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#2917386
Bonjour à toutes et à tous,

Comme le veut la tradition, voici enfin ma présentation pour mon tout premier post.
Désolé par avance si je m’éparpille un peu, mais se présenter ici n’est pas si simple pour moi, il y a pas mal de choses à dire.

Pour faire bref, j’ai commencé à me promener sur le forum de temps en temps il y a environ sept ou huit ans. Puis, en venant de plus en plus régulièrement, j’ai fini par créer mon compte il y a environ quatre ans.
Donc oui, il y a certains d’entre vous et certaines de vos histoires que je connais déjà plutôt bien, même si je suis resté longtemps discret.

Il y a quelques semaines, j’ai décidé de prendre un peu plus de temps, notamment en devenant certifié ici. En cette fin d’année, je prends donc enfin le temps de venir me présenter comme il se doit.

Cette présentation n’est pas évidente, car j’ai beaucoup à raconter. Avant de m’étaler davantage, voici donc le minimum syndical.
Je suis un homme de 34 ans, de la région Rhône-Alpes, et je suis souvent sur Paris.

Il est difficile d’expliquer immédiatement mon statut certifié sans fournir tout le contexte et l’historique de plusieurs années, ce qui viendra plus tard. Pour clarifier les choses d’emblée, je suis célibataire et l’unique utilisateur de ce compte.
Cela dit, mon ex, que nous appellerons A, et moi nous voyons encore parfois. Elle a une légère volonté d’être, d’une certaine manière, associée ici. Son implication reste toutefois extrêmement passive, presque nulle, sans être totalement inexistante. Je n’entre pas plus dans les détails pour le moment, afin de respecter une certaine logique et une chronologie que je développerai plus tard.

Voilà, me voilà ici, enfin, après tant d’années à observer de loin. J’espère que vous ne m’en voudrez pas d’avoir été présent sans vraiment l’être pendant tout ce temps.

La suite très prochainement
#2917421
Euu ... Ok, merci pour l’accueil et pour l’information.

J’avoue toutefois que cette décision me refroidit pas mal.
Avec A, nous avons fait le nécessaire pour obtenir la certification dans une démarche volontaire, honnête et transparente. La photo fournie dans le cadre de cette demande de certif était sincère et représentative de notre situation, et nous avons vraiment joué le jeu tel qu’il est attendu.

Cette présentation et cette certif s’inscrivaient justement dans cette démarche. J’ai fait le choix d’être honnête et de présenter les choses telles qu’elles sont réellement. J’aurais très bien pu simplifier, faire abstraction de certains éléments, ou présenter une situation plus classique et plus facile à lire. Je ne l’ai pas fait volontairement.

Forcément, cette décision crée un vrai coup de froid. La motivation que j’avais pour détailler et expliquer les choses en profondeur en prend un coup.

Le début du récit étant déjà écrit, et ayant pris le temps de le poser pour vous depuis plusieurs jours maintenant, je vais le partager ici comme prévu. En revanche, pour la suite, je vais clairement temporiser davantage que ce que j’avais envisagé au départ, car, dans l’immédiat, l’envie n’y est plus vraiment.
#2917422
La présentation minimale étant faite, je vais maintenant pouvoir commencer à expliquer les choses de manière un peu plus détaillée.

Tout commence avec ma compagne de l’époque, que nous appellerons E.
Une relation qui a duré plusieurs années, débutée lorsque nous étions jeunes adultes.

Notre histoire a commencé de façon très classique. Nous avons découvert la sexualité ensemble, lentement, très lentement même. Quand je dis doucement, ce n’est pas une image, il nous a fallu de très nombreux mois avant de réellement explorer les choses. Puis le temps a passé, les mois, les années, et nous avons continué à évoluer ensemble.

Au bout d’un, deux, puis trois ans, j’ai commencé à connaître quelque chose que beaucoup ici ont sans doute vécu. Nous avions fait le tour de ce qui permettait de pimenter un peu notre vie sexuelle à deux. C’est à ce moment-là que commencent à émerger certaines idées, certains fantasmes. Rien de très précis au départ, mais globalement une envie d’exposition, une envie de sortir un peu du cadre strictement privé.

