©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
Présentation des membres candaulistes et fils persos: Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

Chaque nouveau membre est donc en couleur bleue claire tant qu'il ne s'est pas présenté, et il ne peut donc pas créer d'autre sujet qu'une présentation. Plus de détail ici pour les nouveaux

Si la présentation est validée par les modérateurs ou @stephane (c'est à dire en bonne et due forme, avec quelques détails), le nouvel inscrit passera en couleur orange et aura accès à tout le forum.

Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
  • 1
  • 11
  • 12
  • 13
  • 14
  • 15
  • 30
#2702692
Oui bien sûr, c'est le grand aria! Elle le préférait interprété par Placido Domingo.
Victoire peut aussi être dure et froide avec ceux qu'elle méprise! Elle n'est pas vindicative mais un sale coup reste un sale coup et si elle pardonne, elle n'oublie pas. C'est une femme de caractère, il faut la conduire avec prudence... j'en ai fait l'expérience!
#2702697
sergio a écrit :Victoire avait repéré Daniel lors de sa premiere rencontre avec Ali et P. et il semble qu'elle avait déjà envie de lui. Certaons hommes ne savent pas se préoccuper des femmes et heureusement que son colocataire est arrivé.
Victoire se calmant ensuite......... c'est aussi ce qui arrive chez certaines.

Merci pour ces photos montrant ta jolie femme très à l'aise dans la nudité.


Oui elle s'est calmée après cette "dernière" aventure africaine. Mais elle fantasmait sur de beaux spécimen noirs. Elle n'a jamais recommencé ni avec Daniel ni avec son coloc. Quant à Ali, l'ami de P.. il est retourné au Niger et n'est jamais réapparu.
J'ai supprimé une photo d'elle par erreur, je la repost
gullihom, Dionysos06, Michel3132 et 17 autres a liké
#2702708
Dionysos06 a écrit :@trestigres impétueuse, libre, téméraire. Un fleuve sauvage.


