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#2766609
Toto44 a écrit :@trestigres

Merci, Merci, Merci !
Vos récits sont toujours merveilleux et tellement bien narrés !

Vous m'aviez manqué !


Merci aussi d'apprécier nos tranches de vie. Mais vous aussi vous nous avez manqué, alors ne nous abandonnez pas. Je me donne du mal à rédiger ces récits à partir d'innombrables carnets, bouts de papier, journal de Lison écrit ou dicté sur clé USB (pas facile de comprendre quand elle sanglote!), interview par emails des acteurs encore vivants (y en a plus des masses!).
Il me faut des lecteurs, j'aime vous lire et Victoire encore plus que moi. Manifestez-vous si vous en avez envie bien sûr et aussi si vous en avez le temps, car je vois bien que vous êtes tous encore dans la fleur de l'âge donc fort occupés à gagner votre vie.. Pour nous hélas, les carottes sont cuites...
mika007, maxou501, Fantasiou et 1 autres a liké
#2766662
@Dionysos06 excellente analyse, comme toujours d'ailleurs. Si trestigre avait été libre Lison en aurait fait l'homme de sa vie ce qui , vu la situation, était impossible.
@trestigres c'est vraiment un gros travail que tu fais et dont tu nous fais profiter. Tout cela doit vous faire voyager à travers le temps Victoire et toi. Passez de bonnes fêtes de Noël.
#2766776
Dionysos06 a écrit :@trestigres, je vais débuter par le plus simple. Que ces photos sont magnifiques, pleines de joie de vivre, de sensualité et de charme ! Une capsule temporelle vibrante de bonheur qui doit re réjouir et t'attrister à la fois.

Je passe maintenant au complexe et au meilleur. Ce long récit s'avère l'un des plus riches et passionnants que j'ai lu sur ce forum. Félicitations. Quelle riche idée que ce dialogue à quatre mains entre Lison et toi ! Je le qualifie de balzacien tant il explore sans fard, et avec la précision diabolique d'un scalpel, les aléas de l'âme humaine. Tout y est, rien n'est omis. De la peur de vieillir, à la passion sexuelle et amoureuse, à la jalousie, aux hésitations et aux revirements du cœur dont les battements s'avèrent parfois intermittents. Une leçon de vie.

Lison apparaît dans toutes ses fragilités et sa complexité qui la rendent si attachante.

Tu es l'amant aimant, honnête et quelque peu jaloux, mais foncièrement épris d'elle sans jamais la manipuler.

Quant à ce Michel, qu'en dire ? Un homme à ton opposé : possessif, jaloux, obsédé, mort de faim et manquant, au fond, de sécurité affective et sentimentale. Lison eut le nez creux de partir avant qu'elle ne fût sa chose et son objet sexuel.

Comment ne pas évoquer Victoire, la tsarine ? Égale à elle-même et fidèle à ses deux hommes, P et toi. Une libertine assurée, affirmée, aristocratique, tout à la fois épouse, mère, amante et salope assoiffée de sexe. Je l'imagine sur cette plage de la Barbade, belle, nue, dorée, coquinant avec P en ton absence. Mais je souligne aussi sa lucidité, sa maîtrise d'elle en sachant quand sa relation libertine avec P va trop loin ou la lasse. Une sacrée femme ! Une héroïne de Dostoïevski.


