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#2327815
Que Madame Camille se rassure ellz n'a pas fini d'être excité avec nos commentaires sur son corps on va s'évertuer à la faire décomplexer au maximum et lui faire comprendre qu'elle est vraiment appétissante.
Les femmes pulpeuses ont ce je ne sais quoi d'excitant en plus que les autres qui qu'on est toujours à l'affût quand elle passe à proximité de nous pour se rincer les yeux en rêvant de toucher voir plus
#2327855
@Exetera, pour l'exhib' en vrai, on s'est juste fait quelques frissons en montrant mes seins en public après un bain... et on s'est fait pincer par un mateur, au beau milieu de la campagne, un jour où la langue de mon homme était occupée avec ma chatte... Mais on ne sait pas vraiment comment s'y prendre pour ''le faire pour de vrai''... auriez-vous des conseils à nous donner ?

@tous, merci 1000× pour vos encouragements !

Camille
#2327956
Bonjour, pour le faire "en vrai" comme vous dites ce ne sont pas les options qui manquent..

Avant tout je pense qu'il faut décider entre vous si vous souhaitez une exhibition organisée ou imprévue..

Si vous décidez d 'une exhib organisée il faut alors "recruter" un voyeur sur le net ou ailleurs (ce n 'est pas ce qui manque du moins en théorie..) et ainsi vous donnez rendez vous a ce voyeur quelque part , ce peut être chez vous (je vous le déconseille pour un 1 er rdv), chez lui (je vous le déconseille aussi..) ou dans un endroit plus "neutre" par exemple dans la nature, en forêt, sur la plage, sur un parking, etc etc..

Personnellement nous l 'avons fait aune époque mais nous avons dépassé ce stade et aujourd'hui nous sommes des candaulistes confirmés.

Je ne déteste cependant pas exhiber ma femme a des regards indiscrets mais cette fois c'est d'une façon plus fortuite ce qui nous amène a l 'exhibition imprévue.

En ce qui nous concerne elle a lieu principalement l 'été sur les plages naturistes ou se trouvent toujours en général des voyeurs prêts a se rincer l 'oeil. Ce peut être aussi dans la façon de s 'habiller que tu peux attirer l 'oeil sur ton épouse, par ex en sortant se balader, au resto, etc etc avec un tee shirt sans rien dessous , ou en jupe sans culotte etc etc.. reste le problème de trouver un voyeur réceptif et intéressé. Un exemple en ce qui nous concerne : nous partons en vacances dans 10 jours et j 'ai demandé a ma femme d 'acheter un micro maillot, qu 'elle portera partout ou c 'est possible et qui ne devrait pas manquer d 'attirer l 'oeil de ces messieurs je l 'espére. Elle portera aussi souvent un mini short pour des endroits plus fréquentés.

Voici quelques idées pour Camille...
#2327980
Merci pour votre sympathique réponse @Exetera .
Nous allons prendre le temps d’en discuter entre nous.
A titre perso, je pense à la rencontre fortuite apporte un piment supplémentaire qui est de déclencher le côté voyeur d’un homme et de n’en pas savoir ce qu’il va s’en passer à l’avance. A l’inverse, une exhibition prévue à l’avantage d’etre plus ou moins calée à l’avance afin d’eviter une mauvaise surprise...mais peut-être un peu moins piquante ?

En tous cas merci beaucoup...

Laurent
#2327997
Bonjour à vous et à toi magnifique Camille; au passage je tiens à dire que je préfère la robe relevée à la robe enlevée...le côté voyeur sans doute ou exhibitionniste comme vous préférez. La rencontre fortuite peut assez aisément se faire dans les "grandes surfaces" de bricolage où les allées parfois semi désertes sont propices à montrer "par inadvertance " une jolie partie de la belle; se pencher, s'étirer, demander un petit conseil....la jupe remonte un peu, le décolleté baille un peu, la transparence se fait coquine... enfin s'est mon point de vue... encore des félicitations pour tes jolies courbes qu'il doit être si bon de frôler, cajoler, de s'attarder dessus..
#2328025
Merci @toutatoa .

En effet je suis d’accord avec vous l’an robe relevée est bien plus suggestive et excitante car elle laisse libre court à l’imagination.

Merci pour la suggestion de la grande surface de bricolage, univers typiquement masculin, j’aime beaucoup l’idee.

