- 02 nov. 2017, 21:25
#2091916
Bonjour à tous,
je fais un post de présentation même si ce n'est pas vraiment ma première fois sur ce forum.
En effet, j'avais déjà un profil il y a quelques années où je racontais mes désirs candaulistes avec ma femme. Les choses ont fini par s'accélérer et j'avoue avoir pris peur à tel point que j'ai fait supprimer mon compte et mes messages de l'époque.
Aujourd'hui tout va pour le mieux, nous sommes un couple uni, heureux et apaisé.
Oui, je suis bien cocu, et ma femme à un amant "officiel" et régulier. Nous avons trouvé notre équilibre ainsi et c'est tant mieux.
Je vais revenir en arrière pour remettre les choses dans leur contexte et parler de notre évolution.
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Pour les plus curieux le fil d'origine (pas très intéressant car la plupart des messages sont effacés) est ici :
viewtopic.php?t=25499&start=20
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Je me permets tout d'abord de recopier le message d'origine qui date de 2011 :
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Et puis voici mon dernier message avec l'ancien compte, celui ci date de janvier 2015 et c'est peu après que j'ai fait supprimer mon compte :
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Voilà où j'en étais resté... Je vais essayer de reprendre là ou je m'étais arrêté après cette fameuse nuit... Cela remonte à près de trois ans maintenant donc je vais essayer de relater les faits le plus justement, notamment tous les mots que nous nous sommes échangés, bien entendu je ne garantis pas que la retranscription soit exacte même si certaines phrases résonnent encore en moi, tellement elles étaient fortes en émotion.
Donc après que ma femme ait couché avec son coach (nous l'appelerons X.) nous avons longuement discuté de tout cela. J'étais très énervé, jaloux, et elle se sentait coupable, honteuse. Elle m'a dit qu'elle n'irait plus dans cette salle de sport, qu'elle s'inscrirait ailleurs. Néanmoins elle m'a demandé si elle pouvait aller voir X. pour tout lui expliquer, mettre les choses au clair avec lui et lui annoncer qu'elle ne le verrait plus. J'étais tout à fait d'accord et le lendemain elle devait aller à la salle pour en finir.
Le soir en question, je ne la voyais pas revenir et je commençais à m'inquiéter car il se faisait tard, et bien entendu elle ne répondait pas à mes appels ni à mes messages. Inquiet, Je me suis donc rendu à la salle de sport et on m'a annoncé ce que je craignais. X. était déjà parti, et bien avant la fermeture. J'ai demandé si il était parti avec une femme et je décrivais physiquement la mienne, la fille de l'accueil m'a regardé bizarrement et m'a dit :
- "Pourquoi ?"
-"Et bien parce que je crois qu'il est avec ma femme". La jeune fille a rougie et moi je n'en revenais pas d'avoir prononcé cette phrase.
Ne sachant pas où il habitait je suis rentré chez moi, inquiet, la boule au ventre, et en même temps je dois bien le reconnaitre, terriblement excité à l'idée que ma femme était avec lui, et qu'ils étaient, peut être, en pleins ébats.
Il était presque minuit lorsque mon téléphone a sonné. C'était ma femme. Le ton de sa voix était étrange, apaisé, serein. "Ne t'inquiète pas tout va bien. Je rentre." "Mais où es-tu ?" "Je suis chez X., je t'expliquerais." Et puis elle a raccroché sans me laisser le temps de réagir. Je suis resté là, bouche bée, le téléphone à l'oreille, pendant de longues secondes, sans savoir comment réagir.
Une demi-heure plus tard, la voilà qui rentre. Elle a l'air fatiguée mais en même temps paisible, comme ailleurs.
"Tu me dois des explications", dis-je énervé.
"Calme toi", me dit elle sur un ton autoritaire. "J'ai rompu avec X. Il a voulu qu'on le fasse une dernière fois. J'ai accepté. Je te rassure cette fois j'ai insisté pour qu'il mette une capote. T'es content ?". Tout dans son attitude, ses paroles, évoquaient une femme sûre d'elle et de son pouvoir de séduction qu'elle assumait pleinement. Il était évident qu'elle se fichait totalement de ce que je pouvais ressentir.
