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Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
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Une histoire incroyable ! (Le making of)



Il serait dommage que vous lisiez ce message avant d'avoir lu l'histoire:

Première partie: presentation-de-madame-fantasmes-t35732-1200.html#p1280592
Deuxième partie: presentation-de-madame-fantasmes-t35732-1200.html#p1280770
Troisième partie : presentation-de-madame-fantasmes-t35732-1200.html#p1280922
Quatrième partie : presentation-de-madame-fantasmes-t35732-1210.html#p1281574
Cinquième partie : presentation-de-madame-fantasmes-t35732-1210.html#p1282038


Certains d'entre vous ont fait le rapprochement entre le récit qui précède et un autre raconté par un technico-commercial dont la visite chez un particulier a mis ses sens en éveil. J'ai nommé Durandale qui nous racontait sa "Visite pro" : une-visite-pro-t51253.html#p1280631 . Je vous invite d'ailleurs à aller lire son récit, et j'espère qu'il le terminera :)

Du coup, vous risquez d'être déçus que ce soit une fiction. Et pourtant, pour la protagoniste, ce n'en était pas une. Du début à la fin, c'est-à-dire au moment où elle a prononcé son nom, Manon pensait vraiment que c'était un représentant. C'était un jeu que nous avions mis au point avec "mon" complice Durandale; qui est devenu depuis ce moment là "notre" complice.

Je pense que mon émotion candauliste ne sera plus jamais aussi forte que ce jour là ... à moins peut-être, qu'un jour, le même scénario se déroule mais sans que notre visiteur ne soit complice. J'ai fait plusieurs essais pour vous décrire cette émotion, mais avec la meilleure volonté du monde, je ne parviens pas à la décrire avec des mots. Je tremblais comme un parkinsonien et je devais me contrôler lorsque j'étais en vue de Manon, j'ai eu un mal fou à apporter le café !

Tout ça a été mis au point avec mon complice Durandale. La communication entre Manon et lui était déjà très intense. Ce qui ne facilitait pas notre travail de l'ombre. D'autant plus que Manon est très présente sur le forum et lorsque nous chattons seuls, nous avons comme convention de sauver la conversation pour que "l'autre" puisse en profiter à son retour. Manon et moi sommes également très proches dans nos activités, y compris professionnelles. Il a fallu ruser. Je ne peux pas tout raconter puisque Manon me lira ;-) . Mais en aucun cas nous n'avions l'impression de préparer un "piège", au contraire on avait l'impression de lui préparer un cadeau, une surprise, son plus beau jour ...

Ca a commencé la veille du jour où j'ai parlé du type de la ventilation à Manon. Malgré mon impatience pour organiser tout ça, je me suis abstenu d'en parler à Manon le même jour que la mise au point, de peur que mon excitation ne laisse transparaitre un quelconque "plan". Ca m'a aussi laissé vingt-quatre heures pour laisser décanter tout ça.

Il m'était facile de faire croire à cette visite puisqu'on en avait vaguement parlé lors d'un salon (le vrai n'est jamais venu) et qu'en général c'est moi qui m'occupe des travaux de la maison.

Durandale et moi avions convenu que nous ne ferions aucun sous-entendu lors de nos conversations. Manon aurait très vite fait le rapprochement. J'avais aussi demandé à mon complice de ne pas décrire des situations similaires lorsqu'il la faisait fantasmer. Nos contacts privés comprendront pourquoi ils n'ont pas été mis au courant. Manon n'est pas blonde ;-) ... un seul mot de trop et le château de carte s'écroulait.

Lorsque Manon a été ouvrir la porte, elle a vu le trouble du représentant (qui n'était pas feint je pense). Elle en a été touchée, et ça l'a mise en confiance pour jouer son rôle qu'elle ne connaissait pas. Elle a eu un tout petit doute, le représentant avait la même carrure que celle dont Durandale nous avait fait la description et dès que lui et moi sommes passés à l'étage elle a été regarder la photo de lui qu'il avait envoyée. Mais elle ne l'a pas reconnu, ouf ! Une photo n'est pas toujours représentative, il avait les cheveux plus longs et puis je lui avais demandé de porter des lunettes (sans fausses moustaches). A son retour dans le salon, Manon était convaincue que ce n'était pas lui. Elle m'a aussi dit qu'à la fin, quand je lui ai demandé qui la faisait fantasmer sur internet, elle pensait encore avoir été "abusée" par un vrai représentant.

Dans ce jeu, ce qui était le plus décevant pour Durandale et moi, était que nous étions acteurs d'un rôle, qu'il ne s'agissait pas de la vraie vie. Mais cette déception était largement compensée par le plaisir que Manon prenait à savourer sa surprise, même si elle ne savait pas encore que c'en était une.

