Je me permets de dédier ce poème à une superbe femme, débutante et quelque peu timide, mais dont le potentiel coquin n'a d'égal que la sensualité des attraits ; j'ai nommé madame
@ChatLyn.
Sur le seuil,
Je comprends tes appréhensions
Pour cet univers d’inversion,
Des repères que tu connais
Et chéris depuis tant d’années.
Tu vivais dans le doux confort,
Bien régulé, des corps à corps
Conjugaux. Pour toi, « volupté »
Rimait avec « fidélité. »
Maintenant, toi qui fus si sage,
À pas comptés, tu envisages
De basculer dans l’univers
Des joies coquines de la chair.
N’aies pas peur ! Tu seras guidée
Par ton homme qui n’a cessé
De t’aimer. Il tiendra ta main
Tout le long de ce beau chemin.
Sache que ses motivations
Sont inspirées par Cupidon.
C’est par amour qu’il te partage.
C’est inouï le libertinage.
Drapée dans ta maturité,
Tu brilles de mille beautés.
Tes attraits sauront rendre fous
Tous les mâles au cœur d’amadou.
Quand tu auras franchi le pas,
De bonheur, tu rayonneras.
En jouissant, tu crieras « merci »
À ton mari prêteur, ravi.
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