Bonjour à tous. En dédicace à un jeune admirateur, voici le récit de notre matinée d'hier (NDLR samedi matin, j'ai fais la rédaction dimanche
). Dans le même goût que notre précédente, mais un chouia plus soft.
On devait aller faire une course sans les enfants, parce que c'était pour acheter un cadeau d'anniversaire pour l'un d'eux. Il y avait une partie du trajet sur l'autoroute et on avait bien imaginé que Manon se montrerait très coquine aux chauffeurs de camions qu'on dépasse. La veille je l'avais d'ailleurs baisée brutalement en lui racontant les scénarios les plus hards qui arriveraient pendant le trajet et les courses; en plus il y a quelques jours je lui avais fait lire une histoire du forum plutôt crue d'une femme qui se fait baiser sauvagement par un routier, ça l'avait bien excitée.
Le matin, malheureusement, elle avait ses règles. Je dis malheureusement parce que c'est en général plus calme, mais ce matin elle avait plutôt chaud au cul la garce. C'est peut-être aussi à cause de l'histoire que je lui avais racontée pendant ma bandaison matinale. Les coquineries, elle en avait envie. Comme je sais qu'elle est beaucoup plus excitée quand elle a la chatte ou le cul rempli, je lui promets de lui mettre son plug rouge. J'hésitais encore à lui mettre avant de partir, ou à m'arrêter sur un parking d'autoroute pour lui placer. Finalement on part, avec son plug et un vibro ... dans son sac à main. Ca m'excite de voir cette petite bourgeoise, avec sa robe légère bleu marine à pois blancs, ses dessous chics en dentelle blanche ... en sachant qu'elle se balade avec des sextoys dans son sac à main.
On devait faire un détour avant de monter sur l'autoroute, du coup on manquait le premier parking. Le suivant, Manon le trouvait trop proche du magasin et ça n'aurait pas valu la peine de s'exciter juste avant de quitter l'autoroute. Par contre, avant de monter sur l'autoroute, je savais qu'on passait par une route dans les bois sur laquelle, d'après des vagues souvenirs, il y avait des parkings, au moins un en tout cas. Effectivement, un petit passage prend en angle droit pour mener à une grande clairière pour parquer les voitures entourée d'un parc légèrement ombragé par des arbres gigantesques et aménagé de quelques tables et barbecues. Un samedi matin, tout était désert. J'y arrête la voiture.
Après quelques secondes, sans que je ne dise rien, Manon ouvre sa portière et sort de la voiture. J'avais volontairement attendu sans rien dire pour voir si elle prendrait l'initiative de sortir de la voiture ou si elle s'attendrait à ce que je lui mette son plug à l'intérieur, elle avait choisi ce que je lui aurais imposé. Je descends aussi de la voiture, et le temps que je fasse le tour elle s'était placée, les jambes écartées, appuyée sur le bord du toit en laissant la portière ouverte. "Mais non ma salope, on ne va pas faire ça ici, viens sur une table !" Il y avait quelques tables en contrebas, non visibles de la route, mais le sol était détrempé, impossible d'y aller avec nos petites chaussures. En lui montrant les autres tables et abris pour barbecue sur la hauteur, mais bien visibles de la route, du parking et des bois environnants, je lui dis, "c'est rien, viens par là." Elle s'attendait à ce que je choisisse un abri pour barbecue pour faire ça discrètement, mais je choisis la table complètement dégagée en plein milieu.
"Appuie-toi !" Docile, elle pose ses mains sur la table en surplombant le banc. Ce n'était pas très propre et elle ne pouvait pas s'y poser avec sa petite robe de bourge. Je redécouvre sa petite culotte en dentelle sur ses fesses, mon dieu qu'est-ce qu'elle est bandante. Je dois me résoudre à l'écarter pour dévoiler son petit trou. Je plaque mon visage sur son cul, j'enfouis mon nez entre ses fesses, les écarte de mes mains, enfonce ma langue dans son cul. "Mets-moi le plug". Elle semble pressée, la salope. Serait-elle mal à l'aise d'être ainsi exposée, impudique, en pleine nature ? Je me relève, enduis le plug de salive et le pose sur sa petite rondelle. Son plug s'enfonce avec une étonnante facilité alors que je ne lui avais pour ainsi dire pas préparé le cul. Ca la marque aussi, entre deux gémissements elle me dit elle-même "Regarde comme je suis une bonne pute, tu as vu comme il entre dans mon cul ?". Quelle salope ! J'avais la bite en feu pressée dans mon jeans, je devais limiter mes mouvements pour ne pas jouir en assistant au spectacle.