Pour répondre à votre commentaire, ma douce et jolie Camille est en effet très agréable à frôler, caresser, titiller car elle est extrêmement réceptive et expressive.... et lorsqu’elle vibre elle m’emmène vibrer avec elle...
#2328152
@Bounty57

Mon homme et moi, on a très envie de passer à l'action, alors on va se lancer... mais plutôt dans un magasin du sud de la région parisienne, désolée
Le ''modèle sublime'' te remercie beaucoup et regrette que tu ne sois pas là pour cette ''grande première''

Bisou coquin et frôlement du bout des seins...

Camille
#2328251
Coucou à tous,

Et bien.... que de bricoleurs!!!

Après discussion avec ma douce Camille, on songe à venir très bientôt faire des achats .... on vous dira où et quand.

Pour nous reconnaître ce sera facile, on ressemble à ça.....

Laurent
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ipps22004, canda a liké
#2328658
@lokabi92 ... Magnifique decouverte ...
De l'esprit, de l'audace, un hedonisme de bon aloi ...
Un tres beau couple à n'en point douter ...
Aussi, et fort de cette ecriture à deux mains, de Camille et Laurent, signant là leur osmose et desirs mutuels, nul doute que la belle Camille viendra gouter aux fruits "defendus", bravant (hypocrite) morale et (ennuyeux) bien pensants.

Amusez vous ... là est l'essentiel, le sel, le ciment d'un couple heureux ... et nos petits jeux coquins y participent diablement. N'est-ce pas Camille ?
Et ce n'est pas Laurent qui s'en plaindra
Ni personne ici ... lol

Carpe Diem
#2328702
Ah non on s'en plaint pas des jeux coquins de ce couple intrépide.
Et au vu de charme de camille on ne risque pas de s'ennuyer car elle a beaucoup d'arguments à faire valoir
Par argument j'entends bien ce à quoi je pensais tous ici les arguments qui sont particulièrement généreux et sur lesquels nous aimerions tous posé nos mains et plus
#2328974
Coucou @touscesmessieurs

Dès le début de notre relation, mon amoureux m'a dit être très excité par le fait qu'un homme se masturbe en pensant à moi, en me regardant.
De mon côté, je découvre complètement, j'étais plus ingénue qu'une princesse de Disney et mon homme m'en apprend tous les jours.
Mais j'aime vraiment lui donner du plaisir.
Alors je veux lui faire cadeau d'une "dédicace" (il m'a appris ce que c'était... la preuve qu'un homme se caresse sur une photo ?).
C'est donc pour ça qu'on a posté la dernière photo.
Mais je pense que je ne suis pas assez suggestive ou coquine ou stimulante... Peut-être que que la princesse Disney n'était pas une bonne muse et que j'aurais besoin d'un solide coaching !
Alors, je vous le demande à genoux (c'est bien pratique pour... euh... enfin je m'égare), faites-moi une petite dédicace...
Si vous ne me trouvez pas assez stimulante, j'ai quelques conseils intéressants :
Mettez à côté de ma photo une autre photo (Mark Zuckerberg, Mère Thérésa, Alain Madelin... ?), écoutez le discours du général de Gaulle du 18 juin 1940 ou même... pour les plus déviants d'entre ces messieurs... regardez la petite culotte de Laetitia Casta sur sa bicyclette bleue ? Ou les trois à la fois ! Ça devrait fonctionner pour une jolie dédicace.
Ah, et puis, interdit de tricher et d'utiliser le gel lavant intima de sa compagne ou le yaourt nature de son repas du midi pour faire mine ! Je le saurai ! Je reconnaîtrai au goût !
Alors, à votre bon cœur messieurs, je compte sur vous pour m'aider à satisfaire mon homme !

Baisers coquins
Camille
#2329075
lokabi92 a écrit :@Nouvelle(très)3rotique
Mes poils se sont dressés sur mes bras à la lecture de ce récit... c'est électrisant... je suis toute troublée.
Merci pour ce si beau texte, c'est un cadeau délicieux...
... délicieux et... un peu addictif...
Que feriez-vous, Nouvelle(absolument)3rotique, à partir d'une photo plus suggestive (suggériez-vous) telle que celle là ?