Oui c'est bien ça: un fleuve sauvage avec des passages de calme absolu, entrecoupés de zones plus agitées, du clapots jusqu'aux rapides, et parfois mais plus rarement la cataracte. Alors là, il vaut mieux se mettre à l'abri et attendre que ça passe! Et heureusement ça passe vite!
Il m'est arrivé d'être intéressé d'un peu trop près par une demoiselle qui me plaisait.. Victoire a sorti ses griffes .. De fait ça ne faisait pas partie de notre "contrat" tacite..
sergio, dane a liké
#2702786
Les semaines et les mois suivants n’apportèrent rien de neuf qui vaille la peine d’être relaté. Une routine s’installa, elle voyait régulièrement P.. parfois l’après-midi, mais plutôt la nuit. Elle ne travaillait plus dans son bureau car elle s’était mise à son compte. Ce qui nous posa un problème fiscal que nous décidâmes de résoudre en scindant nos revenus. Cela nous obligea à nous séparer fictivement. Je me domiciliai dans un pays du Moyen-Orient tout en habitant ensemble. Cela dura un an jusqu’à ce que le fisc nous obligea à choisir : il nous considérait comme une séparation fictive tant que nous ne serions pas divorcés. Nous divorçâmes donc sans que cela ne change en quoique ce soit à nos relations.
Je voyageais, par conséquent j’étais souvent absent et elle le vivait mal.
Heureusement que P.. du fait de son divorce et de la garde partagée par quinzaines de ses deux enfants, s’occupait d’elle pendant mes absences, partant en week-end avec elle et les enfants ; elle avait un mari de substitution ! Lorsque je rentrais, parfois à l’improviste, je les retrouvais tous les deux chez nous comme un vrai couple, attablés ou alors dans notre lit, même à deux dans le bain ! Le lit étant très large, ils me faisaient de la place et nous dormions à trois, elle au centre, souvent en tout bien tout honneur mais pas que, car lorsqu’elle voulait P.. elle me demandait de dormir sur le sofa.
Un jour, revenant après trois semaines de voyage, je la trouvai nerveuse. « Que s’est-il passé ? » lui demandais-je.. « Tu vas pas le croire, mais je suis enceinte, et c’est P.. j’en suis sûre ! j’aimerais bien le garder mais je ne veux pas d’un quatrième, déjà avec trois c’est beaucoup ! » Elle décida d’avorter… P.. n’en sut rien.
Il ne revint pas pendant quinze jours mais il lui manquait, c’était clair. Il réapparut et l’on recommença à cohabiter.
Une nuit, alors que Victoire désirait être honorée par P.., pour la première fois elle me fit le cadeau d’accepter ma présence. Les préliminaires commencèrent sous la couette, je ne voyais pas ce qu’ils faisaient. C’était un pur bonheur : je ne résistai pas à allumer une lampe et replier la couette pour les voir en action, je vis alors pour la première fois la progression de la queue de P.. dans le ventre de Victoire. -Commençant par appuyer son gland sur les lèvres pour les humecter, ensuite il badigeonna sa vulve, enfin la soulevant légèrement, lui glissant les mains sous les fesses pour faciliter la pénétration, d’une poussée des reins pour vaincre la petite résistance opposée par l’entrée de son vagin à la pression de son gland, il faisait entrer doucement le corps principal jusqu’à être tout au fond, ses testicules venant frapper son fondement. Avec fascination je regardais la queue de P.. aller et venir, en me demandais comment un si petit ventre arrivait à absorber un tel sexe ! Allongé à son côté, j’étais tellement absorbé par le spectacle que je ne durcissais même pas, elle avait saisi une queue flasque néanmoins dégoulinante d’envie et tout en me branlant espérant me faire bander elle me décrivait son ressentit avec des jolis mots crus !
Je voulu assumer la relève devant P.. qui m’encourageait, mais je n’y parvins pas.. la honte ! P.. vint à mon secours en faisant une diversion : ce fut dans ces circonstances qu’une tentative de la sodomiser fut faite pour la première fois. Elle était réticente mais P.. réussit à la convaincre. Nous lui fîmes un lavement avec le tube de la douchette démontée. Elle fut remplie d’eau quatre ou cinq fois jusqu’à ce qu’elle évacue de l’eau claire. J’avais heureusement récupéré toute ma vigueur. Bien enduite de gel lubrifiant elle fut pénétrée par P.. d’abord (il avait de l’expérience) ; elle eut mal, son petit trou étant trop serré, il dut se retirer. Je lui succédai avec mon calibre inférieur, et couchés sur le côté en petites cuillères, ce fut un succès : elle eut un bel orgasme grâce à l’action conjugué de ses deux hommes, P.. avait introduit un petit vibro dans sa chatte, tout en lui agaçant clitoris et tétons. Elle n’aima pas le vibro et réclama la queue de P.. Il la fit basculer sur lui, ventre contre ventre ; elle voulut guider la queue de son amant vers sa chatte mais n’y parvenant pas je pris le relais et en la saisissant je l’ai mise sur le bon chemin ! Dans sa vie ce fut la seule fois qu’elle fut prise dans un double devant-derrière. Elle rugit de plaisir en nous griffant tout les deux pendant que P.. lui administrait des fessées sonores pendant qu’elle l’injuriait !..