Je restais sans voix après ce qu'elle m'annonce, et surtout la façon dont elle me l'annonce. Elle a voulu profiter d'une dernière nuit avec son amant et elle y a pris du plaisir, et assurément elle n'a aucun remords. J'ai même le sentiment qu'elle est déçu que cela doive s'arrêter ainsi.
Je m'approche d'elle et la serre dans mes bras. "Je t'aime ma chérie. J'étais fou d'inquiétude, tu ne peux pas savoir. Je t'aime, je t'aime, je t'aime."
Je suis bouleversé par mes sentiments, il faut bien le dire, ambivalents. Excité par ce fantasme qui prend corps, et dans le même temps la peur de voir ma femme avec un autre et le risque de la perdre.
Je l'embrasse tendrement dans le cou et sur l'épaule. Je sens des odeurs inhabituelles.
Elle semble ailleurs.
"Je suis fatigué, je vais me coucher." dit-elle comme pour calmer mes ardeurs.
Elle se déshabille, je l'attends dans le lit. En se couchant elle éteint la lumière et s'endors.
Le lendemain matin, je me réveille le premier. Je ne fais pas de bruit. Je la regarde, encore endormie. Je la trouve si belle. Je repense à tout ce qui s'est passé la nuit précédente. Je bande.
Elle se réveille doucement. Je m'approche d'elle, je lui fais des petits bisous. Je la serre dans mes bras. Je ne l'ai jamais autant aimé.
Je dirige ma main entre ses jambes. Je colle ma bite contre sa cuisse. Elle sourit.
"T'es pas fâché ?" me demande-t-elle.
"Ma chérie, je t'aime tellement. J'ai eu si peur de te perdre cette nuit."
Je l'embrasse dans le cou, je descends rapidement entre ses seins, puis son ventre.
- "Tu veux bien me lécher dis ?"
-"Bien sûr ma chérie".
J'écarte ses jambes et commence par embrasser son sexe. Je sens des odeurs inhabituelles, et d'autres que je n'avais pas senti depuis longtemps, comme celle du latex, si particulière.
Elle commence à gémir.
"Et X. il t'a léché hier ?"
"Oh non. Tu sais ce n'est pas son truc. Il n'est pas très doué pour ça. Heureusement que tu es là."
Ce simple détail oh combien intime qu'elle me dispense avec un naturel désarmant, décomplexé, m'excite au plus haut point. Je la lèche de plus belle. Elle gémit de plus en plus fort.
Je remonte et j'approche mon sexe de l'entrée de sa chatte. "Je peux ?" C'est un petit rituel que nous avons mis en place depuis longtemps maintenant. Je lui demande toujours la permission avant de la pénétrer, révélant ainsi ma nature soumise.
"Oui, viens".
"Tu peux m'aider ?"
Elle prends ma queue et la glisse dans sa chatte. C'est une sensation délicieuse. Je commence à aller et venir en elle, tout en pensant au fait que X. était à ma place quelques heures plus tôt.
"Et X. il t'a prise comme ça ?"
"Oui" me dit elle, l'air triomphant en me regardant dans les yeux.
"Et sa bite, elle est plus grosse que la mienne ?"
Elle rit. "Oh mon pauvre chéri… Mais pourquoi tu veux savoir ça ?"
"Tu es ma femme, j'ai le droit de savoir. Alors elle est beaucoup plus grosse ?"
"Oui elle est plus grosse."
"Et quand je suis en toi, tu sens la différence ?"
"Oui c'est différent. C'est pas forcément mieux, juste différent".
Pendant que je m'active en elle, une question me brûle les lèvres. Je n'ai jamais réussi à la faire jouir par la pénétration, seulement en la léchant. J'ai peur de la réponse, mais je ne tiens plus.
"Est-ce qu'il t'a fait jouir ? Avec sa bite ? Est-ce qu'il t'a fait jouir pendant qu'il te pénétrait ?"
