Fin de soirée
La danse se termine sur une superbe fellation suivie d’une chevauchée fantastique sur mon membre douloureux.
Je la regarde prendre son plaisir en jouant avec ses tétons surexcités
Elle s’effondre enfin dans mes bras et nous restons ainsi de longues minutes l’un contre l’autre.
Il est 21h30, nous commandons des pâtes au service d’étage qui nous dresse la table laissant nos plats au chaud et le rosé au frais dans un seau à glace.
Je sors la bouteille de champagne du frigidaire la plongeant dans la glace avant de suivre ma belle dans la salle de bain.
Je la trouve rêveuse se caressant avec le jet d’eau allongée dans la baignoire de l’immense salle de bain.
Une douche italienne toute aussi grande est à l’entrée et me donne des idées de photos
On verra plus tard si on a l’énergie pour.
J’ouvre la fenêtre du balcon et referme derrière moi avant d’allumer une cigarette.
Je suis comme un voyeur l’admirant dans son intimité et m’amuse à prendre quelques clichés
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Les rideaux sont tirés mais suffisamment transparents pour la voir en ombre chinoise si elle devait se lever
Quel beau spectacle cela donnerait le matin, fenêtres grandes ouvertes vu du parc.
Il nous faudrait plusieurs jours dans ce lieu magique pour profiter de tout cela.
Nous dinons, complices comme rarement la vie de famille nous y autorise, chahutant parfois, je redécouvre ma femme comme une adolescente libérée de toutes contraintes et profitant du moment.
Elle est merveilleusement belle quand elle est elle même ainsi.
Cela fait parti des moments hors du temps que l’on aimerait ne jamais voir s’arrêter alors que le coté éphémère en fait tout le charme.
Fin du diner, le service d’étage récupère sa table et laisse le sceau à glace, nous nous servons un verre et discutons.
Le passé, l’avenir, ce genre de discussion est toujours un moment délicat qui peut transformer une belle soirée en hôtel des culs tournés.
Nous abordons le sujet du candaulisme et contre toute crainte elle me confirme que je peux organiser une soirée en septembre et me lancer dans la recherche d’un complice.
Elle participera à la sélection me dit elle.
J’en doute fortement la connaissant.
La suite me donnera raison quelques jours plus tard mais là encore elle me surprendra.
Excité je lui demande de me raconter une anecdote avec l’un de ses amants.
Elle hésite et commence à se caresser
Elle n’aime pas me raconter comment elle a vécu les choses avec un amant.
Elle reste très pudique sur le sujet.
-« aller! je veux que tu te branles et que tu me racontes une histoire »
Demandé comme ça, ça fait un peu gamin qui fait son caprice en demandant une histoire à sa baby-sitter avant de dormir non?
-« que tu me branles et que tu me racontes une histoire?!? » me dit-elle provocatrice
J’éclate de rire. Je sais qu’elle essaye de faire le clown pour échapper à l’exercice.
-« non, que tu te branles et me racontes une histoire… et après je te prends sur le balcon! »
Elle se love alors contre moi, joueuse et provocante, me regarde, sa main sur mon sexe en demi érection;
-« avant d’aller sur le balcon il faut que tu vérifies si j’ai la bonne température.. » dit elle écartant grandes les cuisses
Je ne l’ai jamais vu aussi joueuse et complice depuis des années. Peut être lorsqu’on était gamins.
-« (..)
-« Si j’ai pas la bonne température je pourrais pas sortir! »
Je comprends alors qu’elle se comporte à cet instant comme elle le faisait avec l’un de ses amants avec qui elle était très complice.
Le ventre serré par un pic de jalousie je tends la main et entre un doigt pour prendre sa température.
-« pas assez mouillée! Pas le choix il faut que tu me racontes une histoire! »
Sous entendu avec lui tu étais forcément beaucoup plus prête que ça niveau température
-« ah bon? Pourtant … il a l’air de s’être passé des choses là dans mon corps.. » fait elle entrant facilement ses doigts en elle
Je décide alors d’une autre stratégie et de rejouer un moment que je connais de leur intimité.
Je me lève et debout sur le lit je me masturbe au dessus d’elle.
Je sais qu’ils s’offraient souvent ce genre de spectacle et qu’elle aimait le voir jouir sur elle.
C’est quelque chose que je ne faisais jamais, jouir sur elle, préférant me libérer en elle, jouissant au même moment.
Elle comprends alors mon intention et son regard s’allume d’un soudain intérêt pour ce nouveau jeu.