Elle eut un orgasme exprimé avec violence puis s’effondrant sur le ventre de P.. elle demanda grâce. L’enserrant entre nos deux corps nus nous nous endormîmes tous les trois. En roulant sur le côté..
Pendant plusieurs mois tout se passa en bonne entente jusqu’à ce que P.. noue une relation avec une jeune femme de son bureau, ce qui mit Victoire de mauvaise humeur. Elle déclara que dans ces conditions elle ne désirait plus l’avoir chez nous, il retourna donc chez lui avec sa nouvelle amie.
Victoire venait d’avoir cinquante ans. Nous nous retrouvâmes à deux avec nos enfants. Je n’étais pas fâché de cette nouvelle situation, bien qu’elle sentit arriver les symptômes de la ménopause. « Je ne ferai définitivement pas d’enfant avec P.. , c’est trop tard, je regrette un peu de ne pas l’avoir gardé ! » dit-elle avec une pointe de remord.
Elle avait tourné la page : P.. restait un bon ami mais rien de plus depuis qu’il était, comme elle disait vulgairement, « à la colle avec cette greluche » ! Elle ne revit aucun de ses partenaires d’un soir, ni de quelques nuits.. Mes affaires m’éloignèrent des pays du Moyen Orient et d’Afrique, je ne voyageais plus que rarement. Les enfants grandissaient et nécessitaient toute notre attention. Victoire s’était calmée, nous faisions l’amour moins souvent. Elle décida de prendre des hormones pour compenser la ménopause. Lorsqu’elle apprit que cela pouvait engendrer le cancer du sein, elle stoppa net, ce qui eut pour effet collatéral d’anéantir sa libido ! J’étais un peu frustré, j’avais encore de fortes envies en voyant des jeunes femmes sortant en robes légères dès les premiers beaux jours du printemps. J’avais de mon côté vécu deux ou trois brèves aventures à l’époque où Victoire m’avait avoué sa nouvelle relation avec P.. Je m’étais senti cocu et j’avais voulu prendre une sorte de revanche avant que je me sois rendu compte du plaisir que je retirais de sa relation avec son amant.
Un jour qu’elle était partie dans le Midi pour une affaire à traiter, il avait été convenu que je viendrais la chercher à la gare à son retour. Je me trouvais sur le quai à l’attendre tout comme tant d’autres personnes dont une jeune femme blonde, très belle. Nous nous morfondions en attendant ce train qui n’arrivait pas. Nos regards se croisèrent plusieurs fois.. Soudain une annonce fut diffusée signalant qu’une grève surprise des chemins de fer provoquait un retard considérable d’au moins quatre heures. Exaspération générale ! La jeune femme était hors d’elle, protestait en me prenant à témoin. Pour la calmer je lui proposai de lui offrir un café au buffet de la gare. Elle accepta mon invitation. Je n’avais aucune intention de la draguer bien qu’elle me plaisait beaucoup : blonde, jolie taille et hanches accueillantes, poitrine intéressante, beaux yeux gris-vert, belles jambes, très belles mains fines… Très vive de caractère et pleine d’humour. Elle finit par prendre ce retard pour une aubaine : elle avait passé du bon temps à parler avec moi ; il était clair que nous nous plaisions mutuellement. Mais nous n’avions pas échangé ni nos noms ni aucun moyen de nous identifier et encore moins de communiquer. L’heure d’arrivée du train approchant, elle me glissa, juste avant de nous enfuir vers les quais, qu’elle attendait son fiancé.. Et pourtant, le hasard faisant parfois bien les choses, ce furent les prémices d’une longue liaison. Mais c’est une autre histoire.
J’avais récupéré Victoire sur le quai de la gare, exaspérée d’avoir attendu quatre heures en gare de Marseille. Elle me plaignit aussi d’avoir dû l’attendre autant. Je me gardai bien de lui relater ma rencontre, tant innocente que sans conséquence.
gullihom, mika007, Dionysos06 et 15 autres a liké
#2702897
@trestigres, ce nouveau récit présente une profondeur psychologique particulièrement intéressante.
Je n'avais pas compris la raison de votre séparation lors de tes récits précédents. J'avais imaginé que la cause en était affective ; j'avais tout faux. Séparation strictement fiscale qui se justifiait. Vous avez menti au fisc en continuant à être mariés de facto et surtout dans vos âmes et dans vos cœurs. Et c'est fort plaisant de voir le fisc manipulé de la sorte.
La profondeur des sentiments amoureux de Victoire pour P était vraiment très grande ; de l'ordre matrimonial bis. Ça devait te piquer fort parfois. Et le regret qu'elle eut de ne pas garder cet enfant de P confirme évidemment ceci.
D'où le rejet de P, la trahissant pour cette greluche. Elle ne pouvait le supporter. Vue l'intensité de son engagement avec et pour lui, cela coulait de source. Et puis, Victoire ne serait-elle pas, au fond, une reine qui aime diriger, conduire ? Là, elle perdait la main...et une partie de son pouvoir et de sa séduction.
J'ai hâte de connaître la suite de tes aventures avec cette jeune femme. Comme quoi, les grandes histoires débutent souvent de manière fortuite.
Et comme toujours, merci pour ces belles photos.
#2702932
J’apprécie beaucoup la grande finesse de tes réflexions ; tu as parfaitement cerné les contours du caractère de Victoire. Elle t’as lu, elle a dit « mouais, c’est p’t être moi, mais pas que ! »