Toujours aussi fin psychologue, merci Dionysos pour cette analyse très juste. Tu as parfaitement cerné la personnalité et la psychologie de ces deux femmes, actrices naturelles mais ô combien talentueuses de cette tranche de vie qu’on pourrait comparer « mutatis mutandis » à la Comédie Humaine..
Lorsque sa belle fille me confia le journal de Lison, une anthologie mettant en valeur la personnalité et la charge érotique de son autrice, en le parcourant rapidement j’ai compris toute la richesse que je pourrais en tirer pour compléter mon récit. Il éclairait bien des aspects de sa psychologie, de son caractère, de son charme, de sa sensualité aussi. La clé USB contenait des photos mais aussi des séquences enregistrées émouvantes, des sanglots compliquant le décryptage du propos, évoquant notamment son aventure malheureuse avec ce Michel dont elle a oblitéré de sa mémoire jusqu’à son souvenir.. Elle parlait de P.. , de Victoire, de moi aussi. Je percevais l’angoisse, la colère parfois, mais plus souvent l’amour dans ses propos enregistrés. L’entendre alors qu’elle n’est plus est poignant. Je ne me lasse pas d’écouter nos ébats bien plus que de les visionner. Elle est drôle, fantasque, coquine, excitée, sensuelle puis finalement silencieuse avant l’orgasme ; une fois l’explosion passée, elle gémit, soupire, sanglote, se traite de pute, de chienne tout en exigeant d’être bourrée, exprimant ses fantasmes, en attendant d’être inondée par P.., moi ou un autre !
Victoire, en bonne Tsarine, vole par dessus les aléas de la vie éprouvés par son petit peuple d’amants et mari! Elle n’en a cure, elle file à la Barbade, y fait venir son amant dont elle se lasse vite, m’abandonne aux bras de Lison en passant le we à Londres, se donne à un amant d’un soir.. ou deux ! Elle a aimé les corps noirs bien montés, ce qui a donné des idées à ma chérie qu’elle a mis en pratique. Sa « faiblesse sublime » qu’elle nomme ainsi, fut de s’adonner toujours en ma présence à des coquineries saphiques avec Lison alors qu’elles ne sont bisexuelles ni l’une ni l’autre. Mais elle me revenait toujours, aimante et désireuse d’amour. Baiser ? c’était le rôle dévolu à ses amants.
Je redoute d’arriver au terme de notre histoire, à son addiction pour l’alcool, son laisser aller physique et mental, son désintérêt pour le sexe après une ultime bacchanale dionysiaque à laquelle P.. et moi participâmes, qu’il me faut encore conter mais dont je ne trouve nulle trace dans son journal .
Mon irremplaçable Lison périt minée par l’alcool une nuit de février 2020, seule. L’unique témoin muet fut son chien..
Elle avait soixante-dix ans .
#2766781
@trestigres j'imagine sans peine l'intensité de ces souvenirs, la puissance de cette voie d'outre-tombe mais pas d'outre-cœur, et la déflagration qu'occasionne (parfois ? souvent ?) le journal intime de Lison.
Quant à Victoire, elle demeure une étoile, non pas filante, mais brillante...dans tous les sens du mot.
#2766797
maxou501 a écrit :@Dionysos06 excellente analyse, comme toujours d'ailleurs. Si trestigre avait été libre Lison en aurait fait l'homme de sa vie ce qui , vu la situation, était impossible.
@trestigres c'est vraiment un gros travail que tu fais et dont tu nous fais profiter. Tout cela doit vous faire voyager à travers le temps Victoire et toi. Passez de bonnes fêtes de Noël.


Oui oui, mais c'est dur dur! je suis à la peine quand je rédige, avec tous ces souvenirs qui remontent comme des bulles à la surface.. Fortes émotions pour notre vieux couple.
Merci pour vos voeux! Joyeux Noël également
#2767035
Extrait du journal

Vendredi 16
Aucune nouvelles de D.. Victoire est sûrement rentrée de la barbade depuis longtemps, alors il est avec elle, je me dis..
Je téléphone à son frère mais j’ai le répondeur. Je laisse un message.

Samedi 17
Son frère m’a appelé tôt mais je dormais ! Zut j’ai tout faux ! Il a laissé un message : il dit que D.. est au Mali et qu’on peut pas l’atteindre. Il dit aussi qu’il a souffert dur dur.. Est-ce qu’il voudra encore de moi ?
Je le rappelle aussitôt mais il ne répond plus .Je désespère..
Je me décide à appeler Victoire. Elle me répond . J’ai dit que j’étais revenue et ne repartait plus. Elle a dit «ah bon, c’est fini avec ton gars des landes?» Elle m’a invitée pour demain midi..

Dimanche 18
Elle a été sympa avec moi. Elle m’a prise dans ses bras quand j’ai pleuré, elle m’a dorlotée. Après le déjeuner on a fait une sieste, on s’est un peu caressées, elle a découvert que mon pubis était épilé, elle a adoré passer et repasser ses doigts sur mes lèvres et dans ma fente. Même que je mouillais, ça m’a fait un bien fou. Elle ne sait pas au juste quand D.. rentrera, dans une semaine ?

Lundi 19
Faute d’enfant, je me consacre à mes beaux enfants et à mes neveux et nièces, ça m’apaise en attendant que mon chéri réapparaisse.
J’en profite pour visionner les cartes- S.. mémoires . Les photos sont belles mais c’est cochon. Je visionne aussi celle que j’ai prise à P.. Y en a une où on les voit tous les deux enfoncés dans mon ventre! Et dire qu’ils m’ont fait ça ! Je ne regrette pas, j’ai aimé, c’était un de mes fantasmes, j’aime que deux homs s’occupent de moi, que mon corps les excite, les fait raidir… mais je ne pense pas refaire ça de si tôt.

Dimanche 25
Il m’a appelé ! Du Mali ! Il rentre bientôt qu’il dit.. il est malade !
J’ai besoin de lui, de le prendre dans mes bras de l’embrasser, qu’il me fasse l’amour..

