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#2183794
@Rosecris , Diane et Camille viennent à l'instant de repartir de chez moi après y avoir passé la nuit. Et je crois qu'il n'y a pas une journée passée ensemble où nous ne nous fassions la réflexion "nous avons beaucoup de chance de nous être trouvés".
#2183812
A mes yeux, les photos sont bien moins importantes que le texte. Mais pour illustrer tout de même le récit, je vous poste ce cliché.

Après que Diane et moi avons passé un long moment dans mon lit, nous nous sommes rhabillés et sommes allés retrouver Camille qui nous attendait dans le salon, attaché à la balustrade de l'escalier. Diane avait essuyé d'un kleenex les premiers débordements du plaisir que j'avais déversé en elle en abondance, mais il convenait que son cocu finisse de la nettoyer.

Elle ordonna, et pendant qu'il s'exécutait elle me suça une nouvelle fois, faveur qu'elle a toujours refusée à son cocu.

Camille, puisque tu n'as jamais eu l'occasion de le vérifier par toi-même, je peux t'apprendre une chose : ton épouse suce très bien !

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#2183911
Je vais vous raconter les premières minutes de la soirée.

Diane et Camille sont arrivés chez moi comme prévu. Je les ai fait entrer dans le salon, puis j'ai ordonné à Camille d'aller déposer les bagages de Diane dans ma chambre. Lorsqu'il est revenu au salon moins d'une minute plus tard, il a tout de suite été mis dans l'ambiance : j'avais placé Diane en appui sur le dossier du canapé, avais baissé son pantalon et le mien, et j'étais déjà occupé à la besogner debout. Le message était clair : c'est peut-être ton épouse, mais ce soir elle est MA femme.

L'accueil étant fait et la question des bagages étant réglée, Camille était disponible pour le service de l'apéritif. Je lui ai ordonné de s'approcher et de s'agenouiller, puis lui ai fourré ma queue dans la bouche en lui disant "suce, pour me nettoyer". Puis j'ai remonté mon pantalon, ai rhabillé Diane et l'ai invitée à s'asseoir à mes côtés sur le canapé tandis que son cocu allait en cuisine chercher ce que j'avais préparé.

Bien sûr, sur la table basse il n'y avait que deux verres. Les domestiques font le service, mais ne s'assoient pas à table avec les Maîtres.

La rencontre commençait bien. La suite de la soirée et la matinée du lendemain furent tout aussi plaisantes.
#2183963
La suite ? Pendant que Camille préparait le repas dans la cuisine, Diane et moi avons bavardé tranquillement au salon, en nous caressant et nous embrassant. Nous sommes ensuite passés à table et Camille assurait le service. Fort mal d'ailleurs, avec le manque d'attention et d'application qui le caractérise si souvent. Il fallait que ce soit moi qui lui signale que le verre de Diane était vide, pour qu'il la serve à nouveau !

Diane et moi sommes retournés au salon pour profiter du dessert en nous enlaçant sur le canapé, et j'ai accordé cinq minutes à Camille pour se nourrir de nos restes s'il avait fin. Je l'ai ensuite attaché à la balustrade de l'escalier qui conduit du salon à l'étage. Je ne voulais pas qu'il puisse nous importuner de quelque façon que ce soit, je brûlais de conduire Diane dans ma chambre pour qu'elle soit mienne à nouveau. Je pris donc sa main et elle me suivit en souriant, sans jeter un regard sur son cocu entravé.

Nous pouvions passer aux choses sérieuses…
#2184067
@quinquadirectif , dans la vie quotidienne, je doute que les personnes qui les croisent puissent se douter de quoi que ce soit. Ils apparaissent sans doute tous les deux comme des caractères assez forts.

J'ajoute que la préservation du secret de cette relation est la priorité absolue.
#2184501
Le cocu étant attaché au salon, Diane et moi étions tranquilles pour nous aimer tranquillement dans ma chambre.

Je ne vous raconterai pas le détail des différentes positions prises, ça n'aurait que peu d'intérêt. Pas de mise en scène, pas de décor particulier, juste l'intimité que nous désirions l'un comme l'autre.