Le fisc était impitoyable avec les professions libérales, nos déclarations étant conjointes, l’intégralité des revenus du travail de Victoire était absorbé par l’ogre fiscal. D’où notre décision de nos séparer. Avec un avantage inattendu car les pensions versées aux enfants par moi étaient déductibles ; je fus très généreux en leur versant un maximum ! Ça fonctionna jusqu’à leur majorité. Et nous ne nous sommes remariés que bien plus tard lorsque nous fûmes pensionnés tous les deux.
Nos deux aînés ayant quittés le logis (en UK et aux USA), la petite dernière était en Erasmus en Espagne, nous étions libres d’enfants. Par quinzaine durant l’année 1994, nous formions un trio, comme dans Jules et Jim, Victoire ne sachant qui elle aimait le plus. Je l’avais pour moi lorsque P.. avait ses enfants la quinzaine suivante. Elle lui téléphonait longuement tous les jours ce qui avait le pouvoir de m’énerver un tantinet. Mais la nuit elle était dans mes bras. Au terme de la quinzaine elle attendait son retour avec ferveur et impatience ; les dernières nuits, lorsque je la prenais, je sentais bien que son esprit était déjà avec P..
Oui, le terme de « reine » lui convenait assez bien ; elle aimait nous manipuler en nous montant sexuellement l’un contre l’autre (tu peux imaginer comment !) Elle aimait me provoquer en se lovant sur les genoux de P.. quand nous avions des amis chez nous, amis parfaitement au courant du partage de Victoire entre ses deux hommes. Elle voulait leur montrer que P.. était mon égal dans son cœur ! Elle avait une attirance plus sexuelle avec P.. alors qu’avec moi c’était plus affectif. Je lui ai souvent demandé si elle me quitterait pour lui, elle me répondait qu’elle avait été tentée de le faire il y a quelques années lorsqu’elle rêvait de faire un enfant avec lui. Mais elle ajoutait que cela n’aurait pas marché longtemps car P.. ne peut pas vivre en couple, il est égoïste et il est trop coureur. Elle savait bien que ce qui lui plaisait c’était de prendre le meilleur en baisant la femme de son ami qui la lui prêtait si volontiers puisqu’il en tirait du plaisir, et de ne pas s’embarrasser des aléas de la vie de tous les jours.
Quand P.. lui a fait l’infidélité de se coller avec L.., une femme de vingt ans de moins que lui, elle fut très en colère. Son caractère entier s’exprima en plein : elle le mit dehors avec fracas ! Elle ne lui a toujours pas pardonné..
Sa libido déchaînée ayant fondu par manque d’hormones, elle me voyait assez marri. Elle n’avait plus envie, elle se tourna vers d’autres plaisirs, la lecture, la peinture, le cinéma, le théâtre et l’opéra, et les petits enfants qui commençaient à naître. Les voyages aussi. Un jour elle me dit que si je voulais me trouver une femme juste pour me satisfaire, elle l’accepterait mais à une condition : pas d’amour, que du sexe, et je devais tout lui raconter.. Etait-elle devenue candauliste me suis-je demandé aujourd’hui ?
Je ne savais pas où trouver la femme rare qui accepterait que du sexe avec un mec en couple. L’idée ne me plaisait qu’à moitié car je n’aurais jamais pu avoir de relation sexuelle avec une femme dont je ne serais pas un peu amoureux. Je l’ai trouvée par le plus grand des hasards.
gullihom, pat58, olch et 22 autres a liké
#2702984
@trestigres
"Toutes les femmes heureuses se ressemblent. Chaque femme malheureuse, au contraire, l'est à sa façon."
J'ai volontairement paraphrasé le grand Tolstoï dans "Anna Karénine" car, à mon sens, il a tort. Chaque femme (et chaque homme d'ailleurs) demeure singulière dans son bonheur et son malheur.
Victoire s'était construite un modèle unique dont les deux piliers étaient son mari et son mari bis. Elles vous aimait, vous desirait, et vous avait, ensemble et séparément. Bref, une tsarine ceinte des deux aigles ; une grande Catherine gourmande et insatiable.
Tu étais pour elle son pilier indestructible, son âme sœur, son alter ego intellectuel ; bref, son prince Grigori Potiomkine.
Comment définir P alors ? Je dirais un Marc-Antoine, beau et doué sexuellement, chatoyant, envoûtant, mais dénué de la profondeur d'âme qu'elle recherchait pour son équilibre et son épanouissement total.
Et la tsarine n'a pas supporté la trahison de P. Elle te l'a peut-être dit, mais, rétrospectivement, je suis persuadé qu'elle sait que tu étais le bon, le seul choix comme mari et père, tant ta présence et ta solidité lui étaient indispensables.
Étonnante en effet, cette forme de Candaulisme chez Victoire lorsque sa libido s'est évaporée. Mais, au fond, en y réfléchissant bien, naturelle voire logique. C'est une femme brillante, intelligente qui te connaît par cœur et qui a toujours su que tu ne partirais jamais ; une forme de remerciement pour toutes ces années de partage à son immense avantage.
maxou501, gullihom, Michel3132 et 3 autres a liké
#2703078
Dionysos06 a écrit :@trestigres
"Toutes les femmes heureuses se ressemblent. Chaque femme malheureuse, au contraire, l'est à sa façon."
J'ai volontairement paraphrasé le grand Tolstoï dans "Anna Karénine" car, à mon sens, il a tort. Chaque femme (et chaque homme d'ailleurs) demeure singulière dans son bonheur et son malheur.
Victoire s'était construite un modèle unique dont les deux piliers étaient son mari et son mari bis. Elles vous aimait, vous desirait, et vous avait, ensemble et séparément. Bref, une tsarine ceinte des deux aigles ; une grande Catherine gourmande et insatiable.
Tu étais pour elle son pilier indestructible, son âme sœur, son alter ego intellectuel ; bref, son prince Grigori Potiomkine.
Comment définir P alors ? Je dirais un Marc-Antoine, beau et doué sexuellement, chatoyant, envoûtant, mais dénué de la profondeur d'âme qu'elle recherchait pour son équilibre et son épanouissement total.
Et la tsarine n'a pas supporté la trahison de P. Elle te l'a peut-être dit, mais, rétrospectivement, je suis persuadé qu'elle sait que tu étais le bon, le seul choix comme mari et père, tant ta présence et ta solidité lui étaient indispensables.
Étonnante en effet, cette forme de Candaulisme chez Victoire lorsque sa libido s'est évaporée. Mais, au fond, en y réfléchissant bien, naturelle voire logique. C'est une femme brillante, intelligente qui te connaît par cœur et qui a toujours su que tu ne partirais jamais ; une forme de remerciement pour toutes ces années de partage à son immense avantage.


