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#2516465
J'ai décidé de regrouper ici les multiples poèmes (hors le fil "PoeSSie") que j'ai éparpillés au grès des posts et des messages. Je les sentais orphelins et grelottants. C'est pour cela que je les ai réunis ici. Le fil grossira (:x) au fur et à mesure. L'ordre chronologique ne sera pas forcément respecté.

@Saxojaune et Clara m'ont beaucoup inspiré. Leur post est exemplaire et magnifique. Je commence cette anthologie par eux.

I) Décembre, c'est son nom.
Sous la Révolution
Il s'appelait frimaire.
Mon dieu quelle galère
Pour un mari candau
D'organiser de beaux
Rendez-vous pour sa belle.
Elle toujours sensuelle,
Ardente et volontaire,
Rien pour la satisfaire.
Je me gratte la tête,
Elle n'est pas à la fête.
Trente-et-un jours maudits
Qui ont gâché nos nuits.
"Vive janvier ! ". Et j'ose
Même "Allez Nivôse !".
Que ma Clara chérie
Connaisse la joie, rie,
Dans les bras câlinants
De ses virils amants.

II) C'est enfin la soirée du réveillon.
Mets raffinés, champagne et cotillons.
Tous les invités sur leur trente-et-un.
Et pourtant, il va se trouver quelqu'un
Bien décidé à jouer les coquins
En dévoilant l'ovale de ses seins.
Clara, car c'est d'elle dont il s'agit,
Malgré le virus, n'est pas assagie.
Elle avance avec audace et fierté
Ses tétons dressés vers la volupté
Qu'à l'an neuf ses amants lui donneront.
Elle a hâte de ces confrontations.
Ses seins souverains, ainsi mis à nu,
Crient à son mari qu'il sera cocu.

III) Clara, tu es sexy vêtue
Ainsi. Je trouve ta tenue
À ton image, gaie, luronne,
Et ton sourire qui couronne
Le tout. Vraiment, tu es radieuse.
Mais encore plus voluptueuse,
Est la vue de ton si beau cul,
Astre divin des plus joufflu.
Le contempler dans sa splendeur
Naturelle, mais quel bonheur !
Ton cul vaut bien des sacrifices
Pour tirer son feu d’artifice.

IV) Petit Papa Noël. Je voudrais cette année
Au pied de mon sapin, un cadeau satiné
Et tout rempli de joie, de rires et de rêves ;
Une vague étoilée déposée sur la grève.
En ces temps de virus qui nous met au huis-clos,
Aurais-tu dans ta besace une vidéo
De la belle Clara jouissant à l'unisson
Avec un un bel amant ? Je suis un polisson
Drapé en un poète amoureux de métrique ;
Et le corps de Clara me fait durcir la trique.
Pour adoucir ce vœu, n'être point égoïste,
Mon “je" se mue en "nous" et devient altruiste.

V) Le corps de Clara est une fusée
Dans lequel je rêve de m'amuser.
Jamais arrogants, ses seins si mignons
Défient avec joie la gravitation.
Avec sa croupe, je suis en orbite
Près de Vénus, d'une météorite.
Et ouïr les gémissements de la belle,
Quand avec bonheur tu te glisses en elle,
C'est danser sur les anneaux de Saturne,
Devenir aussi beau qu'un dieu nocturne.
Et nos râles produisent un tel écho,
Que notre coït se mue en tango.

VI) Tant d'hommages sont rendus à Clara ;
À son corps voluptueux d'apparat,
À son sourire coquin rayonnant
Qui liquéfient d'envie tous ses amants.
Mais il ne faut pas oublier Saxo,
Le plus merveilleux des maris candau
Qui se met en quatre pour être trois,
Tout en restant dans sa cage à l'étroit.
Elle est le feu, il est son oxygène
Qui la fait s'épanouir sans nulle gêne.
En ce beau jour de Noël c'est vous deux,
Que j'embrasse et à qui j'envoie mes vœux.
#2516596
Suite des textes que Clara (et son lapinou) m'ont inspirés.

