- 15 mars 2023, 20:03
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Revenu chez nous et, comme souvent après une partie de jambes en l’air, je l’ai trouvée dans son bain, éveillée et d’humeur bavarde. « Viens dans l’eau avec moi ».. Je m’y suis glissé et face à elle, entremêlant nos jambes, elle m’a demandé de l’excuser pour ce qui était arrivé hier soir chez T. « Tu sais, ce mec m’a drogué avec son shit et puis j’avais bu pas mal ! Quand j’ai senti ses mains progresser entre mes cuisses, j’ai flanché : je savais ce qui pouvait arriver mais j’étais incapable de résister et de réagir en lui flanquant une claque par exemple. Je me répétais : tu vas voir, il va vouloir te baiser, et plus je me le répétais plus mon fantasme de viol me donnait envie. Quand il m’a demandé de le suivre, je l’ai fait comme une petite chienne que je suis ! » ..
OK pour l’excuser mais il fallait qu’elle me raconte ce qui c’était passé dans le détail. Les yeux dans les yeux elle me raconta…
Elle ne le connaissait pas, ni même son nom. Elle voulait parler à une amie assise à côté du gars mais comme il n’y avait pas de place il lui avait proposé ses genoux. Il était très drôle, il la faisait rire, tout comme sa copine. On buvait encore et encore. Il avait sorti de sa poche une pochette de shit et s’était mis à s’en rouler une pour lui, puis une pour chacune. Elle s’était sentie devenir « high », c’était agréable.. Cachée par la table, il lui avait mis une main sur la cuisse en remontant sa jupe légère ; elle l’avait laissé faire. Il avait progressé vers le haut, jusqu’à sa petite culotte, elle avait trouvé ça agréable. Passant un doigt puis deux sous l’élastique il lui avait touché le sexe, ça l’avait excitée.. Dans son brouillard cérébral elle avait trouvé ça osé mais l’excitation compensait largement sa gêne.. Elle se disait qu’il allait la violer et l’idée l’excitait. Il introduisit un puis deux doigt dans sa fente déjà humide. Il l’avait caressée tout en parlant avec ses voisins de tables, continuant à amuser la galerie! Tout en riant un peu fort elle sentait le plaisir et l’excitation monter, sa respiration accéléra. Subitement il lui dit qu’il avait envie de prendre l’air au jardin.. « Viens avec moi » lui dit-il. Dans cette atmosphère enfumée un peu d’air frais ne pouvait que faire du bien pensa-t-elle. Elle hésita quelques minutes se demandant si elle ne devrait pas rentrer se coucher, mais décida de sortir au jardin.
Il l’attendait… Il lui fit un peu peur en surgissant soudainement. Il l’avait saisie à bras le corps, plaquant ses lèvres sur les siennes, une main cherchant son entrejambe au travers de la jupe. « Tu en veux toi hein ! , je sens que tu mouilles petite salope ! » La saisissant par le bras il l’entraîna dans l’obscurité vers la piscine.. Elle se laissa faire sans réagir, elle planait dans un songe tout en rêvant qu’il la viole.. Sans qu’elle s’y opposa, il se mit à la déshabiller avec ardeur tout en lui embrassant les seins, le ventre, les fesses. Elle se retrouva nue ; il la plaqua sur le matelas. Elle protesta sans conviction pendant qu’il enlevait le nécessaire, tout en la maintenant au sol, mais elle ne se sentait pas le désir d’appeler à l’aide et encore moins de fuir. Elle avait maintenant conscience qu’allait se concrétiser un de ses fantasmes : le viol ! « Pourquoi pas lui, au moins il me plaît » se disait-elle. Elle avait rêvé d’être violée par un bel inconnu, qui l’entraînerait de son plein gré dans un buisson, et voilà que c’était en train de se réaliser. Plaquée sur le matelas, elle se débattit pour la forme ce qui eu pour résultat d’exciter follement son « bel agresseur ». Il força ses cuisses et lui mangea la chatte, suça le clitoris, lui fit un cuni d’enfer ! Elle se laissa envahir par la volupté, apprécia ses coups de langue en lui maintenant la tête avec les mains contre son pubis épilé. Mais il avait une autre idée en tête : la retournant sur le ventre, il mit un préservatif et voulu s’introduire entre ses reins, ce qu’elle n’avait jamais fait et ne le voulait pas. Elle lui dit « Non pas ça, laisse-moi te chevaucher, et je veux ta queue nue, je ne supporte pas les capotes » , en lui arrachant le latex... Une fois sur lui, elle saisit son membre qui lui sembla bien gros pour sa petite chatte. Elle orienta son gland contre l’entrée de son vagin et le fit