"Oh mon chéri, tu veux vraiment le savoir ? Tu ne vas pas te fâcher ?"
"Non dis le moi"
"Oui il m'a fait jouir". En apprenant cela, je suis complêtement tiraillé par mes désirs sexuels et le sentiment de honte que j'éprouve en sachant qu'il a réussi à faire ce que je n'ai jamais réussi.
"Chérie je ne tiens plus…"
"Oui tu peux venir si tu veux, tu l'as bien mérité".
"Merci mon amour"
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Voilà, je vais en rester là pour ce soir. Je repasserais raconter la suite si il y a de l'intérêt pour cela.
Vous pouvez m'envoyer vos MP, ma femme les lira aussi si besoin, en revanche nous ne recherchons pas d'hommes seuls donc messieurs ce n'est pas la peine de nous écrire.
je fais un post de présentation même si ce n'est pas vraiment ma première fois sur ce forum.
En effet, j'avais déjà un profil il y a quelques années où je racontais mes désirs candaulistes avec ma femme. Les choses ont fini par s'accélérer et j'avoue avoir pris peur à tel point que j'ai fait supprimer mon compte et mes messages de l'époque.
Aujourd'hui tout va pour le mieux, nous sommes un couple uni, heureux et apaisé.
Oui, je suis bien cocu, et ma femme à un amant "officiel" et régulier. Nous avons trouvé notre équilibre ainsi et c'est tant mieux.
Je vais revenir en arrière pour remettre les choses dans leur contexte et parler de notre évolution.
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Pour les plus curieux le fil d'origine (pas très intéressant car la plupart des messages sont effacés) est ici :
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Je me permets tout d'abord de recopier le message d'origine qui date de 2011 :
frenchtouchseduction a écrit :Nous sommes un jeune couple marié depuis 1 ans et demi. Elle 26 ans, moi 32.
Je suis son premier homme, elle n'en a jamais connu d'autre pour le moment et elle est très fidèle et très prude.
Je n'ai jamais réussi à la prendre en photo toute nue par exemple.
Depuis 1 an j'essaye de la dévergonder un peu :
1ere étape : J'ai commandé un DVD Porno pour qu'on le regarde ensemble. On l'a regardé un peu et puis ça l'a excité, elle a voulu baiser. Plus tard elle m'a avoué qu'elle regardait ce DVD de temps en temps en mon absence. Je lui ai demandé ce qui lui plaisait le plus, elle m'a dit : "Voir toutes ces bites en action". Elle a rajouté : "Dis donc, elles sont vraiment très grosses !" Je lui ai demandé si elle trouvait ces bites plus grosses que la mienne, et sa réponse : "Oh oui, c'est sans comparaison !" Ce qui m'a secrètement beaucoup excité ! En effet je complexe sur ma bite qui ne fait que douze centimètres en érection. D'ailleurs je n'ai jamais réussi à la faire jouir avec, seulement en lui léchant la chatte.
De temps en temps nous plaisantons et elle m'envoie des petites piques. Par exemple, elle aime se moquer de ma bite, en l'appelant mon "petit oiseau" par exemple.
Elle est institutrice, et aujourd'hui, elle m'a dit remarquer à de nombreuses reprises que des parents d'élèves mataient son cul, ce qui a l'air de lui plaire. Lorsqu'elle m'a dit ça, j'ai tout fait pour cacher mon érection bondissante.
Sexuellement, j'essaye d'avoir un comportement soumis avec elle. J'attends toujours qu'elle me le demande avant de la pénétrer, sinon je lui demande la permission. Mais je préfère que ce soit elle qui prenne ma bite pour se la mettre dans la chatte. J'aime cette sensation de "prise en main", j'aime sentir qu'elle a le contrôle de ma bite et qu'elle s'en sert comme d'un jouet pour son bon plaisir.
