Juillet 2021, séance rattrapage pour un mari frustré.
Le lendemain matin, je me réveille, mal à l’aise, déjà fatigué. Je regarde de nouveau les photos et sens immédiatement mon sexe se redresser. Elles me font un effet terrible, ces photos ! J’imagine, de nouveau leurs respirations hachées, leurs mains tremblantes puis ses gémissements, à elle... Machinalement je recommence à me branler, doucement. Puis je m’arrête, me lève et file dans la douche. Il faut que je pense à autre chose, cela devient une obsession !
A peine séché, je retourne dans la chambre, jette un coup d’œil sur mon portable et voit le message WhatsApp de Marine. « Tu es réveillé ? ». Je l’appelle aussitôt :
_ Je sors de la douche à l’instant !
_ Ah... Bonjour mon chéri... Bien dormi ?
_ D’après toi !
_ Ben je sais pas... Tu as peut-être fait de mauvais rêves...
_ C’est ça... Moques toi de moi !
Petit silence.
_ Les... Les photos t’ont plu ?
C’est dit dans un souffle, à peine audible, comme si elle redoutait ma réponse.
_ Elles sont terribles... Je me suis masturbé en les regardant et j’ai pas tenu longtemps.
Je l’entends rire un peu puis d’une petite voix hésitante :
_ on... On voulait que tu puisses bien voir... Er après... C’était compliqué parce qu’on... On a un peu perdu le contrôle. Fab a du te raconter, non ?
_ Pfff bien sûr qu’il m’a raconté... Il m’a dit que tu étais bien chaude...
Elle ne répond pas tout de suite. J’entends son souffle un peu fort.
_ Tu sais, une fois partie, je... Je me suis laissée aller... C’est bien ce que tu voulais, non ?
Je ne réponds pas. Quelle salope quand même ! Et soudain je réalise que c’est moi le fautif, elle a raison ! Pauvre abruti que je suis. C’était prévisible et oui, c’est ce dont j’avais envie au fond de moi, qu’elle se lâche avec un autre, loin de moi et qu’ils me racontent ensuite !
_ Oui, c’est ce que je voulais et vous avez bien fait d’en profiter. Mais je n’avais pas prévu que je serai autant frustré, tout simplement.
_ Suis désolée mon chéri, je ne veux pas qu’on se prenne la tête avec ça ! Si c’est trop dur pour toi, on ne recommencera plus un truc de ce genre. J’ai pas envie de faire des choses qui te gênent. On doit être bien tous les deux sinon c’est pas la peine...
_ Non, non, ça va... Je m’en remettrai (je ris). Allez, dis moi, c’était bon ?
Elle pouffe de rire, visiblement rassurée.
_ Oui... J’ai vraiment pris beaucoup de plaisir... Il m’a fait jouir très fort... C’était hyper excitant de penser qu’en plus, on pouvait nous surprendre.
_ Il t’a fait jouir ou tu t’es fait jouir toi-même ? Il m’a dit que c’était plutôt toi qui menais le jeu... Tu étais sur lui...
De nouveau, je l’entends pouffer de rire.
_ Oui, oui, je... C’est moi qui bougeais... Vue la position...
_ Hummm je t’imagine trop, ta robe retroussée, tes cuisses bien écartées... Te balançant d’avant en arrière sur sa queue...
_ Arrêtes... Tu vas me donner encore envie...
_ Ca m’étonnerai pas... Moi, j’en ai hyper envie là.
_ Hi, hi, Tu veux dire que tu bandes ?
_ Oui... Si tu étais là...
_ Si j’étais là, tu ferais quoi ?
_ Je te baiserai bien à fond !
_ Rhhhhôôôô, c’est quoi ces manières !
On rit tous les deux. Puis de nouveau, petit silence. Je décide de me secouer.
_ Bon, j’ai besoin d’une séance de rattrapage, moi !
Elle rit de nouveau.
_ Tu penses à quoi quand tu dis une séance de rattrapage ?
_ Un moment tous les trois... Un moment où tu feras tout ce qu’on voudra...
_ Houlà... Ce sera ma fête alors !
_ Oui, exactement et comme ça, j’aurai ma compensation... Je ne serai plus frustré du tout !
Elle rit encore.
_ Bon, je veux bien faire un effort pour te libérer de cette vilaine frustration mon amour...
Je respire un grand coup, plus à l’aise, plus détendu. Ca me fait du bien de l’entendre rire. De nouveau sa petite voix :
_ Tu me manques... J’ai pas eu mon câlin de l’après...
Je me sens tout bête.
_ Ben ça aussi, ça fait parti de ma frustration... Je me demandais si tu allais le fa ire avec lui.
_ Nooonnn, ça, il n’y a que toi qui sais le faire !
J’ai du soleil plein le cœur. Il faut qu’on arrête là sinon on va finir en pleur tous les deux.