Jeudi 29
Il est revenu! Victoire m’a appelée, il est très fatigué et un peu malade , paraît que c’est le palu qu’il aurait chopé

Vendredi 30
Je l’ai eu au téléphone : il veut bien encore de moi.. Il a dit «oui plus que jamais». Je suis sauvée, c’est lui que j’aime ! Il soigne son palu, viendra quand il se sentira mieux.. Viiite !

Lundi 3 mai
Il ne m’a pas appelée depuis 2 jours ! Pourquoi ?

Mardi 4
Envoyé un sms pour demander ce qui se passe. Il a répondu : Patience !
M’enfin pourquoi ?

Vendredi 7
Hier je dormais, il a déboulé chez moi en pleine nuit, déverrouillant la porte en silence avec sa clé, il est monté dans ma chambre et il s’est glissé nu sous la couette, tout contre moi !
J’ai cru que je rêvais, j’ai eu peur mais quand il m’a dit «bonsoir ma Lison» j’ai su que c’était gagné! J’ai serré son corps froid contre le mien, très chaud. Il a fait voler ma nuisette, puis saisissant sa queue déjà raide, la caressant avec douceur, j’ai guidé sa main… Surprise!, je lui fis sentir mon bas ventre épilé. J’avais mis du talc vu que j’étais encore un peu irritée, ce qui fait que c’était encore plus doux. Il n’en pouvait plus, il m’a prise et comme des furieux on a fait l’amour.. Enfin !

Samedi 8
Victoire est à Londres pour le we. Je vais avoir mon chéri pour moi toute seule