Ma position préférée est quand elle est sur moi. Elle prend fermement ma bite, la guide vers sa chatte, et s'empale dessus. Puis elle me chevauche, parfois en se caressant le clitoris en même temps. Je la vois fermer les yeux et se mordiller les lèvres. Je me demande bien à quoi elle pense dans ces moments là. Lorsque je lui demande elle me répond : "À toi". Bien entendu je ne suis pas naïf ! Je lui laisse donc ses fantasmes pour elle. Lorsque nous somme dans cette position j'aime agripper ces fesses et les écarter bien grand, en imaginant qu'un éventuel amant est en train de la sodomiser, chose qu'elle m'a toujours refusé.
Enfin je lui demande toujours la permission avant de jouir, même si je préfère là aussi que ce soit elle qui me dise quand jouir. Il arrive toujours un moment où je sens que je suis prêt de jouir mais je me retiens tant bien que mal. Au bout d'un moment je suis quand même obligé de ralentir le rythme. Elle me regarde droit dans les yeux mais ne dit rien. Je sais à son regard ce qu'elle pense. "Tu as envie de jouir pas vrai ? Et bien tu attendras encore un peu que je te le dise !". Elle me voit peiner et cela lui plait. Parfois je ne tiens plus et je lui demande "Chérie, est-ce que je peux jouir s'il-te-plait ?" Au bout d'un moment elle finit par avoir pitié de moi et me dit : "Maintenant tu peux jouir si tu veux". Je la remercie et je me laisse aller. D'autres fois alors que je suis en pleine forme et que je sens que je peux encore tenir très longtemps elle me dit : "Jouis maintenant !". Je lui demande si elle est sûr, que je peux continuer encore. Elle me réponds : "Non, je veux que tu jouisses maintenant !". "Comme tu voudras ma chérie". J'accélère alors le rythme et je m'éxécute. Je lui ai avoué que j'aimais qu'elle contrôle mes orgasmes. Elle m'a dit que ça lui plaisait aussi.
Ensuite elle s'allonge à côté de moi et se caresse en fermant les yeux, jusqu'à la jouissance.
Auriez vous d'autres conseils à me donner pour l'aider à se dévergonder un peu plus ?
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Et puis voici mon dernier message avec l'ancien compte, celui ci date de janvier 2015 et c'est peu après que j'ai fait supprimer mon compte :
frenchtouchseduction a écrit :De retour après une longue absence.
Bon il y a du nouveau. En septembre dernier, ma femme s'est inscrite dans une salle de sport car elle voulait perdre du poids me disait-t-elle. Mais pas n'importe quelle salle de sport, une réservée aux femmes uniquement. "Comme ça au moins je ne me ferais pas draguer par des gros lourds" m'a-t-elle dit.
Ce qu'elle a oublié de me préciser, du moins au début, c'est que les coachs sont des hommes. Et bien entendu elle a opté pour un coaching personnalisé. J'avoue que je ne me méfiais pas du tout au début, même si je la trouvais de plus en plus assidue. Elle faisait beaucoup de progrès, et elle était physiquement de plus en belle, mince et musclée comme il faut (son cul…). Elle y allait aussi de plus en plus tard le soir (la salle ferme à 22 heures). Et puis j'ai trouvé bizarre qu'elle commence à rentrer bien après la fermeture, vers 23 heures, alors que nous habitons pas très loin. J'ai commencé à avoir des doutes. J'ai fini par fouiler son sac de sport, certains soirs ces vêtements étaient totalement propres, alors qu'elle m'assurait revenir de la salle.
Et puis un soir nous avons discuté et elle m'a avoué qu'elle avait flirté avec son coach, et qu'il l'avait emmené boire un verre le soir après la fermeture. Il lui a fait des avances mais elle n'a pas cédé.
Alors je luis ai demandé pourquoi parfois ses affaires étaient propres alors qu'elle était censé avoir été à la salle. Elle a été très surprise que j'ai fouillé son sac mais elle ne pouvait plus nier l'évidence.
