- 20 avr. 2021, 11:02
#2517946
Suite Châlon...
Je sors du parking et prends au hasard à gauche. Je ne sais absolument pas où aller. Je tourne de nouveau dans une petite rue et de nouveau dans une autre. Instinctivement, je choisi les rues les plus petites, les plus sombres. Soudain j’entends un petit bruit de souffle plus fort derrière moi et je jette un coup d’œil dans le rétro. Yohan, penché sur Marine, l’embrasse à pleine bouche et visiblement, elle semble apprécier. Je note au passage que sa veste jetée sur ses épaules en sortant du club n’est plus là. Je sens mon cœur battre la chamade et cherche désespérément un endroit où me garer. Le bruit de succion de leurs bouches se cherchant, se fouillant devient insupportable pour moi. Je m’arrête à un feu rouge et regarde de nouveau dans le rétro. Leurs bouches toujours rivées l’une à l’autre, Je vois la main de Yohan pétrir les seins de Marine à travers son chemisier sans qu’elle n’esquisse le moindre geste pour s’y opposer. Je sens ma queue se dresser dans mon pantalon et ma respiration devenir plus pénible tant j’ai la gorge serrée. J‘éprouve les mêmes sensations que lorsque je suis angoissé par quelque chose, c’est terrible. Le feu passe au vert et je redémarre. J’enchaîne les changements de direction et tombe enfin dans une petite rue qui semble peu passagère avec une place libre dans un endroit à peine éclairé par un lampadaire situé plus loin. Je me gare, coupe le moteur et me retourne, à genou sur mon siège. Marine, appuyé contre le dossier répond au baiser de Yohan avec la même fougue. Ce dernier, tout en l’embrassant lui caresse lentement les cuisses puis remonte sur sa poitrine. Je suis totalement hypnotisé par le spectacle. Tout en continuant de l’embrasser, Yohan commence à défaire un à un les boutons du chemisier. Marine le laisse faire alors que les pans de tissu s’écartent peu à peu. Arrivé au dernier bouton, Il abandonne la bouche de Marine, se redresse et contemple la jolie poitrine totalement exposée, sans soutien gorge. Il pose sa main sur un sein en murmurant :
_ Magnifique !
Marine le regarde, la bouche entrouverte, le souffle court, attendant visiblement la suite. La main se met en mouvement et elle laisse échapper un petit gémissement tout en fermant les yeux. Je regarde les doigts voler d’un sein à l’autre, les pétrir avec douceur, pincer les tétons dressés de désir avant de les quitter pour caresser les deux lobes gonflés par le plaisir. Marine bombe le torse, s’offrant du mieux qu’elle peut à cette main qui affole ses sens. Yohan continue sont petit jeu pendant quelques secondes puis se penche et s’empare d’un téton avec ses lèvres. Marine pousse un nouveau soupir et pose sa main sur la tête de notre invité. Ce dernier commence à sucer le petit bout tout rose puis l’abandonne pour embrasser puis lécher la peau douce des deux seins à peine éclairé par la lumière du lampadaire tamisée par la buée sur les vitres. La bouche s’active, de plus en plus vite, s’occupant d’un mamelon pendant que la main pétri l’autre sein. Les paupières mi-closes, la bouche entrouverte cherchant l’air, Marine me fixe droit dans les yeux avec une expression d’abandon qui me crispe le ventre. C’est plus fort que moi, j’avance ma main par-dessus le dossier de mon siège et m’empare d’un téton tout dur que je pince doucement pendant que Yohan continue de malaxer doucement les beaux lobes offerts tout en suçant l’autre téton. Ma coquine laisse échapper un nouveau petit gémissement tout en fermant les yeux. Je jubile, elle lâche enfin prise et je bande comme un fou. Je me retourne sur mon siège et descend de la voiture. Je remarque immédiatement que la buée à l’intérieur des vitres les rend totalement opaques. J’ouvre la portière arrière et me glisse à coté de ma petite femme qui se laisse toujours tripoter par sa rencontre d’un soir. A mon tour je pose ma main sur un sein et commence à le pétrir doucement. Yohan redresse la tête et me regarde avec un petit sourire que je lui renvoi pour lui montrer mon approbation...
Marine, les yeux toujours fermés, halète doucement sous nos caresses. Je me dis que c’est peut-être le grand soir, peut-être va-t-elle s’abandonner totalement, emporter par le plaisir de nos caresses. La regarder se faire baiser là sur la banquette arrière d’une voiture, je n’ose y croire...
Soudain, Yohan se redresse et, tout en me regardant pétrir lentement le sein de mon coté, descend sa main plus bas, sur le ventre à la peau blanche et si douce, puis sur le tissu de la jupe et, enfin, sur les cuisses gainées de nylon. Il les caresses lentement tout en les regardant. La main remonte enfin, entrainant la jupe vers le haut sans que Marine n’esquisse le moindre geste pour s’y opposer. Fasciné, tout en mordillant le téton dur comme du bois, je regarde le haut des cuisses dénudées apparaitre. Le mouvement ne peut aller plus loin, le tissu trop tendu s’y oppose. Yohan caresse la peau nues des cuisses et tente de glisser sa main plus haut mais ne peut y parvenir tant la jupe est serré. Il me regarde et je devine tout de suite sa requête. Je remonte ma tête près de celle de Marine. Sa respiration forte suffit à montrer toute l’intensité de ses émotions, son excitation est presque palpable. J’approche ma bouche de son oreille et lui chuchote :
_ Lève ton cul ma belle. Je suis sûr que tu en as autant envie que moi... Laisse-le voir ta jolie chatte...