L'examen analytique de la créature "Victoire" est épatant cher ami! C'est exprimé avec clairvoyance, discernement, et beaucoup d'intelligence. En te lisant on ne pourrait se tromper: c'est bien elle! Merci..
gullihom, Wysiwyg, mika007 et 10 autres a liké
#2703081
Plusieurs années passèrent depuis cette délicieuse rencontre impromptue..
Victoire menait une vie de famille exemplaire, peut-être s’ennuyait-elle un peu. Nous rencontrions souvent chez des amis quelques uns de ses anciens amants accompagnés de leurs épouses ; il y avait échanges de petits sourires et des signes convenus. Je la voyait se mettre à l’écart pour s’entretenir avec l’un ou l’autre. Rentrés chez nous ses commentaires allaient bon train genre « non mais t’as vu P.., sa femme, une petite bourge idiote, et il a pris un coup de vieux, lui qui était si beau, quand je pense qu’il m’a quittée pour elle !.. je me demande s’ils baisent encore tous les deux, il lui faudra du courage ! »
Nous voyageâmes dans les pays du Moyen-Orient que je connaissais bien, en Afrique aussi, en Russie, l’Argentine, et nous allâmes jusqu’au Japon. Clairement le sexe l’intéressait moyennement, elle y prenait un plaisir poli ce qui me désolait. P.. n’était plus son amant, et elle ne le remplaça pas ! Un soir qu’elle se refusait à moi, je me plaignis. « Chéri je te comprends, alors si tu veux une partenaire de sexe, j’ai pas dit d’amour hein ! » Alors elle me fredonna :
« Love is like candy on a shelf
« You want to taste and help yourself
« The sweetest things are there for you
« Help yourself take a few
« That's what I want you to do »
OK, j’avais compris !
Mais qui ? Il me fallait trouver une inconnue mais je n’allais tout de même pas me connecter au Minitel Rose ! Je n’avais aucune possibilité de rencontrer un gibier intéressant, sauf à tomber dessus par chance et savoir la saisir. Et cette chance, qui sait, je l’avais peut être laissée échapper il y avait longtemps, sur le quai d’une gare..
Entretemps je m’étais remis à travailler avec acharnement ; ma secrétaire allant devenir mère, me quitta ce qui me contraria beaucoup car c’était une vraie professionnelle. Des candidatures avec photographie m’arrivèrent à foison, mais je n’avais ni le temps ni l’envie de les recevoir toutes. En les feuilletant rapidement je fis deux piles séparant les « Non » des « Peut-être ». J’examinai plus attentivement la seconde pile et soudain mon attention fut éveillée par une petite photo d’une jeune femme dont je reconnus l’expression coquine ! C’était elle ! ; la photo était médiocre, genre carte d’identité, sur laquelle elle paraissait une ado ! Elle s’appelait E.. L.. et indiquait son numéro de téléphone. Je lui écrivis que sa candidature m’intéressait et lui proposai un rendez-vous. C’était le début de l’été lorsqu’elle se présenta à mon bureau. Je n’eus aucun mal à la reconnaître, c’était bien elle même si la vie semblait l’avoir éprouvée. Elle portait une légère robe d’été en coton imprimé, ravissante, des chaussures à talons mi-hauts, coiffée simplement, portant un petit chignon. Elle ne me reconnut pas ; elle était sérieuse, avait de bonnes références et de bonnes manières, elle voulait le job ! Et moi je la voulais nue !
Son état civil marquait : « Mariée » Son âge : 45 ans… Après lui avoir expliqué ce que nous attendions d’elle mes associés et moi, je décidai de l’engager, je la voulais ! Mais je m’abstins de le lui annoncer, elle serait avertie de la décision par téléphone. Ne faisant toujours pas le rapport avec notre première rencontre, elle me remercia, et s’en alla, non sans m’avoir dit, sur le pas de la porte qu’elle avait désespérément besoin de ce travail ; je lui pris les deux mains dans les miennes. Le soir même je l’avais appelée en toute tranquillité, Victoire étant sortie au cinéma avec des amies. Je lui avais dit qui j’étais, elle était toute ouïe, impatiente de savoir si sa candidature était retenue, mais lui dis-je, j’avais au préalable une question d’ordre privé à lui poser. Après lui avoir remémoré notre rencontre elle sembla tomber à la renverse. « Alors c’était bien vous ? En sortant il me semblait bien que votre visage ne m’était pas inconnu, mais il y a si longtemps ! Et vous n’avez rien dit ! Pourquoi ? » Parce que je voulais le lui apprendre après lui avoir donné le job. Elle fut folle de joie. Elle pouvait commencer dès le lendemain, j’étais ravi. Elle arriva dans sa Deuche orange, cabossée.. Habillée assez stricte, les cheveux blonds tirés, prenant son poste de travail assigné en vraie pro.. Je ne me montrai pas jusqu’à la pose de midi. Elle fila vers un snack dans le quartier où je la retrouvai attablée seule dans un coin. Tirant une chaise, m’asseyant en face d’elle, nous entamâmes nos retrouvailles .
Notre passé avait servit de catalyseur à nos retrouvailles : j’étais décidé à m’occuper d’elle et de lui venir en aide si nécessaire. Alors elle me raconta. Elle avait épousé le fiancé de la gare dont elle était amoureuse, un homme divorcé avec deux jeunes enfants. Elle n’était plus heureuse.. Leur relation se délitait à cause de l’éthylisme de son mari. Il avait perdu son boulot ce qui n’arrangeait rien.
Avant de nous quitter pour rentrer séparément au bureau, elle m’embrassa pour me remercier de l’avoir engagée. Je le lui rendis en la serrant dans mes bras, en lui disant qu’elle me plaisait depuis le jour de notre rencontre. Elle me sourit en disant « je le savais depuis que nos regards s’étaient croisés là, sur le quai!».
Nous déjeunions ensemble plusieurs fois par semaine à la pose de midi. Je l’appréciais de plus en plus, j’avais très envie de la prendre dans mes bras, de la dénuder et de lui faire l’amour. Mais elle résista à toutes mes avances et je n’insistai pas, par respect pour elle. Elle fut ma secrétaire pendant deux ans, après quoi son mari et elle décidèrent d’ouvrir une librairie en province. Nous nous vîmes encore deux ou trois fois, cependant c’était compliqué à cause de son conjoint qui me craignait, à juste titre ! Ensuite nous ne nous vîmes plus, mais je l’avais dans mon cœur..
Nous vivions une vie tranquille Victoire et moi. Côté libido c’était plutôt calme et j’en souffrais. Elle avait 55 ans et j’approchais la soixantaine, trop tôt pour un homme de rendre les armes ! Notre vie sociale était très active, nous avions – et nous avons toujours – beaucoup d’amis ; mais parmi les amies aucune ne m’attirait, du reste elle avaient pour la plupart le même âge que Victoire, donc les mêmes handicaps dûs à l’âge. Quant à la liste des petits enfants, elle s’allongeait chaque année occupant Victoire tant et plus. L’époque des grandes manœuvres était bel et bien terminée.. Et nous avions même oublié que nous étions divorcés.
gullihom, Wysiwyg, canda et 24 autres a liké
#2703213
@trestigres merci pour ton commentaire.
La suite de votre histoire montre que le décalage dans les libidos peut être mortel pour un couple. La façon dont Victoire et toi avez su y faire face est tout à votre honneur.
Vivement la suite !
Danimendu, sergio a liké
#2703303
Cette autobiographie à épisodes ne vous lasse-t-elle pas? Je ne veux pas prêcher pour les convertis mais il me semble y avoir beaucoup d'absents; demain je prendrai les présences!
Victoire ne veut plus relire d'autant que j'aborde une période où elle n'est plus la tsarine toute puissante : elle a remercié son favori et accordé à son mari une liberté sexuelle sous conditions. Mes mémoires avec ma nouvelle partenaire l'intéressent que dans la mesure où elle garde le contrôle sur cette relation: elle peut y mettre un terme à tout moment si elle estime que ça va trop loin.
Merci aux courageux qui résistent encore.
En guise de récré, je vous post une photo de Victoire qui jouit de son fantasme.
olch, alelumet, sergevr85 et 18 autres a liké
#2703336
J'ai découvert d'un trait et avec toujours beaucoup de plaisir et d'attachement les derniers récits et photos. Une grande différence en deux pages entre celle où Victoire profite de ses deux amants, dont P , simultanément, où aussi elle va chez Daniel et s'offre aussi son colocataire et les derniers récits dans lesquels sa libido est redescendue, pour ai si dire disparue. Quel contraste , mais il en est ainsi et rien n'est figé dans la vie.
En commençant,, au tout début de tes récits, toujours superbement bien écrits, je n'aurai pas imah non plus une sorte de ménage à trois avec P, mais je vois qu'à cette époque vous y aviez trouvé tous les trois votre équilibre, ainsi que les enfants d'ailleurs. En effet, dans la quasi majorité des couples , tout cela aurait mal fini, mais Victoire et toi même avez géré tout cela, progressivement, toutefois, la situation évoluant au fil du temps, parfaitement bien et avez trouvé au final un équilibre harmonieux et créé une belle histoire pour votre couple qui. En fin de compte, était plus solide que certains couples dits classiques. Belle histoire, et ce n'est pas fini ...
Dionysos06 a liké
#2703355
Lorsque je rentrais, parfois à l’improviste, je les retrouvais tous les deux chez nous comme un vrai couple, attablés ou alors dans notre lit, même à deux dans le bain !