_ Ecoute mon ange, je dois y aller là, je me vois mal leur expliquer que je suis en retard parce que j’ai mal dormi parce que je savais que ma femme se faisait sauter par un autre mec en mon absence.
Cette fois, elle éclate franchement de rire et je sais que pour moi, la journée sera belle avec des petites pauses pour regarder discrètement certaines photos...
J’ai tout préparé, tout programmé. Ça fait trois jours que je suis rentré et je n’ai pas voulu attendre pour réclamer mon dû ! Fabien était partant, bien sûr. On s’est donné rendez-vous à la maison pendant la pause déjeuné. On a pris chacun de notre côté l’option « je prends mon après midi » dans nos plannings respectifs. La veille, j’ai choisi la tenue de Marine, je la veux habillée en coquine. Elle doit arriver la première et se changer immédiatement pour nous accueillir. Dès le premier soir, après lui avoir fait l’amour avec une tendresse infinie, je lui ai avoué tout ce que j’avais imaginé pour ces retrouvailles à trois. Et surtout, J’avais envie que Fabien la prenne comme sur les photos, face à moi.... Blottie dans mes bras, ma princesse avait écouté, un sourire sur les lèvres. Elle n’avait rien dit, rien objecté, tout était ok pour elle.
Fabien n’a pas arrêté de me parler durant toute la matinée via WhatsApp. Lui aussi, sait ce dont j’ai envie et il est chaud bouillant. Je me sens comme un gamin pressé d’ouvrir un cadeau. Marine était toute guillerette ce matin. Elle minaudait en se pavanant nue devant moi. Provocante, me repoussant dès que je voulais la toucher.
_ Non, non, non... Il faut être patient mon chéri... Ce n’est pas le moment...
Son impatience était tellement visible. Hooouuuaaaa que ça allait être chaud !
Je regarde la pendule pour la énième fois, j’en peux plus d’attendre. A midi pile, je bondis, c’est le moment. Marine a du partir il y a cinq minutes pour prendre un peu d’avance et comme elle est moins loin... Elle devrait largement avoir le temps.
Je dois faire un effort de concentration énorme pour ne pas dépasser la vitesse limite, manquerait plus que je me fasse arrêter par les bleus pour excès de vitesse !
Dès mon arrivée devant la maison, je note que Marine est déjà là mais pas de Fabien... J’attends en imaginant les pires scénarios. Et si c’était lui qui s’était fait arrêté pour une infraction, Et s’il avait eu un accident ? Tout y passe, je déraille complet ! Et soudain, je le vois, il s’engage dans la rue et vient se garer juste derrière moi.
On s’avance ensemble vers la porte d’entrée. Personne dans le salon ni dans la cuisine. J’entraîne Fabien vers la chambre d’ami. Elle est là, assise dans un fauteuil, habillée comme prévu d’un petit corsé et d’une culotte transparente... Je bande déjà et le souffle de Fabien m’indique que lui aussi doit avoir une bouffée de chaleur. Elle a mis une petite musique de fond au rythme lent, un truc apaisant. Elle nous sourit puis se lève et sans dire un mot, d’une démarche sensuelle, s’approche de nous et nous donne un verre à chacun. Je sens immédiatement l’odeur du whisky tourbé, mon préféré. Elle nous regarde l’un après l’autre et tout en fixant Fabien droit dans les yeux, porte son verre à ses lèvres pour en boire une gorgée. Elle a choisi un vin rouge et se lèche lentement les lèvres avant de reprendre une gorgée. Elle joue son rôle à la perfection, j’adore... Un rien provocante, sexy jusqu’au bout des ongles, prêtes à satisfaire nos moindre désir. Exactement ce que je voulais, un jeu de rôle parfait pour nous emporter dans un autre monde...
Toujours en silence, nous dégustons nos verre tout en nous observant. Je note un petit air de défi dans ses yeux et un désir évident dans ceux de Fabien. Elle finit son verre, le pose sur une petite table basse et s’approche de moi. Toujours sans dire un mot, en me regardant droit dans les yeux avec un léger sourire, elle plaque sa main sur ma braguette et masse lentement mon sexe en érection comme pour éprouver l’intensité de mon désir. Puis, lentement, elle défait mon pantalon, l’ouvre en grand et baisse le haut de mon slip pour en extraire le bout de ma queue. Ses yeux n’ont pas quitté les miens ne serait ce qu’une seconde. L’effet et terrible. Elle ne sourit plus et me branle lentement, le souffle court. Trois fois, quatre fois puis elle m’abandonne et se tourne vers Fabien et lui fait exactement la même chose. Il lâche un léger soupir et ferme les yeux quelques secondes. Je la voulais intrigante, aguicheuse, racoleuse, mais là, elle va bien au-delà de ce que j’avais imaginé. Elle est sublime !
Elle abandonne Fabien et se retourne pour se diriger vers le lit, nous faisant admirer au passage son cul magnifique. Elle défait les draps monte sur le matelas et s’installe dans une pose totalement indécente.
