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#2761227
Bref résumé du post précédent (pour ceux qui n’auraient pas l’envie de le lire ou relire) :

Trois personnages sont en scène : Une femme et ses deux pygmalions. Un fantasme lui occupait l’esprit : éprouver le plaisir de sentir deux sexes mâles dans son vagin. Pressée par ses amants, elle accepta de sauter le pas, non sans une pointe d’angoisse. Après un bon dîner bien arrosé comme elle les aime, les deux complices se sont mis à l’ouvrage en préparant la dame à cette ultime perversion. Mise à nu puis épilée, elle passa à la douche, ensuite désinhibée par l’alcool, elle prit les choses en main – si l’on peut dire - et tous se retrouvèrent au lit. Ses deux amants s’en donnèrent à cœur joie afin de l’échauffer en la pénétrant à tour de rôle. Ils finirent par lui infliger le démoniaque « truc Hitachi », la brutalisant quelque peu, en prélude à la profanation de son ventre par ses deux amants. Cette dernière épreuve l’ayant fatiguée, elle voulut se reposer avant le round suivant. Les deux amants en profitèrent pour aller prendre l’air et récupérer de la vigueur.

NB : ce récit est basé sur mes souvenirs et ceux de Victoire mais pas que. Ayant récupéré le journal intime de Lison que sa belle-fille m’avait remis après le décès de son auteure, estimant que les aventures amoureuses de sa belle-mère ne la concernaient pas, j’y ai découvert des détails sur sa vie intime, ses réflexions et ses fantasmes.. De temps à autre j’en incorporerai des extraits éclairants dans mon récit. En voici un :


Carnet 2003…
Jeudi 25 décembre
D.. me téléphone pour me dire que P.. et lui vont venir demain pour mon fantasme. Cadeau de Noël ?
Sais pas quoi répondre.. faut que je sois rasée en plus. Sais pas si j’ai toujours envie, mais D.. a insisté donc j’irai au rv chez l’écailler. Après je verrai. Pas trop boire.. Je demande : et Victoire ? Elle est à la Barbade avec enfants.. D.. est libre alors

Samedi 27
A 54 ans je l’ai fait mon fantasme, même 2 fois !!! Pas de regret, c’était bon et fort. P.. et D.. ont été très bien. Ils disent que toutes les femmes devraient vivre cette expérience une fois dans leur vie ! pas sûr qu’elles aimeraient toutes ça ! Ils m’ont mise nue entre eux deux, ça m’a fort excité! Epilée à la crème.. Ça marche bien et ça fait pas mal, avec un kleenex dans la fente pour pas que ça pique là... Douche avec eux pour me rincer, j’ai savonné leur sexes et leurs couilles…hmmm !.. Puis tour de chauffe : baisée par P.. d’abord. Je suçais D.. et poignais ses coucougnettes Puis il m’a baisée. Beaucoup de semence tirée je débordais.
Ils m’ont mis l’hitachi sur le sexe ils ont bloqué mes bras et mes jambes les vaches.. j’ai crié trèèèèès fooooort ! Presque une syncope ! Après j’avais envie de dormir alors y z’ont été faire un tour un quart d’heure pour se calmer pour la suite.
Après on m’a mis le foulard pour pas que je vois qui est qui.. ils voulaient mettre la caméra ! Non mais ça va pas la tête ?
Y en a un qui m’a mise du le ventre et m’a pénétrée puis en tournant j’étais couchée le dos sur son ventre. L’autre m’a pénétrée en tenant mes jambes écartées ; il a eu du mal à rentrer son sexe à côté de l’autre c’était très serré et j’avais un peu peur d’être déchirée puis avec du gel ça a été très fort et très bon. J’ai joui puis eux. Sont restés dans mon ventre je voulais pas qu’ils sortent. Et puis quand ils sont redevenus durs c’était reparti pour un tour. Bref j’en ai fait 2 doubles! Foulard enlevé j’ai vu qui était qui, suis pas arrivée à les reconnaître en sentant leur sexe. Mais je préfère être ventre contre ventre sur mon chéri comme ça il peut toucher mes seins… j’aimme bienhh !
Il va me laisser l’hitachi j’aimerais m’en servir quand je suis seule, mais aussi avec lui, j’aime quand il me le met !..
Ils sont restés la nuit avec moi. On a pris la douche ensemble puis au lit ! Baisée par l’un et l’autre.. J’aime mieux avec mon chéri il est plus doux et me respecte.. P.. me défonce plus mais il fait mal.
P.. est parti tôt, j’ai eu mon chéri toute la matinée, je crois qu’il m’aime mais ne veut pas le dire… problème, il aime aussi Victoire !

Vendredi 2 janvier 2004
Passé le réveillon seule avec mon chien, j’ai pleuré… et trop bu ! D.. m’a heureusement téléphoné à minuit. Il vient demain.

Samedi 3
D.. mon chéri est venu. On s’est aimés, comme si il allait me faire un enfant !
De lui oui, j’aurais bien voulu, pas de P.. Il m’a dit qu’il avait fait un enfant à une jeune femme quand il était étudiant à la fac.. Dommage je n’ai plus d’œufs

Lundi 5
Victoire s’est tirée à la Barbade. D.. veut m’emmener en Espagne en voiture car l‘avion pas question. Je sais pas, j’ai juste envie de cocouner avec mon chéri. Lui il veut y aller. Moi bof, j’aime bien rien foutre à part quand on me baise, ça j’aime vraiment bien !