Camille


Ha Camille, c'est vous-même qui nous écrivez ! Sachez-le, l'aveu de votre trouble écrit de votre propre main provoque en nous un nouvel élan de désir. Et puis ce vouvoiement que vous utilisez ajoute un je ne sais quoi de charme irrésistible. Pour le coup, je l'utilise aussi. Ah, si vous pouviez nous voir, vous ne pourriez ignorer à quel point nous-mêmes sommes "troublés", on pourrait même dire que nous sommes "fièrement troublés" et que nos mains ne peuvent pas rester continuellement sur nos claviers. On vous imagine face à votre écran, vous vous adressez à des hommes, oui plusieurs, comme si vous vous livriez vous-mêmes à eux. Vous savez pourtant que ces hommes-là n'ont pas d'idées chastes en tête. On imagine vos doigts qui ont peut-être fait plusieurs expéditions entre votre clavier et votre corps pendant cette rédaction. Lorsque vous tourniez la tête pour chercher ce mot qui ne venait pas, ce n'est pas l'image du dictionnaire qui vous venait en tête, mais bien celle de ces hommes. Un désir soudain provoquait alors une cambrure spontanée si érotique. Ah oui Camille, livrez-vous encore !

Je paraphraserai cet autre admirateur de vous qui écrivait que nous voudrions vous découvrir millimètre par millimètre. Cette nouvelle image, qui nous apporte quelques nouveaux millimètres de vous, témoigne d'une belle élégance et un raffinement qui servait d'écrin informel pour mon scénario précédent. J'aurais pu dès lors y ajouter une coupe de bulles pour faire briller vos yeux.

La suggestion de l'image ? Vouliez-vous parler de cette dentelle qui trahi la présence d'une nuisette ou peut-être d'une autre lingerie ? J'y reviendrai, mais non, ce n'est pas la première...

Vous nous dévoilez votre cou. Sans aucun bijou. Il n'en fallait pas. Vous êtes splendide. Quelques cheveux châtain clair, qu'on devine relevés dans une négligence calculée, qui couvrent le haut de vos épaules. C'est une évocation terriblement érotique que de m'imaginer dans le même scénario lorsque mes doigts se posent sur vos fesses, je m'approche de vous, de mon autre main, j'écarte vos cheveux et je me grise du parfum et du goût de la peau de votre cou avant celle de tout le reste. Je n'ose m'aventurer trop dans cette voie, une telle dose d'érotisme et d'intimité est peut-être réservée à Laurent.

Pour imaginer la lingerie cachée sous ce peignoir épais, je dois bien l'avouer, tout ce qui m'est passé par la tête a de quoi remplir un fameux catalogue de lingerie. Une nuisette, l'auriez-vous portée sans autre lingerie ? Non, certainement pas, dans mes fantasmes, vous portiez aussi des bas. Peut-être était-ce un body ou un bustier ? Ou un magnifique soutien-gorge assorti à un porte-jarretelle... Oh ! J'ai cessé de tergiverser...


J'en suis revenu à vous et à votre désir initial, un scénario d'exhib.

Tout avait été arrangé entre-nous, le scénario comme on disait, tout était prévu, émotions mises à part. Nous buvons un verre tous les trois, sagement. Sans qu'un signal ne soit donné, sans doute que Camille a senti que c'était le moment, elle s'éclipse et nous laisse seuls, Laurent et moi. Je l'imagine, dans l'intimité de sa chambre, à l'abri de nos regards, elle entend à peine le murmure de notre conversation et quand elle ne nous entend pas, elle imagine qu'on parle d'elle. Elle a un peu raison. Elle se déshabille un peu fébrilement faut-il le dire. Nue, elle regarde sur le lit, cette lingerie qu'ils ont choisie tous les deux pour l'occasion, avec l'excitation qui caractérise cette préparation érotique. Combien de fois n'a-t-elle pas entendu "Tu sais qu'un inconnu va te voir aussi sexy ?" Combien de fois n'a-t-elle pas dû calmer Laurent qui l'aurait violée si elle ne l'avait pas fait ? Elle se regarde dans le miroir encore une fois avant de passer le peignoir. Elle doute. Elle est pire que nue : un appel au sexe. Le souvenir de l'état de Laurent est là pour le lui rappeler. "Et si à lui, je ne lui plaisais pas ?" Elle sait qu'elle peut encore tout arrêter, on le lui a répété mille fois, mais elle n'ose le faire. Elle n'a pas envie de provoquer une déception. Notre déception ? Peut-être plus encore la sienne. "Si je n'y vais pas, ce soir je m'en mordrai les doigts". Enfiler le peignoir l'apaise. Elle trouve même une pointe d'excitation d'être aussi sexy sous cette protection, un peu comme quand elle était sortie sans culotte sous sa jupe, mais en posant la main sur la poignée de la porte, elle a l'impression d'enclencher elle-même le piège qui va se refermer sur elle.