Elle ne répond pas, ne réagit pas, immobile, les yeux obstinément fermés. Je me dis que c’est fini, qu’elle ne veut pas aller plus loin. Tant pis... C’était bien quand même ! Je redescends vers ses seins et commence à les embrasser puis les lécher de nouveau sous les yeux de Yohan dont la main caresse toujours le haut des cuisses. Et soudain, elle soulève lentement son bassin, plus haut, toujours plus haut et dans un geste totalement imprévu, descend ses mains, s’empare du bas de sa jupe et la remonte lentement sur son ventre. Je reste figé, époustouflé par ce que je vois. Lentement sa petite chatte apparait, petit triangle brun taillé court, comme je l’aime. Je jette un coup d’œil vers Yohan et constate que lui aussi semble fasciné par ce qu’il découvre. Sans doute est-il surpris de ne pas voir de culotte, comment pouvait-il deviner que ma petite salope était soumise à l’application de quelques règles bien précises. Je regarde sa main remonter puis effleurer du bout des doigts la toison offerte. Je redresse la tête et m’aperçois que Marine, la tête redressée et les yeux maintenant grands ouverts, l’observe aussi. Nos regards se croisent et je lui adresse un petit sourire, gage de mon amour et de mon consentement pour ce qu’elle fait. Elle continue de me fixer, le regard comme voilé, sans aucun doute bouleversée par une émotion intense.
Je regarde Yohan qui ne quitte pas des yeux sa main caressant toujours la douce toison et je me dis qu’il faut profiter au maximum de tout cela, qui sait quand on retrouvera ce genre de situation. Mon excitation n’a plus de limites, j’ai envi de l’offrir à Yohan, envie de lui montrer la magnifique fleur rouge écarlate, toute luisante. J’avance ma main, la glisse entre ses cuisses et lentement en tire une vers moi en murmurant :
_ Ecarte encore, montre nous encore plus...
Marine se laisse faire puis ouvre son autre cuisse afin d’exhiber, dans une pose totalement obscène, sa vulve gonflée de désir.
Yohan, les yeux fixés sur l’objet de nos convoitises, cherche son souffle. Je devine son trouble et sans doute l’envie quasi bestiale qui doit lui tarauder le ventre, tout comme moi... Je décide de prendre l’initiative et me mets à genoux sur la banquette, face à eux. Puis, je défais ma braguette et sors ma bite dressée, enfin libérée de sa prison de tissu. Je saisis la main de Marine et la pose sur ma queue. Elle la prend immédiatement et la serre doucement. Yohan se redresse et à son tour se positionne face à moi de l’autre coté de ma coquine. Tout comme moi, il défait sa braguette et sors son sexe en érection. Marine regarde sa bite et je repense au jour où elle m’a avoué prendre énormément de plaisir à faire bander les mecs.
Je la regarde, attendant la suite. Mais rien ne se passe, ils restent figés tous les deux, se matant mutuellement. Alors ; je fléchi un peu les genoux et pose ma main sur son ventre palpitant. Je descends plus bas, glisse tout doucement un doigt sur le haut de sa vulve, puis entre les grandes lèvres trempées puis le remonte, passant sur le clitoris en douceur. Marine laisse échapper une sorte de hoquet puis les yeux toujours fixés sur la bite de Yohan, se met à respirer plus fort de manière saccadée. Yohan en profite pour prendre l’autre main de ma coquine et la pose sur sa queue. D’abord hésitante, elle reste immobile, puis ses doigts encerclent le membre de chair comme si elle en estimait la taille. Je continue de la branler lentement, enfonçant mon majeur dans sa chatte puis le ressortant et le remontant jusqu’au clitoris que je presse un peu avant de redescendre. Elle ferme les yeux et gémit. Ses mains enserrant nos bites se mettent à leur tour en mouvement. Serrant ses doigts, elles nous branlent tous les deux en même temps. Pendant une ou deux minutes, l’intérieur de la voiture n’est que soufflement et gémissement tandis que nos mains s’activent. Puis Yohan fléchi à son tour les genoux et pose sa main près du triangle de poils. Il glisse sa main plus bas, écarte les grandes lèvres pour mieux voir mon majeur remonter. J’enlève ma main et regarde son doigt prendre la relève et commencer à descendre dans le sillon humide. Marine se redresse d’un coup, haletante et lâchant nos queue, s’empare de la main de Yohan puis la tire vers le haut pour l’éloigner de sa chatte.
Hagarde, d’une voix tremblante :
Non. Je ne veux pas. Suis désolée. Je ne peux pas... Pas avec un autre. Oh je suis vraiment désolée, mais... Suis pas prête pour ce genre de chose.
Yohan me regarde, un peu dépité, mais n’insiste pas. Merde, on y était presque. Je regarde Yohan et lui murmure à mon tour :
_ Désolé.
_ Non, je comprends très bien... C’est pas grave. C’est déjà tellement formidable de m’avoir amené ici avec vous.
Ce type est formidable, quelle classe et pourtant si jeune ! Je n’en reviens pas. Je me tourne vers ma coquine qui nous observe l’air navré. Je lui souris histoire de la détendre et pousse mon dernier pion.
_ On ne peut pas le laisser comme ça quand même !
Elle fixe la bite toujours bien raide de notre gentleman puis se tourne vers moi m’interrogeant du regard. Je me penche vers elle, dépose un petit baiser sur sa bouche puis m’approche de son oreille :
_ J’adorerai te regarder le branler et même le sucer...
_ Rhhhôôôô...
Je me redresse et la regarde en attendant sa décision. Je devine la tempête dans sa tête. Je savais qu’elle ne voulait pas se laisser pénétrer par un autre mec que moi mais j’ignore totalement si elle est prête à faire une fellation à un inconnu ! Ceci dit, la regarder branler un autre mec jusqu’à le faire gicler serait un vrai régal pour le voyeur que je suis...
Marine se redresse lentement puis tournant la tête vers Yohan :
_ Pardon de t’avoir laissé croire que tu... que tu pouvais... Suis désolée mais je ne peux pas baiser avec un autre mec que mon mari.