Elle m'a avoué qu'elle avait été chez lui à plusieurs reprises. Les premières fois il ne se passait rien et puis elle a fini par craquer. "Il m'a embrassé et puis on l'a fait". Je lui ai demandé si au moins il avait mis une capote et elle a répondu "Dans le feu de l'action on n'y a pas pensé". Bref elle m'assure que ce n'est arrivé qu'une fois… Je ne sais pas trop quoi penser à vrai dire, je suis perdu...
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Voilà où j'en étais resté... Je vais essayer de reprendre là ou je m'étais arrêté après cette fameuse nuit... Cela remonte à près de trois ans maintenant donc je vais essayer de relater les faits le plus justement, notamment tous les mots que nous nous sommes échangés, bien entendu je ne garantis pas que la retranscription soit exacte même si certaines phrases résonnent encore en moi, tellement elles étaient fortes en émotion.
Donc après que ma femme ait couché avec son coach (nous l'appelerons X.) nous avons longuement discuté de tout cela. J'étais très énervé, jaloux, et elle se sentait coupable, honteuse. Elle m'a dit qu'elle n'irait plus dans cette salle de sport, qu'elle s'inscrirait ailleurs. Néanmoins elle m'a demandé si elle pouvait aller voir X. pour tout lui expliquer, mettre les choses au clair avec lui et lui annoncer qu'elle ne le verrait plus. J'étais tout à fait d'accord et le lendemain elle devait aller à la salle pour en finir.
Le soir en question, je ne la voyais pas revenir et je commençais à m'inquiéter car il se faisait tard, et bien entendu elle ne répondait pas à mes appels ni à mes messages. Inquiet, Je me suis donc rendu à la salle de sport et on m'a annoncé ce que je craignais. X. était déjà parti, et bien avant la fermeture. J'ai demandé si il était parti avec une femme et je décrivais physiquement la mienne, la fille de l'accueil m'a regardé bizarrement et m'a dit :
- "Pourquoi ?"
-"Et bien parce que je crois qu'il est avec ma femme". La jeune fille a rougie et moi je n'en revenais pas d'avoir prononcé cette phrase.
Ne sachant pas où il habitait je suis rentré chez moi, inquiet, la boule au ventre, et en même temps je dois bien le reconnaitre, terriblement excité à l'idée que ma femme était avec lui, et qu'ils étaient, peut être, en pleins ébats.
Il était presque minuit lorsque mon téléphone a sonné. C'était ma femme. Le ton de sa voix était étrange, apaisé, serein. "Ne t'inquiète pas tout va bien. Je rentre." "Mais où es-tu ?" "Je suis chez X., je t'expliquerais." Et puis elle a raccroché sans me laisser le temps de réagir. Je suis resté là, bouche bée, le téléphone à l'oreille, pendant de longues secondes, sans savoir comment réagir.
Une demi-heure plus tard, la voilà qui rentre. Elle a l'air fatiguée mais en même temps paisible, comme ailleurs.
"Tu me dois des explications", dis-je énervé.
"Calme toi", me dit elle sur un ton autoritaire. "J'ai rompu avec X. Il a voulu qu'on le fasse une dernière fois. J'ai accepté. Je te rassure cette fois j'ai insisté pour qu'il mette une capote. T'es content ?". Tout dans son attitude, ses paroles, évoquaient une femme sûre d'elle et de son pouvoir de séduction qu'elle assumait pleinement. Il était évident qu'elle se fichait totalement de ce que je pouvais ressentir.
Je restais sans voix après ce qu'elle m'annonce, et surtout la façon dont elle me l'annonce. Elle a voulu profiter d'une dernière nuit avec son amant et elle y a pris du plaisir, et assurément elle n'a aucun remords. J'ai même le sentiment qu'elle est déçu que cela doive s'arrêter ainsi.
Je m'approche d'elle et la serre dans mes bras. "Je t'aime ma chérie. J'étais fou d'inquiétude, tu ne peux pas savoir. Je t'aime, je t'aime, je t'aime."
Je suis bouleversé par mes sentiments, il faut bien le dire, ambivalents. Excité par ce fantasme qui prend corps, et dans le même temps la peur de voir ma femme avec un autre et le risque de la perdre.
