©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
Présentation des membres candaulistes et fils persos: Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

Chaque nouveau membre est donc en couleur bleue claire tant qu'il ne s'est pas présenté, et il ne peut donc pas créer d'autre sujet qu'une présentation. Plus de détail ici pour les nouveaux

Si la présentation est validée par les modérateurs ou @stephane (c'est à dire en bonne et due forme, avec quelques détails), le nouvel inscrit passera en couleur orange et aura accès à tout le forum.

Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#1613532
Je vais vous confier quelques expériences, pas toujours candaulistes mais qui parlent de moi... ;)

A celles qui savent faire dont est Mme de .......

J'atteste qu'il existe des magiciennes de cette pratique (la fellation) et illustrant mon propos je vais conter ici comment j'en ai été moi-même la proie.

Un après midi, nous étions avec quelques amis à discuter dans un salon cossu. Le lieu n'était pas complètement anodin, c'était plutôt un endroit où se retrouvent ceux qui se sont échappés de leurs activités quotidiennes, ceux qui traversant le miroir aiment à se retrouver dans un espace clos à l'orée de la rue, à mille lieues de son rythme. Les bougies, corsets lacés, les bas et les cravaches peuplent ce décor. Cependant, comme nous étions un groupe à nous connaître et surtout à nous retrouver occasionnellement, surtout pour certaines habitant sous des latitudes et longitudes que j'ignore, nous discutions banalement et riions tous ensemble. J'étais assis dans un fauteuil de moleskine verte, certains sur une banquette en cuir rouge, d'autres debout dont M.M à ma droite, tenant de sa main gauche la boucle de la laisse de sa soumise, une ravissante jeune fille aux cheveux longs, la peau claire et n'ayant reçu aucun fard ou apprêt, le regard innocent de celles qui ne le sont pas... Comme la discussion s'étiolait en d'interminables palabres que personne, je crois ne suivaient plus, comme le lieu sans doute motivait les sens de chacun, M.M commença à vouloir organiser les amusements. "Je veux décider de ce que va faire cette soumise, personne n'a le choix de se soustraire, je vais choisir..." Dans ce genre de contexte, non pas que je fuis la lumière et l'estrade, mais je redoute généralement d'être désigné pour un rôle que je n'ai pas choisi, même si celui-là est des plus exquis. Et donc, …, je sentis son regard, puis tous les regards, d'un mouvement léger de la main tel un habile cavalier menant sa fière monture il la dirigea vers moi, sans qu'aucun ordre ne fut prononcé. A mesure qu'elle approchait, à quatre pattes ondulant la croupe telle une féline aux aguets, le regard enjôleur et d'acier tout à la fois, je commençais à peser lourd, de plus en plus lourd dans mon fauteuil. "Avance, avance encore" alors qu'elle avait déjà le menton sur mes genoux. S'appuyant elle forçait le resserrement de ceux-ci et vint me renifler jusqu'à l'entre jambe, là où se situe l'âme de nos émois et tourments. Avec les dents elle réussit à attraper la boucle de la braguette et rejetant sa tête en arrière tel un chacal déchiquetant sa charogne elle réussit à la faire, peu à peu descendre complètement. En d'autres moments je n'aurais pu souhaiter plus grande émotion que ce visage si prêt de moi, de nous, ce souffle sur mon ventre, ces lèvres entrouvertes si proches de ma peau, mais en cet instant si j'avais pu me dissoudre et disparaître, je serais devenu champagne, soda ou flaque sur un fauteuil abandonné. Chacun le sait, la magie n'existe pas et somme toute, je n'ai pas eu à le regretter.
Je ne suis pas exhibitionniste mais je ne suis pas prude non plus, la nudité est un luxe que j'apprécie avec délice. Cependant il m'arrive de me dire que je me connais suffisamment bien pour anticiper mes réactions. Dans le cas présent, n'ayant pas la vocation de Rocco Sifredi ni ses dispositions, je ne percevais pas distinctement l'issue possible de cette situation. Je voyais l'humeur qui m'avait habité depuis le début de l'après midi fondre bien rapidement et bien que la position eut du avoir un effet érectile, elle ne l'avait pas. Tout en me regardant dans les yeux, elle attrapa mon sexe avec ses dents, délicatement comme une chatte relève ses petits et ses lèvres vinrent se refermer sur la partie la plus chère – je veux dire par là celle qui m'est la plus chère – de mon anatomie. Avec douceur et conviction, elle aspirait doucement mon sexe, resserrait sa bouche tout autour du gland sensible et délicat avec la lente détermination de ceux qui n'interrompent pas une tache sans l'avoir menée à terme. Il est sans doute une aisance, un savoir faire que je n'avais jusqu'à présent pas rencontré, mais le tourbillon sanguin qui affluait dans mon cerveau se dissipa également jusqu'à mon sexe qui se dressait se dressait de mon bonheur. Car on peut parler de bonheur quand une issue qui semblait ridicule se métamorphose en voluptueuse mise en scène. Hommage à celles qui savent faire.
Je l'ai croisée quelques semaines plus tard, elle dont le doux visage restera toujours l'emblême ravissant du tout est possible et elle m'a dit "Ne nous sommes nous pas déjà vu quelque part ?"