Avec le tempérament énergique qui la caractérise, Diane a l'habitude de tout gérer au quotidien : travail, mari, enfants, maison, etc... Quand elle vient chez moi, je veux lui offrir une parenthèse de vacances, qu'elle n'ait rien à organiser ni prévoir, qu'elle n'ait qu'à se laisser guider, à s'abandonner, à ne penser qu'à elle et à savourer le plaisir de l'instant.

Nos ébats ont été dans cet esprit. Je l'ai allongée sur le lit et l'ai déshabillée, pendant qu'elle faisait de même avec moi. puis elle a fermé les yeux et s'est abandonnée à mes caresses, comme je le lui demandais, totalement relâchée. Très tactile, elle aime prendre le temps des préliminaires, les contacts sachant allier douceur, tendresse et fermeté. Enfin, plus que tout, elle apprécie les pénétrations lentes et profondes.

Nos ébats ont duré une heure environ, très tendres, très complices, et d'autant plus fusionnels qu'il n'y a pas de barrière de latex entre nous et qu'au final j'ai joui en elle sans retenue, abondamment.

Une fois repris nos esprits, je lui ai présenté la surprise que j'avais préparée à son intention. Elle qui est habituellement habillée très sagement, je lui avais préparé de quoi se vêtir plus conformément à son rang de dominatrice : ensemble de lingerie (soutien-gorge, string, porte-jarretelles, bas), robe ultra sexy et chaussures assorties.

Il n'y a pas si longtemps, son cocu disait "jamais elle n'accepterait de porter ce genre de vêtements". Mais lorsqu'ils lui ont été présentés par son amant, elle les a enfilés sans se faire prier, et même avec un plaisir évident. Je me suis rhabillé, et nous sommes allés retrouver son cocu pour le libérer de ses entraves et lui présenter la nouvelle allure de son épouse, méconnaissable ! Pour lui aussi, c'était une surprise.

Diane et moi étant momentanément rassasiés l'un de l'autre, il était temps de nous occuper du cocu et de son éducation…
#2184585
pour illustrer le récit de Camille, une photo prise au moment où nous dressions le bilan des manquements à ses obligations.

C'était le début, les fesses n'étaient pas encore très rouges.

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#2184704
A mes yeux, les photos sont bien moins importantes que le texte. Mais pour illustrer tout de même le récit, je vous poste ce cliché.

J'apprecie autant le texte que ce genre de belles photos. ;)
#2184713
Très agréable de lire cette éducation du cocu.
Open semble être très au fait de ce genre de "dressage". :D
#2184903
Vous avez eu la description de la soirée, ce n'est que la première partie. Une fois le cocu envoyé au grenier pour la nuit, Diane et moi sommes allés dormir ensemble dans ma chambre. La nuit fut calme, mais la matinée le fut moins. Cette suite fera l'objet d'un prochain récit… ;)
#2185147
Après avoir administré au cocu la leçon qu'il méritait, nous l'avons conduit au grenier où il passerait la nuit, encagé bien sûr, puis Diane et moi sommes allés nous coucher dans ma chambre.

Il était tard, nous étions tous deux fatigués, et nous avons rapidement sombré dans un sommeil profond, enlacés amoureusement.

Comme à mon habitude, je me suis réveillé très tôt. Je me suis rapproché de Diane, me suis collé contre son dos, et ai glissé mon érection matinale entre ses cuisses. Elle ne dit pas un mot et n'ouvrit pas les yeux. Seule sa main bougea pour saisir ma queue et la guider en elle, et c'est ainsi que je l'ai réveillée progressivement, par des mouvements très lents qui entraient de plus en plus profondément en elle.

Comme la veille, nous avons fait l'amour très longuement, tout en douceur, pratiquement sans un mot. Diane se laissait guider, se laisser porter par ses sensations, savourant ces attentions que son cocu n'est pas capable de lui prodiguer. Elle jouit ainsi plusieurs fois, et chacun de ses abandons était le plus beau cadeau qu'elle pouvait m'offrir.