Quelques candaulistes ici se verraient bien vivre ce genre de situation.

Une nuit, alors que Victoire désirait être honorée par P.., pour la première fois elle me fit le cadeau d’accepter ma présence. Les préliminaires commencèrent sous la couette, je ne voyais pas ce qu’ils faisaient. C’était un pur bonheur : je ne résistai pas à allumer une lampe et replier la couette pour les voir en action, je vis alors pour la première fois la progression de la queue de P.. dans le ventre de Victoire...........................................................

Voila une première qui pourra rassurer ceux qui s’inquiètent de ne pas bander dans cette situation et qui pourront constater que cela ne dure pas tout le temps.

Elle avait tourné la page : P.. restait un bon ami mais rien de plus depuis qu’il était, comme elle disait vulgairement, « à la colle avec cette greluche »

On peut constater que Victoire n'était absolument pas partageuse.

Et pourtant, le hasard faisant parfois bien les choses, ce furent les prémices d’une longue liaison. Mais c’est une autre histoire.

Ca ne me déplaira pas de la connaitre.
#2703356
Un jour elle me dit que si je voulais me trouver une femme juste pour me satisfaire, elle l’accepterait mais à une condition : pas d’amour, que du sexe, et je devais tout lui raconter.. Etait-elle devenue candauliste me suis-je demandé aujourd’hui ?

Me serais-je trompé?

Merci pour toutes ces photos de ta femme se montrant très à l'aise dans toutes les situations.
#2703360
trestigres a écrit :Cette autobiographie à épisodes ne vous lasse-t-elle pas?