J'enfonce le cône dans son cul, puis je le ressors avant de l'enfoncer de nouveau un peu plus loin. Elle gémit en fermant les yeux à chaque fois que son cul s'ouvre un peu plus fort. "Ouvre les yeux petite catin. Regarde les voitures qui passent". J'aime qu'en plus du plaisir physique elle voit de ses propres yeux l'environnement qui la rend encore plus salope que la même scène dans notre chambre à coucher. Effectivement les voitures passaient à toute allure, il aurait vraiment fallu un conducteur attentif pour qu'elle soit remarquée, mais la situation était néanmoins excitante. Je la fais aussi regarder en arrière pour qu'elle se rende bien compte à quel point l'endroit était dégagé, notamment ce chemin forestier duquel aurait pu déboucher des promeneurs. C'était une arme à double tranchant, ça l'excite, mais ça l'inquiète aussi. "Enfonce-moi le plug !" La salope veut en finir, moi je serais resté là des heures, j'aurais voulu faire des va-et-vient pour faire entrer et sortir le passage épais du plug par son cul, mais la belle s'est redressée, elle voulait partir.
J'insiste encore pour qu'elle me vide les couilles tout de suite, elles allaient exploser. Mais la belle sait que ça me calmerait méchamment et que la suite de notre petite course serait beaucoup moins coquine. On a beau faire semblant de tenir les rênes, ce sont elles qui nous tiennent par le bout de la bite. (NDLR: vous auriez vu le sourire de Manon en lisant ce passage !) On remonte dans la voiture accompagné d'un petit gémissement de Manon au moment où elle pose ses fesses sur le siège. Toujours personne dans les parages, on n'a pas eu de voyeurs me semble-t-il; on reprend la route.
"Ca t'excite hmmm ?" "Ce n'est pas pour rien que je t'ai fais prendre ton vibro." Il n'en faut pas plus pour qu'elle enlève ses chaussures, pose ses pieds sur le siège pour écarter les cuisses, tire sa culotte sur le côté et pose la pointe du jouet sur son clito. Sans vouloir me vanter, elle n'est jamais insensible à ma langue, mais il faut bien reconnaitre que le gland de ce machin vibrant sur le clito lui fait un effet impressionnant immédiat. La voilà en train de gémir comme une folle avant même qu'on ne monte sur l'autoroute. Que l'on croise des voitures ou des cyclistes, elle n'est même pas gênée de prendre cette bite rouge flashy dans la bouche pour l'humidifier.
Je lui rappelle qu'elle n'a pas le droit de jouir, ce qui la calme un petit peu avant de monter sur l'autoroute. Je suis étonné, pour un samedi matin, il y a quand même quelques camions. Comme c'est le cas habituellement, les chauffeurs regardent droit devant eux, certains jettent un oeil, mais aucun appel de phares. A leur décharge, pour ne pas gêner la circulation je n'ai pas pu faire de dépassements trop lents. Elle enlève sa culotte, je l'attrape et la jette sur le tableau de bord, je me dis que ça attirera peut-être l'attention.
Peu avant le parking, on dépasse trois camions d'affilée, je lance le défi "S'il y en a une seul parmi les trois qui regarde, on s'arrête sur le parking." Manon écarte encore plus les jambes et se masturbe avec la pointe du vibro. Il était impossible d'ignorer ce qu'elle faisait, même en jetant un simple coup d'oeil. De ma place au volant, je ne vois pas les chauffeurs en passant à côté d'eux, c'est donc à Manon à surveiller, ce qui m'excite encore plus, elle est obligée de les regarder tout en se branlant. On passe le premier, Manon lance un regard vers la cabine mais elle semble absorbée par l'effet du vibro, sans doute que le chauffeur lui était absorbé par la remorque de son prédécesseur, le deuxième aussi d'ailleurs. En passant à côté du troisième, Manon me regarde avec un sourire jusqu'aux oreilles "Lui, il a regardé". Mais il ne fait pas d'appels de phares. De toutes manières, j'avais mal estimé, le parking n'était pas si près.
"On s'arrête quand-même ? Je vais te faire jouir sur le parking." "C'est comme tu veux." Grrr, toujours cette réponse. "Non, tu me réponds par oui ou par non." Toujours le vibro qui lui torture le clito "Oui". Je savais que c'était quand même comme je voulais, mais j'adore quand elle me le dit elle-même. Ce petit mot de trois lettres veut dire tellement de choses à ce moment là !