Elle reparait enfin. Elle repère mes yeux qui maladroitement ne peuvent s'empêcher de faire plusieurs allers-retours entre la pointe de ses pieds et son visage. Oui, je suis comme un enfant, impatient de découvrir son cadeau et qui tente par toutes les observations possibles et permises de deviner ce qui se cache sous son emballage. Je sais déjà qu'elle porte des talons et que ses jambes sont gainées de nylon. Je ne peux rien deviner de plus. J'étais en train de porter mon verre à mes lèvres, je le repose sur la table, tant d'érotisme d'un coup ne me permet plus d'avaler la moindre goutte. Laurent lui-même est troublé. Lui sait ce qu'il y a sous ce peignoir, Camille, terriblement sexy et il n'y a que ce tissu pour la protéger de mon regard. La timidité l'empêche d'aller plus en avant, elle sourit, mais c'est nerveux. Elle ne sait que faire de ses bras. Je me sens coupable de lui imposer cette entrée, j'aurais dû moi-même m'absenter et revenir dans la pièce. Pour en rajouter, le mot pour la mettre à l'aise ne me vient pas en tête et, nigaud, je reste muet. C'est Laurent qui nous sauve de ce mauvais pas et se lève enfin pour la rejoindre. Il lui prend la main gauche de sa main gauche. De sa main droite, il parcourt sa colonne vertébrale de haut en bas, ce contact l'électrise, elle se redresse, presque cambrée, quelle grâce ! Il l'accompagne alors pour rejoindre le salon, la laissant passer devant lui tout en lui donnant la main et en la guidant par la taille. La tension de l'entrée en scène est passée, la glace s'est brisée en silence et je souris de soulagement. Elle aussi, elle est rayonnante. Je me rends compte que la ceinture qui lui serre la taille contribue à dessiner une silhouette particulièrement sexy. Ses talons accentuent son déhanchement à chaque pas.

Dieu que vous êtes belle !

Elle reprend sa place dans le divan, en serrant précautionneusement les jambes, puis les croise, mais en maintenant soigneusement le peignoir en place. Non, je ne verrai rien de plus maintenant que quelques centimètres supplémentaires de ses jambes. Elle croise mon regard qui cherchait la moindre maladresse de sa part et elle sourit de ma frustration. Nous buvons à l'instant présent et je bafouille quelques bêtises qui la font rire et détendent l'atmosphère. Mais que c'est difficile de ne pas lui sauter dessus !

Laurent lui prend la main et ils se lèvent d'un seul mouvement. Une fraction de seconde, sa cuisse était découverte. J'ai loupé l'instant, j'étais captivé par leur regard complice à ce moment-là, dans les yeux de chacun il y était écrit "Tu es sûr que c'est ce que tu veux ?". Et comme c'était match nul sur la question, ils n'y ont pas répondu.

Je m'installe dans le fauteuil. Enfin, je m'autorise une caresse au travers de mon pantalon. Le geste est un peu macho, mais nous nous étions entendus à ce sujet : l'excitation du mateur permettrait de faire sauter quelques fusibles et il ne convenait pas de la cacher. Et si le désir était là depuis le moment où je l'avais vue en jeans avec son t-shirt qui moulait sa poitrine, la décence ne me permettait pas de trop le montrer, malgré tout ce que nous avions échangé virtuellement auparavant.

Laurent et moi avions convenu qu'elle devrait soutenir mon regard pendant tout le jeu. Dès qu'elle s'en éloigne, tout mouvement qui permet de la dévoiler s'interrompt, comme si on appuyait sur le bouton pause. Laurent se place derrière elle, les mains sur les hanches. Camille me regarde dans les yeux, mon regard la balaye frénétiquement. Je voudrais soutenir son regard, mais il m'est impossible d'ignorer le reste. Laurent la caresse, elle se laisse faire, devenant une actrice passive. Les mains de Laurent sur son ventre, à deux centimètres de la ceinture qui lui permettrait d'ouvrir son peignoir. Non, pas maintenant, elles remontent sur ses seins. Laurent a décidé de jouer avec mes nerfs. L'instant est torride, les caresses dessinent les seins de Camille. Elle rejette la tête en arrière et ferme les yeux. Les caresses s'arrêtent instantanément, un soupir de désespoir, que le jeu est cruel, elle voulait simplement s'abandonner. Elle se tourne, embrasse Laurent à pleine bouche, il s'autorise une main dans le dos, l'autre sur ses fesses, une certaine tolérance est permise, d'autant plus qu'elle me permet d'imaginer ma main à la place de la sienne. Le peignoir épouse le galbe de ses fesses et je me prends à fantasmer sur ma main en train de peloter ce cul rebondi de la photo. Elle veut que le jeu reprenne, elle se retourne, plante les yeux dans les miens d'un air faussement rageur : "puisque c'est ce que vous voulez". La main droite de Laurent se faufile par l'entrebâillement du peignoir et lui caresse le sein, quel veinard. La main gauche se glisse sous la ceinture, sans pour autant dévoiler ses cuisses, il n'y a pas à dire, c'est un expert du teasing, mais au premier soubresaut je devine qu'il cherchait l'endroit sensible. C'est inaudible, mais ce n'est pas difficile de lire sur le mouvement des lèvres, elle est mouillée, ça la fait sourire, elle est encore plus belle.