Suite

Nous nous rhabillâmes P.. et moi et allâmes nous ballader dans le quartier, histoire de décompresser. Je voulais me mettre d’accord avec P.. pour la suite ; on allait la pénétrer à deux, je pensais qu’après l’orgasme géant qu’elle avait subi elle serait suffisamment ouverte pour accueillir nos deux membres. J’avais l’idée de lui bander les yeux pour qu’elle ne puisse pas voir lequel des nous deux la prenait, j’avais apporté ce qu’il fallait pour cela. On coucherait Lison sur le ventre et P.. la prendrait par derrière. Il la saillerait un peu avant de l’entraîner dans un roulement sur le côté pour qu’elle se trouve couchée sur le dos, sur le ventre de P.. Il la maintiendrait par le cou et les seins pendant que je lui écarterais les cuisses pour la pénétrer par dessus la queue de P.. Le spectacle serait grandiose ! Quel dommage qu’elle ait interdit de filmer la scène, par précaution elle avait caché sa caméra ! Bien qu’ayant plaidé pour qu’elle accepte d’être filmée ou photographiée, elle refusa catégoriquement, estimant que cette perversion avilissante devrait rester secrète, sans laisser d’autres traces que dans nos souvenirs ; ce qui ne l’empêcha pas d’écrire dans son journal intime ce que nous lui avions fait subir..
Nous regagnâmes la chambre. Sur le ventre, Lison s’était endormie, enroulée dans la serviette de bain. En écartant un pan j’introduis un doigt dans sa fente ouverte! Quelques caresses sur son petit bouton eu l’effet escompté : elle bougea les jambes, écartant les cuisses dans une sorte de réflexe animal, gémit doucement et soupira d’aise. C’était le moment ! Je soulevai le drap de bain dégageant ses cuisses et ses fesses. Avec deux doigts je les introduisis dans son vagin béant et humide. « Elle est mûre ! » dis-je tout bas à P.. Elle se réveilla « Qu’est-ce que tu me fais ? » demanda-t-elle.. Je lui répondis qu’elle allait réaliser son fantasme.. « Oooh , il est tard, j’ai envie de dormir ».. Sans lui répondre je l’aidai à ôter la serviette de bain, et lorsqu’elle fut nue, elle accepta avec plaisir que je lui bande les yeux avec un foulard. P.. prit ma place, lui écartant les cuisses il la pénétra d’un coup. « Mais ? c’est qui que je sens là, c’est toi mon chéri, je crois reconnaître ta queue ! » dit-elle, comme si on jouait à Colin-maillard ! Il la baisa quelques minutes puis saisissant une épaule, ils pivotèrent de concert, Lison les yeux bandés, le ventre en l’air, allongée sur celui de P.. qui la maintenait fermement par le cou et les seins. Elle agitait les jambes, j’ai dû les saisir pour les garder ouvertes. La vue de la queue de P.. introduite dans son vagin me fit bander encore plus fort. J’aventurai un doigt dans son vagin pour évaluer l’espace qui me restait ; il n’était pas si largement ouvert ; j’enduisis de gel ma queue et le gland, et m’introduisis en elle avec un peu de rudesse: c’était serré, l’engin de P.. prenant toute la place . « Rhôôô là c’est fort ça, c’est toi P.. que je sens ! Tu es trop gros… pas me déchirer hein ! » Elle m’avait pris pour P.. et vice-versa ! Je progressais doucement en avant puis en arrière, de plus en plus profondément. P.. allait et venait, nos deux queues se frottant mutuellement. « Rhôôô, j’ai deux sexes mâles qui se battent dans mon ventre, qui sait lequel me fécondera ? » Elle qui n’avait pas eu d’enfant, l’idée d’être fécondée lui habitait l’esprit depuis que j’étais devenu son amant. Malgré sa ménopause, elle jouait en y croyant, ça l’excitait de recevoir du sperme dans son ventre, a fortiori si deux sexes s’y vidaient en même temps ce qui était pour elle une première! « Allez-y mes chéris, défoncez-moi encore plus fort, que je vous sente taper sur ma petite bouche à chacun son tour » . Nous nous activions tant et plus, ma queue était si serrée dans ce fourreau de chair que je commençais à me sentir venir.. « Encore.. encore.. encore.. plus fort !.. » disait-elle, lorsque soudain, après un long silence, elle dressa les deux jambes largement écartées vers le ciel, poussa un hurlement de louve en chaleur qu’elle reprit deux fois.. trois fois ; l’entendre jouir déclencha la mienne et celle de P.. en même temps : nous nous vidâmes longuement dans son ventre qui n’était déjà plus qu’une fange poisseuse mais ô combien délectable ! Son corps coincé entre les nôtres palpitait d’excitation, elle avait le souffle court, je sentais son ventre traversé d’ondes de plaisir.. « Oooh, restez en moi, ne sortez pas, je voudrais que vous bandiez à nouveau pour continuer à me baiser, c’était tellement fort, je l’aurais pas cru.. Que c’est bon d’avoir deux mâles pour moi ! ». P.. lui caressait les seins, pinçait doucement ses tétons ; Rejetant la tête en arrière il l’embrassait dans le cou. J’avais accès à son petit bouton que j’agaçais, provoquant chez Lison des soupirs d’aise et des petits cris de plaisir. Elle contractait et relâchait les muscles pelviens ce qui comprimait nos deux queues dans son fourreau vaginal : c’était un excellent moyen de maintenir notre excitation et de raccourcir le temps de latence entre deux bandaisons. Les yeux toujours occultés par le foulard elle ne vit pas que, saisissant l’Hitachi, j’appliquai la sphère siliconée sur son petit bouton et branchai la première vitesse. Elle poussa un gémissement fulgurant tout en m’arrachant l’engin des mains pour l’appuyer plus fortement ! Elle émit un long hurlement modulé très doux qui monta crescendo… puis raidissant tout son corps en rejetant l’engin, finit par une explosion d’intense jouissance. Elle sembla épuisée quelques minutes puis reprit rapidement ses esprits « oooh là lààà ça c’était trop fort » puis : « chéri, tu voudras bien me laisser ce truc, à moins que tu en aies l’usage pour Victoire ? » Extraordinaire comme une femme récupère vite après plusieurs orgasmes ! Les vibrations de l’engin nous avaient fait durcir P.. et moi. « Oooh oui mes chéris, je vous sens à nouveau.. Baisez-moi fort, bourrez-moi je le veux ! »
Dionysos06, jefetlola, oliver77 et 21 autres a liké
#2762329
maxou501 a écrit :Encore un superbe récit illustré par les extraits du cahier intime de Lison. On voit qu'elle a apprécié vraiment l'expérience de ces deux mâles logés dans son intimité. Que de beaux souvenirs . Merci à Victoire pour son accord.


Merci maxou, ça fait toujours plaisir de te lire. Je vais poster un long extrait du journal de Lison relatant un épisode mouvementé de notre relation. Je posterai en même temps ma version des faits. Il me reste à illustrer l'affaire, ce n'est pas facile.
#2762532
C'est que j'incruste des passages de son journal intime de manière concomitante avec le récit de mes souvenirs. Cela m'a permis de combler une période durant laquelle Lison et moi n'avions plus communiqué, suite à une aventure sans lendemain. Seuls les récits de son journal m'ont éclairé sur ce qu'elle avait fait, car elle s'en était allée.. Faudra s'accrocher, moi-même je m'y perds, heureusement que Victoire a une mémoire flash pour remettre de l'ordre dans la chronologie des faits. Mais pour le moment la Tsarine est fort diminuée pour cause de Covid!
sergio, PhilLing, maxou501 et 1 autres a liké
#2762549
@trestigres, je ne peux que te remercier d'avoir repris le partage de tes souvenirs en y intégrant des extraits des écrits de Lison. Cette premiere double est un plaisir à lire avec vos deux versions.

