- 30 mars 2023, 16:54
#2702299
Un jour que nous étions sortis avec des amis nous avons rencontré une bande d’Africains dans un café, et parmi eux elle reconnu Daniel ; des tournées furent offertes, bref au bout de quelques heures nous étions bien entamés, et nous nous sommes retrouvés, Victoire et moi avec Daniel dans la discothèque d’Africains dans lequel Ali et P.. nous avait emmenés. Il y avait tant de monde qu’on ne dansait pas on se compressait, la petite Victoire était perdue dans une marée de géants et c’est Daniel qui alla la sauver en la prenant dans ses bras. On buvait, en riait des blagues qui fusaient. Epuisés nous revînmes péniblement chez nous, Victoire complètement saoule marmonnait qu’elle voulait se le faire en parlant de Daniel! Parole d’ivrogne mais peut être pas tant que ça ! Elle avait beaucoup parlé avec lui alors que je copinais avec une jeune africaine. « Tu sais, il est étudiant en physique fondamental à l’université de L.. il prépare sa thèse. Une tête quoi ! » me dit-elle. « Et vous avez bien entendu parlé physique, pas vrai ? » Elle se mit à rire.. « De quelle physique tu veux dire ? » dit-elle espiègle !
Les jours passèrent. Puis un soir elle m’annonça qu’elle sortait.. Voyant que j’attendais la suite, elle me dit que Daniel, « tu sais bien, l’universitaire qu’on avait rencontré .. » l’invitait elle, pas moi, pour une sortie dans un resto africain puis en discothèque, celle dans laquelle nous avions été. En lui donnant notre numéro de téléphone, elle avait clairement décidé de le revoir. Je pris un air faussement choqué par la façon cavalière de Daniel d’inviter mon épouse seule, sans même m’en parler, mais je devinais ce qui pourrait peut être se passer ensuite.. Puisque c’était ainsi j’irais au cinéma avec des amis, sans toi !
Elle alla se changer et se maquiller : elle s’était faite sexy mais discrètement, à sa façon !
En revenant du cinéma je ne m’attendais pas à la trouver à la maison. Mais je ne m’attendais pas non plus à la voir rentrer à cinq heures du matin, plus très présentable. « C’est à cette heure-ci que tu rentres ? » lui dis-je en me réveillant..
Elle voulu parler, mais avant qu’elle ne commence, je lui ai demandé « tu as couché avec lui ? » Elle a ri, comme chaque fois qu’elle est embarrassée. « Mais attends que je t’explique, enfin ! » J’étais toute ouïe.. « Bon OK vas-y ».
« Oui, ça s’est passé puisque tu veux le savoir tout de suite ».
Elle m’a raconté sa soirée au resto africain, décidément elle n’aime pas cette cuisine ! Ils étaient avec un couple et un homme seul, un très bel homme a-t-elle précisé. Après avoir pas mal bu ils se sont retrouvés tous à la discothèque africaine bien connue où Daniel a fait un tabac en se montrant accompagné par une jeune blanche, la seule du lot !. Tous voulaient l’approcher, danser avec elle, tous lui parlaient du « fruit défendu » ! « Des obsédés » a-t-elle dit.. Daniel a dû venir mettre de l’ordre. Laissant le couple d’amis et le « bel homme », ils quittèrent la discothèque pour aller prendre un dernier verre chez lui, à deux pas de là. Il a un bel appartement bien aménagé qu’il partage avec son colocataire. Il l’a fit se mettre à l’aise, et s’asseyant à côté d’elle sur un divan, il lui pris la main qu’il posa sur son pantalon à un endroit bien précis.. Elle savait bien ce qui l’attendait mais elle fut surprise que ça démarre aussi fort.. Elle poigna au travers du tissu l’engin qui ne demandait que ça. Il lui caressa les seins au travers de son chemisier .. Les vêtement commencèrent à être déboutonnés de part et d’autre, une queue noire et raide jaillit brusquement sous le nez de Victoire, qui refusa de la sucer.. « Quoi ? elle ne te plaît pas ? » lui demanda Daniel faussement vexé. .Elle lui dit que c’était réservé à son mari et à son amant. Elle se retrouva rapidement nue, lui aussi sauf qu’elle lui fit enlever, car ne les supportant pas, chaussettes et baskets. Pour elle on ne baise pas en chaussettes ni baskets, ni casquette ! Il l’a souleva comme une plume pour la déposer délicatement sur le drap de son lit, et s’allongea à son côté. « Laisse-moi admirer et découvrir ton corps de blanche.. » Il voulait parcourir de la main toutes les parties de son corps, en commençant pas les pieds menus de Victoire, remontant le long de ses