Nos rôles n'étaient pas écrits en détail, nous ne récitions pas un texte, mais dans les grandes lignes, il était écrit jusqu'au moment où j'apporte les cafés. Après, c'était de l'improvisation en fonction des réactions de Manon. C'est clair que la meilleure actrice, c'était Manon elle-même ! Elle m'a dit après coup que Durandale jouait très très bien le type qui a peur du mari. Pour ma part, je suis assez mauvais comédien et nous avions simplifié le scénario au maximum pour éviter d'avoir à essayer de retomber sur nos pattes en cas d'imprévu.

Ca nous a conduits à des situations assez cocasses. Par exemple, lorsque lui et moi nous sommes retrouvés seuls à l'étage, alors que nous venions de nous serrer la main et de nous présenter, nous nous sommes de nouveau serré la main en tant que "Durandale" et "Laurent", j'ai redemandé s'il avait fait une bonne route, etc etc ... Le tout entrecoupé d'éclats de voix "buse", "température", "mesure" etc pour que Manon pense qu'on parlait vraiment de ventilation.

On pourrait même presque faire un bêtisier. Si vous avez lu dans le récit de Durandale ceci : " je saisis mon mètre, en bredouillant une phrase débile ... je sais que j'ai dit n'importe quoi, car le mari m'a regardé d'un air "point d'interrogation" ... je n'ai pas insisté. " . "Point d'interrogation" qu'il dit ! J'ai failli hurler de rire.

Ou encore, ce moment où j'étais dans la cuisine, je savais que le jeu avait déjà commencé entre eux. J'ai eu cette idée du siècle de crier de la cuisine "Vous prenez du sucre ou du lait ?" J'ai été pris d'un fou rire. J'ai été obligé de sortir de leur champ de vision, de celui de Manon pour ne pas qu'elle découvre que "je savais", et de celui de Durandale pour éviter de lui communiquer mon rire.

Mais comme vous pouvez le deviner, le moment le plus intense pour moi a été ce qui s'est passé dans le salon lorsque je n'y étais pas. Les pauvres, après coup ils ont du subir mes questions, pire qu'un interrogatoire forcé, pour me raconter en détail leurs émotions, l'émotion ressentie chez l'autre, les conversations au mot près. Je voulais tout savoir, j'ai essayé de le décrire dans mon récit.

A la fin de mon "supplice" qui découlait de l'absence que mon rôle m'imposait, j'apportais les cafés sur la table du salon. L'émotion était à son paroxysme (ça aurait été con que je fasse une crise cardiaque à ce moment là), je savais que tout s'était déroulé comme prévu. J'avais vu, en faisant semblant de ne pas voir, qu'il était penché au dessus d'elle quand je suis remonté de la cave. Et le regard de Manon qui ne peut rien me cacher, m'informait que la situation lui plaisait, même si elle ne savait pas encore que je savais. Elle n'a pas remarqué mon trouble à ce moment là parce que le sien était encore plus grand.

Nous n'avions pas mis au point la manière et le moment où nous allions lui dévoiler la vérité. A vrai dire, pendant que nous avons "joué" avec elle, je n'en avais aucune envie. Elle était complètement dans le trip. A plusieurs moments, je lui ai lancé des signes et des regards pour lui dire "non mais tu as vu ce que tu es en train de faire ?" Elle me répondait par le même canal que "oui, je n'en reviens pas moi même, mais putain que c'est bon !" Elle était en train de jouir sous les doigts d'un homme qu'elle vouvoyait parce qu'elle ne le connaissait pas. Elle était en train de raconter ses fantasmes, ce que j'adore, à un inconnu.

A l'instant même où j'écris ces lignes, on reparle ce cette situation et elle me répond encore "oui, j'en suis honteuse ... et fière à la fois."

Lors d'une petite pause, j'ai remarqué que Durandale avait envie de redevenir lui-même. Lorsque j'ai demandé à Manon qui la faisait fantasmer sur internet, elle se demandait ce que ce type en avait à faire des pseudos des gens qui la font fantasmer, mais après tout, une demi-heure plus tôt elle était bien en train de lui donner les prénoms des voisins qui sont parfois dans la partie des fantasmes de son esprit. Sous mon insistance, elle a commencé à se douter qu'il y avait un complice.

Finalement, je ne peux pas faire ce compte rendu sans vous dévoiler ce petit coin de nos sentiments. Outre ce jeu, nous avons surtout fait une rencontre très agréable. Les jeux sont les jeux, mais certains sentiments sont plus intenses et tout à fait indescriptibles. Notre ami virtuel est devenu notre ami. Il vaut mieux d'ailleurs, il fait deux têtes en plus que moi ;).

Laurent


PS: Merci de ne pas citer le message complet dans vos réponses



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#1283378
Quoi qu'il en soit, une belle histoire bien écrire et racontée. Même si le visiteur n'était pas spontané dans son approche. je trouve que Manon a eu l'audace de rentrer dans son jeux. De se laisser aller avec cet inconnu au plaisir d'une rencontre tant fantasmée.
Merci à vous deux et plein de nouvelle et belle aventure ...
#1287911
fantasmes a écrit :Une histoire incroyable ! (Première partie)



les gens normaux sont bien trop sages. Parfois ils regardent très discrètement, mais généralement ils ne remarquent rien du tout.