Je me lève et entreprends de détacher les boutons de ma chemise un à un, mon regard soutient le sien et mon sourire la met au défi. Laurent continue ses caresses par-dessus et par-dessous le peignoir, et bien qu'il soit un peu moins soigneusement attaché qu'au début, le corps de Camille reste farouchement protégé. Les mains de Camille sont dans son dos et caressent Laurent autant que ses mouvements le permettent. Lorsqu'une passe sous la ceinture et palpe son pantalon, elle pousse un soupir de satisfaction avec un grand sourire. Laurent aussi est excité, elle penche la tête pour l'embrasser, un doux baiser, mais je devine leurs langues se toucher furtivement. Etre témoin de cette complicité m'excite, mais pas autant que la jalousie vis-à-vis de Laurent qui a droit au goût de la bouche de Camille. D'un geste un peu autoritaire, Laurent, impatient de reprendre le jeu, redresse la tête de Camille vers moi. Camille a toujours sa main sur le sexe de Laurent. Moi, d'un geste macho, mais l'instant n'est plus à jouer les enfants de choeur, je pose ma main sur le mien afin qu'elle ne puisse pas ignorer mon état. Je voulais lui rappeler qu'elle était en la présence de deux hommes qui la désiraient ardemment, et elle l'a bien réalisé à en juger à son regard gourmand et sa manière de se mordre la lèvre inférieure.

Je passe mes mains entre les pans de ma chemise et me caresse le torse et le ventre en imaginant les mains de Camille à la place des miennes. Elle qui semblait, jusqu'à présent être notre objet, se tourne d'un quart de tour de manière à pouvoir soutenir mon regard et d'autorité, place Laurent face à elle. Elle déboutonne la chemise de Laurent, mais de manière beaucoup plus rapide que moi. Ses yeux passent alors de mes yeux à mes mains, et ses mains imitent les miennes sur le torse de son homme. Comme ce moment est érotique, pour moi d'imaginer que ce sont ses mains sur ma poitrine et mon ventre, et pour elle d'imaginer que c'est moi sous ses mains. Au vu du sourire de Laurent, il semble être satisfait de l'audace de Camille et du fantasme qui se construit dans son esprit et qui se traduit par l'avidité avec laquelle ses mains le touchent. Mes mains s'aventurent sur mes abdominaux, et par défi, le bout de mes doigts passe régulièrement sous la ceinture de mon pantalon. Ses mains copient mes gestes sur le corps de Laurent, dans nos esprits, la confusion des corps, des mains, des gestes rend l'ambiance torride. Avec son regard de défi, elle fait mine de commencer à déboucler la ceinture de Laurent, avec l'espoir non dissimulé que mes mains répètent ses gestes. La commande semble ne pas passer, elle lève les yeux sur mon regard, je lui fais signe "non" de la tête puis pose un regard appuyé sur le décolleté de son peignoir, elle comprend le défi. Elle se place de nouveau face à moi, plaque Laurent dans son dos et ses mains sur son ventre. Avec le recul, je peux le dire, j'ai su que c'était le point de non-retour, Camille ne reculera plus...

