait ainsi à ces deux inconnus qui n’en perdaient pas une miette. Elle me prit par la main, me leva, puis m’embrassa goulument tout en déboutonnant mon pantalon.
Elle saisie mon sexe déjà dur et commença de léger vas et viens tout en m’embrasant avec fougue.
L’excitation me fit perdre mes moyens quand elle s’agenouilla pour déposer ses lèvres pulpeuses sur mon sexe en érection. Elle le prit en bouche et commença de petit vas et viens accompagnés de sucions et de coups de langue précis.
Il faut dire qu’elle sait sucer, depuis que je suis avec elle, j’ai le droit aux plus belles pipes de ma vie.
Elle continua de me sucer, de plus en plus profondément et avec vigueur, jusqu’à prendre mon sexe entièrement en sa bouche, c’était un signal, un signal qu’on avait mis en place pour dire « baises moi la bouche ».
Je saisi alors sa tête entre mes mains, la regarda avec amour et lui enfonçait ma verge avec force au fond de sa gorge. Sa tête allait et venait au gré de mes envies et s’empalait contre la ma queue bien raide. Léada commença à montrer des signes d’étouffement, sa gorge devenait bruyante et plus elle faisait de bruit, plus j’y allait vite et fort, son maquillage coulait, elle avait des larmes et de la salive qui coulait entre ses seins. Le traitement que je lui infligeais lui plaisait, son regard me faisait chavirer, j’en oubliait presque les deux compères qui avaient sortis leurs queues et se masturbaient devant nous.
Lorsque je m’en rendis compte, je lâcha la tête de Léada et lui laissa reprendre ses esprits, elle tourna alors la tête et les regarda en souriant avant de dire :
« Venez, j’ai envie de vous sucer. Toi Rémi va t’assoir là-bas et regarde, tu en a assez eu pour le moment. »
Cet ordre me contrariait et en même temps m’excitait. Je m’exécutai donc, tandis que Mathieu se pressait pour offrir sa verge à ma copine.
Léada ne perdit pas de temps, elle empoigna le sexe de Martin pour le branler pendant qu’elle engloutissait celui de Mathieu dans sa bouche.
Je pu alors constater que le sexe de Martin était énorme, au moins 25 cm, je pris alors peur pour le moment où Léada devrait le sucer. Cela arriva plus vite que je le pensais, elle lâcha Mathieu pour concentrer sa bouche à pipe et ses talents de suceuse sur la verge de Martin.
Il semblait aux anges, elle engloutissait sa verge, sans pouvoir la prendre en totalité, on pouvait voir que la verge bloquait au fond de la gorge de Léada qui semblait contrariée par ce blocage et redoublait d’effort. Elle crachait et léchait cette verge avec désir et envie.
N’arrivant pas à l’engloutir elle se résigna et alterna entre la bite de Mathieu et celle de Martin.
Mon excitation était au summum, je sentais que je pouvais venir d’un instant à l’autre et voulait ma part du gâteau, je m’approchai alors mais Léada me repoussa et dit entre deux coups de langue : « Pas toi, plus tard. Toi petit cocu tu vas rester où tu es et me regarder les vider. Et je t’interdis de jouir avant eux. ».
Je me suis senti outré et vexé par la situation, mais dans le même temps, une vague d’excitation que je ne connaissais pas me parcourue. Je retournai ainsi m’assoir pour regarder le spectacle qui devenait de plus en plus intense.
Martin me dit alors : « C’est la reine des salopes ta copine mon pote, elle est faite pour avaler des bites et toi tu es fait pour la regarder. »
Mathieu éclata de rire. Je vis un sourire au coin de la bouche de Léada pendant qu’elle aspirait le gland de Martin qui devait trouver ça trop soft, puisqu’il prit sa tête pour l’enfoncer sur sa pine et la maintenir.
Léada résista en plaçant ses mains contre les cuisses de Martin, je le voyais se servir de la bouche de ma copine comme d’une chatte, il tambourinait sa gorge avec violence et passion. Il y allait bien plus fort que je n’y étais jamais allé et pour cause, je savais ce qu’il voulait : la faire rentrer en entier, que Léada gobe sa queue jusqu’à la garde ! Cependant, c’était peine perdue, il n’arrivait pas à la faire rentrer en entier.
