20 Minutes de torture est ce si long?
Bon ok peut être un peu plus…
Je l’attache avec une bandelette de soie
D’abord une main, un noeud au poignet, l’extrémité enroulée à une lampe du lit, puis l’autre main idem, la soie passant derrière sa nuque.
Clairement, elle n’est pas attachée.
Mais ce n’est pas grave, elle doit obéir et c’est bien là tout l’exercice
Le jeu est avant tout cérébral
J’hésite à lui mettre son collier de soumise dont vous avez pu voir des photos l’an dernier.
Trop long de le positionner, et ce serait mieux qu’elle s’apprête avec elle même une prochaine fois.
Elle me regarde faire sans rien dire, probablement soulagée que je ne me sois pas servi des vraies menottes qui n’ont jamais servi.
On se sourit, puis je lui place son masque sur les yeux.
La voilà totalement à ma merci.
Je la laisse ainsi allongée pendant une bonne minute.
Elle m’entend bouger autour du lit.
J’installe les caméras sans bruit.
Puis j’ouvre le tiroir et fait en sorte que l’on entende bien une chaine en metal, un autre cliquetis métallique, autant de bruits inquiétants.
Enfin je pose un genoux près d’elle et bouge à son oreille telle des castagnettes, une petite roue de pics en acier.
Elle rigole et ne dit rien.
J’attrape la cravache en forme de petit coeur coté cuir et coté velours ainsi qu’une immense plume de paon responsable de la taille du colis d’un mètre.
Et je commence à jouer alternant les petites tapes de cravache et les caresses de plume.
Sur ses seins d’abord, puis son sexe et ses cuisses, n’osant pas vraiment me servir de la cravache.
Elle fait quelque remarques pensant qu’il s’agit d’un fouet et essaie de deviner ce que j’utilise.
Je ne dis rien. Elle s’amuse autant que moi.
Je prends alors la chaîne qui relie deux pinces à sein et la caresse avec le froid du metal.
Puis j’essaie de les lui accrocher.
Un conseil, entrainez vous avant c’est une vraie galère.
J’écarte les deux bouts d’une pince, mais l’écartement n’est pas suffisant et je dois pincer avec mes doigts le téton pour qu’il entre.
Je la vois grimacer, plus de peur d’avoir mal que de réelle douleur.
Je tente désespérément de faire tenir ce truc mais dès que j’essaie d’attacher l’autre, le premier tombe.
Un mécanisme permet de serrer un peu plus le téton mais je trouve que pour une première ça ira bien comme ça.
J’abandonne l’idée de m’acharner sur l’autre téton qui restera libre et je prends la roue à pics
Je joue avec la faisant rouler sur son ventre d’abord, puis ses seins.
Pas de réaction de sa part, ça marche pas ce truc.
J’appuie un peu plus et roule vers ses lèvres et là elle sursaute et me dit:
« Eh oh c’est quoi ça? Ah non non c’est pas du tout agréable!! »
Euh elle s’est crue dans un salon de massage ou quoi?
Je continue avec sur son sein libre et alterne avec la plume.
Je fais de même sur tout le corps ignorant ses remarques.
Puis je décide de positionner la dernière pince sur son téton libre.
- « Aïe ça fait mal! »
C’est pas gagné!
Je me penche alors et du bout des lèvres et de la langue je caresse ses tétons compressés.
Tiens j’ai trouvé une zone érogène, on dirait un chercheur d’or!
J’insiste quelques longues secondes passant de l’un à l’autre mordillant parfois.
Elle sursaute mais ne gémit pas encore
Je décide l’avoir assez fait souffrir et me penche sur son abricot lui offrant enfin un peu de douceur pendant une longue minute évitant au maximum son clitoris sauf pour quelques petits coups de langue bien dure.
Là elle commence à se tortiller et l’orgasme ne va pas tarder je le sais.
J’arrête la laissant au bord
Son bassin continue à bouger en vain.
La cravache de nouveau en main je lui ordonne d’ouvrir les cuisses en assénant quelques tapes appuyées cette fois ci sur l’intérieur de celles ci.
J’insiste jusqu’à ce qu’elle les ouvre comme je le souhaite et me place entre elles.
Je pince alors du bout des doigts ses tétons et de l’autre main lui glisse un doigt dans sa fente humide.
Je l’entends gémir mais ne sais pas ce qui provoque cela, du haut ou du bas.
- 06 sept. 2020, 01:58
#2454304
Je continue ainsi, cela fait maintenant déjà 10 minutes que l’on joue et le plaisir est maintenant visible pour nous deux.
Mes doigts entament des mouvements plus rapides et entrent brutalement en elle.
Elle est prête à me recevoir ainsi et exprime son plaisir d’une belle sonorité.
Ma paume claque sur sa chatte grande ouverte. J’aime ce bruit liquide et ça nous excite.
Je lui renverse les jambes totalement écartées et attaque son clitoris avec ma bouche alors que je pince en même temps ces tétons.
Je l’amène encore une fois au bord et décide de calmer le jeu en reprenant la cravache.
Je fais en sorte que chaque lobe de son magnifique petit cul ait sa fessée en appuyant toujours plus les tapes, coté cuir maintenant.
Puis j’arrête tout et prend mon portable pour une photo de cette position et commence à filmer l’interview.
- « Ta première impression c’est quoi? »
- (.. )
- « Tu réponds pas? »
- « C’est bon »
- « C’est bon? C’est bon comment? »
Tu as envie que je continue?
- « Oui »
- « Tu veux que je continue comment? »
- « Comme tu as envie! »
- « Comme j’ai envie? Tu me donnes carte blanche? »
- « Oui, totalement! »
- « Comment? »
- « Oui totalement!!! »
Je la laisse ainsi sans rien dire et me dirige vers la porte d’entrée de la chambre que j’ouvre et referme sur notre invité.
Mes doigts entament des mouvements plus rapides et entrent brutalement en elle.
Elle est prête à me recevoir ainsi et exprime son plaisir d’une belle sonorité.
Ma paume claque sur sa chatte grande ouverte. J’aime ce bruit liquide et ça nous excite.
Je lui renverse les jambes totalement écartées et attaque son clitoris avec ma bouche alors que je pince en même temps ces tétons.
Je l’amène encore une fois au bord et décide de calmer le jeu en reprenant la cravache.
Je fais en sorte que chaque lobe de son magnifique petit cul ait sa fessée en appuyant toujours plus les tapes, coté cuir maintenant.
Puis j’arrête tout et prend mon portable pour une photo de cette position et commence à filmer l’interview.
- « Ta première impression c’est quoi? »
- (.. )
- « Tu réponds pas? »
- « C’est bon »
- « C’est bon? C’est bon comment? »
Tu as envie que je continue?