I) Quand mon lapinou est en cage,
Il est si mignon et si sage.
Savoir son engin prisonnier
Dans ce petit tube d'acier,
Me donne d'immenses frissons
Et nous vibrons à l'unisson.
Mon lapinou doit retenir
Toutes ses envies, ses désirs.
Pour lui c'est toujours : "bas les pattes !
Tu ne jouiras pas dans ma chatte.
Et je libérerai ta nouille
Quand j'aurai chevauché les couilles
Pleines et dressées de mes amants
Que je désire impatiemment. "

II) Tu sais mon lapin, je n'en ai pas eu assez
Dimanche. Et moi qui croyais m'être lassée
Du jeu entre ma chatte et un amant. Erreur !
La bite de Matt a réveillé mon ardeur.
Dieu que c'était bon de jouir avec ce biker !
J'avais un peu froid, et il m'a mise en chaleur.
Toi aussi cela t'a plu mon petit branleur
De mari. Ton organisation si parfaite
M'a redonné le goût et l'envie de la fête.
Cette année démarre sur les chapeaux de roue
Et tu seras cocu à un rythme de fou.
Joli lapinou, hâte-toi ! Fais-moi servir
La suite du repas. J'ai faim. Je veux gémir
Sous les coups de boutoir des grosses queues d'airain ;
Je veux que leur liqueur emplisse mon vagin.
Mon doux époux, si l'appétit vient en mangeant,
Je te prie de me trouver de nouveaux amants.

III) Après trop de temps, revoici l'envie.
Je me pensais perdue, mais je revis.
Par ton amour, je foule le parvis
Brûlant de mes rêves inassouvis.

J'étais endormie, tu m'as réveillée.
Mes sens en berne, tu m'as bousculée.
Ton tendre dévouement a distillé
Sa liqueur de plaisir. J'ai basculé.

Viens mon aimé, j'ai besoin de tes yeux
De ton âme, de ton être amoureux
Pour allumer au fond de moi le feu
De mon amant investissant les lieux.

IV) Matt vient de se lâcher sur moi. Je suis souillée.
Mon Saxo adoré, il est temps. Viens fouiller
Ta reine de ta douce langue candauliste.
Viens me nettoyer du foutre que la baliste
De mon bel amant a répandu sur mon corps.
Allez, applique-toi ! Et s'il en reste encor,
Ton oiseau n'est pas prêt de sortir de sa cage.
Chéri, tu es mon féal. Agis et sois sage.
#2517060
Suite des poèmes que Clara et Saxo m'ont inspiré.

I) Été ou hiver, peu me chaut.
Quand Éros brûle en moi, j'ai chaud.
Mes seins sont gonflés de désir,
Vous les montrer est mon plaisir.
Anticiper les doigts savants
De tous ces mâles concourant
À me procurer des frissons,
Raidit fièrement mes tétons.

II) Il est des hommes qui croient que tout est permis.
Que tout leur est dû, que nous leur sommes soumis.
Ils prennent du plaisir quand ils nous manipulent,
Nous rabaissent dans des comités Théodule.
Derrière mon sourire, je suis une lionne
Qui défend ses droits mais jamais ne fanfaronne.
Il est des parvenus et des aristocrates
Chez les directeurs qui se rêvent autocrates.
J'assume qui je suis, droite dans mes bottines ;
Et les malfaisants, je les dresse, les domine.
Mon mari chéri dit que ma féminité
Illumine ses jours et gagne en volupté
Quand je suis en robe par dessus mes collants
Et mes beaux seins enveloppés d’un haut moulant.
D’admirer ma toison bien taillée s’épanouir
Sans entrave, le rend fou de joie, de désir.
J’aime mon lapinou et je lui obéis.
C’est toujours un bonheur de le voir ébloui.
Mais c’est moi qui mène le bal. S’il n’est pas sage
La clé reste à mon cou, et l’oiseau en cage.