Je n'oublie pas, non plus, de remercier Victoire pour sa décision positive et lui souhaite un prompt rétablissement.
#2762701
Fin du post précédent
Extraordinaire comme une femme récupère vite après plusieurs orgasmes ! Les vibrations de l’engin nous avaient fait durcir P.. et moi. « Oooh oui mes chéris, je vous sens à nouveau.. Baisez-moi fort, bourrez-moi je le veux ! »

Suite

Nous basculâmes en sens inverse, de sorte que je me trouvai sur le dos avec Lison ventre contre ventre sur moi, P.. étant par dessus son dos. Elle arracha son bandeau : « aah m’enfin c’est toi ? Je croyais que c’était P.. alors là j’y comprends plus rien !!! Comment ai-je pu confondre vos queues ? P.. l’agrippa par les hanches et se mit à la défoncer brutalement en lui donnant de fortes claques sur les fesses. « Salaud, vas-y même si ça fait mal, ça m’excite ! Plus fort..plus fort ! » Elle se souleva un peu, je pus alors lui saisir les seins et me mis à sucer l’un puis l’autre téton. Elle encaissait dur les va et vient de nos deux queues : nous tapions tant et plus le fond de son ventre sur sa petite bouche. « Ooh là là cette fois… » elle gémit fortement… « c’est venu ! c’est le vagin qui m’a fait jouir!… Bourrez-moi fort, comme ça, encore..encore… » Après un long silence, soudainement elle vint… Son corps se mit à trembler violemment puis elle poussa un grand cri qui se termina plus gravement au fond de sa gorge, repliqué deux trois fois, moins fort. Nous la baisions avec une vigueur non relâchée. Elle gémissait, couinait, grognait, et disait « encore.. encore… encooore…. Bourrez-moi! » Elle était déchaînée ! P.. s’activait, les mains accrochées à ses hanches, il l’attirait à lui pour s’enfoncer au plus profond de son ventre, à tel point qu’il ne résista plus et tira ce qui lui restait dans les couilles. Il roula sur le côté, sa queue ramollie. Poursuivant la cavalcade, Lison s’étant redressée, je lui soulevai le corps en appuyant sur les seins des deux mains, les tétons durement pincés entre mes doigts.. « Ça fait mal mais ça m’excite quand tu les pinces aussi fort » ! Elle gémissait de plus bel mais je n’arrivais pas à jouir. Je la repoussai sur le côté pour qu’elle se mette sur le ventre afin que je puisse la pénétrer par derrière. Je glissai un traversin sous son ventre pour que ses fesses soient plus hautes et facilite la pénétration. Je m’enfonçai en elle, son vagin était béant, dégoulinant, ma queue naviguait dans du mou liquide jusqu’à ce que mes couilles frappent son fondement. « Oh mon Dieu mais qu’est-ce que vous m’avez mis ? Je te sens mon chéri, vas-y, prends ton plaisir, j’aimerais que tu viennes.. j’aimerais tant que tu me fécondes, oui c’est ce que je voudrais ! » Inutile de dire qu’après ces paroles érotiques j’ai tout lâché, j’ai ajouté ma semence à celle de P.. dans ce ventre qui devait contenir un lac de sperme ! « Là tu vois, si j’avais encore des œufs tu m’en aurais fait un.. enfin toi ou P… ! » Ce sujet la travaillait, elle avait souvent exprimé le regret de n’avoir jamais été mise enceinte.. Elle se calma et tout en rêvassant elle me demanda : « Et toi, à part les enfants que tu as fait à Victoire, tu n’as jamais engrossé d’autres femmes ? » Etait-ce une question ou un songe fantasmateux ?...
P.. voulait rentrer chez lui. Lison insista pour qu’il reste et que nous passions la nuit ensemble, tous les trois. Perso j’avais envie de l’avoir pour moi seul, mais je ne voulais pas la contrarier, alors j’ai dit OK. Nous prîmes une douche commune dans sa vaste installation à l’italienne ; elle s’empressa de nous savonner en s’activant sur nos membres mollement dressés et nous en fîmes de même avec son corps: tout y passa : les seins, le sexe, le cul. Séchés, emballés dans de larges serviettes, nous la soulevâmes nue dans nos bras et la déposâmes sur le lit. Un repos d’une heure nous remis en forme. Comment résister à l’envie de jouir encore de ce corps magnifique ? Les serviettes furent ôtées et nus, encadrant Lison, elle fut l’objet de toute notre attention. J’aimais suivre du doigt l’axe médian de son corps en commençant par le front, le nez puis la bouche et le menton, descendant entre les seins jusqu’au nombril, puis gravissant son mont de Vénus proéminent, le doigt redescendait pour atteindre la commissure des lèvres; plus le doigt descendait plus elle était excitée, elle attendait avec fébrilité le moment où le doigt plongerait dans sa vulve – qu’elle a profonde – en effleurant le clitoris, lui arrachant des gémissements de plaisir. Le doigt poursuivait sa course en s’enfonçant dans son vagin pour ressortir aussitôt et pendant qu’elle pivotait pour se mettre sur le ventre le doigt alla s’engouffrer entre ses fesses, visitant son petit trou des reins puis remontant le long de la colonne pour terminer sur la nuque.. La tentation était grande de la pénétrer par derrière mais la frustration fut encore plus grande lorsqu’elle demanda à P.. de la prendre par là, devant moi. Je lui claquai fortement les fesses en guise de protestation car je crus comme lui qu’elle lui demandait de la prendre dans les reins. Sentant son gland pointant sa petite rondelle, elle refusa, il y avait méprisee, ses reins me sont réservés lui dit-elle. Changeant d’angle et un peu frustré, P.. s’enfonça entre des lèvres rougies par l’action.
Clyde77, vox, annaloic29 et 15 autres a liké
#2762702
Je savais que mon tour viendrait après et que je profiterais d’un vagin lubrifié par les humeurs de P.. Il la baisa avec douceur, elle l’encouragea à y aller plus fort, « à la hussarde » comme elle disait ! La positionnant sur le côté il y alla avec force, s’enfonçant au plus profond, s’agrippant à ses hanches. Elle gémissait à nouveau, puis ce fut le silence ; P.. marqua un temps d’arrêt mais aussitôt elle protesta « non, encore.. encore plus fort.. » signe que l’orgasme était proche. Soudain une jambe commença à se tendre : c’était parti, elle gronda profondément pour monter dans des notes plus aigues. C’est toujours différent avec elle, j’adorais la voir et l’entendre jouir, que ce soit avec moi ou avec P.. Il tira ce qui lui restait de semence, c’est-à-dire pas grand chose, la queue bien au fond, et me dit « à toi maintenant, profites-en tant qu’elle est chaude ». Il se retira et je pénétrai dans un vagin béant qui n’avait pas encore repris sa forme ; des humeurs s’en échappaient et tâchaient le drap. Le fourreau tapissé abondamment étant d’une douceur fatale, je me sentis venir. Il fallait que je ralentisse et que je pense à autre chose. « Mais pourquoi tu arrêtes » me demanda-t-elle alors que je me contrôlais à peine. Je le lui dis mais elle me répondit qu’elle voulait que je prenne mon plaisir, elle voulait sentir ma semence jaillir dans son ventre. Ce qu’elle voulait elle le reçut, et contre toute attente elle jouit en même temps que moi. Epuisés nous l’étions ! Nous nous endormîmes nus, les uns contre les autres, Lison collée contre moi, et P.. contre son dos et ses fesses.
Je fus réveillé tôt matin par des soubresauts du matelas ; ouvrant un œil ce fut pour découvrir que P.. baisait Lison avec ardeur mesurée, agrippé à ses hanches. Lison, face à moi, avait l’air de s’excuser de s’être une nouvelle fois donnée à lui ! Je la rassurai d’un baiser sur la bouche. Elle jouit devant moi en glapissant doucement.. P.. ne tarda pas à vibrer en elle - lui en restait-il ? -, puis roulant sur le côté il s’endormit. Je fis de même tout en caressant sa fente humidifiée. Nous nous endormîmes à notre tour, mes deux doigts dans son intimité. Il se faisait tard lorsque je me réveillai. P.. dormait toujours et Lison dormait sur le ventre, les cuisses largement ouvertes, laissant voir au fond de sa fente une vulve cramoisie. Je branchai en petite vitesse le vibro Hitachi muni seulement de sa tête ronde, et l’appliquai contre son fondement. La réaction fut immédiate : elle serra les cuisses en poussant un cri de surprise, essaya de dégager l’intrus qui se trouvait coincé entre ses chairs, s’agita tant et plus et se retournant, finit tout à fait éveillée : « t’as pas honte de me faire ça quand je suis inconsciente ? » dit-elle sur un ton amusé pendant que j’arrêtais l’engin. « Mais pourquoi tu l’arrêtes, j’aime bien, laisse-le vibrer doucement, c’est bon, après tu pourras me prendre encore une fois pendant que P.. dort. L’intermède m’avait excité et raidi, je pointai mon gland à l’entrée de son vagin toujours bien ouvert et la pénétrai sans la moindre résistance.. « C’est bon, vas-y doucement car c’est irrité, je ne me lasserai jamais de faire l’amour avec toi. Lui là, qui dort, il me baise bien mais on ne fait pas l’amour .. C’est toi que j’aime mon chéri. Fais-moi du bien ! » Sur ces entrefaites, P.. se réveilla alors que je limais avec douceur son fourreau vaginal douloureux. Il voulu la prendre après moi, mais Lison refusa. « Laisse mon amant de cœur me faire l’amour, tu me baiseras un autre jour, j’ai mal, tu es trop gros ! » lui dit-elle. Elle ajouta qu’elle avait bien vu que P.. avait pris des photos ; elle exigea qu’il lui remette la carte mémoire SD. Un peu vexé P.. s’exécuta, la lui remis de mauvaise grâce, s’habilla et s’en alla, nous laissant nous éprendre l’un de l’autre.. Lison me manifesta son amour toute la matinée, je fus dorloté et me laissai faire avec plaisir.