Je l'embrasse tendrement dans le cou et sur l'épaule. Je sens des odeurs inhabituelles.
Elle semble ailleurs.
"Je suis fatigué, je vais me coucher." dit-elle comme pour calmer mes ardeurs.
Elle se déshabille, je l'attends dans le lit. En se couchant elle éteint la lumière et s'endors.
Le lendemain matin, je me réveille le premier. Je ne fais pas de bruit. Je la regarde, encore endormie. Je la trouve si belle. Je repense à tout ce qui s'est passé la nuit précédente. Je bande.
Elle se réveille doucement. Je m'approche d'elle, je lui fais des petits bisous. Je la serre dans mes bras. Je ne l'ai jamais autant aimé.
Je dirige ma main entre ses jambes. Je colle ma bite contre sa cuisse. Elle sourit.
"T'es pas fâché ?" me demande-t-elle.
"Ma chérie, je t'aime tellement. J'ai eu si peur de te perdre cette nuit."
Je l'embrasse dans le cou, je descends rapidement entre ses seins, puis son ventre.
- "Tu veux bien me lécher dis ?"
-"Bien sûr ma chérie".
J'écarte ses jambes et commence par embrasser son sexe. Je sens des odeurs inhabituelles, et d'autres que je n'avais pas senti depuis longtemps, comme celle du latex, si particulière.
Elle commence à gémir.
"Et X. il t'a léché hier ?"
"Oh non. Tu sais ce n'est pas son truc. Il n'est pas très doué pour ça. Heureusement que tu es là."
Ce simple détail oh combien intime qu'elle me dispense avec un naturel désarmant, décomplexé, m'excite au plus haut point. Je la lèche de plus belle. Elle gémit de plus en plus fort.
Je remonte et j'approche mon sexe de l'entrée de sa chatte. "Je peux ?" C'est un petit rituel que nous avons mis en place depuis longtemps maintenant. Je lui demande toujours la permission avant de la pénétrer, révélant ainsi ma nature soumise.
"Oui, viens".
"Tu peux m'aider ?"
Elle prends ma queue et la glisse dans sa chatte. C'est une sensation délicieuse. Je commence à aller et venir en elle, tout en pensant au fait que X. était à ma place quelques heures plus tôt.
"Et X. il t'a prise comme ça ?"
"Oui" me dit elle, l'air triomphant en me regardant dans les yeux.
"Et sa bite, elle est plus grosse que la mienne ?"
Elle rit. "Oh mon pauvre chéri… Mais pourquoi tu veux savoir ça ?"
"Tu es ma femme, j'ai le droit de savoir. Alors elle est beaucoup plus grosse ?"
"Oui elle est plus grosse."
"Et quand je suis en toi, tu sens la différence ?"
"Oui c'est différent. C'est pas forcément mieux, juste différent".
Pendant que je m'active en elle, une question me brûle les lèvres. Je n'ai jamais réussi à la faire jouir par la pénétration, seulement en la léchant. J'ai peur de la réponse, mais je ne tiens plus.
"Est-ce qu'il t'a fait jouir ? Avec sa bite ? Est-ce qu'il t'a fait jouir pendant qu'il te pénétrait ?"
"Oh mon chéri, tu veux vraiment le savoir ? Tu ne vas pas te fâcher ?"
"Non dis le moi"
"Oui il m'a fait jouir". En apprenant cela, je suis complêtement tiraillé par mes désirs sexuels et le sentiment de honte que j'éprouve en sachant qu'il a réussi à faire ce que je n'ai jamais réussi.
"Chérie je ne tiens plus…"
"Oui tu peux venir si tu veux, tu l'as bien mérité".
"Merci mon amour"
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Voilà, je vais en rester là pour ce soir. Je repasserais raconter la suite si il y a de l'intérêt pour cela.
Vous pouvez m'envoyer vos MP, ma femme les lira aussi si besoin, en revanche nous ne recherchons pas d'hommes seuls donc messieurs ce n'est pas la peine de nous écrire.