Votre histoire est passionnante !!
Quelle femme qui dévore la vie d'une liberté, d'un naturel incroyable !!
Et surtout : Quel candaulisme (dont je suis sur que comme moi tu ne connaissais pas ce mot)
Je suis admiratif ,merci de nous partager tout ca ! 8-)
#2703362
Quel plaisir de lire aussi ta façon d'aborder cette femme croisée sur le quai de la gare. Malgré tes envies et ta position dominante professionnelle, tu es resté un homme digne de ce nom. Combien auraient profité de la situation pour abuser d'un droit de cuissage.....? Bravo.
Dionysos06 a liké
#2703557
C’était une fin d’après-midi maussade du mois de novembre 2000.. . Nous étions occupés aux préparatifs d’un long voyage dans l’hémisphère sud, le départ était imminent..
Le téléphone sonna, par bonheur je décrochai : « allo, bonsoir mon patron, je suis E.., tu te souviens je suis E.. L.. ton ancienne secrétaire ! » Bon sang, moi qui m’était fait une raison depuis longtemps, voilà qu’elle me tutoyait comme si nous étions restés intimes ! Cet appel réactiva à l’instant même l’amour que j’avais eu pour elle. Il fallait que l’on se revoit, mais hélas nous partions pour un long voyage. Je le lui dis et promis de la rappeler à mon retour; nous échangeâmes nos numéros de portables. Cet appel m’avait rajeuni et surtout reboosté ma libido ! ! Le simple fait de penser à elle durcissait mon sexe qui exigeait de faire la connaissance du sien. Je lui laissai quelques messages sms exprimant sans équivoque mes sentiments. Le problème auquel j’étais confronté s’appelait Victoire.. Pour un début je pris la décision de ne rien lui dire en attendant de voir si une relation allait se nouer avec E..
Quatre mois plus tard à notre retour de voyage il ne fut pas possible de la rencontrer pour des raisons familiales. Mais l’occasion se présenta durant le mois de juillet. Nous étions chez nous en vacances en Espagne et ma mère étant malade me réclamait. J’en profitai pour lui rendre visite et quittai l’Espagne pour une semaine. Après avoir rendu visite à ma mère et évité que ma belle famille m’invite à dîner, je filai vers elle.
Elle m’attendait dans son jardin avec son chien – jack russell - lorsque je suis arrivé chez elle ; elle portait une jolie robe en coton bleu avec des dessins jaunes, elle avait un peu forci. « Et ton mari ? » Il était décédé depuis deux ans d’une cirrhose du foie, il était alcoolique au dernier degré. Elle coupa court à mes condoléances en me disant que la vie était devenue impossible, qu’elle l’avait quitté pour habiter dans un studio pas loin de là. Elle lui rendait visite chaque matin et un jour elle le trouva au lit, froid. Il était mort, une dizaine de bouteilles de Vodka jonchant le sol ! Je m’intéressais à elle, préoccupé de la voir seule, sans boulot car elle avait dû céder sa librairie, son mari piquant continuellement dans la caisse pour s’abreuver. Mais elle prenait tout cela avec philosophie. Elle me disait qu’elle était si heureuse de m’avoir retrouvé grâce à mon numéro de téléphone qu’elle avait conservé. Nous étions proches ; nous nous rapprochâmes encore pour finir par l’enserrer contre moi. Elle se glissa à califourchon sur mes genoux et m’enserrant de ses bras nous nous embrassâmes fougueusement. Elle me dit alors, les yeux dans les yeux : « je vais me donner à toi, tu l’as bien mérité, je te le dois » Je lui répondis « j’en ai une folle envie, mais tu ne me dois rien ». Elle me prit par la main et m’entraîna à l’étage, dans sa chambre, son chien sur nos talons. Un grand lit couvert d’un drap blanc tout frais était ouvert, la couette repliée, prêt à accueillir nos ébats. Elle me fit asseoir à côté d’elle et me prenant les deux mains dans les siennes, elle me dit avec beaucoup de précautions que je devrais passer un test VIH ; elle venait de le faire et il était négatif … Et pour cette fois, mais cette fois seulement car elle les a en horreur, elle me demanda de me couvrir d’un latex. Je n’en avais pas, elle avait tout prévu !
Habillés, nous étions allongés sur le lit, face à face, je détaillais son visage, ses petites rides autour de ses lèvres, les petites pattes d’oie aux coins des yeux.. Elle me charmait.. Sa robe de coton était remontée haut sur des cuisses fuselées.. j’aventurai une main par dessous mais elle me tapa, « pas si vite, toi ! on a le temps.. »
Nous commençâmes à nous déboutonner mutuellement. Je fis passer la robe par dessus sa tête pour découvrir son beau corps de femme mûre. Elle portait un soutien gorge blanc en dentelle que je dégrafai dans son dos nu ; ses seins magnifiques jaillirent à l’air libre comme deux animaux vivants, j’admirai les petits aréoles roses (je n’aime pas les aréoles comme des soucoupe !) surmontés d’un petit téton plus foncé.. Elle avait un gros point de beauté entre les seins, un peu décentré sur la gauche. Elle me dit alors qu’elle préférait les sexes circoncis et me demanda si je l’étais. « tu n’as qu’à le découvrir toi-même » lui dis-je.