C'est un parking tout simple, une bande à gauche pour les camions, une à droite pour les voitures, les deux séparées par une vague pelouse. Pour tout aménagement, deux ou trois panneaux penauds vantent tant bien que mal les attraits touristiques de la région. L'arrêt de la voiture n'interrompt pas Manon dans sa masturbation. Il y a trois camions dont les stores sont fermés. De notre côté, il y a deux ou trois voitures. J'observe l'environnement, les gens présents, je cherche la proie, vérifie qu'on ne risque pas de choquer une famille. Un automobiliste s'arrête derrière nous, Manon se fait plus ostensible en posant son pied sur le tableau de bord. Elle me rappelle que je lui ai promis de la faire jouir, j'avais sous-estimé cette tâche d'observation. Le type derrière s'approche de nous, je trouve Manon "un peu trop", lui demande d'enlever son pied, il venait jeter un truc dans la poubelle sans jeter un regard vers nous, il s'éloigne un peu pour faire autre chose puis remonte dans sa voiture et s'en va.
Un camion arrive, mais il avance trop loin, il ne verra rien. Je dis à Manon que si la voiture devant nous s'en va, on avancera. Deux ou trois minutes plus tard, elle s'en va. J'avance et me poste à la hauteur du camion. Manon repose son pied sur le tableau de bord, c'est que ça l'excite la salope, elle garde la vibration sur son clito, mais comme presque toujours quand elle se masturbe elle s'arrête quand ça devient "trop bon". Ce qui est délicieux parce que ça la maintient à un niveau d'excitation plutôt agréable à regarder. Le chauffeur jette des regards de plus en plus fréquents en notre direction. Il ne doit pas voir les détails, mais il doit bien se rendre compte qu'il se passe quelque-chose; le pied de Manon sur le tableau de bord et sa position sont assez explicites.
C'est un essai, je ne veux pas l'inviter, j'ai envie de voir comment un voyeur réagit. Le pauvre, sans le savoir, le voilà devenu mon cobaye. Il fume une cigarette, on n'aime pas trop ça, tant qu'à faire, on préférait le sandwich au jambon de celui de notre dernière aventure, mais soit dans mon esprit il aurait été juste voyeur. Le voilà qui descend de son camion, va-t-il venir ? Malheureusement au même moment il y a d'autres automobilistes qui sont arrivés sur le parking et on n'a pas trop envie d'attirer les foules. Il s'avance "distraitement" vers les panneaux touristiques. Il est presque drôle à voir, alors que nos regards se multiplient vers lui, lui fait comme si on ne savait pas qu'il regardait vers nous. Il se cache derrière le panneau en faisant semblant de le lire tout en laissant un oeil sur le côté pour nous regarder. Il change d'endroit pour être plus confortablement installé en voyeur en regardant par l'espace entre deux panneaux. Je dois détourner mon regard pour qu'il ne voie pas qu'il me fait rire. J'en profite pour branler un peu Manon mais je ne suis pas capable de lui faire du bien, je regarde tout autour de nous.
Il tourne autour des panneaux, puis retourne à son camion. Il décide de nettoyer ses rétroviseurs ... à droite. Ca lui donne une belle vue sur notre voiture, mais je ne suis pas certain qu'il voit le vibro de Manon. Puisqu'il ne se décide pas à venir, nous on s'en va. Au moment de démarrer, Manon s'avance sur son siège, le fixe tout en "faisant une pipe" à son vibro. Je crois que c'est à ce moment là qu'il s'est rendu compte que s'il avait été plus entreprenant il aurait eu d'agréables souvenirs de ce temps de repos. Voilà, c'était la séquence "observation" ! L'homme de tous les jours dans une situation érotique.
Manon était excitée d'avoir été aussi vicieuse au milieu de gens qui n'avaient que quelques pas à faire pour la mater en pleine jouissance. Si elle avait eu un vrai voyeur il aurait eu droit à la vision de son ascension au septième ciel, j'aurais même descendu la vitre pour qu'il entende ses cris. Sur le reste du trajet, je ne manque pas de lui rappeler la perversité de ce qu'elle vient de faire, elle a continué de se branler et elle a enfin joui, très longuement, en gardant le gland vibrant sur le clito, comme si une force invisible lui imposait de l'y laisser.
La visite du magasin a été plus calme, bien que Manon m'y ait rappelé qu'elle avait un gros plug dans le cul. J'avais aussi imposé que son gode soit dans son sac à main ... la mère de famille respectable qui se promène avec un sextoy dans son sac. Elle a payé avec sa carte, mais elle a réussi à être suffisamment discrète pour que le caissier ne voie pas son jouet. Sur le trajet du retour j'ai demandé à Manon si elle voulait que je m'arrête sur le même parking, elle m'a dit oui, mais il y avait trop de monde, on est passé sans s'arrêter. Elle n'a pas retrouvé l'excitation pour se faire jouir, mais elle garde un souvenir très érotique de cette petite course ... qui finalement nous a pris toute la matinée.
Bisous,
Les fantasmes
PS: merci de ne pas citer en reprenant entièrement le récit