Retenu plus tard que prévu, Antoine est déjà là quand je rentre à la maison. Il est, genoux au sol, entrain de bouffer la chatte de Muriel, assise sur le bout du canapé, cuisses ouvertes, jupette relevée, un téton sorti du bustier, elle couine, gémit, halète, le visage rouge et grimaçant. Elle me remarque à peine et continue de profiter sur le point de jouir. Ma présence soudaine et l'efficacité d'Antoine, l'emporte....cris étouffés, crispation totale, elle part, tétanisée et coule dans la bouche d'Antoine qui lape les effluves de ma femme.
"Mon chéri, tu as failli louper le moment fatidique que tu préfères...."
Elle a encore le cœur qui bat et le souffle court....
Antoine, lui, revient de la salle d'eau le visage séché et une serviette pour Muriel et le canapé....
Il est nu, la bite encore bien longue, prête à se raidir. Il n'a pas jouit et a dû contraindre son envie devant l'orgasme qu'il vient de donner à ma femme. Elle a rabattu la jupette et ajusté son sein dans le bustier.
Quelle situation cocasse ! Je rentre à la maison et y trouve ma femme, au milieu du salon, entrain de se faire bouffer le minou, et 1/4 d'heure plus tard, nous sommes tous les trois , mari, femme, amant, dans la cuisine à préparer un en-cas...
Nul doute que sous peu ils iront faire l'amour dans la chambre et que je les suivrais en candauliste, voyeur absolu... mari complaisant, qui servira d'excitant aux deux amants...
On passe cette nouvelle nuit à trois, une habitude qui se crée...
Muriel entre les deux mâles, satisfaite de caresser ses deux hommes, de s'endormir la main de l'un sur un sein, la main de l'autre sur une fesse ou couvrant sa moule...
Elle fait l'amour indifféremment avec l'un puis avec l'autre, plus souvent avec l'autre quand même...
, il faut dire qu'il est plus endurant et absent la semaine...
Nous prenons goût a ce trio pervers. Je ne me masturbais devant Muriel avant, et maintenant, je le fais régulièrement devant les deux amants quand ils baisent. Tous les deux profitent, ils me regardent furtivement triturer mes couilles, mon gland pendant que son membre s'enfonce dans son vagin. Ma solitude à part, pendant qu'à deux ils se complètent, liés, lui enfoncé en elle, ils partagent et jouissent. Ils voient ma semence couler entre mes doigts où se perdre dans un kleenex, alors que la sienne va enduire les parois chaudes de ma femme...
Quand je m'endors contre elle, elle me laisse parfois poser ma main en corolle sur sa vulve mouillée, chaude, gluante, odorante, aux lèvres entre ouvertes. Je peux glisser un doigt pour visiter l'orifice, étaler la semence. Puis deux doigts pour parfaire nos excitations, lubrifier le clito. Si j'ai conservé l'énergie suffisante alors je grimpe sur son corps et la pénétre. On fait l'amour, on s'etreint, je la prends. La femelle garde en elle les deux jus....
Antoine fait en sorte de ne pas assister à nos ébats, il revient "dormir" après que Muriel soit passée par la salle de bain, somme toute il n'est pas candauliste.
Par contre, il prend toujours soin de la congratuler à mes yeux avec de plus en plus de détails et de mots précis.
"Qu'elle est belle vraiment, j'adore ses seins, ils durcissent tellement quand je les caresse.... elle mouille plus aussi....son excitation quand je la fouille, whaou !! J'adore ta femme, ses réactions, son envie de baiser, Muriel me plaît beaucoup. Tu sais que ça l'excite quand tu nous regardes..."
Si je sais ! Pardi que oui ! On est au cœur du candaulisme....
Et elle qui ose tout, délurée comme jamais. Elle exhibe son sexe qu'elle ouvre de ses doigts "regarde mon chéri, regarde, Antoine, viens me lécher" . L'orifice est tout luisant de mouille. Elle nous fait bander comme des malades !. Mais c'est lui qui boit. "Antoine mets y tes doigts, fouille, excites mon clito, c'est bon, oui comme ça"
Elle est diabolique.
"Oui encore, encore un peu" Elle est rouge et en sueur.
"Viens rentre Antoine, regarde JF mon amant me pénètre et j'aime ça...oui c'est bon, regarde, regarde"
Et je suis subjugué par le membre gonflé qui entre dans ma femme. Elle étouffe son cri, écarte en grand ses cuisses, bassin tout relevé, ses mains poussent sur les fesses d'Antoine.
"Viens au fond, oui là..." Et elle bave en grimaçant d'excitation.
"Allez baise moi, baise moi, faits moi jouir, hein mon mari tu veux me voir prise par Antoine ..."
Et le salaud s'emploie à fond pour baiser ma femme. Ils s'treignent, se collent, se lient, sa poitrine écrasée sur le torse d'Antoine, ils s'embrassent partout et même sur la bouche, il y met la langue et serre ses fesses pour entrer encore plus loin, plus profond, dans le vagin trempé. Je voudrais jouir, quel effort pour me retenir !
Muriel me regarde un instant, je n'en peux plus... et je grimace devant les deux amants en éjaculant.
Ça renforce l'énergie d'Antoine qui redouble de vigueur pour pilonner ma femme. Elle ne peut plus attendre
"Vieenns", il la prend, elle se donne, il s'affale sur elle, ils restent collés, elle le garde en elle.
"Reste, bouge pas" assez fort pour que j'entende.
"T'as vu mon mari, c'est bon tu sais..."
Et elle ondule à peine son bassin.
"Reste, reste encore un peu".
Je suis convaincu qu'Antoine débande à peine, d'ailleurs,
"T'en veux encore ? C'est ça?"
"Oui s'il te plaît encore un tit peu"
Et voilà que les mouvements s'amplifient de nouveau.
Le candauliste impuissant regarde sa femme se donner encore.
Le membre gonflé entre et sort, couvert de coulées de sperme.
Il lui fait l'amour, longtemps encore... je reste bien incapable de retrouver la vigueur pour bander... malgré mes doigts...
Enfin c'est le coït, ils jouissent, comblés, épuisés. Cette fois, elle se dégage du sexe ramolli et reste allongée sur le dos bras en croix. Antoine, essoufflé quand même, garde le drap sur sa queue pour en dissimuler la mollesse.
Ma femme l'a épuisé.
Elle va s'endormir, qu'elle est belle, sublime, son visage d'après l'amour...
Antoine s'endort de l'autre côté.
Je prends la main de Muriel et je rêvasse en pensant à l'amour, tenaillé quand même par l'envie de sexe...
Au matin, Muriel s'enlace, s'enroule autour de moi. "Je t'aime mon amour, comme je t'aime.... viens, viens, tu me rends folle amoureuse...folle tout court, et tellement heureuse, chut merci, ne dis rien..."
La suite..? Le bonheur absolu...
Antoine a eu le temps de préparer le petit déjeuner.