- « Oui »
- « Tu veux que je continue comment? »
- « Comme tu as envie! »
- « Comme j’ai envie? Tu me donnes carte blanche? »
- « Oui, totalement! »
- « Comment? »
- « Oui totalement!!! »
Je la laisse ainsi sans rien dire et me dirige vers la porte d’entrée de la chambre que j’ouvre et referme sur notre invité.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 06 sept. 2020, 13:07
#2454348
C'est bien possible que j'en partage une mais comme il y a tout de même beaucoup de dialogue ce sera forcément un extrait non sonore... quoique la partie sur la fessée pourrait bien l'être sans pour autant qu'il y ait des voix..
Il va falloir être patient... peut être en décembre pour Noël
quinquadirectif a écrit :Superbe récit très bien ecrit et illustré.
Merci beaucoup pour le partage.
Une petite video??
C'est bien possible que j'en partage une mais comme il y a tout de même beaucoup de dialogue ce sera forcément un extrait non sonore... quoique la partie sur la fessée pourrait bien l'être sans pour autant qu'il y ait des voix.. Il va falloir être patient... peut être en décembre pour Noël
quinquadirectif a liké
- 06 sept. 2020, 13:10
#2454350
@sam17
Merci je trouve aussi!
Je ne sais pas ce que j'ai avec cette couleur mais s'il ne tenait qu'à moi elle porterait toujours du rouge... pourtant le bleu lui va à merveille aussi
, en fait tout lui va, c'est toujours compliqué de choisir dans une boutique de sous vêtements
Dionysos06 a écrit :Magnifique récit fourmillant de détails et rempli d'envie et de désir croissants. Madame en rouge est à croquer toute crue
@sam17
Merci je trouve aussi!
Je ne sais pas ce que j'ai avec cette couleur mais s'il ne tenait qu'à moi elle porterait toujours du rouge... pourtant le bleu lui va à merveille aussi
, en fait tout lui va, c'est toujours compliqué de choisir dans une boutique de sous vêtements
- 06 sept. 2020, 13:13
#2454352
Merci
Oui le contexte est prometteur et je dois dire porteur d'émotions fortes
Nous n'en restons pas moins des petits joueurs et il nous en faut peu pour être heureux
Mabelle24 a écrit :Fabuleuse suite de récits
Des photos d une miss soooo sexy
Des situations super exotiques d un couple découvrant de nouvelles sensations,de nouveaux jeux
Des barrieres tombent et vont co tinuer à tomber dans la découverte de nouveaux plaisirs
Merci de nous faire vivre cela à vos côtés
Merci
Oui le contexte est prometteur et je dois dire porteur d'émotions fortes
Nous n'en restons pas moins des petits joueurs et il nous en faut peu pour être heureux
Saxojaune a liké
- 06 sept. 2020, 16:12
#2454406
Aurais-je dû dire Mon invité?
Oui c’est un abus de langage.
Elle n’est pas au courant de la suite
Elle sait qu’un photographe du forum dont j’admire le travail devait venir mais il n’était pas disponible.
Ce n’est que partie remise je l’espère fin septembre
Elle ne s’attend donc pas à ce qu’une tierce personne se joigne à nous
Mais elle me connait assez pour savoir que s’il a pu se libérer à la dernière minutes j’aurai pu garder le secret puisqu’elle avait déjà dit oui pour qu’il vienne.
Mais elle me connait assez pour savoir que je ne lui mens pas non plus, donc lui ayant dit qu’il n’y aurait personne, c’est ce qui devait se passer.
Oui c’était certain, en entendant la porte s’ouvrir et se refermer elle allait se poser beaucoup de questions.
Douce torture que de s’imaginer qu’un autre était là alors qu’elle se trouvait dans cette position totalement offerte, les cuisses écartées, des pinces sur les seins. Mon dieu quel spectacle j’offre ainsi! Il n’osera pas!
Elle se ferait la liste de ceux que j’aurai pu inviter.
Est-ce notre ami X avec qui il partage parfois nos photos?
Celui qu’il a fait entrer dans nos jeux me demandant de m’adresser à lui dans une vidéo sur laquelle je me doigtais lui demandant s’il appréciait le spectacle. Quelle jouissance honteuse et délicieusement perverse ce jour là.
Non impossible, on avait dit qu’on ne passerait jamais à l’acte avec lui.
Alors qui?
J’entrai dans la chambre avec notre complice imaginaire et la contemplais en silence.
Je vous avais prévenu que c’était un jeu cérébral.
Il fallait maintenant qu’il devienne réalité pour elle.
Je m’approche du lit et du bout des doigts je commence à caresser son mollet droit simulant l’homme hésitant qui découvre ce corps.
Je remonte sur sa cuisse, son ventre, faisant un halte rapide sur ses seins et descendant tel l’impatient va direct au but sur sa petite chatte plantant une demi phalange pour estimer son excitation.
Bien sûr je reste là à jouer une quinzaine de secondes.
Elle tente de bouger une jambe pour me toucher mais je m’y attendais et m’écarte.
Je la connais et sais comment elle reconnait qui est qui lorsqu’on est trois.
Frustrée de n’avoir rien pu toucher qui réponde à son questionnement, elle me demande alors:
-« y a quelqu’un là? »
Je ne dis mot
Qui ne dit mot consent
J’attrape la plume et commence à jouer avec, sur l’intérieur de sa cuisse gauche.
En fait, je fais le ménage, comme si j’enlevai la poussière rapidement, passant d’un endroit à l’autre.
Elle comprend immédiatement que ce n’est pas moi et que quelque chose cloche.
- « On n’est pas que tous le deux? »
- (..)
- « Réponds moi!! »
Je continue mon ménage sans rien dire
Je suis très professionnel.
Imperturbable
Pour être tout à fait honnête j’avais très envie de rire
- « Réponds moi!! »
Pas un mot.
Je lance trois coups brefs sur ça chatte et change pour la cravache.
Je lui touche d’abord le genou par deux touches brèves
Puis trois sur l’intérieur d’une cuisse de façon plus appuyée auxquelles j’ajoute trois de plus identiques
Je fais ça comme si je frappais à une porte et attendais qu’on me répondre « Entrez! »
Immédiatement sur un ton doux et inquiet elle demande:
-« y a quelqu’un là? » et cherche à toucher de son pied la personne.
Je comprends alors qu’elle peut aussi s’imaginer que je l’ai laissé seule avec une tierce personne.
Je lui tape la cheville gauche et du bout de la cravache appui sur l’intérieur de chaque cuisse pour rouvrir ce qu’elle avait fermé.
Je reprends en mode marteau piqueur par série ultra rapide d’une dizaine de tape sur chaque intérieur de cuisse et termine sur sa chatte.
Je jette la cravache sur le lit et cela s’entend. Elle n’attend pas la suite et me questionne à nouveau inquiète.
