Ma femme aime devenir l'espace d'un moment une salope. Elle adore par exemple être considérée comme "un trou à jouir". Quand elle est avec un homme, elle aime qu'il se laisse aller, qu'il jouisse, qu'il la remplisse. Or beaucoup de mecs, veulent être des supers amants, alors ils se retiennent, se retiennent, et de s'offre pas...
Il y a souvent un malentendu entre ma chérie entend par "être une salope", et ses cavaliers. En fait, non, pas ses cavaliers, parce que je les ai bien choisis
, mais la plupart des hommes qui aimeraient se la taper.
Ma chérie aime être désirée par un autre, mais ne veut pas leur appartenir. Pour elle, avoir un amant, c'est construire une relation libertine, où on peut complètement se laisser aller. Le corollaire de l'abandon est la confiance. Surtout quand, son chéri, moi en l'occurrence, se délecte de la semence de ses amants...
Une fois cette confiance acquise, elle peut se déchaîner, et laisser libre cours à ses désirs. Elle est alors bien plus audacieuse que la plupart de ses cavaliers...
Et là, peu de cavaliers sont à la hauteur.
Ma femme est ma femme, je la possède, en la en a besoin, elle est la femme d'un homme. Je suis son maître, et en même temps j'ai besoin aussi d'être son soumis et de la regarder me déposséder.
Alors, ma
@PCS prend les habits d'une actrice. Le temps de se laisser aller, elle m'humilie, me montre qu'il est meilleur et qu'elle n'a envie que de lui...
Une fois, un ami libertin nous avait invités chez lui. Elle aimait se donner à lui. Ce soir-là, il venait de la prendre sans capote, nature. Elle s'était complètement laisser-aller, et il l'avait chevauchée sur son canapé, avant de venir sur ses grandes lèves. Ils étaient en phase de détente de repos. Ce moment doux et tendre que ma chérie adore. Elle était dans ses bras, contre lui, légèrement enlacée. J'étais juste à côté, contre elle, mais derrière elle, mon torse posé sur son dos. Sa chatte était ouverte, béante, accueillante. J'y ai introduit ma queue.
Elle n'a pas bougé. Elle est restée tournée vers notre ami, son amant du moment. Elle a fait semblant de ne pas me sentir en elle. J'allais et venais dans sa chatte. Je sentais à peine les parois de son vagin, tellement la grosse queue de son amant l'avait dilaté. Ma
@PCS en rajoutait par son absence de réaction. Elle feignait l'indifférence. Un jeu subtile, qu'elle maîtrise à la perfection...
On était bien, complice, emboîté l'un dans l'autre. Elle n'avait pas vraiment besoin de se forcer pour simuler, mais elle le faisait pour moi. Pas un soupir rien... Le plaisir de m'humilier...
Quel magnifique souvenir !...