- 16 juil. 2017, 01:22
#2051097
Wow. Merci d'abord, hein, votre dernière vidéo était comme un électrochoc, une sorte de condensé d'érotisme d'une pureté et d'une beauté... Et d'une tendresse aussi, j'allais dire paradoxalement mais non, d'une tendresse tout court, voilà.
Il y a les rythmes, il y a les corps : ces tétons, ce nombril, ce bassin qui ondule. Hmmm, j'en rebande rien que de l'écrire. Mais il y a aussi cette concentration, cette ardeur hédoniste, tendre - décidément - par moments ; cette intensité et elle n'est pas que le fait de Rebecca. Elle dirige la manoeuvre certes mais on doute que cela lui ferait un tel effet si ça ne suivait pas "dessous".
Comme la dernière fois que je vous ai écrit, le son me marque, me trouble, me ravit, fait naturellement grossir mon vit. Quelques cris, tranchants, et ces halètements qui se transforment en profondes expirations calquées sur les va-et-vient quand la belle enfonce et agite sa grotte. Puis ces trémolos dans la respiration. J'en suis tout vague, admiratif, partageant à distance un peu, une fraction de votre plaisir.
Et évidemment, le clou du spectacle, l'apothéose, ce qui vous vaut ma reconnaissance, mon admiration, ce qui me vaut, j'insiste, une bandaison trépidante - là, c'est moi qui halète -, les trois regards, successifs. Une perle, chacun, d'érotisme, de plaisir, de fidélité en fait. Elle regarde le filmeur, les voyeurs aussi du coup. Cela révèle ce qu'on supputait, que celui qui filme est tout à côté. Mais, à vrai dire, on n'osait y croire complètement jusque-là : sa femme, démontée, chevauche un type dans son propre salon et il est à cinquante centimètres, smartphone à la main ? Et oui. Et quel homme, et quel couple, et quelle surexcitante complicité.
Le premier regard, imprécis, épuisé un peu, complice, fier.
Le deuxième, tendre, synchrone, heureux.
Le troisième, tout ça à la fois mais une fraction de temps seulement car la jouissance la submerge, les coups de boutoir se font plus puissants, ciblés devine-t-on et il lui faut se reconcentrer, yeux fermés sur ses sensations et le sublime cocufiage qu'elle offre à notre réalisateur.
C'est juste magnifique. Comme document tout court, comme autel à la beauté ravageusement sensuelle de Rebecca, de ce que ça montre aussi de votre relation, candauliste, certes, mais, au fond (ou c'est en tout cas ce que je perçois), d'un romantisme fou.
Pour tout cela merci. Bravo. Mon regard à moi est ému, mon membre tremblant, mon coeur palpitant. Je mentirais, chers coquins, si je n'avouais pas, mais fièrement après tout, que parmi les litres de semence ou de cyprine que cette minute et quart extraira aux privilégiés qui fréquentent ces lieux, quelques gouttes seront assurément versées, et tendrement, par Alfred, votre admirateur et serviteur.