-« réponds moi quand même! »
A ce stade elle doit s’imaginer que maintenant l’homme a assez joué avec ces jouets dont visiblement il n’a aucun plaisir à se servir et qu’il va passer à ce qu’il sait faire
Elle a besoin d’être rassurée sur ma présence au moins pour se laisser toucher
-« aller!!! »
Je m’approche d’elle sans dire un mot. Le mouvement sur le lit lui indique que je suis très proche d’elle.
-« aller réponds moi maintenant!! »
Je lui fais se reposer totalement la jambe gauche pour éviter qu’elle puisse me toucher avec et plier la jambe droite le pied contre son autre jambe.
Je commence alors à la doigter.
J’entre sans délicatesse un doigt en entier.
Elle est suffisamment préparée pour ça je le sais, mais ce n’est pas ma manière de faire et ça la surprend
J’enchaine les mouvements du doigt de plus en plus rapide comme un ado qui découvre l’intérieur d’une femme.
Je vois le plaisir arriver sur son visage
-« réponds moi… » le ton est maintenant moins catégorique et se perd dans un souffle
Je décide de changer mais reste dans le même registre.
Je retire mon doigt, en positionne deux et les entre fermement et très profondément en elle.
Puis je commence un va et vient régulier et profond que j’accélère avec une pénétration de plus en plus brutale.
Ça claque contre sa chatte trempée. Ses cuisses se sont libérées et ouvertes comme une fleur, son bassin commence à venir à la rencontre pour renforcer le choc, son souffle s’accélère, des gémissements sortent et 23 secondes auront suffit à voir venir son orgasme.
Elle emprisonne ma main entre ses cuisses pour que j’arrête
Je continue les doigts profondément encrés en elle à la masser de l’intérieur doucement mais fermement.
Elle se laisse aller et ondule à mon rythme pour faire durer son orgasme
Elle ouvre de nouveau ses cuisses se laissant aller à en voir venir un second s’il le faut
Et la petite sournoise en profite pour me reconnaitre d’une caresse du pied.
Un soupir de soulagement s’échappe alors et elle sourit.
Je me précipite sur sa bouche pour une galoche passionnée
Sa main droite s’est détachée pour vérifier ma coupe de cheveux avant qu’elle ne s’emballe à me rouler une pelle
Il est 20h30.
Cela fait deux heures que nous jouons
Elle a eu plusieurs orgasmes
J’ai toujours mon caleçon duquel ma queue a souvent essayé de s’échapper tel un poisson suicidaire dans son bocal trop étroit!
Oui c’est un abus de langage.
Elle n’est pas au courant de la suite
Elle sait qu’un photographe du forum dont j’admire le travail devait venir mais il n’était pas disponible.
Ce n’est que partie remise je l’espère fin septembre
Elle ne s’attend donc pas à ce qu’une tierce personne se joigne à nous
Mais elle me connait assez pour savoir que s’il a pu se libérer à la dernière minutes j’aurai pu garder le secret puisqu’elle avait déjà dit oui pour qu’il vienne.
Mais elle me connait assez pour savoir que je ne lui mens pas non plus, donc lui ayant dit qu’il n’y aurait personne, c’est ce qui devait se passer.
Oui c’était certain, en entendant la porte s’ouvrir et se refermer elle allait se poser beaucoup de questions.
Douce torture que de s’imaginer qu’un autre était là alors qu’elle se trouvait dans cette position totalement offerte, les cuisses écartées, des pinces sur les seins. Mon dieu quel spectacle j’offre ainsi! Il n’osera pas!
Elle se ferait la liste de ceux que j’aurai pu inviter.
Est-ce notre ami X avec qui il partage parfois nos photos?
Celui qu’il a fait entrer dans nos jeux me demandant de m’adresser à lui dans une vidéo sur laquelle je me doigtais lui demandant s’il appréciait le spectacle. Quelle jouissance honteuse et délicieusement perverse ce jour là.
Non impossible, on avait dit qu’on ne passerait jamais à l’acte avec lui.
Alors qui?
J’entrai dans la chambre avec notre complice imaginaire et la contemplais en silence.
Je vous avais prévenu que c’était un jeu cérébral.
Il fallait maintenant qu’il devienne réalité pour elle.
Je m’approche du lit et du bout des doigts je commence à caresser son mollet droit simulant l’homme hésitant qui découvre ce corps.
Je remonte sur sa cuisse, son ventre, faisant un halte rapide sur ses seins et descendant tel l’impatient va direct au but sur sa petite chatte plantant une demi phalange pour estimer son excitation.
Bien sûr je reste là à jouer une quinzaine de secondes.
Elle tente de bouger une jambe pour me toucher mais je m’y attendais et m’écarte.
Je la connais et sais comment elle reconnait qui est qui lorsqu’on est trois.
Frustrée de n’avoir rien pu toucher qui réponde à son questionnement, elle me demande alors:
-« y a quelqu’un là? »
Je ne dis mot
Qui ne dit mot consent
J’attrape la plume et commence à jouer avec, sur l’intérieur de sa cuisse gauche.
En fait, je fais le ménage, comme si j’enlevai la poussière rapidement, passant d’un endroit à l’autre.
Elle comprend immédiatement que ce n’est pas moi et que quelque chose cloche.
- « On n’est pas que tous le deux? »
- (..)
- « Réponds moi!! »
Je continue mon ménage sans rien dire
Je suis très professionnel.
Imperturbable
Pour être tout à fait honnête j’avais très envie de rire
- « Réponds moi!! »
Pas un mot.
Je lance trois coups brefs sur ça chatte et change pour la cravache.
Je lui touche d’abord le genou par deux touches brèves
Puis trois sur l’intérieur d’une cuisse de façon plus appuyée auxquelles j’ajoute trois de plus identiques
Je fais ça comme si je frappais à une porte et attendais qu’on me répondre « Entrez! »
Immédiatement sur un ton doux et inquiet elle demande:
-« y a quelqu’un là? » et cherche à toucher de son pied la personne.
Je comprends alors qu’elle peut aussi s’imaginer que je l’ai laissé seule avec une tierce personne.
Je lui tape la cheville gauche et du bout de la cravache appui sur l’intérieur de chaque cuisse pour rouvrir ce qu’elle avait fermé.
Je reprends en mode marteau piqueur par série ultra rapide d’une dizaine de tape sur chaque intérieur de cuisse et termine sur sa chatte.
Je jette la cravache sur le lit et cela s’entend. Elle n’attend pas la suite et me questionne à nouveau inquiète.