J'ADORE c'est tellement vrai!
#1287924
alfan a écrit :Et je crois connaitre l'heureux veinard qui est venu chez vous :D


je pense avoir une petite idée aussi ;-)
#1293120
fantasmes a écrit :Merci à chacun d'entre vous pour ces messages, ces remerciements et ces visites silencieuses. Tout cela nous fait très plaisir. Savez-vous que Manon est très sensible à la description que vous faite de votre émoi ? Contrairement aux apparences, Manon est plutôt timide pour prendre la plume ... enfin le clavier (vous allez encore penser que j'ai l'esprit mal tourné), mais ça ne l'empêche pas d'apprécier vos témoignages à leur juste valeur.

Comme vous aimez cette photo de notre avatar et ses longs cheveux, voici la suite de cette petite série.

Lingerie 4 - 02.jpg

Bisous à tous,
Les fantasmes



manon est superbe !!
qulle femme sexy !!

bravo les belges !!!
#1315385
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Les fantasmes[/quote]
vous avez une tres sensuelle epouse j'aime ces photos d'elle ses rondeurs ses seins presentés.. et ses fesses.; ou ce godemichet rouge s'enfonce.. hmmdites lui qu'elle a rejouit la queue d'un monsieur de plus de 60a.. qui s'est masturbé et a giclé pour elle
#1315390
fantasmes a écrit :Je commence donc à ranger les affaires pendant que Manon et Sylvain ont recommencé à se caresser.

Sylvain 1 - 155.jpg

hmmm son string de dentelle blanche.. ses fesses debordantes.. sa jolie cvuisse sur le ventre de son amant..hmmm profondement voyeur je me caresse
#1315502
hmuralex a écrit :vous avez une tres sensuelle epouse j'aime ces photos d'elle ses rondeurs ses seins presentés.. et ses fesses.; ou ce godemichet rouge s'enfonce.. hmmdites lui qu'elle a rejouit la queue d'un monsieur de plus de 60a.. qui s'est masturbé et a giclé pour elle


hmuralex a écrit :
fantasmes a écrit :Je commence donc à ranger les affaires pendant que Manon et Sylvain ont recommencé à se caresser.

Sylvain 1 - 155.jpg

hmmm son string de dentelle blanche.. ses fesses debordantes.. sa jolie cvuisse sur le ventre de son amant..hmmm profondement voyeur je me caresse


Hmmm, merci. Mais je n'ai pas eu à le lui dire parce qu'elle lit les messages qui sont postés ici, et elle avait d'ailleurs lu les vôtres avant moi.

Les fantasmes
#1319792
nuggets a écrit :Vos aventures coquines nous manque les fantasmes ;)

C'est gentil de penser à nous. Il est vrai que j'ai quelques photos que je tarde à poster, mais ça viendra, ça viendra ;)

Liseetdan a écrit :coquins vouns ne vous êtes pas embétés pendant mon absence :lol:
j'ai commencé le post a l'envers je ne sais plus ou je m'étais arrétée :(

ce soir je le reprendrai a l'endroit, j'ai un sacré boulot qui m'attend :D :mrgreen:

Ha ben oui ma coquine, tu ne nous avais pas recommandé d'être sage en fermant la porte, alors ... :mrgreen:

On espère que tu vas bien, et que ton coquin de mari aussi, et qu'il passera de temps en temps nous faire un petit coucou.

Bisous à tous,
Les fantames
#1320128
fantasmes a écrit :Pour vous remercier de vos commentaires, une petite série de cinq photos :)

Manon et Gentilvoyeur: La Nuit de la Lune Bleue

La position que gentilvoyeur a fait découvrir à Manon lors de notre première rencontre, et il excelle dans la pratique.

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j'adore cette position aussi :) :) :)
#1332291
Coucou,

Voici une petite aventure qui nous est arrivée ce matin même. Ho, ce n'est pas la plus excitante de ce site, et puis il n'y aura pas de photos, mais elle a le mérite d'être complètement véridique.

Avec l'horaire chamboulé des vacances, pour une fois, Manon et moi faisons la route ensemble pour aller travailler. Souvent, quand nous sommes sans les enfants dans la voiture et que nous prenons l'autoroute, Manon soulève sa robe et se caresse sans aucune discrétion en dépassant les camions. Nos contacts les plus intimes le savent déjà, c'est ce genre de petites exhibes qui a marqué nos débuts et nous y restons attachés. Un jour je vous raconterai ça aussi. Mais il faut bien reconnaitre que la plupart du temps les routiers sont des gens sérieux qui regardent devant eux, et contrairement à ce que nous avons pu lire sur ce site, les appels de phares en remerciement sont plutôt rares.

