- 04 avr. 2023, 01:46
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C’était une fin d’après-midi maussade du mois de novembre 2000.. . Nous étions occupés aux préparatifs d’un long voyage dans l’hémisphère sud, le départ était imminent..
Le téléphone sonna, par bonheur je décrochai : « allo, bonsoir mon patron, je suis E.., tu te souviens je suis E.. L.. ton ancienne secrétaire ! » Bon sang, moi qui m’était fait une raison depuis longtemps, voilà qu’elle me tutoyait comme si nous étions restés intimes ! Cet appel réactiva à l’instant même l’amour que j’avais eu pour elle. Il fallait que l’on se revoit, mais hélas nous partions pour un long voyage. Je le lui dis et promis de la rappeler à mon retour; nous échangeâmes nos numéros de portables. Cet appel m’avait rajeuni et surtout reboosté ma libido ! ! Le simple fait de penser à elle durcissait mon sexe qui exigeait de faire la connaissance du sien. Je lui laissai quelques messages sms exprimant sans équivoque mes sentiments. Le problème auquel j’étais confronté s’appelait Victoire.. Pour un début je pris la décision de ne rien lui dire en attendant de voir si une relation allait se nouer avec E..
Quatre mois plus tard à notre retour de voyage il ne fut pas possible de la rencontrer pour des raisons familiales. Mais l’occasion se présenta durant le mois de juillet. Nous étions chez nous en vacances en Espagne et ma mère étant malade me réclamait. J’en profitai pour lui rendre visite et quittai l’Espagne pour une semaine. Après avoir rendu visite à ma mère et évité que ma belle famille m’invite à dîner, je filai vers elle.
Elle m’attendait dans son jardin avec son chien – jack russell - lorsque je suis arrivé chez elle ; elle portait une jolie robe en coton bleu avec des dessins jaunes, elle avait un peu forci. « Et ton mari ? » Il était décédé depuis deux ans d’une cirrhose du foie, il était alcoolique au dernier degré. Elle coupa court à mes condoléances en me disant que la vie était devenue impossible, qu’elle l’avait quitté pour habiter dans un studio pas loin de là. Elle lui rendait visite chaque matin et un jour elle le trouva au lit, froid. Il était mort, une dizaine de bouteilles de Vodka jonchant le sol ! Je m’intéressais à elle, préoccupé de la voir seule, sans boulot car elle avait dû céder sa librairie, son mari piquant continuellement dans la caisse pour s’abreuver. Mais elle prenait tout cela avec philosophie. Elle me disait qu’elle était si heureuse de m’avoir retrouvé grâce à mon numéro de téléphone qu’elle avait conservé. Nous étions proches ; nous nous rapprochâmes encore pour finir par l’enserrer contre moi. Elle se glissa à califourchon sur mes genoux et m’enserrant de ses bras nous nous embrassâmes fougueusement. Elle me dit alors, les yeux dans les yeux : « je vais me donner à toi, tu l’as bien mérité, je te le dois » Je lui répondis « j’en ai une folle envie, mais tu ne me dois rien ». Elle me prit par la main et m’entraîna à l’étage, dans sa chambre, son chien sur nos talons. Un grand lit couvert d’un drap blanc tout frais était ouvert, la couette repliée, prêt à accueillir nos ébats. Elle me fit asseoir à côté d’elle et me prenant les deux mains dans les siennes, elle me dit avec beaucoup de précautions que je devrais passer un test VIH ; elle venait de le faire et il était négatif … Et pour cette fois, mais cette fois seulement car elle les a en horreur, elle me demanda de me couvrir d’un latex. Je n’en avais pas, elle avait tout prévu !