-« je vais t’éjaculer dessus »
-« si tu veux » dit elle avec un large sourire
-« je vais t’en mettre partout, même sur le visage »
-« vas-y c’est pas moi qui fait la lessive! »
-« raconte moi maintenant.. »
A ce moment le défi est lancé et l’intéresse.
Elle ne m’a jamais vu jouir sur elle, sur son ventre pendant qu’elle se masturbe.
Quelques jours auparavant elle a connu sa première faciale mais on avait fait l’amour suivi d’une fellation et c’était donc en finition.
Là c’était différent, elle allait me donner envie de la baiser rien qu’en se masturbant devant moi et allait voir pour la première fois mon éjaculation.
Je ne savais pas à quel point elle était aussi voyeuse que moi de voir le plaisir de l’autre monter jusqu’à la jouissance.
Une nouvelle pointe de jalousie me transperçait le ventre.
Elle avait refusé de découvrir ça avec moi et l’avait découvert avec un autre.
Lorsqu’on découvre que sa femme a plus de complicité avec un autre c’est pire que lorsqu’elle prend plus de plaisir.
Mais ce qui est paradoxal est que le plaisir qui vient ensuite est proportionnel au coup de poignard dû à la jalousie.
Un profond soulagement de désir à l’idée qu’elle allait maintenant le partager avec moi m’envahissait alors.
-« je me branlais devant lui là…il aimait me voir faire ça… » me dit elle se caressant de plus belle
Je me masturbais face à elle profitant du spectacle comme si j’étais cet amant
Elle me regardait droit dans les yeux revivant l’instant passé.
J’admirai ce regard qu’elle lui avait porté trop heureux d’y avoir droit moi aussi
-« (..) ma gorge se serrait d’excitation et de jalousie mêlée.
Toujours ces émotions délicieusement contradictoires qui telle une drogue me rendent dépendant d’elle.
-« il voulait voir mes doigts entrer profondément en moi …»
-« .. »
Elle continuait, trempée, le bruit du clapotis s’accélérant au rythme de sa pénétration, douce musique aphrodisiaque.
-« ça lui donnait envie de me baiser! C’est ça qui excite… ça t’excite ce bruit.. c’est ça que tu veux voir!»
-« … » fasciné par le spectacle j’étais incapable de dire un mot
-« tu aimes? Ça t’excite ça! »
-« et toi?» J’étais étonné et subjugué de voir à quel point elle aimait me regarder prendre mon pied. Elle regardait alternativement ma queue et mes yeux cherchant à me provoquer.
Pour la première fois je découvrais ma femme avide de recevoir la concrétisation de l’effet qu’elle produit sur un homme.
-« oui j’aimais ça le faire comme ça devant lui, ça lui donnait envie de me baiser»
-« de te baiser… comment? »
-« fort.. » ses yeux en disaient long sur son plaisir. Elle plutôt discrète sur ce qu’elle vivait lorsqu’elle faisait l’amour avec un autre, incapable jusqu’alors de partager ses émotions avec moi, se découvrait provocante et terriblement excitée à rejouer la scène.
Mon rêve se réalisait.
Enfin elle comprenait mon plaisir candauliste de l’entendre partager ce petit jardin jusqu’alors tenu secret.
Elle n’avait plus peur de me blesser.
Elle comprenait enfin qu’elle m’offrait le plus puisant des plaisirs en partageant cela.
J’étais au comble du bonheur.
-« vraiment? » je me place en face d’elle, le sexe tendu à l’entrée
-« oui très fort, profond… » et ses doigts s’engouffraient avec brutalité en elle
Je la pénétrai alors d’un grand coup de rein entrant entièrement ma queue sans ménagement
Son râle de satisfaction me confirmait que c’est ce qu’elle attendait
Surprise que j’aille si loin elle eut un petit mouvement de recul mais je la maintins fermement accélérant le mouvement
-« c’est comme ça qu’il te baisait?
-« oui plus fort.. »
-« .. » je pilonnais alors dur comme la pierre son vagin détrempé.
Je savais que son amant d’alors finissait par débander la plus part du temps n’arrivant pas à maintenir son érection pour lui permettre de jouir.
Mais lorsqu’il parvenait à garder une semi érection suffisante, rarement, elle prenait alors un pied d’enfer qu’elle ne prenait pas avec moi.
A ce rythme, je ne débande jamais, et cela peut lui faire mal si je vais trop loin, mais lorsqu’elle est surexcitée par des longs préliminaires comme aujourd’hui je ne vais jamais assez loin pour elle.
Mon problème est alors de réussir à contenir mon éjaculation sans casser le rythme suffisamment longtemps.
Je soupçonne son amant d’alors d’avoir eu le même problème voire même d’être éjaculateur précoce et de le lui avoir caché.