Ce matin, Manon portait une robe noire et des bas noirs auto-fixant, des bottes aussi, mais elle les a rapidement enlevées dans la voiture pour pouvoir poser ses pieds sur le siège, c'est plus commode pour écarter les jambes.

En entrant dans la voiture, je lui avais donné son plug, vous savez, le gros plug rouge. Au départ, c'était son idée de mettre son plug pour aller au bureau. Elle me l'avait dit hier soir. Et puis ce matin elle n'y avait plus pensé en s'apprêtant ... moi si. Mais comme je trouve que c'est plus rigolo de lui faire mettre dans des lieux inhabituels, je l'avais pris en cachette et lui avait donné dans la voiture.

On monte sur l'autoroute, et je lui dis "Alors, tu te l'enfiles ce plug ?" Et Manon, bien docile, mais surtout bien coquine a commencé à se l'enfoncer. Ce n'était pas facile, et surtout pas discret dans la voiture, mais je dépassais les camions et on se faisait dépasser et Manon n'était même pas gênée. Par contre, elle était bien excitée à l'idée de passer sa journée au bureau avec son plug dans le cul à mes côtés, et à ceux de nos deux collègues à qui elle ne refuserait rien s'ils se montraient plus entreprenants.

En arrivant derrière un camion que j'allais dépasser, je lui demande de se caresser le clito. Je me rends compte de son état d'excitation, en seulement quelques minutes elle était à deux doigts de jouir. J'ai du rapidement prendre les précautions d'usages "Il est hors de question que tu jouisses avant d'arriver au bureau, tu seras sur le fil pendant toute la journée". Quant aux camionneurs, ils ne voyaient toujours rien, soit parce qu'ils regardaient devant eux, soit parce que pour les besoins de la circulation on passait trop rapidement à leur côté. Pourtant, à un moment donné, on passe à côté d'un camion, j'avais bien vu dans son rétroviseur que le routier avait remarqué quelque-chose, et en passant à sa hauteur, Manon jette un oeil et voit que bonhomme regarde autant qu'il le peut. Visiblement il avait apprécié le spectacle furtif, il nous lance plusieurs appels de phares.

L'excitation de Manon remonte d'un cran. A ce moment, il nous restait près d'une heure de route, d'habitude on quitte l'autoroute pour couper par une nationale plus agréable, mais on peut aussi rester sur l'autoroute, c'est plus long, mais on ne perd pas de temps. Par la nationale, le jeu avec les routiers cessait, je n'ai pas dû beaucoup insister pour que Manon choisisse de continuer par l'autoroute.

Manon continuait de se masturber et j'ai dû la rappeler plusieurs fois à l'ordre quand j'entendais à ses cris que la jouissance était proche. D'un autre côté je l'excitais en lui parlant de nos deux collègues, en lui faisant imaginer qu'ils allaient la prendre sur leur bureau. En lui faisant dire tout haut leur prénom et leur demander ce qu'elle a envie qu'ils lui fassent. Elle se dandinait sur son siège pour sentir le plug bouger dans son cul. Elle allait vraiment être dans tous ses états en arrivant au bureau. Et moi aussi, je bandais comme un âne.

On change d'autoroute. Une autoroute fortement chargée en camions et en voitures. Avec le soleil en face et la circulation ralentie, les routiers qui voulaient être curieux n'en perdaient pas une miette. Manon m'a d'ailleurs dit quelques fois "Ha, celui-là, il a maté".

On dépasse encore un camion, et Manon me dit "encore un". En effet en me rabattant devant lui, il nous lance des appels de phares. Et là, que vois-je ? "P 500m". Parking à 500 mètres. "On s'arrête ?" Manon toujours en train de se caresser. "C'est comme tu veux mon amour". Je mets mon clignotant et prend la bande de décélération; elle me répond "Mais qu'est-ce que tu me fais faire ?". Et pourtant son doigt s'agitait de plus belle sur son clito. Dans mon rétro, je vois le clignotant du camion. Je m'arrête au début du parking en laissant suffisamment de place pour garer un bahut derrière, je ne m'étais pas rendu compte que les camions étaient interdits dans cette partie du parking. Il va dans l'autre partie et s'arrête à côté de nous juste de l'autre côté d'un terre-plein de quelques enjambées de large.