III) Je rêvais d'un encas
En goûtant au beau K.
Je salivais d'avance
De cette grande chance.
Nouveau désistement
De ce fantasque amant.
À défaut de ses mains,
J'ai eu droit au lapin.
Ce dernier tour de piste
T'a rayé de ma liste.
Le seul lapin que j'aime
Aussi fort que moi-même
C'est mon mari Saxo
Mon cœur alter ego.

IV) Ton projet a démarré doucement.
Aurais-tu seulement envisagé
Qu'il croîtrait aussi formidablement ?
Huit cents-pages écrites, paysagées
Même, comme un huis donnant sur ton cœur.
Et même lorsque tu te mets à nu,
Tu demeures honnête, plein de candeur.
En te lisant, je n'aurais jamais cru
Que l'on pût s'avérer si authentique
Sans nullement choir dans le graveleux.
Ton fil, Saxo, est un hymne à l'amour
Vrai. Puisse-t-il donc durer pour toujours.

V) Comment ne pas être en émoi,
Aussi raide qu'un bout de bois,
Quand tu as collé contre toi
Clara dont la chatte rougeoie
Qui veut, qui réclame tes doigts
Qui s'ouvre enfin et que tu bois ?

VI) La chaude Clara et le bel Abel
Ce soir, forment une paire
D'amants. Avant, parallèles,
Leurs corps ce soir seront d'équerre,
Emboîtés, reliés par les filaments
Coulants de leurs intimités.
Clara, déchaînée décidément,
Verra sa féminité
Sertie de perles masculines
Et deviendra très coquine.

VII) Clara avait encore faim
Du corps de son amant. Enfin
Elle allait être contentée,
Aimée, rassasiée, enchantée.
Il lui tardait d'être à son aise
Pour qu'enfin son chouchou la baise.
Ses seins partent en éclaireurs,
Tendus, vers l'objet de son cœur.
Sa fente se fait incendie
D'où sort son bouton enhardi.
La joute va être sévère.
Clara ne la veut pas pépère.
Ce soir elle devient femelle,
Exigeant de son amant qu'elle
Soit remplie de sa queue en rut
Pour jouir, crier en contre ut.
#2518443
Poursuite des textes que Clara et Saxo m'ont inspirés.

I) Le pieu durci de K s’agitait dans Clara.
À ce moment précis, sa semence il cracha.
Et la belle insatiable enfin fut rassasiée,
Elle qui si profond avait été baisée.

II) Longtemps je me suis couchée de bonne heure
Éclairée de ma passion intérieure.
Lovée contre mon mari encagé,
Mes abysses brûlants me démangeaient.
Parfois, à peine la lumière éteinte,
Mes yeux se fermaient sur feu mes étreintes.
Mon corps de femme mariée réclamait
Son dû de jouissance pour se pâmer.
Sans plus attendre, dès le lendemain,
Je choisis de suivre un autre chemin.
Cette chaste nuit fut le chant du cygne
De mon inaction. Déjà, je trépigne.
Ce qui était le golfe de mes peines
N’existe plus du côté de chez Ben.
Dès que je l’aperçois, beau et puissant,
Je crie, émerveillée : « Sois mon amant ! »
Auprès de lui, je ne m’appartient plus,
Il me procure l’extase absolue.
Le goût de la semence du beau Ben
C’est mon jardin d’Éden, ma madeleine.
Jamais de ma vie, je n’ai autant joui.
Cela se lit dans mes yeux éblouis.
Mon époux sera resté dans sa cage
Toute la durée de cet abordage.

III) Je m'appelle Clara,
La vraie pasionaria
Des amours candaulistes.
Il me faut des balistes
De taille suffisante
Pour égayer ma fente.
Abel a ce qu'il faut ;
Et en plus, il est beau.
Avec lui, je m'envole ;
Son sexe me rend folle.
Lapinou, c'est foutu
Pour juter dans mon cul.