-« réponds moi quand même! »
A ce stade elle doit s’imaginer que maintenant l’homme a assez joué avec ces jouets dont visiblement il n’a aucun plaisir à se servir et qu’il va passer à ce qu’il sait faire
Elle a besoin d’être rassurée sur ma présence au moins pour se laisser toucher
-« aller!!! »
Je m’approche d’elle sans dire un mot. Le mouvement sur le lit lui indique que je suis très proche d’elle.
-« aller réponds moi maintenant!! »
Je lui fais se reposer totalement la jambe gauche pour éviter qu’elle puisse me toucher avec et plier la jambe droite le pied contre son autre jambe.
Je commence alors à la doigter.
J’entre sans délicatesse un doigt en entier.
Elle est suffisamment préparée pour ça je le sais, mais ce n’est pas ma manière de faire et ça la surprend
J’enchaine les mouvements du doigt de plus en plus rapide comme un ado qui découvre l’intérieur d’une femme.
Je vois le plaisir arriver sur son visage
-« réponds moi… » le ton est maintenant moins catégorique et se perd dans un souffle
Je décide de changer mais reste dans le même registre.
Je retire mon doigt, en positionne deux et les entre fermement et très profondément en elle.
Puis je commence un va et vient régulier et profond que j’accélère avec une pénétration de plus en plus brutale.
Ça claque contre sa chatte trempée. Ses cuisses se sont libérées et ouvertes comme une fleur, son bassin commence à venir à la rencontre pour renforcer le choc, son souffle s’accélère, des gémissements sortent et 23 secondes auront suffit à voir venir son orgasme.
Elle emprisonne ma main entre ses cuisses pour que j’arrête
Je continue les doigts profondément encrés en elle à la masser de l’intérieur doucement mais fermement.
Elle se laisse aller et ondule à mon rythme pour faire durer son orgasme
Elle ouvre de nouveau ses cuisses se laissant aller à en voir venir un second s’il le faut
Et la petite sournoise en profite pour me reconnaitre d’une caresse du pied.
Un soupir de soulagement s’échappe alors et elle sourit.
Je me précipite sur sa bouche pour une galoche passionnée
Sa main droite s’est détachée pour vérifier ma coupe de cheveux avant qu’elle ne s’emballe à me rouler une pelle
Il est 20h30.
Cela fait deux heures que nous jouons
Elle a eu plusieurs orgasmes
J’ai toujours mon caleçon duquel ma queue a souvent essayé de s’échapper tel un poisson suicidaire dans son bocal trop étroit!
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 07 sept. 2020, 12:20
#2454729
Je suis un ange qui aime mettre le feu!
C'est un petit démon qui aime se faire passer pour un ange!
Nous sommes en train de construire notre purgatoire.
sbe4 a écrit :Je suis fan de ce récit aussi érotique qu’envoûtant le scénario est délicieusement diabolique
Je suis un ange qui aime mettre le feu!
C'est un petit démon qui aime se faire passer pour un ange!
Nous sommes en train de construire notre purgatoire.
jeanrp a liké
- 07 sept. 2020, 14:40
#2454766
Si jamais t'as besoin d'un coup de main pour planter des clous dans les planches n'hésites pas mon marteau est toujours dispo
OnPlay a écrit :sbe4 a écrit :Je suis fan de ce récit aussi érotique qu’envoûtant le scénario est délicieusement diabolique
Je suis un ange qui aime mettre le feu!
C'est un petit démon qui aime se faire passer pour un ange!
Nous sommes en train de construire notre purgatoire.
Si jamais t'as besoin d'un coup de main pour planter des clous dans les planches n'hésites pas mon marteau est toujours dispo
- 07 sept. 2020, 19:01
#2454859
Tu es trop gentil
sbe4 a écrit :OnPlay a écrit :
Je suis un ange qui aime mettre le feu!
C'est un petit démon qui aime se faire passer pour un ange!
Nous sommes en train de construire notre purgatoire.
Si jamais t'as besoin d'un coup de main pour planter des clous dans les planches n'hésites pas mon marteau est toujours dispo
Tu es trop gentil
- 07 sept. 2020, 19:04
#2454860
Bien la suite est vraiment sans intérêt...
Elle a disparu dans la salle de bain et est revenue avec un vieil ensemble de lingerie et s'est soudainement mise à danser!
Elle a disparu dans la salle de bain et est revenue avec un vieil ensemble de lingerie et s'est soudainement mise à danser!
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 08 sept. 2020, 08:49
#2454968
d'autant plus qu'elle ne m'avait jamais fait ça de manière spontanée
Son regard en disait long sur ses intentions
Elle a continué debout sur le lit alors que j'étais allongé sous elle
J'ai eu le droit à sa plus belle attention lorsqu'elle m'a retiré mon caleçon
Elle prenait son temps, me regardait droit dans les yeux, jouant avec sa langue comme j'aime la voir faire
Puis elle s'est empalée à son rythme jusqu'à libération de sa tension
freebedon a écrit :Euh..sans interet ..on ne trouve pas du tout..elle est tres sympa cette petite danse
d'autant plus qu'elle ne m'avait jamais fait ça de manière spontanéeSon regard en disait long sur ses intentions
Elle a continué debout sur le lit alors que j'étais allongé sous elle
J'ai eu le droit à sa plus belle attention lorsqu'elle m'a retiré mon caleçon
Elle prenait son temps, me regardait droit dans les yeux, jouant avec sa langue comme j'aime la voir faire
Puis elle s'est empalée à son rythme jusqu'à libération de sa tension
- 08 sept. 2020, 13:39
#2455044
Fin de soirée
La danse se termine sur une superbe fellation suivie d’une chevauchée fantastique sur mon membre douloureux.
Je la regarde prendre son plaisir en jouant avec ses tétons surexcités
Elle s’effondre enfin dans mes bras et nous restons ainsi de longues minutes l’un contre l’autre.
Il est 21h30, nous commandons des pâtes au service d’étage qui nous dresse la table laissant nos plats au chaud et le rosé au frais dans un seau à glace.
Je sors la bouteille de champagne du frigidaire la plongeant dans la glace avant de suivre ma belle dans la salle de bain.
Je la trouve rêveuse se caressant avec le jet d’eau allongée dans la baignoire de l’immense salle de bain.
Une douche italienne toute aussi grande est à l’entrée et me donne des idées de photos
On verra plus tard si on a l’énergie pour.
J’ouvre la fenêtre du balcon et referme derrière moi avant d’allumer une cigarette.
Je suis comme un voyeur l’admirant dans son intimité et m’amuse à prendre quelques clichés
Les rideaux sont tirés mais suffisamment transparents pour la voir en ombre chinoise si elle devait se lever
Quel beau spectacle cela donnerait le matin, fenêtres grandes ouvertes vu du parc.
Il nous faudrait plusieurs jours dans ce lieu magique pour profiter de tout cela.