J’ai commencé à en parler à E, doucement. Elle était assez fermée à ces idées, ce qui me semblait logique. Nous avions déjà mis du temps à découvrir les plaisirs charnels à deux, il était donc normal qu’elle ne soit pas prête à aller beaucoup plus loin. Aussi, de ce que j’ai pu voir ici, la réticence de madame au départ semble être quelque chose de très classique.
Pendant longtemps, j’ai donc été cette petite voix qui revenait régulièrement sur ces envies.

Avec le temps, la lassitude du quotidien s’installe un peu.
Un soir, lors d’un événement, nous nous retrouvons à dormir dans une grande pièce avec cinq ou six personnes. Au fil de la nuit, à force de rapprochements et de tensions partagées, son excitation a fini par prendre le dessus sur son appréhension et sur la peur d’être surprise par l’un des autres dormeurs.

E, pourtant très réticente jusque-là à toute idée de proximité sexuelle en dehors de notre chambre, tous les deux, a fini par lâcher prise cette nuit-là. Au départ, cela aurait très bien pu rester quelque chose de discret. Un simple missionnaire sous la couverture, ou une position en cuillère, silencieuse. C’est d’ailleurs ce à quoi je m’attendais.

Mais il n’en a rien été.
Progressivement, elle s’est collée à moi, d’abord très proche, presque immobile, comme pour tester ses propres limites. Puis, sans vraiment réfléchir, elle s’est mise à me chevaucher. Au début, elle est restée penchée vers moi, le corps plaqué contre le mien, attentive au moindre bruit autour. Et puis, portée par l’excitation, elle s’est redressée, assise sur moi.

À ce moment-là, quelque chose avait clairement changé. Elle n’était plus dans la retenue totale. Sans que je n’aie besoin d’insister, elle a retiré son tee-shirt. La voilà donc, en pleine nuit, torse nu, en train de me chevaucher. Il faisait sombre, bien sûr, mais pas au point de tout dissimuler. Une lumière extérieure, un mouvement, un réveil soudain, et sa poitrine aurait pu être exposée sans aucun doute.

Ce n’était peut-être pas spectaculaire en soi mais une barrière venait de tomber. Le sexe n’était plus cantonné à notre intimité habituelle. Elle avait accepté le risque, l’exposition potentielle de son corps.

Voila donc la première vraie petite premiere victoire.
dane, regardiscret, olch et 1 autres a liké
#2917423
Le temps passe, et je reste très assidu. Je lui rappelle régulièrement mes envies, mes fantasmes.
Les premiers « non, non, non » deviennent peu à peu des « on verra ». Au début, ces « on verra » servent surtout à clore la discussion, à passer à autre chose. Puis, avec le temps, ils changent de nature. Ils ressemblent davantage à un « ok, je vais jouer un peu avec toi », sans intention réelle d’aller au bout. Une façon de tester, de voir si moi, j’assume vraiment ce que je dis.

Elle commence alors à jouer avec l’idée. Des « on verra », des « oui, allez, laissons un homme s’occuper de moi », même si nous savons tous les deux qu’elle ne l’assumerait pas réellement. Dès que je tente de formaliser les choses, de les rendre concrètes ou sérieuses, cela redevient immédiatement un non. Mais malgré tout, elle joue. Un peu. Et c’est déjà nouveau.

Dans ce genre de situation, rien ne se fait jamais de manière frontale. Il n’y aura pas de grand saut, pas de cap franchi d’un coup. Seulement de petites choses, au fil des occasions, sans jamais qu’elle ne se projette clairement dans quelque chose de plus engagé.