Elle se retrouvait alors la plus part du temps frustrée obligée de se masturber devant lui pour atteindre enfin l’orgasme alors qu’il tentait de donner le change en faisant la même chose face à elle, la nouille en réanimation pendant de longues minutes, ce qui au fur et à mesure de leur relation à fini par étouffer leur complicité d’amants.
Dans ces trop rares moment où nous pouvons prendre le temps de longue préparation elle est insatiable et pourrait recevoir des hommes avec des calibres qui la feraient fuir en temps ordinaire du quotidien.
Je me concentrais pour ne pas éjaculer essayant de penser à des trucs qui me ferait débander.
Mais on ne se refait pas, en bon candauliste voyeur de surcroît, j’insistais pour qu’elle me raconte:
-« tu lui disais quoi quand il te baisait comme ça? »
-« je lui disais baise moi.. »
-« … »
-« oui vas y… comme ça »
-« .. »
-« encore.. encore.. vas y baise moi… baise moi.. »
Elle était maintenant comme avec lui ce jour là et je me trouvais transporté dans le corps de cet amant observant ma femme s’abandonner à lui.
Elle continuait à lui parler, réclamant de plus en plus fort, usant de ses mots crus, jusqu’à l’explosion de son orgasme.
-« tu n’as pas jouit? » me dit elle surprise.
-« non pas encore… »
D’habitude on se serait arrêté là
Mais elle n’avait pas atteint son objectif de me voir me libérer sur elle.
Je savais qu’elle voulait vivre ça et ne pas rester sur cet échec.
« Prends toi un gode. Je vais continuer à me masturber au dessus de toi..»
-« eh mais moi j’en peux plus!! »
Je connais ma femme, quand elle est dans cet état là, elle s’écroule mais la moindre caresse la fait repartir.
Il faut simplement ne jamais la laisser se refroidir.
Son amant a dû croire qu’il était un dieu lorsqu’après deux ou trois rapport d’affilé ils s’écroulaient repus de plaisir.
C’était vrai, elle était satisfaite dans ce moment là et en même temps c’était faux car elle s’adapte à ce qu’on lui offre.
Et lorsqu’un amant se contente de l’entendre dire qu’elle est KO, c’est que c’est le début de la routine qui s’installe.
Je me souvenais l’avoir prise sans interruption plus d’une dizaine de fois il y a très longtemps.
Je n’en serai plus capable aujourd’hui, mais elle si.
Je lui tends un gode.
Elle commence à jouer avec et je recommence à lui demander de me raconter comment il la baisait.
Cette fois ci elle ne se fait pas prier et me raconter exactement la même chose avec les mêmes mots qui la transportent encore une fois jusqu’à l’orgasme.
-« Vas y prends moi… mets la moi… » dit elle s’enfonçant son gode de plus en plus fort
-« (..) »
-« je viens… je viens… » serrant alors les cuisses sur l’engin elle étouffe son orgasme dans une grimace de plaisir.
La petite mort porte bien son nom.
« Et toi toujours pas!!! » me dit elle contrariée
Je ne lui ferai pas ce plaisir d’éjaculer sur elle.
Je tiens à garder son désir de me voir craquer intact pour profiter longtemps de son besoin de défi.
Elle s’écroule visiblement satisfaite et repue de plaisir.
Je ne me laisse avoir.
-« viens sur le balcon… je vais te baiser dehors.. »
Elle se lève souriante et sans aucune hésitation enfile son peignoir pour aller se positionner contre la balustrade et me tendre son petit cul pour une bonne levrette.
Inutile de vous dire qu’elle fut aussi courte que bonne, jouissant en même temps nous restons soudés l’un à l’autre comme deux amoureux profitant de la vue sans limite au paradis
Il est 1h du matin nous nous réfugions au chaud sous la couette pour un sommeil bien mérité.
Aujourd’hui il me suffit de quelques secondes à regarder un extrait du film tourné ce jour là dans lequel elle rejoue son coït complice avec son amant pour exploser ma jouissance.
Oui nous sommes bizarres nous les candaulistes avec cette prédominance du cérébral et ce n’est vraiment pas facile tous les jours pour les femmes qui nous aiment d’être notre complice à la fois bourreau et amante, la maitresse idéale tout en étant l’épouse et la mère de nos enfants.
Je les admire tant pour cela.
Quelle chance nous avons d’être aimé par elles.
Maintenant il est temps de s’occuper de la soirée prévue fin septembre
Un dernier petit rdv demain et toute la logistique et sélection des candidats sera terminée je l’espère
Rdv en Octobre pour la suite de notre journal candauliste.
Merci de nous avoir lu
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