Jeanpipé
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#1614658
NHD a écrit :Ce n'est pas un récit désagréable à lire. 8-)
Tu risques néanmoins d'en intimider certaines plus novices dans le libertinage! :D



Ne pas se laisser intimider par quelques mots.... aucune rencontre n'est et ne doit être identique ;) mais l'occasion de se libérer un peu de ses freins, de se laisser aller à vivre ses désirs....

J'ai besoin d'un modèle pour me remettre à dessiner.. est ce plus ou moins intimidant ? ;)

Jeancroqueur
LESJOUEURS a liké
Avatar de l’utilisateur
par NHD
#1614866
jeanrp a écrit :...
J'ai besoin d'un modèle pour me remettre à dessiner.. est ce plus ou moins intimidant ? ;)

Jeancroqueur


Non, pas du tout. C'est même intéressant comme démarche. :)
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#1615690
NHD a écrit :
jeanrp a écrit :...
J'ai besoin d'un modèle pour me remettre à dessiner.. est ce plus ou moins intimidant ? ;)

Jeancroqueur


Non, pas du tout. C'est même intéressant comme démarche. :)


Ou comment joindre l'utile à l'agréable... prendre quelques poses, un verre à la main, se laisser découvrir lentement, laisser la musique dissoudre la pudeur inutile.....

Jeanlecrayonàlamain
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#1616539
Une histoire de sauna..

Les incorrigibles hommes seuls

Ayant eu besoin d'une forte décompression après quelques journées professionnelles un peu éprouvantes, je me suis rendu un soir à l'Hippocampe. J'aime la nudité, j'aime le hammam et le sauna, j'aime les corps qui se frôlent... Je suis parfois un peu "réservé" en club, certaines qui me connaissent le savent et le devinent, il se trouve que ce soir là je me sentais très bien ! Peu de monde au début, des caresses inachevées, des mecs qui vous poussent pour "passer devant".... J'aurais pu partir à ce moment là. Mais il y eu des mots drôles, de nouvelles caresses, un black au corps absolument sublime, un autre black avec un petit sexe, un fou rire pour avoir été un peu rapide... Pause, jacuzzi, hamamm...