Le temps passe encore. Lors d’événements ou de sorties, j’évoque parfois le sujet, sans que rien ne se concrétise.
Puis un soir, nous sommes en boîte. Comme souvent, je suis cette petite voix qui la pousse à faire des bêtises. Des hommes se présentent, comme toujours. Et cette fois-là, l’un d’eux devait clairement lui plaire, puisqu’elle ne le repousse pas immédiatement. Malheureusement, rien ne se passe. Des amis interviennent… merci les copains, ce n’était clairement pas le moment.

Dans les faits, il ne s’est presque rien passé. Peut-être même aucun contact réel. Mais c’est malgré tout une nouvelle petite victoire. Une barrière supplémentaire tombe. Elle a laissé un homme s’approcher, elle ne l’a pas repoussé d’emblée. Et même s’il ne s’est rien passé, dans sa tête, elle a envisagé certaines choses.

Puis le temps continue de passer.

Au lit, le sujet devient récurrent. Lorsqu’elle est sur moi, j’évoque l’idée que ce pourrait être un autre qu’elle chevauche. Elle joue avec cette image, en accentuant ses mouvements. Même chose lorsqu’elle me suce. Quand j’aborde le sujet, elle s’applique davantage, comme pour me montrer ce qu’elle pourrait réellement faire avec un autre. D’autant plus que E adore ça, et qu’elle ne s’arrête jamais sans aller jusqu’au bout.

Rien de sérieux, rien de concret. Si je propose de véritables plans, elle décline toujours. Mais elle joue. Elle s’ouvre doucement à l’idée. C’est un travail long, patient, parfois frustrant, mais malgré tout, on avance. Petit à petit.
dane, regardiscret, olch et 1 autres a liké
#2917425
Sans entrer dans trop de détails, à cette période-là, E était en formation. Dans un groupe composé de femmes et d’hommes.
Et parmi eux, il y avait un homme avec qui elle s’entendait bien. Rien de spécial en apparence, rien de déplacé, mais suffisamment pour que son nom revienne régulièrement dans nos discussions. Forcément, c’est devenu un point sur lequel j’ai beaucoup insisté, encore et encore.

Puis un jour, le groupe se retrouve à devoir mener des recherches en "forêt". Il faut travailler en binômes, et assez naturellement, elle se retrouve avec lui. Pour moi, c’est une occasion parfaite. Je l’encourage, je la pousse, je lui souffle l’idée de profiter de la situation.

Mais ses retours sont plutôt négatifs.

Cette sortie se répète sur deux ou trois semaines. Évidemment, à chaque fois, je passe la semaine à la travailler. Et peu à peu, ses refus changent de nature. Ce ne sont plus des non secs, mais des non accompagnés de justifications très concrètes.
« Non mais ça va se voir, les filles vont comprendre », (les filles => ses amies)
« Non mais on n’aurait pas le temps »,
« Non mais il n’y a aucun endroit pour faire quoi que ce soit ».

C’est toujours non, mais ce sont désormais des non basés sur des impossibilités pratiques, plus que sur un rejet catégorique de l’idée elle-même. Et ça, pour moi, c’est déjà différent.

Arrive la dernière sortie. Je lui envoie des messages avec insistance. Je lui dis qu’il y a une fenêtre, que c’est maintenant ou jamais, qu’après il sera trop tard. Elle me répond, me répète que c’est impossible.

Et pourtant.

Il se trouve que ce jour-là, elle a essayé.
Pendant leurs déplacements, elle a tenté de provoquer des mises à l’écart, de s’éloigner des autres binômes, de créer une situation où ils auraient pu se retrouver un peu isolés. Rien de flagrant, rien de clair, mais suffisamment pour que je le ressente dans ce qu’elle me raconte ensuite.

Au final, rien ne s’est passé. Déception.
Mais moi, j’ai eu un frisson.

Je ne serai jamais certain de rien. A-t-elle réellement essayé quelque chose ? Ou a-t-elle simplement joué avec moi, avec l’idée, sans jamais aller jusqu’au bout ? Je ne le saurai sans doute jamais.
Toujours est-il qu’au mieux, elle a tenté quelque chose. Et au pire, elle joue de plus en plus avec ces idées.

