- 06 juin 2017, 16:47
#2037950
Bonjour à tous les cocus et cocufieuses du Sud-Ouest !
Qui suis-je ( pour faire simple) :
Jeune homme, plus très jeune, 32 ans et 8 cheveux blancs, 1m83 ( grand), 83 kg ( sportif quand le nutella ne reprend pas le dessus), brun, yeux noisettes.
Bavard ( ce message va être long préparez vous), pas timide ( sauf au début, quand il faut casser la glace, je n ai jamais de pique à glace sur moi ), bout en train, joueur, pas froid aux yeux, coquin jusqu au bout des poils qui sont rasés de près au visage et entretenue de très très près ailleurs
Je suis un canard migrateur du Sud-Ouest, je passe mon temps sur l'axe bayonne-Bordeaux-Toulouse-Montpellier.
Au gré des missions et des besoins de mes clients. Je loge donc dans de sympathiques auberges qui porte le nom d'I...is , et bien d'autres plus ou plus luxueuses ( oui merci patron pour les notes de frais ^^ )
Je suis en couple. Marié. Et ici en tant que célibataire cocufieur. Au moins j ai l'honnêteté ( et ce mot est important dans le caudalisme) de le dire. Nous reparlerons plus bas de ma démarche et de mon état d'esprit.
Mon experience:
Pour mes 25 ans, et las de draguer les mêmes étudiantes timides mais néanmoins coquines. Je trainais dans quelques forums libertins du sud-ouest curieux d'élargir mon état d'esprit et découvrir de nouvelles choses.
Je tombais sur ce couple ( Mr et Miss Smith les appellera t'on , 15 ans de plus que moi) bien sympathique avec qui nous nous échangeâmes quelques mails.
Le courant passant bien, nous nous retrouvâmes ( oui j'essaye de respecter les temps, mais je sens que je vais vite finir par écrire au passé et au présent !
) .... nous nous retrouvâmes donc devant un bar à tapas pour faire connaissance.
Madame, une belle femme-enfant super sexy me gratifia de deux bises bien appuyées au coins des lèvres et Monsieur, un bel homme viril, me serra la poigne les yeux dans les yeux.
Le serveur dur bar, au bout de quelques minutes était perdu. Il ne comprenait pas qui était qui. Mes mains baladeuses s'amusant déjà à taquiner le haut des cuisses de Madame, pendant que Monsieur l'embrassait.
L'ambiance était bon enfant, sympathique et nous décidâmes ( toujours cette conjugaison ) de nous diriger vers un club libertin du centre ville.
C'était des habitués. J'étais un peu novice.
Je me laissais donc guider par Madame pour un petit tour du propriétaire entrecoupé par quelques pauses câlins ( juste câlins).
Après un rapide apéro nous nous retrouvâmes sur la piste de danse, Madame et moi.
Sachez que je suis un bon danseur, bon déhanché, bon moove, quelques notions de tango, de rock, un bon déhanché zouk malgré ma peau plutôt clair l'hiver ( méditerranéen mais d'altitude
).
Je prenais un malin plaisir à la chauffer devant Monsieur et quelques autres hommes qui nous regardaient la salive au bord des lèvres. Ce fût pour moi un premier déclic.
Je ressentais vraiment du plaisir à faire cela devant le regard de son homme, il m'encourageait à aller plus loin. Elle devenait de plus en plus proche, nos mains se découvraient devant tout ce monde. Je passait mes mains sous sa jupe ( pas de culotte of course ! ) , elle tâtait à travers mon jeans une bosse déjà bien dure.
Nous continuâmes nos petits jeux dans les coins coquins et câlins au gré des instruments trouvés ) notre portée.
Son mari passait de temps en temps , la queue à la main ( une grosse quand même ! comme quoi ... ) et vérifiait que sa femme gémissait bien ( ma langue était très active ce soir la ).
Il repassait ensuite accompagné d'autres hommes qui n avaient pas le droit de nous approcher, et il regardaient.
Nous recommençâmes ce petit jeu quelques semaines plus tard dans d'autres club ( ce qui me permis à l'époque de découvrir ce petit monde, ces codes, ces habitudes...)
Monsieur se joignait de temps en temps à nous. J'étais toujours impressionné par sa grande queue, 21cm ! Je suis à un petit 17cm, mais épais avec un gros gland, mais lui alors... !
Mais la plupart du temps je virevoltais avec Madame, au son de la musique, de coins câlins en coins câlins.
Un soir après le salon Erotica, nous prîmes une chambre d'hotel.