Et alors que je somnolais dans les vapeurs chaudes, une femme est entrée, seule, mouvements sensuels, hanches ondulantes, s'est allongée sur le carrelage blanc.... Il est amusant comme parfois les hommes peuvent hésiter à tenter une caresse, comme ils peuvent rester contemplatif, de peur de brûler sans doute l'illusion du plaisir, préférant attendre et attendre... Mais il y aura toujours, au bout d'un certain temps de retenue, proportionnel sans doute à l'importance du désir, une main qui s'aventure à frôler un pied, une jambe et qui, non repoussée, sera suivie immédiatement d'autres mains avides, se déchainant comme suite au signal d'un clairon inaudible, la troupe, la meute des mains bataillant dans une course vers les replis les plus précieux du corps convoité. La chaleur poussa la troupe au dehors et je la retrouvai plus tard à l'étage, offerte au plaisir multiple, offrant et goûtant voluptueusement. Je m'immisçais dans le bal des caresses et peu bagarreur laissais d'autres consommer leur plaisir. Le mien était de sentir ce corps vibrer sous mes mains, de lire son visage entre plaisir et joie... Cela est ainsi souvent que les hommes ayant éjaculé se sentent soit de laisser leur place, ce qui est vrai car la demande est généralement pressante, soit de disparaître parfois avec un remerciement, souvent en silence, comme honteux ou repus, je ne le sais. Comme je la tenais dans mes bras, d'autres la caressant, je me pressais contre son dos respirant l'effluve de sa peau transpirante filtrée dans ses cheveux, elle s'appuyait contre moi, enfin contre celui qui la maintenait, je me glissais, forçais un peu, outrageant ce soir la, mais bonheur partagé. Puis je ne pouvais la quitter, j'ai aimé la regarder continuer sans moi et alors que la troupe décimée s'étiolait nous avons enlacé nos corps longtemps de caresses profondes et lascives, longtemps. Et puis nous avons parlé, j'ai parlé d'ici, de vous, nous avons ri. Plus tard d'autres m'ont dit qu'elle était belle et m'ont demandé si elle était ma femme ou compagne.

Hommes seuls, nous sommes souvent morts de faim, mufles, grossiers, maladroits mais parfois aussi nous aimerions croire que la vie en club est à l'image de la vie réelle. Quand je lui ai proposé de noter mon numéro de portable (!) et qu'elle n'en jugea pas la nécessité, je ne peux m'empêcher de dire et bien que n'en ayant pas montré, je crois le moindre signe, que j’en fus un peu attristé....
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#1668588
C'est fini la poésie

Je suis devenu tremblant devant mon écran, les courriers, les plans se sont mis à vaciller, cela est arrivé avec lenteur mais je me sentais peu à peu comme dans une gangue dont je n'aurais pu m'extraire, je nageais entre des eaux vertes et des eaux roses, je ne parvenais plus à comprendre ce qu'on me disait, je n'entendais plus le téléphone sonner et elle apparaissait là, nue sur les murs, j'entendais son râle joyeux, son sexe se promenait au plafond, alors j'ai laissé, laissé les autres partir et me laisser seul, laissé, car je ne pouvais lutter, ce désir si fort envahir mon corps, le tendre, le tordre sous l'emprise de cette bouche que je voyais ramper tout autour de moi et je me suis empoigné avec désespoir, ai masturbé ce vit révolté qui m'assaille et me harangue en continu, me détourne de mes tâches et j'ai joui triste de cette liqueur perdue que tu ne recueilleras pas.

JMeanbranle
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#1732574
Sports nautiques à Pigalle

Ce n'est pas vraiment candau, car son mari ne me l'a jamais confié, mais c'eût pu :)