J’ai évidemment mon scénario préféré. Mais dans tous les cas, c’est extrêmement intéressant. On avance lentement, parfois difficilement, mais on avance.
dane, regardiscret, olch et 1 autres a liké
#2917430
Le temps passe. Je continue à la travailler, souvent. C’est beaucoup d’efforts pour très peu de résultats concrets. Pourtant, quand je regarde d’où l’on part, on a clairement avancé.

Dans ce travail de sape quotidien, le sujet revient très souvent autour d’une chose précise : sucer un autre homme. D’abord parce que, pour elle, cela semble bien plus réalisable que de coucher avec quelqu’un d’autre. Ensuite parce que c’est plus simple à organiser. Et aussi parce que j’adore ça, qu’elle adore sucer de son côté. Elle pouvait me sucer pendant une heure parfois, toujours avec application, et elle ne s’arrêtait jamais sans finir.

Je me retrouve donc très souvent à lui souffler l’idée, dans plein de situations, d’aller mettre en bouche un autre homme. À force d’insistance, elle commence à jouer avec moi. Elle me dit que oui, que si si, elle en serait capable. Comme preuve, elle me ressort l’épisode de la "forêt" avec son binôme. Évidemment, je lui rappelle qu’il ne s’est rien passé, que tout ça n’était que des paroles.

Le sujet revient souvent. Et peu à peu, E commence à avoir plus de répondant quand je lui demande de me prouver qu’elle aurait réellement pu faire quelque chose avec lui. On s’excite tous les deux à imaginer des scènes. Elle commence même à évoquer le sujet d’elle-même, puis elle met fin aux discussions à sa manière : en allant me sucer, toujours avec beaucoup d’application, puis en me lançant, une fois qu’elle a tout avalé comme toujours :

« Alors, tu vois ce que je ferais. »

Avec son binôme, rien de concret. Juste des discussions parfois un peu joueuses, mais toujours abstraites. Jusqu’au jour où, au détour d’un échange très banal, ils évoquent les toilettes. Rien de direct, rien d’explicite, mais elle commence clairement à jouer davantage avec l’idée.

À partir de là, je la pousse constamment dans ce sens. Son binôme. Sucer. Les toilettes. On en parle souvent. Elle me montre régulièrement à quoi ça pourrait ressembler, en surjouant un peu pour me titiller. Et encore une fois, ses refus évoluent. Les excuses deviennent moins bidons, beaucoup plus réalistes.

Je reconnais très bien ce schéma. Elle n’est plus dans le non catégorique, mais dans le non justifié par des contraintes pratiques. Je veux y croire, et en même temps je me méfie. Mais je garde le cap. Chaque excuse, j’essaie de trouver une solution.

On en parle de plus en plus, à chaque baise. Elle me dit que c’est compliqué, mais qu’elle essaie. Comme pour la "forêt", je ne sais pas si elle essaie vraiment ou si elle me dit ça pour me contenter. Je choisis d’y croire.

Si je résume, il y a parfois des fenêtres. Elle en a envie. Lui est célibataire, donc forcément partant. Ils discutent depuis un an et demi. Il y a parfois des allusions, comme celles sur les toilettes, toujours intégrées dans des phrases sérieuses, jamais de manière frontale. Aucun des deux n’ose être le premier à dire clairement qu’il y a une idée cochonne derrière. Avec tout ça, je me dis que si quelque chose devait se passer, ça se serait déjà produit. Et donc je doute.

Puis un jour, après avoir insisté une nouvelle fois, elle me dit :

« Le lundi, on est dans une salle un peu particulière. Il y a la pause juste après, quinze minutes. Des toilettes sont un peu loin et il n’y a jamais personne. S’il y avait une fenêtre, ce serait là. Mais bon, le temps d’y aller… »

C’est vague, et en même temps très précis.

Les semaines passent. Elle trouve toujours une excuse. Je commence à vraiment douter de sa volonté réelle de passer à l’acte. Peut-être qu’elle veut juste jouer avec moi, me faire plaisir comme elle peut.

