Caressant doucement de son pouce son clitoris et ses petites lèvres ouvertes, Jean tente de rassurer Isabelle.
« Ma chérie ? Ca va… ? On arrête si tu veux… Tu veux arrêter… ? Dis-moi… »
Elle ne répond pas, ne bouge pas. Prosternée, la tête et les épaules reposant sur la moquette Il la fait se redresser doucement en la prenant doucement par les épaules.
« Ma chérie, dis-moi… tu veux continuer… ? »
Il lui caresse la joue tendrement pour l’apaiser.
Elle respire de manière saccadée puis dans un souffle, elle murmure :
« Oui… »
On sent le soulagement des invités qui ont cru un instant que la soirée allait s’arrêter là.
C’est ce qui était convenu. Malgré les apparences, Isabelle pouvait à tout moment arrêter le jeu.
« Merci mon amour, je suis tellement fier de toi. Je t’aime… »
Il l’aide avec précaution à se courber de nouveau en avant.
Je caresse les courbes offertes et fais signe à Jean de s’approcher.
J’écarte les fesses d’Isabelle à deux mains.
« Jean ? pouvez vous vérifier si isabelle est toujours suffisamment mouillée pour que ces messieurs puissent la prendre ? »
Jean s’accoupit derrière son épouse et ouvre doucement son sexe avec ses doigts, exposant son intimité luisante et trempée.
« Ca va, Erwin Isabelle dégouline littéralement. Elle est prête pour la suite… »
Effectivement, elle est prête pour la suite. Elle tremble de tout son corps à se sentir manipulée et exposée ainsi.
Je place l’extrémité du rosebud contre le centre de son anus. Elle se raidit. Il est resté sur la table un moment et doit être froid au contact de ses chairs brulantes.
« Chut... calmez vous Isabelle… »
J’appuie lentement, l’anneau joue parfaitement et s’ouvre sans difficulté. Je le fais entrer à moitié.
Puis je le lâche. Juste à l’endroit où son diamètre est le plus large et dilate le plus l’anus.
« Contrôlez-vous Isabelle… Comme je vous ai appris… »
Elle souffle et expire longuement pour maîtriser ses contractions.
Le Rosebud reste à moitié fiché dans l’orifice.
A suivre