Elle, nous nous croisons une ou deux fois par an, parfois plus quand elle passe à Paris. Nos discussions dérivent toujours autour des désirs, des fantasmes et de l'impossible. Il y a longtemps, nous avons presque fait l'amour dans une voiture devant chez elle mais nous fûmes interrompus par son mari et cela ne se reproduisit plus. Ce soir là, elle n'avait qu'une heure à m'accorder et comme toujours, j'accourrais pour ce rendez vous dans un grand café de Pigalle, elle ne voulait pas que je vois sa chambre d'hôtel à deux pas, la trouvant vraiment trop vilaine pour s'y retrouver. Ce pouvait être un compliment, c'était aussi une frustration. Elle me mena par la main loin de l'entrée à une table près des baies vitrées et nous nous assîmes côte à côte, face à la rue, légèrement en surplomb du fait des 2 marches qui donnaient accès à cette partie de la salle. La discussion était plutôt sage cette fois, elle me parlait de ses enfants, de sa vie de femme au foyer, du regard de certains parents dans ce quartier chic de cette grande ville du nord, elle est noire, elle porte un érotisme qui me fait frémir, même quand j'écris son visage, et comme elle me racontait ces réunions interminables au lycée elle avait glissé une main menue dans la poche de mon pantalon. Elle me demandait si la conseillère d'orientation avait raison de promettre une bonne école à son fils et en même temps promenait ses doigts à travers le tissu de coton sur mon ardeur emprisonnée... Je lui posais une main sur la cuisse mais fut rabroué, je me contentais, alors qu'allait et venait sa paume, de lui enlacer les épaules.
"- ne veux tu pas que je te raccompagne, ce serais plus prudent" souriais je mais comme je m'y attendais, elle me regarda avec son large sourire, elle m'embrassa presque furtivement, c'est à dire tel un baiser de cinéma des années 60, lent, précis, mais pas complètement voluptueux et se leva. Je n'ai jamais considéré les femmes comme des trophées à conquérir, je comprends parfaitement que le désir puisse ne pas être partagé, que l'amitié puisse suffire, que des mains qui se croisent puissent être les gages d'une bien grande complicité. Mais quand le désir est si parfaitement exprimé, avoué, les frissons de la peau qu'on explore, le frémissement de ces courbes enivrantes sur lesquelles se promener du sourcil aux orteils me semblent les prolongements naturels d'une amitié charnelle, et les bonheurs sont suffisamment rares pour que nous ne boudions pas ces moments qui s'offrent à nos sens. Mais elle fut brève et intraitable et je l'enlaçais sur le trottoir pour un adieu mélancolique. Comme elle me quittait prestement, je ne put retenir une vague immense qui m'envahissait, qui remontait profondément et que j'essayais de retenir quelques instants par pudeur, et me laissait déborder avec une soudaine violence par un immense fou rire, son pantalon clair brillait à la lumière des réverbères, il était complètement et largement détrempé aux alentours de son entrecuisse.

lesmésaventuresdeJean
Avatar de l’utilisateur
par PTBBZH
#1732622
Dans un monde où tout va très vite et où bien souvent le commun des mortels écrit en mode "texto" , il est bien agréable de lire une prose où la progressivité est de mise , où le langage est châtié (et sans faute) et où les tournures de phrase flattent le lecteur.
Merci Jean
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#1732820
Merci à vous pour ces commentaires... Je m'amuse avant tout et si c'est partagé, c'est super ! et à l'inverse d'Henry de Monfreid qui disait, j'ai fait des choses rien que pour pouvoir les raconter, moi j'aime vivre et parfois me replonger dans ces moments perdus et m'y retrouver un peu... il m'en reste encore quelques uns ...:)
Jeancompteur
sergio a liké
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#2150901
Une histoire qui s'est déroulée hier...

Il est des journées qui s'annoncent, malgré un air de printemps, sous le programme du travail, des dossiers à terminer, des appels impatients... et pourtant :)
Arrivé à mon atelier, je découvre un MP très inspirant, d'une jeune femme que je ne connais pas ...."Arriverons nous à nous frôler aujourd'hui...." Il m'arrive d'être de nature suspicieuse, imaginant toute sorte de machination, ne comprenant pas qu'elle peut être la motivation d'un pareil message, pourquoi m'est-il arrivé, par quelle erreur d'adressage.... mais bien sur je réponds :)
"Les jardins sont propices à quelques dévoilements...." femme efficace qui n'aime pas perdre son temps, elle a un moment à passer entre deux Rv et avant de quitter Paris.... Me voila à rêver d'abandonner mon écran d'ordinateur pour un carnet de croquis.... que j'oublie en partant....
C'est drôle comme quelques légers indices suffisent à repérer une jolie femme un dans un jardin :) "Vous attendez quelqu'un, peut être", lui dis-je, ce qui était stupide car n'importe quel dragueur de square aurait dit cela .... mais il n'y eu pas d'erreur et je la rejoignais sur son banc.... Le printemps, c'est pour tout le monde, et notamment les oiseaux qui se gavent de jeunes poussent qu'ils s'enfoncent bien profondément dans le gosier, ce qui provoque quelques... je vous passe les détails, nous dûmes nous sauver :)
Arpentant le square à la recherche d'un endroit où nous poser, à l'abri des regards, elle me poussa sur la pelouse contre un bosquet... Couvert d'un côté, assis dans l'herbe face à face, chacun observant les allées et venues et surveillant les regards inquisiteurs, nous primes nos marques.... et elle ouvrit légèrement ses cuisses pour me signifier qu'il n'y avait pas beaucoup de tissu sous sa déjà légère jupe.... Quel plaisir, en plein quartier chic, de découvrir son sexe si près, exhibé à mes seuls yeux, comme une offrande gourmande.... Je regardais discrètement car dans mon champs de vision un homme nous avait remarqué, il était dans son dos et pouvait deviner mes regards mais les siens, malheureux homme, ne pouvaient rien voir....
Donc elle était assise face à moi, jambes légèrement écartées qui se refermaient comme passaient des promeneurs dans l'allée derrière moi, je profitais de ce ravissant spectacle avec la frustration assez terrible de ne pouvoir m'allonger dans l'herbe et gouter cette jolie fleur...