pénétrer en elle. « Il est très gros » pensa-t-elle, autant que celui de P.. « Peut-être plus long » car elle le sentait s’enfoncer encore et encore jusqu’à heurter sans ménagement son utérus qu’elle sentit repoussé. En grognant de plaisir il la baisa dans le noir, entrecoupé d’éclairs de chaleur ; il la fit gémir, elle sentait qu’elle viendrait vite car une queue inconnue baise mieux et donne plus de plaisir. Puis l’orgasme l’envahit brusquement, précisément lorsque je l’ai appelée. Elle tomba à plat ventre sur lui, écrasant ses seins sur son torse velu. « Je dois y aller tout de suite, mon mari m’attend » .. Etant sur le point d’éjaculer il la supplia de lui laisser le temps de jouir en elle ; ils continuèrent le temps qu’il vienne. Lorsqu’il se mit à rugir, elle sentit en elle la puissance du premier jet de sperme mais se dégagea rapidement, le laissant, la queue à la main, tirer sa semence vers les étoiles. Elle se rhabilla sommairement, ne retrouva pas sa petite culotte et fila à la voiture, ses bas et son soutif à la main. En me retrouvant elle avait honte : elle s’était laissée enfumer par cet homme et il l’avait même violée. ! « Tu as donc réalisé un de tes fantasmes ? » lui ai-je demandé. Elle m’avait répondu « oui, c’est le genre de beau mec inconnu, bien monté, qui correspond à mon idéal de violeur ! » En détaillant avec minutie cette aventure, elle savait que ça m’exciterait, que ça me ferait raidir la queue. Déjà elle pointait à la surface de l’eau, elle s’en saisit et se mit à en téter le gland pour mon plus grand plaisir ; il ne fallu guère de temps pour qu’un petit geyser en jaillisse..
Peu de temps après cette fête, l’hôtesse, notre amie, me téléphona. Après les remerciement et les parole d’usage au sujet de la santé et du temps qu’il faisait, elle demanda à parler à Victoire, qui était absente. Avec des précautions oratoires elle m’expliqua qu’elle était au courant de ce qu’il y avait eu entre Victoire et son grand ami. Cet ami l’avait appelée pour lui dire qu’il avait été très impressionné par Victoire, il ne connaissait pas son nom et aurait souhaité la revoir pour tout au moins lui rendre sa petite culotte qu’il avait gardée en souvenir. Elle lui avais dit qu’elle transmettrait. Réaction de Victoire : « quel cuistre, il n’a qu’à la manger ma petite culotte… mais qu’est-ce qu’il baise bien ! ». On en est resté là.
Une semaine est passée sans qu’elle ne me parle de P.. son amant. Un soir elle m’a exhibé fièrement sa petite culotte qu’elle avait récupérée.. « Tu sais bien , celle avec des petites étoiles que j’avais perdue le soir de la fête chez T ! » Comment avait-elle fait ? Mais pardi ! en allant la chercher chez celui qui la lui avait subtilisée voyons ! Elle avait retrouvé sa trace grâce à notre amie T.. et avait été le voir. Et après ? Eh bien ils se sont fait un câlin, enfin un peu plus.. Mais encore ? Il l’avait baisée en échange de sa petite culotte, c’est aussi simple que ça ! C’est ce qu’on appelle du « win-win » !
Je lui ai demandé si elle comptait en faire un nouvel amant en plus de P... Elle a pouffé ! Je n’en ai rien tiré de plus ce soir-là. Quelques semaines plus tard, P.. étant en voyage en Afrique chez un ami Nigérien, et moi à l’étranger pour affaires, j’ai voulu savoir si elle avait trouvé un substitut à nos absences. Elle a ri, comme souvent quand elle se trouvait embarrassée. Me montrant plus pressant, elle avoua. Oui, elle avait été retrouver son « beau violeur » ! « Il a remplacé P.. et je n’ai pas eu à le regretter ! »
Elle avoua que ça s’était passé une dizaine de fois.. pas plus ! « Je ne te l’ai pas dit mais il est marié avec enfants, ça compliquait les choses ! »
Quelques jours plus tard elle reprenait « du service » avec P.. comme elle disait et elle ne me parla plus du beau violeur. Mais elle était contrariée car elle savait que son amant avait noué une liaison avec une jeune femme, une cliente à lui. Elle lui a envoyé un ultimatum téléphonique : c’était l’autre ou elle. Elle eut gain de cause.
L’automne arriva, le temps se gâcha, et les ardeurs faiblirent avec la température.
Les semaines passèrent, elle lui rendait visite moins souvent, une à deux nuits par semaine, parfois l’après-midi mais était-ce avec lui ? Je ne l’aurais pas juré.. Mais nous nous retrouvions avec plaisir les autres nuits et les week-end avec les enfants.