Levant sa main, elle s’empare de la queue un peu moins raide mais toujours exhibée de Yohan. Puis levant son autre main, elle commence à lui caresser les testicules tout en le branlant d’un mouvement hésitant. Elle tourne la tête vers moi pour vérifier que je regarde et un petit sourire coquin apparait au coin de ses lèvres puis elle se retourne de nouveau vers Yohan. Ma petite salope prend de l’assurance et jubile de l’effet qu’elle provoque sur moi en faisant cela. Je me sens de nouveau fébrile. Je sais que ce que je vais voir va me plaire et m’exciter comme un malade. Je saisis ma bite et commence à me masturber lentement tout en les regardant.
Les doigts de ma coquine serrent le membre tout en faisant coulisser la peau tout autour dans un lent mouvement de va et vient. Je me décale un peu pour mieux voir et c’est à ce moment qu’elle avance sa tête et dépose un petit bisou sur le gland. Elle lève la tête, croise le regard de Yohan qui tremble de partout puis repenche la tête en avant et je vois nettement sa bouche se poser sur le gland et lui faire un petit bisou. Elle se recule un peu et le regarde pendant quelques secondes avant de se repencher et d’ouvrir de nouveau sa bouche pour gober le mufle rouge gorgé de sang. Elle avance la tête, s’enfonçant de plus en plus profondément la bite dans sa gorge puis elle remonte, le recrache avant de lécher la hampe lentement vers le bas. Elle s’attarde un peu sur les testicules toujours nichées dans sa main puis remonte le long de la tige pour lécher ensuite le gland en en faisant le tour de sa langue. Je suis pétrifié, la respiration coupée, la bouche sèche, la gorge nouée. Je la regarde titiller cette zone si sensible autour du frein avant de gober de nouveau cette magnifique bite. Elle joue ainsi avec lui pendant un bon moment, l’amenant au bord de l’orgasme avant de le calmer en l’abandonnant quelques secondes puis de recommencer... Je suis aux anges, Je sens mon ventre crispé et j’ai mal aux couilles tellement j’ai envie de baiser. Soudain, je me dit que ce serait dommage de ne pas avoir une petite photo souvenir. Le temps d’attraper mon portable...
Tout d’un coup, le jeu change ! Marine grade la queue dans sa bouche et commence à le pomper de manière plus énergique tout en le branlant sur le même rythme. Son autre main malaxe toujours les testicules et je vois Yohan fermer les yeux puis les rouvrir tout en respirant plus fort. La tête de ma coquine s’agite toujours plus vite et soudain, rejetant la tête en arrière, elle le branle comme une folle et le fait gicler sur sa poitrine tandis qu’il pousse un long râle de jouissance. Je regarde avec délectation les longs jets de spermes atterrir sur les beaux seins de ma coquine et couler sur ses tétons puis son ventre. Cela dure et dure jusqu’à ce que la source se tarisse. Marine presse une dernière fois la bite gluante de foutre jusqu’à en extraire une dernière goutte qui perle au bout du gland. Puis, les joues écarlates, elle me regarde et m’adresse un sourire laissant deviner un peu de fierté. Je me penche et l’embrasse tendrement avant de lui murmurer :
_ Tu es merveilleuse...
_ Merci mon ange... Tu veux que je m’occupe de toi maintenant ?
_ Non, laisse, on va se rattraper tout à l’heure...
Elle pouffe de rire et se retourne vers Yohan, qui reprend peu à peu ses esprits, pour lui demander :
_ Ça va ?
_ Heeuuu oui... merci... C’était... Franchement génial.
_ J’espère que tu ne m’en veux pas trop pour tout à l’heure.
_ Pfff, tu plaisantes ! C’était... géant ! Merci pour tout ça, tu es... Fabuleuse !
Elle se passe la main sur sa poitrine et se met à rire doucement :
_ Oui mais dans quel état je suis, moi, maintenant !
_ Désolé. Là, c’est à mon tour de te demander de m’excuser...
Nous rions tous les trois, détendus, ou presque, j’ai toujours une énorme raideur à un endroit précis !
Je cherche dans le vide poche de la portière et trouve un paquet de kleenex. Elle s’essuie longuement puis commence à se réajuster. Elle reboutonne son chemisier et soulève son bassin afin de baisser sa jupe pendant que nous faisons de même en remettant nos sexes dans nos jeans, moi avec plus de difficulté vu que je n’ai pas vraiment débandé.
Pendant le trajet jusqu’au parking du club, personne ne dit rien, chacun étant perdu dans ses pensées. Je me gare et jette un coup, d’œil dans mon rétro. Yohan s’apprête à descendre puis se ravise :
_ Faut que je vous dise... Vous êtes super tous les deux. Je n’oublierai jamais ce moment. Merci beaucoup pour m’avoir fait vivre un tel truc.
_ Puis se tournant vers Marine :
_ J’ai déjà couché avec des filles, bien sûr, mais jamais avec des femmes...
Marine pouffe de rire devant sa gêne et finit pour lui :
_ Vieille ?
_ Non, non, je voulais dire plus âgée par rapport à celle que j’ai connue... Plus vieille, mais pas vieille.
Il s’enferre et nous éclatons de rire puis il continue :
_ Tu vois bien ce que je veux dire... Tu dégage une telle sensualité. Je n’avais jamais connu cela auparavant alors même si on n’a pas... C’était formidable. Voilà c’est tout.
_ Merci, c’est un très beau compliment que tu me fais là. Tu ne m’en veux pas alors ?
_ Ohhh non, c’était, quand même géant !
Il va me faire pleurer ce petit con ! Je suis toujours sur ma béquille mais je m’en fou, voir ma jolie coquine traitée comme une princesse, c’est fabuleux ! Mais c’est quand même un comble, coquine, princesse, je vais avoir du mal à m’y retrouver moi. Je ris dans ma tête, suis super heureux. Et puis pour moi, il y a la suite, dans la petite maison où je vais retrouver une jolie petite salope, j’en suis sûr !