Elle avait réalisé son fantasme, elle avait été prise en double deux fois mais n’était pas encore prête à le refaire. Cependant l’occasion se représenta, mais bien plus tard.
Lorsque la belle-fille de Lison me remit son journal intime contenu dans une clé USB, je découvris que certaines des photos de la carte mémoire SD y avaient été transférées..
ChrisetElle, vox, annaloic29 et 17 autres a liké
#2766446
Ayant passé la cinquantaine, Lison s’était sentie vieille fille après le décès de son mari, mort d’éthylisme. Il ne la baisait plus depuis longtemps préférant sa bouteille de vodka. Elle m’avait dit que ce sentiment l’avait ravagée, la poussant parfois à aller draguer dans les discothèques près de chez elle, ramenant un affamé ou l’autre qu’elle consommait vite fait. Jusqu’au jour où elle me téléphona pour savoir si je me souvenais toujours d’elle. Ce fut ainsi que nous nous retrouvâmes pour la première fois dans le même lit. Elle avait maintenant deux amants qui la confortaient dans l’idée qu’elle était encore bonne, qu’elle était un bon coup. Mais elle craignait l’avenir : ni P.. ni moi ne l’épouserions, elle le savait. Elle y pensait et se préoccupait de savoir avec qui elle pourrait refaire sa vie, qui prendrait soin d’elle plus tard en cas de maladie.. Je lui avais assuré qu’elle pouvait compter sur Victoire et moi, que nous nous occuperions d’elle, mais cela ne la rassura pas.
La fin de l’année arrivant, Victoire s’envola avec la famille pour la Barbade. J’avais prévu d’emmener Lison pendant une quinzaine en Espagne. Je l’avais rejointe chez elle et nous en discutions tous les deux dans un bain délicieux, lieu dédié aux bonnes décisions. Mais pour une raison que je n’arrive plus à me remémorer, la discussion dégénéra en controverse entre Lison et moi, provoquant une colère déconcertante chez elle. J’eus beau tenter de la calmer, elle ne voulut rien entendre. Je lui dis, un peu imprudemment que dans ces conditions je partirais seul : j’en avais un peu assez de ses colères orageuses . Vexé tout en réalisant que je faisais une erreur, je me rhabillai, pris mes affaires et m’en allai, espérant qu’elle me retiendrait : c’était mal la connaître ! A peine avais-je démarré la voiture que je regrettai cette décision, mais têtu, je persistai. Elle n’appela pas. Le lendemain j’étais en route pour l’Espagne, sans Lison. Arrivé sur place deux jours plus tard, déjà je me morfondais, regrettant de n’avoir pas pu gérer sa mauvaise humeur ni la mienne. Après quelques jours je lui écrivis une lettre que je postai d’Espagne pour lui dire combien je regrettais d’être parti sans elle. Dès mon retour je l’appelai et nous convînmes de nous retrouver le soir même. Arrivée chez elle, je l’emmenai chez son écailler favori espérant me faire pardonner. « J’ai reçu ta lettre, très gentille… mais elle est arrivée trop tard.. » Que voulait-elle dire ? Je lui demandai de s’expliquer. « Ben oui, comme nous nous étions quittés fâchés et que tu ne m’avais plus rappelé, j’ai cru que c’était fini nous deux, alors maintenant j’ai quelqu’un… » Elle avait parcouru des sites de rencontre sur Internet et elle avait noué une relation épistolaire super rapide avec un gars vivant dans sa région de prédilection : les Landes. Elle avait rêvé – un peu prématurément - qu’elle pourrait refaire sa vie avec lui, et aller vivre dans les Landes ! Ça la faisait fantasmer ! Comme ce gars devait descendre sur Paris, elle comptait le rencontrer. Ce qu’elle fit. Elle revint en me disant qu’il lui plaisait, elle l’avait rencontré brièvement dans un café de Saint Mandé, il avait voulu l’embrasser mais elle s’y était refusée. Je la retrouvai un peu perturbée par cette rencontre : elle craignait pour son avenir et semblait prête à se jeter dans les bras du premier mec qui lui ferait miroiter un « avenir radieux ». A mon grand soulagement elle m’accepta dans son lit ce soir-là et elle se donna à moi avec une ferveur désespérée. Victoire toujours absente, m’avait appris qu’elle prolongeait son séjour à la Barbade ; j’appris incidemment que P.. avait été la rejoindre! Je proposai donc à Lison de faire un petit voyage en baie de Somme en guise de retrouvailles mais ce fut plutôt en guise d’adieux. Installé dans un petit hôtel à St-Valéry, nous nous balladâmes main dans la main dans cette baie magnifique. Mais Lison n’était plus la même : songeuse, peu bavarde, peu démonstrative au lit, ça n’allait pas. Un soir je l’interrogeai ; elle me confessa qu’elle pensait à ce gars, un certain Michel, qu’elle pensait qu’elle devrait aller le rejoindre, mais ça la perturbait vis à vis de moi. Alors je lui dis : « Ecoute, soit tu décides de ne pas y aller, ce qui me ferait plaisir mais tu risques de le regretter et tu me le reprocherais ; soit tu y vas, je le regretterai beaucoup mais pour ton bonheur, j’accepte de prendre le risque de te perdre pour toujours. Elle se jeta dans mes bras.. « toi tu me comprends vraiment, c’est avec toi que j’aurais voulu vivre ».. Elle avait promis à ce Michel de lui donner une réponse rapide, alors elle lui téléphona pour lui annoncer sa venue prochaine. Cette décision étant prise elle redevint guillerette et joueuse au lit. « Je vais encore profiter de toi avant de partir, mais si ça ne va pas avec lui, est-ce que tu accepterais de me reprendre ? » Elle voulait dire : après avoir couché avec lui ! Je restai évasif, tout en lui murmurant que peut-être elle ne voudrait plus de moi.. « Tu as raison, ne tirons pas de plan sur la comète ! »
Revenus chez elle, elle me demanda de passer ensemble les quelques jours qui restaient avant son départ. Nous fîmes les magasins et boutiques, elle voulait s’acheter de nouveaux sous vêtements, je choisis avec elle de nouveaux slips à dentelles dont un noir, et un string, des soutifs affriolants, mais aussi pantalons et chemisiers afin d’être plus que présentable à son futur nouvel amant. Cela me plaisait assez de participer à sa préparation, et lui dis que l’idée qu’à peine arrivée elle se ferait baiser par lui m’excitait. Je lui fis promettre de tout me raconter. Elle me répondit « presque mais peut être pas tout ! » Je lui demandai pourquoi pas tout ? Elle me répondit que la situation serait différente parce qu’il s’agissait non pas d’un amant seulement pour le plaisir mais peut-être d’un futur compagnon pour le restant de ses jours, et que je n’aurais pas à connaître les détails intimes de sa relation future.. J’en pris acte ! Prudemment elle avait réservé le petit studio à l’endroit où elle passe habituellement ses vacances pour ne pas dépendre uniquement de ce Michel dont elle ne connaissait rien.
Le jour de son départ, j’avais le cœur gros : j’allais peut-être perdre mon amante adorée pour toujours.. « Je reviendrai te voir, c’est promis, mais si je décide de rester avec Michel, on ne pourra plus coucher ensemble!».. Diable, elle prenait la chose très au sérieux ! « Laisse-moi admirer ton corps nu une dernière fois ».. Elle portait les sous-vêtements sexy que je lui avais achetés ; je les lui retirai lentement, embrassant les seins puis parcourant des lèvres son torse puis son ventre j’arrivai à sa toison blonde qui avait bien repoussée. Je voulu introduire mes doigts dans sa fente mais elle dévia ma main, disant « là je ne veux plus ! » J’étais frustré et malheureux : il était clair que j’étais en train de la perdre..