Laurent fait voyager ses mains sur le corps de Camille, mais sans grande conviction d'ailleurs, il la pelote plus qu'il ne la caresse, il n'a plus qu'une idée en tête, défaire le noeud du peignoir pour enfin dévoiler sa belle à un homme chauffé à blanc. C'est un euphémisme. Je m'assieds sur le bord du fauteuil et bois une gorgée dans ma coupe. Je suis dans un cinéma porno en 3D, cinq étoiles. Je m'affale dans le fauteuil avec une furieuse envie de me branler. Mon érection est telle que c'en est presque inconfortable, je voudrais libérer mon sexe. Les mains de Laurent son sur le noeud, les miennes me caressent en imaginant que ce sont celles de Camille. J'ai le souffle court. Le noeud est enfin défait, mais le peignoir n'est pas encore ouvert. Le salaud, il retourne sa femme face à lui ne maintenant plus le peignoir en place, je le devine à demi ouvert. Oh, le regard qu'elle m'a lancé par-dessus son épaule aussi érotique que joueur, ce n'est pas lui qui joue avec mes nerfs, ce sont eux. Il se plaque contre elle, les deux mains sous le peignoir, il l'embrasse fougueusement comme on ne le ferait pas en public. Je la vois faire rouler son bassin pour le plaquer plus fort encore contre lui. Cette scène est torride, ils m'excitent, je ne sais pas si j'existe encore pour eux tant ils ont envie de faire l'amour. Lorsque leur baiser s'achève, je devine la marque des ongles de Camille dans le dos de Laurent, elle, elle est rouge comme s'il faisait quarante-cinq degrés dans la pièce, en température ressentie, on n'en est pas loin.

Ils tentent de se calmer, je devine à ce moment que leur regard complice témoigne d'un peu de honte de s'être laissé aller à tant de sauvagerie en oubliant ma présence, mais ils ne regrettent pas. D'une manière pudique qui me fait sourire, elle cache son corps avant de se retourner face à moi avec Laurent derrière elle, dans sa position initiale si ce n'est qu'elle a relevé ses bras et a rejeté ses mains derrière le cou de son homme, elle-même ne peut plus empêcher son peignoir de s'ouvrir, et cet abandon, cette manière de s'offrir à ma vue m'excite déjà. Mais c'est Laurent qui maintien le vêtement fermé. Ils guettent tous les deux mon regard. Je commence moi-même les hostilités en détachant la boucle de ma ceinture. Ils sourient, Camille avance une jambe et sort un genou de ce satané peignoir. Tout en le maintenant en place d'une main à la hauteur de la taille, Laurent écarte le décolleté de l'autre main. Je détache le premier bouton de mon pantalon. Elle fixe mon regard et se lèche la lèvre supérieure d'un air sensuel et gourmand. Ho la garce ! J'en ai le souffle coupé. Elle rit tout haut. Laurent écarte encore son décolleté, je peux voir maintenant sa dentelle. Je défais encore un bouton de mon pantalon, elle lâche le cou de Laurent et se caresse les seins, mais toujours au travers de son peignoir qui les couvre encore. Je détache un autre bouton, j'ai autant envie d'accélérer le jeu que de le faire durer. Elle passe une main dans le pan de son peignoir et je devine à la forme du tissu qu'elle se pince le téton, j'en ai aussitôt la confirmation en remarquant son soubresaut et son soupir. Je détache le dernier bouton et commence à écarter les pans de mon pantalon ; j'ai autant envie de me masturber que de la violer. Laurent n'a plus besoin d'ouvrir son décolleté, elle le fait d'elle-même, il descend sa main et tout en maintenant le peignoir farouchement fermé à hauteur de la taille, il faufile sa main sous la ceinture. Je vois la jarretière de ses bas et je glisse une main sous ce que mon pantalon cache encore. Il cherche son clitoris et il trouve sans mal cette zone sensible, elle réagit en resserrant les cuisses dans un déhanchement particulièrement sexy. Le mouvement est brusque, il reçoit ses fesses sur son sexe et j'adorerais être à sa place ... ou rester à la mienne, ce mouvement a eu pour effet qu'il lâche le peignoir dont les deux pans laissent maintenant une large ouverture sur le corps de Camille toujours dans l'ombre, la lumière est tamisée et je ne vois pas les détails. Je descends mon pantalon et mon sexe est moulé par le tissu léger de mon boxer. Elle n'en rate pas une miette la coquine, alors qu'elle dégage ses épaules. Mon dieu qu'elle est sensuelle au moment où le peignoir tombe à leurs pieds. J'accentue la caresse sur mon boxer, dessine la forme de mon sexe, de mon gland, soupèse mes bourses pleines du désir que j'accumule depuis que nous avons convenu de ce rendez-vous. Elle regarde d'un regard appuyé, voudrait que je le découvre.