Sous les assauts de Martin, Léada bavait et des larmes coulait sur ses joues, mais ses mains étaient revenues sur ses genoux. Je me rendis compte qu’elle appréciait ce traitement et qu’elle se laissait faire !
Mathieu dit alors : « Putain mais elle encaisse comme une chienne, passes-la moi, je veux faire pareil. »
Martin lâcha son emprise et Mathieu prit sa place en infligea le même traitement que Martin.
Je me trouvais donc là, assis par terre, pendant que ma copine se faisait baiser la bouche par deux inconnus. Son maquillage coulait sur ses joues et sa salive recouvrait ses seins et ses cuisses.
Je la voyais, jouer de leur sexe, lécher et gober leur boule. Sa langue parcourait les deux verges avec gourmandise. Elle les regardait droit dans les yeux, comme si je n’existais plus, comme si, seules ces deux bites comptaient.
Et de mon côté, je ne pouvais plus résister. Je me mis à me branler devant ce spectacle aussi frustrant qu’excitant ce qui fit rire les deux comparses.
Mathieu commençait à montrer des signes de fatigue face au traitement que lui infligeait Léada, il se crispa et annonça qu’il allait jouir. Léada se courba un peu plus lui goba ses deux grosses boules tout en le masturbant énergiquement. Il ne me mit pas longtemps à jouir et déchargea toute sa semence sur le joli visage de Léada sous mes yeux étonnés.
La première salve lui baleya la joue droite jusqu’au-dessus de l’œil gauche ; Léada se recula légèrement pour mieux prendre le reste et les deux salves suivantes s’écrasèrent sur son front et ses lèvres formant une trainée de sperme. Léada sourie et aspira les quelques goutes restant sur le gland de Mathieu. Elle lui montra avec avidité le contenu de sa bouche avant de le recracher au sol tout en se rapprochant de Martin, fasciné par ce spectacle.
« A ton tour » dit-elle en regardant Martin.
Elle engloutie alors le sexe de Martin dans sa bouche, reprenant ses gorges profondes et ses léchages. Elle n’arrivait toujours pas à la prendre en entier et je sentais que ça la frustrait d’autant plus. Elle continuait d’essayer mais ne perdait pas de vue l’idée de le faire jouir. Tout en le suçant, elle malaxait et jouait avec ses boules pour bien le stimuler.
« Putain, tu vas me faire jouir salope. » dit Martin à bout de souffle.
A peine il avait prononcé ces mots, que Léada lui agrippa les fesses et enfonça encore plus profondément sa queue dans sa bouche. Butée contre le fond de sa gorge, la queue de Martin se torda. Je vis alors Léada se relever légèrement puis, d’un mouvement de tête et de gorge, ouvrit un passage pour la queue de Martin qui s’enfonça au plus profond.
« Cette salope vient de réussir à tout prendre » me dis-je dans ma tête.
Une bosse que je n’avais jamais vue était apparue au niveau de la gorge de Léada, c’était le bout de la queue de Martin qui était entré plus loin que je n’avais jamais été.
Martin eut un râle de plaisir : « Putain, c’est la première fois qu’une fille y arrive, t’es vraiment une chienne de guerre toi. »
Léada avait son nez écrasé contre le torse de Martin, de sa bouche sortaient des filets de bave qui se mélangeaient aux restes de sperme de Mathieu qui coulaient le long de son visage et de son menton.
Martin continuait d’appuyer sur la tête de Léada sans pour autant qu’il soit possible d’aller plus loin. Il se contractait et avait de petits spasmes.
Cet enfoiré, était en train de jouir dans le fond de la gorge de ma copine. Je me sentais encore plus humilié.
Elle resta ainsi un instant, le souffle certainement coupé à ne pas avoir d’autre choix que d’avaler tout ce qui sortait de la verge de Martin. Je la voyais ainsi, déglutir légèrement à chaque spasme de Martin, la bosse dans gorge continuant de l’empêcher de tout recracher.