Elle ouvrit mon pantalon, eut du mal à éjecter ma queue tendue comme un arc, et fut soulagée de voir mon gland sans capuchon. Elle se jeta dessus, le prit entre ses lèvres et de sa langue agile, elle me fit presque éjaculer. « Doucement .. » lui dis-je ! « J’aime ta queue, je veux prendre tes couilles pleines de vie dans mes mains, et puis voir le reste ». J’avais un mal fou à garder le contrôle sur mes pulsions érotiques, je tentai de calmer ses ardeurs ; tout comme moi elle était en manque de sexe depuis longtemps, c’était clair. Elle se coucha sur le dos, dressa les jambes pour que je puisse la déculotter plus facilement. Je fis glisser son petit slip de coton blanc sur ses jambes dressées . Je vis apparaître sa fente surmontée par une toison blonde bien entretenue. En lui faisant compliment, elle me dit qu’elle l’avait éclaircie le matin même, en prévision.. Nous fûmes nus quelques instants après, enserrés dans les bras l’un de l’autre ; je découvrais son corps tout contre le mien, je le sentais palpiter d’émotion, où était-ce le mien ? C’était un moment délicieux, d’une grande tendresse que l’on éprouve qu’au premier contact de la chair. Ce fut le moment où elle s’épancha. Elle me dit qu’elle avait été très malheureuse depuis qu’elle avait quitté son job de secrétaire chez nous. Son mari ne la baisait plus car il était bourré tous les soir et pour se payer à boire il piquait dans la caisse du maga.. Elle me confia qu’elle regrettait que l’on ne se soit pas retrouvés plus tôt car maintenant c’était trop tard.. « Trop tard pourquoi ? » ai-je demandé.. Mon mari ne voulait pas d’enfant, moi si, alors tu aurais pu m’en faire un.. L’aurais-tu dit à ta femme si tu m’avais mise enceinte ? Je ne sus que répondre et du reste ça n’avait plus d’importance. Je lui avais bien plus lors de notre rencontre sur le quai, et si je n’avais pas été en couple, elle aurait sans hésité rompu avec son fiancé.. Je sentais les battements de son cœur qui cognaient contre ma poitrine. Elle renifla et soupira plusieurs fois : elle pleurait doucement en se blottissant dans mes bras.. » j’étais si malheureuse avant de te retrouver »..
Son ventre et ses seins étaient collés contre moi, je lui caressais doucement le dos, la nuque, j’avais saisi ses fesses charnues.. Elle me dit qu’elle se sentait très seule sans enfant ni famille, que notre rencontre avait été miraculeuse pour elle.. Aïe aïe aïe me dis-je, je dois faire attention ! Elle se calma, m’embrassa et s’excusa de s’être laissée aller à me parler d’elle.
J’aventurai une main vers son bas ventre, atteignant sa petite touffe blonde plantée au sommet d’un mont de Vénus très bombé (j’adore !) ; elle saisit alors ma main avec fermeté et la plaqua sur sa fente en me disant « c’est là que je te veux maintenant ». Je glissai un doigt à la commissure de ses deux lèvres, puis m’aventurant plus avant, mon doigt enfonça deux phalanges dans une vulve étonnamment profonde, chaude et humide. Saisissant son clitoris entre deux doigts, elle eut une réaction explosive en se repliant brusquement sur elle même tout en me mordant à l’épaule et feulant comme une panthère ! « Oh là là ! » me dis-je, voilà un animal sauvage qu’il me faudra apprivoiser !
mika007, gullihom, FredCandau et 27 autres a liké
#2703559
Admirateur inconditionnel mais silencieux de vos aventures, je décide de rompre le silence pour vous remercier de cette suite.
Les photos ne sont pas celles de votre première fois, dois-je déduire que les jeux vont se faire plus coquins ensuite avec d’autres invités ?
Merci encore, hâte de lire la suite.
Danimendu a liké
#2703597
FredCandau a écrit :Admirateur inconditionnel mais silencieux de vos aventures, je décide de rompre le silence pour vous remercier de cette suite.
Les photos ne sont pas celles de votre première fois, dois-je déduire que les jeux vont se faire plus coquins ensuite avec d’autres invités ?
Merci encore, hâte de lire la suite.


Ravi que notre histoire vous ait plu. La suite commence seulement.
Vous l'avez compris, Victoire ayant décidé de se consacrer à d'autres plaisir comme la lecture, la peinture et s'occuper de ses petits enfants, elle m'a accordé une liberté sexuelle sous conditions. J'ai eu la chance de retrouver la belle femme "du quai de la gare" bien des années plus tard.. C'est d'elle qu'il s'agit sur ces photos mais hélas elle n'est plus, le covid l'ayant emportée au début de la pandémie, il y a deux ans! :( :(
Heureusement que j'ai toujours Victoire à mes côtés..
#2703624
bonjour @trestigres ah non, tout cela ne nous lasse pas. Mais concernant les présences, du moins en ce qui me concerne je me connecte environ une fois par semaine, donc pas forcement du répondant. Mais je lis toujours avec énormement de plaisir tes récits. D'ailleurs, je te trouve intarissable sur le sujet et te remercie pour tous ces partages !!
  • 1
  • 11
  • 12
  • 13
  • 14
  • 15
  • 30

Notre boutique candauliste 100% sécurisée