A un moment où nous faisions une pause, nous avons entendu approcher les pas de Camille qui s'était levé et avait quitté le grenier. Je lui ai dit d'entrer, et il est venu s'allonger sur le lit contre sa Maîtresse. Ils s'embrassèrent doucement, tandis que Diane caressait la cage à travers la culotte plastique du soumis. Puis Camille vint se placer tête-bêche avec sa Maîtresse, et enfouit son visage entre ses cuisses, cherchant le mélange de nos parfums après l'amour.

Il est bon que le cocu voie comment son épouse se donne à moi (ou à d'autres amants éventuels) pour qu'il puisse mesurer ce qui le sépare des vrais mâles propres à satisfaire sexuellement une femme. Comme au réveil, je me suis donc plaqué contre le dos de Diane et l'ai pénétrée une fois de plus. Camille lui léchait le clitoris, et je sentais la pointe de sa langue contre ma queue pendant mes va-et-vient. De temps en temps, je me retirais de sa Maîtresse et plongeais dans sa bouche. Il me suçait alors avec application, comme il convient pour un soumis.

Diane ne bougeait pratiquement pas, profitant de l'instant entre son mâle et son châtré. Puis soudain, elle se redressa et se mit à quatre pattes sur le lit.
- Camille, viens sous moi !
- Euh… je crois que je ne suis pas prêt pour être nettoyeur…
- Viens sous moi !
Le ton ne laissait pas de place à la contestation, et Camille s'exécuta. Aucun doute n'était possible quant à ce que Diane désirait désormais. De nous trois, c'est incontestablement elle qui apprécie le plus le principe du cocu nettoyant le foutre que l'amant a déversé au plus intime de l'épouse.

Camille était désormais sous sa Maîtresse, en position de 69. Je vins derrière elle, et commençai à la prendre vigoureusement. Mes couilles roulaient sur le visage du cocu qui s'activait à nouveau sur le clitoris, et je continuais à lui fourrer de temps en temps ma bite dans la bouche. Le désir de Diane était clair, et je ne voulais pas la faire attendre. J'ai donc laissé monter mon plaisir, et j'ai joui bruyamment en elle. Cela faisait un bon moment que nous étions réveillés et que je la besognais. Ma jouissance avait été longtemps contenue, et mon éjaculation fut à la mesure de cette attente. Le cocu était aux premières loges pour me voir tressaillir pendant que je me vidais au plus profond de sa Maîtresse, il devinait que le flot était abondant et savait à quoi s'attendre…

Je me retirai dès que j'eus le sentiment d'avoir libéré la dernière goutte, et aussitôt Diane fléchit les genoux pour plaquer son vagin sur le visage du cocu. Elle resta ainsi longuement, sans bouger. J'observais ce joli spectacle, et entendais les bruits de déglutition de Camille qui avalait toute mon sperme que sa Maîtresse lui déversait dans la bouche. Puis elle fit demi-tour et plaqua à nouveau son sexe ouvert sur la bouche du soumis pour qu'il la lèche sous tous les angles, afin que le nettoyage soit parfait.

Ce travail terminé, Diane libéra Camille et l'envoya se débarbouiller à la salle de bains, avant de revenir se blottir dans mes bras, très tendrement. Des câlins tout en douceur avant de nous lever enfin pour aller prendre le petit déjeuner, car tout cela nous avait ouvert l'appétit !

Le reste de la matinée fut plus sage. Camille était heureux des progrès rapides dans son éducation de cocu, et nous l'avons félicité sans pour autant négliger de lui rappeler les points qu'il lui reste à travailler. Le temps s'écoulait très rapidement. Nous avons fait une petite promenade dans la campagne pour nous aérer, puis sommes revenus chez moi pour partager un déjeuner rapide. Diane et Camille avaient des obligations qui leur imposait de partir en tout début d'après-midi. Elle et moi le regrettions, car nous mourrions d'envie de prendre le temps d'une sieste crapuleuse, qui aurait à nouveau donné l'occasion au cocu de boire son nectar préféré. Ce sera pour une autre fois…
Sodomoi a liké
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