Après quelques verres, quelques câlins, Madame commencait à bien être excité ( la langue y contribuant ). Pendant que j avais ma tête entre ces cuisses j entendis la porte claquer.
-" que ce passe t'il ? "
-" Continue mon chou, je lui ai demandé de partir et de nous laisser"
Cette phrase m'excita terriblement, je la léchais et je bandais fort. Elle le sentait et nous passâmes en 69.
Il a toujours été présent pendant que je la pénétrais, nous la pénétrions souvent à tour de rôle.
-" viens me prendre, maintenant qu il n'est plus la tu peux te lâcher" me dit elle.
Et j'avoue que j'étais beaucoup plus bestial que d'habitude, moins dans la retenue, je cherchais mon plaisir avant tout et elle aimait ca. Je lui glissais :
-" t'es vraiment pas sympa de l avoir mis dehors par ce froid" et " maintenant qu'il n est plus la, je ferais de toi ce que je veux"
Ces mots ne la laissaient pas insensible.
Après une heure de galipettes, et me suçant une dernière fois pour me faire jouir sur ses seins comme d'habitudes"
-" Tu sais, d'habitude c est uniquement mon homme que je fais jouir dans ma bouche, mais si tu ne veux ne pas me prévenir, sache que je t en voudrais pas" me dit elle en clignant d'un oeil.
Il en fallait pas plus pour faire monter le geyser. Je jouis instantanément de longues giclées dont les premières l'étouffèrent. Ces doigts malaxaient mes testicules et appuyaient sur mon périnée , sa main me branlait plus fort pour faire sortir le maximum de jus.
Elle me vida littéralement.
Nous restâmes ( continuons avec cette conjugaison baudelairienne) quelques instants figés. Puis nous éclatâmes de rire.
Mes premiers pas de cocufieur, j'étais fier de la baiser, de la faire jouir sans que son mari nous observe, je bandais plus fort, je l'avais pénétrés plus fort. J'avais jouis comme jamais. Et cela avec son consentement explicite. Elle n'osais pas encore mettre un mot sur cette situation, moi non plus. Mais la complicité et le plaisir était la.
Quelques semaines après, l'aventure s'arrêta brutalement sans explications. Et évidemment par respect pour leur couple, je n'insista point. Chacun sa vie
Conclusion:
Me voila donc dans un stade de ma vie ou je cherche à développer , à faire renaitre, à ré-expérimenter cette situation.
C est une partie de mon état d'esprit, une partie de moi que j 'ai longtemps enfoui pour mener un vie de couple tranquille. Maintenant il est temps de la faire ressortir.
En lisant ce forum, en découvrant le caudalisme, il n y a pas si longtemps, je me repassais cette aventure en boucle. Je découvrais que le plaisir psychologique de rentrer dans l intimité d un couple, le plaisir de satisfaire une femme en couple qui l'assume était ce que j'appréciais le plus. Ce petit jardin secret qui se crée est ce qui manque dans ma vie de tous les jours.
Le côté " humiliation" soft, est aussi important. Madame fait un cocu et je suis son amant.
Cette situation m'excite terriblement.
Alors certes je suis en couple. Cela pourrait poser problème ? NON ! j aime mon couple et ce qu'il représente pour moi.
Mais dans cette situation caudaliste ou je pourrais être amener à jouer un rôle, je pense être excité aussi par ma situation.
Une cocufieuse va priver son mari du plaisir de sa chair, pour offrir son corps, son minou, son cul à son amant. De manière exclusive ou non.
N'est il pas aussi excitant de savoir que son amant vous offre sa queue vigoureuse, sa semence, de manière aussi quasi exclusive privant ainsi surement une autre femme d'un plaisir total?
( non seuleument mon mec est cocu, mais mon amant préfère me baiser et garder son jus pour moi que pour sa femme....et bimm )
J'ai eu l occasion de vivre une situation quasi similaire étant étudiant. Une copine officielle, un plan cul officieux qui connaissait ma situation de couple et l acceptait.
Ma maitresse jouait de cette situation, une sorte de compétition invisible et prenait un malin plaisir à me vider le plus possible. Et psychologiquement j'étais légèrement dépendant de cette situation et je la satisfaisais mieux, plus longtemps... ( bizarre tout ca ^^ )
Mesdames, Messieurs qu en pensez vous ? ne trouvez vous pas cette situation excitante.
(caudalisme inversé... ? recherche de soumission de ma femme prude timide et chaste.. ? à discuter)
Au plaisir de vous lire , de vous rencontrer, de vous embrasser, de vous lécher ,de vous aimer ...