Le type regardait Manon se masturber, mais il ne devait voir que son buste et son visage. Mais rien que son visage en valait la peine tant elle était proche de la jouissance. Elle avait les yeux fermés, n'osait pas regarder. Elle n'a pas vu que j'appelle le chauffeur en lui faisant un signe de mon doigt. Il me fait des yeux tout ronds, mais ne vient pas. Je me dis que Manon sera plus crédible, je lui dis "Appelle-le", mais je crois qu'elle ne m'entend pas, elle est au sixième ciel ... (certains d'entre vous savent ce que ça veut dire chez Manon). Je refais mon signe au chauffeur. Il me demande de la tête si c'est bien vrai. Je lui fais signe que oui. Il relève son volant et descend de son camion, traverse le terre-plein, le sandwich au jambon à la main (ça ne s'invente pas ;) ). Je descends la vitre. Il n'est pas francophone, mais se débrouille mieux que moi en flamand. "Bonjour !" Manon ouvre les yeux mais n'interrompt pas sa masturbation. Avec un sourire qui fait trois fois le tour du visage il continue "Elle aime ça hein !". "Hmmm, c'est beau !" "Avec ma femme j'aime bien aussi, mais elle veut pas." (Ca fait rire Manon). La conversation continue sous les couinements de Manon. De sa main qui ne tenait pas son sandwich, il ouvre le décolleté de Manon et sort son sein de son soutien gorge, puis il la masturbe à son tour, il entre sa tête dans la voiture pour mordiller le téton de Manon. Manon reprend sa masturbation et jouit intensément dans son cri strident et soutenu, les jambes qui se relèvent, le visage cramoisi. Le chauffeur en rit. Il tente encore quelques caresses, mais Manon est épuisée. On échange quelques mots et puis "Bon, on va travailler. Bonne route !"

On arrive au bureau dix minutes plus tard. Manon, l'air de rien, se montre studieuse. Pourtant elle a un plug dans le cul. Pourtant un peu plus tôt elle se faisait branler par un inconnu. Encore un peu plus tôt elle hurlait le nom de ses deux collègues en les suppliant de la prendre. Mais quelle salope ! Il parait que je suis un cochon d'mari !

Bisous à vous,
Les fantasmes
#1350850
mesrine a écrit :C est le printemps... Les couples candaulistes ressortent. Content de vous revoir ici.

Coucou vous, je vois effectivement que Malibu ne s'ennuie pas :mrgreen:

nuggets a écrit :Hum toujours agréable de vous lire.

Merci, on est heureux de t'avoir parmi nos lecteurs assidus :)

durandale a écrit :...< soupir > plein d'envie de ma part !!

Bisou à la belle !

:) Bonjour l'ami ... je repense souvent à la petite aventure que nous avons vécue ensemble. Une excitation intense revient, avec le souvenir d'une belle amitié et d'une belle complicité.

jeanrp a écrit :Superbe récit, et quelle générosité de le partager avec nous... Ce type de petite aventure non programmée est vraiment charmante, j'imagine que ce routier s'en souviendra longtemps ;)

Merci et continuez ainsi...:)

Merci, j'avoue que cette "générosité" contient égoïstement une grande part de plaisir pour nous-mêmes. Votre plaisir alimente le nôtre. C'était notre première aventure vraiment non programmée, dans un milieu non libertin, avec une personne complètement étrangère. Et pourtant ce n'est pas faute d'envie que ça ne se soit pas produit plus tôt. Sans doute qu'on s'y est mieux pris cette fois ci, qu'il n'y avait pas le frein d'être éventuellement reconnus, qu'on est tombé sur la bonne personne, au bon moment ...

Pour le routier, le hasard veut que je me trouve à côté de lui à un feu rouge sur une autre route la semaine suivante. J'étais seul et dans une autre voiture, il ne m'a pas reconnu. Je suis resté un bon moment devant lui à me demander si j'allais lui faire signe ou pas, m'arrêter pour papoter, ou éventuellement lui faire connaître ce forum.

J'avais un doute sur son identité, mais elle s'est rapidement éludée. Une belle blonde le dépasse, il lance des appels de phares, deux jolies nanas dans une décapotable, idem. En arrivant dans une file avant un rond point, il se cale contre sa portière pour mater tout ce qui passe à sa gauche. C'était bien lui !

Finalement, je ne me suis pas fait voir, ça restera une aventure sans accroche, ça a aussi son charme.

xgreg038 a écrit :et bien ce dernier récit est de toute beauté... et ça ne s'invente pas le routier avec le jambon beure pour venir voir Manon !!
Bises les amoureux

Merci Greg. Bisous de Manon.

candore a écrit :enfin une histoire que j'aurai plaisir à raconter à ma compagne.
Les dernières que nous avons lues, elle les avait trouvé plutôt triste (cocufiage où là compagne se désintéresse de son homme).

Nous recevons beaucoup de compliment, mais ceux qui viennent de couples qui témoignent de leur plaisir à nous lire nous touchent particulièrement. Merci beaucoup, et nous vous souhaitons beaucoup de complicité et de plaisirs partagés.

Bisous à toi ... à ta compagne quand elle nous lira.


Merci à tous nos autres lecteurs :) .


Les fantasmes
#1351171
Bonjour à tous. En dédicace à un jeune admirateur, voici le récit de notre matinée d'hier (NDLR samedi matin, j'ai fais la rédaction dimanche ;) ). Dans le même goût que notre précédente, mais un chouia plus soft.