Tous les lundis avant la pause de 10h, on en parle par SMS. Je relance systématiquement.

Moi : Vous êtes dans la bonne salle aujourd’hui ?
E : Oui.

Cette réponse, trop rare, presque systémétiquement non répondue, me fait imaginer mille choses, même si j’en ai déjà imaginé cent mille sans que rien ne se passe.

Moi : Tu vas donc pouvoir essayer d’aller aux toilettes avec lui ?
E : On va voir.

Je suis excité, mais déjà prêt à être déçu.

Puis un message arrive.

E : Je suis sortie de la salle.
E : Il était encore dedans.
E : Je l’ai regardé.
E : Il m’a vue le regarder.
E : Je vais aux toilettes.

Mon coeur explose.

Moi : Tu vas vraiment aux toilettes ?
Moi : Tu y es ?
Moi : Il vient ?
Moi : Mais tu fais quoi ?
Moi : Réponds-moi !

L’attente est interminable.

E : Ça y est.

Moi : Ça y est quoi ?
Moi : Dis-moi.

E : Il est venu aux toilettes.

Moi : Putain…
Moi : Et alors ?
Moi : Vous avez fait quoi ?

E : Tu sais très bien.

Moi : Non.
Moi : Dis-le.
Moi : Tu l’as vraiment fait ?

E : Oui.
E : Et t’as pas intérêt à râler maintenant.

Moi : Ok.
Moi : Raconte.

E : À la pause, je suis sortie rapidement.
E : Il n’a pas suivi tout de suite.
E : Quand je suis sortie et pas lui, je l’ai regardé droit dans les yeux.
E : Il a compris.
E : J’ai compris qu’il avait compris.

E : Je suis allée aux toilettes en regardant s’il suivait.
E : Je l’ai vu arriver.
E : Il n’y avait personne.
E : On était seuls.

E : On est entrés dans un des toilettes.
E : J’ai fermé la porte.
E : On était face à face.
E : On a rigolé.

E : C’était un peu figé.
E : Alors j’ai pris les choses en main.
E : J’ai essayé d’ouvrir sa ceinture.
E : Mais il a géré.
E : Il a baissé son pantalon.
E : Il s’est assis.
E : Il bandait déjà.
E : Je me suis mise à genoux.

E : Je l’ai leché.
E : Je le regardait dans les yeux, et j’ai tout mis dans ma bouche.

Moi : Et il faisait quoi ?

E : Au début rien.
E : Puis il m’a touché les seins.

Moi : Sérieux ?

E : Oui.
E : Je n’ai rien dit.
E : Il a passé sa main sous mon soutif pendant que je continuais de le sucer.
E : Il m’a bien ploté !

Moi : Et ?

E : On a continué comme ca.
E : Comme avec toi, je l’ai leché, sucé, le bout, tout en entier ... (elle apporte naturellement quelques détails ... Visiblement ce jeu lui plait beaucoup)
E : Il m’a dit d’arrêter.
E : Et il a voulu m’enlever la tête.
E : Alors j’ai continué.
E : J’ai continué jusqu’au bout.
E : Il a éjaculé dans ma bouche.
E : Et j’ai tout avalé.

Je tremble en lisant ces messages. Un mélange violent de choc, d’excitation, de « mais quelle p*te » (le culot de penser ca quand même), et de satisfaction et d’un bonheur immense / intense, comme jamais je n’avais pu ressentir de toute ma vie.

Mais cette fois, c’est fait.
Elle a enfin passé le pas.
Ce qu’elle adore, ce que j’adore : sucer jusqu’à ce que ça explose dans sa bouche.
Elle l’a fait, avec un autre homme.

Après tant d’années, je suis enfin cocu.

Comme souvent dans cette situation si je me base sur vos différents récits ici, notre baise suivante était absolument incroyable. On a du remettre le couvert au moins 5 fois dans la nuit. De mémoire je n'ai jamais autant fait l'amour de toute ma vie.

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