« Tu voudras encore de moi après mon aventure ratée avec Michel ? » me demanda Lison lorsque je l’eusse eue au téléphone. Je la rassurai. Mais je décidai de la laisser mijoter quelques temps l’échec de sa tentative à trouver l’âme sœur. Je me consacrai à Victoire qui me retrouva avec plaisir, ce qui ne l’empêcha pas de rejoindre certaines nuits son amant qui ne lui déplaisait plus.
Après l’avoir fait languir un peu, profitant de l’absence de Victoire partie un we en visite à Londres, j’allai retrouver Lison pour la première fois depuis son retour. Je décidai de la surprendre en pleine nuit dans son sommeil.. Je me glissai dans son lit, provoquant un mouvement de panique animale, puis soulagée après que je lui eus dit « bonsoir ma Lison », elle me dit « ah toi alors, tu m’as fait une de ces peurs! » Elle était affamée de sexe : elle se jeta dans mes bras, prit ma queue raidissante. « Enlève-moi cette nuisette maintenant, tout de suite, j’ai une surprise, je te veux en moi, baise-moi mon amour ! » Je m’exécutai, ravi de son enthousiasme. Elle fut nue, écrasant ses seins contre mon torse et me prenant la tête entre les mains me regarda nez contre nez. Dirigeant ma main vers son bas ventre tout en allumant sa lampe de chevet elle me dit « tu sens ? Et c’est définitif ! » Je découvris son sexe épilé, c’était d’une beauté et d’une douceur incroyable. « Ça te plaît? J’ai mis du talc pour la nuit, j’ai encore un peu d’irritations. Dis-moi la vérité : tu as encore envie de moi? Tu m’en veux de t’avoir trompé avec Michel ? » Je lui répondis qu’elle ne m’avait pas trompé puisque j’avais consenti à son départ ! Et qu’au contraire, cette diversion m’avait fait comprendre que je tenais fort à elle, que cela m’avait profondément frustré mais aussi excité, qu’elle ait goûté à un autre sexe que le mien ou de P.. ne pouvait qu’être bénéfique à notre relation... « Il te baisait bien ? » demandai-je « Ah mais attends, avant de le quitter j’ai subtilisé la carte mémoire de son appareil photo et de sa caméra vidéo, il en a pris beaucoup, et je ne savais pas quel usage il comptait en faire, mais ne crois pas que le spectacle t’aurait excité, il me baisait sans subtilité, un peu machinalement, rien à voir avec toi et P.. » me dit-elle! Elle pressa ma figure contre ses seins puis se couchant sur le dos, ses cuisses ouvertes révélèrent un mont de vénus et une fente talqués merveilleusement lisses.. Je me jetai sur son corps avec un appétit féroce, et pointant mon gland contre sa fente je la pénétrai d’un coup. « Doucement, doucement, tu vas trop vite et trop fort » me dit-elle, mais je n’en eus cure : je plongeais et ressortait de son ventre avec une envie de lui faire un peu mal, de la faire un peu souffrir pour s’être fait empaler par ce Michel pendant près d’un mois. Elle ne souffrit pas, elle jouit rapidement en poussant un cri de conte-alto, répliqué deux ou trois fois. « Toi tu sais me baiser comme j’aime, tu touches ma petite bouche et ça m’excite, Michel n’y arrivait pas et ça me frustrait ».
Alors elle m’expliqua que Michel avait insisté dès le début de leur relation pour qu’elle soit épilée de façon définitive, expliquant qu’il n’aimait pas les poils et qu’il avait fait épiler en institut les quelques femmes qu’il avait connues, du moins celles qui l’avaient accepté. Il avait pris rendez-vous dans un institut de Bayonne pour procéder à l’épilation par électrolyse, vu que ses poils sont blonds et fins. En quelques séances assez douloureuses ce fut chose faite, mais elle fut couverte de petites cicatrices rouges qui disparurent au bout de quelques jours. « Ça ne repoussera pas » dit-elle.. Je l’avais épilée à la crème avant que nous l’eussions baisée P.. et moi, son mont de Vénus et sa fente tout lisses nous l’avaient rendue éminemment désirable, mais lors de son départ pour les Landes sa toison avait déjà repoussée. L’évocation de ce Michel me fit curieusement débander momentanément jusqu’à ce qu’elle me parle du cuni qu’il lui fit, décrivant comment il usait de sa langue sur son clitoris pour l’amener à la jouissance. « Et pourquoi m’as-tu toujours empêché de te le faire ce cuni » lui demandai-je. Elle me répondit que maintenant elle me laisserait faire tout ce que je voulais avec son corps.. « Y compris te reprendre avec P.. ? » Ça non, elle ne le voulait plus, cela avait été trop fort et elle voulait s’écarter de P.. , sachant qu’elle ne pourrait pas lui résister s’il l’approchait encore. « Arrête de me parler de P.. ça me perturbe .. » Ou ça t’excite lui dis-je ! « Oui, ça m’excite mais c’est avec toi que je fais l’amour, ne viens pas perturber mon plaisir ! » J’en rajoutai une couche en lui disant d’imaginer que P.. est en attente de la baiser après moi.. « Arrête je t’en supplie !.. » En lui glissant dans le vagin, à côté de ma queue, son petit vibro, je lui dis « le voilà qui te pénètre, tu le sens ? » Elle se mit à respirer très fort, et sentant l’excitation monter elle tendit brusquement la jambe, qui est le signal indéniable de l’arrivée en fanfare de l’orgasme, poussa un cri animal.. « tu es un salaud, retire-le tout de suite, tu ne peux pas profiter de ma faiblesse, tu sais bien que je ne pourrais pas lui résister et toi tu en profites pour me faire jouir à travers lui ! » Je m’enfonçai d’autant plus en elle, je la bourrais en boxant sa fameuse petite bouche jusqu’à ce que je vienne brutalement, tirant tout ce que je pus dans le tréfonds de son ventre. « S’il te plaît, ne fais plus intervenir P.. lorsque nous sommes occupés à faire l’amour, ça me gâche le plaisir de baiser avec toi, enfin je veux dire, un peu quoi ! Si j’avais envie de lui, j’irais le chercher sans avoir besoin de toi.. Du reste, il m’a déjà envoyé un sms depuis que je suis rentrée de chez Michel, il aimerait me revoir, mais je suis très hésitante bien que ce n’est pas l’envie qui manque ».
J’ai passé un we très agréable avec elle. On s’est baladés, j’ai vu le manège où elle montait son étalon dans le temps, elle me présente aux gens qu’elle connaît comme si j’étais son mari, ça me trouble mais lui fait tant plaisir ! On s’est retrouvés dans le bain, celui où on s’était disputés il y a plusieurs mois, point de départ pour l’aventure avec ce Michel..
J’ai passé la nuit avec elle. Elle m’a dit qu’elle avait été émue de m’entendre dormir si calmement, si proche de son corps. Elle avoua m’avoir saisi et caressé pendant mon sommeil!
Dimanche il pleuvait. On est restés au lit en regardant la télé et aussi nos films vidéos X qui l’ont excité. Même qu’elle s’est empalée sur moi tout en visionnant des scènes très chaude ; elle se vit et s’entendit jouir ce qui déclencha un bel orgasme, simultanément au mien. C’est quelque chose que nous devrions refaire, c’était très érotique.