Nous dinons, complices comme rarement la vie de famille nous y autorise, chahutant parfois, je redécouvre ma femme comme une adolescente libérée de toutes contraintes et profitant du moment.
Elle est merveilleusement belle quand elle est elle même ainsi.
Cela fait parti des moments hors du temps que l’on aimerait ne jamais voir s’arrêter alors que le coté éphémère en fait tout le charme.
Fin du diner, le service d’étage récupère sa table et laisse le sceau à glace, nous nous servons un verre et discutons.
Le passé, l’avenir, ce genre de discussion est toujours un moment délicat qui peut transformer une belle soirée en hôtel des culs tournés.
Nous abordons le sujet du candaulisme et contre toute crainte elle me confirme que je peux organiser une soirée en septembre et me lancer dans la recherche d’un complice.
Elle participera à la sélection me dit elle.
J’en doute fortement la connaissant.
La suite me donnera raison quelques jours plus tard mais là encore elle me surprendra.
Excité je lui demande de me raconter une anecdote avec l’un de ses amants.
Elle hésite et commence à se caresser
Elle n’aime pas me raconter comment elle a vécu les choses avec un amant.
Elle reste très pudique sur le sujet.
-« aller! je veux que tu te branles et que tu me racontes une histoire »
Demandé comme ça, ça fait un peu gamin qui fait son caprice en demandant une histoire à sa baby-sitter avant de dormir non?
-« que tu me branles et que tu me racontes une histoire?!? » me dit-elle provocatrice
J’éclate de rire. Je sais qu’elle essaye de faire le clown pour échapper à l’exercice.
-« non, que tu te branles et me racontes une histoire… et après je te prends sur le balcon! »
Elle se love alors contre moi, joueuse et provocante, me regarde, sa main sur mon sexe en demi érection;
-« avant d’aller sur le balcon il faut que tu vérifies si j’ai la bonne température.. » dit elle écartant grandes les cuisses
Je ne l’ai jamais vu aussi joueuse et complice depuis des années. Peut être lorsqu’on était gamins.
-« (..)
-« Si j’ai pas la bonne température je pourrais pas sortir! »
Je comprends alors qu’elle se comporte à cet instant comme elle le faisait avec l’un de ses amants avec qui elle était très complice.
Le ventre serré par un pic de jalousie je tends la main et entre un doigt pour prendre sa température.
-« pas assez mouillée! Pas le choix il faut que tu me racontes une histoire! »
Sous entendu avec lui tu étais forcément beaucoup plus prête que ça niveau température
-« ah bon? Pourtant … il a l’air de s’être passé des choses là dans mon corps.. » fait elle entrant facilement ses doigts en elle
Je décide alors d’une autre stratégie et de rejouer un moment que je connais de leur intimité.
Je me lève et debout sur le lit je me masturbe au dessus d’elle.
Je sais qu’ils s’offraient souvent ce genre de spectacle et qu’elle aimait le voir jouir sur elle.
C’est quelque chose que je ne faisais jamais, jouir sur elle, préférant me libérer en elle, jouissant au même moment.
Elle comprends alors mon intention et son regard s’allume d’un soudain intérêt pour ce nouveau jeu.
-« je vais t’éjaculer dessus »
-« si tu veux » dit elle avec un large sourire
-« je vais t’en mettre partout, même sur le visage »
-« vas-y c’est pas moi qui fait la lessive! »
-« raconte moi maintenant.. »
A ce moment le défi est lancé et l’intéresse.
Elle ne m’a jamais vu jouir sur elle, sur son ventre pendant qu’elle se masturbe.
Quelques jours auparavant elle a connu sa première faciale mais on avait fait l’amour suivi d’une fellation et c’était donc en finition.
Là c’était différent, elle allait me donner envie de la baiser rien qu’en se masturbant devant moi et allait voir pour la première fois mon éjaculation.
Je ne savais pas à quel point elle était aussi voyeuse que moi de voir le plaisir de l’autre monter jusqu’à la jouissance.
Une nouvelle pointe de jalousie me transperçait le ventre.
Elle avait refusé de découvrir ça avec moi et l’avait découvert avec un autre.
Lorsqu’on découvre que sa femme a plus de complicité avec un autre c’est pire que lorsqu’elle prend plus de plaisir.
Mais ce qui est paradoxal est que le plaisir qui vient ensuite est proportionnel au coup de poignard dû à la jalousie.
Un profond soulagement de désir à l’idée qu’elle allait maintenant le partager avec moi m’envahissait alors.
-« je me branlais devant lui là…il aimait me voir faire ça… » me dit elle se caressant de plus belle
Je me masturbais face à elle profitant du spectacle comme si j’étais cet amant
Elle me regardait droit dans les yeux revivant l’instant passé.
J’admirai ce regard qu’elle lui avait porté trop heureux d’y avoir droit moi aussi
-« (..) ma gorge se serrait d’excitation et de jalousie mêlée.
Toujours ces émotions délicieusement contradictoires qui telle une drogue me rendent dépendant d’elle.
-« il voulait voir mes doigts entrer profondément en moi …»
-« .. »
Elle continuait, trempée, le bruit du clapotis s’accélérant au rythme de sa pénétration, douce musique aphrodisiaque.
-« ça lui donnait envie de me baiser! C’est ça qui excite… ça t’excite ce bruit.. c’est ça que tu veux voir!»
-« … » fasciné par le spectacle j’étais incapable de dire un mot
-« tu aimes? Ça t’excite ça! »
-« et toi?» J’étais étonné et subjugué de voir à quel point elle aimait me regarder prendre mon pied. Elle regardait alternativement ma queue et mes yeux cherchant à me provoquer.
Pour la première fois je découvrais ma femme avide de recevoir la concrétisation de l’effet qu’elle produit sur un homme.
-« oui j’aimais ça le faire comme ça devant lui, ça lui donnait envie de me baiser»
-« de te baiser… comment? »
-« fort.. » ses yeux en disaient long sur son plaisir. Elle plutôt discrète sur ce qu’elle vivait lorsqu’elle faisait l’amour avec un autre, incapable jusqu’alors de partager ses émotions avec moi, se découvrait provocante et terriblement excitée à rejouer la scène.
Mon rêve se réalisait.
Enfin elle comprenait mon plaisir candauliste de l’entendre partager ce petit jardin jusqu’alors tenu secret.
Elle n’avait plus peur de me blesser.
Elle comprenait enfin qu’elle m’offrait le plus puisant des plaisirs en partageant cela.
J’étais au comble du bonheur.
-« vraiment? » je me place en face d’elle, le sexe tendu à l’entrée
-« oui très fort, profond… » et ses doigts s’engouffraient avec brutalité en elle
Je la pénétrai alors d’un grand coup de rein entrant entièrement ma queue sans ménagement
Son râle de satisfaction me confirmait que c’est ce qu’elle attendait
Surprise que j’aille si loin elle eut un petit mouvement de recul mais je la maintins fermement accélérant le mouvement
-« c’est comme ça qu’il te baisait?