Extraits de son journal 2004

Mardi 6 janvier

On s’est disputés ! Pour des conneries.. on était dans le bain pour discuter de ce voyage et la discussion est partie en couille à cause de l’avion, mais pas que. Puis ça a dégénéré. Un peu de ma faute. J’aurais dû le retenir.. Fâché il a dit qu’il partait sans moi et ma quitté sans même un kiss. Bon, j’ai un peu pleuré puis je me suis dit qu’il allait revenir.. Mais non il était vraiment parti ! Alors j’ai pensé que c’était peut être fini avec mon chéri. Je ne savais pas quoi faire. Peut être qu’en l’appelant le lendemain j’aurais pu le faire changer d’avis ?

Mercredi 7
Fini pour fini, j’ai été sur des sites de rencontre pour voir si y a pas un mec qui me plaît. Je poste plusieurs likes, on verra bien.

Jeudi 8
Aucune nouvelle de mon (ex?)chéri. Je pleure un peu
Alors je vais sur le net, en chasse

Dimanche 11
Un mec a mordu à l’hameçon ! Super, il est dans les landes !
On a discuté un peu. Assez sympa. Sur la photo il a une gueule normale, pas vraiment mon genre, mais ça va

Mercredi 14
Pas de nouvelle de mon ex chéri je suis triste, mais bon..
Le mec s’appelle Michel. Il sera sur Paris dans un mois
On discute beaucoup par skype

Vendredi 16
Mon chéri m’a envoyé une lettre ! J’en reçois jamais alors c’était une surprise. Il dit qu’il regrette et qu’il aurait dû faire demi tour pour se replonger dans le bain avec moi pour continuer à discuter ! Je sais pas quoi faire maintenant. Il dit qu’il rentre ce we.

Dimanche 18
Sa femme ne reviens pas de la barbade avant je sais pas quand, il est venu tout de suite me voir. Je lui dis que j’ai quelqu’un. Il veut savoir, mais y a rien à dire. On fait l’amour mais ça ne marche pas, il stresse et moi je sais pas où j’en suis .

Mercredi 21
Pas de nouvelle de D.. Mon chéri bouderait-il ?

Vendredi 23
J’ai rendez vous à Paris avec ce Michel samedi 6 février.. on verra

Mercredi 28
P.. m’a téléphoné : c’est son anniversaire. Je l’invite à prendre un verre en tout bien tout honneur..
Evidemment impossible de résister : ça s’est terminé au lit toute l’après midi. Dieu qu’il m’a bien baisée !


Vendredi 30
D.. est venu mais on a rien fait. Je lui ai dit pour le rv avec M. Il n’a pas commenté.

Mercredi 4 février
Michel m’appelle tout le temps, c’est lassant. Il voudrait que je réserve dans le même hôtel que lui ! pas question.

Jeudi 5
Je pars demain. Je flippe un peu.. Je prends ou pas le chien ?

Lundi 9
Je l’ai rencontré. Avec mon chien. C’était moyen, il a voulu prendre ma main et m’embrasser mais j’ai dit non. Il ne comprenait pas pourquoi j’étais venue si je refusais. Non mais ! je suis pas (encore) sa meuf ! Moi si ça va trop vite ça ne va pas. Suis rentrée dimanche.

Jeudi 12
Michel demande que je vienne chez lui dans les landes. J’ai envie et pas envie à la fois. Et comment D.. va réagir ?

Lundi 16
Mon chéri, enfin ex ! est venu et je lui ai dit pour Michel. Il a fait une drôle de tête ! il veut m’emmener faire un petit séjour sur la côte normande.. ce sont des adieux ? Moi j’aime bien la côte normande

Jeudi 19
Michel insiste il veut savoir si je viens . Mon ex chéri insiste pour qu’on aille faire ce petit trip en normandie.. je suis sollicitée ! je vais accepter le premier, le second ou les deux, ?

Dimanche 22
Mon chéri est venu. On s’est aimé. C’était bon. Il ne pouvait pas rester, dommage, Victoire est revenue de la barbade.