Vive la France et vive le Canard !
Qui suis-je ( pour faire simple) :
Jeune homme, plus très jeune, 32 ans et 8 cheveux blancs, 1m83 ( grand), 83 kg ( sportif quand le nutella ne reprend pas le dessus), brun, yeux noisettes.
Bavard ( ce message va être long préparez vous), pas timide ( sauf au début, quand il faut casser la glace, je n ai jamais de pique à glace sur moi ), bout en train, joueur, pas froid aux yeux, coquin jusqu au bout des poils qui sont rasés de près au visage et entretenue de très très près ailleurs
Je suis un canard migrateur du Sud-Ouest, je passe mon temps sur l'axe bayonne-Bordeaux-Toulouse-Montpellier.
Au gré des missions et des besoins de mes clients. Je loge donc dans de sympathiques auberges qui porte le nom d'I...is , et bien d'autres plus ou plus luxueuses ( oui merci patron pour les notes de frais ^^ )
Je suis en couple. Marié. Et ici en tant que célibataire cocufieur. Au moins j ai l'honnêteté ( et ce mot est important dans le caudalisme) de le dire. Nous reparlerons plus bas de ma démarche et de mon état d'esprit.
Mon experience:
Pour mes 25 ans, et las de draguer les mêmes étudiantes timides mais néanmoins coquines. Je trainais dans quelques forums libertins du sud-ouest curieux d'élargir mon état d'esprit et découvrir de nouvelles choses.
Je tombais sur ce couple ( Mr et Miss Smith les appellera t'on , 15 ans de plus que moi) bien sympathique avec qui nous nous échangeâmes quelques mails.
Le courant passant bien, nous nous retrouvâmes ( oui j'essaye de respecter les temps, mais je sens que je vais vite finir par écrire au passé et au présent !
) .... nous nous retrouvâmes donc devant un bar à tapas pour faire connaissance.Madame, une belle femme-enfant super sexy me gratifia de deux bises bien appuyées au coins des lèvres et Monsieur, un bel homme viril, me serra la poigne les yeux dans les yeux.
Le serveur dur bar, au bout de quelques minutes était perdu. Il ne comprenait pas qui était qui. Mes mains baladeuses s'amusant déjà à taquiner le haut des cuisses de Madame, pendant que Monsieur l'embrassait.
L'ambiance était bon enfant, sympathique et nous décidâmes ( toujours cette conjugaison ) de nous diriger vers un club libertin du centre ville.
C'était des habitués. J'étais un peu novice.
Je me laissais donc guider par Madame pour un petit tour du propriétaire entrecoupé par quelques pauses câlins ( juste câlins).
Après un rapide apéro nous nous retrouvâmes sur la piste de danse, Madame et moi.
Sachez que je suis un bon danseur, bon déhanché, bon moove, quelques notions de tango, de rock, un bon déhanché zouk malgré ma peau plutôt clair l'hiver ( méditerranéen mais d'altitude
).Je prenais un malin plaisir à la chauffer devant Monsieur et quelques autres hommes qui nous regardaient la salive au bord des lèvres. Ce fût pour moi un premier déclic.
Je ressentais vraiment du plaisir à faire cela devant le regard de son homme, il m'encourageait à aller plus loin. Elle devenait de plus en plus proche, nos mains se découvraient devant tout ce monde. Je passait mes mains sous sa jupe ( pas de culotte of course ! ) , elle tâtait à travers mon jeans une bosse déjà bien dure.
Nous continuâmes nos petits jeux dans les coins coquins et câlins au gré des instruments trouvés ) notre portée.
Son mari passait de temps en temps , la queue à la main ( une grosse quand même ! comme quoi ... ) et vérifiait que sa femme gémissait bien ( ma langue était très active ce soir la ).
Il repassait ensuite accompagné d'autres hommes qui n avaient pas le droit de nous approcher, et il regardaient.
Nous recommençâmes ce petit jeu quelques semaines plus tard dans d'autres club ( ce qui me permis à l'époque de découvrir ce petit monde, ces codes, ces habitudes...)
Monsieur se joignait de temps en temps à nous. J'étais toujours impressionné par sa grande queue, 21cm ! Je suis à un petit 17cm, mais épais avec un gros gland, mais lui alors... !
Mais la plupart du temps je virevoltais avec Madame, au son de la musique, de coins câlins en coins câlins.
Un soir après le salon Erotica, nous prîmes une chambre d'hotel.
Après quelques verres, quelques câlins, Madame commencait à bien être excité ( la langue y contribuant ). Pendant que j avais ma tête entre ces cuisses j entendis la porte claquer.