Extrait du journal
Lundi 10
J’ai récupéré mon chéri pour moi tout le we, au lit! On a beaucoup parlé de l’épisode «Michel», tout en faisant l’amour. Mais pendant qu’il me baise, il me parle trop de P.. même qu’il a enfoncé mon petit vibro de poche dans mon vagin en disant que c’était la queue de P.. qui me pénétrait : résultat j’ai joui comme une folle !..
Il voulait savoir combien de fois Michel m’avait pénétrée ! J’en savais rien j’ai pas compté mais c’était en moyenne 2-3 fois par jour pendant un mois, ça fait environ une soixantaine de fois ! Ça l’a laissé rêveur, et pas que lui !..
Il faisait beau temps, on a été se promener comme deux amoureux, mari et femme, tout ce que j’aime ! J’ai été lui montrer le manège dans lequel mon cheval était en pension quand j’étais jeune. On a rencontré le lad qui s’en occupait, il m’a reconnue. J’ai présenté mon chéri comme étant mon mari !.. Oh que j’ai aimé dire ça !
Le soir il m’a emmené chez mon écailler favori manger du tourteau et de la langouste. On a bu plus que de raison, comme d’hab! Et qu’avons nous fait en rentrant ? Il a fait couler un bain dans lequel nous nous sommes glissés voluptueusement, moi entre ses jambes, adossée à son torse, ses mains sur mes seins qu’il caressait.. C’est comme si nous ne nous étions jamais disputés dans cette même baignoire des mois plus tôt! Quel était le sujet de cette dispute idiote, je ne sais plus et ne veux pas le savoir c’était de la connerie. Il me caressait tendrement la fente, introduisant deux doigts dans ma vulve, puis dans ma chatte. Il m’excita, il fallait sortir pour qu’il me prenne, je ne voulais pas jouir dans l’eau. Emballés dans des serviettes éponges nous roulâmes sur le lit . La suite peut se passer de commentaires.
Après l’amour il a dormi contre moi, je l’écoutais, il respirait calmement, ça m’a émue de l’avoir à mes côtés. Je n’ai pas pu résister, j’ai saisi doucement sa queue que j’ai caressée, provoquant de petits gémissements suivis de soupirs profonds. Il se retourna, j’eus alors ses fesses contre mon ventre, la suite je ne sais plus car moi aussi je me suis endormie.
On a fait la grasse matinée, j’ai apporté le petit dèj au lit pour nous deux.
Je suis sortie promener mon chien Rambo, en rentrant il était sous la douche, je l’y ai rejoint. On s’est lavés l’un l’autre, j’adore lui savonner son sexe et ses couilles, lui aime me savonner les seins, les fesses et la fente. Et puis ? Il m’a pénétrée par derrière en me tenant par les hanches. Il est insatiable ! Et moi aussi..
Le temps avait tourné à la pluie, nous sommes restés au lit à regarder la TV et à passer nos vidéos X des années précédentes. Ça m’a émoustillée, je me suis collée à mon chéri en lui saisissant queue et couilles que je me mis à manger voracement. C’est impressionnant d’avoir un testicule dans la bouche en sachant qu’il est bourré de semence! Je l’ai mordillé de plus en plus fort, et plus je le mordais plus sa queue se dressait. Alors je me suis empalée sur lui tout en visionnant le film de nos agapes sexuelles. Ça nous a terriblement excités et ce qui arrive rarement nous avons joui ensemble.
Après un spaga carbonara, il est parti rejoindre Victoire revenue de son we à Londres.



Jeudi 13
Il est venu tard, on est sortis dîner en ville. On est rentrés pompettes tous les deux, ce qui l’a mis un peu en panne pour me baiser, dommage j’en avais très envie. Mais tôt matin la forme était revenue et il m’a prise pendant que je somnolais encore… mais ce diable m’a bien réveillée en me pilonnant ma petite bouche, suivit par un bel orgasme. Il a tiré au fond de mon ventre comme s’il voulait me féconder. C’est mon fantasme du jour !

