Voilà bien longtemps que je n'ai plus alimenté ce fil de discussion, il est temps que je vous tienne au courant de l'évolution de la situation.
Ma relation avec Diane et son cocu Camille se poursuit, même si ça n'est pas facile puisque je rappelle que je vis à 5000 km de la France. A cela, s'ajoutent les aléas de la vie, les inévitables soucis professionnels ou familiaux des uns et des autres. Il faut avoir l'esprit disponible pour ce genre de jeux, et le quotidien ne nous facilite pas toujours les choses.
Il faut aussi des pauses de temps en temps pour reprendre un peu de distance et ne pas se perdre. Malheureusement, ces moments sont trop souvent mis à profit par Camille pour retomber dans ses errances habituelles. En clair : retour à ses habitudes de masturbations incessantes, à tout moment de la journée. Cela a toujours le même effet : repli sur lui-même, egocentrisme, caprices d'enfant gâté, idées noires, etc... Evidemment, ça rejaillit sur son couple et crée de la tension entre Diane et lui. Il est alors nécessaire que je reprenne les choses en main pour le recadrer.
En avril dernier, nous avons passé un week-end complet ensemble dans une très jolie ville de province, assez loin de chez eux pour être sûrs de ne croiser personne de leur connaissance. Cela permettait que nous nous promenions ensemble, Diane et moi nous tenant par la main et nous arrêtant parfois pour nous embrasser dans la rue, tandis que le cocu nous suivait.
A la maison (j'avais loué un bel appartement via airbnb), nous n'avons pas développé toute la gamme des scénarios que j'avais prévus, à cause de soucis extérieurs qui nous perturbaient. Mais nous avons tout de même passé de très agréables moments. Bien évidemment, Diane et moi dormions ensemble, et le cocu dans la chambre voisine.
Camille a tout de même été présent dans la chambre pendant la plupart de nos ébats. D'abord, parce que Diane et moi apprécions qu'il nous regarde pendant que nous faisons longuement l'amour. Cela pimente nos jeux, et c'est bon pour son éducation. Et ne perdons pas de vue le côté utilitaire : il est bon d'avoir un nettoyeur disponible une fois que j'ai fini d'éjaculer en Diane, pour la nettoyer et éviter de tacher les draps. Le cocu a eu de quoi se régaler, car la quantité de foutre que j'avais déversée au fond de son épouse* était proportionnelle au plaisir que j'avais à la retrouver après une longue séparation.
Ce week-end a marqué une étape importante dans l'éducation de Camille : son dépucelage ! Comme tout puceau, il rêvait depuis longtemps du jour où enfin il connaîtrait cette initiation. Cela s'est fait à un moment où je l'avais mis au travail entre les cuisses de sa Maîtresse. Elle était allongée sur le dos pendant que lui, à quatre pattes, s'occupait d'elle avec sa langue (il n'y a qu'ainsi qu'il est capable de lui procurer du plaisir). Bien sûr, puisque telle est la règle que j'ai imposée dans ces circonstances, le cocu était encagé et portait un rosebud.
Pendant qu'il s'occupait de Diane, j'ai commencé par lui travailler le cul avec le rosebud et un bon lubrifiant (gel à base de silicone, il n'y a rien de mieux !). A force d'entrées et de sorties, je l'ai bien assoupli puis ai reposé le rosebud, enfilé un préservatif et me suis présenté à l'entrée. Il était un peu contracté, ce qui est naturel pour une pucelle, mais il n'y a pas eu de vraie résistance et j'ai enfoncé ma queue bien profondément dans son cul. Après quelques instants j'ai pu le prendre bien vigoureusement, ce qui lui a arraché des couinements qui étaient de plaisir et non pas de douleur.
Je n'ai pas voulu jouir dans son cul, je garde ma semence pour Diane. C'est elle que je veux honorer ainsi, et pas son cocu (cela viendra peut-être dans l'avenir, nous verrons bien).
Camille n'a pas joui non plus. Il est resté encagé tout le week-end, je ne voulais pas interrompre son sevrage, car cela lui gâte le caractère. Ce n'est que deux jours plus tard que Diane l'a soulagé par masturbation (cela faisait six semaines qu'il n'avait pas été autorisé à éjaculer, ça paraîtra long à certains mais c'est ce qui lui convient).
Notez que cela constituait aussi une étape pour Diane. Il y a un an, elle disait qu'elle acceptait l'idée que Camille se fasse sodomiser, mais qu'elle ne voudrait pas assister à cela. Grâce à l'évolution de notre relation, non seulement cela s'est fait en sa présence, mais Diane n'en a pas été incommodée le moins du monde. Après que j'ai eu fini d'enculer son mari, elle et moi avons repris nos ébats tout naturellement.
Depuis ce week-end, nous n'avons hélas pas pu nous revoir et nos jeux se poursuivent à distance. Cela n'empêche pas de progresser dans l'éducation du cocu, et ce week-end marque encore une nouvelle progression : j'ai notifié à Camille que dorrénavant il n'était plus autorisé à pénétrer Diane sexuellement. Il a protesté et s'est tourné vers elle, puisqu'il est établi depuis le tout début de notre relation qu'elle jouit d'une liberté totale et que mes consignes ne sont pas contraignantes pour elle. A tout moment, elle peut s'en affranchir.
Camille s'est dit surpris de la confirmation par Diane de ma consigne de fin des rapports (même avec préservatif) entre elle et lui. Mais il faut qu'il se rende à l'évidence : il n'a jamais été capable de donner du plaisir de cette façon à Diane. Pénétrer, ça n'est pas fait pour lui !
Dans le même temps, il rêve que Diane le prenne avec un gode ceinture, ce qu'elle refuse. Il faut qu'il comprenne que son tempérament ne lui permet pas d'assumer à la fois les postures de "preneur" et de "pris". Conserver le désir de pénétrer Diane l'empêche de vraiment se fondre dans le rôle qui correspond à sa nature profonde. C'est particulièrement évident quand on sait qu'il fantasme énormément sur les tenues de soubrette, de Sissy. Il doit assumer sa vraie nature, qui ne peut pas s'accommoder d'une posture virile, et c'est ainsi qu'il apparaîtra aux yeux de Diane pour ce qu'il est vraiment. Ainsi, inéluctablement et même si cela demande un peu de patience, sa Maîtresse finira pas trouver naturel que les choses soient définitivement inversés et c'est elle qui viendra le prendre. CQFD.
Comme à son habitude, il mettra du temps pour admettre ce que je lui explique et qui vient bouleverser ses habitudes. Mais il y viendra, s'en trouvera bien heureux et finira par me remercier comme pour chacune des avancées précédentes.
Ce récit est un peu long, mais il était nécessaire après un silence de plusieurs mois, et en prime je vous offre une vision de ce qui se passera à court ou moyen terme !
*Les connaisseurs auront noté que je dis "son épouse" et non pas "sa femme", car il est bien évident que lorsque je suis avec Diane, elle reste l'épouse de Camille mais n'est plus sa femme. En ma présence, elle est MA femme.