Habillés, nous étions allongés sur le lit, face à face, je détaillais son visage, ses petites rides autour de ses lèvres, les petites pattes d’oie aux coins des yeux.. Elle me charmait.. Sa robe de coton était remontée haut sur des cuisses fuselées.. j’aventurai une main par dessous mais elle me tapa, « pas si vite, toi ! on a le temps.. »
Nous commençâmes à nous déboutonner mutuellement. Je fis passer la robe par dessus sa tête pour découvrir son beau corps de femme mûre. Elle portait un soutien gorge blanc en dentelle que je dégrafai dans son dos nu ; ses seins magnifiques jaillirent à l’air libre comme deux animaux vivants, j’admirai les petits aréoles roses (je n’aime pas les aréoles comme des soucoupe !) surmontés d’un petit téton plus foncé.. Elle avait un gros point de beauté entre les seins, un peu décentré sur la gauche. Elle me dit alors qu’elle préférait les sexes circoncis et me demanda si je l’étais. « tu n’as qu’à le découvrir toi-même » lui dis-je.
Elle ouvrit mon pantalon, eut du mal à éjecter ma queue tendue comme un arc, et fut soulagée de voir mon gland sans capuchon. Elle se jeta dessus, le prit entre ses lèvres et de sa langue agile, elle me fit presque éjaculer. « Doucement .. » lui dis-je ! « J’aime ta queue, je veux prendre tes couilles pleines de vie dans mes mains, et puis voir le reste ». J’avais un mal fou à garder le contrôle sur mes pulsions érotiques, je tentai de calmer ses ardeurs ; tout comme moi elle était en manque de sexe depuis longtemps, c’était clair. Elle se coucha sur le dos, dressa les jambes pour que je puisse la déculotter plus facilement. Je fis glisser son petit slip de coton blanc sur ses jambes dressées . Je vis apparaître sa fente surmontée par une toison blonde bien entretenue. En lui faisant compliment, elle me dit qu’elle l’avait éclaircie le matin même, en prévision.. Nous fûmes nus quelques instants après, enserrés dans les bras l’un de l’autre ; je découvrais son corps tout contre le mien, je le sentais palpiter d’émotion, où était-ce le mien ? C’était un moment délicieux, d’une grande tendresse que l’on éprouve qu’au premier contact de la chair. Ce fut le moment où elle s’épancha. Elle me dit qu’elle avait été très malheureuse depuis qu’elle avait quitté son job de secrétaire chez nous. Son mari ne la baisait plus car il était bourré tous les soir et pour se payer à boire il piquait dans la caisse du maga.. Elle me confia qu’elle regrettait que l’on ne se soit pas retrouvés plus tôt car maintenant c’était trop tard.. « Trop tard pourquoi ? » ai-je demandé.. Mon mari ne voulait pas d’enfant, moi si, alors tu aurais pu m’en faire un.. L’aurais-tu dit à ta femme si tu m’avais mise enceinte ? Je ne sus que répondre et du reste ça n’avait plus d’importance. Je lui avais bien plus lors de notre rencontre sur le quai, et si je n’avais pas été en couple, elle aurait sans hésité rompu avec son fiancé.. Je sentais les battements de son cœur qui cognaient contre ma poitrine. Elle renifla et soupira plusieurs fois : elle pleurait doucement en se blottissant dans mes bras.. » j’étais si malheureuse avant de te retrouver »..
Son ventre et ses seins étaient collés contre moi, je lui caressais doucement le dos, la nuque, j’avais saisi ses fesses charnues.. Elle me dit qu’elle se sentait très seule sans enfant ni famille, que notre rencontre avait été miraculeuse pour elle.. Aïe aïe aïe me dis-je, je dois faire attention ! Elle se calma, m’embrassa et s’excusa de s’être laissée aller à me parler d’elle.
J’aventurai une main vers son bas ventre, atteignant sa petite touffe blonde plantée au sommet d’un mont de Vénus très bombé (j’adore !) ; elle saisit alors ma main avec fermeté et la plaqua sur sa fente en me disant « c’est là que je te veux maintenant ». Je glissai un doigt à la commissure de ses deux lèvres, puis m’aventurant plus avant, mon doigt enfonça deux phalanges dans une vulve étonnamment profonde, chaude et humide. Saisissant son clitoris entre deux doigts, elle eut une réaction explosive en se repliant brusquement sur elle même tout en me mordant à l’épaule et feulant comme une panthère ! « Oh là là ! » me dis-je, voilà un animal sauvage qu’il me faudra apprivoiser !