Lorsqu’il eut fini, elle retira le sexe de Martin de sa gorge et repris son souffle en toussotant. Le souffle court elle me dit : « Tu as aimé petit cocu ? A toi de jouir sur moi, je n’ai pas eu assez ! ».
J’étais comme un fou de l’entendre parler comme ça. Je me sentais follement excité car j’attendais ce moment depuis un moment.
Je me levai et m’approchai de son visage pour qu’elle me suce, mais elle refusa : « non, toi tu as juste le droit de jouir en me regardant souillée comme je suis. ». Cette phrase me procura une nouvelle sensation d’excitation et à peine je recommençais ma masturbation que je jouis immédiatement sur son visage.
Elle me regarda droit dans les yeux, un sourire en coin, pendant que je déchargeais mon sperme sur son visage déjà bien souillé.
La soirée se finit ainsi, ma copine accroupi les yeux rouges et le visage recouvert de semences. Elle était méconnaissable mais elle souriait et était heureuse. Elle se leva, me chuchota un simple « merci » et alla se débarbouiller à l’aide d’une serviette dans notre van.
Martin et Mathieu me remercièrent et partir à leur tour, non sans échanger leurs coordonnées dans l’espoir de se revoir.
Pour moi il était catégorique que non, mais le futur en a décidé autrement...
Tout comme Tom et Mathilde que nous avons revus bien plus tôt que je pensais.
C'est la première fois que nous écrivons donc, n'hésitez pas à nous faire vos retours.
Nous pourrions vous donner la suite des ces rencontres
Léada et Rémi
Moi, Rémi 26 ans, je suis en couple depuis 4 ans avec Léada, une grande et fine brune de 28 ans.
Depuis un peu plus de 2 ans maintenant nous pratiquons le libertinage et plus récemment le candaulisme.
Été 2022, nous sommes partis en vacances et avons sillonné les routes du centre de la France dans notre camion aménagé.
C’est au détour d’une visite de village que nous avons eu notre première expérience candau.
Il était 14h00, le soleil tapait sur la route quand nous sommes décidé de nous arrêter dans un petit village étape afin de nous restaurer et pourquoi pas visiter les alentours et y rester pour la nuit.
Nous avons été dans un petit restaurant-brasserie dans lequel une ambiance conviviale et légère se dégageait.
Le temps d’un verre et d’un repas, nous avons sympathisé avec un couple de nos âges, Mathilde une belle blonde et Tom un petit brun aux allures de militaire ainsi que 2 hommes légèrement plus vieux, Mathieu un blond aux yeux bleus percent et Martin un brun au physique banal.
Contents de rencontrer des gens aussi sympas, nous leur proposons de passer l’après-midi avec eux en faisant une balade et un apéro à côté d’un lac que nous avions repéré pour y passer peut-être la nuit. C’était pour nous l’occasion de passer un temps en agréable compagnie et de nous décider si oui ou non nous allions rester cette nuit ici. La balade fut agréable et les discussions filèrent bon train.
Vers 17:30 Léada démarra les hostilités et sortie les bières et le vin de notre mini frigo. Mathilde et Tom avait ramené de quoi grignoter tandis que Mathieu et Martin s’étaient occupés de prendre une bouteille de rhum.
Les heures défilèrent et l’alcool aidant, nos discussions étaient très portées sur le cul. Mathilde et Tom expliquaient qu’ils étaient libertins, mais plus particulièrement candaulistes. Tom prêtait Mathilde à des couples ou des connaissances masculines tout en assistant à la scène
Nous-mêmes pratiquions l’échangisme depuis peu et personnellement je me sentais déjà intéressé par le candaulisme que j’avais proposé à Léada qui avait refusé catégoriquement. Cependant, elle semblait là très intéressée par les explications que donnait Mathilde, notamment sur le plaisir de ressentir d’autres sexes dans sa bouche pendant que son mec la regarde.
Mathieu et Martin n’en perdaient pas une miette non plus, leurs regards se baladait sur Mathilde, l’imaginant certainement se faire prendre avec vigueur par plusieurs hommes.