IV) La science, quelle discipline épique !
Plus intense que les mathématiques,
Mon cœur penche pour l'art astronomique.
Étoiles, galaxies, vide cosmique,
Je vibre dans ce monde allégorique.
Dans sa cage de Faraday ludique,
Mon mari a des coïts faméliques
Mais des branlettes exquises et frénétiques.
Mon lapinou, tu sais que je fornique
De plus en plus loin sur mon elliptique.
Mon Saxo, tu étais le centre unique
De toutes mes chevauchées extatiques ;
À la fois Galilée et Copernic.
Désormais, mon corps se meut, euphorique,
Sur de grosses fusées ergonomiques.
Mais tu sais que je ne suis pas inique.
Viens te branler sur mon cul atomique !

V) Je viens juste de descendre de la Grande Ourse
En glissant sur la grande échelle des pompiers.
J’ai rarement connu, lors de mes folles courses,
Pareille extase sidérale, pris mon pied.
C’est inouï, comme les sept petites lettres,
Qui écrivent le nom de ce si beau métier,
Ont soufflé à mes lèvres l’envie de commettre
La coquinerie osée qui m’a fait crier.
Dans la dite constellation, Dieu que c’est drôle,
Un astérisme au nom de plus appropriés,
A créé mon envie : la Grande Casserole.
Mon chéri, je ne me suis pas faite prier
Pour demander à mon fringant soldat du feu
Qui ravage mon puits rougi, de le noyer
De toute la puissance fournie par sa queue.
Sache que je n’ai pas eu à le supplier
Bien longtemps pour jouir des longs élans de sa lance.
Dans la galaxie de son lit, j’ai tant grogné,
Que mes cordes vocales vibraient en cadence.
Pour fêter mon retour, toi qui as frétillé,
À ton tour d’inonder ma matrice de reine.
Pénètre ma féminité pour festoyer
Là même où mon amant a déposé ses graines.
Il me faut ton sexe pour être rassasiée.

VI) @freebedon
Il est normal, ma foi
Que ton sexe de bois
Veuille entrer dans Clara
Sitôt qu'il le pourra.
Écarte la dentelle
Qui la rend toute belle
Pour lui faire goûter
Toute ta dureté.
Si au creux de sa fente
Ta bite fut absente,
Pour toi sonna le glas
Et puis, tu te branlas.

VII) Clara, ton joli cul bleuté,
Remue, tout plein de volupté
Sous nos yeux envieux.
Sous peu, il sera accueillant
Et sûr, pour tes vaillants amants
Sans cesse plus nombreux.

VIII) Clara, donc, a tranché.
Messieurs, il faut nous taire.
Nous, petits vers de terre
Allant dans nos tranchées,
Nous devons obéir
Malgré notre plaisir
À ouïr ses vocalises
Quand elle est si bien prise.
Accorde ton pardon
Aux amateurs des sons
Qui sortent de ta bouche
Quand tu jouis dans la couche.

IX) Clara, ton joli cul bleuté,
Remue, tout plein de volupté
Sous nos yeux envieux.
Sous peu, il sera accueillant
Et sûr, pour tes vaillants amants
Sans cesse plus nombreux.

X) Coquine Clara, reine zélote,
De nos joyaux qui bougeottent
Et hurlent, tels des coyotes,
Pour qu'ils fricotent
Et sortent leur tête haute
Vers la bouche cosmonaute
Et la divine motte.

XI) La mer ne peut contenir
L'amour fou de Saxo
Pour sa belle. Son désir
Est trop fou, trop beau.
Même les rouées sirènes
Ne pourraient détourner
Son cœur battant qui chemine
Vers sa Clara et son décolleté.