_ Bon, ben salut et encore merci !
Il ouvre la portière et au moment de sortir, Marine l’attrape par le cou et l’attire vers elle. Sa bouche cherche la sienne et dans mon rétro, je les vois échanger un baiser rapide. Puis leurs bouches se séparent Il sort de la voiture. Marine en fait de même et viens s’assoir à mes côtés.
Je regarde Yohan se diriger vers l’entrée du club, pensif. Je tourne la tête du coté de Marine et constate qu’elle fait de même.
_ Tu as aimé ?
Elle pouffe de rire avant de me regarder et de me répondre :
_ Devines! Bien sûr que j’ai aimé! Et toi, tu t’es bien rincé l’œil ?
_ J’ai adoré... tout! surtout quand tu l’as sucé.
_ Je m’en doutais. Suis navrée de ne pas avoir pu le laisser me... j’ai essayé, tu l’as bien vu mais... J’ai eu comme un blocage.
_ J’ai vu. C’est étrange, tu accepte de le sucer mais tu ne veux pas qu’il te branle. Je savais que tu ne voulais pas baiser avec lui parce qu’on ne le connait pas mais là, il t’a à peine touché la chatte et... Mais c’est pas grave mon amour, c’était déjà génial pour moi. Et pour toi aussi je pense.
_ Ecoute, j’ai du mal à expliquer ce qu’il se passe en moi. J’ai une sorte de blocage à ce niveau. En fait, je ne veux pas que quelqu’un d’autre que toi me fasse jouir. C’est sans doute idiot mais je me dis que si je prenais du plaisir avec un autre mec, tu pourrais te dire de drôle de choses du genre « Est-ce qu’il la fait mieux jouir que moi... » ou « peut-être qu’elle préfère avec lui... » Enfin bref, des trucs idiots qui ne seraient pas cools pour nous deux.
_ Mais pas du tout !
_ Qu’est-ce que tu en sais ?
Je réfléchi un peu avant de répondre :
_ Ben, depuis qu’on est ensemble, tu as joui pratiquement à chaque fois qu’on a fait l’amour. Pourquoi je serai jaloux du fait qu’un autre y arrive ? c’est pas comme si j’avais des difficultés à te faire prendre ton pied... Au contraire, j’aime tellement te regarder quand tu te lâche. Avec deux mecs, ça durerait encore plus longtemps.
Elle ne dit rien, regardant droit devant elle d’un air pensif. Je continu :
_ Je comprends que tu ne veuille pas jouir avec un autre sexe que le mien, que tu ne sois pas capable de te lâcher comme ça pour des tas de raisons mais avec ses doigts ou sa bouche... Si tu voulais juste essayer encore une fois de te laisser aller.
Je sors mon portable, affiche la photo prise juste avant et lui montre.
_ Rhhhôôôô...
Elle pouffe de rire puis ajoute, coquine :
_ Je n’en reviens pas d’avoir osé faire ça.
Je ris à mon tour puis lui murmure :
_ Tu pourrais recommencer, je suis sûr qu’il ne serai pas contre...
Elle me regarde, les sourcils froncés :
_ Toi, tu as une idée derrière la tête...
J’hésite, je me dis que c’est une idée de dingue mais j’en ai terriblement envie.
_ Ecoute, je pourrai aller le voir, lui expliquer tout ça, nos jeux, nos limites ou plutôt ta limite, celle qui lui impose de ne pas te pénétrer avec sa queue mais que pour le reste... On l’invite à finir la nuit avec nous dans la maison.
Elle me regarde de ses grands yeux ébahis :
_ Nooonnnn.... Tu as envie de ça ? Tu es fou !
_ Je serai là ! Ce sera toi qui décideras de tout ! Comme tout à l’heure... Et puis tu as bien vu, il est bien ce type, plutôt respectueux, non ?
_ Oui, mais quand même !
Silence...
_ Allez mon ange, c’est une super occasion, il te plaît bien, non ?
_ Oui, oui, mais... Pfff, tu me fais faire n’importe quoi.
Je la sens fléchir.
_ Je ne veux pas baiser avec lui, c’est bien clair !
_ Je te jure que je lui dirai, et je suis sûr qu’avec lui, il n’y a rien à craindre, il s’y tiendra.
Elle regarde devant elle, visiblement troublée.
_ Je ne sais pas non plus si je pourrai quand même le laisser me toucher... en bas...
Un long silence puis, la tête inclinée vers l’avant, elle me regarde par en dessous avec un petit sourire espiègle et d’une petite voix :
_ Mais je veux bien essayer.
J’ai beau avoir tout fait pour en arriver là, je n’arrive pas à y croire. C’est tellement énorme ! Mon sexe me fait un mal de chien, trop serré dans mon jean, une fois de plus. J’en peux plus tant je suis excité. J’ai réussi, elle accepte ! Ma femme accepte tout à fait consciemment de s’éclater avec un autre homme et devant moi !!! Je sens mon cœur battre la chamade et mes mains trembler. J’ai des frissons partout sur le corps, c’est déjà tellement bon de ressentir des émotions si fortes.
Je me penche vers elle, lui redresse la tête et l’embrasse langoureusement. Je sens sa langue chercher la mienne puis fouiller ma bouche. Lorsque nos lèvres se séparent, nous nous regardons droit, dans les yeux, amoureux, complices, heureux.
_ Bon, ben j’y vais !
J’ouvre la portière, prêt à descendre.
_ Moi, pendant ce temps je vais en parler avec l’autre.
Je me fige, cherchant à comprendre.
_ L’autre... Quel autre ?
_ Ben l’autre ! Tu sais bien, la petite salope que tu aimes tant !