Mercredi 19
Le chapitre «Michel» est clos pour toujours. Je me demande ce que j’ai bien pu lui trouver? Ni beau ni bien foutu, une queue un peu tordue.. et jaloux en plus !
Mon chéri ne vient pas assez souvent me voir. Il est bien venu quelques après midi et aussi une ou 2 nuits, mais je suis à nouveau sans nouvelles de lui. Comme j’angoisse de rester seule pour le moment j’ai appelé P.. qui lui est toujours dispo. Il est venu passer la nuit ici et on l’a fait ! C’est vraiment un baiseur pro ! Il aimerait m’emmener chez lui en Bretagne. N’sé pas ce qu’en penserait D.. Pourquoi y viendrait pas aussi, avoir mes 2 homs pour moi ! J’aimerais bien voir la Bretagne !
Phileas24, Franck86, Mex et 17 autres a liké
#2767077
@trestigres un joyeux Noël à Victoire et à toi.
Cette poursuite du récit à quatre mains et en miroir entre Lison et toi, nous en dit long, très long, sur la personnalité tourmentée et fragile, mais si attachante et sincère de Lison.
Je la perçois comme une femme éperdue d'amour, adorant le sexe (avec une dose certaine de soumission), mais terriblement angoissée par la solitude (trait renforcé sûrement par le fait qu'elle n'ait jamais eu d'enfants).
Tu étais pour elle le mari projeté et rêvé (elle te fait d'ailleurs passer vole tel), l'amant passionné, le protecteur et son Pygmalion. Rôles écrasants s'il en fut, surtout quand ils sont menés simultanément.
Entre les lignes apparaît aussi toute la complexité de Victoire, femme hors du commun et à la personnalité solaire (Lison étant lunaire). Son jeu avec P dont le sexe lui manquait trop pour qu'elle ne l'accueillît pas en elle â intervalles très réguliers ; sa sincère affection pour Lison dont elle sait, au fond, qu'elle n'a rien à en craindre et que ton bonheur et ton équilibre passe aussi par cette maîtresse affichée. Victoire aime tout autant le sexe que Lison, mais elle conduit les ébats et dompte les désirs de ses hommes. C'est toute la différence. Quelle femme dont la fréquentation doit être enrichissante et même enthousiasmante.
N'oublions pas P dont la personnalité semble écraser par son sexe et son talent exceptionnel de baiseur. Mais nul doute qu'il est un peu plus que cela sinon Victoire l'aurait renvoyé depuis longtemps ; cependant, il est beaucoup cela, et c'est la raison pour laquelle tu es toujours le mari de Victoire et le père de ses enfants.
Pour finir, ce Michel des Landes s'apparente à un homme des bois, un satyre à la queue toujours prête mais dont la personnalité s'avère pauvre, sans relief et, in fine, dangereuse pour une femme aussi délicate que Lison. Il me fait penser, en négatif, à un héros de Tchekhov, le Sylvain (aussi appelée le Sauvage).
michpat a liké
#2767337
Je te remercie cher Dionysos. Je te souhaite aussi, un peu tardivement pour cause de fêtes familiales, d’avoir passé un joyeux Noël, j’espère entre des bras féminins, que ferait-on sans elles ?
Ton analyse parfaitement pertinente de la personnalité, tant de Lison que de Victoire, démontre ta profonde connaissance, ton admiration pour les femmes, toutes les femmes ! Et comme je te comprends ! Quelle plaisir, quel bonheur de les voir épanouies sexuellement, de nous exciter avec ce talent libertin teinté de perversion dont elles ont le secret ! Quelle plaisir de la/les voir dans leur impudicité se donner sous nos yeux à leur(s) amant(s), d’en jouir sans vergogne ! S’il nous est arrivé de ne plus très bien savoir qui est avec qui, qui couche avec qui, personnellement je ne me suis jamais lassé d’être mis sur le grille par nos compagnes, de suivre leur parcours amoureux, ou tout au moins tenter de.. Chacune dans leur genre, dans leur style, aimaient le sexe, les belles queues. Lison l’angoissée qui craignait pour son avenir, se sentait abandonnée dès qu’elle n’avait pas d’homme auprès d’elle, moi ou P.. Victoire, tout le contraire, gérait ses plaisirs au gré de sa libido, sans jamais renier P.. avec qui elle a maintenu une liaison, parfois élastique, de plus de vingt cinq ans !
Victoire et toi auriez dû vous rencontrer il y a quelques décennies, elle est convaincue que cela aurait marché. Hélas, aujourd’hui Victoire est un peu cassée de partout, et ma Lison n’est plus !
#2767340
@trestigres merci beaucoup pour ce beau retour avec lequel je ne puis qu'être d'accord...sur tous les plans et tous les sujets traités.