Elle suit mon regard et comprend. Elle se met à genoux devant son homme, défait la boucle de la ceinture, ouvre son pantalon et le descend, le tout un peu trop vite pour que ce soit sensuel, je les qualifierais plutôt de gestes d'une affamée. Laurent se retrouve en boxer, le pantalon sur les genoux, ouf, elle lui accorde quelques secondes pour l'enlever complètement. Elle commence à caresser le sexe de Laurent au travers du tissu, et par son regard, je comprends qu'elle veut recommencer ce jeu des mains télécommandées, mais cette fois, c'est moi qui la suis. Je tente du mieux que je peux de reproduire les mouvements de ses mains sur mon propre sexe. Elle dessine les contours du sexe de son homme tout en regardant mes mains sur le mien. Elle pose les lèvres sur le boxer devant son visage, agace le gland avec ses dents, je ris en penchant la tête, c'est trop me demander. Soudain, elle empoigne l'élastique et me lance son regard de défi, je m'exécute, elle découvre le sexe de Laurent, elle me regarde et me fait un geste de la langue, quel érotisme ! Je descends mon boxer en même temps qu'elle commence à lécher le sexe de son homme, mais tout en me regardant. Je peux enfin me masturber, Laurent aussi me regarde, il aime me voir excité par tant de perversité mettant en scène sa femme. Il bande comme un taureau, et il est solide le gaillard, dans ces conditions, avec la bouche de Camille autour de mon sexe, je n'aurais pas résisté longtemps. Ma masturbation est lente et par moment je dois l'interrompre et fermer les yeux pour reprendre mes esprits. Elle continue de sucer son homme alors que je vois que sa main se glisse entre ses cuisses.

Laurent s'assied et pendant ce temps, Camille précise sa masturbation, à genoux, les fesses sur les pieds, une main sur son sein, l'autre s'active entre ses cuisses, elle se tortille et se cambre de plaisir. Elle semble avoir oublié ma présence tant elle ne lâche pas des yeux le sexe dressé et gonflé de désir de son homme. Mais elle a une idée en tête, quand son homme est affalé sur son siège prêt à recevoir la suite de sa fellation, elle le tire par les genoux, il se laisse guider et fini par se retrouver couché sur le dos à même le sol. Elle reprend alors son sexe en bouche et dans cette position, elle me présente son cul de manière tout à fait indécente. Je ne peux m'empêcher de lâcher un "Wah !" de surprise. C'est plus qu'un soupir qui semble lui rappeler que je suis là et plutôt que de retrouver un peu de décence, elle écarte les cuisses un peu plus fort et se cambre un peu plus. J'adorais son indécence quelques secondes plus tôt, et là, je ne sais plus quel mot peut résumer la scène. Elle ne peut plus cacher que son sexe est trempé, je crois qu'elle ne le veut pas non plus. Ca ressemble à une invitation, je rêve de m'approcher, d'écarter cette bande de tissu entre ses fesses et de glisser ma langue dans toute cette vallée. Mais nous n'avons pas prévu d'extra au scénario, il était bien prévu qu'il y ait des caresses entre eux pour faire monter la température, mais on dépasse déjà les espérances.