-« oui plus fort.. »
-« .. » je pilonnais alors dur comme la pierre son vagin détrempé.
Je savais que son amant d’alors finissait par débander la plus part du temps n’arrivant pas à maintenir son érection pour lui permettre de jouir.
Mais lorsqu’il parvenait à garder une semi érection suffisante, rarement, elle prenait alors un pied d’enfer qu’elle ne prenait pas avec moi.
A ce rythme, je ne débande jamais, et cela peut lui faire mal si je vais trop loin, mais lorsqu’elle est surexcitée par des longs préliminaires comme aujourd’hui je ne vais jamais assez loin pour elle.
Mon problème est alors de réussir à contenir mon éjaculation sans casser le rythme suffisamment longtemps.
Je soupçonne son amant d’alors d’avoir eu le même problème voire même d’être éjaculateur précoce et de le lui avoir caché.
Elle se retrouvait alors la plus part du temps frustrée obligée de se masturber devant lui pour atteindre enfin l’orgasme alors qu’il tentait de donner le change en faisant la même chose face à elle, la nouille en réanimation pendant de longues minutes, ce qui au fur et à mesure de leur relation à fini par étouffer leur complicité d’amants.
Dans ces trop rares moment où nous pouvons prendre le temps de longue préparation elle est insatiable et pourrait recevoir des hommes avec des calibres qui la feraient fuir en temps ordinaire du quotidien.
Je me concentrais pour ne pas éjaculer essayant de penser à des trucs qui me ferait débander.
Mais on ne se refait pas, en bon candauliste voyeur de surcroît, j’insistais pour qu’elle me raconte:
-« tu lui disais quoi quand il te baisait comme ça? »
-« je lui disais baise moi.. »
-« … »
-« oui vas y… comme ça »
-« .. »
-« encore.. encore.. vas y baise moi… baise moi.. »
Elle était maintenant comme avec lui ce jour là et je me trouvais transporté dans le corps de cet amant observant ma femme s’abandonner à lui.
Elle continuait à lui parler, réclamant de plus en plus fort, usant de ses mots crus, jusqu’à l’explosion de son orgasme.
-« tu n’as pas jouit? » me dit elle surprise.
-« non pas encore… »
D’habitude on se serait arrêté là
Mais elle n’avait pas atteint son objectif de me voir me libérer sur elle.
Je savais qu’elle voulait vivre ça et ne pas rester sur cet échec.
« Prends toi un gode. Je vais continuer à me masturber au dessus de toi..»
-« eh mais moi j’en peux plus!! »
Je connais ma femme, quand elle est dans cet état là, elle s’écroule mais la moindre caresse la fait repartir.
Il faut simplement ne jamais la laisser se refroidir.
Son amant a dû croire qu’il était un dieu lorsqu’après deux ou trois rapport d’affilé ils s’écroulaient repus de plaisir.
C’était vrai, elle était satisfaite dans ce moment là et en même temps c’était faux car elle s’adapte à ce qu’on lui offre.
Et lorsqu’un amant se contente de l’entendre dire qu’elle est KO, c’est que c’est le début de la routine qui s’installe.
Je me souvenais l’avoir prise sans interruption plus d’une dizaine de fois il y a très longtemps.
Je n’en serai plus capable aujourd’hui, mais elle si.
Je lui tends un gode.
Elle commence à jouer avec et je recommence à lui demander de me raconter comment il la baisait.
Cette fois ci elle ne se fait pas prier et me raconter exactement la même chose avec les mêmes mots qui la transportent encore une fois jusqu’à l’orgasme.
-« Vas y prends moi… mets la moi… » dit elle s’enfonçant son gode de plus en plus fort
-« (..) »
-« je viens… je viens… » serrant alors les cuisses sur l’engin elle étouffe son orgasme dans une grimace de plaisir.
La petite mort porte bien son nom.
« Et toi toujours pas!!! » me dit elle contrariée
Je ne lui ferai pas ce plaisir d’éjaculer sur elle.
Je tiens à garder son désir de me voir craquer intact pour profiter longtemps de son besoin de défi.
Elle s’écroule visiblement satisfaite et repue de plaisir.
Je ne me laisse avoir.
-« viens sur le balcon… je vais te baiser dehors.. »
Elle se lève souriante et sans aucune hésitation enfile son peignoir pour aller se positionner contre la balustrade et me tendre son petit cul pour une bonne levrette.
Inutile de vous dire qu’elle fut aussi courte que bonne, jouissant en même temps nous restons soudés l’un à l’autre comme deux amoureux profitant de la vue sans limite au paradis
Il est 1h du matin nous nous réfugions au chaud sous la couette pour un sommeil bien mérité.
Aujourd’hui il me suffit de quelques secondes à regarder un extrait du film tourné ce jour là dans lequel elle rejoue son coït complice avec son amant pour exploser ma jouissance.
Oui nous sommes bizarres nous les candaulistes avec cette prédominance du cérébral et ce n’est vraiment pas facile tous les jours pour les femmes qui nous aiment d’être notre complice à la fois bourreau et amante, la maitresse idéale tout en étant l’épouse et la mère de nos enfants.
Je les admire tant pour cela.
Quelle chance nous avons d’être aimé par elles.
Maintenant il est temps de s’occuper de la soirée prévue fin septembre
Un dernier petit rdv demain et toute la logistique et sélection des candidats sera terminée je l’espère
Rdv en Octobre pour la suite de notre journal candauliste.
Merci de nous avoir lu
La danse se termine sur une superbe fellation suivie d’une chevauchée fantastique sur mon membre douloureux.
Je la regarde prendre son plaisir en jouant avec ses tétons surexcités
Elle s’effondre enfin dans mes bras et nous restons ainsi de longues minutes l’un contre l’autre.
Il est 21h30, nous commandons des pâtes au service d’étage qui nous dresse la table laissant nos plats au chaud et le rosé au frais dans un seau à glace.
Je sors la bouteille de champagne du frigidaire la plongeant dans la glace avant de suivre ma belle dans la salle de bain.
Je la trouve rêveuse se caressant avec le jet d’eau allongée dans la baignoire de l’immense salle de bain.
Une douche italienne toute aussi grande est à l’entrée et me donne des idées de photos
On verra plus tard si on a l’énergie pour.
J’ouvre la fenêtre du balcon et referme derrière moi avant d’allumer une cigarette.
Je suis comme un voyeur l’admirant dans son intimité et m’amuse à prendre quelques clichés
Les rideaux sont tirés mais suffisamment transparents pour la voir en ombre chinoise si elle devait se lever
Quel beau spectacle cela donnerait le matin, fenêtres grandes ouvertes vu du parc.
