- 20 févr. 2024, 16:15
#2779658
Cher Dionysos,
Voilà un mois que je n’ai plus donné de nouvelles pour la simple raison que nous n’avions aucune connection Internet ni 4G dans notre nid espagnol, suite à une panne généralisée. Maintenant que nous avons regagné des lieux (pluvieux) où les liaisons avec le monde et avec FC existent, nous allons pouvoir continuer à poster nos aventures, qui toutefois toucheront bientôt à leur fin.
Quel vibrant panégyrique dont tu as gratifié laTsarine ! En le lisant elle en rougissait à la fois de plaisir, de fiereté mais aussi d’excitation : « comment cet homme », m’a-t-elle dit, « sur le seul récit de nos aventures, parvient-il à me déshabiller psychologiquement, sexuellement, moralement, sentimentalement et j’en passe… Et puis ce petit poème tellement à propos, après l’avoir lu je me suis sentie aussi nue qu’assise là, sur le bord de la croisée ! »
La liberté absolue vécue durant ces années post soixante-huitardes est comparable à ce que vécurent nos parents pendant les années folles jusqu’à la seconde guerre. La nôtre a vécu jusqu’au années 90 puis fut boostée lors de la chute du Mur et de la Perestroika. L’attaque terroriste du WTC à NY et tout ce qui s’ensuivit mit un terme assez brutal à cette époque, du reste nous en endurons toujours les conséquences .
Nous revivons par l’écrit et les images ce passé si insouciant quand tout nous semblait permis, surtout le sexe partagé avec qui et quand on le voulait, dans une atmosphère libertine et sensuelle permanente. Les corps se dénudaient sur les plages, le haut mais aussi le bas. Les fêtes fréquentesd au cours desquelles des couples éphemères se formaient le temps d’une nuit, parfois plus..
Oui, bien qu’étiolé aujourd’hui, nous avions vécus au sein d’un groupement (je pourrais dire une tribu) humain solidaire, dans lequel il faisait bon « vivre ensemble », sans exclusion ni ségrégation, pour lequel les plaisirs érotiques étaient fondamentaux. Victoire en était la parfaite incarnation même si j’ai dû m’y faire au début de notre relation, mais jamais je ne l’ai considérée comme une traînée ! Elle avait le talent pour me faire accepter ses frasques passionnées qui seraient passées pour de graves écarts de conduite dans une société bien pensante . J’y ai pris goût, oh combien, car nous y trouvions elle et moi en bonne intelligence, grâce à P.. et Lison nos coquins complices, des plaisirs rares, critiqués par bien des grincheux (ou des envieux !).
Si P.. fut l’amant de Victoire, lui dont le sexe hors norme la pénétra, déchaînant une fulgurance et un orgasme qu’elle n’avait jamais atteints avec moi, elle s’en lassa après une dizaine d’années de « bons usages » lorsqu’elle s’impatienta de la relation régulière qu’il avait entamée avec Lison. C’est alors que le trio se forma, Victoire séduisant Lison (et ce fut réciproque), l’enlevant à P.., du moins le croyait-elle.
J’ai aimé ce rôle, à la fois d’arbitre, de chef d’équipe et de « sparring sexual partner » dans les configurations HHF avec une addiction marquée pour FFH. Ce qui n’empêchait pas mes deux chéries de prendre la liberté de s’émouvoir dans d’autres bras que les miens, occasionnellement (surtout Lison) avec P.. mais pas que !
Les week-end et les voyages que nous entreprîmes à trois nous ont laissés des souvenirs émus et attendris.
Voilà un mois que je n’ai plus donné de nouvelles pour la simple raison que nous n’avions aucune connection Internet ni 4G dans notre nid espagnol, suite à une panne généralisée. Maintenant que nous avons regagné des lieux (pluvieux) où les liaisons avec le monde et avec FC existent, nous allons pouvoir continuer à poster nos aventures, qui toutefois toucheront bientôt à leur fin.
Quel vibrant panégyrique dont tu as gratifié laTsarine ! En le lisant elle en rougissait à la fois de plaisir, de fiereté mais aussi d’excitation : « comment cet homme », m’a-t-elle dit, « sur le seul récit de nos aventures, parvient-il à me déshabiller psychologiquement, sexuellement, moralement, sentimentalement et j’en passe… Et puis ce petit poème tellement à propos, après l’avoir lu je me suis sentie aussi nue qu’assise là, sur le bord de la croisée ! »
La liberté absolue vécue durant ces années post soixante-huitardes est comparable à ce que vécurent nos parents pendant les années folles jusqu’à la seconde guerre. La nôtre a vécu jusqu’au années 90 puis fut boostée lors de la chute du Mur et de la Perestroika. L’attaque terroriste du WTC à NY et tout ce qui s’ensuivit mit un terme assez brutal à cette époque, du reste nous en endurons toujours les conséquences .
Nous revivons par l’écrit et les images ce passé si insouciant quand tout nous semblait permis, surtout le sexe partagé avec qui et quand on le voulait, dans une atmosphère libertine et sensuelle permanente. Les corps se dénudaient sur les plages, le haut mais aussi le bas. Les fêtes fréquentesd au cours desquelles des couples éphemères se formaient le temps d’une nuit, parfois plus..
Oui, bien qu’étiolé aujourd’hui, nous avions vécus au sein d’un groupement (je pourrais dire une tribu) humain solidaire, dans lequel il faisait bon « vivre ensemble », sans exclusion ni ségrégation, pour lequel les plaisirs érotiques étaient fondamentaux. Victoire en était la parfaite incarnation même si j’ai dû m’y faire au début de notre relation, mais jamais je ne l’ai considérée comme une traînée ! Elle avait le talent pour me faire accepter ses frasques passionnées qui seraient passées pour de graves écarts de conduite dans une société bien pensante . J’y ai pris goût, oh combien, car nous y trouvions elle et moi en bonne intelligence, grâce à P.. et Lison nos coquins complices, des plaisirs rares, critiqués par bien des grincheux (ou des envieux !).
Si P.. fut l’amant de Victoire, lui dont le sexe hors norme la pénétra, déchaînant une fulgurance et un orgasme qu’elle n’avait jamais atteints avec moi, elle s’en lassa après une dizaine d’années de « bons usages » lorsqu’elle s’impatienta de la relation régulière qu’il avait entamée avec Lison. C’est alors que le trio se forma, Victoire séduisant Lison (et ce fut réciproque), l’enlevant à P.., du moins le croyait-elle.
J’ai aimé ce rôle, à la fois d’arbitre, de chef d’équipe et de « sparring sexual partner » dans les configurations HHF avec une addiction marquée pour FFH. Ce qui n’empêchait pas mes deux chéries de prendre la liberté de s’émouvoir dans d’autres bras que les miens, occasionnellement (surtout Lison) avec P.. mais pas que !
Les week-end et les voyages que nous entreprîmes à trois nous ont laissés des souvenirs émus et attendris.