Elle éclate de rire et je sors de la voiture, en riant à mon tour.
Je sors du parking et prends au hasard à gauche. Je ne sais absolument pas où aller. Je tourne de nouveau dans une petite rue et de nouveau dans une autre. Instinctivement, je choisi les rues les plus petites, les plus sombres. Soudain j’entends un petit bruit de souffle plus fort derrière moi et je jette un coup d’œil dans le rétro. Yohan, penché sur Marine, l’embrasse à pleine bouche et visiblement, elle semble apprécier. Je note au passage que sa veste jetée sur ses épaules en sortant du club n’est plus là. Je sens mon cœur battre la chamade et cherche désespérément un endroit où me garer. Le bruit de succion de leurs bouches se cherchant, se fouillant devient insupportable pour moi. Je m’arrête à un feu rouge et regarde de nouveau dans le rétro. Leurs bouches toujours rivées l’une à l’autre, Je vois la main de Yohan pétrir les seins de Marine à travers son chemisier sans qu’elle n’esquisse le moindre geste pour s’y opposer. Je sens ma queue se dresser dans mon pantalon et ma respiration devenir plus pénible tant j’ai la gorge serrée. J‘éprouve les mêmes sensations que lorsque je suis angoissé par quelque chose, c’est terrible. Le feu passe au vert et je redémarre. J’enchaîne les changements de direction et tombe enfin dans une petite rue qui semble peu passagère avec une place libre dans un endroit à peine éclairé par un lampadaire situé plus loin. Je me gare, coupe le moteur et me retourne, à genou sur mon siège. Marine, appuyé contre le dossier répond au baiser de Yohan avec la même fougue. Ce dernier, tout en l’embrassant lui caresse lentement les cuisses puis remonte sur sa poitrine. Je suis totalement hypnotisé par le spectacle. Tout en continuant de l’embrasser, Yohan commence à défaire un à un les boutons du chemisier. Marine le laisse faire alors que les pans de tissu s’écartent peu à peu. Arrivé au dernier bouton, Il abandonne la bouche de Marine, se redresse et contemple la jolie poitrine totalement exposée, sans soutien gorge. Il pose sa main sur un sein en murmurant :
_ Magnifique !
Marine le regarde, la bouche entrouverte, le souffle court, attendant visiblement la suite. La main se met en mouvement et elle laisse échapper un petit gémissement tout en fermant les yeux. Je regarde les doigts voler d’un sein à l’autre, les pétrir avec douceur, pincer les tétons dressés de désir avant de les quitter pour caresser les deux lobes gonflés par le plaisir. Marine bombe le torse, s’offrant du mieux qu’elle peut à cette main qui affole ses sens. Yohan continue sont petit jeu pendant quelques secondes puis se penche et s’empare d’un téton avec ses lèvres. Marine pousse un nouveau soupir et pose sa main sur la tête de notre invité. Ce dernier commence à sucer le petit bout tout rose puis l’abandonne pour embrasser puis lécher la peau douce des deux seins à peine éclairé par la lumière du lampadaire tamisée par la buée sur les vitres. La bouche s’active, de plus en plus vite, s’occupant d’un mamelon pendant que la main pétri l’autre sein. Les paupières mi-closes, la bouche entrouverte cherchant l’air, Marine me fixe droit dans les yeux avec une expression d’abandon qui me crispe le ventre. C’est plus fort que moi, j’avance ma main par-dessus le dossier de mon siège et m’empare d’un téton tout dur que je pince doucement pendant que Yohan continue de malaxer doucement les beaux lobes offerts tout en suçant l’autre téton. Ma coquine laisse échapper un nouveau petit gémissement tout en fermant les yeux. Je jubile, elle lâche enfin prise et je bande comme un fou. Je me retourne sur mon siège et descend de la voiture. Je remarque immédiatement que la buée à l’intérieur des vitres les rend totalement opaques. J’ouvre la portière arrière et me glisse à coté de ma petite femme qui se laisse toujours tripoter par sa rencontre d’un soir. A mon tour je pose ma main sur un sein et commence à le pétrir doucement. Yohan redresse la tête et me regarde avec un petit sourire que je lui renvoi pour lui montrer mon approbation...
Marine, les yeux toujours fermés, halète doucement sous nos caresses. Je me dis que c’est peut-être le grand soir, peut-être va-t-elle s’abandonner totalement, emporter par le plaisir de nos caresses. La regarder se faire baiser là sur la banquette arrière d’une voiture, je n’ose y croire...
Soudain, Yohan se redresse et, tout en me regardant pétrir lentement le sein de mon coté, descend sa main plus bas, sur le ventre à la peau blanche et si douce, puis sur le tissu de la jupe et, enfin, sur les cuisses gainées de nylon. Il les caresses lentement tout en les regardant. La main remonte enfin, entrainant la jupe vers le haut sans que Marine n’esquisse le moindre geste pour s’y opposer. Fasciné, tout en mordillant le téton dur comme du bois, je regarde le haut des cuisses dénudées apparaitre. Le mouvement ne peut aller plus loin, le tissu trop tendu s’y oppose. Yohan caresse la peau nues des cuisses et tente de glisser sa main plus haut mais ne peut y parvenir tant la jupe est serré. Il me regarde et je devine tout de suite sa requête. Je remonte ma tête près de celle de Marine. Sa respiration forte suffit à montrer toute l’intensité de ses émotions, son excitation est presque palpable. J’approche ma bouche de son oreille et lui chuchote :
_ Lève ton cul ma belle. Je suis sûr que tu en as autant envie que moi... Laisse-le voir ta jolie chatte...