Chère Victoire, si tu te trouves cassée, je viens te réparer par la magie de mes mains et de mes mots. Quelle vue exquise et ravissante ! <3
michpat a liké
#2767482
Cher Dionysos, je suis fragilisée par l’âge hélas, pas par l’abus de sexe dont j’ai reçu mon content. Oui, un petit 俳句 haiku délicatement tourné pourrait me faire du bien.. Les mains ? ah les mains ! Les mains de mon chéri me font du bien mais des mains inconnues – les tiennes ? montre les moi! - parcourant mon corps.. wow ! J’arrête de fantasmer, mon corps usé et cassé n’intéresse plus mes amants ni personne (sauf mon chéri), eux-mêmes se sont rangés des voitures !
Voici quelques photos de mon dos encore souple comme une liane, se pliant à tous les caprices de mes amants (et de mon chéri). Mais aussi le portrait d'une femme âgée, fatiguée, qui a bien vécu (ça ce voit, non?) et qui ne regrette rien. L'attention que tu me portes, tes mots me font du bien.
dav39100, natu31, michpat et 16 autres a liké
#2767976
@trestigres, merci pour ces superbes photos qui rendent Victoire, la tsarine, aussi excitante, délicieuse et magnifique dans sa nudité résolument païenne qu'une "vatrouchka" dévorée au bord d'un lac un soir d'été.
Le prince Charles Joseph de Ligne a écrit cette devise que je trouve faite pour Victoire : “Je ne regrette rien, je ne me repens de rien, je jouis de tout.”
Puisque tu me le demandes si sensuellement et gentiment, chère tsarine, voici quelques haïkus pour toi : viewtopic.php?p=2767975#p2767975
michpat a liké
#2768872
Suite
Revenant de Paris où je m’étais rendu quelques jours pour affaire, je rentrai plus tôt que prévu. Impatient de retrouver Victoire, je roulais vite sur l’autoroute pour la rejoindre. Arrivé tardivement chez nous je n’y trouvai que notre baby sitter habituelle à la garde de deux de nos petits enfants que nous hébergions quelques jours. Elle était prévenue par « madame » qu’elle rentrerait tard. Me doutant où elle se trouvait, j’allai voir devant chez P.. où je vis la vieille 4L jaune de Victoire. Elle était donc bien là, la coquine ! C’était l’occasion de les surprendre en pleine action ! La porte n’étant pas verrouillée, j’entrai sans faire de bruit. Aucune lumière au rez, mais bien à l’étage. Je gravis silencieusement les marches pour arriver sur le palier. La porte d’une chambre était entr’ouverte et une sérieuse agitation y était perceptible. Glissant un œil par l’ouverture je ne fut pas étonné de découvrir malgré la faible lumière P.. et Victoire s’adonnant l’un à l’autre dans un corps-à-corps endiablé ! M’abstenant d’intervenir -pourquoi l’aurais-je fait?- je me postai sur les marches au sommet de l’escalier attendant le « bouquet final ». qui ne tarda pas à survenir. Je décidai de me déshabiller et nu, je pénétrai dans la chambre en clamant « A mon tour maintenant !» à la stupéfaction du couple désenlacé, P.. éclatant de rire, Victoire au contraire n’appréciant pas mon irruption. Ne lui demanda pas son avis, je la basculai sur le dos, écartai ses cuisses et, sous les yeux rieurs de P.. la pénétrai fougueusement avec une facilité déconcertante ! P.. l’avait ouverte et son vagin n’ayant pas eu le temps de reprendre sa forme restait béant, laissait s’écouler une humeur blanchâtre humidifiant le drap. « Mais je ne te veux pas » affirmait Victoire avec force et conviction tout en se débattant ; je répondis que moi, je voulais ! Elle m’humilia en prétextant que P.. l’avait tellement bourrée que son vagin était très distendu, trop pour sentir ma queue pas assez grosse. Qu’il l’avait fait jouir fort, qu’avec moi ça n’irait pas, qu’il l’avait remplie de sperme et qu’elle ne voulait pas du mien, enfin pas maintenant ! Je le sentais qu’elle était remplie, son fourreau vaginal était tellement tapissé de semence que ma queue s’y glissait sans qu’elle me sente, et moi à peine, comme une sensation d’apesanteur. Les allers-retours dans son vagin agissaient comme une pompe évacuant avec des clapotements le surplus de semence tapis au fond de son ventre. Je tamponnais du gland sa petite bouche, là tout au fond et ça la calma, elle commença à gémir doucement. Finalement elle enlaça mon cou et, m’attirant vers sa bouche, m’embrassa, disant qu’elle n’avait pas voulu dire ça.. « excuse-moi mon chéri.. » P.. nous observait avec intérêt, je voyais qu’il avait repris vigueur.. Victoire l’attira vers elle et saisissant son sexe bandé, porta son gland à la bouche. Elle se mit à le sucer, ensuite l’abandonna pour m’embrasser puis aussitôt après le repris en bouche. Ce petit jeu dura jusqu’à ce qu’elle commença à gémir plus