XII) Clara dit à Saxo : "J'attends Guillaume Tell.
Et tu vois, mon lapinou, tu n'as rien de tel
Que le gros pieu dressé de ce fougueux amant
Dont je guette la venue si impatiemment,
Que pour hâter ses va-et-vient, j'ai fait des trous
Des deux côtés pour le rendre encore plus fou.
#2518827
I) Yoga. Voici un mot qui me correspond bien.
Sa saveur, sa philosophie, tout me convient.
En sanskrit, il signifie en premier "union".
Or, il n'est rien de plus beau que l'association,
Langoureuse et rythmée, de plusieurs corps mêlés.
Quand je m'entraîne, mon esprit échevelé
Appelle les mânes de mes hommes adorés.
J'entends les vibrations, à peine susurrées,
De leurs méditations, plus que jamais tantriques ;
Ma peau sent leurs douces caresses érotiques ;
Et mon âme, enfin libérée de ses contraintes,
Atteint le Nirvâna par leurs mâles étreintes.

II) Schat, que ce soit le rouge ou bien le noir,
Toutes tes tenues sont le grand miroir
De ta beauté toujours plus rayonnante,
De ta sensualité si envoûtante.
Schat, choisir c'est décevoir. Prends les deux.
Fais comme pour ta paire d'amoureux.
Puisque tu vis loin de l'unicité,
Les deux tenues ont leur nécessité.
Songe à ton mari et à ton amant.
Deux robes à ôter, mais que c'est tentant.

III) Moi, Schat, suis une femme très croyante,
Et tous les jours un peu plus pratiquante.
Dans notre religion, la Trinité
Est essentielle, et l'a toujours été ;
Tout comme le culte voué aux saints.
Aussi, bonne fidèle à l'esprit sain,
De notre foi, avec contentement,
Je respecte tous les commandements.
Pour la Trinité, j'ai pris un amant,
Béni par mon mari ; c'est si charmant.
Plus que jamais, on honore mes seins,
Par des prières, autant qu'avec les mains.
Tous les trois, agneaux de Dieu, sommes nus
Pour obtenir le salut de nos culs.

IV) Ô pucelle de Domrémy !,
Sache que pour toi c'est permis.
Sous mes coups, tu auras gémi,
En Do, en Ré et même en Mi.
Je dis le mot et tu frémis
De toute ton anatomie.
Et pourtant, ma douce, ma mie
Ceci n'est point une infamie.
Je t'enseigne l'astronomie
Bien mieux que les Académies.
Dans ta lune, un tsunami
Va te submerger, c'est promis.
Ô donzelle de Domrémy,
Tu vas aimer la sodomie.

V) Adieu à toi, jolie Bruxelles !
Cité de tant de bagatelles,
Lieu de perditions des pucelles.
Comme j'ai aimé tes ruelles
Si adéquates aux ribambelles
De mes folles amours plurielles.
Grâce à toi, c'est une kyrielle
De situations irréelles
Que j'ai vécues, a grande échelle.
Éros me tiendra la chandelle
À Paris, ville aussi très belle.
Vous serez mes cités jumelles.

VI) Certes, messieurs, je ne suis pas une ministre.
Grâce à dieu, j'ai évité cet emploi sinistre.
J'occupe une fonction beaucoup plus souveraine ;
Je régis mon appartement telle une reine.
Ne vous méprenez pas, cet emploi très prenant
M'oblige à tout surveiller, c'est parfois pesant.
Des vêtements en vrac aux cartons non rangés
Mon ire est telle que j'en deviens enragée,
Avant de couler, mélancolique Amphitrite.
Seul mon doux mari sait me redonner la frite.
En mon nom, il mande aussitôt la réunion
Tripartite d'où jaillira la solution.
Sachant ses compétences, il a reçu blanc-seing
Pour que s'envolent au loin mes tourments malins.
Survient à la rescousse un collaborateur
Dont le mandrin épais n'est que joie et bonheur.
Une valse à trois corps jaillit dans le miroir
Qui me dit : " Ô Schat !, tu es le plus bel espoir
Des amants serruriers qui se donnent la peine
D'ouvrir ta féminité de leur grosse pêne."
Je raye du lexique le mot rangement
Quand je suis en réunion avec mon amant.

