- 26 sept. 2018, 19:02
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ELLE
Sentant votre désir brûlant de me prendre, je décide de retarder encore un peu ce moment dont j'ai, moi aussi, ardemment envie. Non pas que j'ai le besoin de vous torturer, mais au contraire, je poursuis le noble but d'accroître le plaisir que nous y prendrons.
Profitant d'un instant de répit dans vos caresses buccales, je m'écarte un peu de vous et vous redresse le torse. Je vous embrasse intensément, sentant ma propre odeur se mêler à la vôtre, ce qui ne fait qu'accroître mon désir de vous sentir en moi. Mais je résiste à la tentation et m'active pour défaire en partie votre pantalon.
Vous m'y aidez, pensant peut-être atteindre plus rapidement l'objet de votre convoitise. Dès que je le peux, j'écarte vos mains et prend le contrôle de la situation. Délicatement, j'extrais votre verge de son enveloppe, constatant qu'une partie de mon travail est déjà fait : elle est déjà bien raide et pointe vers moi comme l'aiguille d'une boussole. Mais je sais que je peux vous rendre encore plus désireux et je vais m'y employer. Je commence par quelques caresses très douces pour l'apprivoiser, pour établir un premier contact corporel. J'effleure de mes mains toute la longueur de votre sexe, puis mes caresses se font plus précises avec mes doigts. J'approche ensuite mon visage pour vous sentir avec mes joues, mon menton. Ma bouche n'est plus très loin, je sais que vous attendez cet instant avec impatience.
Je prends alors votre gland encore dans son écrin dans ma bouche, très délicatement. Je devine sa forme à travers la peau, avec ma langue, mes lèvres. J'ajoute parfois un peu de pression en le plaquant contre mon palais, ou encore en faisant de petits mouvements de succion. Je vous entends déjà gémir, ce qui me fait gémir à mon tour. Après quelques minutes de cette douce torture, je libère votre sexe de ma bouche et recommence quelques caresses plus appuyées cette fois. Des va-et-vients pour faire sortir votre fruit de sa cachette, très progressivement. Je viens quelques fois donner un coup de langue sur l'extrémité qui se profile, ce qui vous fait immédiatement réagir, votre dard se relève, animé par une force invisible et puissante. Vient le moment où tout votre sexe est dégagé, accessible, gonflé de désir, n'attendant qu'une action de ma part pour le satisfaire.
Alors je l'absorbe, délicatement toujours, pour sentir chaque parcelle avec précision dans ma bouche. Je salive de désir, et je sens aussi un flot humide se répandre entre mes cuisses. Vous émettez un râle mêlé de soupirs, ce qui me fait saliver encore plus. Je commence alors ce jeu qui consiste à vous déguster comme une sucrerie, tantôt en vous léchant, tantôt en avalant l'extrémité soyeuse, toujours dans des mouvements doux et appliqués. Mes mains accompagnent ces mouvements, en caressant vos bourses ou en saisissant un peu fermement la base de votre sexe pour le faire durcir encore un peu plus. Je vous vois vous tortiller de plaisir, ce qui me fait invariablement grogner de satisfaction.
Mon œuvre porte ses fruits. Votre verge est bien plus raide et gonflée que tout à l'heure, les veines saillantes, le gland violacé et très sensible. Je m'arrête et vous regarde en souriant, vos yeux brillent, je vous sens fébrile. Je vous laisse choisir la suite à donner, vous rendant le contrôle des événements.
LUI
Cette fois, l’excitation est trop intense, je ne peux plus attendre une minute de plus ! Vos caresses, votre bouche de velours et vos regards m’ont porté à un point de non-retour : je veux, je dois vous prendre ! En une fraction de seconde, je décide : c’est maintenant. Je vous guide jusqu’au sofa qui se trouve à quelques mètres de nous, mes yeux plongés dans les vôtres vous font comprendre qu’il n’est plus possible de faire machine arrière... Vous tentez de vous asseoir, je vous en empêche : ma main droite saisit fermement votre main gauche et vous fait faire un demi tour, puis ma main gauche glisse le long de votre dos pour vous inviter à vous incliner. Vous posez alors vos deux mains sur le sofa, offrant à ma vue votre si tentante cambrure et votre Graal déjà bien humide... Votre caraco est toujours sur votre taille, j’aime vous voir ainsi offerte.
Tandis que vous vous attendez à ce que j’investisse votre citadelle d’un instant à l’autre, je vous surprend en me mettant à genoux derrière vous, en apposant mes mains sur vos fesses, et en introduisant ma langue dans votre antre. Cette surprise induit un mouvement désordonné de votre corps et un gémissement très bref... Je me relève subitement, et je plaque mon gland contre vos grandes lèvres. Je le frotte délicatement sur votre clitoris, sur vos lèvres, le présente à l’entrée de votre vagin, je pousse à peine car je veux savourer ce moment... Je vous sens brûlante de désir, mon gland me permet de mesurer à quel point vous êtes prête à me recevoir. Vous me tutoyez alors pour la première fois :
« — Viens en moi !
— Non chère amie, il vous faudra patienter encore... ».
Je continue à frotter mon gland contre votre sexe inondé de désir... Alors, sans prévenir, vous imprimez à votre fessier un mouvement arrière qui fait subitement entrer mon sexe dans votre antre : quel délice ! Je tente de l’en sortir mais les va-et-vient de votre exquise croupe m’en empêchent. Par moment, je sors complètement de votre soyeux écrin et y rentre subitement, ce qui me donne le plaisir de vous entendre pousser de longs « mmmm ». Je vous tiens alors fermement : mes deux mains sont plaquées sur vos hanches, vous êtes mienne sans possibilité de vous soustraire à mes assauts ! Si je continue ainsi, je vais exploser en vous... Mais le plaisir que me procurent ces mouvements jouissifs et la vue de vos longs cheveux qui serpentent sur votre dos ainsi que de votre caraco qui oscille sur votre taille à chaque coup de reins, m’ôte toute volonté... Je ne veux pourtant pas jouir avant vous, je me l’interdis formellement ! Sentant peser ce risque, vous reprenez l’initiative de façon subite...
... A suivre ...
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