fort, abandonnant et ma bouche et le gland de P.. Elle avait saisi sa queue qu’elle serrait de plus en plus fort à la mesure de la croissance de son excitation. Abandonnant soudain sa prise elle se cambra comme une arche, poussa un cri de gorge prolongé par plusieurs répliques, et retomba sur le dos, épuisée. Cette scène m’avait fait venir à mon tour. J’accélérai les mouvements dans son ventre, elle gémissait en me suppliant de venir vite moi aussi.. « tire dans mon ventre, je le veux, vite !.. Et je vins, longuement.. Et comme si on avait coupé le courant, elle s’endormit. Avec l’accord de P.. je décidai de la laisser dormir chez lui le restant de la nuit et rentrai chez nous afin de libérer la baby sitter. Elle revint tôt matin, se glissant contre moi dans le lit. Son corps était collant, poisseux, sentait le foutre, j’adorais ! « Je parie qu’il t’a encore prise ce matin, je me trompe ? » lui demandai-je. Elle gloussa, comme souvent lorsqu’elle est embarrassée. Je me suis frotté à elle, passant mes doigts dans sa fente toujours ouverte, dans son vagin béant et humide. « Laisse, va me faire couler un bain, j’en ai besoin ». Une fois dans l’eau tous les deux elle s’excusa, mais de quoi ? Elle me reprocha toutefois d’avoir fait irruption aussi brutalement alors qu’elle venait à peine de vivre un bel orgasme avec P.. « Je ne peux plus passer sans transition des bras d’un homme aux bras d’un autre comme dans le temps, c’est n’est plus de mon âge ! » Ceci expliquait sa réaction violente.
Dionysos06, ChrisetElle, michpat et 10 autres a liké
#2768917
@trestigres ah Victoire ! Quelle femme, quelle coquine !
Les Japonais ont un proverbe qui ne s'applique pas du tout à elle : "la femme adultère a des remords ; la femme fidèle a des regrets." La tsarine n'a ni l'un ni l'autre ; elle a des envies et les assouvit.
Scène remarquable à tous les points de vue. Un vaudeville candauliste qui ferait rougir Sacha Guitry.
La réaction de Victoire s'explique très bien, rétrospectivement. Elle ne s'attendait absolument pas à ce que tu surgisses ainsi, au débotté, la privant de son atterrissage orgasmique en douceur.
Ta reconquête vaginale de la tsarine t'a profondément revigoré malgré la béance causée par le bel organe de P.
Lequel, justement, s'est régalé d'être voyeur de cette scène après en avoir été l'acteur.
Et oui, Victoire à besoin d'un temps de latence entre son mari et son amant. Mais quand même, quel tempérament que le sien car elle a sombré de nouveau dans la luxure avec toi, si rapidement.
Chère et brûlante tsarine, je conclue comme Georges Brassens : "Ne jetez pas la pierre à la femme adultère, je suis derrière." ;)
#2769185
Cher Dionysos, ton billet précis et incisif nous ravit tous les deux.
Il est vraisemblable que dans leur culture une femme japonaise ne peut avoir que des remords ou des regrets ! La majorité des femmes jap’s se tiennent à carreau. Cette population est fortement corsetée dans leur vie quotidienne par le sentiment insupportable de la « perte de face » et par le «qu’en dira-t-on » ..
Victoire, elle , m’a pardonné mon intrusion intempestive, donnant raison à Talleyrand qui aurait dit quelque chose comme « les femmes pardonnent à ceux qui forcent l’occasion, jamais à ceux qui la manquent ». Je ne me souviens plus de la citation exacte..
Victoire a bien souvent aimé à se vautrer dans la luxure jusqu’il y a quinze ans (elle en a 78), mais il est vrai qu’elle n’appréciait plus d’être prise d’affilée par deux hommes en l’occurrence P.. et moi, il lui fallait comme tu le dis très justement une période de latence entre deux « performances » .
Par contre se trouver avec une femme comme Lison, et moi lui plaisait bien !
Merci encore, cher Dionysos, de prendre la peine de lire mes bafouilles et d’y répondre avec subtilité, humour et érudition, cela nous fait grand plaisir, à moi tout autant qu’à Victoire.
michpat, extazee, Masterlaurent et 1 autres a liké
#2769230
trestigres a écrit :Quelques images de moi ces dernières années, je ne suis plus tout à fait ce que je fus, soyez indulgents..

Des images qui vont donner plein d'espoir aux jeunes femmes qui craignent ...les années !
Elles sont superbes et c'est dit avec sincérité <3 <3
trestigres a liké
#2769238
Merci Michpat, mais croyez bien que cela ne se fait pas tout seul! Et malgré ma vigilance (gym, régime, natation), je prends du poids, surtout les fesses et le ventre. Mon ancien amant qui est resté un ami très proche ne veut plus de moi, et c'est réciproque! Reste mon époux qui est indulgent..
michpat a liké
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