Il faut dire que cette conversation m’excite terriblement aussi, Mathilde est le genre de femme qui plait à tous les hommes, athlétique, blonde aux yeux bleus, de petites fesses bien rebondies et une paire de seins volumineux, magnifiquement mise en avant par son décolleté.
Je dois avouer que l’imaginer se faire baiser par autant de queues commence à me faire bander. Alors que je me perds dans mes pensées érotiques, une phrase de Martin me ramène à la réalité :
"Et toi Léada, tu aimerais te faire prendre pas d’autres mecs devant Rémi ?"
Léada se tourne alors vers moi l’air perdue et répond : « Pourquoi pas un jour… ».
Mathieu dit alors à l’assemblée : « Pourquoi pas maintenant ? Et si on vous baisait toutes les 2 devant vos mecs ? J’ai bien envie de baiser ce soir. »
Mathilde et Tom répondirent qu’ils se sentaient fatigués et qu’ils devaient travailler le lendemain, que ce serait sans eux. Il se levèrent et nous quittèrent.
Je dois avouer que ce départ précipité cassa l’ambiance et que nous retrouver seuls, avec Martin et Mathieu ne m’enchantait pas plus que ça compte tenu de l’ambiguïté pesante.
Pour autant, sur le reste de la soirée le sujet ne fut plus abordé, nous parlions de tout, de rien ; et finalement, je me senti bien à nouveau.
Du coin de l’œil je remarquais que Léada dévorait des yeux Mathieu et ça ne m’étonnait guère, c’était son style. Cependant je n’étais pas jaloux, au contraire, je senti une pointe d’excitation venir en moi et la proposition de Martin me séduisait de plus en plus.
J’avais cette voix dans ma tête : « Et s’ils la baisaient, là, tout de suite, devant moi. ».
Léada devait ressentir la même chose puisqu’en revenant de chercher une bière, elle me glissa à l’oreille : « Je veux me les faire tous les deux, maintenant. Tu es OK ? ».
Cette phrase finit de me convaincre et lui dis : « OK, vas-y ».
Alors que Mathieu et Martin continuaient de parler et que la conversation battait son plein, Léada se leva, et sans prévenir, enleva son haut, laissant paraitre son soutien-gorge.
Les garçons se turent et contemplèrent le spectacle qui ne s’arrêta pas là, elle enleva son soutif et se retrouva topless devant deux hommes rencontrés il y a à peine 6 heures.
Sa poitrine, petite mais ferme se dévoilait ainsi à ces deux inconnus qui n’en perdaient pas une miette. Elle me prit par la main, me leva, puis m’embrassa goulument tout en déboutonnant mon pantalon.
Elle saisie mon sexe déjà dur et commença de léger vas et viens tout en m’embrasant avec fougue.
L’excitation me fit perdre mes moyens quand elle s’agenouilla pour déposer ses lèvres pulpeuses sur mon sexe en érection. Elle le prit en bouche et commença de petit vas et viens accompagnés de sucions et de coups de langue précis.
Il faut dire qu’elle sait sucer, depuis que je suis avec elle, j’ai le droit aux plus belles pipes de ma vie.
Elle continua de me sucer, de plus en plus profondément et avec vigueur, jusqu’à prendre mon sexe entièrement en sa bouche, c’était un signal, un signal qu’on avait mis en place pour dire « baises moi la bouche ».
Je saisi alors sa tête entre mes mains, la regarda avec amour et lui enfonçait ma verge avec force au fond de sa gorge. Sa tête allait et venait au gré de mes envies et s’empalait contre la ma queue bien raide. Léada commença à montrer des signes d’étouffement, sa gorge devenait bruyante et plus elle faisait de bruit, plus j’y allait vite et fort, son maquillage coulait, elle avait des larmes et de la salive qui coulait entre ses seins. Le traitement que je lui infligeais lui plaisait, son regard me faisait chavirer, j’en oubliait presque les deux compères qui avaient sortis leurs queues et se masturbaient devant nous.