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Elle est prête, je le sens. Prête à s’exhiber selon mes désirs, selon mes délires, mes pulsions. Après tout, ile en avaient bien profité l’autre soir en mon absence ! C’était mon tour maintenant...
Je la regarde, cette femme, cette coquine, cette courtisane prête à se donner. Jambes écartées, offerte à nos regards lubriques. Je finis de me débarrasser de mes fringues. Je prends conscience que tous les indicateurs de mon excitation sont présents, intenses, incontrôlables, mon ventre crispé, ma poitrine serrée, ma gorge nouée, mes jambes et mes mains tremblantes. Ma queue dressée se balance au moindre de mes mouvement. Je jette un coup d’œil vers Fabien qui achève lui aussi de se déshabiller. Son sexe que je commence à bien connaitre se dresse lui aussi dans une érection parfaite. Je saisi mon portable, je veux immortaliser cette séance. Je tourne ma tête vers Marine et commence à me lâcher :
_ T’a aimé l’autre soir, pas vrai ? Je l’ai bien vu sur les photos que t’a aimé ouvrir tes cuisses pour lui... Je suis sûr que tu mouilles là... Baisse un peu ta culotte, montre lui comme tu mouilles... Comme l’autre soir sur la terrasse...
Elle a fermé ses yeux et respire bruyamment par le nez, avec un rythme saccadé. Je devine qu’elle aussi se lâche, qu’elle aussi perd le contrôle... Ma princesse passe en mode salope et cela me fait un effet terrible. Comme si le monde vacillait autour de moi. Je la regarde faire exactement ce que lui demande et mon envie de la baiser devient presque insupportable.
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Le souffle court, sans le regarder, je murmure à Fab :
_ C’était, comme ça ? Elle en avait, autant envie ?
Il ne dit rien, cherchant lui aussi sa respiration. Il ne bouge pas non plus, il connaît le scénario et il sait que ce n’est pas le moment, pas encore... Son tour viendra mais pas tout de suite, il sait qu’il doit attendre, c’est moi qui dirige.
Quand je lui en avais parlé, il m’avait avoué qu’il n’avait jamais participé ni même assisté à ce genre de jeu. Cela l’excitait terriblement d’imaginer Marine s’exhibant selon mes indications, mes ordres. Et là, j’étais témoin de ses émotions. Il semblait avoir du mal à tenir debout et s’appuyait d’une main sur le dossier d’une chaise. On était là, tous les trois, submergés par nos pulsions les plus primaires. Une femelle en chaleur pour deux mâles en rut, bestiale mais totalement réaliste.
J’essaie de garder un minimum de contrôle mais cela devient compliqué. Et pourtant, pour que le plaisir dur, il faut que je garde un peu de conscience pour diriger le jeu. Je regarde ma coquine qui ne bouge toujours pas, offerte à nos regards, attendant la suite, ma suite.
_ Tu veux bien te tourner ? Pour lui montrer ton cul...
Lâchant doucement sa culotte, elle se redresse, les joues rouges, bouche entrouverte. Elle me fixe droit dans les yeux, comme pour me provoquer puis lentement se met à genoux et se retourne pour nous offrir la vue demandée.
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Je regarde Fabien, son regard rivé sur ma coquine, sa bite bien raide. Je dégluti, je me sens à la fois fort et terriblement faible. Fort car je décide et elle suit, sans discuter. C’est tellement excitant comme situation. Mais je me sens faible aussi car je vacille sur mes jambes et j’ai le cœur qui bat la chamade. J’ai énormément de mal à contrôler mes émotions. Tout se bouscule dans ma tête, les envies multiples se succèdent et je ne sais plus trop comment les exprimer.
_ Tu aurais pu la prendre comme ça aussi... Pas vrai?
Il me regarde avec un petit sourire en hochant la tête en signe d’acquiescement. On reste là, immobile, admirant la pause. Et puis soudain, sentant sans doute notre excitation, Marine décide de nous provoquer davantage en s’allongeant sur le ventre. J’entends Fabien déglutir et chercher son souffle. t.
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j’en ai mal aux testicules je suis en feu, je dégouline de transpiration. Je me dis que je pourrai tout lui demander en cet instant, elle le fera ! C’est fou, tout en elle montre que son envie de sexe est aussi forte que la nôtre. D’une voix étranglée par l’émotion, je balbutie :
_ Ne bouge pas... S’il te plait, ne bouge pas... Reste comme ça et baisse ta culotte... Montres lui ton cul... Ta petite chatte...
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Elle s’exécute sans rien dire, le souffle court. Elle tremble elle aussi de partout. De nouveau immobile, elle imagine sans doute nos regards fixés sur son intimité. Elle a probablement le ventre crispé, terriblement excitée par ce qu’elle fait, par ce qu’elle ose faire.