Il nous faudrait plusieurs jours dans ce lieu magique pour profiter de tout cela.
Nous dinons, complices comme rarement la vie de famille nous y autorise, chahutant parfois, je redécouvre ma femme comme une adolescente libérée de toutes contraintes et profitant du moment.
Elle est merveilleusement belle quand elle est elle même ainsi.
Cela fait parti des moments hors du temps que l’on aimerait ne jamais voir s’arrêter alors que le coté éphémère en fait tout le charme.
Fin du diner, le service d’étage récupère sa table et laisse le sceau à glace, nous nous servons un verre et discutons.
Le passé, l’avenir, ce genre de discussion est toujours un moment délicat qui peut transformer une belle soirée en hôtel des culs tournés.
Nous abordons le sujet du candaulisme et contre toute crainte elle me confirme que je peux organiser une soirée en septembre et me lancer dans la recherche d’un complice.
Elle participera à la sélection me dit elle.
J’en doute fortement la connaissant.
La suite me donnera raison quelques jours plus tard mais là encore elle me surprendra.
Excité je lui demande de me raconter une anecdote avec l’un de ses amants.
Elle hésite et commence à se caresser
Elle n’aime pas me raconter comment elle a vécu les choses avec un amant.
Elle reste très pudique sur le sujet.
-« aller! je veux que tu te branles et que tu me racontes une histoire »
Demandé comme ça, ça fait un peu gamin qui fait son caprice en demandant une histoire à sa baby-sitter avant de dormir non?
-« que tu me branles et que tu me racontes une histoire?!? » me dit-elle provocatrice
J’éclate de rire. Je sais qu’elle essaye de faire le clown pour échapper à l’exercice.
-« non, que tu te branles et me racontes une histoire… et après je te prends sur le balcon! »
Elle se love alors contre moi, joueuse et provocante, me regarde, sa main sur mon sexe en demi érection;
-« avant d’aller sur le balcon il faut que tu vérifies si j’ai la bonne température.. » dit elle écartant grandes les cuisses
Je ne l’ai jamais vu aussi joueuse et complice depuis des années. Peut être lorsqu’on était gamins.
-« (..)
-« Si j’ai pas la bonne température je pourrais pas sortir! »
Je comprends alors qu’elle se comporte à cet instant comme elle le faisait avec l’un de ses amants avec qui elle était très complice.
Le ventre serré par un pic de jalousie je tends la main et entre un doigt pour prendre sa température.
-« pas assez mouillée! Pas le choix il faut que tu me racontes une histoire! »
Sous entendu avec lui tu étais forcément beaucoup plus prête que ça niveau température
-« ah bon? Pourtant … il a l’air de s’être passé des choses là dans mon corps.. » fait elle entrant facilement ses doigts en elle
Je décide alors d’une autre stratégie et de rejouer un moment que je connais de leur intimité.
Je me lève et debout sur le lit je me masturbe au dessus d’elle.
Je sais qu’ils s’offraient souvent ce genre de spectacle et qu’elle aimait le voir jouir sur elle.
C’est quelque chose que je ne faisais jamais, jouir sur elle, préférant me libérer en elle, jouissant au même moment.
Elle comprends alors mon intention et son regard s’allume d’un soudain intérêt pour ce nouveau jeu.
-« je vais t’éjaculer dessus »
-« si tu veux » dit elle avec un large sourire
-« je vais t’en mettre partout, même sur le visage »
-« vas-y c’est pas moi qui fait la lessive! »
-« raconte moi maintenant.. »
A ce moment le défi est lancé et l’intéresse.
Elle ne m’a jamais vu jouir sur elle, sur son ventre pendant qu’elle se masturbe.
Quelques jours auparavant elle a connu sa première faciale mais on avait fait l’amour suivi d’une fellation et c’était donc en finition.
Là c’était différent, elle allait me donner envie de la baiser rien qu’en se masturbant devant moi et allait voir pour la première fois mon éjaculation.
Je ne savais pas à quel point elle était aussi voyeuse que moi de voir le plaisir de l’autre monter jusqu’à la jouissance.
Une nouvelle pointe de jalousie me transperçait le ventre.
Elle avait refusé de découvrir ça avec moi et l’avait découvert avec un autre.
Lorsqu’on découvre que sa femme a plus de complicité avec un autre c’est pire que lorsqu’elle prend plus de plaisir.
Mais ce qui est paradoxal est que le plaisir qui vient ensuite est proportionnel au coup de poignard dû à la jalousie.
Un profond soulagement de désir à l’idée qu’elle allait maintenant le partager avec moi m’envahissait alors.
-« je me branlais devant lui là…il aimait me voir faire ça… » me dit elle se caressant de plus belle
Je me masturbais face à elle profitant du spectacle comme si j’étais cet amant
Elle me regardait droit dans les yeux revivant l’instant passé.
J’admirai ce regard qu’elle lui avait porté trop heureux d’y avoir droit moi aussi
-« (..) ma gorge se serrait d’excitation et de jalousie mêlée.
Toujours ces émotions délicieusement contradictoires qui telle une drogue me rendent dépendant d’elle.
-« il voulait voir mes doigts entrer profondément en moi …»
-« .. »
Elle continuait, trempée, le bruit du clapotis s’accélérant au rythme de sa pénétration, douce musique aphrodisiaque.
-« ça lui donnait envie de me baiser! C’est ça qui excite… ça t’excite ce bruit.. c’est ça que tu veux voir!»
-« … » fasciné par le spectacle j’étais incapable de dire un mot
-« tu aimes? Ça t’excite ça! »
-« et toi?» J’étais étonné et subjugué de voir à quel point elle aimait me regarder prendre mon pied. Elle regardait alternativement ma queue et mes yeux cherchant à me provoquer.
Pour la première fois je découvrais ma femme avide de recevoir la concrétisation de l’effet qu’elle produit sur un homme.
-« oui j’aimais ça le faire comme ça devant lui, ça lui donnait envie de me baiser»
-« de te baiser… comment? »
-« fort.. » ses yeux en disaient long sur son plaisir. Elle plutôt discrète sur ce qu’elle vivait lorsqu’elle faisait l’amour avec un autre, incapable jusqu’alors de partager ses émotions avec moi, se découvrait provocante et terriblement excitée à rejouer la scène.
Mon rêve se réalisait.
Enfin elle comprenait mon plaisir candauliste de l’entendre partager ce petit jardin jusqu’alors tenu secret.
Elle n’avait plus peur de me blesser.
Elle comprenait enfin qu’elle m’offrait le plus puisant des plaisirs en partageant cela.
J’étais au comble du bonheur.