Lorsque je m’en rendis compte, je lâcha la tête de Léada et lui laissa reprendre ses esprits, elle tourna alors la tête et les regarda en souriant avant de dire :
« Venez, j’ai envie de vous sucer. Toi Rémi va t’assoir là-bas et regarde, tu en a assez eu pour le moment. »
Cet ordre me contrariait et en même temps m’excitait. Je m’exécutai donc, tandis que Mathieu se pressait pour offrir sa verge à ma copine.
Léada ne perdit pas de temps, elle empoigna le sexe de Martin pour le branler pendant qu’elle engloutissait celui de Mathieu dans sa bouche.
Je pu alors constater que le sexe de Martin était énorme, au moins 25 cm, je pris alors peur pour le moment où Léada devrait le sucer. Cela arriva plus vite que je le pensais, elle lâcha Mathieu pour concentrer sa bouche à pipe et ses talents de suceuse sur la verge de Martin.
Il semblait aux anges, elle engloutissait sa verge, sans pouvoir la prendre en totalité, on pouvait voir que la verge bloquait au fond de la gorge de Léada qui semblait contrariée par ce blocage et redoublait d’effort. Elle crachait et léchait cette verge avec désir et envie.
N’arrivant pas à l’engloutir elle se résigna et alterna entre la bite de Mathieu et celle de Martin.
Mon excitation était au summum, je sentais que je pouvais venir d’un instant à l’autre et voulait ma part du gâteau, je m’approchai alors mais Léada me repoussa et dit entre deux coups de langue : « Pas toi, plus tard. Toi petit cocu tu vas rester où tu es et me regarder les vider. Et je t’interdis de jouir avant eux. ».
Je me suis senti outré et vexé par la situation, mais dans le même temps, une vague d’excitation que je ne connaissais pas me parcourue. Je retournai ainsi m’assoir pour regarder le spectacle qui devenait de plus en plus intense.
Martin me dit alors : « C’est la reine des salopes ta copine mon pote, elle est faite pour avaler des bites et toi tu es fait pour la regarder. »
Mathieu éclata de rire. Je vis un sourire au coin de la bouche de Léada pendant qu’elle aspirait le gland de Martin qui devait trouver ça trop soft, puisqu’il prit sa tête pour l’enfoncer sur sa pine et la maintenir.
Léada résista en plaçant ses mains contre les cuisses de Martin, je le voyais se servir de la bouche de ma copine comme d’une chatte, il tambourinait sa gorge avec violence et passion. Il y allait bien plus fort que je n’y étais jamais allé et pour cause, je savais ce qu’il voulait : la faire rentrer en entier, que Léada gobe sa queue jusqu’à la garde ! Cependant, c’était peine perdue, il n’arrivait pas à la faire rentrer en entier.
Sous les assauts de Martin, Léada bavait et des larmes coulait sur ses joues, mais ses mains étaient revenues sur ses genoux. Je me rendis compte qu’elle appréciait ce traitement et qu’elle se laissait faire !
Mathieu dit alors : « Putain mais elle encaisse comme une chienne, passes-la moi, je veux faire pareil. »
Martin lâcha son emprise et Mathieu prit sa place en infligea le même traitement que Martin.
Je me trouvais donc là, assis par terre, pendant que ma copine se faisait baiser la bouche par deux inconnus. Son maquillage coulait sur ses joues et sa salive recouvrait ses seins et ses cuisses.
Je la voyais, jouer de leur sexe, lécher et gober leur boule. Sa langue parcourait les deux verges avec gourmandise. Elle les regardait droit dans les yeux, comme si je n’existais plus, comme si, seules ces deux bites comptaient.
Et de mon côté, je ne pouvais plus résister. Je me mis à me branler devant ce spectacle aussi frustrant qu’excitant ce qui fit rire les deux comparses.
Mathieu commençait à montrer des signes de fatigue face au traitement que lui infligeait Léada, il se crispa et annonça qu’il allait jouir. Léada se courba un peu plus lui goba ses deux grosses boules tout en le masturbant énergiquement. Il ne me mit pas longtemps à jouir et déchargea toute sa semence sur le joli visage de Léada sous mes yeux étonnés.