Elle se redresse et se tourne pour tourner le dos à sa victime couchée au sol. Elle me fait alors face tout en passant à califourchon sur son homme. Elle écarte son string et empoigne l'énorme sexe de Laurent pour le dresser à l'entrée du sien. Elle se l'enfonce alors, centimètre par centimètre en poussant des gémissements de plaisirs. Tout ça en me regardant droit dans la bite, je crois bien que cette vision me traumatisera à vie. Elle entreprend alors un lent chevauchement en basculant son bassin d'avant en arrière, ses deux mains torturent ses propres tétons et pétrissent ses seins d'une manière presque masculine. Ses mouvements augmentent en intensité et en vitesse, d'une main elle écarte l'avant de son string, de l'autre elle cherche son clitoris. D'un mouvement rapide, elle porte sa main à sa bouche pour lécher ses doigts, mais je pense que c'est plus par réflexe que par utilité pour lubrifier la mécanique. Elle s'efforce de soutenir mon regard pendant sa masturbation, comme si elle voulait s'assurer qu'elle était bien en train de faire une chose tout à fait inouïe. Mais son corps n'obéit plus à son esprit, ses mouvements deviennent autant saccadés que désorganisés, ses yeux ne peuvent rester ouverts, mais sa bouche oui, et c'est un plaisir que d'entendre son chant. D'un coup, elle se raidit, son chant devient un cri, ses jambes se resserrent et s'écartent aussi vite pour que son bassin puisse mieux basculer et augmenter la pression du sexe de Laurent dans son ventre. Je vois les couilles de Laurent luisantes de la jouissance de Camille. Ho, comme j'ai envie de la goûter. Au moment où elle tente de reprendre ses esprits, elle m'entend dire "Encore !". C'est d'un regard vide qu'elle lève la tête vers moi, pas encore tout à fait sortie de son orgasme, pas encore dans sa petite mort, et c'est presqu'avec surprise que je vois les lents mouvements de son bassin reprendre, suivis de quelques secondes avant que sa main ne passe de nouveau sur son sexe. L'orgasme arrive plus vite et de manière un peu moins spectaculaire, mais elle coule abondamment. "Encore !". Elle sourit et dodeline, la sueur colle quelques mèches sur ses tempes, mais le prend pour un défi, elle sait comment faire pour faire revenir le désir en commençant par se balancer sur le sexe de son homme jusqu'à ce que son désir arrive dans son clitoris. Oh, que je voudrais la lécher là maintenant ! L'orgasme traine un peu, je devine son clitoris plus douloureux que sensible, mais il finit par arriver. "Encore". C'est une voix d'homme qui répond "J'en peux plus moi". Je peux difficilement lui en vouloir et je crois que c'est un peu un soulagement pour elle aussi. Elle libère alors le sexe dégoulinant de Laurent, mais pas le reste elle reste à califourchon et se recule pour se mettre en position de soixante-neuf. Elle entame alors de le sucer tout en me regardant, chose très excitante, mais la position n'est pas propice. Laurent lui commence à goûter à cette source qui lui est offerte, mais trop de temps s'est écoulé depuis le dernier orgasme de Camille, et si elle suce Laurent de manière gourmande, elle semble moins encline à se faire rallumer.

Elle dégage l'homme couché au sol et se lève. La belle lingerie est un peu désordonnée. Elle lui donne la main pour l'aider à se mettre debout. Le sol est abondamment mouillé et quelque-chose me dit que ce n'est pas la première fois. A genoux à ses pieds, dans une perspective soigneusement calculée, je peux voir le gros sexe lui pénétrer la bouche ou sa langue en chercher les endroits les plus sensibles. Elle les connait bien, le corps de Laurent est sujets à de nombreuses petites convulsions. Quant à Camille, elle peut voir dans quel état elle m'a mis. Je me branle en regardant cette scène, tantôt dans des mouvements rapides, tantôt dans de longues caresses en partant de mes couilles et remontant jusqu'à mon gland tout gluant de désir. J'adore malaxer mes couilles et caresser mon gland en imitant sa langue. Elle me regarde en suçant son homme et ça augmente encore mon excitation. Elle aussi est excitée à l'idée de l'état dans lequel elle nous a mis tous les deux, la voilà de nouveau en train de se masturber. La pipe devient plus brouillonne à mesure que son excitation augmente et de l'effet que ses propres mains lui infligent. Laurent lui empoigne les cheveux d'une main et commence à se masturber frénétiquement de l'autre. Par moment il caresse son gland sur ses lèvres. Je suis moi-même au point de non-retour. Est-ce la vue de ces deux hommes qu'elle a chauffé à blanc qui se masturbent à ses côtés qui provoquent ce nouveau séisme ? La voilà prise de nouvelles secousses, ses jambes se serrent et s'écartent involontairement, elle est prise de tremblements intempestifs, de petits jets sortent de sa chatte, je voudrais être en dessous. Cet orgasme fulgurant a raison de Laurent et moi-même, en voyant ces longues giclées de foutre blanc s'écraser sur le visage et la poitrine de la belle et douce Camille, souiller sa lingerie si raffinée quelques instants plus tôt je n'ai plus aucune force pour opposer une résistance quelconque à mon désir et dans un orgasme d'une intensité rarement atteinte, de longues lignes blanches se dessinent sur mon ventre jusque sur le haut de mon torse, je crois même avoir taché le fauteuil.
#2329080
@lokabi92
Enchanté de vous par ici tous les 2, excellente présentation et de bien belles photos de mademoiselle, toutes aussi excitantes les unes que les autres.
ça donne effectivement très envie de vous croiser lors d'une exhibition et de voir mademoiselle à l'œuvre...
En espérant vous croiser un jour
bises
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