On devait aller faire une course sans les enfants, parce que c'était pour acheter un cadeau d'anniversaire pour l'un d'eux. Il y avait une partie du trajet sur l'autoroute et on avait bien imaginé que Manon se montrerait très coquine aux chauffeurs de camions qu'on dépasse. La veille je l'avais d'ailleurs baisée brutalement en lui racontant les scénarios les plus hards qui arriveraient pendant le trajet et les courses; en plus il y a quelques jours je lui avais fait lire une histoire du forum plutôt crue d'une femme qui se fait baiser sauvagement par un routier, ça l'avait bien excitée.

Le matin, malheureusement, elle avait ses règles. Je dis malheureusement parce que c'est en général plus calme, mais ce matin elle avait plutôt chaud au cul la garce. C'est peut-être aussi à cause de l'histoire que je lui avais racontée pendant ma bandaison matinale. Les coquineries, elle en avait envie. Comme je sais qu'elle est beaucoup plus excitée quand elle a la chatte ou le cul rempli, je lui promets de lui mettre son plug rouge. J'hésitais encore à lui mettre avant de partir, ou à m'arrêter sur un parking d'autoroute pour lui placer. Finalement on part, avec son plug et un vibro ... dans son sac à main. Ca m'excite de voir cette petite bourgeoise, avec sa robe légère bleu marine à pois blancs, ses dessous chics en dentelle blanche ... en sachant qu'elle se balade avec des sextoys dans son sac à main.

On devait faire un détour avant de monter sur l'autoroute, du coup on manquait le premier parking. Le suivant, Manon le trouvait trop proche du magasin et ça n'aurait pas valu la peine de s'exciter juste avant de quitter l'autoroute. Par contre, avant de monter sur l'autoroute, je savais qu'on passait par une route dans les bois sur laquelle, d'après des vagues souvenirs, il y avait des parkings, au moins un en tout cas. Effectivement, un petit passage prend en angle droit pour mener à une grande clairière pour parquer les voitures entourée d'un parc légèrement ombragé par des arbres gigantesques et aménagé de quelques tables et barbecues. Un samedi matin, tout était désert. J'y arrête la voiture.

Après quelques secondes, sans que je ne dise rien, Manon ouvre sa portière et sort de la voiture. J'avais volontairement attendu sans rien dire pour voir si elle prendrait l'initiative de sortir de la voiture ou si elle s'attendrait à ce que je lui mette son plug à l'intérieur, elle avait choisi ce que je lui aurais imposé. Je descends aussi de la voiture, et le temps que je fasse le tour elle s'était placée, les jambes écartées, appuyée sur le bord du toit en laissant la portière ouverte. "Mais non ma salope, on ne va pas faire ça ici, viens sur une table !" Il y avait quelques tables en contrebas, non visibles de la route, mais le sol était détrempé, impossible d'y aller avec nos petites chaussures. En lui montrant les autres tables et abris pour barbecue sur la hauteur, mais bien visibles de la route, du parking et des bois environnants, je lui dis, "c'est rien, viens par là." Elle s'attendait à ce que je choisisse un abri pour barbecue pour faire ça discrètement, mais je choisis la table complètement dégagée en plein milieu.

"Appuie-toi !" Docile, elle pose ses mains sur la table en surplombant le banc. Ce n'était pas très propre et elle ne pouvait pas s'y poser avec sa petite robe de bourge. Je redécouvre sa petite culotte en dentelle sur ses fesses, mon dieu qu'est-ce qu'elle est bandante. Je dois me résoudre à l'écarter pour dévoiler son petit trou. Je plaque mon visage sur son cul, j'enfouis mon nez entre ses fesses, les écarte de mes mains, enfonce ma langue dans son cul. "Mets-moi le plug". Elle semble pressée, la salope. Serait-elle mal à l'aise d'être ainsi exposée, impudique, en pleine nature ? Je me relève, enduis le plug de salive et le pose sur sa petite rondelle. Son plug s'enfonce avec une étonnante facilité alors que je ne lui avais pour ainsi dire pas préparé le cul. Ca la marque aussi, entre deux gémissements elle me dit elle-même "Regarde comme je suis une bonne pute, tu as vu comme il entre dans mon cul ?". Quelle salope ! J'avais la bite en feu pressée dans mon jeans, je devais limiter mes mouvements pour ne pas jouir en assistant au spectacle.