La première salve lui baleya la joue droite jusqu’au-dessus de l’œil gauche ; Léada se recula légèrement pour mieux prendre le reste et les deux salves suivantes s’écrasèrent sur son front et ses lèvres formant une trainée de sperme. Léada sourie et aspira les quelques goutes restant sur le gland de Mathieu. Elle lui montra avec avidité le contenu de sa bouche avant de le recracher au sol tout en se rapprochant de Martin, fasciné par ce spectacle.
« A ton tour » dit-elle en regardant Martin.
Elle engloutie alors le sexe de Martin dans sa bouche, reprenant ses gorges profondes et ses léchages. Elle n’arrivait toujours pas à la prendre en entier et je sentais que ça la frustrait d’autant plus. Elle continuait d’essayer mais ne perdait pas de vue l’idée de le faire jouir. Tout en le suçant, elle malaxait et jouait avec ses boules pour bien le stimuler.
« Putain, tu vas me faire jouir salope. » dit Martin à bout de souffle.
A peine il avait prononcé ces mots, que Léada lui agrippa les fesses et enfonça encore plus profondément sa queue dans sa bouche. Butée contre le fond de sa gorge, la queue de Martin se torda. Je vis alors Léada se relever légèrement puis, d’un mouvement de tête et de gorge, ouvrit un passage pour la queue de Martin qui s’enfonça au plus profond.
« Cette salope vient de réussir à tout prendre » me dis-je dans ma tête.
Une bosse que je n’avais jamais vue était apparue au niveau de la gorge de Léada, c’était le bout de la queue de Martin qui était entré plus loin que je n’avais jamais été.
Martin eut un râle de plaisir : « Putain, c’est la première fois qu’une fille y arrive, t’es vraiment une chienne de guerre toi. »
Léada avait son nez écrasé contre le torse de Martin, de sa bouche sortaient des filets de bave qui se mélangeaient aux restes de sperme de Mathieu qui coulaient le long de son visage et de son menton.
Martin continuait d’appuyer sur la tête de Léada sans pour autant qu’il soit possible d’aller plus loin. Il se contractait et avait de petits spasmes.
Cet enfoiré, était en train de jouir dans le fond de la gorge de ma copine. Je me sentais encore plus humilié.
Elle resta ainsi un instant, le souffle certainement coupé à ne pas avoir d’autre choix que d’avaler tout ce qui sortait de la verge de Martin. Je la voyais ainsi, déglutir légèrement à chaque spasme de Martin, la bosse dans gorge continuant de l’empêcher de tout recracher.
Lorsqu’il eut fini, elle retira le sexe de Martin de sa gorge et repris son souffle en toussotant. Le souffle court elle me dit : « Tu as aimé petit cocu ? A toi de jouir sur moi, je n’ai pas eu assez ! ».
J’étais comme un fou de l’entendre parler comme ça. Je me sentais follement excité car j’attendais ce moment depuis un moment.
Je me levai et m’approchai de son visage pour qu’elle me suce, mais elle refusa : « non, toi tu as juste le droit de jouir en me regardant souillée comme je suis. ». Cette phrase me procura une nouvelle sensation d’excitation et à peine je recommençais ma masturbation que je jouis immédiatement sur son visage.
Elle me regarda droit dans les yeux, un sourire en coin, pendant que je déchargeais mon sperme sur son visage déjà bien souillé.
La soirée se finit ainsi, ma copine accroupi les yeux rouges et le visage recouvert de semences. Elle était méconnaissable mais elle souriait et était heureuse. Elle se leva, me chuchota un simple « merci » et alla se débarbouiller à l’aide d’une serviette dans notre van.
Martin et Mathieu me remercièrent et partir à leur tour, non sans échanger leurs coordonnées dans l’espoir de se revoir.
Pour moi il était catégorique que non, mais le futur en a décidé autrement...
Tout comme Tom et Mathilde que nous avons revus bien plus tôt que je pensais.
C'est la première fois que nous écrivons donc, n'hésitez pas à nous faire vos retours.
Nous pourrions vous donner la suite des ces rencontres
Léada et Rémi