VII) Un simple croissant et du thé.
Rien de tel pour la volupté.
Jésus multipliait les pains ;
Moi, j'additionne les engins.
Si mêler eau et vin, c'est non ;
Mélanger trois corps, c'est trop bon.
Béni soit le télétravail.
Il laisse de côté les pailles.
Avec lui, c'est le temps des poutres
Porteuses du Saint-Graal de foutre.

VIII Tu viens donc de franchir le pas.
Mais Schat, surtout ne t'en fais pas !
Car cette nouvelle dizaine
Pour toi ne sera pas vilaine.
Les bonnes fées de la Nature
T'ont rendue sublime et mature.
Sur tes cinquantièmes hurlants
Voguent, amoureux, tes deux amants.
Je fais partie de ce cénacle
Et n'ai connu nulle débâcle.
Crois-moi, chez les quinquagénaires,
Tu seras reine et chevalière.
Schat, fredcandaule, Patrice63 et 2 autres a liké
#2519172
Place aux textes que m'ont inspiré Marine et Patrice, très beau couple joueur et coquin.

I) Je suis une femme timide
Et parfois même un peu candide.
Vers mon royaume de Colchide,
Seul mon Argonaute intrépide
De mari je veux et je guide.
Ses envies rendent translucides
Mes habits bleus ou bien virides.
Il peut dévoiler mes Florides,
M’exalter, ou rendre torride
Mon précieux triangle d’Euclide.
Bien qu’il soit le roi de Tauride,
Au final, c’est moi qui décide.

II) Le corps de Marine me sied et me ravit.
De haut en bas, tout est si beau et me sourit.
Ses douces rotondités sont affriolantes
Ou pour le dire moins pudiquement, bandantes.

III) Marine et Patrice,
Rien chez vous n'est vice.
De gentils novices
Qui entrez en lice ;
Joies exploratrices
Gravant la matrice
D'un coquin délice.
Pour vous, le factice
Est un exercice
Gonflé d'artifices.
Tu es une actrice.
Pour ton doux complice,
Ton brûlant calice,
Divin frontispice.

IV) Ô Marine, toi mon alter ego !
Je m'en vais te le dire tout de go.
Ce fol instant dont j'avais tant rêvé,
Sous mes yeux ébahis, au pied levé,
C'est enfin accompli. Tu as osé
Offrir à un autre homme la rosée
De ta bouche. Vos langues emmêlées
En un tendre combat ont emballé
Mon grand cœur qui ne s'y attendait pas.
Tu as joué avec les doux appas
Luisants d'envie de ta féminité.
Tes doigts fins et taquins ont écarté
Pour nous les parois rosées de tes lèvres.
À ce moment précis, j'avais la fièvre
Bienfaitrice des marais candaulistes.
Je voyais déjà de fières balistes
Aller et venir dans ta citadelle
En des étreintes toujours plus sensuelles.
Sache mon aimée que je suis très fier
De ta coquine initiative. Hier
S'efface déjà. Je rêve à demain,
Quand, joie suprême, tu iras plus loin.

V) Patrice, qu'existe-t-il de meilleur,
Si ce n'est de devenir le voyeur
De ta Marine aimée, ton âme-sœur,
Dans le halo bleu d'un rétroviseur ?
Vivement que tu contes les ardeurs
De ta chérie dévorée de chaleur.

VI) Tu désirais que les vannes s'ouvrissent.
Que toi, le mari audacieux, Patrice,
En eût plein les yeux de l'impératrice
De tes songes fous, de l'inspiratrice
De tes partages. Gorgée de malice,
Ta muse chérie au goût de réglisse,
A fait pleuvoir sur son corps des indices
Coquins jusqu'au creux de ses interstices.
Vois !, mari prêteur, sur cette peau lisse
Jaillir, enfin, sa folie créatrice.
#2519176
Les aventures magnifiques et parfois mouvementées de @fredcandaule et de sa très coquine femme @Brigittecandaule savent aussi m'inspirer des textes.