Elle ne répond pas, ne réagit pas, immobile, les yeux obstinément fermés. Je me dis que c’est fini, qu’elle ne veut pas aller plus loin. Tant pis... C’était bien quand même ! Je redescends vers ses seins et commence à les embrasser puis les lécher de nouveau sous les yeux de Yohan dont la main caresse toujours le haut des cuisses. Et soudain, elle soulève lentement son bassin, plus haut, toujours plus haut et dans un geste totalement imprévu, descend ses mains, s’empare du bas de sa jupe et la remonte lentement sur son ventre. Je reste figé, époustouflé par ce que je vois. Lentement sa petite chatte apparait, petit triangle brun taillé court, comme je l’aime. Je jette un coup d’œil vers Yohan et constate que lui aussi semble fasciné par ce qu’il découvre. Sans doute est-il surpris de ne pas voir de culotte, comment pouvait-il deviner que ma petite salope était soumise à l’application de quelques règles bien précises. Je regarde sa main remonter puis effleurer du bout des doigts la toison offerte. Je redresse la tête et m’aperçois que Marine, la tête redressée et les yeux maintenant grands ouverts, l’observe aussi. Nos regards se croisent et je lui adresse un petit sourire, gage de mon amour et de mon consentement pour ce qu’elle fait. Elle continue de me fixer, le regard comme voilé, sans aucun doute bouleversée par une émotion intense.
Je regarde Yohan qui ne quitte pas des yeux sa main caressant toujours la douce toison et je me dis qu’il faut profiter au maximum de tout cela, qui sait quand on retrouvera ce genre de situation. Mon excitation n’a plus de limites, j’ai envi de l’offrir à Yohan, envie de lui montrer la magnifique fleur rouge écarlate, toute luisante. J’avance ma main, la glisse entre ses cuisses et lentement en tire une vers moi en murmurant :
_ Ecarte encore, montre nous encore plus...
Marine se laisse faire puis ouvre son autre cuisse afin d’exhiber, dans une pose totalement obscène, sa vulve gonflée de désir.
Yohan, les yeux fixés sur l’objet de nos convoitises, cherche son souffle. Je devine son trouble et sans doute l’envie quasi bestiale qui doit lui tarauder le ventre, tout comme moi... Je décide de prendre l’initiative et me mets à genoux sur la banquette, face à eux. Puis, je défais ma braguette et sors ma bite dressée, enfin libérée de sa prison de tissu. Je saisis la main de Marine et la pose sur ma queue. Elle la prend immédiatement et la serre doucement. Yohan se redresse et à son tour se positionne face à moi de l’autre coté de ma coquine. Tout comme moi, il défait sa braguette et sors son sexe en érection. Marine regarde sa bite et je repense au jour où elle m’a avoué prendre énormément de plaisir à faire bander les mecs.
Je la regarde, attendant la suite. Mais rien ne se passe, ils restent figés tous les deux, se matant mutuellement. Alors ; je fléchi un peu les genoux et pose ma main sur son ventre palpitant. Je descends plus bas, glisse tout doucement un doigt sur le haut de sa vulve, puis entre les grandes lèvres trempées puis le remonte, passant sur le clitoris en douceur. Marine laisse échapper une sorte de hoquet puis les yeux toujours fixés sur la bite de Yohan, se met à respirer plus fort de manière saccadée. Yohan en profite pour prendre l’autre main de ma coquine et la pose sur sa queue. D’abord hésitante, elle reste immobile, puis ses doigts encerclent le membre de chair comme si elle en estimait la taille. Je continue de la branler lentement, enfonçant mon majeur dans sa chatte puis le ressortant et le remontant jusqu’au clitoris que je presse un peu avant de redescendre. Elle ferme les yeux et gémit. Ses mains enserrant nos bites se mettent à leur tour en mouvement. Serrant ses doigts, elles nous branlent tous les deux en même temps. Pendant une ou deux minutes, l’intérieur de la voiture n’est que soufflement et gémissement tandis que nos mains s’activent. Puis Yohan fléchi à son tour les genoux et pose sa main près du triangle de poils. Il glisse sa main plus bas, écarte les grandes lèvres pour mieux voir mon majeur remonter. J’enlève ma main et regarde son doigt prendre la relève et commencer à descendre dans le sillon humide. Marine se redresse d’un coup, haletante et lâchant nos queue, s’empare de la main de Yohan puis la tire vers le haut pour l’éloigner de sa chatte.
Hagarde, d’une voix tremblante :
Non. Je ne veux pas. Suis désolée. Je ne peux pas... Pas avec un autre. Oh je suis vraiment désolée, mais... Suis pas prête pour ce genre de chose.
Yohan me regarde, un peu dépité, mais n’insiste pas. Merde, on y était presque. Je regarde Yohan et lui murmure à mon tour :
_ Désolé.
_ Non, je comprends très bien... C’est pas grave. C’est déjà tellement formidable de m’avoir amené ici avec vous.
Ce type est formidable, quelle classe et pourtant si jeune ! Je n’en reviens pas. Je me tourne vers ma coquine qui nous observe l’air navré. Je lui souris histoire de la détendre et pousse mon dernier pion.
_ On ne peut pas le laisser comme ça quand même !
Elle fixe la bite toujours bien raide de notre gentleman puis se tourne vers moi m’interrogeant du regard. Je me penche vers elle, dépose un petit baiser sur sa bouche puis m’approche de son oreille :
_ J’adorerai te regarder le branler et même le sucer...
_ Rhhhôôôô...
Je me redresse et la regarde en attendant sa décision. Je devine la tempête dans sa tête. Je savais qu’elle ne voulait pas se laisser pénétrer par un autre mec que moi mais j’ignore totalement si elle est prête à faire une fellation à un inconnu ! Ceci dit, la regarder branler un autre mec jusqu’à le faire gicler serait un vrai régal pour le voyeur que je suis...
Marine se redresse lentement puis tournant la tête vers Yohan :
_ Pardon de t’avoir laissé croire que tu... que tu pouvais... Suis désolée mais je ne peux pas baiser avec un autre mec que mon mari.