Dimanche 29
Tiens une année bissextile ! Mon chéri (ex) est venu. On la fait, il le voulait tellement, moi aussi j’en avais envie.. Victoire part pour Londres donc il va m’emmener en normandie. J’ai dit oui

Lundi 1er mars
D.. vient me chercher dans une heure, on part pour St Valéry, première étape.

Mercredi 3
On loge dans une chambre d’hôte tout confort. Ya même une cabine téléphonique !
On s’est baladés, mangé des bulots, été au Crotoy, vu la marée montante dans la baie.. c’est beau ! Mon chéri fait tout pour me garder, je vais avoir un problème de choix

Jeudi 4
On a discuté. Mon chéri me dit que le choix est simple : soit il me garde avec lui, ça veut dire que je perds une occaz de faire ma vie avec Michel, et je risque un jour de le lui reprocher.. soit il me laisse partir avec le risque de me perdre mais il veut mon bonheur. Et si ça ne va pas avec Michel, est ce qu’il voudra encore de moi ? Il dit que son choix est de me laisser partir, il prend le risque de me perdre. Et bien sûr je pleure dans ses bras !

Vendredi 5
Je me suis enfermée dans la cabine pour téléphoner à Michel . Je flippais de parler devant mon chéri. Michel me met la pression : c’est oui ou c’est non ? C’est donc fait je m’en vais, je pars vendredi prochain.
Je le dis à D.. en me jetant dans ses bras pour lui dire merci. Le soir on a fait l’amour comme avant, j’ai joui très fort lui aussi !
On part le long de la côte pour aller jusqu’au Havre. D.. nous prend en photos souvenirs

Mardi 9
Retour à la maison. Mon chéri pense que je dois me renipper en sous vêtements pour mon «nouvel amoureux» pour pas qu’il soit déçu quand il me déshabillera. Mais qui dit que ça ira jusque là ? On va faire les boutiques : nouveaux slips dentelles, même un string, nouveaux soutifs, nouveaux pantys, chemisiers, jupes et pantalons , chaussures.. mon chéri me paie tout ça, c’est généreux alors qu’il va me perdre !

Mercredi 10
Michel m’a appelé. Je pars dans 2 jours pour les Landes. J’ai pas dit que je venais avec mon chien. J’ai réservé mon petit studio de Seignosse, je ne veux pas aller chez lui en arrivant .. et puis je veux avoir une retraite possible, on ne sait jamais.


Suite

Elle m’appela comme promis, elle était arrivée la veille. « Tu es dans ton petit studio? » lui demandais-je.. « Ben non, finalement je ne le prends pas, Michel m’a dit de venir chez lui, c’est plus pratique et j’y ai passé la nuit.. » Donc je présumai que ça avait déjà dû se passer et je lui posai la question.. « Oui ça s’est passé, mais la première fois, c’était si peu que peu.. il n’a pas pu se contrôler. Elle avait ajouté qu’il l’avait prise plusieurs fois pendant la nuit, qu’il était en manque depuis des mois. Je dois bien avouer que cette nouvelle m’avait passablement perturbé : je ne connaissais pas ce Michel, je ne savais rien de lui et j’avais du mal à accepter qu’il profite de son corps. J’essayai de me résonner, je l’avais bien prêtée plus ou moins volontairement à P.., nous l’avions prise à deux, et voilà que j’en arrivais à nourrir un sentiment de jalousie teinté d’excitation. Il fallait qu’elle me parle, me dise tout, mais je la sentais réticente, elle faisait de la rétention d’infos et ça me rendait cocu ! « Lâche-moi les baskets » me disait-elle, « laisse moi le temps de le découvrir, tu sais bien ce que je recherche que tu ne veux ni ne peux me donner. Si je peux refaire ma vie avec lui, laisse-moi ma chance.. » Je décidai de la laissai tranquille en m’abstenant. Elle finit par m’appeler pour me donner des nouvelles : ils faisaient de longues ballades le long de l’océan, il l’avait emmenée un we à Biarritz, présentée à son groupe d’amis... « Mais es-tu amoureuse de lui, et lui de toi ? » lui ai-je demandé. Elle répondit qu’elle ne savait pas encore, c’était trop tôt, ce qui la perturbait c’est qu’il semblait être très jaloux de moi, et puis aussi qu’il l’avait beaucoup photographiée nue, en faisant l’amour, dans le bain ; même si ça la flattait ça ne lui plaisait pas trop car elle ne savait pas quel usage il pourrait en faire en cas de rupture.... Elle n’avait pas eu le coup de foudre pour le lui, me dit-elle, car « « il n’est pas ce qu’on peut appeler un homme sexy comme P.. et toi.. ». Merci beaucoup, je garde un petit espoir ! Elle me raconta que la première fois qu’il l’a prise, en deux minute c’était fini, ce qui la frustra. En échange il lui fit un cunni qui la mena à l’orgasme et le second essai fut mieux réussi ! Depuis il la prend plusieurs fois par jour, surtout la nuit mais elle n’a pas osée, par pudeur, se montrer entièrement nue devant lui les premiers jours, elle le rejoignait sous la couette en liquette pour se déshabiller ensuite !!! « Ça doit te changer des turpitudes que nous t’avons fait subir P.. et moi ou P.. et Victoire ! » « Oui c’est vrai, mais c’est peut-être ainsi que je devrai concevoir mon avenir si pour autant qu’il veuille de moi.. » Pauvre Lison, je doute que cet homme convienne à son tempérament fantasque et volcanique.. Je la laissai tranquille, lui laissant l’initiative de m’appeler si elle le désirait. Elle m’envoya un sms pour me dire qu’elle avait décidé de rentrer après un mois passé avec lui. Je ne lui répondis pas.
Extraits de son journal 2004

Samedi 13 mars
Je suis arrivée. J’ai appelé D.. . Je lui ai dit que j’avais été directement chez Michel.. et que je renonçais au studio.

Dimanche 14
D.. m’a appelée mais j’ai pas pu répondre pour cause d’occupation intime ! Plus tard je lui ai téléphoné, il m’a demandé si ça s’était déjà passé avec M. J’ai dit oui, mais c’était un peu raté, il a joui trop tôt. Alors il m’a fait un très bon cunni qui m’a fait jouir. Puis il m’a reprise et cette fois il a tenu plus longtemps. Mon chien l’embête, il ne le veut pas dans la chambre et encore moins sur le lit ! J’ai promis à D.. de tout lui dire ou presque..

Lundi 15
D.. m’appelle tout le temps. Je ne peux pas lui répondre. Je reçois plein d’SMS, il me questionne.. M’enfin il doit bien se douter de ce qui se passe avec Michel ! Il me casse les pieds, je décide de ne pas lui répondre.
Michel a pris congé une semaine, il me prend 3 fois par jour au moins, parfois 4 ! Mon corps n’est pas encore habitué au sien, je le trouve un peu maladroit comparé à ce que j’ai connu avec P.. et D.. Sa queue pourtant assez grosse ne vaut pas les vôtres, mes chéris.. Il porte du latex, j’aime pas ça ! Je lui ai dit de faire un test VIH. Il me photographie souvent et aussi en vidéo. Ça me gène.. mais ça l’excite !