-« vraiment? » je me place en face d’elle, le sexe tendu à l’entrée
-« oui très fort, profond… » et ses doigts s’engouffraient avec brutalité en elle
Je la pénétrai alors d’un grand coup de rein entrant entièrement ma queue sans ménagement
Son râle de satisfaction me confirmait que c’est ce qu’elle attendait
Surprise que j’aille si loin elle eut un petit mouvement de recul mais je la maintins fermement accélérant le mouvement
-« c’est comme ça qu’il te baisait?
-« oui plus fort.. »
-« .. » je pilonnais alors dur comme la pierre son vagin détrempé.
Je savais que son amant d’alors finissait par débander la plus part du temps n’arrivant pas à maintenir son érection pour lui permettre de jouir.
Mais lorsqu’il parvenait à garder une semi érection suffisante, rarement, elle prenait alors un pied d’enfer qu’elle ne prenait pas avec moi.
A ce rythme, je ne débande jamais, et cela peut lui faire mal si je vais trop loin, mais lorsqu’elle est surexcitée par des longs préliminaires comme aujourd’hui je ne vais jamais assez loin pour elle.
Mon problème est alors de réussir à contenir mon éjaculation sans casser le rythme suffisamment longtemps.
Je soupçonne son amant d’alors d’avoir eu le même problème voire même d’être éjaculateur précoce et de le lui avoir caché.
Elle se retrouvait alors la plus part du temps frustrée obligée de se masturber devant lui pour atteindre enfin l’orgasme alors qu’il tentait de donner le change en faisant la même chose face à elle, la nouille en réanimation pendant de longues minutes, ce qui au fur et à mesure de leur relation à fini par étouffer leur complicité d’amants.
Dans ces trop rares moment où nous pouvons prendre le temps de longue préparation elle est insatiable et pourrait recevoir des hommes avec des calibres qui la feraient fuir en temps ordinaire du quotidien.
Je me concentrais pour ne pas éjaculer essayant de penser à des trucs qui me ferait débander.
Mais on ne se refait pas, en bon candauliste voyeur de surcroît, j’insistais pour qu’elle me raconte:
-« tu lui disais quoi quand il te baisait comme ça? »
-« je lui disais baise moi.. »
-« … »
-« oui vas y… comme ça »
-« .. »
-« encore.. encore.. vas y baise moi… baise moi.. »
Elle était maintenant comme avec lui ce jour là et je me trouvais transporté dans le corps de cet amant observant ma femme s’abandonner à lui.
Elle continuait à lui parler, réclamant de plus en plus fort, usant de ses mots crus, jusqu’à l’explosion de son orgasme.
-« tu n’as pas jouit? » me dit elle surprise.
-« non pas encore… »
D’habitude on se serait arrêté là
Mais elle n’avait pas atteint son objectif de me voir me libérer sur elle.
Je savais qu’elle voulait vivre ça et ne pas rester sur cet échec.
« Prends toi un gode. Je vais continuer à me masturber au dessus de toi..»
-« eh mais moi j’en peux plus!! »
Je connais ma femme, quand elle est dans cet état là, elle s’écroule mais la moindre caresse la fait repartir.
Il faut simplement ne jamais la laisser se refroidir.
Son amant a dû croire qu’il était un dieu lorsqu’après deux ou trois rapport d’affilé ils s’écroulaient repus de plaisir.
C’était vrai, elle était satisfaite dans ce moment là et en même temps c’était faux car elle s’adapte à ce qu’on lui offre.
Et lorsqu’un amant se contente de l’entendre dire qu’elle est KO, c’est que c’est le début de la routine qui s’installe.
Je me souvenais l’avoir prise sans interruption plus d’une dizaine de fois il y a très longtemps.
Je n’en serai plus capable aujourd’hui, mais elle si.
Je lui tends un gode.
Elle commence à jouer avec et je recommence à lui demander de me raconter comment il la baisait.
Cette fois ci elle ne se fait pas prier et me raconter exactement la même chose avec les mêmes mots qui la transportent encore une fois jusqu’à l’orgasme.
-« Vas y prends moi… mets la moi… » dit elle s’enfonçant son gode de plus en plus fort
-« (..) »
-« je viens… je viens… » serrant alors les cuisses sur l’engin elle étouffe son orgasme dans une grimace de plaisir.
La petite mort porte bien son nom.
« Et toi toujours pas!!! » me dit elle contrariée
Je ne lui ferai pas ce plaisir d’éjaculer sur elle.
Je tiens à garder son désir de me voir craquer intact pour profiter longtemps de son besoin de défi.
Elle s’écroule visiblement satisfaite et repue de plaisir.
Je ne me laisse avoir.
-« viens sur le balcon… je vais te baiser dehors.. »
Elle se lève souriante et sans aucune hésitation enfile son peignoir pour aller se positionner contre la balustrade et me tendre son petit cul pour une bonne levrette.
Inutile de vous dire qu’elle fut aussi courte que bonne, jouissant en même temps nous restons soudés l’un à l’autre comme deux amoureux profitant de la vue sans limite au paradis
Il est 1h du matin nous nous réfugions au chaud sous la couette pour un sommeil bien mérité.
Aujourd’hui il me suffit de quelques secondes à regarder un extrait du film tourné ce jour là dans lequel elle rejoue son coït complice avec son amant pour exploser ma jouissance.
Oui nous sommes bizarres nous les candaulistes avec cette prédominance du cérébral et ce n’est vraiment pas facile tous les jours pour les femmes qui nous aiment d’être notre complice à la fois bourreau et amante, la maitresse idéale tout en étant l’épouse et la mère de nos enfants.
Je les admire tant pour cela.
Quelle chance nous avons d’être aimé par elles.
Maintenant il est temps de s’occuper de la soirée prévue fin septembre
Un dernier petit rdv demain et toute la logistique et sélection des candidats sera terminée je l’espère
Rdv en Octobre pour la suite de notre journal candauliste.
Merci de nous avoir lu
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 08 sept. 2020, 13:44
#2455045
Quelle magicienne, tout à coup on se transporte un soir sur une plage latine, un caipihinra dans une main, et l'autre se balançant au rythme des fesses de Miss @OnPlay
Jeanveutdesvacancescommeça
Jeanveutdesvacancescommeça
OnPlay a liké
Dessin un jour, des seins toujours... viewtopic.php?p=1709428#p1709428
- 08 sept. 2020, 15:28
#2455076
Sublime jeu psychologique et actif, en double miroir. Poussé ainsi, aussi intense est rare et donc précieux
OnPlay a liké
Notre histoire et nos jeux passés,
actuels et à venir sont LA : Candice by Sweden
Sweden For Candice, notre présentation initiale, trace nos interrogations
actuels et à venir sont LA : Candice by Sweden
Sweden For Candice, notre présentation initiale, trace nos interrogations