Levant sa main, elle s’empare de la queue un peu moins raide mais toujours exhibée de Yohan. Puis levant son autre main, elle commence à lui caresser les testicules tout en le branlant d’un mouvement hésitant. Elle tourne la tête vers moi pour vérifier que je regarde et un petit sourire coquin apparait au coin de ses lèvres puis elle se retourne de nouveau vers Yohan. Ma petite salope prend de l’assurance et jubile de l’effet qu’elle provoque sur moi en faisant cela. Je me sens de nouveau fébrile. Je sais que ce que je vais voir va me plaire et m’exciter comme un malade. Je saisis ma bite et commence à me masturber lentement tout en les regardant.
Les doigts de ma coquine serrent le membre tout en faisant coulisser la peau tout autour dans un lent mouvement de va et vient. Je me décale un peu pour mieux voir et c’est à ce moment qu’elle avance sa tête et dépose un petit bisou sur le gland. Elle lève la tête, croise le regard de Yohan qui tremble de partout puis repenche la tête en avant et je vois nettement sa bouche se poser sur le gland et lui faire un petit bisou. Elle se recule un peu et le regarde pendant quelques secondes avant de se repencher et d’ouvrir de nouveau sa bouche pour gober le mufle rouge gorgé de sang. Elle avance la tête, s’enfonçant de plus en plus profondément la bite dans sa gorge puis elle remonte, le recrache avant de lécher la hampe lentement vers le bas. Elle s’attarde un peu sur les testicules toujours nichées dans sa main puis remonte le long de la tige pour lécher ensuite le gland en en faisant le tour de sa langue. Je suis pétrifié, la respiration coupée, la bouche sèche, la gorge nouée. Je la regarde titiller cette zone si sensible autour du frein avant de gober de nouveau cette magnifique bite. Elle joue ainsi avec lui pendant un bon moment, l’amenant au bord de l’orgasme avant de le calmer en l’abandonnant quelques secondes puis de recommencer... Je suis aux anges, Je sens mon ventre crispé et j’ai mal aux couilles tellement j’ai envie de baiser. Soudain, je me dit que ce serait dommage de ne pas avoir une petite photo souvenir. Le temps d’attraper mon portable...
Tout d’un coup, le jeu change ! Marine grade la queue dans sa bouche et commence à le pomper de manière plus énergique tout en le branlant sur le même rythme. Son autre main malaxe toujours les testicules et je vois Yohan fermer les yeux puis les rouvrir tout en respirant plus fort. La tête de ma coquine s’agite toujours plus vite et soudain, rejetant la tête en arrière, elle le branle comme une folle et le fait gicler sur sa poitrine tandis qu’il pousse un long râle de jouissance. Je regarde avec délectation les longs jets de spermes atterrir sur les beaux seins de ma coquine et couler sur ses tétons puis son ventre. Cela dure et dure jusqu’à ce que la source se tarisse. Marine presse une dernière fois la bite gluante de foutre jusqu’à en extraire une dernière goutte qui perle au bout du gland. Puis, les joues écarlates, elle me regarde et m’adresse un sourire laissant deviner un peu de fierté. Je me penche et l’embrasse tendrement avant de lui murmurer :
_ Tu es merveilleuse...
_ Merci mon ange... Tu veux que je m’occupe de toi maintenant ?
_ Non, laisse, on va se rattraper tout à l’heure...
Elle pouffe de rire et se retourne vers Yohan, qui reprend peu à peu ses esprits, pour lui demander :
_ Ça va ?
_ Heeuuu oui... merci... C’était... Franchement génial.
_ J’espère que tu ne m’en veux pas trop pour tout à l’heure.
_ Pfff, tu plaisantes ! C’était... géant ! Merci pour tout ça, tu es... Fabuleuse !
Elle se passe la main sur sa poitrine et se met à rire doucement :
_ Oui mais dans quel état je suis, moi, maintenant !
_ Désolé. Là, c’est à mon tour de te demander de m’excuser...
Nous rions tous les trois, détendus, ou presque, j’ai toujours une énorme raideur à un endroit précis !
Je cherche dans le vide poche de la portière et trouve un paquet de kleenex. Elle s’essuie longuement puis commence à se réajuster. Elle reboutonne son chemisier et soulève son bassin afin de baisser sa jupe pendant que nous faisons de même en remettant nos sexes dans nos jeans, moi avec plus de difficulté vu que je n’ai pas vraiment débandé.
Pendant le trajet jusqu’au parking du club, personne ne dit rien, chacun étant perdu dans ses pensées. Je me gare et jette un coup, d’œil dans mon rétro. Yohan s’apprête à descendre puis se ravise :
_ Faut que je vous dise... Vous êtes super tous les deux. Je n’oublierai jamais ce moment. Merci beaucoup pour m’avoir fait vivre un tel truc.
_ Puis se tournant vers Marine :
_ J’ai déjà couché avec des filles, bien sûr, mais jamais avec des femmes...
Marine pouffe de rire devant sa gêne et finit pour lui :
_ Vieille ?
_ Non, non, je voulais dire plus âgée par rapport à celle que j’ai connue... Plus vieille, mais pas vieille.
Il s’enferre et nous éclatons de rire puis il continue :
_ Tu vois bien ce que je veux dire... Tu dégage une telle sensualité. Je n’avais jamais connu cela auparavant alors même si on n’a pas... C’était formidable. Voilà c’est tout.
_ Merci, c’est un très beau compliment que tu me fais là. Tu ne m’en veux pas alors ?
_ Ohhh non, c’était, quand même géant !
Il va me faire pleurer ce petit con ! Je suis toujours sur ma béquille mais je m’en fou, voir ma jolie coquine traitée comme une princesse, c’est fabuleux ! Mais c’est quand même un comble, coquine, princesse, je vais avoir du mal à m’y retrouver moi. Je ris dans ma tête, suis super heureux. Et puis pour moi, il y a la suite, dans la petite maison où je vais retrouver une jolie petite salope, j’en suis sûr !