Mardi 16
Test négatif. Il a enlevé le latex ! Mais il me veut épilée. DEFINITIVEMENT !
Il va prendre rv dans un institut à Bayonne. Tout à ses frais, normal !

Jeudi 18
Il m’a présentée à sa bande de copains. Bof, suis pas emballée, ça vol pas très haut. Mais je m’accroche, et puis ce sont le Landes, la plus belle région de France, celle que je péfère.
Après le petit dèj il va faire son jogging puis il m’emmène en ballade. On baise tous le soir, la nuit sans lumière, Michel veut le noir. Ça me change… il me prend aussi le matin. Je suis pudique, il me photographie toute nue et aussi quand on baise!

Lundi 22

Il recommence à travailler. Je reste seule chez lui. J’ai pris la voiture pour aller jusqu’à Seignosse voir mon ami Philippe, patron du «bar des surfeurs». Il a vieilli. Il était content de me voir.
Michel rentre le soir et commence par me baiser.. j’ai pas nécessairement envie, j’aimerais un petit apéro. Séance photo, tout y passe : mes nibards, mes fesses, ma fente . Il me montre la vidéo, c’est étrange de voir un porno dont je suis l’actrice X. J’aime pas trop. J’espère qu’il ne l’a pas montrée à ses amis !
Il veut que je lui parle de mes ex.. il semble un homme très jaloux.

Jeudi 25
Il pleut tout le temps. Je m’ennuie . Pour la première fois depuis longtemps je me suis masturbée. C’était bon mais je regrette d’avoir oublié le truc Hitachi qui m’aurait fait monter aux rideaux ! Je joue avec Rambo, puis on sort sous la pluie. Michel m’a téléphoné pour dire qu’il reviendrait tard avec un ami.

Vendredi 26
J’ai pas aimé la soirée. Michel, bourré, me poussait dans les bras de son ami, assez joli garçon, qui est resté coucher car on avait tous trop bu. J’ai résisté à ses avances : mains sur mes cuisses puis sur ma poitrine.. Michel m’en a fait le reproche, j’aurais dû le laisser faire .. Je lui ai demandé s’il aurait voulu que je me fasse sauter par lui ! Il m’a dit peut-être, et que je n’avais pas été gentille avec lui! C’est le comble, il aurait voulu me prêter à son ami ! Quoique je n’aurais pas dit non, mais pas en présence de Michel.. Il était très excité et voulait me baiser, j’ai pas voulu..

Lundi 29 mars
RV à l’institut. On m’a couchée sur une table et j’ai dû enlever le bas. Comme j’ai des poils blonds il faut faire ça par électrolyse « flash ».
Il faut traiter le pubis et les lèvres. Elle dit qu’il faut 2 séances pour le pubis et 2 pour les lèvres. Là c’est plus douloureux et elle appliquera un e crème anesthésiante. Je dois revenir tous les 2 jours pour 4 séances.
Elle a commencé par mon pubis, elle a fait la moitié. Y a des petites tâches de sang coagulé, elle dit que ça va partir.. Je retourne mercredi.

Mercredi 31
Suis retournée à Bayonne. A l’institut on m’installe et c’est un homme qui vient, il dit que sa collègue est malade. Je dois quand même enlever le bas et il examine le travail déjà fait. Ça me gêne un peu mais comme il est pas mal, ça passe mieux ! Il s’occupe de l’autre moitié de mon pubis.. Il me dit de revenir vendredi, on s’occupera du reste, lui ou elle. Je préfère lui, il est pas mal et l’idée qu’il me tripote les lèvres …ça m’excite assez !

Vendredi 2 avril
Michel est gentil mais je m’ennuie et il le sent bien. Il m’a emmené la veille au ciné voir le seigneur des anneaux. Je me suis embêtée .
On a baisé toute la nuit, il a pris plein de photos.
Demain nous allons à Biarritz. Il a réservé à l’hôtel du Palais Biarritz en bord de mer. Je suis retournée à l’institut pour la 3e séance. Un peu déçue car la fille est revenue, c’est elle qui pique mes lèvres après les avoir enduites de crème anesthésiante. Ça fait quand même un peu mal.
Les tâches sur mon pubis commencent à disparaître. Prochaine séance lundi.

Samedi 3
L’hôtel est super et la chambre aussi. Vue sur l’océan. Il fait un de ces vents!... Michel me demande de me mettre nue sur la terrasse pour faire des photos ! Je refuse il fait trop froid. Après le déjeuner on a passé l’après midi au lit, il m’a prise 2 fois j’ai joui bien fort. L’air de l’océan nous a fait du bien.

Dimanche 4
Tempête, vent et pluie. On est resté à la chambre toute la journée sauf pour aller manger. Il a voulu que je reste nue , ça l’excite de me voir à poil circuler dans la chambre. Il a pris plein de photos.. Tant que c’est dans la chambre.. Il me fait un peu la gueule à cause d’un jeune serveur au resto, joli garçon, qui m’a fait un peu de gringue. Quand je disais qu’il a un caractère jaloux.. Pendant qu’il dormait je suis descendue au bar pour prendre un verre de vin, et là, surprise, je retrouve le joli serveur derrière le bar. Il me sert généreusement et nous faisons connaissance. Il est surfeur pro.. et barman. Sans aller bien loin, je vois bien que je lui plais, il est mignon, je me l’enverrais bien si j’avais pas Michel. Lui, il est justement arrivé au bar pendant que je causais avec ce joli garçon. Il avait un air que je n’ai pas aimé et me prenant par le bras on est remonté à la chambre. J’ai eu droit à notre première scène de jalousie. Il me reproche de me laisser trop vite draguer. Il n’a pas tout à fait tort, j’aime ça !

Lundi 5
Je suis retournée tôt matin à l’institut. Elle est en congé, c’est le beau jeune homme qui s’est occupé de moi. Il a terminé le travail sur l’autre lèvre. J’ai bien senti qu’il touchait plusieurs fois l’intérieur de ma vulve ce qui m’a fait replier les cuisses par réflexe. Il m’a souri chaque fois. J’ai pas osé de lui dire de continuer.. Il a dit que je devrai revenir dans quelques jours pour des soins aux parties épilées.
Michel a voulu voir le résultat : c’est pas très beau, c’est plein de petites tâches rouges. Ça ne la pas empêché de me prendre, très excité.

Mardi 6
Aucune nouvelle de D.. je n’en donne pas non plus.
Michel n’est pas très câlin, il me fait la gueule depuis 2 jours, rapport à ma causette avec le barman. C’est qu’il est vraiment jaloux, j’aime pas trop ce défaut. En plus il n’aime pas mon chien Rambo, je l’ai vu lui donner des coups de pieds !
Cette nuit il ma prise avec brutalité et il m’a fait un peu mal, ça m’a irrité.
Décidément je regrette mes deux gredins qui me baisaient si bien.