I) Quand je vois Brigitte, je mes sens cocufieur
Impatient de l'aimer de mon glaive vengeur.
Tu rêves de soleil, voire d'insolation,
Quand je frémis déjà de sa pénétration.
Puisque vos liens nuptiaux ont été renforcés,
Vers ta jolie chérie je suis prêt à foncer.
Cher Fred sois rassuré, je saurai bien la prendre.
Bien que très excité, je sais me montrer tendre.
Au feu de mon soleil, ta femme brillera
De mes perles de liqueur ; et tu aimeras.

II) Chers complices, j'espère avoir la force
De tenir et de n'être pas précoce.
Brigitte vaut bien toutes les longueurs
Pour gémir sous le feu de mes ardeurs.

III) Je voulais arrêter.
Beaucoup trop de ratés,
Sans parler d’anxiété.
Adieu la volupté !
J’ai pris les choses en main
Pour redevenir sain.
J’avais peur du béguin
Ou de n’être plus rien.
J’ai mis hors de ma tête
Ces écueils, ces arrêtes.
Nos envies enfin prêtes,
Je ne dis plus j’arrête.

IV) Chaque fois que je dis “baiser“,
Je sens mon pénis s’embraser,
Ne plus pouvoir se retenir,
Vouloir cracher tout son plaisir.
Mon cerveau devient animal.
D’humain, je me mue en bestial.
Mon sexe tendu est la proue
D’un cuirassé devenu fou.
Je crie des onomatopées
Rauques dans un brouillard épais
Tissé de virile semence.
Mais mon vote, ma préséance
Va pour le noble sentiment
Qui me fait devenir charmant.
Chaque fois que je fais l’amour,
Les femmes sont l’astre du jour.
On peut marier puissante ardeur
Avec une exquise douceur.
En le faisant, je m’accomplis.
En étant prise, elle supplie
Pour que mon cœur soit dans son corps.
Faire l’amour, c’est bien plus fort.

V) Lao Tseu a dit qu'il fallait trouver sa voie.
À deux, tâtonnant, après des éclats de voix,
Ce chemin dont j'avais tant rêvé s'est rouvert.
Dieu soit loué, Brigitte a remis le couvert.
Qu'un autre mâle marche dans mes plates-bandes,
Me rend fou de joie ; et plus que jamais, je bande.
C'est en couple que nous passons le chiffre "deux"
Aux oubliettes. "Trois" nous ira beaucoup mieux.
Et au lieu de te perdre, toi mon adorée,
Tu vas me revenir, amante énamourée.

VI) Brigitte, mais que tu es ravissante !
Hélas, pourquoi n'es-tu pas mon amante ?
Ton beau corps alangui, tout plein de vie,
Me procure des galaxies d'envies.
Tes jolis seins gonflés de joie mutine
Créent dans mes lèvres des pensées coquines.
Puisqu'après l'amour tu aimes le vin,
Moi, Dionysos, suis le dieu du raisin.
Aussi Sandrine, je t'offre ma grappe
Pour que nous jouissions lors de nos agapes.

VIII) Au départ, c'était par pudeur.
Pour jouir de cet autre bonheur,
J'avais besoin d'intimité ;
Ignorer les yeux envoûtés
D'un mari tellement présent
Qu'il eût éclipsé mon amant.
Désormais, moi, la cocufieuse
Assumée, je suis demandeuse
De cet écran noir des ébats.
Savoir que mon Fred se débat
Avec son imagination,
Accroît mes envies, mes pulsions.
Mon amant peut me démonter
Et jouir de moi à satiété.
Mais mon époux, garde confiance !
Tu verras sur moi sa semence
Couler en cascade adultère.
Ce sera la fin du mystère.

IX) Chéri, maintenant qu'il m'a bien baisée,
Que mon angoisse a été apaisée,
Que toutes mes envies sont rassasiées,
Sois satisfait ! Tu vas l'organiser
Ton trio coquin, ce chassé-croisé
Torride où mon corps caramélisé
Sera sien sous tes yeux hypnotisés.
Va ! choisis la chambre aromatisée
Où mon feu coquin sera attisé
Par mon amant endurant, avisé.
Tu materas mes désirs aiguisés ;
Tu verras ma passion apprivoisée.
Mais chéri, ne sois pas tétanisé,
Quand son foutre en moi sera diffusé.