J'enfonce le cône dans son cul, puis je le ressors avant de l'enfoncer de nouveau un peu plus loin. Elle gémit en fermant les yeux à chaque fois que son cul s'ouvre un peu plus fort. "Ouvre les yeux petite catin. Regarde les voitures qui passent". J'aime qu'en plus du plaisir physique elle voit de ses propres yeux l'environnement qui la rend encore plus salope que la même scène dans notre chambre à coucher. Effectivement les voitures passaient à toute allure, il aurait vraiment fallu un conducteur attentif pour qu'elle soit remarquée, mais la situation était néanmoins excitante. Je la fais aussi regarder en arrière pour qu'elle se rende bien compte à quel point l'endroit était dégagé, notamment ce chemin forestier duquel aurait pu déboucher des promeneurs. C'était une arme à double tranchant, ça l'excite, mais ça l'inquiète aussi. "Enfonce-moi le plug !" La salope veut en finir, moi je serais resté là des heures, j'aurais voulu faire des va-et-vient pour faire entrer et sortir le passage épais du plug par son cul, mais la belle s'est redressée, elle voulait partir.

J'insiste encore pour qu'elle me vide les couilles tout de suite, elles allaient exploser. Mais la belle sait que ça me calmerait méchamment et que la suite de notre petite course serait beaucoup moins coquine. On a beau faire semblant de tenir les rênes, ce sont elles qui nous tiennent par le bout de la bite. (NDLR: vous auriez vu le sourire de Manon en lisant ce passage !) On remonte dans la voiture accompagné d'un petit gémissement de Manon au moment où elle pose ses fesses sur le siège. Toujours personne dans les parages, on n'a pas eu de voyeurs me semble-t-il; on reprend la route.

"Ca t'excite hmmm ?" "Ce n'est pas pour rien que je t'ai fais prendre ton vibro." Il n'en faut pas plus pour qu'elle enlève ses chaussures, pose ses pieds sur le siège pour écarter les cuisses, tire sa culotte sur le côté et pose la pointe du jouet sur son clito. Sans vouloir me vanter, elle n'est jamais insensible à ma langue, mais il faut bien reconnaitre que le gland de ce machin vibrant sur le clito lui fait un effet impressionnant immédiat. La voilà en train de gémir comme une folle avant même qu'on ne monte sur l'autoroute. Que l'on croise des voitures ou des cyclistes, elle n'est même pas gênée de prendre cette bite rouge flashy dans la bouche pour l'humidifier.

Je lui rappelle qu'elle n'a pas le droit de jouir, ce qui la calme un petit peu avant de monter sur l'autoroute. Je suis étonné, pour un samedi matin, il y a quand même quelques camions. Comme c'est le cas habituellement, les chauffeurs regardent droit devant eux, certains jettent un oeil, mais aucun appel de phares. A leur décharge, pour ne pas gêner la circulation je n'ai pas pu faire de dépassements trop lents. Elle enlève sa culotte, je l'attrape et la jette sur le tableau de bord, je me dis que ça attirera peut-être l'attention.

Peu avant le parking, on dépasse trois camions d'affilée, je lance le défi "S'il y en a une seul parmi les trois qui regarde, on s'arrête sur le parking." Manon écarte encore plus les jambes et se masturbe avec la pointe du vibro. Il était impossible d'ignorer ce qu'elle faisait, même en jetant un simple coup d'oeil. De ma place au volant, je ne vois pas les chauffeurs en passant à côté d'eux, c'est donc à Manon à surveiller, ce qui m'excite encore plus, elle est obligée de les regarder tout en se branlant. On passe le premier, Manon lance un regard vers la cabine mais elle semble absorbée par l'effet du vibro, sans doute que le chauffeur lui était absorbé par la remorque de son prédécesseur, le deuxième aussi d'ailleurs. En passant à côté du troisième, Manon me regarde avec un sourire jusqu'aux oreilles "Lui, il a regardé". Mais il ne fait pas d'appels de phares. De toutes manières, j'avais mal estimé, le parking n'était pas si près.

"On s'arrête quand-même ? Je vais te faire jouir sur le parking." "C'est comme tu veux." Grrr, toujours cette réponse. "Non, tu me réponds par oui ou par non." Toujours le vibro qui lui torture le clito "Oui". Je savais que c'était quand même comme je voulais, mais j'adore quand elle me le dit elle-même. Ce petit mot de trois lettres veut dire tellement de choses à ce moment là !

C'est un parking tout simple, une bande à gauche pour les camions, une à droite pour les voitures, les deux séparées par une vague pelouse. Pour tout aménagement, deux ou trois panneaux penauds vantent tant bien que mal les attraits touristiques de la région. L'arrêt de la voiture n'interrompt pas Manon dans sa masturbation. Il y a trois camions dont les stores sont fermés. De notre côté, il y a deux ou trois voitures. J'observe l'environnement, les gens présents, je cherche la proie, vérifie qu'on ne risque pas de choquer une famille. Un automobiliste s'arrête derrière nous, Manon se fait plus ostensible en posant son pied sur le tableau de bord. Elle me rappelle que je lui ai promis de la faire jouir, j'avais sous-estimé cette tâche d'observation. Le type derrière s'approche de nous, je trouve Manon "un peu trop", lui demande d'enlever son pied, il venait jeter un truc dans la poubelle sans jeter un regard vers nous, il s'éloigne un peu pour faire autre chose puis remonte dans sa voiture et s'en va.