Jeudi 8
Je suis retournée à l’institut pour les soins. Le beau jeune homme m’a accueilli avec un grand sourire. Il me demande de lui montrer le résultat, j’enlève le bas cette fois avec plaisir ! Il me dit que c’est très beau, on ne voit presque plus les points rouges mais il doit m’enduire avec de la crème cicatrisante et me dit qu’il faut en remettre tous les jours jusqu’à la cicatrisation complète. J’aime bien le contact de ses mains qui passent sur cette partie de mon corps, il a massé mon pubis en remarquant qu’il est épais ! Il a enduit mes lèvres et à nouveau j’ai senti ses doigts passer dans ma vulve et s’attarder sur mon clitoris. Je suis sûre qu’il a remarqué que je mouillais, car je mouillais ! Ça s’est arrêté là hélas ! J’aurais aimé plus, je l’aurais bien accueilli en moi ! Il m’a dit au revoir en m’embrassant smac smac et en me souhaitant bonne chance..
Michel est rentré tard, il a voulu voir ma fente. Il s’est jeté sur moi pour me pénétrer tellement il était excité. Il m’a bien baisée, j’ai eu un bon orgasme. Lui aussi. Nue, il m’a photographiée sur toutes les coutures. J’étais gênée mais aussi flattée que mon corps ne devait pas être si moche..

Vendredi 9
Michel est ravi du résultat, il est fou d’excitation ! Il est parti travailler mais il est revenu à midi pour me baiser ! Il a dit que ce soir il ferait une séance photos et vidéos. Aïe aïe aïe !

Samedi 10
J’étais comme une actrice du X ! Tout mon corps a été photographié, mais j’ai exigé qu’il ne prenne pas ma figure ou qu’il l’efface. Je ne sais pas ce qu’il va faire de toutes ces photos et vidéos, ça me préoccupe. Il nous a même pris entrain de baiser !

Dimanche 11
Je décide de partir mardi. Je dis à Michel que j’ai des trucs à faire chez moi, et puis je veux voir Joelle et Eric. Et aussi avoir des nouvelles de D.. qui a fait le mort depuis un mois. Mais ça je ne le dis pas à Michel, of course !

Lundi 12
Envoyé un SMS à D.. « tu vis toujours ? »
Pas de réponse.
Ce soir on va au resto pour fêter mon départ, et puis je m’attends à une nuit « chaude »

Mardi 13
Hier soir on est rentrés pompettes du resto puis on a baisé plusieurs fois mais Michel avait trop bu, ça n’allait pas fort, il s’est endormi ! J’en ai profité pour prendre les cartes SD de son appareil et de sa cam video, je ne sais pas ce qu’il pourrait en faire, c’est une précaution..
Je suis prête, on a mieux fait l’amour ce matin. On s’embrasse, il dit de revenir très vite. J’embarque mon clebs et CONTACT ma peugeot démarre !

Mercredi 14
J’ai logé en route dans un F1, c’est le bas de gamme ! Arrivée tard. Pas de nouvelles de Michel. Je pense que s’il m’avait appelée en chemin j’aurais été capable de faire demi tour pour le rejoindre. Mais il n’a pas appelée.

Jeudi 15
La cata ! J’ai pleuré. Michel m’a envoyé un sms. Il a découvert sur Facebook une photo de moi avec D.. la veille de mon départ pour chez lui. Je lui avais pourtant dit que c’était fini avec D.. Il a constaté la disparition des cartes mémoires et sait que c’est moi qui les ait. Il m’a écrit qu’il ne fallait pas le prendre pour une prune ! Que c’était fini, qu’il ne veut plus me voir.. Je me dis que j’ai bien fait de les prendre..
Un sms à D.. est resté sans réponse. Je me sens très seule. J’ai sangloté toute la journée.



J’appris plus tard qu’après son retour, elle reçut un sms de ce Michel lui disant qu’il avait trouvé sur Facebook une photo d’elle et moi, datée de l’avant veille de son arrivée, et qu’il ne fallait pas qu’elle le prenne pour une prune !… ainsi il mettait un terme à leur relation ! Elle était à la fois secouée par cette nouvelle mais aussi soulagée car elle n’était pas convaincue par cet homme. Elle pleura en se blottissant dans les bras de Victoire qui l’avait invitée pour la consoler. Victoire venait de rentrer de son séjour à la Barbade, accompagnée de P.. et de la famille. Elle était magnifique, bronzée, l’œil vif, les tétons pointant au travers de son chemisier ! J’avais d’autant plus envie d’elle après qu’elle eût été baisée par son amant pendant son séjour. Elle m’avoua que ce long séjour avec P.. avait fini par lasser sa libido pour lui . Elle était heureuse de me retrouver.
Noste, Dionysos06, mika007 et 11 autres a liké
#2766480
Encore des récits merveilleusement bien écrits et illustrés. Pas facile de trouver l’homme idéal que recherche Lison, excepté celui qui déjà était pris. Sa. Vie sentimentale n’à pas été facile, mais il en a été ainsi, avec tout de même le bonheur de t’avoir eu régulièrement à ses cotés pour passer de délicieux moments.
#2766495
@trestigres, je vais débuter par le plus simple. Que ces photos sont magnifiques, pleines de joie de vivre, de sensualité et de charme ! Une capsule temporelle vibrante de bonheur qui doit re réjouir et t'attrister à la fois.

Je passe maintenant au complexe et au meilleur. Ce long récit s'avère l'un des plus riches et passionnants que j'ai lu sur ce forum. Félicitations. Quelle riche idée que ce dialogue à quatre mains entre Lison et toi ! Je le qualifie de balzacien tant il explore sans fard, et avec la précision diabolique d'un scalpel, les aléas de l'âme humaine. Tout y est, rien n'est omis. De la peur de vieillir, à la passion sexuelle et amoureuse, à la jalousie, aux hésitations et aux revirements du cœur dont les battements s'avèrent parfois intermittents. Une leçon de vie.

Lison apparaît dans toutes ses fragilités et sa complexité qui la rendent si attachante.

Tu es l'amant aimant, honnête et quelque peu jaloux, mais foncièrement épris d'elle sans jamais la manipuler.

Quant à ce Michel, qu'en dire ? Un homme à ton opposé : possessif, jaloux, obsédé, mort de faim et manquant, au fond, de sécurité affective et sentimentale. Lison eut le nez creux de partir avant qu'elle ne fût sa chose et son objet sexuel.

Comment ne pas évoquer Victoire, la tsarine ? Égale à elle-même et fidèle à ses deux hommes, P et toi. Une libertine assurée, affirmée, aristocratique, tout à la fois épouse, mère, amante et salope assoiffée de sexe. Je l'imagine sur cette plage de la Barbade, belle, nue, dorée, coquinant avec P en ton absence. Mais je souligne aussi sa lucidité, sa maîtrise d'elle en sachant quand sa relation libertine avec P va trop loin ou la lasse. Une sacrée femme ! Une héroïne de Dostoïevski.
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