X) Déjà je te l'annonce mon chéri,
Mon gentil @fredcandaule de mari.
Quoique je fusse aux anges, remplie d'aise
De ta présence lors de cette baise,
Mon amant et moi avons décidé
Pour la prochaine de t'en éjecter.
Surtout mon chéri, ne le prends pas mal.
Dans ton cœur je n'enfonce pas un pal.
Mais tu me connais, je suis si timide.
Toi absent, et je deviens intrépide.
Quand mon amant s'enfoncera en moi,
Je penserai, quand même, un peu à toi.
Mais pas trop. Instiller de l'égoïsme
Dans notre conception du candaulisme,
C'est le cœur même de sa réussite.
Rassasiée de son corps, je rentre vite
Me lover contre toi pour tout de dire,
Te sentir amoureux et me sourire.

XI) Si longtemps tu en as rêvé !
Et je t'en ai toujours privé.
Je m'accrochais à des raisons
Gardant cette envie en prison.
Mais avec ce fougueux amant,
Je ne saurais dire comment,
Toutes mes barrières ont sauté.
J'ai avalé à satiété
Son foutre chaud. J'ai bu son jus
Sous tes yeux qui n'en pouvaient plus.
Je l'ai fait, j'ai franchi le pas.
J'ai déployé tous les appas.
Tu te voulais mari cocu
Tu m'as poussée et convaincue.
Pour le bonheur de notre couple
Je resterai dans ces eaux troubles.
Ton jus n'ira pas dans ma bouche ;
Son foutre à lui, y a fait souche.

XII) @fredcandaule entra dans le logis pour guincher.
Tenant entre ses mains le vin et le fromage.
Il n’allait pas tarder à vite déchanter.
En découvrant l’ampleur de son cocufiage.
Très actif, en plein remue-ménage, l’amant,
Lui tint à peu près ce langage en le voyant :
« Enfin je vous rencontre Monsieur le Cocu,
Que vous êtes joli et avez tant vécu !
Sans mentir, si la taille de votre bicorne
Se rapporte à la superficie de vos cornes,
Vous êtes des époux candaulistes le roi. »
À ces mots, le mari ne se sent pas de joie,
Et pour faire voir l’étendue de son ramage,
Il débouche le vin et coupe le fromage.
Le cocufieur se saisit de cet air de fête
Et dit : « Monsieur, sachez que la table était prête
À être dressée avant votre intervention
Fâcheuse et de fort mauvaise inspiration.
Aussi, je m’en vais installer les victuailles
Sur votre dos et vos fesses de belles tailles.
Apprenez que si vous avez le moindre doute
De votre meilleur bon sens soyez à l’écoute.
Cette leçon vous apportera bon dressage
Quand vous nous reviendrez avec vin et fromage. »
@fredcandaule se mit en position, confus,
Conscient, trop tard, qu’il était bel et bien cocu.
fredcandaule, Patrice63, Bri et 2 autres a liké
#2519196
Mon cher @Dionysos06 , j'ai voulu te remercier avec une modeste contribution. Certes je suis bien loin de ton immense talent mais j'ose me lancer :


Il est un poète candauliste que l'on nomme Dyonisos,
Avec nos jolies princesses, il n'est jamais rosse,
La beauté de leurs lèvres magnifiées par le gloss,
Tout comme leurs jolis minois inondés de sauce,
Deviennent autant de sources d'inspiration pour l'amant d'Ampélos,
Il tisse des vers, comme hier les jeunes Athéniennes le Péplos,
Inspiré par nos désillusions comme par nos vœux qui s'exaucent.
Dionysos06, Bri, Patrice63 et 1 autres a liké
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