Un camion arrive, mais il avance trop loin, il ne verra rien. Je dis à Manon que si la voiture devant nous s'en va, on avancera. Deux ou trois minutes plus tard, elle s'en va. J'avance et me poste à la hauteur du camion. Manon repose son pied sur le tableau de bord, c'est que ça l'excite la salope, elle garde la vibration sur son clito, mais comme presque toujours quand elle se masturbe elle s'arrête quand ça devient "trop bon". Ce qui est délicieux parce que ça la maintient à un niveau d'excitation plutôt agréable à regarder. Le chauffeur jette des regards de plus en plus fréquents en notre direction. Il ne doit pas voir les détails, mais il doit bien se rendre compte qu'il se passe quelque-chose; le pied de Manon sur le tableau de bord et sa position sont assez explicites.

C'est un essai, je ne veux pas l'inviter, j'ai envie de voir comment un voyeur réagit. Le pauvre, sans le savoir, le voilà devenu mon cobaye. Il fume une cigarette, on n'aime pas trop ça, tant qu'à faire, on préférait le sandwich au jambon de celui de notre dernière aventure, mais soit dans mon esprit il aurait été juste voyeur. Le voilà qui descend de son camion, va-t-il venir ? Malheureusement au même moment il y a d'autres automobilistes qui sont arrivés sur le parking et on n'a pas trop envie d'attirer les foules. Il s'avance "distraitement" vers les panneaux touristiques. Il est presque drôle à voir, alors que nos regards se multiplient vers lui, lui fait comme si on ne savait pas qu'il regardait vers nous. Il se cache derrière le panneau en faisant semblant de le lire tout en laissant un oeil sur le côté pour nous regarder. Il change d'endroit pour être plus confortablement installé en voyeur en regardant par l'espace entre deux panneaux. Je dois détourner mon regard pour qu'il ne voie pas qu'il me fait rire. J'en profite pour branler un peu Manon mais je ne suis pas capable de lui faire du bien, je regarde tout autour de nous.

Il tourne autour des panneaux, puis retourne à son camion. Il décide de nettoyer ses rétroviseurs ... à droite. Ca lui donne une belle vue sur notre voiture, mais je ne suis pas certain qu'il voit le vibro de Manon. Puisqu'il ne se décide pas à venir, nous on s'en va. Au moment de démarrer, Manon s'avance sur son siège, le fixe tout en "faisant une pipe" à son vibro. Je crois que c'est à ce moment là qu'il s'est rendu compte que s'il avait été plus entreprenant il aurait eu d'agréables souvenirs de ce temps de repos. Voilà, c'était la séquence "observation" ! L'homme de tous les jours dans une situation érotique.

Manon était excitée d'avoir été aussi vicieuse au milieu de gens qui n'avaient que quelques pas à faire pour la mater en pleine jouissance. Si elle avait eu un vrai voyeur il aurait eu droit à la vision de son ascension au septième ciel, j'aurais même descendu la vitre pour qu'il entende ses cris. Sur le reste du trajet, je ne manque pas de lui rappeler la perversité de ce qu'elle vient de faire, elle a continué de se branler et elle a enfin joui, très longuement, en gardant le gland vibrant sur le clito, comme si une force invisible lui imposait de l'y laisser.

La visite du magasin a été plus calme, bien que Manon m'y ait rappelé qu'elle avait un gros plug dans le cul. J'avais aussi imposé que son gode soit dans son sac à main ... la mère de famille respectable qui se promène avec un sextoy dans son sac. Elle a payé avec sa carte, mais elle a réussi à être suffisamment discrète pour que le caissier ne voie pas son jouet. Sur le trajet du retour j'ai demandé à Manon si elle voulait que je m'arrête sur le même parking, elle m'a dit oui, mais il y avait trop de monde, on est passé sans s'arrêter. Elle n'a pas retrouvé l'excitation pour se faire jouir, mais elle garde un souvenir très érotique de cette petite course ... qui finalement nous a pris toute la matinée.

Bisous,
Les fantasmes

PS: merci de ne pas citer en reprenant entièrement le récit ;)
#1351179
éh bien voilà une matinée "courses" qu'on aimerait en vivre, superbe récit très.... érotique, merci les amour, ce fût un plaisir a lire :P :P :P
#1351189
fantasmes a écrit :Bonjour à tous. En dédicace à un jeune admirateur, voici le récit de notre matinée d'hier (NDLR samedi matin, j'ai fais la rédaction dimanche ;) ). (...)



Une fois de plus super récit, merveilleusement raconter, on y est du debut a la fin. Merci a vous de nous faire partager ces moments coquins entre vous. on vous adores... continuez ;)
malibu et mesrine
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