- 24 mars 2024, 14:03
#2788228
Cher Dionysos, quelle plaisir nous avons eu à te lire. Ton analyse si pénétrante, lumineuse, clairvoyante a ravi Victoire qui a dit, après t’avoir lu, que tu l’as cernée de tellement près qu’elle ne peut plus que se rendre… et danser le tango avec toi !
Oui, j’ai eu peur.
Sa première aventure lors de la fête chez une amie m’avait déjà alerté, mais j’avais estimé que l’alcool aidant, elle avait cédé malgré elle à une pulsion irrésistible pour cet homme séduisant mais redoutable. J’avais eu très peur mais je l’ai contenue grâce à notre longue expérience libertine. Et cette peur s’est mutée en expérience érotique : le candaulisme vint à mon secours ! En faisant le parallèle avec une aventure similaire beaucoup plus ancienne, je me suis rassuré car celle-là n’avait pas eu de suite, ou si peu ! Je m’étais convaincu que je devais la laisser exprimer ses pulsions sans intervenir.
Pourtant cette nouvelle aventure s’apparentait bien à un quasi adultère car ce qu’elle fit s’écartait de nos conventions tacites. Elle le rencontra à mon insu, elle accepta de partir avec lui sans m’en parler au préalable, alors là oui, je fus jaloux et elle le comprit bien, aussi elle tenta de me calmer en me promettant de tout me raconter ou presque, comme elle avait dit, façon d’aiguillonner mon excitation ! Elle se justifia : « je ne suis plus jeune, j’ai repris des hormones pour te faire plaisir mais pas que.. Je ressens des pulsions et des envies érotiques. D’un côté il y a Lison, toi et moi, et de l’autre il y a P.. toi et moi. Mais tu sais bien que je m’en fatigue, P.. n’est plus un jeune homme et il préfère coucher avec Lison, et toi non plus du reste, alors quand un beau mec, jeune, intelligent, cultivé s’intéresse à une cougar comme moi sans que je l’ai sollicité, je me sens flattée, captivée, courtisée. Je me suis donnée à lui, il le voulait tellement, et je ne l’ai pas regretté, même qu’il m’a prise dans les reins, ce que tu as fait avec Lison mais jamais avec moi ! »
Elle est donc partie au bras de son jeune amant ; j’étais à moitié rassuré, en me disant que la différence d’âge jouerait en ma faveur tôt ou tard. Il aurait eu vingt ans de plus, je me serais alarmé !
Mais elle ne communiqua pas pour me rassurer, augmentant à la fois mon angoisse, ma jalousie et mon excitation. J’aurais enduré durement cette semaine d’absence, imaginant des scénarios les plus invraisemblables si je n’avais pas fait venir Lison chez moi ; elle s’installa comme une nouvelle épouse. Elle fut exquise et cela me calma.
Lorsqu’enfin j’ai rencontré cet homme jeune et beau, mon rival, je l’ai trouvé très sympathique. J’ai été rassuré par ce qu’il me dit. Il ne voulait pas mettre à mal notre couple. Il avait eu beaucoup de plaisir à connaître Victoire si intimement et pensait que c’était réciproque, et de façon très discrète me demanda s’il pourrait encore la revoir. Je lui répondis que c’était à elle de poser la question. Et le tango coquin continuait…
Dionysos06 a écrit :@trestigres merci chère tsarine pour cette jolie dédicace si dionysiaque. Je sais ton attrait pour les appâts masculins conséquents qui te comblent d'aise lors de tes parties de baise.
Voici une preuve supplémentaire de l' immense appétit sexuel, couplé à un non moins immense besoin de liberté et de découverte chez Victoire. Malgré, ou à cause ?, des ans, la tsarine ne pouvait se résoudre à capituler face à ses impérieux désirs libertins et à cette nécessité viscérale qu'ont les femmes sexe prouver qu'elles plaisent encore et toujours aux hommes. Le choix de M comme amant s'inscrit évidemment dans cette trajectoire. Je dis amant et non complice, car sa dissimulation visuelle s'apparente à ce que je qualifierais "d'adultère partiel par omission" : ne rien montrer à son mari, mais ne rien lui cacher. Évidemment, il faut se mouvoir dans l'univers libertin pour en saisir le sens, et en apprécier la complexité. Et Victoire et toi possédaient cette capacité cognitive du fait de vos pratiques.
