C’est le moment magique, l’instant de vérité. Je regarde Yohan et murmure :
_ Elle te fait envie ?
Il ne répond pas, étourdis par la folie de ce qu’il vit. Je poursuis tout bas :
_ Branle là ! J’ai trop envie de voir... Et je suis sûr qu’elle ne demande que ça.
Il avance sa main et la pose sur la cuisse frémissante. Marine laisse échapper comme un petit hoquet de surprise et s’immobilise, haletante. Yohan caresse du bout des doigts la peau satiné et remonte lentement vers la jolie fleur rouge totalement ouverte. D’un geste précis, je remonte le foulard sur le front de ma coquine. Puis glissant ma main sous sa tête, je la lui relève. Je veux qu’elle regarde, qu’elle se donne de façon consciente. Je veux qu’elle accepte enfin de se faire toucher « là » par un autre mec que moi !
Les bras le long du corps, elle n’oppose aucune résistance, laissant la main de Yohan s’emparer de son intimité trempée. A peine celui-ci glisse-t-il un doigt entre les lèvres humides qu’elle laisse échapper un premier gémissement. Son regard voilé au travers de ses paupières mi close traduit toute l’intensité de son désir. Je jubile, ma femme accepte enfin de se laisser fouiller par un autre, c’est merveilleux !
Je regarde avec délice le doigt tendu en avant de Yohan aller et venir dans la chatte totalement offerte. Marine halète de plus en plus fort, de plus en plus vite. J’enlève ma main de dessous sa tête et la regarde la poser sur le lit. Les yeux fermés, elle se laisse aller, totalement soumise au plaisir intense qui l’envahit.
Soudain, Yohan retire sa main et se penche en avant entre les cuisses grandes ouvertes. Son visage s’approche et il se met à lécher le sexe aux lèvres gonflées.
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Marine pousse un petit "oh!" de surprise puis se cambre en appui sur les talons cuisses grandes ouverte. Elle offre son sexe sans aucune retenue à la bouche qui la dévore.
La langue descend plus bas, s’enfonce dans l’orifice béant puis ressort pour aller titiller le clitoris. Ma coquine-salope pousse un premier râle de plaisir. Yohan lèche la vulve de plus en plus vite, de plus en plus fort et soudain, Marine plaque sa main sur la nuque de l’autre comme pour l’empêcher de la quitter. Elle souffle et gémit sans discontinuer et finit par crier un premier orgasme. Tétanisée, le corps agité de soubresauts incontrôlables, elle repousse violemment la tête de Yohan, comme pour échapper à une torture insoutenable.
Il se redresse, les yeux hagards, la bouche humide.
Marine, toujours allongée sur le dos, reprend peu à peu son souffle, les yeux fermés. Je la regarde, émerveillé par la beauté du moment. Quoi de plus beau qu’une femme an train de jouir ?
J’ai une envie dingue de la soumettre à mes envies de mâle pas encore satisfait. Elle n’en a pas fini avec nous, je la veux suppliante, folle de désir. Je veux la voir hurler son plaisir encore et encore, je la veux chienne en chaleur !
Je replace le bandeau sur ses yeux puis remonte le long de son corps pour me placer à genoux sur un côté de sa tête. D’un petit signe de tête, j’invite Yohan à me rejoindre et il fait de même de l’autre côté. On se retrouve face à face, nos deux sexes tendus au-dessus du visage de nouveaux aux aguets.
Genoux écartés au maximum, je descends mon bassin le plus bas possible pour approcher ma queue de son visage. Je prends sa main et la guide pour qu’elle la prenne entre ses doigts. Elle tressaille, un peu surprise mais n’a aucun mouvement de recul. Elle sert ma bite et instinctivement, commence à me branler. Puis, ouvrant la bouche, elle gobe lentement mon gland et le suce doucement. Je suffoque presque tant je suis excité. Lentement, je prends son autre main et la guide vers le sexe tendu de Yohan.
Dès qu’elle sent le contact de l’autre bite, elle hésite quelques secondes puis la serre entre ses doigts et commence à le masturber tout en continuant de me sucer. Je sens sa langue s’enrouler autour de mon gland, parcourir le frein puis sa bouche m’aspirer tandis qu’elle s’enfonce ma queue plus profondément dans sa gorge.
Je balance doucement mon bassin comme si je la baisais par la bouche.
Levant les yeux, je constate que Yohan ne perd pas une miette du spectacle et je me dis « A son tour maintenant ». Je me retire de la bouche de ma coquine et de sa main puis posant la mienne sur sa joue, lui tourne la tête du coté de l’autre. Elle comprend immédiatement ce dont j’ai envie. Le souffle court, elle le branle toujours doucement. Sans doute imagine-t-elle la vue qu’elle nous offre, jouant avec nos deux sexes. Cela m’excite encore plus et j’en ai presque mal au ventre. C’est terrible, à un tel point que même ma queue perd de sa rigidité... Mais je n’ai pas le temps de me poser trop de question, d’un geste lent, Marine approche l’autre sexe en parfaite érection, lui, de sa bouche grande ouverte.
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Sans hésiter, elle engloutit le gland gonflé de sang et commence immédiatement à le pomper tout en le branlant.
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Le spectacle est grandiose ! Tout en matant, je m’empare de ses seins et commence à les pétrir doucement, pinçant de temps en temps ses tétons tout durs. Elle ressort la bite de sa bouche, la lèche de haut en bas, suce les bourses puis se tourne vers moi. Sa main cherche ma queue, la trouve et l’approche. Elle m’avale, m’aspire, me suce et de nouveau la rend dur comme du bois. Pendant plusieurs minutes, elle voyage d’une bite à l’autre tout en nous branlant. Elle nous suce et nous lèche, sans oublier nos bourses, l’un après l’autre. Le bruit de nos respirations saccadées, haletantes, se mêle aux bruits de sucions. Plus aucune retenue chez elle, rien qu’une envie évidente de profiter d’une occasion rare d’avoir deux sexes de mec à sa disposition. De temps en temps, elle laisse échapper un gémissement étouffé tout en bombant le torse pour mieux s’offrir à nos caresses. Elle est sublime, magnifique de sensualité et en profite un maximum, c’est un régal pour moi.
Je sens la pression monter dans mon bas ventre, je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps encore et je n’ai pas envie de jouir de cette manière.
Je m’écarte d’un coup sous l’œil surpris de Yohan. Marine, sans doute surprise elle aussi s’arrête de le sucer et ressort son sexe de sa bouche, profitant de ce répit pour reprendre son souffle.
Je suis le maître du jeu et à ce titre, j’ai une furieuse envie de...