_ Bon, ben salut et encore merci !
Il ouvre la portière et au moment de sortir, Marine l’attrape par le cou et l’attire vers elle. Sa bouche cherche la sienne et dans mon rétro, je les vois échanger un baiser rapide. Puis leurs bouches se séparent Il sort de la voiture. Marine en fait de même et viens s’assoir à mes côtés.
Je regarde Yohan se diriger vers l’entrée du club, pensif. Je tourne la tête du coté de Marine et constate qu’elle fait de même.
_ Tu as aimé ?
Elle pouffe de rire avant de me regarder et de me répondre :
_ Devines! Bien sûr que j’ai aimé! Et toi, tu t’es bien rincé l’œil ?
_ J’ai adoré... tout! surtout quand tu l’as sucé.
_ Je m’en doutais. Suis navrée de ne pas avoir pu le laisser me... j’ai essayé, tu l’as bien vu mais... J’ai eu comme un blocage.
_ J’ai vu. C’est étrange, tu accepte de le sucer mais tu ne veux pas qu’il te branle. Je savais que tu ne voulais pas baiser avec lui parce qu’on ne le connait pas mais là, il t’a à peine touché la chatte et... Mais c’est pas grave mon amour, c’était déjà génial pour moi. Et pour toi aussi je pense.
_ Ecoute, j’ai du mal à expliquer ce qu’il se passe en moi. J’ai une sorte de blocage à ce niveau. En fait, je ne veux pas que quelqu’un d’autre que toi me fasse jouir. C’est sans doute idiot mais je me dis que si je prenais du plaisir avec un autre mec, tu pourrais te dire de drôle de choses du genre « Est-ce qu’il la fait mieux jouir que moi... » ou « peut-être qu’elle préfère avec lui... » Enfin bref, des trucs idiots qui ne seraient pas cools pour nous deux.
_ Mais pas du tout !
_ Qu’est-ce que tu en sais ?
Je réfléchi un peu avant de répondre :
_ Ben, depuis qu’on est ensemble, tu as joui pratiquement à chaque fois qu’on a fait l’amour. Pourquoi je serai jaloux du fait qu’un autre y arrive ? c’est pas comme si j’avais des difficultés à te faire prendre ton pied... Au contraire, j’aime tellement te regarder quand tu te lâche. Avec deux mecs, ça durerait encore plus longtemps.
Elle ne dit rien, regardant droit devant elle d’un air pensif. Je continu :
_ Je comprends que tu ne veuille pas jouir avec un autre sexe que le mien, que tu ne sois pas capable de te lâcher comme ça pour des tas de raisons mais avec ses doigts ou sa bouche... Si tu voulais juste essayer encore une fois de te laisser aller.
Je sors mon portable, affiche la photo prise juste avant et lui montre.
_ Rhhhôôôô...
Elle pouffe de rire puis ajoute, coquine :
_ Je n’en reviens pas d’avoir osé faire ça.
Je ris à mon tour puis lui murmure :
_ Tu pourrais recommencer, je suis sûr qu’il ne serai pas contre...
Elle me regarde, les sourcils froncés :
_ Toi, tu as une idée derrière la tête...
J’hésite, je me dis que c’est une idée de dingue mais j’en ai terriblement envie.
_ Ecoute, je pourrai aller le voir, lui expliquer tout ça, nos jeux, nos limites ou plutôt ta limite, celle qui lui impose de ne pas te pénétrer avec sa queue mais que pour le reste... On l’invite à finir la nuit avec nous dans la maison.
Elle me regarde de ses grands yeux ébahis :
_ Nooonnnn.... Tu as envie de ça ? Tu es fou !
_ Je serai là ! Ce sera toi qui décideras de tout ! Comme tout à l’heure... Et puis tu as bien vu, il est bien ce type, plutôt respectueux, non ?
_ Oui, mais quand même !
Silence...
_ Allez mon ange, c’est une super occasion, il te plaît bien, non ?
_ Oui, oui, mais... Pfff, tu me fais faire n’importe quoi.
Je la sens fléchir.
_ Je ne veux pas baiser avec lui, c’est bien clair !
_ Je te jure que je lui dirai, et je suis sûr qu’avec lui, il n’y a rien à craindre, il s’y tiendra.
Elle regarde devant elle, visiblement troublée.
_ Je ne sais pas non plus si je pourrai quand même le laisser me toucher... en bas...
Un long silence puis, la tête inclinée vers l’avant, elle me regarde par en dessous avec un petit sourire espiègle et d’une petite voix :
_ Mais je veux bien essayer.
J’ai beau avoir tout fait pour en arriver là, je n’arrive pas à y croire. C’est tellement énorme ! Mon sexe me fait un mal de chien, trop serré dans mon jean, une fois de plus. J’en peux plus tant je suis excité. J’ai réussi, elle accepte ! Ma femme accepte tout à fait consciemment de s’éclater avec un autre homme et devant moi !!! Je sens mon cœur battre la chamade et mes mains trembler. J’ai des frissons partout sur le corps, c’est déjà tellement bon de ressentir des émotions si fortes.
Je me penche vers elle, lui redresse la tête et l’embrasse langoureusement. Je sens sa langue chercher la mienne puis fouiller ma bouche. Lorsque nos lèvres se séparent, nous nous regardons droit, dans les yeux, amoureux, complices, heureux.
_ Bon, ben j’y vais !
J’ouvre la portière, prêt à descendre.
_ Moi, pendant ce temps je vais en parler avec l’autre.
Je me fige, cherchant à comprendre.
_ L’autre... Quel autre ?
_ Ben l’autre ! Tu sais bien, la petite salope que tu aimes tant !
Elle éclate de rire et je sors de la voiture, en riant à mon tour.