-" que ce passe t'il ? "
-" Continue mon chou, je lui ai demandé de partir et de nous laisser"
Cette phrase m'excita terriblement, je la léchais et je bandais fort. Elle le sentait et nous passâmes en 69.
Il a toujours été présent pendant que je la pénétrais, nous la pénétrions souvent à tour de rôle.
-" viens me prendre, maintenant qu il n'est plus la tu peux te lâcher" me dit elle.
Et j'avoue que j'étais beaucoup plus bestial que d'habitude, moins dans la retenue, je cherchais mon plaisir avant tout et elle aimait ca. Je lui glissais :
-" t'es vraiment pas sympa de l avoir mis dehors par ce froid" et " maintenant qu'il n est plus la, je ferais de toi ce que je veux"
Ces mots ne la laissaient pas insensible.
Après une heure de galipettes, et me suçant une dernière fois pour me faire jouir sur ses seins comme d'habitudes"
-" Tu sais, d'habitude c est uniquement mon homme que je fais jouir dans ma bouche, mais si tu ne veux ne pas me prévenir, sache que je t en voudrais pas" me dit elle en clignant d'un oeil.
Il en fallait pas plus pour faire monter le geyser. Je jouis instantanément de longues giclées dont les premières l'étouffèrent. Ces doigts malaxaient mes testicules et appuyaient sur mon périnée , sa main me branlait plus fort pour faire sortir le maximum de jus.
Elle me vida littéralement.
Nous restâmes ( continuons avec cette conjugaison baudelairienne) quelques instants figés. Puis nous éclatâmes de rire.
Mes premiers pas de cocufieur, j'étais fier de la baiser, de la faire jouir sans que son mari nous observe, je bandais plus fort, je l'avais pénétrés plus fort. J'avais jouis comme jamais. Et cela avec son consentement explicite. Elle n'osais pas encore mettre un mot sur cette situation, moi non plus. Mais la complicité et le plaisir était la.
Quelques semaines après, l'aventure s'arrêta brutalement sans explications. Et évidemment par respect pour leur couple, je n'insista point. Chacun sa vie
Conclusion:
Me voila donc dans un stade de ma vie ou je cherche à développer , à faire renaitre, à ré-expérimenter cette situation.
C est une partie de mon état d'esprit, une partie de moi que j 'ai longtemps enfoui pour mener un vie de couple tranquille. Maintenant il est temps de la faire ressortir.
En lisant ce forum, en découvrant le caudalisme, il n y a pas si longtemps, je me repassais cette aventure en boucle. Je découvrais que le plaisir psychologique de rentrer dans l intimité d un couple, le plaisir de satisfaire une femme en couple qui l'assume était ce que j'appréciais le plus. Ce petit jardin secret qui se crée est ce qui manque dans ma vie de tous les jours.
Le côté " humiliation" soft, est aussi important. Madame fait un cocu et je suis son amant.
Cette situation m'excite terriblement.
Alors certes je suis en couple. Cela pourrait poser problème ? NON ! j aime mon couple et ce qu'il représente pour moi.
Mais dans cette situation caudaliste ou je pourrais être amener à jouer un rôle, je pense être excité aussi par ma situation.
Une cocufieuse va priver son mari du plaisir de sa chair, pour offrir son corps, son minou, son cul à son amant. De manière exclusive ou non.
N'est il pas aussi excitant de savoir que son amant vous offre sa queue vigoureuse, sa semence, de manière aussi quasi exclusive privant ainsi surement une autre femme d'un plaisir total?
( non seuleument mon mec est cocu, mais mon amant préfère me baiser et garder son jus pour moi que pour sa femme....et bimm
)J'ai eu l occasion de vivre une situation quasi similaire étant étudiant. Une copine officielle, un plan cul officieux qui connaissait ma situation de couple et l acceptait.
Ma maitresse jouait de cette situation, une sorte de compétition invisible et prenait un malin plaisir à me vider le plus possible. Et psychologiquement j'étais légèrement dépendant de cette situation et je la satisfaisais mieux, plus longtemps... ( bizarre tout ca ^^ )
Mesdames, Messieurs qu en pensez vous ? ne trouvez vous pas cette situation excitante.
(caudalisme inversé... ? recherche de soumission de ma femme prude timide et chaste.. ? à discuter)
Au plaisir de vous lire , de vous rencontrer, de vous embrasser, de vous lécher ,de vous aimer ...
Vive la France et vive le Canard !
Coin Coin ,