Comment ne pas être soufflé et ébloui par l'audace de la tsarine partant en escapade sexuelle soudaine avec son jeune amant ? Comment ne pas être attendri voire ému par l'approbation compréhensive du mari candauliste qui n'aura que son imagination pendant cette absence ? Il faut être deux pour le tango coquin ; et comme vous le dansez bien !
Ta description clinique et teintée d'effroi dissimule de M montre à quel point cet homme remarquable eût été ton vrai rival s'il avait été plus âgé. Eut-il été capable de te ravir Victoire ? Ce n'est pas impossible tant ses qualités intellectuelles, son physique et son humour en faisaient un adversaire particulièrement redoutable. Bien davantage que P dont l'appétit sexuel démesuré et peu sélectif ainsi que le moindre rayonnement intellectuel ne prouvaient qu'user Victoire. En effet, au-delà du plaisir sexuel que procure un amant étalon comme P, la tsarine doit connaître l'ivresse de la joute intellectuelle, les duels culturels à fleuret moucheté, et l'humour qui la cueille et l'enveloppe.
Vivement la suite de vos trépidantes aventures.
Cher Dionysos, quelle plaisir nous avons eu à te lire. Ton analyse si pénétrante, lumineuse, clairvoyante a ravi Victoire qui a dit, après t’avoir lu, que tu l’as cernée de tellement près qu’elle ne peut plus que se rendre… et danser le tango avec toi !
Oui, j’ai eu peur.
Sa première aventure lors de la fête chez une amie m’avait déjà alerté, mais j’avais estimé que l’alcool aidant, elle avait cédé malgré elle à une pulsion irrésistible pour cet homme séduisant mais redoutable. J’avais eu très peur mais je l’ai contenue grâce à notre longue expérience libertine. Et cette peur s’est mutée en expérience érotique : le candaulisme vint à mon secours ! En faisant le parallèle avec une aventure similaire beaucoup plus ancienne, je me suis rassuré car celle-là n’avait pas eu de suite, ou si peu ! Je m’étais convaincu que je devais la laisser exprimer ses pulsions sans intervenir.
Pourtant cette nouvelle aventure s’apparentait bien à un quasi adultère car ce qu’elle fit s’écartait de nos conventions tacites. Elle le rencontra à mon insu, elle accepta de partir avec lui sans m’en parler au préalable, alors là oui, je fus jaloux et elle le comprit bien, aussi elle tenta de me calmer en me promettant de tout me raconter ou presque, comme elle avait dit, façon d’aiguillonner mon excitation ! Elle se justifia : « je ne suis plus jeune, j’ai repris des hormones pour te faire plaisir mais pas que.. Je ressens des pulsions et des envies érotiques. D’un côté il y a Lison, toi et moi, et de l’autre il y a P.. toi et moi. Mais tu sais bien que je m’en fatigue, P.. n’est plus un jeune homme et il préfère coucher avec Lison, et toi non plus du reste, alors quand un beau mec, jeune, intelligent, cultivé s’intéresse à une cougar comme moi sans que je l’ai sollicité, je me sens flattée, captivée, courtisée. Je me suis donnée à lui, il le voulait tellement, et je ne l’ai pas regretté, même qu’il m’a prise dans les reins, ce que tu as fait avec Lison mais jamais avec moi ! »
Elle est donc partie au bras de son jeune amant ; j’étais à moitié rassuré, en me disant que la différence d’âge jouerait en ma faveur tôt ou tard. Il aurait eu vingt ans de plus, je me serais alarmé !
Mais elle ne communiqua pas pour me rassurer, augmentant à la fois mon angoisse, ma jalousie et mon excitation. J’aurais enduré durement cette semaine d’absence, imaginant des scénarios les plus invraisemblables si je n’avais pas fait venir Lison chez moi ; elle s’installa comme une nouvelle épouse. Elle fut exquise et cela me calma.
Lorsqu’enfin j’ai rencontré cet homme jeune et beau, mon rival, je l’ai trouvé très sympathique. J’ai été rassuré par ce qu’il me dit. Il ne voulait pas mettre à mal notre couple. Il avait eu beaucoup de plaisir à connaître Victoire si intimement et pensait que c’était réciproque, et de façon très discrète me demanda s’il pourrait encore la revoir. Je lui répondis que c’était à elle de poser la question. Et le tango coquin continuait…