Les règles d'une rencontre ne sont pas toujours écrites à l'avance, cela a déjà été, des limites précisées et... pas toujours respectées, mais dans le cas présent il s'agissait avant tout de jeux de regards dans un espace public, je coche des cases pour les archivistes de Bob.... Quand le désir prend le pas sur la bienséance, il est bien sûr primordial d'être certain que celui-ci est partagé, n'imaginant pas pouvoir être considéré comme essayant d'aller au-delà des envies de ma partenaire de jeu, au point qu'il m'a même été déjà reproché de n'avoir pas oser m'aventurer en des terrains où j'aurais été bien accueilli... Imperceptiblement nous nous rapprochions, je ne sais pas exactement qui fut à l'origine des mouvements de nos corps, peut-être furent-ils juste coordonnés, mais sa cheville se retrouvait contre ma cuisse, et mes doigts pouvaient se promener librement sur ses jambes, ses cuisses, jusqu'à se glisser sous sa jupe assez ample..... Un foulard ajusté, un sac bien placé permirent de nous isoler des regards, enfin d'interdire à tous la vue de ce que mes doigts découvraient.... Ainsi, dans ce square entouré de fleurs odorantes printanières, au milieu de passants, touristes, je découvrais de façon tactile le trésor qui m'avait été présenté... Il semble que l'excitation était partagée "vous pouvez aller un peu plus profond si vous le désirez" et tout en gardant -ou du moins en essayant- un visage impassible, je me contorsionnais discrètement je l'espère, pour glisser un, puis deux doigts en de profondes excursions.... En ce même temps elle consultait son mobile pour vérifier l'heure de son RV et tapotait le clavier dans un échange tout à fait ubuesque... Celui-ci du finalement mettre fin à nos échanges, nous traversâmes le jardin sous des regards que je ne pu décrypter, nous séparâmes sur un quai de métro et je pris celui-ci à l'inverse de ma destination ... j'étais encore, semble t-il, fort troublé....

Merci pour ce joli moment que j'espère partagé, je vous souhaite un agréable retour dans votre belle ville et.... vous savez où je suis :)

Jeangreffierdenosémois
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2206629
Mais ... Euh ... Il y a des choses fort bien écrites ici, j'étais passée à côté lors de mon archéologie forumesque 8-)
Il me tarde de découvrir la suite.
par Fifilipa33
#2206643
Bonsoir Jean <3
Tes récits un PUR délice ;)
Toujours aussi agréable de te lire, tu es un magicien et tes croquis que dire !
De véritable chefs d'œuvre.
J'espère que tu vas reprendre le fusain bientôt ;)
Encore merci à toi pour ces moments partagés
Belle soirée à toi <3
Fifi
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2206660
jeanrp a écrit :Chère Nymphette aux chaires alléchantes, ce sont vos récits qui m'ont donné envie de faire ressurgir ce post... pour qu'un jour, qui sait, nos récits se croisent ou se mélangent... ;)

Jeanquivouslit

J'en suis délicieusement gênée :oops: mais ce sera avec plaisir.
Avatar de l’utilisateur
par jeanrp
#2274348
@aswad95 un grand plaisir de me souvenir que nous nous étions croisés ici... c'était il y a longtemps, mais le temps se dissout au souvenir de si jolis souvenirs partagés depuis ensemble...
J'espère que vous allez bien et n'hésitez pas à envisager un bis repetita, avec ou sans quelques variantes ;)

Jeanpatientlapreuve

Notre boutique candauliste 100% sécurisée