jambes, puis de ses cuisses, évita la fente mais poigna son Mont de Vénus charnu, palpa les hanches, puis les seins dont il agaça les tétons avec la langue. Il la retourna sur le ventre et lui fit écarter les cuisses : il palpa ses fesses, massa son dos et sa nuque, pour finir par le « fruit défendu ». Il lui caressa la vulve déjà bien humide, s’occupa longuement de son clitoris ce qui la fit frémir de plaisir, puis introduisit deux doigts dans son petit trou.. Elle se contorsionna de plaisir et lui dit de venir en elle. Il l’a remit sur le dos, lui fit replier les jambes et laissa la main de Victoire s’emparer de sa queue pour la « diriger sur zone » (expression de Victoire). Il l’a pénétra d’un coup jusqu’au fond. Elle lui dit d’y aller doucement. Ce fut peine perdue : il ne put calmer son ardeur, c’était plus fort que lui disait-il ! A tel point qu’il se lâcha trop vite et gicla sa semence au petit bonheur ! Il eut beau se confondre en excuses, il ne l’avait pas mené à jouissance, elle se sentait frustrée. C’est alors que Daniel fut sauvé par un Jocker inattendu : son coloc, en la personne du « bel homme » de la soirée venait d’arriver. Découvrant la scène en même temps que le désarroi de son ami et la frustration de Victoire, il avait vite compris ce que son ami attendait de lui . En deux temps trois mouvements il était nu, une longue queue avait jailli, déjà prête à entrer en action. Victoire lui dit d’ôter ses chaussures, ses chaussettes et ses lunettes noires !.. et s’apprêta à l’accueillir en elle. Il commença par un cunni qui l’a remis sur la voie de la jouissance. Une fois bien chauffée, il l’a pénétra en douceur jusqu’au tréfonds de son ventre. En sentant son utérus repoussé par les mouvements saccadés de cette forte queue, elle se demanda si le vagin des femmes noires n’était pas plus profond que celui des blanches !.. Sous les yeux de Daniel il l’a baisée longtemps, provoquant un bel orgasme qu’elle exprima par une vocalise qui lui est propre : « ils m’ont dit que j’avais poussé un hurlement de bête sauvage en trois temps, avant de reprendre mon souffle »! Arrivé à terme lui-même il s’enfonça au plus profond du ventre de Victoire et lui fit cadeau de ses gamètes d’Africain.
Daniel dont l’organe reprenait vigueur après son échec cuisant s’apprêtait à prendre la relève. Victoire réclama une pause et un verre d’eau. Elle subit plus qu’elle n’accueillit les ardeurs de Daniel, moins délicat que son ami mais non moins efficace car elle eut à nouveau un bel orgasme mais cette fois exprimé différemment, dirent-ils ! Les deux hommes eurent alors l’idée de la pénétrer en double, mais Victoire leur dit non: elle en avait déjà subit une et ça lui avait suffit : la douleur avait à peine été compensée par une jouissance pourtant forte.
Elle se retira dans la salle d’eau pour mettre le Tampax de circonstance et se rendre « présentable au peuple » comme elle aime le dire !..
Après s’être rhabillée péniblement, ils la remercièrent pour la chaude soirée. « Tu reviens quand tu veux, tu n’as qu’à faire signe à Daniel » lui a dit l’ami coloc dont elle ne connu pas le nom.
J’avais à peine attendu ses derniers mots pour partir à l’assaut. En la déshabillant elle dégageait une odeur de tabac, de sueur et de stupre. Mais je n’en eus cure. Elle me prévint de la présence d’un Tampax au cas où je ne l’aurais pas remarqué. Nous nous sommes allongés et j’ai tiré délicatement sur le petit cordon faisant apparaître un tampon gorgé de miasmes. La vue de sa chatte béante, rougie par l’action m’excita et me fit durcir à me faire mal.. Seule solution : pénétrer au plus profond pour jouir dans ce que ses petits camarades de jeux lui avaient laissé en souvenir. Mais la pauvre, elle n’en pouvait plus et je n’arrivai pas à l’amener à jouissance, contrairement à moi. Après m’être vidé en elle, elle m’éjecta, se tourna sur le côté et s’endormit.
Je la laissai dormir, expliquant aux enfants que maman était fatiguée et un peu malade, il fallait la laisser tranquille. L’après-midi elle apparut reposée, pimpante et d’humeur coquine : « si tu me veux maintenant… » me dit-elle à l’oreille ! « Maman n’est plus malade ? », clamèrent les enfants ?
NB Je n'ai forcément pas de photos illustrant cette aventure. J'en post d'autres en espérant qu'elles vous plairont.